Speaker #0Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle masterclass intitulée Prendre sa vie en main et donner un nouvel élan à sa vie Alors tout d'abord, pour qui est cette masterclass ? Elle est pour des femmes et des hommes de tout âge qui soit souhaitent procéder à un changement dans leur vie, soit ont subi un changement et souhaitent reprendre leur vie en main. Alors quand on parle de changement, ça peut être une rupture, ça peut être un licenciement. ça peut être quelque chose, un événement un petit peu qui a provoqué un déséquilibre dans leur vie et il y a en tout cas cette notion de changement, cette notion de devoir reprendre le contrôle, il y a quelque chose qui ne va pas et on va aller travailler, avoir une réflexion et des actions à mettre en place pour retrouver un équilibre, pour retrouver du plaisir, pour retrouver quelque chose qui va nous faire du bien. Est-ce une masterclass spécifique aux relations amoureuses ? Non. On va parler de tous les domaines de vie. Ça s'applique à tous les domaines. Prendre sa vie en main, ce n'est pas juste une thématique qui va être dans un domaine de vie plutôt que dans un autre. C'est plus un état d'esprit et on va le voir des actions. Passons au sujet de cette masterclass qui est prendre sa vie en main. C'est quoi ? Ça consisterait en quoi pour vous ? Qu'est-ce que ça représente ? Qu'est-ce que ça veut dire prendre sa vie en main ? Je sais qu'on a tous une définition différente. Si je prenais ma vie en main, ça voudrait dire quoi en fait ? Posez-vous cette question, mettez cette vidéo en pause, une, deux minutes, je ne sais pas. C'est fait ? Très bien. Alors prendre sa vie en main, moi, j'avais posé la question au lecteur de mon site web, qui sont inscrits à ma newsletter. J'avais posé cette question et, alors je ne vais pas vous dire toutes les réponses, j'avais eu beaucoup de réponses très, très différentes. Il y a des personnes qui me disaient que prendre sa vie en main, ça voulait dire se prendre en charge, passer à l'action, mettre en place des choses dans sa vie pour que ça bouge, par exemple. Et d'autres personnes qui me disaient que prendre sa vie en main, pour moi, ça veut dire trouver l'amour. On voit quand même qu'il y a des choses assez différentes. Moi, je vais vous dire à quoi correspond pour moi la vision de prendre sa vie en main. Prendre sa vie en main pour moi, au minimum, c'est être actif et acteur de sa vie. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire au minimum décider. Décider de ce que je veux dans ma vie et de ce que je ne veux pas. Alors tout ça, on va y revenir plus tard, je vais entrer dans les détails. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire passer à l'action. Ça veut dire si je ne suis pas heureux de ma situation, je vais me bouger, je vais agir. Je vais faire des choix et ces choix, je vais les assumer parce qu'on va le voir lorsqu'on fait des choix. il y a forcément des avantages et des inconvénients. Il y a des choses qu'on va gagner potentiellement, des choses que l'on risque de perdre. Prendre sa vie en main, ça veut dire également être responsable et autonome. Je prends la responsabilité de mes choix et de mes Ausha. Les Ausha, c'est quoi ? C'est une absence de choix. Parce que ne pas faire un choix, dans une certaine situation, c'est aussi un choix. Ça veut dire également ne pas accuser les autres de ce qui m'arrive, ne pas être en mode victime. Ne pas attendre également que quelqu'un vienne me sauver. Je suis responsable et autonome. On ne va pas me sauver, je vais me prendre en main. Et pour moi, ça veut dire également vivre ma vie de manière à ne pas avoir de regrets. Alors, il y a une démarche qui est en quatre étapes. La première, c'est aujourd'hui, je suis dans une certaine situation. Elle ne me plaît peut-être pas parce que si elle me plaisait, peut-être que je... Je ne changerai pas à prendre ma vie en main et à procéder à des changements. Il y a quelque chose qui ne va pas, ou il y a quelque chose que j'aimerais. Alors, qu'est-ce que je veux ? Quelle est la vie que je souhaite ? De quelle manière je veux vivre ma vie ? Peut-être que ça va nous amener à nous poser une question qui est, qui suis-je ? On va y revenir un petit peu plus tard. Qui suis-je ? Qui je veux être éventuellement ? Parce qu'on ne se connaît pas vraiment, donc on peut se développer bien heureusement. Donc, définir ce que l'on veut. Alors je l'ai mis en deuxième étape, prendre une décision. C'est un processus de coaching, on pourrait la mettre plus tard, mais généralement la logique voudrait qu'on la mette ici. C'est-à-dire maintenant que j'ai dit ok, voilà la vie que je souhaiterais, je vais prendre une décision. Qu'est-ce que je fais ? J'y vais ou j'y vais pas ? Je passe à l'action ou je reste dans l'attente ? On va le voir après, on va rentrer dans toutes ces étapes, on va les approfondir. Ok, j'ai défini ce que je voulais, j'ai pris la décision, c'est bon j'en ai marre, j'y vais, je vais passer à l'action. Bon, maintenant je vais quand même un petit peu décider de réfléchir à qu'est-ce que je dois faire. pour atteindre la vie souhaitée, cet objectif de vie. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire quelles actions je veux mener, ou je dois mener, et quand. Le quand, il est important, parce que si on ne définit pas de date, en fait, on ne fera rien. Donc c'est planifier, organiser. Et une fois qu'on a fait ça, c'est-à-dire qu'on a un petit peu défini les jalons d'où on veut aller et par quel chemin on va y aller, même si parfois il y aura des détours, on le verra tout à l'heure, eh bien on va... agir parce que si on n'agit pas il se passe rien ce serait dommage d'être allé jusqu'à la planification et de ne pas y aller mais pourquoi pas ça peut arriver donc j'exécute mon plan d'action et bien entendu je vais l'adapter au fur et à mesure c'est pour ça que je vous disais tout à l'heure que il pourrait y avoir une cinquième action on pourrait après bouclé c'est à dire agir voir un petit peu ce qui se passe et replanifier réfléchir agir et être dans une on va dire dans une alternance de réflexion action d'accord tous les trois mois de revoir où j'en suis dans ma vie est ce que je suis sur la bonne route et d'adapter le chemin et mes actions au contexte et aux événements ok mais au minimum il ya ces quatre étapes c'est à dire au moins jusqu'à le fait jusqu'au fait de se lancer le chemin du changement vous allez voir c'est pas une ligne droite le plus important c'est de définir sa destination et de s'épanouir le long du chemin Il y a une situation actuelle, il y a une situation désirée. On va réfléchir, on va décider de choses, d'actions, on va agir. Et bien entendu, il y aura des imprévus, il y aura des obstacles. Alors, je vais noter en bas, il y a une chose importante à comprendre et à prendre conscience, c'est qu'il peut y avoir des imprévus. Les imprévus, souvent, on dit... Ces imprévus sont négatifs généralement. Oui, mais des fois, ce sont des imprévus qui sont positifs. On peut avoir des surprises sur la route, on peut avoir des opportunités. Et je vais vous donner un exemple. Moi, au tout début, tout a commencé par la création de mon blog Réussir ses relations puis après ma chaîne YouTube. Et des années plus tard, l'imprévu qui est arrivé, la surprise, c'est que j'ai été contacté par un éditeur, les éditions Très Daniel pour me proposer de créer le contenu des petites cartes d'une petite boîte. Tout est parti de là en fait, c'est-à-dire que moi, j'ai décidé de me reconvertir, de me former. J'ai créé un blog parce que j'avais envie de partager, de donner des conseils, de partager mes réflexions avec d'autres personnes sur le domaine des relations et des changements de vie. Et tout cela, ça m'a mené à avoir des opportunités. Donc il y a des imprévus parfois, et j'en ai eu des imprévus négatifs sur la route, des déceptions, il y a forcément des choses qui ne se passent pas comme prévu, mais... Il y a aussi des opportunités qui se créent. Ça, je ne l'avais pas prévu. Je n'avais pas prévu de créer une petite boîte de cartes. Je n'avais pas prévu d'écrire un livre et d'être édité et d'être en librairie. Je ne le savais pas. Donc, il est important de comprendre que lorsque vous prenez votre vie en main, il y a des risques, bien entendu, on va y venir. Mais il n'y a pas que des choses négatives qui peuvent arriver. On a peur de certaines choses. Il y a aussi des belles choses, mais on ne les voit pas à la base quand on se lance. Donc, on est plus axé sur la peur de... de l'inconnu, de ce qui va se passer, on va voir les peurs tout à l'heure, mais on n'anticipe pas les choses positives, enfin du moins des choses qu'on n'aurait pas prévues. J'insiste un petit peu là-dessus parce que c'est important, de nombreuses personnes ne passent pas à l'action parce qu'elles sont uniquement focalisées sur les peurs. Mais il y a de belles choses qui peuvent arriver. C'est le cas dans le domaine, j'allais dire entrepreneurial, dans le domaine des changements de vie, des changements de vie, les projets de vie, mais c'est aussi le cas dans le domaine amoureux. Lorsqu'on quitte une vie qu'on n'aime plus, ou qu'on n'est pas heureux avec quelqu'un, ou qu'on est seul et qu'on est focalisé sur notre ex, qu'on se prend en main, qu'on vit une vie riche et épanouie, et qu'on procède à des actions pour nous, pour vivre une vie qui nous plaît et dans laquelle on s'épanouit, on va dégager une énergie du plaisir, de la joie, on va se sentir bien dans notre vie, même si on est célibataire, et on va avoir des opportunités. On va les créer. On ne sait pas encore lesquelles elles seront. Mais on va de fait avoir des opportunités, des belles opportunités. Alors, on va revenir sur les quatre étapes. Tout d'abord, définir ce que l'on souhaite. Pourquoi définir ce que l'on souhaite ? Parce que si on ne définit pas ce qu'on veut dans notre vie, dans tous les domaines, on va suivre ce que les autres veulent de nous. Si on ne définit pas un objectif cible, une situation que l'on veut, on ne risque pas d'y arriver. OK ? Ou on a moins de chances d'y arriver. Quoi ? Qu'est-ce qu'on doit définir ? Au minimum... Quelque chose qui a un impact positif dans notre vie. Un objectif de vie attractif, inspirant, pour nous donner envie, pour nous motiver. Ça peut être un rééquilibrage de vie. Souvent, moi j'accompagne des personnes qui sortent de ruptures ou qui vivent un déséquilibre dans leur vie. Parfois, elles se sont oubliées, parfois elles ont trop travaillé, elles ont mis de côté leur vie personnelle, leur vie de couple, leur vie de famille. Elles ont perdu. parfois leur partenaire à cause de ça, elles ont besoin d'un rééquilibrage de vie. Et quelque chose, un objectif qui ne dépend que de moi. Je ne l'ai pas dit tout à l'heure, mais pour moi, prendre sa vie en main, c'est définir un objectif qui ne dépend que de soi. Trouver l'amour, ce n'est pas prendre sa vie en main pour moi. Trouver l'amour, c'est une conséquence. C'est une conséquence d'action, d'épanouissement personnel qui fait que je vis une vie que j'aime, dans laquelle je m'épanouis. Et de manière, bien entendu, je sors, je fais des rencontres, mais de manière naturelle, je vais attirer l'amour à moi parce que je dégage une belle énergie. Trouver l'amour, ce n'est pas un objectif. Trouver l'amour, c'est une conséquence d'un mode de vie, d'un état d'esprit. Quand est-ce que je dois définir ce que je souhaite ? Généralement, quand ma vie ne me plaît plus, quand je ne me sens plus à ma place, quand il y a une perte de sens, quand j'ai connu un événement difficile. Ça peut être une rupture, parfois c'est un deuil. Parfois lorsqu'on connaît un deuil, on se rend compte, moi ça a été mon cas dans ma vie, lorsque j'avais perdu mon père puis ma mère, que j'étais plus à ma place en fait, que ce que je faisais professionnellement ne me plaisait plus, que j'avais besoin d'un renouveau et que j'aspirais à autre chose. Parfois c'est le deuil qui fait qu'on a envie d'un changement. Je rencontre aussi pas mal de personnes qui quittent leur conjoint suite à un deuil. Ça arrive, on se remet en question. Et quand on a besoin d'un renouveau dans notre vie, on a besoin d'insuffler un nouvel élan, une nouvelle énergie. Et ce qui est important de comprendre, c'est que ce que je veux aujourd'hui, ce n'est pas forcément ce que je voudrais demain. Ce que je veux dire, c'est qu'on évolue dans le temps. Peut-être qu'il y a dix ans, pour vous, ce qui était important, c'était d'avoir des enfants. Peut-être qu'aujourd'hui, ce qui est important pour vous, dix ans après, c'est peut-être de changer de... pas de changer forcément de partenaire, mais c'est de changer, de vous épanouir dans votre vie professionnelle. D'accord ? Votre focus va changer. Et peut-être qu'il y a dix ans, vous aviez envie d'être dans une certaine activité professionnelle et peut-être qu'aujourd'hui, vous voulez autre chose. Ok. Moi, j'ai connu ça dans mon activité professionnelle. J'ai voulu à un moment donné me rediriger du domaine, j'étais dans le domaine informatique, mais il y avait un domaine qui me… J'étais passionné par l'informatique depuis mon adolescence et par le domaine de la sécurité, des systèmes d'information, de la sécurité. Mais ce domaine-là, lorsque je me suis lancé, il n'était pas en vogue et il n'y avait pas de formation, il n'y avait rien, enfin bref, c'est très compliqué. Et longtemps après, je me suis lancé, je me suis… J'ai fait une redirection, on va dire, une réorientation pour être dans la sécurité. Donc, je me suis formé énormément, j'ai passé des certifications, et je me suis lancé, j'ai postulé sur ces postes, et j'ai obtenu des postes, et j'étais heureux de ce changement. Mais des années plus tard, j'aime toujours la sécurité, c'est quelque chose qui me tient à cœur, mais j'ai été passionné par autre chose, qui est la psychologie et le développement personnel. Et ça a pris le dessus. J'ai commencé à écrire mon blog, à lire énormément de livres, à me former. Et à partir de là, il y a eu une envie de me reconvertir. Donc ce n'est pas parce que vous avez changé d'orientation il y a 5 ans, il y a 10 ans, que vous ne pouvez pas le refaire aujourd'hui. On change, on évolue et ce n'est pas un problème. Comment définir ce que l'on souhaite ? La logique, c'est de prendre du recul. C'est de réfléchir. Souvent, on va faire un bilan de vie. On le fait en life coaching, en coaching de vie. On va analyser les domaines de vie. Ok, ça ne va pas dans ma vie aujourd'hui. Où j'en suis dans le domaine des relations sociales, dans le domaine familial, dans le couple ? Où on en est ? On va faire un bilan de différents domaines de vie. On va voir là où ça va bien, là où ça ne va pas bien. Et on va réfléchir à quelles actions on peut mettre en place, quand et comment. On va devoir se recentrer, se reconnecter à soi. Ce qui va nous permettre d'apprendre à nous connaître, de savoir qui on est finalement aujourd'hui, et de nous redécouvrir, et de nous transformer. Donc on voit, il faut se recentrer, prendre du recul et réfléchir. Ensuite, une fois qu'on a fait ce travail, on va prendre une décision. Et lorsqu'on prend une décision, il va y avoir des avantages. Des avantages à se bouger, des avantages à ne rien faire. des inconvénients à passer à l'action et des inconvénients à ne pas le faire. On va aborder tous ces avantages et inconvénients. Tout d'abord, les avantages à se bouger. Ce que j'appelle se bouger, c'est prendre sa vie en main et y aller, passer à l'action. Eh bien, on prend notre destin en main. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que plutôt d'attendre que les choses arrivent comme si le destin était écrit, non, on va le provoquer. Je parlais d'opportunité tout à l'heure. Ce qui m'est arrivé dans le domaine de l'édition et le fait que je sois devenu auteur, C'est une opportunité que je n'ai pas créée à la base, j'aurais pu d'ailleurs. Je ne l'ai pas créée à la base, elle est arrivée, mais parce que j'ai pris mon destin en main, parce que j'ai procédé à certaines actions. Donc on prend notre destin en main, donc d'attendre que les choses arrivent. Les avantages, c'est ne plus vivre dans l'attente et l'insatisfaction. Parce que généralement, ce que je vois, c'est que vous êtes insatisfait ou insatisfait dans votre vie, mais vous ne faites rien pour que ça change. Et forcément, si vous ne bougez pas, les choses changent rarement toutes seules. Moi, je n'ai jamais vu un problème qui se résolvait tout seul. Peut-être que ça arrive, je ne sais pas. Je n'en ai jamais vu, ni chez moi, dans ma vie, ni dans la vie de mes amis, ni dans la vie des gens que j'accompagne. Ça va permettre de créer un changement positif. Il y a quelque chose qui ne va pas, et nous on veut du positif, on veut une évolution positive et on va le créer. Ce qui va se passer également, c'est que le fait de prendre sa vie en main, on va en être fier de ça. On peut être fier. Ça va nous donner plus d'estime de soi et de confiance en soi. On va forcément avoir plus de confiance en soi que si on ne fait rien. Mais bien entendu, il y a aussi des avantages à ne rien faire. Alors j'en ai mis deux, si vous en avez d'autres, vous pouvez me contacter pour me les donner. C'est rassurant de ne rien faire parce qu'on est dans le domaine du connu On sait où on en est, c'est peut-être pas confortable, mais on peut des fois se rassurer en disant bon, c'est pas top, mais je sais ce que j'ai et je ne sais pas ce que j'aurai Souvent la crainte est là-dessus, sur l'inconnu. Mais on verra tout à l'heure que l'inconnu, c'est pas forcément plus dangereux que le connu. C'est plus simple également de rien faire. C'est plus simple que de se bouger et de prendre sa vie en main, forcément. Et il y a bien sûr des inconvénients à se lancer et à prendre sa vie en main. Il faut sortir de sa zone de confort. C'est forcément difficile, il y a des gens qui arrivent facilement. Et il y a des gens qui ont énormément de mal. Ce qu'il faut savoir, c'est que moins vous sortez de votre zone de confort, moins vous y arriverez. Et plus vous sortez de votre zone de confort, plus vous y arriverez facilement. C'est juste une question d'habitude de vie. Ça demande également plus d'efforts. Oui, forcément, ça demande plus d'efforts, de se lancer dans un projet de vie, de procéder à des actions, de faire des choses qu'on n'est pas habitué à faire, plutôt que de ne rien faire. C'est plus difficile. Alors, j'ai mis a priori. Pourquoi j'ai mis a priori ? Parce que les gens souvent me disent, mais Sandrio, c'est difficile de quitter mon partenaire à qui je ne suis pas heureux pour faire autre chose. Oui, peut-être. Ou quitter son travail, c'est la même chose. De quitter un travail insatisfaisant avec mon chef qui me parle mal. Oui, peut-être. Mais pour moi, parfois, il y a des situations où je trouve que c'est plus difficile de rester dans la situation insatisfaisante que de partir. D'être dans un boulot qui ne me plaît pas, où je ne trouve pas de sens, où je n'ai pas de reconnaissance, où je suis considéré comme un numéro, pour moi c'est plus difficile de rester sous ça, plus inconfortable et plus difficile de rester que de partir, de me former, de me lancer dans un projet de vie pour me reconvertir ou pour trouver une autre entreprise, un autre boulot ailleurs, de sortir de ma zone de confort. Pour moi c'est plus facile en fait que de rester. sans rien faire pour l'estime de soi, pour la confiance en soi. C'est destructeur d'être dans une situation comme ça. Et c'est la même chose en couple. De rester dans un couple avec quelqu'un qui ne m'aime pas, ou qui me parle mal, qui me rabaisse, c'est plus difficile pour moi de rester que de quitter cette personne. Donc j'ai bien mis plus difficile a priori. Et moi je vous invite vraiment à bien réfléchir à vos situations de vie, où vous en êtes. Parce que souvent, vous pensez que c'est plus simple de ne rien faire, et plus facile, et pour moi, c'est plus facile de se bouger. En tout cas, le résultat à long terme n'est pas du tout le même. On en parlera tout à l'heure du court terme, long terme. Les inconvénients à se bouger, ça va demander à affronter ses peurs. On va voir tout à l'heure, il y en a quand même beaucoup. Et l'inconvénient à se bouger, c'est qu'il y a un prix à payer. Ce prix à payer... C'est qu'il y a quelque chose qu'on ne veut pas lâcher et qu'on va perdre, qu'on va devoir lâcher. Ce prix à payer ça peut être, je suis en couple, ok je suis pas heureux, ils me parlent mal, je sais pas quoi, mais là je vais perdre ça. Donc il y a un prix à payer. Et ce qui est important à comprendre c'est qu'il n'y a pas de décision facile dans la vie. Souvent les personnes aimeraient que, j'aimerais avoir le côté positif du changement, je veux quelque chose de positif, mais je veux pas de prix à payer. Je veux pas le côté négatif. Et ça c'est pas possible. Lorsqu'on fait un choix de vie, il y a forcément quelque chose qu'on perd. Mais si c'est des choses qu'on perd, il y avait des côtés négatifs, bon, on ne peut pas dire qu'on perd quelque chose de positif. Oui, j'étais en couple. Ah, c'est j'étais en couple et je ne le suis plus. Oui, ok. J'avais un boulot stable qui me donnait un salaire. Et là, je vais essayer de changer, donc je pars dans l'inconnu. Oui, il y a un prix à payer. Mais la récompense derrière, il y a aussi un prix à gagner. Il y a une récompense à la clé. Et ça, on l'oublie parce qu'on est focalisé sur la perte. Et on va le voir tout à l'heure. On a plus souvent la perte en tête, on a peur de la perte, plutôt que ce qu'on va gagner à changer. Bien sûr, ce n'est pas le bon état d'esprit. Il y a quand même pas mal d'inconvénients de ne rien faire à rester dans cette situation. Si on ne se bouge pas, il n'y a pas d'évolution positive. L'insatisfaction, elle est ancrée, elle va rester. On va être frustré, on va être triste. Il y aura un sentiment d'impuissance. Alors c'est juste un sentiment, parce qu'en fait, c'est vous qui générez cette impuissance en ne faisant rien. Puisque le contraire de l'impuissance, c'est la puissance. On appelle ça plutôt le pouvoir, le power en anglais. D'accord ? De prendre le contrôle, cette notion de prendre le pouvoir, le contrôle, c'est une décision à prendre. Parce qu'au moment où vous prenez cette décision et vous vous bougez, vous pouvez passer du sentiment d'impuissance au sentiment de contrôle. Même si vous savez... même si vous allez un petit peu, ce qui ne paraît pas dans l'inconnu, mais dans quelque chose de nouveau. Et bien sûr, quand on ne fait rien, il y a une baisse d'estime de soi et confiance en soi. Comment on peut avoir confiance en soi et s'estimer et être fier de soi si on est dans une situation qui ne nous plaît pas, où on se sent à moins que rien, où on se sent dévalorisé, on ne fait rien pour changer. On entretient ça en ne faisant rien. Là, le prix à payer est le plus important. Et moi, je vous invite vraiment à bien réfléchir là-dessus, sur ce prix à payer à ne rien faire. Et je vais revenir dans très peu de temps. Ça demande donc à prendre une décision. Alors, qu'est-ce qu'une bonne décision ? J'ai écrit un article là-dessus, un podcast, un épisode du podcast qui s'appelle 12 conseils ou 12 clés pour prendre une bonne décision ou pour faire de bons choix de vie ça s'appelle. Vous le retrouvez sur mon podcast La Pause Coaching Qu'est-ce qu'une bonne décision ? Bon, au minimum, c'est une décision qui est bonne sur le long terme. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que sur le court terme, elle va être difficile peut-être de changer de travail, de changer de partenaire, de se bouger. Ça va être plus difficile, mais sur le long terme, elle va être bonne parce que j'aspire à autre chose et quelque chose de positif que je n'ai pas aujourd'hui dans ma vie. Et comme je le dis, bonne sur le long terme, même si elle est difficile. C'est aussi une décision où je me respecte. Si je reste dans ma situation d'aujourd'hui, est-ce que je me respecte ? Posez-vous la question. Est-ce que c'est se respecter ? Bien sûr, adaptez la réponse à votre contexte et à votre situation d'aujourd'hui. Si vous êtes avec quelqu'un qui vous dévalorise, si vous êtes dans un boulot qui ne vous plaît pas, vous vous sentez inutile, avec une dévalorisation, vous vous sentez comme un numéro, vous ne vous respectez pas aujourd'hui. C'est une décision que je vais assumer. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que je la prends aujourd'hui, mais j'accepte de me tromper. Alors se tromper, c'est un bien grand mot, mais parfois on peut se tromper. Et on va assumer le risque aujourd'hui, en tout cas, de l'avantage et des inconvénients. On les aura pesés, ces avantages et ces inconvénients. C'est un travail qu'on fait d'ailleurs en coaching. Lorsqu'on amène quelqu'un à prendre une décision, alors ce n'est pas nous qui la prenons, on ne conseille pas une décision à la place de quelqu'un. La personne veut un changement de vie, elle va choisir des orientations, des actions. On va lui poser la question. Ok, quels sont les avantages à ce que tu fasses ça ? Quels sont les inconvénients à ce que tu le fasses ? Quels sont les avantages si tu ne fais rien et les inconvénients ? On va aller travailler là-dessus pour qu'après la personne prenne une décision en conscience. C'est important. Et c'est une décision qui est réfléchie, donc en conscience. On se pose, ce n'est pas une décision à la va-vite, ce n'est pas une décision émotionnelle, c'est une décision qui est réfléchie. Et aujourd'hui, après réflexion, on se dit que c'est la meilleure décision pour nous à ce moment précis de notre vie. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que... Ça n'exclut pas le fait de changer d'avis dans le futur. Ce qui est important à comprendre, souvent on a peur du changement, parce qu'on a peur, comme si on ne pouvait pas faire un retour arrière. Alors revenir avec la même personne, c'est un peu difficile, revenir dans le même boulot. Moi je l'ai déjà vu, des personnes qui sont parties pour gagner plus ailleurs, et qui ont été redébauchées dans le sens inverse des années plus tard. Moi je trouve ça top, parce que ça veut dire que la personne s'est respectée en partant, elle n'était pas satisfaite. Et elle est revenue en étant augmentée. Donc, elle est partie pour une augmentation, elle est revenue en étant augmentée, parce que sinon, elle ne serait pas repartie. Enfin, elle ne serait pas revenue, je dirais. Donc, elle a une augmentation à l'aller, une augmentation en retour, et en même temps, elle a été valorisée, parce qu'on est venu la rechercher. C'est ça la valorisation aussi, le respect. On se sent plus respecté. Alors que si on est là où on est, on n'est pas satisfait, on ne bouge pas. Ben, c'est pas top. Donc on a le droit de changer d'avis dans le futur, c'est pas gênant. Mais aujourd'hui, ce qu'on veut, c'est changer. Et on va s'en donner les moyens. Et on a toujours des options et des solutions. Quand on se prend en main, on a toujours, toujours des options et des solutions. Et beaucoup plus si on se bouche que si on ne fait rien. Pour moi, pour passer cette étape, cette deuxième étape, de la meilleure des manières, il faut se poser une question fondamentale. Que se passera-t-il ? Si je reste dans cette situation sans ne rien faire. Pas juste demain, parce que demain, on va être axé sur la perte. Mais là, je pars, voilà. C'est plutôt à quoi ressemblera ma vie dans 6 mois, dans 1 an, dans 5 ans, dans 10 ans. Si je reste dans un boulot qui ne me plaît pas, à me dévaloriser, dans une relation où on ne me respecte pas, où on me rabaisse tous les jours. Ça peut être dans une relation, dans un boulot, ça peut être vos parents. Ce n'est pas forcément un gros changement de vie, prendre sa vie en main. Ça peut être aussi la décision simple et difficile d'arrêter de côtoyer un de ses parents. Je l'ai déjà vu. Lorsque quelqu'un est dans un environnement toxique, il ne peut pas s'élever. C'est difficile d'apprendre à s'aimer, de s'estimer, d'avoir confiance en soi. Quand on a quelqu'un qui est proche de nous et qui nous rabaisse. On va le voir tout à l'heure d'ailleurs. Donc posez-vous cette question. Et d'ailleurs, vous pouvez mettre la vidéo en pause aujourd'hui. Pendant quelques minutes, 5 minutes, 2 minutes, 10 minutes, que se passera-t-il si je reste dans cette situation sans ne rien faire ? À quoi ressemblera ma vie ? Ok, on a pris la décision. C'est bon, j'y vais. Je vais planifier. Quand ? Et comment ? Parce que si on ne définit pas les actions et les dates, ça va être compliqué d'y arriver. Alors là, bien sûr, je vous parle de lorsqu'on prend sa vie en main, il y a plusieurs actions, il y a un plan d'action, il y a des choses à mettre en place. Ça ne va pas être très compliqué. Mais au minimum, il faut une planification, il faut ce qu'on appelle un plan d'action. Au minimum, on a besoin d'un délai, d'un délai cible. Pour quand ? Qu'est-ce que je veux ? Alors si c'est juste une décision comme couper les ponts avec quelqu'un, ça peut être assez simple. Si c'est une reconversion professionnelle, bien entendu il y aura un certain nombre d'actions à mettre en place. On va voir tout à l'heure parce que je vais en donner l'exemple. Donc il faut un minimum de délai. Pas de délai, c'est un échec garanti. Et un délai c'est quoi ? C'est un délai au minimum qui est cohérent par rapport à notre objectif, un délai réaliste et attractif. Si je dis dans 20 ans je voudrais, c'est loin quoi. Alors il y a des entrepreneurs qui le font, ils se mettent dans 10 ans, dans 5 ans, dans 3 ans, dans 1 an, et qu'est-ce que je dois faire semaine après semaine pour atteindre mon objectif à 10 ans ? Moi je pense que déjà un objectif à 1 an ou 3 ans si c'est un gros objectif, c'est suffisant. Et plus notre objectif va être éloigné, comme une reconversion par exemple, plus on va avoir besoin de définir des objectifs intermédiaires. à 6 mois, à 1 an par exemple. Alors quand j'ai mis 3 ans, c'est plutôt l'objectif final. Pourquoi ? Parce que c'est un peu des étapes les objectifs intermédiaires. Les objectifs intermédiaires, ça va permettre de garder la motivation sur la route du changement. Et ensuite, par rapport à ça, on va définir un plan d'action, des actions avec une estimation du délai. Par exemple, si votre objectif c'est de vous reconvertir, vous allez peut-être faire un bilan, alors un bilan de compétences ou un bilan... En tout cas, de où vous en êtes aujourd'hui, de ce que vous aimeriez, vous allez identifier les options. Qu'est-ce qui vous conviendrait le plus ? Vous allez choisir une option. Vous allez rechercher peut-être des formations. Généralement, une reconversion, on a besoin de se former. Vous allez rechercher peut-être des financements, si vous en avez le droit. Vous avez le droit des financements. Peut-être la manière, comment vous allez gérer votre départ de l'entreprise. Est-ce que vous allez poser un congé sabbatique, si vous avez la possibilité ? Est-ce que vous allez faire une rupture conventionnelle, si vous êtes en France par exemple ? Pour avoir le droit au chômage pendant que vous créez une entreprise ou pendant que vous changez ? Voilà, vous allez mettre en place un certain nombre d'actions. D'accord ? Ça, c'est les grosses actions. Et après, vous allez les définir dans le temps. Pour quelque chose de moins, j'allais dire, moins long, l'écriture d'un livre. Je vous donne cet exemple parce que je l'ai fait et qu'à la base, souvent, mes amis me disent Écrire un livre, c'est beaucoup de travail, moi je n'y arriverais pas. Pour l'avoir fait, je pensais que c'était quelque chose de difficile, ça c'est sûr. Maintenant, après coup, je me dis que oui c'est difficile, mais quand on met en place une organisation et on définit des actions dans le temps, finalement c'est un projet comme un autre. C'est-à-dire qu'il y a un choix du thème, il y a la réduction du plan. Pour moi, il y avait un choix d'outils d'écriture, une définition d'organisation, c'est-à-dire quel créneau je vais pouvoir accorder selon ma vie d'aujourd'hui, combien de temps, par jour, par semaine, est-ce que c'est organisé par nombre de mots ou de durée. Moi, par exemple, je me suis organisé, j'ai pris tous les matins pendant deux mois. que j'ai réservé spécifiquement pour l'écriture de la première version du livre. Ça fait pas mal de temps, bien entendu, et je pouvais le faire parce que je suis indépendant. Je faisais mes coachings l'après-midi, par la suite. Mais j'ai eu cette... Voilà, c'était une priorisation. Tous les matins, pendant deux mois, j'ai écrit. Et j'avais pas donc une organisation avec un nombre de mots, il y a des auteurs qui le font. C'était une organisation en nombre de... en temps, en durée. Je me disais, j'écris. Et je vois, peut-être que ça va être 600 mots, peut-être que ça va être 2500 mots ce matin. Et j'avais un outil d'écriture d'ailleurs qui me permettait de voir jour après jour l'évolution par rapport à mon objectif cible qui était d'écrire 60 000 mots pour le manuscrit final. D'accord ? Donc c'est une organisation, ça fait partie des étapes. On s'organise, on réfléchit et on voit comment on travaille. Et après c'est l'écriture. On a défini une organisation, on se met dans l'action en fait, on écrit. Et là ça demande plus. une habitude de vie. Moi, c'était tous les matins, comme je vous disais, pendant deux mois. Ça demande, bien sûr, une régularité. Mais lorsqu'on sait ce que l'on veut, cette régularité, elle vient lorsqu'on garde l'objectif en tête. C'est important de garder en tête l'objectif final. Et pour moi, l'objectif, il était attractif, c'est-à-dire écrire un livre qui ait de l'impact, un livre sérieux, professionnel, qui réconforte les gens, suite à cet événement difficile qu'est la rupture. et qui soit la synthèse de mes huit ans d'expérience à ce moment-là, quand je l'ai écrit, mes huit ans d'expérience dans le domaine de l'accompagnement sur le domaine de la rupture amoureuse. Ensuite, une fois que tout ça c'est écrit, on a le manuscrit, on va faire le choix, enfin on peut le faire en amont, mais on peut faire le choix de l'édition ou de l'auto-édition, de proposer, de chercher un éditeur ou pas. Et après, si on est en auto-édition, il y a toute la partie promotion livre, même quand on est d'ailleurs en édition, etc. D'accord ? Donc c'est un ensemble d'actions qu'on va mettre en place. Une fois qu'on les a définies, on a mis des délais. C'est beaucoup plus simple, il suffit de suivre, de dérouler le plan d'action. Alors rêver c'est bien, concrétiser notre rêve c'est encore mieux. C'est pour cette raison que l'on doit agir. Agir de quelle manière ? Tout d'abord faire le premier pas, la première petite action qui va enclencher l'effet domino, qui va nous donner de l'élan. Lorsqu'on a un projet, lorsqu'on a pas mal de choses à réaliser, à mettre en place, j'ai donné l'exemple de la reconversion ou de l'écriture d'un livre, on va se focaliser uniquement sur l'étape en cours, on va y aller étape par étape. Parce que si on pense à l'ensemble des actions à accomplir, eh bien on va se démotiver, on risque d'abandonner. C'est un peu comme si on doit gravir une montagne, si on la regarde comme ça, on fait oh là là, oh non mais c'est trop, je vais jamais y arriver Alors que si on y va... On fait 4, 5, 6 heures par jour à notre rythme. On fait des pauses, on se repose. Chaque jour, on monte, on monte, on monte, on monte. À un moment donné, on va arriver en haut de cette montagne. D'accord ? Bien entendu, sur la route, il faudra garder le rythme et la motivation. Alors, on ne naît pas avec une motivation intrinsèque forte. Enfin, tout le monde n'a pas cette motivation forte. Ce qui va nous aider, il y aura plusieurs choses. Tout d'abord, c'est une organisation. Une organisation au service de notre objectif. Et une gestion du temps, parce que chacun, on a tous, un, un objectif ou un projet différent. Deux, on a une vie différente. On a chacun des contraintes, un certain nombre d'heures disponibles dans la journée. On a peut-être des enfants, pas d'enfants, etc. D'accord ? Donc selon ça, on va s'organiser d'une manière ou d'une autre. pour réussir à atteindre notre destination cible dans le délai imparti, tout en prenant en considération les circonstances de notre vie. Bien entendu, selon les circonstances que l'on a, on a plus ou moins de latitude, mais on aura toujours de la latitude, on a toujours des possibilités pour se libérer par exemple des créneaux horaires. Ensuite, ce qui va nous permettre de garder cette motivation, c'est de garder à l'esprit notre objectif. final. Garder à l'esprit le résultat que l'on attend à la fin. À la fin, lorsque je vais terminer tout ça, lorsque je vais me reconvertir, je serai, voilà ce que j'aurai, voilà ce que je ferai, voilà le sens que j'aurai dans ma vie. D'accord ? On va visualiser ça, on va le garder à l'esprit et ça va nous donner envie. Bien entendu, ce qui sert également c'est le support de notre entourage. Alors si on n'en a pas, c'est dommage. Mais il y a toujours quand même je l'espère, quelqu'un qui va vous aider, qui va vous dire super, continue, c'est super ce que tu fais. Ou qui va nous écouter lorsqu'on rencontre quelques petits soucis éventuellement, juste pour en discuter. Le fait de se sentir entouré, c'est ce qui permet plus facilement de tenir le coup. Si on n'a pas le choix, tant pis, on peut y arriver aussi. On ne va pas ne rien faire parce qu'on n'a personne pour nous supporter. Mais c'est forcément plus facile lorsqu'on a des gens autour. qui nous encourage. Et bien entendu, en termes de support, la motivation et le support de quelqu'un d'externe, un professionnel comme un coach, forcément que ça fait la différence. Non seulement en termes de motivation et support, mais également en termes d'organisation, gestion du temps, en termes de définition du chemin à suivre. Ça va vous permettre de structurer votre fondation, votre chemin, surtout d'aller apporter de la clarté. Je n'en ai pas parlé au début, mais... Rien que pour définir votre cible, la destination que vous souhaitez, de quelle manière, d'apporter de la clarté, d'aller chercher en vous, forcément que ça fait la différence par rapport au fait d'être seul. Déjà parce qu'on n'a pas un chemin et une structure, un process à suivre lorsqu'on est seul. Et il y a aussi quelque chose qu'il faut savoir, c'est que dans notre vie, on a toujours ce qu'on appelle l'angle mort, comme en conduite. Cet angle mort, il y a des choses qu'on ne voit pas. Et généralement, c'est en nous qu'on ne les voit pas. ça peut être des dangers externes mais généralement il y a des choses en nous qu'on ne voit pas. Par exemple un auto-sabotage, ça souvent on ne le voit pas. On ne sait pas qu'on se sabote. Donc on a besoin d'un point de vue externe, ça peut être un ami qui voit des choses, qui nous connaît très bien ou ça peut être un coach. Et bien entendu, comme je le disais au tout début de cette masterclass, on a défini une route mais il y aura des imprévus. Et ce n'est pas grave. ça fait partie du chemin, il y aura des sinon ce serait trop facile encore que je pense qu'il y a moyen d'avoir des objectifs de vie sans avoir de d'imprévus, pourquoi pas, c'est possible mais il peut y avoir des imprévus il faut s'y attendre c'est pas grave, ça fait partie du chemin et on va s'adapter à ces imprévus on va y réfléchir, on va trouver des options et des solutions, mais de toute façon ce qu'il faut comprendre c'est que prendre notre vie en main ou pas dans votre vie, vous avez les imprévus Et qu'est-ce que vous faites quand vous avez des imprévus ? Eh bien, vous vous adaptez. Ok ? Donc ça fait partie déjà de votre vie. On va le voir de manière négative. Alors, cette partie-là est très importante. Ça va faire la différence entre les personnes qui vont réussir, et qui vont se lancer, qui vont réussir, et celles qui soit vont pas se lancer, soit vont se lancer mais vont échouer. Sachant que l'échec n'est pas rédhibitoire en soi tant qu'on s'accroche et qu'on teste des choses. Il y a un état d'esprit qui est nécessaire à la réussite et au fait de se prendre en main. Et ce sont vraiment des valeurs, même, indispensables pour prendre sa vie en main. Tout d'abord, il y a une notion de proactivité. La proactivité, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que... Je décide de ce que je veux. Je décide de ce que je veux dans ma vie. Amicalement. en termes de famille, en termes professionnels, en termes d'amoureux. Je décide de ce que je veux. Alors je peux accepter des concessions, bien entendu. L'homme parfait, la femme parfaite n'existent pas, peut-être le beau parfait n'existe pas, encore que. Mais je décide où je veux aller. Je l'ai défini. Et je prends des décisions qui vont m'amener vers ça, le plus possible. Ça vient s'opposer, ce concept de proactivité. à ce qu'on appelle la réactivité. La réactivité, ça veut dire que je ne décide de rien, mais je me laisse diriger par les circonstances externes. J'ai fait des études par défaut parce que je ne sais pas trop quoi faire, ou parce que je pourrais faire plaisir à mes parents. Je suis arrivé dans mon boulot, on me dit ce que je dois faire, bon je fais, bon des fois j'ai quelques idées, mais je me laisse aller et puis ça ne me plaît pas trop, mais je vais rester, j'attends qu'on me vire, ou qu'il se passe du changement, mais que je ne vais pas choisir moi en fait. Je ne vais pas choisir, je vais me laisser aller. Je vais me laisser porter par le courant. Ça peut être sympa des fois, se laisser porter. Mais parfois, il faut aussi, lorsque surtout on est dans un boulot, ou une relation, ou une situation qui ne nous plaît pas, qui ne nous convient pas, ou sur laquelle on n'est pas aligné, décider de choses. La réactivité, c'est aussi être un figurant dans la vie des autres. C'est les autres qui vont décider pour moi. C'est les autres qui vont me choisir. C'est les autres qui vont décider un peu de ce que sera le courant. De temps en temps, je prendrais des décisions, mais généralement, je réagis par rapport à ce qui m'arrive. Je suis en mode de réaction. Ça demande également une valeur qui s'appelle la responsabilité. Je l'ai évoqué un petit peu au début de la masterclass. Je suis responsable de mes choix et j'assume mes choix. J'assume les choix que je ne fais pas non plus. Je suis responsable de tout ça et de ma condition aujourd'hui. Parce que ma vie aujourd'hui, ma vie est le résultat de l'ensemble de mes choix passés. Et ça, je veux vraiment que vous le reteniez, quitte à mettre en pause la vidéo dans un instant, de bien comprendre que votre vie, c'est la conséquence de tous Ausha et toutes vos absences de choix, même, je dirais. OK ? Ausha de partenaire, Ausha de boulot, Ausha de formation. Ausha de rester dans une situation qui n'est pas bonne pour vous, où vous ne vous respectez pas, Ausha où vous prenez en main et vous bougez pour changer les choses, le résultat, la conséquence, elle peut être positive ou négative. Alors oui, on ne contrôle pas tout dans notre vie, on est aussi tributaire du choix des autres, mais majoritairement, votre vie est le résultat de l'ensemble de Ausha passés. Et de vos comportements, on parle de choix, mais aussi de vos comportements. Si vous vous comportez comme un égoïste dans votre couple, il y a fort à parier qu'à un moment donné, la personne va peut-être vous quitter pour aller voir quelqu'un d'autre. Si vous restez avec quelqu'un que vous n'aimez plus, il y a fort à parier à un moment donné que cette personne peut-être trouvera quelqu'un qui l'aimera et vous quittera. Donc c'est aussi lié à vos comportements. Je parle de choix, mais c'est aussi de vos comportements. C'est important de le comprendre, de prendre conscience. L'état d'esprit pour réussir, c'est également... Une valeur d'autonomie. C'est quoi l'autonomie ? C'est que je n'ai pas besoin d'être sauvé par quelqu'un. Je peux me sauver tout seul ou toute seule. Je peux être aidé sur la route. L'entraide, ça existe, et bien heureusement, ça existe. On peut avoir quelqu'un qui nous file un petit coup de pouce. Ou vous pouvez filer un petit coup de pouce à quelqu'un. L'entraide, c'est important. Mais vous n'avez pas besoin d'être sauvé. Il y a une différence entre un petit coup de pouce... Un petit conseil, une petite épaule pour se réconforter quand on a une petite baisse de morale, mais vous n'avez pas besoin d'être sauvé. Par exemple, votre partenaire ou votre partenaire n'est pas une béquille, d'accord ? C'est un compagnon de route, une partenaire de route, mais ce n'est pas une béquille. Ce n'est pas là pour vous compenser vos lacunes, ok ? Vous n'êtes plus un enfant non plus. Vous êtes un ou une adulte, vous prenez en charge, ce ne sont pas vos parents qui vont s'occuper de vous comme un enfant. Et vous êtes capable de vivre seul, c'est ça l'autonomie. Vous êtes capable d'être célibataire, vous êtes capable d'être seul. Le temps de peut-être trouver l'amour. Vous êtes autonome. Vous devez chercher l'autonomie dans votre vie, pour ne pas dépendre de quelqu'un. Et bien sûr, l'état d'esprit nécessaire, ça demande également du courage, du courage pour passer à l'action. Vous pouvez être courageux, il suffit de prendre la décision de passer à l'action. Ça ne veut rien dire de ne pas être courageux, c'est comme ne pas avoir confiance en soi. Vous pouvez y arriver. Il faut juste prendre votre courage à deux mains. Vous allez voir que vous êtes capable de passer à l'action, de faire des choses, ça va vous donner de la confiance et vous serez capable d'aller encore plus loin. Ça va vous demander du courage pour vous lancer, prendre des décisions fortes, difficiles pour sortir de votre zone de confort, et ça va vous demander également de la persévérance. Parce que d'abord on se lance, mais après il faut tenir le long de la route. De la persévérance lorsque les projets, notamment, sont longs et ambitieux. Mais pas seulement. Ça peut être par exemple, vous avez quitté un ex, quitté quelqu'un qui vous parlait mal, qui vous rabaissait. Vous savez que c'est quelqu'un qui est toxique pour vous. Vous avez pris votre vie en main, vous l'avez quitté. Vous avez procédé à des actions dans votre vie. Vous avez essayé de recréer un sac social. Vous avez des activités. Vous cherchez l'autonomie. Mais cet ex vous rappelle. Et là, vous avez le choix entre revenir ou ne pas revenir. Et c'est là où il va falloir être fort, courageux, courageuse et être persévérant. De vous rappeler pourquoi vous le faites, quels sont les avantages et inconvénients à revenir en arrière. Vous avez le choix de revenir en arrière, vous devez simplement assumer les conséquences. Donc vous le voyez, on n'a pas besoin d'avoir... un long projet, une reconversion, je ne sais quoi, même pour des choses, je vais dire simple, de quitter quelqu'un ou de revenir avec un ex, prendre sa vie en main, ça implique des décisions et des choix qui ne sont pas forcément faciles, mais qui seront bons pour vous. Ça veut dire réfléchir, prendre des décisions en conscience. C'est pour ça que je parle d'état d'esprit. Il y a un état d'esprit qui est bon pour vous, qui va vous permettre d'y aller. Si vous répondez, si vous suivez cet état d'esprit, ces valeurs de proactivité, de responsabilité, d'autonomie, de courage et de persévérance, vous y arriverez. Il n'y a aucune raison que vous n'y arrivez pas. Aucune. Vous l'aurez compris, sur la route, d'après la photo, il y aura des obstacles. Des obstacles qui vont vous freiner pour prendre votre vie en main. Et on va le voir. La majorité des obstacles sont internes. Il y a un seul obstacle externe, c'est peut-être pas exhaustif, c'est ce qu'on appelle l'environnement, l'entourage. Votre environnement, c'est ce qu'on peut dire, c'est un obstacle externe. Tout le reste est interne. Les croyances limitantes, les remords et les regrets, le renoncement aux efforts, les peurs et le manque de confiance en soi. Et vous allez le voir, on va trouver des solutions. On est là pour ça. L'entourage. Elles ont l'air sympathiques, ces filles. Nous sommes la moyenne des cinq personnes que nous côtoyons le plus. Qu'est-ce que ça veut dire ? C'est un entrepreneur, Jim Rohn, qui a écrit ça. Nous sommes la moyenne des cinq personnes que nous côtoyons le plus. Réfléchissez aux personnes autour de vous. Les cinq personnes les plus proches. À quoi ressemblent-elles ? Est-ce qu'elles sont plutôt des personnes négatives, pessimistes, passives ? Est-ce qu'elles sont actives, dynamiques, positives ? Est-ce que ce sont des salariés, des entrepreneurs, des entrepreneuses ? Quels sont leurs profils ? Quel est leur état d'esprit ? Est-ce qu'elles pensent que se bouger c'est dur ? Ou est-ce qu'elles se bougent dans leur vie ? Et faites le parallèle entre ces personnes que vous voyez le plus, ça peut être des gens de votre famille, des amis. des collègues, encore que ça a moins d'impact, mais on ne sait jamais, et vous-même, et votre vie, et votre état d'esprit. Alors vous n'êtes pas à l'identique des gens que vous côtoyez, mais si vous y réfléchissez bien, il y a un lien. Et d'ailleurs, souvent, la famille, puisqu'on a quand même été éduqué dans notre famille, et on verra tout à l'heure sur les croyances limitantes l'impact que ça a sur nous. Nous sommes influencés par notre entourage proche, puisque ce sont les personnes avec qui on va interagir de manière régulière. Et on va hériter de leurs limites, de leurs croyances, elles vont nous influencer. On va hériter de l'état d'esprit, les croyances limitantes, de leur mode peut-être d'alimentation, de leurs habitudes de vie, de leur façon de voir la vie. C'est bien important d'en prendre conscience. Nos proches, souvent d'ailleurs nos amis, enfin notre famille, mais ça peut être nos amis, vont projeter également nos peurs, leurs peurs sur nous, qui vont nous limiter. Quoi ? Tu vas quitter ton travail stable de salarié pour te lancer dans une activité thérapeute ? Mais si ça ne marche pas, tu es fou, tu es folle. Mais pourquoi tu fais ça ? Quoi mais t'es fonctionnaire, tu vas quitter tout ce que t'as, tout tes avantages ? Pour une instabilité ? Quoi ? Mais tu vas tout reprendre à zéro alors que tu as mis 15 ans à construire ce que tu as ? Forcément qu'ils vont vous faire douter. Ils vont projeter leur peur et leurs limites sur vous. Il va falloir être fort pour résister. Et pour prendre votre envol. Et pour vous écouter. Tout ça pour dire qu'il y a des personnes autour de vous qui vont vous limiter, qui vont vous tirer parfois vers le bas. Que devez-vous faire ? Décidez par vous-même et pour vous-même. Les autres font ce qu'ils veulent, vous devez faire ce que vous voulez. Ça, ça demande de la proactivité. Vous devez prendre conscience des personnes qui ont une influence négative autour de vous. Vous allez peut-être devoir vous éloigner, au moins voir certaines personnes. Ou être fort. Pour dire, je sors, mais je sais à combien je me limite. Et c'est ma décision. Et je n'irai pas plus loin. Vous allez peut-être modifier votre cercle social, vos habitudes de vie, pour vous rapprocher de gens qui ont des habitudes, une vie qui ressemble à celle que vous voulez mener. Vous voulez une vie active et positive ? Entourez-vous de gens dynamiques. Tout simplement. Ça ne va pas se faire du jour au lendemain, mais vous saurez où aller les trouver ces personnes-là. Ces personnes qui vont faire du sport, qui se prennent en main. Par exemple, si vous vous entourez de personnes qui ont l'état d'esprit recherché. Je disais des gens dynamiques qui vont faire du sport, des gens qui sont inscrits dans un groupe de runners et qui courent le dimanche matin ensemble. Par exemple, entourez-vous de gens qui ont la dynamique que vous recherchez. Moi, dans mon domaine, par exemple, j'ai besoin de l'état d'esprit des entrepreneurs. C'est un état d'esprit très dynamique, il demande beaucoup d'énergie. On a des problématiques communes. Je vous parlais tout à l'heure de la solitude de l'entrepreneur. C'est une problématique qu'on connaît tous. Il y a des hauts et des bas, ce n'est pas facile. Donc, en échangeant, en s'entourant de personnes qui sont proches de nous, on va pouvoir se comprendre, on va pouvoir se motiver. On sait de quoi on parle, on est dans le même domaine. Même si on n'est pas tous coachs, on peut être coach, thérapeute, prof ou voilà. En tout cas, on partage des valeurs communes déjà, et on a besoin d'un état d'esprit qui est commun. Et on a souvent des problématiques communes à partager. Vous devez également ne pas vous laisser, je parlais tout à l'heure de l'influence des proches, à l'inverse, vous laisser influencer par les réseaux sociaux et magazines. Ça veut dire quoi ? À l'inverse de nos proches qui parfois nous limitent dans ce qu'on peut faire, On va avoir les réseaux sociaux et les magazines qui vont nous inciter à avoir une meilleure vie, mais en nous vendant du rêve quelque part. Les réseaux sociaux vont vendre une vie de rêve sans vous montrer les côtés négatifs ou difficiles, comme si c'était facile. Les magazines vont vous vendre un corps de rêve comme si c'était simple, encore que avec un bon plan d'action et de la persévérance et un entourage ou un coach, on peut y arriver bien entendu, mais vont vous vendre un type de corps qui n'est peut-être pas votre objectif. Vous n'avez pas forcément besoin d'être maigre. Peut-être que vous avez besoin d'une alimentation plus équilibrée, de toute façon tout le monde en a besoin, plus saine, plus équilibrée, d'un rythme de faire du sport, tout le monde en a besoin pour avoir une bonne hygiène de vie. Et ça déjà c'est déjà bien. Mais ne vous basez pas sur les magazines et les réseaux sociaux, basez-vous sur ce qui est bon pour vous. D'accord ? Et c'est pour ça que je parlais tout à l'heure de réflexion et de prendre des bonnes décisions. Qu'est-ce qui est bon pour vous ? Bien sûr qu'une alimentation saine, c'est meilleur pour vous que faire n'importe quoi et faire des régimes chaque année, juste avant les vacances. Là, il y a un déséquilibre. Bien sûr que faire du sport, c'est bon pour vous. De commencer petit et de progresser au fur et à mesure pour vous construire un corps dans lequel vous êtes en bonne santé, vous aurez moins de problèmes. plus tard, vous aurez plus de souplesse, vous vous ferez moins mal, si vous y allez doucement, bien sûr, selon votre physique, selon votre âge. Ça, c'est bon pour vous. Votre santé, votre corps, il va se dessiner grâce à ces choix, non pas pour un objectif d'être maigre ou quoi. de perdre du poids pour perdre du poids, mais tout simplement parce que vous savez que c'est bon pour vous. Vous voyez la différence ? C'est une conséquence. C'est comme tout à l'heure, quand je vous parlais de la conséquence de trouver l'amour. Vous savez ce qui est bon pour vous, vous faites des choses, vous mettez en place des choses dans votre vie, et vous allez récolter les fruits de ce que vous mettez en place, les graines que vous allez mettre en place. Trouvez l'amour, un amour sain, durable. Avoir un joli corps, c'est une conséquence. Alors vous pouvez le choisir en objectif, enfin pas pour trouver l'amour, mais avoir une bonne hygiène de vie. Et ça veut dire quoi ? Ça veut dire que vous allez devoir vous écouter. Écoutez ce que vous, vous voulez. Pas vos parents, pas vos amis, pas vos collègues, pas les réseaux sociaux, pas les magazines. Vous, qu'est-ce que vous voulez vraiment ? Qu'est-ce qui est bon pour vous ? Ma nièce, qui est mère de trois enfants, était responsable chez H&M. Elle avait un bon poste, des responsabilités. Bon, elle était très stressée quand même, elle avait beaucoup de travail. Et elle a décidé, j'étais surpris, de se reconvertir à l'hypnothérapie. Alors, à ses tout débuts, elle sort de formation, elle a créé son site internet, elle se lance, je lui donne des conseils d'ailleurs, pour trouver ses clients. Mais lorsque j'ai parlé avec elle, j'ai vu quelqu'un... qui se redécouvrait, quelqu'un qui était dans une belle énergie, qui était heureux, qui s'est dit Je me suis redécouvert, je suis heureuse, c'est une explosion de joie. Vraiment, vous voyez, elle savait qu'aujourd'hui, c'est ce qu'elle voulait. Alors oui, il va y avoir des difficultés sur la route, il faudra trouver des clients, il faudra en vivre, etc. Oui. Mais elle sait qu'elle a sa place et elle se sent bien. Ok ? Et c'est ça qui est beau à voir. Et là, je vous donne cet exemple parce que je vous parle de s'écouter. Parce que si on écoute... Alors, elle n'a pas été limitée, je pense. Je ne vais pas discuter avec elle par ses parents ou quoi. Mais elle aurait pu... Les gens autour d'elle auraient pu lui dire Mais tu es folle, tu as trois enfants. Tu te reconvertis. Alors, tu avais un emploi stable, etc. On peut dire Mais c'est de la folie. Tu te rends compte de tous les risques que tu prends. Tu as trois enfants quand même. Bon, il faut savoir qu'on pourrait en avoir discuté avec elle. Elle a appliqué ce que je disais tout à l'heure. Elle a réfléchi, elle a pris sa décision, elle s'est formée, elle a suivi le process. Et elle s'est dit, dans le pire des cas, si dans X années, je n'arrive pas à en vivre, et elle s'est donné une limite de temps et d'argent à avoir, de ce don qu'elle a besoin, avec mon profit, de toute façon, je me retrouverai du travail comme responsable. Donc, il n'y a aucun souci, ce n'est pas grave. Dans le pire des cas, j'accepte. J'accepte de faire un retour arrière. Donc elle est déjà dans son plan B, mais si je n'y arrive pas, eh bien, je sais ce que je ferai. C'est ça le bon état d'esprit. Alors il y a des personnes qui pensent que si je me bouge, si je quitte tout, si je fais ça, si je pars de ma famille, si je quitte le partenaire et que je ne suis pas heureux, je vais devenir égoïste. Non. Enfin si, un petit peu. Forcément que penser à soi, est-ce qu'on peut dire que c'est égoïste de penser à soi ? La définition d'égoïsme, c'est l'attachement excessif, excessif, notez bien, porté à soi-même et à ses intérêts, au mépris des intérêts des autres. On parle bien d'un déséquilibre, qui est d'un côté je suis égoïste, je pense qu'à moi, et de l'autre côté, c'est quoi ? C'est je m'oublie. Et moi, ce que je vous invite à faire, c'est d'aller dans l'équilibre. C'est de ne pas être égoïste. De toute façon, si vous êtes égoïste, vous n'écouterez pas ma remarque. Mais c'est surtout si vous êtes de l'autre côté. Vous pensez trop aux autres et pas assez à vous. Si vous vous oubliez, vous allez devoir devenir pas égoïste, mais être un peu égoïste. Mais on ne va pas utiliser ce mot. On va dire, pensez plus à vous. Être plus équilibré. Écoutez ce que vous voulez accomplir. Qu'est-ce que vous voulez faire ? Vous, pas les autres. Vous, pour vous. Ok ? Alors, maintenant, on passe au deuxième obstacle, ou au troisième, je ne sais plus, les croyances limitantes. Vous les connaissez sans doute maintenant, on en parle partout. Ce sont des choses que l'on croit être vraies et qui nous limitent, et c'est nous qui les croyons. Nous sommes prisonniers de nos croyances. Je n'y arriverai pas. Changer sa vie, c'est trop difficile. Je loupe tout ce que j'entreprends. Je ne dois pas penser à moi. Je dois... me focaliser sur les autres. Moi je ne suis pas important, je ne compte pas quelle erreur. Parce que si vous ne comptez pas et qu'on vous quitte ou qu'on vous licencie, que restera-t-il de vous ? Solutions faire mentir vos croyances. Tout d'abord prendre conscience que vous avez des croyances qui vous limitent. Quelles sont-elles ? D'où viennent-elles ? Comment fonctionnent-elles ? Les déconstruire, démontrer qu'elles sont fausses. Remplacez vos croyances limitantes en croyances positives ou réalistes. Procédez à des actions visant à contredire vos croyances. Vous pensez je n'y arriverai pas ? Transformez ça en je vais essayer et je vais voir de quoi je suis capable Au minimum. Ou je vais y arriver si je m'en donne les moyens. Je préfère celle-ci, bien sûr. Mais si c'est trop dur pour vous, vous pouvez dire, je ne peux pas savoir de quoi je suis capable si je n'essaye pas. C'est plutôt logique quand même, non ? Ensuite, on a les remords et les regrets. C'est quoi ? C'est que c'est des personnes qui ont toujours le regard tourné vers le passé. Mon ex me manque tant. J'aimerais tant revenir dans ma situation passée. Si j'avais fait ça ou cela, ça ne serait pas produit. Pourquoi m'ont-ils licencié après autant d'années d'investissement ? C'est injuste. On parle beaucoup d'injustice. C'est injuste. Après tout ce que je lui ai donné, elle m'a cliqué pour un autre. Après tout ce que j'ai donné pour cette entreprise, ils me traitent comme ça, comme un numéro. Oui, c'est possible, mais ça arrive. Mais qu'est-ce que je vais faire ? Je vais passer ma vie à me plaindre ? Non. Je vais arrêter de regarder dans le rétroviseur. Je vais accepter ce que je ne peux pas changer. Il y a des choses que je ne contrôlerai pas dans ma vie. Ce que veulent les autres, je ne peux pas le contrôler. Je contrôle moi ce que je veux et ce que je peux faire. Ça c'est sûr. Il faut à un moment donné prendre conscience et accepter que la vie est faite de changements. Dans ma vie, je vais connaître des bons et des mauvais moments. Et vous le savez. Des moments où tout va être super, je vais être au top. peut-être professionnellement, dans ma vie amoureuse, j'aurai tout, peut-être tout ce que je veux à un moment donné. Et peut-être qu'à un moment donné, je vais être quitté. Ou peut-être que je vais perdre quelqu'un de cher. Ou peut-être qu'au boulot, je vais avoir un changement de responsable et il va me pourrir la vie. Parce que c'est quelqu'un de toxique et je vais devoir partir. Ou subir, c'est un choix. La vie est faite de bons et de mauvais moments. On ne peut pas contrôler les événements qui vont arriver, mais on peut contrôler comment on va réagir à ces événements. Et on peut surtout définir à la base ce que l'on veut et changer les choses qui nous déplaisent. Dans la vie, on peut soit accompagner le changement, c'est-à-dire les choses qui se produisent. Il y a des choses que nous, on va déjà choisir de faire, les orientations dans notre vie. Et lorsqu'il se passe des choses qui ne nous plaisent pas, on va pouvoir accompagner le changement, s'adapter, ou on peut faire le choix de subir, ça veut dire résister. Mais résister, ça ne marche pas, parce que vous allez souffrir indéfiniment. On ne peut pas changer le passé, mais on peut changer notre futur à travers nos actions au présent. Un autre obstacle, le renoncement aux efforts. On va aller rechercher la facilité généralement. Généralement. C'est-à-dire que c'est plus simple de ne rien faire, c'est plus confortable. Enfin, ça dépend bien sûr des situations. Mais c'est plus simple. Je vous l'ai évoqué en début de masterclass. Il y a beaucoup de personnes qui ont envie de changement, mais qui n'ont pas envie de faire d'efforts. Si vous voulez du changement dans votre vie, Il va falloir vous bouger. Des changements positifs, bien sûr. Parce qu'on n'obtient rien si on ne fait rien. Vous le savez quelque part. Vous avez l'expérience derrière vous, si vous analysez votre vie passée. Et il y a une notion de choix court terme, long terme, versus long terme. Je vous disais tout à l'heure, il y a des choses qui sont plus faciles sur court terme et qui auront un impact négatif sur le long terme, et vice versa. Sur le court terme, c'est plus facile pour moi de ne pas faire attention à mon alimentation, de prendre des desserts systématiquement même si je n'ai plus faim, de rester chez moi le soir quand il pleut l'hiver, regarder la télé plutôt que d'aller faire ma séance de sport ou d'aller au sport. C'est plus facile sur le court terme. Sur le long terme, je ne vais pas avoir la même énergie, je ne vais pas avoir la même dynamique, je ne vais pas avoir la même confiance en moi, la même estime de soi, la même fierté. je ne vais pas avoir le même corps, je ne vais pas avoir la même santé. Donc, forcément que les choix que vous allez faire à court terme, ils peuvent paraître plus difficiles, mais vont être bons pour vous sur le long terme. Ça va dans les deux sens. La solution, oser. Je ne l'ai pas mis, c'est aussi s'autoriser. S'autoriser à bouger, oser affronter la difficulté, sortir de sa zone de confort. Il y a de la fierté à surmonter les difficultés. Lorsqu'on fait preuve de résilience, c'est là où vous êtes le plus fier de vous, ou la plus fière de vous. C'est lorsqu'il y a des choses qui sont difficiles qui vous arrivent, et collé de rester à terre, vous vous relevez. Vous vous relevez, vous vous battez. Vous vous battez contre les obstacles et les difficultés. Vous faites preuve de résilience. C'est là où vous êtes fier de vous. Osez affronter la difficulté, développez la résilience. Ça va vous permettre également d'apprendre à vous connaître, de tester vos capacités. Parce que vous ne savez pas de quoi vous êtes capable si vous ne bougez pas. Si vous êtes dans le confort. Et c'est dommage parce qu'on est capable de beaucoup plus de choses qu'on ne le pense. On ne sait pas de quoi on est capable. C'est lorsqu'on se bouge qu'on passe à l'action qu'on le sait. Prenez-en conscience. Mais bien entendu, on arrive au gros. Au gros obstacle. Un bison sur la route. Bon, généralement, ils n'attaquent pas. Généralement. Les peurs. Il y en a beaucoup des peurs. Alors, il faut savoir qu'on a un cerveau qui est programmé pour éviter le danger. Et c'est un souci parce qu'on a beaucoup de peur, du coup, ça nous a permis de survivre dans le passé. Mais bon, aujourd'hui, on a moins de chances de rencontrer un dinosaure ou je ne sais quel animal dans la jungle, voilà, qui va nous manger. On a un peu plus de confort et moins de danger. Mais on a forcément des peurs, la peur de l'inconnu, la peur de faire le mot échouer, la peur d'échouer, même la peur de réussir, c'est un comble quand même. La peur, je vous l'ai dit, c'est une fonction naturelle de survie de notre espèce, donc elle est fortement ancrée dans notre cerveau. Et du coup, on a développé ce qu'on appelle un biais de négativité. On va surestimer le risque et l'impact du négatif dans la notion de changement, au détriment de tout ce qu'on va gagner dans un changement. Donc on va plus voir quelque chose qu'on perd comme plus important que quelque chose qu'on gagne. Notamment, il y a cette notion d'aversion à la perte. On n'aime pas perdre quelque chose. C'est beaucoup plus important pour nous. On a beaucoup plus peur de perdre quelque chose que de gagner quelque chose. Le poids est beaucoup plus important. Alors forcément, de manière naturelle, on est tous pareils, on va avoir tendance à privilégier le statu quo et le domaine du connu. Que devons-nous faire ? Comprendre nos peurs. Nos peurs, elles sont là pour nous protéger, mais parfois, si on les écoute trop, on ne fait rien. Et si on ne fait rien, il ne se passe rien. Écoutons nos peurs, on va les écouter, on va voir peut-être qu'elles sont bonnes. Peut-être qu'on a une peur qu'il va falloir écouter et suivre. Écouter notre peur, l'accueillir, mais ne pas prendre une décision basée uniquement sur nos peurs. Prendre des décisions en conscience. J'ai pesé le pour et le contre, j'ai analysé. J'ai écouté ma peur, ce qu'elle me disait. Voilà, est-ce que j'y vais ou pas ? Alors maintenant, on va voir quelques peurs. Tout d'abord, la peur de l'inconnu. On se jette un peu dans le vide, mais comme je vous l'ai montré tout à l'heure dans la photo, on n'est pas vraiment dans le vide. On voit un petit peu ce qui se passe, on voit qu'il y a de l'eau, ce n'est pas du béton, on ne va pas voir ça comme du béton. Il y a de l'eau, je plonge, je saute, je peux peut-être faire un splash, mais quand même, je vais pouvoir survivre quand même. Je sais nager si je saute dans l'eau. Je sais nager, voilà, je vais pouvoir m'en sortir. Ce n'est pas vraiment l'inconnu parce que même si je ne connais pas le résultat exact de mes actions, je sais où je vais quand je prends ma vie en main. Si vous suivez tout le process que je vous ai donné au début, vous savez où vous allez. Si vous mettez en place des actions, vous savez où vous allez. Ce n'est pas une ligne droite, il y aura peut-être des imprévus, mais vous savez où vous allez. Donc ce n'est pas vraiment de l'inconnu, c'est plutôt de la nouveauté. Et l'erreur, c'est de croire que ne rien faire, c'est moins dangereux, c'est la sécurité. Alors ouais, on connaît notre situation aujourd'hui. Si je ne fais rien, je sais ce que j'ai aujourd'hui si je ne fais rien. Mais je vous ai donné les exemples tout à l'heure. Si je suis en couple avec quelqu'un que je n'aime pas et qui ne m'aime pas, peut-être qu'à un moment donné, c'est l'autre qui prendra la décision de partir. Ou en tout cas, on peut s'y attendre. La décision que moi, je n'aurais pas prise, c'est l'autre qui la prendra à ma place. Aujourd'hui, on sait ce qu'on a. Mais peut-être que dans 6 mois, 1 an, 2 ans, 3 ans... Cette sécurité qu'on pensait avoir, on ne l'aura pas. La sécurité, ce n'est pas l'inaction. Prenez-en conscience. Je sais que je donne plusieurs fois le même exemple, mais je le vois tellement souvent dans mes accompagnements que c'est devenu une évidence pour moi. La peur de faire le mauvais choix. À vrai dire, le mauvais choix, c'est celui de ne pas vivre sa vie. C'est celui de donner les clés de sa vie à quelqu'un d'autre. C'est être spectateur de sa vie et rester dans la passivité. C'est ça, faire les mauvais choix. La peur du regard de l'autre, des autres. Que penseront-ils ? J'ai fait dix ans d'études pour être avocat, je fous tout en l'air pour être infirmier, infirmière. Ils vont me dire, mais t'es pas cohérent, mais qu'est-ce que tu fais ? Tu fais n'importe quoi. Que penseront-ils ? Et si j'échoue, je me sentirais humilié, je vais avoir honte de moi. Si je quitte mon boulot là, de salarié, et après que je reviens trois ans après, la tête basse parce que j'ai pas réussi à vivre de ma passion, que vont-ils penser ? Je m'en fiche. Je vais me donner les moyens de réussir. Et j'accepte le fait que j'ai un plan B. Si ça ne marche pas, je reviendrai, mais je l'accepte. Et si ça ne plaît pas à mes parents, je m'en fiche. C'est ma vie, ce n'est pas la leur. Ok, ils ont investi en moi, mais je suis un adulte, je suis autonome. Je ne suis plus un enfant. Je prends mes décisions. Ce qui est important, c'est d'assumer ces décisions. Que voulez-vous dans votre vie ? Vous épanouir, vous réaliser, vous aligner, vivre en cohérence avec qui vous êtes ou faire ce que les autres attendent de vous ? C'est ça la question à vous poser. Il faut comprendre quelque chose, c'est vivre pleinement sa vie. Ça veut dire oser déplaire. Parce qu'il y a des gens qui ne seront pas contents. Mais les gens, ce n'est pas vous. La peur de l'échec. L'échec, c'est une vision de l'esprit. Ça veut dire que vous avez essayé quelque chose. Vous avez tenté. Le seul vrai moyen d'échouer, c'est de ne rien faire. Parce que la réussite passe par des tentatives et de possibles échecs. Il y a beaucoup de choses qui peuvent arriver dans la vie. Donc, il y a forcément des moments où ça se passe bien, plus ou moins bien. Et après, il faut s'adapter. Et il faut se battre pour quelque chose. pour une vie que l'on veut. D'accord ? C'est ça qui est important. Mais que disent ceux qui ont échoué ? Que disent-ils ? Michael Jordan, j'ai raté 9000 tirs dans ma carrière, j'ai perdu presque 300 matchs, j'ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c'est pourquoi j'ai réussi. Thomas Edison, je n'ai pas échoué des milliers de fois, j'ai réussi des milliers de tentatives qui n'ont pas réussi. Vous voyez l'angle, la façon de voir les choses. Lorsque vous étiez enfant, vous appreniez à l'âge de 9 mois, 1 an à marcher. Vous avez commencé à vous mettre debout, vous êtes tombé. Vous êtes remis debout, vous êtes tombé. Vous êtes remis debout, vous êtes tombé des centaines de fois. À un moment donné, vous étiez stable. Vous vous aidiez un peu de la table, du canapé pour marcher. Vous avez essayé d'apprendre à marcher et vous êtes tombé. Vous êtes relevé et vous êtes tombé. vous êtes tombé, vous êtes relevé. Peut-être des centaines, je ne sais pas si des milliers de fois. Allez, on va dire des centaines de fois, je pense. Ça, c'est sûr. Si vous étiez arrêté à votre première tentative, si vous n'avez pas essayé de vous lever, de vous mettre debout, vous ne seriez pas les êtres humains que vous êtes aujourd'hui. L'humain est fait pour se développer, pour s'adapter. On est fait pour grandir. On a ça dans nos gènes, dans notre ADN. Donc, cette notion de tentative pour réussir et d'essayer. Elle fait partie de nous. Il ne faut pas s'arrêter à un échec ou avoir peur de l'échec. Bien sûr, si on rencontre un échec, on peut se poser la question d'analyser l'échec, de comprendre d'où ça vient et qu'est-ce que je dois faire pour changer la donne et réussir la prochaine fois. Bien entendu. Mais je ne vais pas abandonner. Et on va me dire, mais Sandrine, je n'ai pas confiance en moi. Mais qu'est-ce que je fais moi si je n'ai pas confiance en moi ? Eh bien, vous pourrez aller courir dans les jupons de votre maman. Je ne suis pas sûr que ce soit la bonne décision pour vous. Peut-être qu'il y a d'autres possibilités. Et la bonne nouvelle, c'est que si vous n'avez pas confiance en vous, ce n'est pas grave, parce que la confiance, elle vient en se bougeant. En se bougeant, on développe notre confiance en soi. Parce que la confiance, vous n'allez pas la développer dans votre canapé en lisant un livre. Vous n'allez pas la développer en regardant YouTube, ou je ne sais quel autre réseau social. Mais la confiance... Elle vient uniquement en essayant des choses, en procédant à des actions. Ça se développe, bien heureusement. Et plus vous allez entreprendre des choses, plus vous allez gagner en confiance. Si vous y prenez de la bonne manière, vous suivez le process, vous posez les bonnes questions, que vous analysez vos échecs, etc. La question que je vous pose aujourd'hui, c'est de quoi êtes-vous réellement capable ? La majorité des gens que je rencontre ne savent pas de quoi elles sont capables. Quand elles arrivent en accompagnement, au début de l'accompagnement, elles ne savent pas. Tant qu'elles ne se sont pas données les moyens, fixés un objectif, tant qu'elles ne se sont pas recentrées, qu'elles n'ont pas pris ce recul, qu'elles n'ont pas travaillé sur elles pour comprendre, un, qu'est-ce que je veux dans ma vie, qu'est-ce que je décide, et qu'elles se soient bougées pour y arriver, elles ne peuvent pas savoir de quoi elles sont capables. On ne peut pas connaître ses limites et la vie consiste à essayer des choses, à essayer pour trouver la bonne voie de ce qu'on aime, de ce qu'on n'aime pas. Un peu comme quand on est enfant et au fur et à mesure, il y a l'alimentation diversifiée, on essaye des choses jusqu'à ce qu'on aime. Bon, souvent les enfants n'aiment pas grand-chose, mais c'est peut-être pas le bon exemple. Mais d'accord, c'est d'essayer des choses. Et tout le long de notre vie, on va bifurquer. Il y a quelque chose qu'on va aimer faire en termes de travail. Peut-être qu'à un moment donné, on n'aimera plus, on voudra autre chose, on sera attiré par autre chose. Jusqu'à, au fur et à mesure, s'aligner, apprendre à se connaître de plus en plus. C'est ça le développement personnel. C'est un travail de connaissance de soi et de développement, mais il y a la connaissance de soi à la base. On ne peut pas se développer si on n'apprend pas à se connaître d'abord. On apprend à se connaître, qui on est, on essaye des choses, on va dans la bonne direction. Peut-être qu'on ne connaît pas la destination finale, peut-être qu'on a une idée de ce qu'on aimerait. On va aller vers cette Ausha, on va l'explorer. On va l'explorer, on peut bifurquer, on peut corriger, adapter notre trajectoire. Mais on va vers quelque chose qu'on pense qui est bon pour nous, et sur lequel on sera en cohérence, aligné, une vie d'épanouissement. de recherche de soi, de développement de soi. C'est ça vivre sa vie et c'est ça prendre sa vie en main. Ça nécessite ses actions, ses réflexions, ses actions pour mettre en place. Alors, sortez de votre zone de confort, mettez-vous en mouvement, affrontez vos peurs, donnez-vous les moyens de réussir, épanouissez-vous sur le chemin et vivez enfin la vie que vous souhaitez. Voilà, c'est vraiment le message que je voulais vous donner aujourd'hui. À travers cette masterclass, à travers tous ces conseils, parfois je me suis répété, je le sais, mais ce n'est pas gênant pour moi, je pense que c'est important de se répéter pour ancrer le message. La transformation, une vie heureuse, il y aura forcément des hauts et des bas, mais ce sera beaucoup plus facile si c'est vous qui menez les manettes de votre vie. Si, je dis bien si, vous avez envie de transformer quelque chose chez vous. Vous avez envie d'aller plus loin, de prendre vos yeux aux mains, de donner un nouvel élan à votre vie. Je peux vous aider à travers mes programmes d'accompagnement. Vous verrez qu'il y en a plusieurs. Vous verrez également que ce sont des programmes qui sont sur le long terme. Je ne fais pas de séance de coaching individuel unitaire, parce que pour moi, une transformation, ce n'est pas en une heure qu'on va la faire. Donc ce que je propose, c'est que vous lisez les... pages, la page du programme d'accompagnement qui vous intéresse. Vous lisez attentivement si ça vous parle ou pas. Vous pouvez réserver un appel pour qu'on discute ensemble de votre projet, de ce que vous aimeriez et de décider par la suite si vous avez envie de partir avec moi ou pas dans cette belle aventure. Ça n'engage en rien l'appel téléphonique, il est gratuit. Je ne vous en dis pas plus. Allez regarder tranquillement si vous en avez envie, bien entendu. Sinon... Vous pouvez toujours aller sur mon site internet. Si vous n'êtes pas abonné à ma newsletter, à mes emails, inscrivez-vous à travers mes guides gratuits, les formulaires que je propose sur mon site, sur mes articles. Vous pourrez vous inscrire. Ça vous permettra de recevoir mes articles, mes podcasts, mes vidéos. Ça vous permettra également de recevoir des invitations pour mes conférences. Si vous avez envie de conseils de développement personnel pour vivre une vie plus épanouie. Ok ? Si vous avez des questions, vous pouvez toujours m'envoyer un message, un email à l'adresse sandrino-at-reossir-sur-relation.com Vous trouverez le contact sur mon site internet. Si vous êtes abonné à mes emails, vous savez où m'écrire. C'est tout ce que j'avais à vous dire aujourd'hui. J'espère dans tous les cas que vous venez en accompagnement ou pas, que vous vous inscriviez ou pas à mon site, qu'elle vous a plu, cette masseur classe, que ça vous a motivé à vous bouger. que ça vous a donné des prises de conscience, même si vous ne prenez pas la décision de passer à l'action aujourd'hui, peut-être que ça va vous motiver à passer à l'action un petit peu plus tard, ce n'est pas grave, c'est déjà quelque chose de gagné pour vous. C'est ça qui est important. Parfois, il faut un peu plus de temps. Certaines personnes vont vouloir bouger tout de suite, d'autres vont avoir besoin de réfléchir un peu plus. Mais ce qui est important, c'est que c'est la petite graine du changement en vous que j'espère avoir semé aujourd'hui pour vivre une vie plus belle, en tout cas sur le chemin. OK ? Si ça vous a plu, donc, vous m'avez un petit message, ça me ferait vraiment plaisir. Voilà, je vous embrasse et je vous dis à très bientôt dans une belle vie épanouie et faite de sens.