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Le bijou comme un bisou

le bijou comme un bisou #82 Black Garden de Karl Mazlo

le bijou comme un bisou #82 Black Garden de Karl Mazlo

32min |30/10/2021
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Description

 Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j’avais envie de vous lire une histoire, alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. 

  

Il était une fois Black Garden de Karl Mazlo 

  

Black Garden est un chef d’œuvre dont la réalisation est à la fois le fruit du croisement de multiples techniques joaillières, l’héritier de la technique du dessin japonais, le Suminagashi, l’aboutissement d’une réflexion innovante sur ce qu’est le bijou en temps qu’objet et en temps que parure et la masterpiece qui a permis Karl Mazlo de devenir LE joaillier Lauréat du Prix d’Excellence de la Main de la fondation Liliane Bettencourt. 

  

Il faut dire que chez les Mazlo, l’originalité, la recherche de la modernité et la volonté de bousculer la joaillerie tout en maîtrisant à la perfection ses savoir faire est plus qu’une habitude c’est un crédo. Je dis les Mazlo parce qu’ils sont 3. Une trilogie qui n’en fait pas une Maison d’héritage parce que ces personnalités si fortes ne sont pas conjugables. Une trinité quand même parce que la même passion les rassemble : faire entrer le bijou dans le contemporain, pour repousser les limites de la joaillerie, tout en gardant le cadre rigoureux de la qualité de réalisation.  

  

Il y a Robert, le père, orfèvre joaillier révolutionnaire, né à Beyrout en 1949 arrivé à paris en 1977 et qui expose dans sa galerie La joaillerie par Mazlo non seulement ses œuvres personnelles mais également nombres d’artistes contemporains qui militent ainsi pour un nouvel esthétisme entre art et artisanat, rassemblant les techniques multiples mais tous militants pour une liberté contemporaine d’un bijou affranchi des codes classiques. 

  

Il y a Max, le fils aîné, militant de la première heure de la CAO, car il considère que cette
modernité des techniques ne peut qu’enrichir les savoir faire joailliers et permettre à la joaillerie de pousser encore plus loin les limites de sa création et non se résumer à une exploitation industrielle qui en abolirait les contraintes. Et en temps que Mazlo qui se respecte, il diffuse cette conception révolutionnaire en évangélisant par l’exemple : il enseigne aux jeunes comme aux professionnels, est à l’initiative du groupe d’entre-aide joaillier sur facebook et organise les apéro-joaillier qui rassemblent les petites mains comme les grands talents dans une cohésion bienveillante dont le secteur n’est pas coutumier.  

  

Et aujourd’hui, je vous présente Karl. Bien entendu, c’est un Mazlo donc son désir est de bousculer le monde du bijou. Comme son père Robert, son aspiration est réinventer en faisant se percuter les techniques. Mais à la suite de sa résidence artistique à la Villa Kujoyama à Kyoto, il mêle aux savoir faire joailliers français les savoir faire ancestraux de l’Asie. Comme son frère Max, il crée des ponts entre les techniques et les personnes. Mais chez lui le dialogue va jusqu'à la fusion des cultures et des traditions. 

  

C’est ainsi qu’il a créé Black Garden, cette pièce unique, où le noir exalte toutes ses couleurs, où le bijou et son écrin sont devenus tableau, où la bague en or aux formes
humainse est sertie d’acier dasmassé et où le bijou est niché à la fois sur une explosion tellurique de pierre brute et un espace reposant de métal dessiné au thé suivant le Suminagashi. 

  


  

Musique : 0 Le Sign, Siddhartha – The Diamond Way  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

 Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j’avais envie de vous lire une histoire, alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. 

  

Il était une fois Black Garden de Karl Mazlo 

  

Black Garden est un chef d’œuvre dont la réalisation est à la fois le fruit du croisement de multiples techniques joaillières, l’héritier de la technique du dessin japonais, le Suminagashi, l’aboutissement d’une réflexion innovante sur ce qu’est le bijou en temps qu’objet et en temps que parure et la masterpiece qui a permis Karl Mazlo de devenir LE joaillier Lauréat du Prix d’Excellence de la Main de la fondation Liliane Bettencourt. 

  

Il faut dire que chez les Mazlo, l’originalité, la recherche de la modernité et la volonté de bousculer la joaillerie tout en maîtrisant à la perfection ses savoir faire est plus qu’une habitude c’est un crédo. Je dis les Mazlo parce qu’ils sont 3. Une trilogie qui n’en fait pas une Maison d’héritage parce que ces personnalités si fortes ne sont pas conjugables. Une trinité quand même parce que la même passion les rassemble : faire entrer le bijou dans le contemporain, pour repousser les limites de la joaillerie, tout en gardant le cadre rigoureux de la qualité de réalisation.  

  

Il y a Robert, le père, orfèvre joaillier révolutionnaire, né à Beyrout en 1949 arrivé à paris en 1977 et qui expose dans sa galerie La joaillerie par Mazlo non seulement ses œuvres personnelles mais également nombres d’artistes contemporains qui militent ainsi pour un nouvel esthétisme entre art et artisanat, rassemblant les techniques multiples mais tous militants pour une liberté contemporaine d’un bijou affranchi des codes classiques. 

  

Il y a Max, le fils aîné, militant de la première heure de la CAO, car il considère que cette
modernité des techniques ne peut qu’enrichir les savoir faire joailliers et permettre à la joaillerie de pousser encore plus loin les limites de sa création et non se résumer à une exploitation industrielle qui en abolirait les contraintes. Et en temps que Mazlo qui se respecte, il diffuse cette conception révolutionnaire en évangélisant par l’exemple : il enseigne aux jeunes comme aux professionnels, est à l’initiative du groupe d’entre-aide joaillier sur facebook et organise les apéro-joaillier qui rassemblent les petites mains comme les grands talents dans une cohésion bienveillante dont le secteur n’est pas coutumier.  

  

Et aujourd’hui, je vous présente Karl. Bien entendu, c’est un Mazlo donc son désir est de bousculer le monde du bijou. Comme son père Robert, son aspiration est réinventer en faisant se percuter les techniques. Mais à la suite de sa résidence artistique à la Villa Kujoyama à Kyoto, il mêle aux savoir faire joailliers français les savoir faire ancestraux de l’Asie. Comme son frère Max, il crée des ponts entre les techniques et les personnes. Mais chez lui le dialogue va jusqu'à la fusion des cultures et des traditions. 

  

C’est ainsi qu’il a créé Black Garden, cette pièce unique, où le noir exalte toutes ses couleurs, où le bijou et son écrin sont devenus tableau, où la bague en or aux formes
humainse est sertie d’acier dasmassé et où le bijou est niché à la fois sur une explosion tellurique de pierre brute et un espace reposant de métal dessiné au thé suivant le Suminagashi. 

  


  

Musique : 0 Le Sign, Siddhartha – The Diamond Way  


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Il était une fois Black Garden de Karl Mazlo 

  

Black Garden est un chef d’œuvre dont la réalisation est à la fois le fruit du croisement de multiples techniques joaillières, l’héritier de la technique du dessin japonais, le Suminagashi, l’aboutissement d’une réflexion innovante sur ce qu’est le bijou en temps qu’objet et en temps que parure et la masterpiece qui a permis Karl Mazlo de devenir LE joaillier Lauréat du Prix d’Excellence de la Main de la fondation Liliane Bettencourt. 

  

Il faut dire que chez les Mazlo, l’originalité, la recherche de la modernité et la volonté de bousculer la joaillerie tout en maîtrisant à la perfection ses savoir faire est plus qu’une habitude c’est un crédo. Je dis les Mazlo parce qu’ils sont 3. Une trilogie qui n’en fait pas une Maison d’héritage parce que ces personnalités si fortes ne sont pas conjugables. Une trinité quand même parce que la même passion les rassemble : faire entrer le bijou dans le contemporain, pour repousser les limites de la joaillerie, tout en gardant le cadre rigoureux de la qualité de réalisation.  

  

Il y a Robert, le père, orfèvre joaillier révolutionnaire, né à Beyrout en 1949 arrivé à paris en 1977 et qui expose dans sa galerie La joaillerie par Mazlo non seulement ses œuvres personnelles mais également nombres d’artistes contemporains qui militent ainsi pour un nouvel esthétisme entre art et artisanat, rassemblant les techniques multiples mais tous militants pour une liberté contemporaine d’un bijou affranchi des codes classiques. 

  

Il y a Max, le fils aîné, militant de la première heure de la CAO, car il considère que cette
modernité des techniques ne peut qu’enrichir les savoir faire joailliers et permettre à la joaillerie de pousser encore plus loin les limites de sa création et non se résumer à une exploitation industrielle qui en abolirait les contraintes. Et en temps que Mazlo qui se respecte, il diffuse cette conception révolutionnaire en évangélisant par l’exemple : il enseigne aux jeunes comme aux professionnels, est à l’initiative du groupe d’entre-aide joaillier sur facebook et organise les apéro-joaillier qui rassemblent les petites mains comme les grands talents dans une cohésion bienveillante dont le secteur n’est pas coutumier.  

  

Et aujourd’hui, je vous présente Karl. Bien entendu, c’est un Mazlo donc son désir est de bousculer le monde du bijou. Comme son père Robert, son aspiration est réinventer en faisant se percuter les techniques. Mais à la suite de sa résidence artistique à la Villa Kujoyama à Kyoto, il mêle aux savoir faire joailliers français les savoir faire ancestraux de l’Asie. Comme son frère Max, il crée des ponts entre les techniques et les personnes. Mais chez lui le dialogue va jusqu'à la fusion des cultures et des traditions. 

  

C’est ainsi qu’il a créé Black Garden, cette pièce unique, où le noir exalte toutes ses couleurs, où le bijou et son écrin sont devenus tableau, où la bague en or aux formes
humainse est sertie d’acier dasmassé et où le bijou est niché à la fois sur une explosion tellurique de pierre brute et un espace reposant de métal dessiné au thé suivant le Suminagashi. 

  


  

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 Parce que chaque semaine qui commence est un nouveau départ, j’avais envie de vous lire une histoire, alors je vous propose le bijou comme un bisou du dimanche soir. 

  

Il était une fois Black Garden de Karl Mazlo 

  

Black Garden est un chef d’œuvre dont la réalisation est à la fois le fruit du croisement de multiples techniques joaillières, l’héritier de la technique du dessin japonais, le Suminagashi, l’aboutissement d’une réflexion innovante sur ce qu’est le bijou en temps qu’objet et en temps que parure et la masterpiece qui a permis Karl Mazlo de devenir LE joaillier Lauréat du Prix d’Excellence de la Main de la fondation Liliane Bettencourt. 

  

Il faut dire que chez les Mazlo, l’originalité, la recherche de la modernité et la volonté de bousculer la joaillerie tout en maîtrisant à la perfection ses savoir faire est plus qu’une habitude c’est un crédo. Je dis les Mazlo parce qu’ils sont 3. Une trilogie qui n’en fait pas une Maison d’héritage parce que ces personnalités si fortes ne sont pas conjugables. Une trinité quand même parce que la même passion les rassemble : faire entrer le bijou dans le contemporain, pour repousser les limites de la joaillerie, tout en gardant le cadre rigoureux de la qualité de réalisation.  

  

Il y a Robert, le père, orfèvre joaillier révolutionnaire, né à Beyrout en 1949 arrivé à paris en 1977 et qui expose dans sa galerie La joaillerie par Mazlo non seulement ses œuvres personnelles mais également nombres d’artistes contemporains qui militent ainsi pour un nouvel esthétisme entre art et artisanat, rassemblant les techniques multiples mais tous militants pour une liberté contemporaine d’un bijou affranchi des codes classiques. 

  

Il y a Max, le fils aîné, militant de la première heure de la CAO, car il considère que cette
modernité des techniques ne peut qu’enrichir les savoir faire joailliers et permettre à la joaillerie de pousser encore plus loin les limites de sa création et non se résumer à une exploitation industrielle qui en abolirait les contraintes. Et en temps que Mazlo qui se respecte, il diffuse cette conception révolutionnaire en évangélisant par l’exemple : il enseigne aux jeunes comme aux professionnels, est à l’initiative du groupe d’entre-aide joaillier sur facebook et organise les apéro-joaillier qui rassemblent les petites mains comme les grands talents dans une cohésion bienveillante dont le secteur n’est pas coutumier.  

  

Et aujourd’hui, je vous présente Karl. Bien entendu, c’est un Mazlo donc son désir est de bousculer le monde du bijou. Comme son père Robert, son aspiration est réinventer en faisant se percuter les techniques. Mais à la suite de sa résidence artistique à la Villa Kujoyama à Kyoto, il mêle aux savoir faire joailliers français les savoir faire ancestraux de l’Asie. Comme son frère Max, il crée des ponts entre les techniques et les personnes. Mais chez lui le dialogue va jusqu'à la fusion des cultures et des traditions. 

  

C’est ainsi qu’il a créé Black Garden, cette pièce unique, où le noir exalte toutes ses couleurs, où le bijou et son écrin sont devenus tableau, où la bague en or aux formes
humainse est sertie d’acier dasmassé et où le bijou est niché à la fois sur une explosion tellurique de pierre brute et un espace reposant de métal dessiné au thé suivant le Suminagashi. 

  


  

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