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01/20 ☀️- Paul Jarvis : Comment gagner 1M$ seul et sans employés [Solo Nation Stories] cover
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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

01/20 ☀️- Paul Jarvis : Comment gagner 1M$ seul et sans employés [Solo Nation Stories]

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05min |04/08/2025
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Description

Un médecin devenu youtuber, un développeur qui encaisse 3 millions sans équipe, une barmaid qui devient reine du coaching…


Dans cette nouvelle mini-série Solo Nation Stories, je te raconte les vraies histoires derrière les succès des plus gros solopreneurs du monde.


Des parcours étonnants, des décisions radicales, et surtout : des stratégies que tu peux adapter à ton business.


Tu découvriras :

👉 Comment Design Joy facture 1M$ par an en freelance sans déléguer

👉 Comment Glucose Goddess a transformé des graphiques scientifiques moches en millions

👉 Comment Sara Blakely a transformé une paire de collants découpée à l’arrache en empire à 1 milliard de dollars
👉 Comment un barbier de rue a conquis les réseaux et rasé Barack Obama
👉 Ou encore comment les Hormozi ont vendu un business 46 millions de dollars… en enjolivant (un peu ?) la réalité...


Des chiffres, des conseils et surtout du carburant pour te motiver et t’aider à réussir en solo.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Solonation Stories, la saga de l'été où je t'emmène en voyage à la rencontre des meilleurs et des pires solopreneurs du monde entier. Je vais te raconter tous leurs secrets mais aussi tous les gossips les plus croustillants. Bah ouais, c'est l'été, on a bien le droit de s'amuser un petit peu. Allez, abonne-toi vite à l'émission pour binger tous les épisodes. Tu connais cette petite voix, celle qui te dit que tu devrais grandir, embaucher, lever des fonds, devenir la prochaine licorne ? Cette voix qui te fait culpabiliser dès que tu refuses une opportunité de croissance ? Et si je te disais que cette petite voix te ment ? Aujourd'hui, je vais te raconter l'histoire d'un solopreneur qui a osé dire non. Non aux investisseurs, non aux employés, non à la croissance infinie, et qui a fini par vendre son entreprise pour partir vivre dans les bois. Cette histoire, c'est le parfait contre-exemple de tout ce qu'on nous rabâche sur l'entrepreneuriat. C'est l'anti-startup nation, c'est l'anti-hustle culture. Et si c'était ça, le vrai futur du business ? Et en plus, c'est un Canadien, ça va nous changer un peu de tous les Américains que je vais te présenter dans cette série. Bienvenue dans l'histoire de Paul Jarvis. Tout commence en 1999. Paul Jarvis est un jeune designer web de 20 ans qui bosse dans une agence à Toronto. Un jour, il en a marre, il démissionne. Mais plot twist, ses clients le suivent. Alors sans l'avoir voulu, il devient freelance. Le truc marrant, c'est qu'il n'avait jamais écrit un devis de sa vie. Il bosse depuis le sous-sol de ses parents sur un PC qu'il a assemblé lui-même. Mais ça ne l'a pas empêché de bosser pour Ausha Lonil Microsoft-Mercedes. Ce début accidentel va forger toute sa philosophie. On peut réussir à sa manière sans forcément suivre le modèle qu'on nous impose. Bon alors, tu me diras, qu'est-ce qu'un freelance qui bosse dans le garage de ses parents peut bien m'apprendre sur le soloprenariat ? Alors Ausha, parce que les chiffres de Paul Jarvis sont assez fous. On commence avec son livre Company of One. Paul y défend une idée révolutionnaire. Une croissance sans limite, c'est un peu comme un cancer, ça finit par tuer son hôte. Le message fait mouche, le livre est traduit en 15 langues et vendu à plus de 100 000 exemplaires. Et même Seth Godin en fait l'éloge. Paul Jarvis nous montre qu'il existe une alternative à la croissance à tout prix. Ce succès n'est que la partie émergée de l'iceberg. Paul a construit un véritable empire du minimalisme entrepreneurial. Premier pilier, ses produits d'information. Sa formation Creative Class génère 400 000 dollars en à peine 18 mois. Il vend des templates, des outils, des ressources et le tout en automatique pendant qu'il dort. Deuxième pilier, encore plus scalable, un logiciel, Phasm Analytics. En 2018, Paul en a marre de voir Google aspirer toutes nos données. Alors avec son pote Jack Ellis, il crée une alternative éthique. Pas de cookies, pas de tracking invasif, juste des stats simples et utiles. L'idée séduit même les géants du web comme Mozilla ou GitHub et en quelques mois, il signe des milliers de clients. Troisième pilier, sa newsletter. 20 000 abonnés ultra fidèles qui dévorent chaque mot. Il monétise via du sponsoring ciblé et des contenus premium. Et cerise sur le gâteau, il se garde quelques missions de consulting, mais attention uniquement des projets qui le passionnent, car comme il dit, le vrai luxe aujourd'hui, c'est de pouvoir dire non. Son génie dans tout ça, chaque brique de son business est construite pour demander le minimum d'énergie. Tout est automatisé, systématisé, et c'est ce qui lui permet de générer des revenus à 7 chiffres, tout en vivant sur son île au milieu des bois. Alors comment on gère un business comme ça en restant tout seul ? Grâce à l'obsession pour les systèmes. Premier hack, l'automatisation totale, on en a parlé. E-mail de vente, pré-programmé, onboarding client automatique, etc. Deuxième hack, plus rare, le minimalisme tech. Pas de stack compliqué, des outils simples mais efficaces, zéro réunion inutile. Comme il le dit, je ne suis pas chirurgien. Si quelque chose attend 24 heures, personne ne va mourir. Paul Gervis devient en fait la coqueluche des solopreneurs du monde entier. D'ailleurs, moi, c'est son livre qui m'a donné envie de choisir ce modèle. Pourtant, en 2020, Paul fait quelque chose de dingue. Au sonnet de sa notoriété avec des dizaines de milliers de followers, il disparaît d'Internet. Comme ça, sans prévenir, il supprime son compte Twitter, son compte Instagram, tous ses articles de blog et sa newsletter historique. La communauté tech est sous le choc. Que s'est-il passé ? Burnout ? Dépression ? Ou pire ? En fait, Paul... En avait juste marre. Marre des trolls, marre de la négativité, marre de devoir être partout, tout le temps, alors fidèle à son précepte, je préfère être riche en temps qu'en argent, il décide de vivre selon ses principes. Si quelque chose ne te rend pas heureux, arrête, même si ça t'apporte de l'argent, même si les autres ne comprennent pas. 2024, Paul vend Phasom Analytics à son co-fondateur et se retire définitivement. Il vit maintenant sur une île isolée au Canada, dans les bois, avec des rats de compagnie. Oui, il est fan de rats. Mais il est parti en nous laissant de sages préceptes en héritage. Il a prouvé qu'on peut réussir en restant petit, gagner bien sa vie sans équipe, privilégier sa santé mentale, dire non à la croissance infinie. Comme il le dit, je préfère un business qui supporte ma vie plutôt qu'une vie qui existe uniquement pour supporter mon business. Allez, ton défi aujourd'hui si tu veux t'inspirer de Paul, calcule ton enough number. C'est le chiffre qui te suffirait pour être vraiment heureux. Pas le chiffre qui impressionnerait les autres, pas le chiffre qui ferait plaisir à ton égo, le vrai chiffre qui te permettrait de vivre ta vie idéale. Cette histoire m'a vraiment fait penser à l'épisode 6 de l'émission Solo Nation. Freelance, solopreneur, startupper, qui a la meilleure vie ? où on débat justement des différents modes de réussite. Je te la recommande si tu veux approfondir et si tu veux trouver la forme d'entrepreneuriat la plus libre pour toi. Et en parlant de travailler moins pour gagner plus, j'ai une offre à te faire. Je t'invite à rejoindre mon incubateur solopreneur. Je te mets toutes les infos en description. Allez, je te donne rendez-vous dans le prochain épisode pour découvrir l'histoire incroyable d'une barmaid qui jonglait entre trois jobs et qui a créé un empire de plusieurs centaines de millions de dollars en apprenant aux autres à suivre leur passion.

Description

Un médecin devenu youtuber, un développeur qui encaisse 3 millions sans équipe, une barmaid qui devient reine du coaching…


Dans cette nouvelle mini-série Solo Nation Stories, je te raconte les vraies histoires derrière les succès des plus gros solopreneurs du monde.


Des parcours étonnants, des décisions radicales, et surtout : des stratégies que tu peux adapter à ton business.


Tu découvriras :

👉 Comment Design Joy facture 1M$ par an en freelance sans déléguer

👉 Comment Glucose Goddess a transformé des graphiques scientifiques moches en millions

👉 Comment Sara Blakely a transformé une paire de collants découpée à l’arrache en empire à 1 milliard de dollars
👉 Comment un barbier de rue a conquis les réseaux et rasé Barack Obama
👉 Ou encore comment les Hormozi ont vendu un business 46 millions de dollars… en enjolivant (un peu ?) la réalité...


Des chiffres, des conseils et surtout du carburant pour te motiver et t’aider à réussir en solo.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Solonation Stories, la saga de l'été où je t'emmène en voyage à la rencontre des meilleurs et des pires solopreneurs du monde entier. Je vais te raconter tous leurs secrets mais aussi tous les gossips les plus croustillants. Bah ouais, c'est l'été, on a bien le droit de s'amuser un petit peu. Allez, abonne-toi vite à l'émission pour binger tous les épisodes. Tu connais cette petite voix, celle qui te dit que tu devrais grandir, embaucher, lever des fonds, devenir la prochaine licorne ? Cette voix qui te fait culpabiliser dès que tu refuses une opportunité de croissance ? Et si je te disais que cette petite voix te ment ? Aujourd'hui, je vais te raconter l'histoire d'un solopreneur qui a osé dire non. Non aux investisseurs, non aux employés, non à la croissance infinie, et qui a fini par vendre son entreprise pour partir vivre dans les bois. Cette histoire, c'est le parfait contre-exemple de tout ce qu'on nous rabâche sur l'entrepreneuriat. C'est l'anti-startup nation, c'est l'anti-hustle culture. Et si c'était ça, le vrai futur du business ? Et en plus, c'est un Canadien, ça va nous changer un peu de tous les Américains que je vais te présenter dans cette série. Bienvenue dans l'histoire de Paul Jarvis. Tout commence en 1999. Paul Jarvis est un jeune designer web de 20 ans qui bosse dans une agence à Toronto. Un jour, il en a marre, il démissionne. Mais plot twist, ses clients le suivent. Alors sans l'avoir voulu, il devient freelance. Le truc marrant, c'est qu'il n'avait jamais écrit un devis de sa vie. Il bosse depuis le sous-sol de ses parents sur un PC qu'il a assemblé lui-même. Mais ça ne l'a pas empêché de bosser pour Ausha Lonil Microsoft-Mercedes. Ce début accidentel va forger toute sa philosophie. On peut réussir à sa manière sans forcément suivre le modèle qu'on nous impose. Bon alors, tu me diras, qu'est-ce qu'un freelance qui bosse dans le garage de ses parents peut bien m'apprendre sur le soloprenariat ? Alors Ausha, parce que les chiffres de Paul Jarvis sont assez fous. On commence avec son livre Company of One. Paul y défend une idée révolutionnaire. Une croissance sans limite, c'est un peu comme un cancer, ça finit par tuer son hôte. Le message fait mouche, le livre est traduit en 15 langues et vendu à plus de 100 000 exemplaires. Et même Seth Godin en fait l'éloge. Paul Jarvis nous montre qu'il existe une alternative à la croissance à tout prix. Ce succès n'est que la partie émergée de l'iceberg. Paul a construit un véritable empire du minimalisme entrepreneurial. Premier pilier, ses produits d'information. Sa formation Creative Class génère 400 000 dollars en à peine 18 mois. Il vend des templates, des outils, des ressources et le tout en automatique pendant qu'il dort. Deuxième pilier, encore plus scalable, un logiciel, Phasm Analytics. En 2018, Paul en a marre de voir Google aspirer toutes nos données. Alors avec son pote Jack Ellis, il crée une alternative éthique. Pas de cookies, pas de tracking invasif, juste des stats simples et utiles. L'idée séduit même les géants du web comme Mozilla ou GitHub et en quelques mois, il signe des milliers de clients. Troisième pilier, sa newsletter. 20 000 abonnés ultra fidèles qui dévorent chaque mot. Il monétise via du sponsoring ciblé et des contenus premium. Et cerise sur le gâteau, il se garde quelques missions de consulting, mais attention uniquement des projets qui le passionnent, car comme il dit, le vrai luxe aujourd'hui, c'est de pouvoir dire non. Son génie dans tout ça, chaque brique de son business est construite pour demander le minimum d'énergie. Tout est automatisé, systématisé, et c'est ce qui lui permet de générer des revenus à 7 chiffres, tout en vivant sur son île au milieu des bois. Alors comment on gère un business comme ça en restant tout seul ? Grâce à l'obsession pour les systèmes. Premier hack, l'automatisation totale, on en a parlé. E-mail de vente, pré-programmé, onboarding client automatique, etc. Deuxième hack, plus rare, le minimalisme tech. Pas de stack compliqué, des outils simples mais efficaces, zéro réunion inutile. Comme il le dit, je ne suis pas chirurgien. Si quelque chose attend 24 heures, personne ne va mourir. Paul Gervis devient en fait la coqueluche des solopreneurs du monde entier. D'ailleurs, moi, c'est son livre qui m'a donné envie de choisir ce modèle. Pourtant, en 2020, Paul fait quelque chose de dingue. Au sonnet de sa notoriété avec des dizaines de milliers de followers, il disparaît d'Internet. Comme ça, sans prévenir, il supprime son compte Twitter, son compte Instagram, tous ses articles de blog et sa newsletter historique. La communauté tech est sous le choc. Que s'est-il passé ? Burnout ? Dépression ? Ou pire ? En fait, Paul... En avait juste marre. Marre des trolls, marre de la négativité, marre de devoir être partout, tout le temps, alors fidèle à son précepte, je préfère être riche en temps qu'en argent, il décide de vivre selon ses principes. Si quelque chose ne te rend pas heureux, arrête, même si ça t'apporte de l'argent, même si les autres ne comprennent pas. 2024, Paul vend Phasom Analytics à son co-fondateur et se retire définitivement. Il vit maintenant sur une île isolée au Canada, dans les bois, avec des rats de compagnie. Oui, il est fan de rats. Mais il est parti en nous laissant de sages préceptes en héritage. Il a prouvé qu'on peut réussir en restant petit, gagner bien sa vie sans équipe, privilégier sa santé mentale, dire non à la croissance infinie. Comme il le dit, je préfère un business qui supporte ma vie plutôt qu'une vie qui existe uniquement pour supporter mon business. Allez, ton défi aujourd'hui si tu veux t'inspirer de Paul, calcule ton enough number. C'est le chiffre qui te suffirait pour être vraiment heureux. Pas le chiffre qui impressionnerait les autres, pas le chiffre qui ferait plaisir à ton égo, le vrai chiffre qui te permettrait de vivre ta vie idéale. Cette histoire m'a vraiment fait penser à l'épisode 6 de l'émission Solo Nation. Freelance, solopreneur, startupper, qui a la meilleure vie ? où on débat justement des différents modes de réussite. Je te la recommande si tu veux approfondir et si tu veux trouver la forme d'entrepreneuriat la plus libre pour toi. Et en parlant de travailler moins pour gagner plus, j'ai une offre à te faire. Je t'invite à rejoindre mon incubateur solopreneur. Je te mets toutes les infos en description. Allez, je te donne rendez-vous dans le prochain épisode pour découvrir l'histoire incroyable d'une barmaid qui jonglait entre trois jobs et qui a créé un empire de plusieurs centaines de millions de dollars en apprenant aux autres à suivre leur passion.

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Un médecin devenu youtuber, un développeur qui encaisse 3 millions sans équipe, une barmaid qui devient reine du coaching…


Dans cette nouvelle mini-série Solo Nation Stories, je te raconte les vraies histoires derrière les succès des plus gros solopreneurs du monde.


Des parcours étonnants, des décisions radicales, et surtout : des stratégies que tu peux adapter à ton business.


Tu découvriras :

👉 Comment Design Joy facture 1M$ par an en freelance sans déléguer

👉 Comment Glucose Goddess a transformé des graphiques scientifiques moches en millions

👉 Comment Sara Blakely a transformé une paire de collants découpée à l’arrache en empire à 1 milliard de dollars
👉 Comment un barbier de rue a conquis les réseaux et rasé Barack Obama
👉 Ou encore comment les Hormozi ont vendu un business 46 millions de dollars… en enjolivant (un peu ?) la réalité...


Des chiffres, des conseils et surtout du carburant pour te motiver et t’aider à réussir en solo.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans Solonation Stories, la saga de l'été où je t'emmène en voyage à la rencontre des meilleurs et des pires solopreneurs du monde entier. Je vais te raconter tous leurs secrets mais aussi tous les gossips les plus croustillants. Bah ouais, c'est l'été, on a bien le droit de s'amuser un petit peu. Allez, abonne-toi vite à l'émission pour binger tous les épisodes. Tu connais cette petite voix, celle qui te dit que tu devrais grandir, embaucher, lever des fonds, devenir la prochaine licorne ? Cette voix qui te fait culpabiliser dès que tu refuses une opportunité de croissance ? Et si je te disais que cette petite voix te ment ? Aujourd'hui, je vais te raconter l'histoire d'un solopreneur qui a osé dire non. Non aux investisseurs, non aux employés, non à la croissance infinie, et qui a fini par vendre son entreprise pour partir vivre dans les bois. Cette histoire, c'est le parfait contre-exemple de tout ce qu'on nous rabâche sur l'entrepreneuriat. C'est l'anti-startup nation, c'est l'anti-hustle culture. Et si c'était ça, le vrai futur du business ? Et en plus, c'est un Canadien, ça va nous changer un peu de tous les Américains que je vais te présenter dans cette série. Bienvenue dans l'histoire de Paul Jarvis. Tout commence en 1999. Paul Jarvis est un jeune designer web de 20 ans qui bosse dans une agence à Toronto. Un jour, il en a marre, il démissionne. Mais plot twist, ses clients le suivent. Alors sans l'avoir voulu, il devient freelance. Le truc marrant, c'est qu'il n'avait jamais écrit un devis de sa vie. Il bosse depuis le sous-sol de ses parents sur un PC qu'il a assemblé lui-même. Mais ça ne l'a pas empêché de bosser pour Ausha Lonil Microsoft-Mercedes. Ce début accidentel va forger toute sa philosophie. On peut réussir à sa manière sans forcément suivre le modèle qu'on nous impose. Bon alors, tu me diras, qu'est-ce qu'un freelance qui bosse dans le garage de ses parents peut bien m'apprendre sur le soloprenariat ? Alors Ausha, parce que les chiffres de Paul Jarvis sont assez fous. On commence avec son livre Company of One. Paul y défend une idée révolutionnaire. Une croissance sans limite, c'est un peu comme un cancer, ça finit par tuer son hôte. Le message fait mouche, le livre est traduit en 15 langues et vendu à plus de 100 000 exemplaires. Et même Seth Godin en fait l'éloge. Paul Jarvis nous montre qu'il existe une alternative à la croissance à tout prix. Ce succès n'est que la partie émergée de l'iceberg. Paul a construit un véritable empire du minimalisme entrepreneurial. Premier pilier, ses produits d'information. Sa formation Creative Class génère 400 000 dollars en à peine 18 mois. Il vend des templates, des outils, des ressources et le tout en automatique pendant qu'il dort. Deuxième pilier, encore plus scalable, un logiciel, Phasm Analytics. En 2018, Paul en a marre de voir Google aspirer toutes nos données. Alors avec son pote Jack Ellis, il crée une alternative éthique. Pas de cookies, pas de tracking invasif, juste des stats simples et utiles. L'idée séduit même les géants du web comme Mozilla ou GitHub et en quelques mois, il signe des milliers de clients. Troisième pilier, sa newsletter. 20 000 abonnés ultra fidèles qui dévorent chaque mot. Il monétise via du sponsoring ciblé et des contenus premium. Et cerise sur le gâteau, il se garde quelques missions de consulting, mais attention uniquement des projets qui le passionnent, car comme il dit, le vrai luxe aujourd'hui, c'est de pouvoir dire non. Son génie dans tout ça, chaque brique de son business est construite pour demander le minimum d'énergie. Tout est automatisé, systématisé, et c'est ce qui lui permet de générer des revenus à 7 chiffres, tout en vivant sur son île au milieu des bois. Alors comment on gère un business comme ça en restant tout seul ? Grâce à l'obsession pour les systèmes. Premier hack, l'automatisation totale, on en a parlé. E-mail de vente, pré-programmé, onboarding client automatique, etc. Deuxième hack, plus rare, le minimalisme tech. Pas de stack compliqué, des outils simples mais efficaces, zéro réunion inutile. Comme il le dit, je ne suis pas chirurgien. Si quelque chose attend 24 heures, personne ne va mourir. Paul Gervis devient en fait la coqueluche des solopreneurs du monde entier. D'ailleurs, moi, c'est son livre qui m'a donné envie de choisir ce modèle. Pourtant, en 2020, Paul fait quelque chose de dingue. Au sonnet de sa notoriété avec des dizaines de milliers de followers, il disparaît d'Internet. Comme ça, sans prévenir, il supprime son compte Twitter, son compte Instagram, tous ses articles de blog et sa newsletter historique. La communauté tech est sous le choc. Que s'est-il passé ? Burnout ? Dépression ? Ou pire ? En fait, Paul... En avait juste marre. Marre des trolls, marre de la négativité, marre de devoir être partout, tout le temps, alors fidèle à son précepte, je préfère être riche en temps qu'en argent, il décide de vivre selon ses principes. Si quelque chose ne te rend pas heureux, arrête, même si ça t'apporte de l'argent, même si les autres ne comprennent pas. 2024, Paul vend Phasom Analytics à son co-fondateur et se retire définitivement. Il vit maintenant sur une île isolée au Canada, dans les bois, avec des rats de compagnie. Oui, il est fan de rats. Mais il est parti en nous laissant de sages préceptes en héritage. Il a prouvé qu'on peut réussir en restant petit, gagner bien sa vie sans équipe, privilégier sa santé mentale, dire non à la croissance infinie. Comme il le dit, je préfère un business qui supporte ma vie plutôt qu'une vie qui existe uniquement pour supporter mon business. Allez, ton défi aujourd'hui si tu veux t'inspirer de Paul, calcule ton enough number. C'est le chiffre qui te suffirait pour être vraiment heureux. Pas le chiffre qui impressionnerait les autres, pas le chiffre qui ferait plaisir à ton égo, le vrai chiffre qui te permettrait de vivre ta vie idéale. Cette histoire m'a vraiment fait penser à l'épisode 6 de l'émission Solo Nation. Freelance, solopreneur, startupper, qui a la meilleure vie ? où on débat justement des différents modes de réussite. Je te la recommande si tu veux approfondir et si tu veux trouver la forme d'entrepreneuriat la plus libre pour toi. Et en parlant de travailler moins pour gagner plus, j'ai une offre à te faire. Je t'invite à rejoindre mon incubateur solopreneur. Je te mets toutes les infos en description. Allez, je te donne rendez-vous dans le prochain épisode pour découvrir l'histoire incroyable d'une barmaid qui jonglait entre trois jobs et qui a créé un empire de plusieurs centaines de millions de dollars en apprenant aux autres à suivre leur passion.

Description

Un médecin devenu youtuber, un développeur qui encaisse 3 millions sans équipe, une barmaid qui devient reine du coaching…


Dans cette nouvelle mini-série Solo Nation Stories, je te raconte les vraies histoires derrière les succès des plus gros solopreneurs du monde.


Des parcours étonnants, des décisions radicales, et surtout : des stratégies que tu peux adapter à ton business.


Tu découvriras :

👉 Comment Design Joy facture 1M$ par an en freelance sans déléguer

👉 Comment Glucose Goddess a transformé des graphiques scientifiques moches en millions

👉 Comment Sara Blakely a transformé une paire de collants découpée à l’arrache en empire à 1 milliard de dollars
👉 Comment un barbier de rue a conquis les réseaux et rasé Barack Obama
👉 Ou encore comment les Hormozi ont vendu un business 46 millions de dollars… en enjolivant (un peu ?) la réalité...


Des chiffres, des conseils et surtout du carburant pour te motiver et t’aider à réussir en solo.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Bienvenue dans Solonation Stories, la saga de l'été où je t'emmène en voyage à la rencontre des meilleurs et des pires solopreneurs du monde entier. Je vais te raconter tous leurs secrets mais aussi tous les gossips les plus croustillants. Bah ouais, c'est l'été, on a bien le droit de s'amuser un petit peu. Allez, abonne-toi vite à l'émission pour binger tous les épisodes. Tu connais cette petite voix, celle qui te dit que tu devrais grandir, embaucher, lever des fonds, devenir la prochaine licorne ? Cette voix qui te fait culpabiliser dès que tu refuses une opportunité de croissance ? Et si je te disais que cette petite voix te ment ? Aujourd'hui, je vais te raconter l'histoire d'un solopreneur qui a osé dire non. Non aux investisseurs, non aux employés, non à la croissance infinie, et qui a fini par vendre son entreprise pour partir vivre dans les bois. Cette histoire, c'est le parfait contre-exemple de tout ce qu'on nous rabâche sur l'entrepreneuriat. C'est l'anti-startup nation, c'est l'anti-hustle culture. Et si c'était ça, le vrai futur du business ? Et en plus, c'est un Canadien, ça va nous changer un peu de tous les Américains que je vais te présenter dans cette série. Bienvenue dans l'histoire de Paul Jarvis. Tout commence en 1999. Paul Jarvis est un jeune designer web de 20 ans qui bosse dans une agence à Toronto. Un jour, il en a marre, il démissionne. Mais plot twist, ses clients le suivent. Alors sans l'avoir voulu, il devient freelance. Le truc marrant, c'est qu'il n'avait jamais écrit un devis de sa vie. Il bosse depuis le sous-sol de ses parents sur un PC qu'il a assemblé lui-même. Mais ça ne l'a pas empêché de bosser pour Ausha Lonil Microsoft-Mercedes. Ce début accidentel va forger toute sa philosophie. On peut réussir à sa manière sans forcément suivre le modèle qu'on nous impose. Bon alors, tu me diras, qu'est-ce qu'un freelance qui bosse dans le garage de ses parents peut bien m'apprendre sur le soloprenariat ? Alors Ausha, parce que les chiffres de Paul Jarvis sont assez fous. On commence avec son livre Company of One. Paul y défend une idée révolutionnaire. Une croissance sans limite, c'est un peu comme un cancer, ça finit par tuer son hôte. Le message fait mouche, le livre est traduit en 15 langues et vendu à plus de 100 000 exemplaires. Et même Seth Godin en fait l'éloge. Paul Jarvis nous montre qu'il existe une alternative à la croissance à tout prix. Ce succès n'est que la partie émergée de l'iceberg. Paul a construit un véritable empire du minimalisme entrepreneurial. Premier pilier, ses produits d'information. Sa formation Creative Class génère 400 000 dollars en à peine 18 mois. Il vend des templates, des outils, des ressources et le tout en automatique pendant qu'il dort. Deuxième pilier, encore plus scalable, un logiciel, Phasm Analytics. En 2018, Paul en a marre de voir Google aspirer toutes nos données. Alors avec son pote Jack Ellis, il crée une alternative éthique. Pas de cookies, pas de tracking invasif, juste des stats simples et utiles. L'idée séduit même les géants du web comme Mozilla ou GitHub et en quelques mois, il signe des milliers de clients. Troisième pilier, sa newsletter. 20 000 abonnés ultra fidèles qui dévorent chaque mot. Il monétise via du sponsoring ciblé et des contenus premium. Et cerise sur le gâteau, il se garde quelques missions de consulting, mais attention uniquement des projets qui le passionnent, car comme il dit, le vrai luxe aujourd'hui, c'est de pouvoir dire non. Son génie dans tout ça, chaque brique de son business est construite pour demander le minimum d'énergie. Tout est automatisé, systématisé, et c'est ce qui lui permet de générer des revenus à 7 chiffres, tout en vivant sur son île au milieu des bois. Alors comment on gère un business comme ça en restant tout seul ? Grâce à l'obsession pour les systèmes. Premier hack, l'automatisation totale, on en a parlé. E-mail de vente, pré-programmé, onboarding client automatique, etc. Deuxième hack, plus rare, le minimalisme tech. Pas de stack compliqué, des outils simples mais efficaces, zéro réunion inutile. Comme il le dit, je ne suis pas chirurgien. Si quelque chose attend 24 heures, personne ne va mourir. Paul Gervis devient en fait la coqueluche des solopreneurs du monde entier. D'ailleurs, moi, c'est son livre qui m'a donné envie de choisir ce modèle. Pourtant, en 2020, Paul fait quelque chose de dingue. Au sonnet de sa notoriété avec des dizaines de milliers de followers, il disparaît d'Internet. Comme ça, sans prévenir, il supprime son compte Twitter, son compte Instagram, tous ses articles de blog et sa newsletter historique. La communauté tech est sous le choc. Que s'est-il passé ? Burnout ? Dépression ? Ou pire ? En fait, Paul... En avait juste marre. Marre des trolls, marre de la négativité, marre de devoir être partout, tout le temps, alors fidèle à son précepte, je préfère être riche en temps qu'en argent, il décide de vivre selon ses principes. Si quelque chose ne te rend pas heureux, arrête, même si ça t'apporte de l'argent, même si les autres ne comprennent pas. 2024, Paul vend Phasom Analytics à son co-fondateur et se retire définitivement. Il vit maintenant sur une île isolée au Canada, dans les bois, avec des rats de compagnie. Oui, il est fan de rats. Mais il est parti en nous laissant de sages préceptes en héritage. Il a prouvé qu'on peut réussir en restant petit, gagner bien sa vie sans équipe, privilégier sa santé mentale, dire non à la croissance infinie. Comme il le dit, je préfère un business qui supporte ma vie plutôt qu'une vie qui existe uniquement pour supporter mon business. Allez, ton défi aujourd'hui si tu veux t'inspirer de Paul, calcule ton enough number. C'est le chiffre qui te suffirait pour être vraiment heureux. Pas le chiffre qui impressionnerait les autres, pas le chiffre qui ferait plaisir à ton égo, le vrai chiffre qui te permettrait de vivre ta vie idéale. Cette histoire m'a vraiment fait penser à l'épisode 6 de l'émission Solo Nation. Freelance, solopreneur, startupper, qui a la meilleure vie ? où on débat justement des différents modes de réussite. Je te la recommande si tu veux approfondir et si tu veux trouver la forme d'entrepreneuriat la plus libre pour toi. Et en parlant de travailler moins pour gagner plus, j'ai une offre à te faire. Je t'invite à rejoindre mon incubateur solopreneur. Je te mets toutes les infos en description. Allez, je te donne rendez-vous dans le prochain épisode pour découvrir l'histoire incroyable d'une barmaid qui jonglait entre trois jobs et qui a créé un empire de plusieurs centaines de millions de dollars en apprenant aux autres à suivre leur passion.

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