- Speaker #0
Bienvenue dans cette mini-série d'épisodes où je vais te présenter des portraits d'incubés, des freelances de la vraie vie comme toi, et pas des gourous de l'entrepreneuriat ni des solopreneurs tellement avancés qu'ils sont impossibles à copier. Des indépendants qui ont arrêté de vendre uniquement leur temps, qui ont fait évoluer leur chiffre d'affaires, leur positionnement, leur scalabilité. Et tu vas voir, ils ont fait ça grâce à une série de petites actions très concrètes. Dans chaque épisode, tu vas voir comment des freelances comme toi ont réussi à dépasser les problèmes que tu as sans doute aujourd'hui. Dispersion, syndrome du couteau suisse Manque de temps, surmenage, difficulté à créer une offre. Tu vas entendre ce qu'ils ont mis en place étape par étape et ça va t'aider à te débloquer toi aussi. Et si tu veux débloquer tous ces problèmes en leur compagnie et avec mon aide en 2026, tu sais où nous retrouver. Ça se passe dans l'incubateur solopreneur et c'est pas pour rien que je te parle de l'incubateur en cette fin d'année. Si tu clôtures ton année au 31 décembre, comme beaucoup de freelances, tu as déjà atteint tes objectifs financiers, il te reste un petit peu d'argent à investir sur ton business. Tu peux passer l'incubateur solo preneur en charge. Pour ta propre formation, comme ça tu diminues ton résultat de freelance et tu diminues l'imposition potentielle à laquelle tu es soumise. Comme ça tu démarres 2026 du bon pied, tu as déjà fait l'investissement pour ta formation et tu peux démarrer l'année avec le maximum de trésorerie possible pour te rémunérer. Optimiser ses résultats en fin d'exercice, c'est toujours plus simple que de te demander au 15 janvier si tu as assez de chiffres d'affaires pour te former l'année prochaine. En plus, la formation personnelle, c'est... trop important, t'as pas envie de te laisser dépasser, t'as pas envie d'avoir des prix trop bas, t'as pas envie d'avoir une mauvaise offre qui va te planter ton année 2026. Donc je te mets toutes les infos pour nous rejoindre en description. Tu fais du marketing ou de la communication digitale et tu fais un petit peu de tout. Des sites sur WordPress, du social media management. Et tu vois l'arrivée de l'IA qui est en train de tout automatiser et potentiellement de détruire ton marché. Attention à toi parce que les freelances couteaux suisses sont les premiers à se faire disrupter. Positionnement trop large, trop flou, trop interchangeable. Thaïs Villet était exactement dans ce cas de figure. Polyvalente, oui, mais remplaçable. Et avec l'arrivée de l'IA, elle s'est dit qu'elle devait absolument sortir de cet océan rouge. Comment a-t-elle choisi sa spécialisation ? Comment a-t-elle arrêté certaines activités ? Comment s'est-elle repositionnée pour devenir désirable plutôt que disponible ? Découvre comment Thaïs a abandonné son identité de freelance couteau suisse dans ce portrait d'incubé. Salut Thaïs, et ravie de te retrouver ici sur le podcast. C'est ta première fois dans le podcast, je pense ?
- Speaker #1
Oui, c'est la première fois.
- Speaker #0
Je suis honorée de t'avoir et j'ai vraiment envie de plus parler de ce que vous faites dans l'incubateur et dans vos vies de freelance et solopreneur. Moi, je te suis sur LinkedIn, donc j'ai un peu des nouvelles de toi. Mais en discutant dans l'incubateur, tu me racontais un peu tout ce que tu avais fait depuis que tu avais rejoint l'incubateur. Je trouvais ça cool d'en parler aussi en public pour donner des idées à tes confrères et tes consoeurs dans les mêmes domaines que toi ou en tout cas qui sont freelance. Est-ce que tu peux peut-être me dire ce que tu fais dans la vie ? Et puis, après, on va rentrer un peu plus dans le détail de ce que tu as fait comme chantier.
- Speaker #1
Oui. Donc, moi, je suis social media manager. Donc, j'ai travaillé surtout depuis que je suis en freelance avec des agences et des clients directs sur de la gestion de contenu, création de contenu, principalement B2B. Donc, quand même pas mal sur LinkedIn, mais je n'étais pas spécialisée là-dessus. Et de plus en plus, j'avais envie de choisir un seul réseau. donc Donc, j'ai choisi d'utiliser uniquement LinkedIn et de vendre uniquement ce réseau social-là. Et après, j'ai toute une expérience aussi. Et je l'étais encore un peu l'année dernière où j'ai fait beaucoup de sites WordPress. Je donne des cours de WordPress et je crée des sites avec WordPress. Et ça, j'ai complètement arrêté un peu grâce au board.
- Speaker #0
Alors, on va voir si c'est une bonne chose ou pas. Parce que là, tu dis ça comme ça, comme si je t'avais coupé des pentes en actualité.
- Speaker #1
Oh non,
- Speaker #0
bête, ouais. Ce qui me fait rire, c'est que tu le dis avec beaucoup de sourire, donc on voit que c'est positif. Mais toi, Thaïs, tu t'es sentie un peu visée quand je disais le couteau suisse, le syndrome du couteau suisse, donc le freelance couteau suisse qui peut faire tout sur tout. Et ça, c'est vraiment symptomatique, typiquement de ton métier, communication digitale, sociale, média manager. Tu demandes un truc à quelqu'un sur un réseau social, il te dit qu'il peut tout te faire. Donc, ça ne t'inspire pas vraiment confiance en tant que client. Est-ce que tu peux me raconter comment tu es sortie de ce syndrome ?
- Speaker #1
Ouais, bah déjà j'en avais marre parce que je voyais que j'étais hyper dispersée, surtout que par ailleurs j'ai aussi une activité artistique, donc j'avais vraiment en fait trop de choses et il y a eu un moment où surtout, comme les technologies ont vachement évolué, c'était trop dur d'être à jour sur tout, c'était même plus du tout possible, et de maîtriser WordPress plus les algorithmes des réseaux sociaux, plus faire du montage vidéo, plus, enfin en fait je me suis dit là je vais péter un câble ! Donc, l'idée est venue de là. C'est pour ça que moi, c'est une bonne nouvelle. Mais je n'osais pas arrêter. Et c'était surtout que j'avais des clients pour qui je faisais ça, notamment ici, depuis longtemps. Et du coup, vraiment, de dire à des clients anciens, j'arrête, c'est super difficile. Mais en même temps, je voyais que je n'avais plus de plaisir à faire ça. Je n'avais pas envie de me tenir à jour forcément là-dessus à fond. Et du coup, j'avais besoin d'un coup de main pour choisir et pour prendre ces décisions-là. et en fait pour me recentrer. Je savais que ça allait me faire gagner du temps au final de me concentrer sur une compétence principale.
- Speaker #0
Ok. Donc, tu étais convaincue, mais tu avais quand même peur, ce qui est normal. On a tous peur d'abandonner, surtout des offres qui marchent parce qu'en fait, finalement, ça marche. Tu vois, c'est juste que ça ne va pas trop t'aider pour l'avenir. Alors après, qu'est-ce qui t'a aidé du coup à choisir ? Qu'est-ce que tu as mis en place concrètement ? Et qu'est-ce qui, dans l'incubateur notamment, t'a aidé à faire ces choix ? Parce que l'incubateur, c'est quand même un peu un truc self-service alors Tu vas m'expliquer en quoi, même si c'est du self-service, tu as pu avoir une sorte de guide dans tes choix. Parce que souvent, je pense que les gens, ils se disent « Ah ben, ce n'est pas du coaching individuel, donc je ne vais pas avoir mes réponses. »
- Speaker #1
Surtout que moi, quand je suis rentrée dans l'incubateur, mon idée, c'était vraiment surtout de suivre la petite formation sur ta méthode. Et je ne me rendais pas compte qu'en fait, en effet, en un an, je ne m'en doutais, mais créer un produit, créer un média, tout ça. Donc, j'ai d'abord regardé ça. et ça, ça m'a surtout aidée à me dire Faut que je sois régulière dans ma communication à moi.
- Speaker #0
Super.
- Speaker #1
Et ça, je l'ai tenu. Mais du coup, c'était un des piliers. Mais j'ai surtout tenu celui-là. Et le reste, j'ai réfléchi et je me suis vraiment rendu compte que je n'étais pas prête. Parce que je n'arrive pas. Je suis en plein soleil. C'est agréable, mais ce n'est pas très...
- Speaker #0
Alors, c'est une nouvelle concurrence de votre livre.
- Speaker #1
Oui, parce que je n'arrivais pas à me spécialiser sur un secteur et du coup créer un média. Je suis encore un peu généraliste, là ça commence à se préciser. Ce n'était pas le bon moment, donc je me suis concentrée sur déjà moi créer du contenu, ce qui m'a aidée à voir de quoi j'avais envie de parler. En fait, j'ai plutôt fonctionné dans l'autre sens.
- Speaker #0
C'est parti. Ça marche aussi en fait, parce que faire une offre qui te fait chier, il n'y a rien de pire.
- Speaker #1
Et là en fait en écrivant régulièrement J'ai vu de quoi j'avais envie de parler Et ça a pris du temps, là je commence à vraiment sentir Que je parle de sujets qui m'intéressent Au début j'ai fait des trucs un peu lisses Où je parlais vraiment de technique, de tout ça J'ai pas forcément envie de faire ça Parce que tout le monde le fait C'est pas forcément super intéressant de faire que ça Mais ça prend du temps Et du coup pareil pour le média je me dis Je pense que je partirais de qu'est-ce que j'ai envie de raconter Et que ça serve quand même professionnellement De trouver vraiment un lien entre les deux Et après, dans l'incubateur, ce dont je m'attendais moins à ça, mais ça m'a énormément aidée, c'est toutes les masterclass, les vidéos, je ne sais même pas comment on appelle ça d'ailleurs, des vendredis. Les lives. Les lives, voilà. Moi, je dis masterclass. Dans tous les lives des vendredis, où là, du coup, il y a eu plein, plein, plein, plein de sujets et où je me suis rendue compte de tout ce que je n'avais pas fait, comme une vraie landing page, comme un portfolio. J'avais un portfolio, mais vite fait, qui n'était pas stratégique. Je ne faisais pas de rendez-vous découverte. Je n'avais pas d'offre. J'ai créé aussi mon offre grâce à ça que j'ai perfectionné. Et j'ai commencé à faire des rendez-vous avec des prospects, ce que je ne faisais pas du tout avant. Et ça change tout. On n'est plus dans la même posture. Je n'attends plus qu'on vienne me chercher.
- Speaker #0
Trop bien. Tu dis que ça change tout. Parce que tu avais peur que ça te fasse baisser ton chiffre d'affaires. Est-ce que ton chiffre d'affaires a augmenté ? où tu es pris, enfin comment ça s'est passé entre le taillis avant, j'ai pas d'offre et je fais un peu de tout, à maintenant tu as une offre. Tu l'as déjà vendu ton offre ou pas ? Comment c'est passé ?
- Speaker #1
Je l'ai lancé en août et là, je l'ai vendu. Donc, depuis la rentrée, je l'ai vendu deux fois. Et j'ai fait une douzaine, je crois, d'appels découvertes. Et là, j'ai d'autres demandes pour janvier, mais je pense que ce sera plus janvier. Et ça allait assez vite. Enfin, j'ai senti qu'elle était assez juste, même si ça perfectionne toujours un peu. Et je l'ai vendu à une amie en premier, mais avec qui je n'étais plus en contact. Et après, à des gens que je ne connaissais pas du tout.
- Speaker #0
Trop bien.
- Speaker #1
À Malte. Et là, je me suis dit, bon, c'est bon, c'est que je ne suis pas à la place.
- Speaker #0
Oui, parce que tu m'avais envoyé un message où tu avais dû poster dans l'incubateur. Je pense, voilà, je partage avec vous. Je viens de mettre mon offre sur Malte et je viens d'avoir un client externe, quoi, qui vient d'arriver de cette plateforme. Et on sait que ce n'est pas facile d'avoir des clients sur Malte qui payent bien parce que, en plus, souvent, c'est au TGM. Donc là, tu avais réussi à avoir des clients complètement frais sur cette nouvelle offre.
- Speaker #1
Oui, et ils ont pris l'offre et là, je l'ai suivi aussi. trois mois en ghostwriting. Et puis, j'ai eu des demandes de gens de mon entourage aussi. Et ça, c'est rigolo parce que je vois que Posté, même si les gens ne réagissent pas, en fait, ils voient et ils m'appellent pour que je les accompagne. Du coup, ça, c'est super chouette. Et ce que ça a changé... Alors moi, j'avais un gros projet perso cette année, donc je n'avais pas forcément comme objectif d'augmenter le chiffre d'affaires parce que j'avais un gros projet à côté. Mais déjà, je l'ai maintenu dans une année où c'était quand même très compliqué. Et je me dis, si je n'avais pas fait ça,
- Speaker #0
ça aurait été vraiment chaud parce que c'est un peu l'éléphant en la pièce mais entre l'IA tous ces trucs là c'est vrai que c'était quand même un gros bordel pour les gens dans la communication digitale cette année et je vois que moi j'ai réussi quand même à m'en tenir et voilà à pas chuter,
- Speaker #1
à moins stresser parce que je bossais sur un j'avais un projet donc du coup je pense que psychologiquement aussi j'avais une vision quoi donc ça aide.
- Speaker #0
Tu n'es pas inactif, tu as raison de le dire aussi, c'est des activités plaisantes et puis c'est des activités qu'on construit pour soi, donc on sait où on va, on fait confiance aussi au process.
- Speaker #1
Oui, c'est ça. Et ça, ça aide à ne pas juste être en panique, tout change, qu'est-ce que je vais faire ? On agit. Et ça me plaît trop et là vraiment, c'est ce truc de me dire je vais avancer pour faire des choses qui me plaisent parce que l'accompagnement, moi ça me plaît. J'en fais depuis longtemps, je suis formatrice, tout ça, Je vois que c'est vraiment ce qui me plaît. Donc, je suis dans la bonne direction. Et ouais, c'est trop chouette. Et puis, d'apprendre plein, plein de choses tout le temps, de plein de gens différents. J'ai vraiment beaucoup aimé ce côté-là. Pas juste suivre une formation, quoi, mais vraiment de s'enrichir, faire toutes les semaines, tous les mois. Ça m'a vraiment aidée mentalement, ouais, aussi.
- Speaker #0
Génial. Ben ouais, c'est un peu notre petit rendez-vous à nous. Comme ça, on se croise, on se motive. Mais ouais, t'as raison. Moi, j'aime pas trop... Enfin... J'ai une formation parce qu'il y a quand même ma méthode de base. Il faut quand même la comprendre, l'histoire des quatre piliers. C'est un peu conceptuel. Mais après, moi, j'aime bien les lives parce que ça permet d'être toujours sur des trucs frais. Parce que je ne sais pas si tu imagines, mais si j'avais tourné une formation LinkedIn il y a quatre ans… Oui, avec Jean-Paul. C'est nul aujourd'hui. Enfin, tu vois, tout a changé. Donc là, par exemple, on a fait un challenge LinkedIn avant l'été. On était avec les bestes, les gens qui nous ont corrigé nos postes. C'est vrai que ça marche. Attends, mais ça, ça ne marche plus. essaye ça, essaye ça. Moi, j'aime bien, je préfère le côté je fais la programmation au fur et à mesure. C'est pour ça que je ne vous la dévoile qu'un trimestre à l'avance parce qu'en vrai, je ne sais pas ce que je vais mettre au trimestre 2 parce que ça se trouve, il y aura un gros truc qui va arriver. Donc, je m'adapte aussi à l'actu des freelances.
- Speaker #1
Mais c'est vrai que du coup, on se sent hyper à jour et c'est un gros enjeu quand on est à son compte, qui était peut-être moins le cas il y a 3-4 ans où je ressentais moins cette urgence-là. Et là, du coup, ça... Ça a comblé un truc où je pense que sinon, cette année, j'aurais été un peu en panique.
- Speaker #0
Je suis très contente d'avoir été ton petit sas de décompression avec toute la communauté. C'est quoi tes objectifs pour 2026 ? Parce que toi, du coup, je ne sais plus, ton abonnement, c'est un annuel de janvier ? Tu restes à 20 juillet.
- Speaker #1
Janvier, et du coup, je voulais passer dans l'incubateur plus.
- Speaker #0
Oui, voilà, c'est ça. C'est ça.
- Speaker #1
Donc voilà.
- Speaker #0
Qu'est-ce qui te motive à faire ça d'ailleurs ? Parce que du coup, on peut se dire, bon ben voilà, Thaïs, toi, t'as fait tes objectifs et tout, donc c'est bon,
- Speaker #1
tout roule. Justement, moi là, déjà, j'ai envie vraiment là de créer mon média. En 2026, j'ai vraiment envie que ce soit ça mon focus. Je pense podcast associé à une newsletter, mais que les deux sont en lien. Et je sais, j'ai essayé, j'en ai déjà fait un de podcast, mais là, je sais que j'ai besoin d'aide, notamment pour... pas me disperser parce que je suis intéressée par trop de choses et que du coup j'ai vraiment du mal à choisir et je sais que si je le fais toute seule ça va me prendre énormément de temps dès que j'aurai beaucoup de boulot je vais rien faire donc je me suis dit faut que j'ai un suivi sur l'année et j'ai vraiment besoin d'avoir des retours sur ce que je fais je suis pas forcément entourée de freelance qui bossent beaucoup sur leur business dans mon entourage je rencontre de plus en plus de... de frise que je faisais pas du tout avant non plus et de solopreneur et ça c'est trop cool aussi mais voilà j'ai vraiment besoin d'avoir des retours d'être entouré de gens qui vivent aussi les mêmes choses que moi. Et je sais que c'est l'année où je vais avoir un peu, a priori, le temps de faire ça parce que, pour le coup, je n'ai pas de gros projet perso cette année. Et puis, j'ai envie que ça avance et j'ai envie vraiment d'être alignée. J'ai envie de devenir une figure d'autorité sur des sujets. Et ça s'éclaircit de plus en plus. Mais toute seule, je sais que ça va être plus long.
- Speaker #0
Non, mais c'est génial ce que tu dis parce qu'en fait, si tu as un projet comme ça bien défini, par exemple, je ne sais pas moi, lancer un bootcamp, lancer un podcast, écrire un livre, c'est trop cool pour toi l'incubateur plus, je pense que ça va être un vrai plus parce que ça va te coûter même moins cher au final que de prendre différentes personnes égrimées pour te donner un avis sur ton podcast pour te donner un avis sur le montage pour nanana, bon je l'ai fait moi perso parce qu'il n'y avait pas d'incubateur quand moi je me suis lancée et ça coûte un peu cher la facture au bout d'un moment quand tu prends des petites prestas par-ci par-là donc c'est mon but aussi de vous les apporter un peu sur un plateau comme moi je mutualise Merci. avec plusieurs personnes, du coup, ils pourront vous corriger toutes les semaines sans que ça te coûte un bras.
- Speaker #1
Ouais, c'est ça. Et puis, il y a vraiment l'idée, déjà, de ne pas aller sourcer tous les jours en tout seul. Et moi, il y a vraiment un truc psychologique et vraiment de soutien mental pour avancer et de savoir, j'ai ça et je dois m'y tenir et ça me motive. Et ce n'est pas que dans les compétences. C'est aussi vachement un soutien.
- Speaker #0
Tu vas être contente parce que là, je suis en train de finaliser. premières personnes qui vont faire partie de l'incubateur plus avec toi et c'est de la super bonne cam donc évidemment sans doute mais voilà je te confirme avec des projets super motivants et je pense de pouvoir bosser ensemble toute l'année en petit groupe aussi c'est voilà après chacun sa vibe je sais qu'il y a des gens qui aiment bien ils sont un peu plus free spirit ils aiment pas trop être dans un groupe donc l'incubateur free time ça leur convient bien mais après c'est vrai que si t'as un gros projet t'as envie de buddies pour t'accompagner tout du long Merci. d'être dans un petit groupe comme ça qui suit façon un peu bootcamp, ça va faire du bien. Écoute Thaïs, un petit mot de la fin ? Une question ? Une dédicace à faire ? Tu écoutes le bord du tournoi ?
- Speaker #1
Du coup, je n'ai pas trop parlé d'argent, mais ce que j'ai vraiment aimé aussi, c'est que chaque fois qu'on faisait les exercices, on pouvait faire après un check avec toi une fois par mois et que tu m'as vraiment poussée à augmenter mes prix et que c'est hyper important.
- Speaker #0
Tu as fait trois fois un Thaïs dans l'année ? Tu es venue, en fait, tu étais régulière, tu venais souvent au John Clotting, je me rappelais de toi, et à chaque fois, tu me disais, ah, j'ai monté mes flux.
- Speaker #1
Je croyais que ça aidait et que ça marchait, mais rien que ça, en fait, je me rends compte vraiment que la plupart des gens qui sont à leur compte se vendent vraiment pas assez cher. Et après, on s'en veut ou on en veut à nos clients parce qu'on se dit que c'est pas juste. Et là, moi, je sens, il y a vraiment un truc dans ma tête qui a switché. Et même avant, quand je vendais autant, je disais, une journée, c'est 7 heures. En vrai, on peut pas être 7 heures comme ça. Une journée de freelance, ce n'est pas 7 heures. J'ai vraiment changé de mentalité par rapport à ça. Ça m'a beaucoup aidée. D'avoir quelqu'un qui te dit, là, ce n'est pas assez cher, le juste prix, ce serait plutôt ça. En vrai, c'est hyper précieux parce que combien de temps tout seul on va mettre ? Tout seul, laisse le dire, ça peut prendre 4 ans. Donc, je n'ai aucun doute.
- Speaker #0
surtout si ton entourage a les mêmes défauts que toi parce qu'en fait c'est un peu le problème moi j'étais très entourée de potes freelance et tout mais on a tous les mêmes problèmes on trouve tous qu'on est trop cher donc personne va te dire ah bah t'es pas assez cher donc bah voilà écoute ça me fait plaisir je sais que des fois ça fait un peu mal d'entendre ça mais il vaut mieux l'entendre vite comme ça tu l'intègres et puis comme tu dis ça donne beaucoup plus confiance et maintenant je pense qu'avec toi ton média la confiance que t'as forgée Merci. des prix que tu as augmentés, et en plus, tu vois que ça marche. Finalement, ça marche mieux qu'avant. C'est ça, la grande injustice.
- Speaker #1
C'est que c'est plus cher et les clients,
- Speaker #0
ils sont plus contents.
- Speaker #1
C'est ça. Puis c'est des prix justes parce qu'en fait, quand on se souvend, on n'est souvent pas respecté non plus du jour au lendemain. Vraiment, j'en suis persuadée. Mais il faut oser, il faut avoir conscience et on ne connaît pas forcément les prix. Donc, voilà.
- Speaker #0
Aïs, on ira suivre en tout cas ton compte LinkedIn pour avoir la suite de ton aventure média. Je le mets dans la description de cet épisode. Un grand merci d'avoir été avec moi au micro. Et puis, j'espère que ça t'a plu ce premier passage dans le board. Il y en aura d'autres.
- Speaker #1
Avec plaisir, oui, c'était chouette. Ça fait plaisir de partager ce chemin.
- Speaker #0
Merci pour eux. Merci pour les auditrices, les auditeurs qui sont en recherche aussi d'idées comme ça pour booster leur freelancing. Et puis, très bonne année à toi, Thaïs. Plein de bonnes choses qui vont se réaliser cette année en 2026. Et merci à toutes et à tous d'avoir écouté l'épisode. Salut les solos !