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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

2/5 🎒- Freelance étudiant : décroche tes premiers clients avant ton diplôme !

2/5 🎒- Freelance étudiant : décroche tes premiers clients avant ton diplôme !

12min |05/11/2024
Play
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Description

Envie de te lancer en freelance sans attendre la fin de tes études ?


Dans ce nouvel épisode du Board, mon invité Antoine Guiné, devenu freelance pendant ses études, t’explique comment signer tes premiers clients et générer tes premiers revenus avant même de décrocher ton diplôme. 🎓


Sa recette : une bonne dose de débrouille et d’audace et des astuces qu’il partage dans cette série pour te construire un portfolio, créer des contacts et même signer ton premier gros contrat !


📌 Comment Antoine a trouvé ses premiers clients dès la sortie du lycée

📌 Comment il utilise LinkedIn pour prospecter efficacement

📌 Ses techniques pour décrocher une alternance compatible avec le freelancing

📌 Comment il gère son emploi du temps pour éviter le burn-out et quand même profiter de sa vie d’étudiant

📌 Ses conseils pour rendre son activité freelance aussi durable et soutenable qu’un super job en CDI


Un épisode idéal pour les étudiants ambitieux qui veulent booster leurs revenus pendant leurs études.

Y a pas que les stages ou les apprentissages dans la vie, y a le freelancing aussi !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP.1 - I’m free - Stevie Wonder

EP.2 - Price Tag - Jessie J

EP.3 - Don’t stop me now - Queen

EP.4 - Not like us - Kendrick Lamar

EP.5 - 99 problems - Jay Z


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors Antoine, tu nous as parlé de la prospection, tu y as les caches, ça c'était pour tes tout débuts dans l'entrepreneuriat. Quelles sont tes techniques et qu'est-ce que tu conseillerais aux étudiants qui veulent être freelance ou solopreneurs pour trouver leur premier client ? On spoiler alerte, toi maintenant tu travailles aussi dans le domaine de la prospection en tant qu'expertise, mais tu es d'accord que la prospection ça prend du temps, donc ça me semble presque antinomique par rapport au fait de faire des études. Enfin déjà quand on fait ses études, on n'a pas non plus trop trop de temps pour prospecter la terre entière sur son freelancing. Qu'est-ce que tu conseilles ?

  • Speaker #1

    Je pense qu'on est sur un tout début, comme j'ai pu le dire, et surtout qu'on n'est pas sur un service ou une offre liée à la prospection. Donc théoriquement pas de compétences spécifiques là-dedans. Je pense que... Le plus simple, mais en même temps le plus dur, c'est de prendre son téléphone. C'est très simple parce que ça demande juste un numéro de téléphone et on peut trouver le numéro de n'importe quelle entreprise sur Internet très rapidement. Et en même temps, c'est dur parce qu'il faut briser peut-être une forme de timidité ou le fait qu'on n'ait jamais pu faire ça auparavant. Donc, il faut se faire un petit peu de violence, mais c'est pour moi la méthode la plus rapide. Et puis après, si on veut aborder des techniques un petit peu plus déjà complexes ou qui vont prendre un petit peu plus de temps à se mettre en place, c'est peut-être déjà de se créer une forme de visibilité sur Internet et sur le réseau. qui va le plus toucher notre cible en fait. Moi, je sais que typiquement, je suis allé sur LinkedIn parce que je sais que c'est là-dessus où il y a le plus de décideurs qui est le type de client que je vise. Et donc, je me suis dit, je ne suis pas là pour devenir influenceur LinkedIn, je ne suis pas là pour avoir une grosse communauté, mais déjà, partage ce que tu sais, partage ce que tu sais faire. Ça ne te coûte pas grand-chose et tu peux être sûr qu'il y a du monde qui va te voir et ça te permet déjà de faciliter un petit peu ta prospection.

  • Speaker #0

    Alors attends, je vais y revenir. On va aller voir aussi ton profil. Mais donc déjà... Moi, tu vois, je pense qu'il n'y a pas encore beaucoup d'étudiants qui vont sur LinkedIn, de plus en plus, mais à mon avis, c'est pas non plus, à part ceux qui sont en école de commerce, ils n'y pensent pas forcément. Or, tu es d'accord qu'on peut être freelance dans n'importe quel domaine, même si on fait des études de pharma, de kiné ou n'importe quoi d'autre à côté. Du coup, tu n'as pas mis étudiant, tu as mis quoi comme statut, comme titre ?

  • Speaker #1

    En fait, je n'ai pas mis un nom de job parce qu'il n'y en avait pas de manière spécifique. En plus, vu que je n'avais pas d'offre, je veux dire, je n'ai pas associé une offre à un job. Donc, de départ, j'avais mis quelque chose du style comme je réalise vos sites web en no code ou quelque chose comme ça quand je faisais encore ça. Et puis au moment où je me suis lancé plus sur la partie prospection, parce que c'est ce qui me plaisait plus, je crois qu'il y avait une tagline comme je prospecte à votre place ou je vais vous chercher des rendez-vous avec la prospection. Enfin vraiment, en fait. Au-delà de donner un nom de job, un intitulé de job, vraiment une description très rapide de ce que je fais en fait en ligne et quel est l'avantage finalement à faire appel à ce genre de service.

  • Speaker #0

    Et alors sur la partie fake it until you make it qui peut être un peu critique quand tu fais tes études parce que bon, tu n'as pas un énorme portfolio client. Enfin voilà, je me dis, il suffit d'un, tu me diras. Mais au début, tu n'avais pas encore ton premier client, notamment sur ton offre de prospection. Tu as fait quoi ? Tu as fait des faux cas clients ? Comment tu as rempli ce vide, entre guillemets, dans le CV, le début du CV, en fait, qui est un peu critique quand tu es freelance et que les gens, ils aiment bien savoir ce que tu as fait avant ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors, j'ai rempli quelques expériences sur lesquelles je m'étais lancé, en fait, quelques mini-projets qui n'avaient pas forcément abouti, mais que je trouvais pertinent à intégrer, surtout avec l'explication qui est derrière, en fait, d'expliquer le pourquoi ça n'avait pas continué pour montrer que ce n'était pas simplement... une faute de parcours, un manque de compétences, mais bien dû à quelque chose de précis. Je me souviens notamment, ça a été le cas avec un projet que j'avais fait avec un pote à moi, sur lequel on avait été incubé à Nantes, une forme de projet startup, on avait expliqué pourquoi on n'y était pas allé. Et puis effectivement, il y a eu un peu de fake au début. En fait, ce que j'aimais bien faire, c'était rentrer en contact avec des boîtes, et même si je passais 10-15 minutes à les conseiller gratuitement, je leur disais derrière, est-ce que ça vous dérange si je dis que j'ai... entre guillemets bosser pour vous dans le sens où on a échangé peut-être sur une problématique que vous avez pendant 5-10 minutes. Donc ce n'était pas des vrais cas clients, j'ai été payé pour le faire, mais c'était quand même des entreprises ou des contacts avec qui j'avais échangé et sur lesquels j'avais espéré avoir un peu d'impact on va dire au début.

  • Speaker #0

    Pas mal. En gros, c'est une façon de conseil gratuit en échange d'une référence, ce qui se pratique quand même dans l'univers du freelancing, surtout quand on commence. Par curiosité, tu te rappelles combien tu priceais au tout début en freelance ? Peut-être aussi, j'allais dire, enfermé dans ce syndrome de l'imposteur de je viens de me lancer sur une nouvelle compétence, je n'ai pas encore de portfolio et d'ailleurs je me demande si c'est pas un peu ça aussi le risque quand tu te lances en freelance en tant qu'étudiant c'est que vraiment tu te prices très très bas point d'interrogation je sais pas si c'était ton cas en fait pas vraiment au début c'est à dire que je suis parti plus haut sur mes prix dès le début et je les ai rebaissés par la suite en fait je pense qu'il y a ce côté un petit peu justement vidéo motivation ou mindset

  • Speaker #1

    où on dit que ouais t'as trop regardé ça et en fait tu te dis que tu vaux alors oui c'est vrai tu vaux de l'argent mais et Peut-être pas trop non plus au début, donc j'ai un peu baissé mes pricing. Et effectivement, comparé à une personne qui avait de l'expérience par la suite ou une agence typiquement pour un site web, je devais être l'ordre de peut-être 30-40% moins cher. Donc pertinent pour la boîte en question et en même temps pour moi, pas forcément trop de pertes parce que j'ai beaucoup moins de frais qu'une agence traditionnelle par exemple. Donc je m'y retrouvais, c'était un pricing qui dans tous les cas était cool pour moi parce que c'était plus que ce que je pouvais espérer faire en restant juste étudiant. Mais effectivement, le pricing a évolué au fur et à mesure du temps.

  • Speaker #0

    Ok, écoute, là-dessus, je ne sais pas après ce que vous faites, vous nous direz dans les commentaires sur la communauté. Il y a quand même un minimum, moi je trouve, incompressible en dessous duquel... pas aller. Moi, des fois, j'ai rencontré des freelances. Je pense à quelqu'un à Nantes qui m'a dit que il gagnait 10 ou 15 000 par an. Je lui ai dit, ce n'est pas possible ça. Parce qu'en fait, c'est une façon de s'appauvrir. Même si tu le fais en parallèle, en side, même si tu es salarié, même si tu es étudiant, je trouve que si tu baisses trop ton prix, déjà, ça fait baisser le marché. En plus, ça décroît aussi un peu l'attention que le client peut avoir avec toi. La qualité perçue, non aussi, qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Clairement, je sais. Et parce que, du coup, pas le client, mais le prospect me l'a dit, qu'il y a eu des deals que je n'ai pas signés parce que j'étais trop bas. Et qu'en fait, il se doutait que... Alors déjà, qu'il y avait le profil un petit peu jeunesse qui rentre en compte. Mais il se doutait que potentiellement, il y avait une forme d'immaturité dans le pricing. C'est-à-dire que je ne me rendais pas suffisamment compte du travail qu'il y avait à faire ou ce que ça représentait ou le niveau d'engagement qu'il y allait avoir derrière. Donc, ça m'a un peu porté défaut aussi de... En fait, c'est assez compliqué. Il faut être sur cette bonne ligne. On ne va pas être trop cher, pas plus cher qu'une agence parce qu'on est freelance et que les gens savent qu'on a moins de charges. En même temps, ne pas se sous-évaluer pour ne pas paraître comme un amateur. Donc, il y a vraiment un petit peu cette ligne à aller tester et aller travailler avec.

  • Speaker #0

    Et de toute façon, toi, ta stratégie, ça a été après de passer à l'offre plutôt qu'au temps. Je ne sais pas si tu veux en parler maintenant. À quel moment ça s'est passé, le fait que tu te dises j'arrête de vendre mon temps parce que j'ai mes études à côté et je vends une offre

  • Speaker #1

    Assez tard, en fait. Sur la partie site web, finalement, c'était une offre puisque je vendais un site. Je faisais le ratio surtout au temps que ça allait me prendre plus qu'au projet en lui-même. Donc, j'étais quand même sur une vente de temps, même si pour le client, c'était plus à l'offre. Et en fait, c'est venu que récemment où j'ai vraiment essayé de packager des offres complètes avec beaucoup de process mis en amont sur de l'onboarding, sur du suivi client, sur de la délivrabilité aussi, pour que je sois sûr que mon client se dise j'en ai pour mon argent et j'ai réussi à avoir ce que je voulais avec le service d'Antoine et que pour moi, je sois en mesure de me dire ok, j'ai l'impression d'avoir vraiment été très rentable sur ce client-là parce que ça m'a pris très peu de temps et j'ai pu me dégager du temps justement pour prospecter derrière, pour être en cours, pour étudier, etc.

  • Speaker #0

    Bon, on va en parler tout à l'heure, de toute façon, de ton équilibre entre tes cours, ton alternance et puis ton métier de freelance et de solopreneur. Est-ce que tu as d'autres techniques à nous donner qui sont bonnes quand tu es étudiant pour trouver tes premiers clients en freelance ?

  • Speaker #1

    Ouais, je trouve qu'il y a un truc qu'on sous-estime énormément, c'est son cercle très proche. Et il y a un truc qui peut être super bien, c'est de prendre son iPhone, envoyer un message groupé à tous ses contacts en disant tout simplement Bah hello, j'essaye de me lancer sur une petite activité de x ou y quelque chose, n'importe quoi, par exemple la création de cet internet pour moi. Si jamais tu as des besoins ou tu connais quelqu'un qui pourrait avoir un besoin, n'hésite pas à me parler ou à me recommander parce que ça pourrait m'aider. Et en fait, très souvent ça peut marcher. Parce qu'une personne plus une personne, ça permet de faire monter le volume de prospection assez rapidement. C'est des personnes qui ont généralement déjà eu affaire à toi, donc ils ont une forme de confiance en toi, même si tu n'as rien prouvé pour eux, on va dire. Et puis, ça te permet de faire tes premiers tests.

  • Speaker #0

    Trop bien. De toute façon, j'allais dire, comme moi j'ai fait appel à tes services aussi, toi tu avais aussi utilisé cette technique quand on s'était rencontrés, puisqu'on s'était rencontrés à Nantes, via le réseau Nantais. Et j'étais en train de remonter sur le fil pour regarder comment tu m'avais alpagué sur LinkedIn. Mais donc, on s'était déjà vu dans la vraie vie. Et après, tu m'avais dit, tu avais rebondi sur un de mes posts. Tu t'intéressais quand même à mon univers et tu avais dit, est-ce que… Enfin, attends, je te dis le bon truc. Mais est-ce que tu fais de la prospection pour ton nouveau programme au-delà de ton acquisition LinkedIn ? Et tu avais commencé à engager aussi la conversation sur, en gros, ton offre. Et tu vois, tu t'étais intéressé à moi, mais on s'était déjà vu aussi dans la vraie vie. Ce n'était pas de la prospection dite… cold, tu vois, complètement froide. Donc, je pense que ça aussi, t'es malin. Et peut-être que c'est ça qu'il faut viser quand on est étudiant, c'est se dire, évidemment qu'on peut faire le truc le plus dur du monde, genre du cold emailing sur des clients de grands comptes qu'on ne connaît pas et qui sont à Paris. Et nous, on est en train de faire nos études à Toulouse. Après, je trouve que c'est assez réaliste, ta façon de penser, de se dire, et si je commençais dans mon cercle proche, et si je commençais par le plus facile ? Comme disent les Américains, c'est les low-hanging fruits, c'est-à-dire les petits fruits que je peux cueillir vite fait sans sortir l'échelle. Donc voilà, hyper cool aussi à combiner quand tu es étudiant et que tu as plein de choses à faire. Si ça te va, du coup, on va mettre tes petites techniques en plus commerciales dans la newsletter et je te propose qu'on passe à comment garder l'équilibre entre les études, potentiellement un premier boulot en salariat ou en tout cas une alternance. Et le freelancing, parce que toi, tu as combiné les trois. Tu ne t'es pas arrêté à juste je fais mes études et je suis freelance Non, tu as rajouté une case qui est celle de l'alternance. Donc, on va voir comment tu as combiné tout ça pour être un espèce de super salarié diversifié slash freelance solopreneur. C'est parti pour le prochain épisode.

Description

Envie de te lancer en freelance sans attendre la fin de tes études ?


Dans ce nouvel épisode du Board, mon invité Antoine Guiné, devenu freelance pendant ses études, t’explique comment signer tes premiers clients et générer tes premiers revenus avant même de décrocher ton diplôme. 🎓


Sa recette : une bonne dose de débrouille et d’audace et des astuces qu’il partage dans cette série pour te construire un portfolio, créer des contacts et même signer ton premier gros contrat !


📌 Comment Antoine a trouvé ses premiers clients dès la sortie du lycée

📌 Comment il utilise LinkedIn pour prospecter efficacement

📌 Ses techniques pour décrocher une alternance compatible avec le freelancing

📌 Comment il gère son emploi du temps pour éviter le burn-out et quand même profiter de sa vie d’étudiant

📌 Ses conseils pour rendre son activité freelance aussi durable et soutenable qu’un super job en CDI


Un épisode idéal pour les étudiants ambitieux qui veulent booster leurs revenus pendant leurs études.

Y a pas que les stages ou les apprentissages dans la vie, y a le freelancing aussi !


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💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP.1 - I’m free - Stevie Wonder

EP.2 - Price Tag - Jessie J

EP.3 - Don’t stop me now - Queen

EP.4 - Not like us - Kendrick Lamar

EP.5 - 99 problems - Jay Z


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors Antoine, tu nous as parlé de la prospection, tu y as les caches, ça c'était pour tes tout débuts dans l'entrepreneuriat. Quelles sont tes techniques et qu'est-ce que tu conseillerais aux étudiants qui veulent être freelance ou solopreneurs pour trouver leur premier client ? On spoiler alerte, toi maintenant tu travailles aussi dans le domaine de la prospection en tant qu'expertise, mais tu es d'accord que la prospection ça prend du temps, donc ça me semble presque antinomique par rapport au fait de faire des études. Enfin déjà quand on fait ses études, on n'a pas non plus trop trop de temps pour prospecter la terre entière sur son freelancing. Qu'est-ce que tu conseilles ?

  • Speaker #1

    Je pense qu'on est sur un tout début, comme j'ai pu le dire, et surtout qu'on n'est pas sur un service ou une offre liée à la prospection. Donc théoriquement pas de compétences spécifiques là-dedans. Je pense que... Le plus simple, mais en même temps le plus dur, c'est de prendre son téléphone. C'est très simple parce que ça demande juste un numéro de téléphone et on peut trouver le numéro de n'importe quelle entreprise sur Internet très rapidement. Et en même temps, c'est dur parce qu'il faut briser peut-être une forme de timidité ou le fait qu'on n'ait jamais pu faire ça auparavant. Donc, il faut se faire un petit peu de violence, mais c'est pour moi la méthode la plus rapide. Et puis après, si on veut aborder des techniques un petit peu plus déjà complexes ou qui vont prendre un petit peu plus de temps à se mettre en place, c'est peut-être déjà de se créer une forme de visibilité sur Internet et sur le réseau. qui va le plus toucher notre cible en fait. Moi, je sais que typiquement, je suis allé sur LinkedIn parce que je sais que c'est là-dessus où il y a le plus de décideurs qui est le type de client que je vise. Et donc, je me suis dit, je ne suis pas là pour devenir influenceur LinkedIn, je ne suis pas là pour avoir une grosse communauté, mais déjà, partage ce que tu sais, partage ce que tu sais faire. Ça ne te coûte pas grand-chose et tu peux être sûr qu'il y a du monde qui va te voir et ça te permet déjà de faciliter un petit peu ta prospection.

  • Speaker #0

    Alors attends, je vais y revenir. On va aller voir aussi ton profil. Mais donc déjà... Moi, tu vois, je pense qu'il n'y a pas encore beaucoup d'étudiants qui vont sur LinkedIn, de plus en plus, mais à mon avis, c'est pas non plus, à part ceux qui sont en école de commerce, ils n'y pensent pas forcément. Or, tu es d'accord qu'on peut être freelance dans n'importe quel domaine, même si on fait des études de pharma, de kiné ou n'importe quoi d'autre à côté. Du coup, tu n'as pas mis étudiant, tu as mis quoi comme statut, comme titre ?

  • Speaker #1

    En fait, je n'ai pas mis un nom de job parce qu'il n'y en avait pas de manière spécifique. En plus, vu que je n'avais pas d'offre, je veux dire, je n'ai pas associé une offre à un job. Donc, de départ, j'avais mis quelque chose du style comme je réalise vos sites web en no code ou quelque chose comme ça quand je faisais encore ça. Et puis au moment où je me suis lancé plus sur la partie prospection, parce que c'est ce qui me plaisait plus, je crois qu'il y avait une tagline comme je prospecte à votre place ou je vais vous chercher des rendez-vous avec la prospection. Enfin vraiment, en fait. Au-delà de donner un nom de job, un intitulé de job, vraiment une description très rapide de ce que je fais en fait en ligne et quel est l'avantage finalement à faire appel à ce genre de service.

  • Speaker #0

    Et alors sur la partie fake it until you make it qui peut être un peu critique quand tu fais tes études parce que bon, tu n'as pas un énorme portfolio client. Enfin voilà, je me dis, il suffit d'un, tu me diras. Mais au début, tu n'avais pas encore ton premier client, notamment sur ton offre de prospection. Tu as fait quoi ? Tu as fait des faux cas clients ? Comment tu as rempli ce vide, entre guillemets, dans le CV, le début du CV, en fait, qui est un peu critique quand tu es freelance et que les gens, ils aiment bien savoir ce que tu as fait avant ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors, j'ai rempli quelques expériences sur lesquelles je m'étais lancé, en fait, quelques mini-projets qui n'avaient pas forcément abouti, mais que je trouvais pertinent à intégrer, surtout avec l'explication qui est derrière, en fait, d'expliquer le pourquoi ça n'avait pas continué pour montrer que ce n'était pas simplement... une faute de parcours, un manque de compétences, mais bien dû à quelque chose de précis. Je me souviens notamment, ça a été le cas avec un projet que j'avais fait avec un pote à moi, sur lequel on avait été incubé à Nantes, une forme de projet startup, on avait expliqué pourquoi on n'y était pas allé. Et puis effectivement, il y a eu un peu de fake au début. En fait, ce que j'aimais bien faire, c'était rentrer en contact avec des boîtes, et même si je passais 10-15 minutes à les conseiller gratuitement, je leur disais derrière, est-ce que ça vous dérange si je dis que j'ai... entre guillemets bosser pour vous dans le sens où on a échangé peut-être sur une problématique que vous avez pendant 5-10 minutes. Donc ce n'était pas des vrais cas clients, j'ai été payé pour le faire, mais c'était quand même des entreprises ou des contacts avec qui j'avais échangé et sur lesquels j'avais espéré avoir un peu d'impact on va dire au début.

  • Speaker #0

    Pas mal. En gros, c'est une façon de conseil gratuit en échange d'une référence, ce qui se pratique quand même dans l'univers du freelancing, surtout quand on commence. Par curiosité, tu te rappelles combien tu priceais au tout début en freelance ? Peut-être aussi, j'allais dire, enfermé dans ce syndrome de l'imposteur de je viens de me lancer sur une nouvelle compétence, je n'ai pas encore de portfolio et d'ailleurs je me demande si c'est pas un peu ça aussi le risque quand tu te lances en freelance en tant qu'étudiant c'est que vraiment tu te prices très très bas point d'interrogation je sais pas si c'était ton cas en fait pas vraiment au début c'est à dire que je suis parti plus haut sur mes prix dès le début et je les ai rebaissés par la suite en fait je pense qu'il y a ce côté un petit peu justement vidéo motivation ou mindset

  • Speaker #1

    où on dit que ouais t'as trop regardé ça et en fait tu te dis que tu vaux alors oui c'est vrai tu vaux de l'argent mais et Peut-être pas trop non plus au début, donc j'ai un peu baissé mes pricing. Et effectivement, comparé à une personne qui avait de l'expérience par la suite ou une agence typiquement pour un site web, je devais être l'ordre de peut-être 30-40% moins cher. Donc pertinent pour la boîte en question et en même temps pour moi, pas forcément trop de pertes parce que j'ai beaucoup moins de frais qu'une agence traditionnelle par exemple. Donc je m'y retrouvais, c'était un pricing qui dans tous les cas était cool pour moi parce que c'était plus que ce que je pouvais espérer faire en restant juste étudiant. Mais effectivement, le pricing a évolué au fur et à mesure du temps.

  • Speaker #0

    Ok, écoute, là-dessus, je ne sais pas après ce que vous faites, vous nous direz dans les commentaires sur la communauté. Il y a quand même un minimum, moi je trouve, incompressible en dessous duquel... pas aller. Moi, des fois, j'ai rencontré des freelances. Je pense à quelqu'un à Nantes qui m'a dit que il gagnait 10 ou 15 000 par an. Je lui ai dit, ce n'est pas possible ça. Parce qu'en fait, c'est une façon de s'appauvrir. Même si tu le fais en parallèle, en side, même si tu es salarié, même si tu es étudiant, je trouve que si tu baisses trop ton prix, déjà, ça fait baisser le marché. En plus, ça décroît aussi un peu l'attention que le client peut avoir avec toi. La qualité perçue, non aussi, qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Clairement, je sais. Et parce que, du coup, pas le client, mais le prospect me l'a dit, qu'il y a eu des deals que je n'ai pas signés parce que j'étais trop bas. Et qu'en fait, il se doutait que... Alors déjà, qu'il y avait le profil un petit peu jeunesse qui rentre en compte. Mais il se doutait que potentiellement, il y avait une forme d'immaturité dans le pricing. C'est-à-dire que je ne me rendais pas suffisamment compte du travail qu'il y avait à faire ou ce que ça représentait ou le niveau d'engagement qu'il y allait avoir derrière. Donc, ça m'a un peu porté défaut aussi de... En fait, c'est assez compliqué. Il faut être sur cette bonne ligne. On ne va pas être trop cher, pas plus cher qu'une agence parce qu'on est freelance et que les gens savent qu'on a moins de charges. En même temps, ne pas se sous-évaluer pour ne pas paraître comme un amateur. Donc, il y a vraiment un petit peu cette ligne à aller tester et aller travailler avec.

  • Speaker #0

    Et de toute façon, toi, ta stratégie, ça a été après de passer à l'offre plutôt qu'au temps. Je ne sais pas si tu veux en parler maintenant. À quel moment ça s'est passé, le fait que tu te dises j'arrête de vendre mon temps parce que j'ai mes études à côté et je vends une offre

  • Speaker #1

    Assez tard, en fait. Sur la partie site web, finalement, c'était une offre puisque je vendais un site. Je faisais le ratio surtout au temps que ça allait me prendre plus qu'au projet en lui-même. Donc, j'étais quand même sur une vente de temps, même si pour le client, c'était plus à l'offre. Et en fait, c'est venu que récemment où j'ai vraiment essayé de packager des offres complètes avec beaucoup de process mis en amont sur de l'onboarding, sur du suivi client, sur de la délivrabilité aussi, pour que je sois sûr que mon client se dise j'en ai pour mon argent et j'ai réussi à avoir ce que je voulais avec le service d'Antoine et que pour moi, je sois en mesure de me dire ok, j'ai l'impression d'avoir vraiment été très rentable sur ce client-là parce que ça m'a pris très peu de temps et j'ai pu me dégager du temps justement pour prospecter derrière, pour être en cours, pour étudier, etc.

  • Speaker #0

    Bon, on va en parler tout à l'heure, de toute façon, de ton équilibre entre tes cours, ton alternance et puis ton métier de freelance et de solopreneur. Est-ce que tu as d'autres techniques à nous donner qui sont bonnes quand tu es étudiant pour trouver tes premiers clients en freelance ?

  • Speaker #1

    Ouais, je trouve qu'il y a un truc qu'on sous-estime énormément, c'est son cercle très proche. Et il y a un truc qui peut être super bien, c'est de prendre son iPhone, envoyer un message groupé à tous ses contacts en disant tout simplement Bah hello, j'essaye de me lancer sur une petite activité de x ou y quelque chose, n'importe quoi, par exemple la création de cet internet pour moi. Si jamais tu as des besoins ou tu connais quelqu'un qui pourrait avoir un besoin, n'hésite pas à me parler ou à me recommander parce que ça pourrait m'aider. Et en fait, très souvent ça peut marcher. Parce qu'une personne plus une personne, ça permet de faire monter le volume de prospection assez rapidement. C'est des personnes qui ont généralement déjà eu affaire à toi, donc ils ont une forme de confiance en toi, même si tu n'as rien prouvé pour eux, on va dire. Et puis, ça te permet de faire tes premiers tests.

  • Speaker #0

    Trop bien. De toute façon, j'allais dire, comme moi j'ai fait appel à tes services aussi, toi tu avais aussi utilisé cette technique quand on s'était rencontrés, puisqu'on s'était rencontrés à Nantes, via le réseau Nantais. Et j'étais en train de remonter sur le fil pour regarder comment tu m'avais alpagué sur LinkedIn. Mais donc, on s'était déjà vu dans la vraie vie. Et après, tu m'avais dit, tu avais rebondi sur un de mes posts. Tu t'intéressais quand même à mon univers et tu avais dit, est-ce que… Enfin, attends, je te dis le bon truc. Mais est-ce que tu fais de la prospection pour ton nouveau programme au-delà de ton acquisition LinkedIn ? Et tu avais commencé à engager aussi la conversation sur, en gros, ton offre. Et tu vois, tu t'étais intéressé à moi, mais on s'était déjà vu aussi dans la vraie vie. Ce n'était pas de la prospection dite… cold, tu vois, complètement froide. Donc, je pense que ça aussi, t'es malin. Et peut-être que c'est ça qu'il faut viser quand on est étudiant, c'est se dire, évidemment qu'on peut faire le truc le plus dur du monde, genre du cold emailing sur des clients de grands comptes qu'on ne connaît pas et qui sont à Paris. Et nous, on est en train de faire nos études à Toulouse. Après, je trouve que c'est assez réaliste, ta façon de penser, de se dire, et si je commençais dans mon cercle proche, et si je commençais par le plus facile ? Comme disent les Américains, c'est les low-hanging fruits, c'est-à-dire les petits fruits que je peux cueillir vite fait sans sortir l'échelle. Donc voilà, hyper cool aussi à combiner quand tu es étudiant et que tu as plein de choses à faire. Si ça te va, du coup, on va mettre tes petites techniques en plus commerciales dans la newsletter et je te propose qu'on passe à comment garder l'équilibre entre les études, potentiellement un premier boulot en salariat ou en tout cas une alternance. Et le freelancing, parce que toi, tu as combiné les trois. Tu ne t'es pas arrêté à juste je fais mes études et je suis freelance Non, tu as rajouté une case qui est celle de l'alternance. Donc, on va voir comment tu as combiné tout ça pour être un espèce de super salarié diversifié slash freelance solopreneur. C'est parti pour le prochain épisode.

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Description

Envie de te lancer en freelance sans attendre la fin de tes études ?


Dans ce nouvel épisode du Board, mon invité Antoine Guiné, devenu freelance pendant ses études, t’explique comment signer tes premiers clients et générer tes premiers revenus avant même de décrocher ton diplôme. 🎓


Sa recette : une bonne dose de débrouille et d’audace et des astuces qu’il partage dans cette série pour te construire un portfolio, créer des contacts et même signer ton premier gros contrat !


📌 Comment Antoine a trouvé ses premiers clients dès la sortie du lycée

📌 Comment il utilise LinkedIn pour prospecter efficacement

📌 Ses techniques pour décrocher une alternance compatible avec le freelancing

📌 Comment il gère son emploi du temps pour éviter le burn-out et quand même profiter de sa vie d’étudiant

📌 Ses conseils pour rendre son activité freelance aussi durable et soutenable qu’un super job en CDI


Un épisode idéal pour les étudiants ambitieux qui veulent booster leurs revenus pendant leurs études.

Y a pas que les stages ou les apprentissages dans la vie, y a le freelancing aussi !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP.1 - I’m free - Stevie Wonder

EP.2 - Price Tag - Jessie J

EP.3 - Don’t stop me now - Queen

EP.4 - Not like us - Kendrick Lamar

EP.5 - 99 problems - Jay Z


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors Antoine, tu nous as parlé de la prospection, tu y as les caches, ça c'était pour tes tout débuts dans l'entrepreneuriat. Quelles sont tes techniques et qu'est-ce que tu conseillerais aux étudiants qui veulent être freelance ou solopreneurs pour trouver leur premier client ? On spoiler alerte, toi maintenant tu travailles aussi dans le domaine de la prospection en tant qu'expertise, mais tu es d'accord que la prospection ça prend du temps, donc ça me semble presque antinomique par rapport au fait de faire des études. Enfin déjà quand on fait ses études, on n'a pas non plus trop trop de temps pour prospecter la terre entière sur son freelancing. Qu'est-ce que tu conseilles ?

  • Speaker #1

    Je pense qu'on est sur un tout début, comme j'ai pu le dire, et surtout qu'on n'est pas sur un service ou une offre liée à la prospection. Donc théoriquement pas de compétences spécifiques là-dedans. Je pense que... Le plus simple, mais en même temps le plus dur, c'est de prendre son téléphone. C'est très simple parce que ça demande juste un numéro de téléphone et on peut trouver le numéro de n'importe quelle entreprise sur Internet très rapidement. Et en même temps, c'est dur parce qu'il faut briser peut-être une forme de timidité ou le fait qu'on n'ait jamais pu faire ça auparavant. Donc, il faut se faire un petit peu de violence, mais c'est pour moi la méthode la plus rapide. Et puis après, si on veut aborder des techniques un petit peu plus déjà complexes ou qui vont prendre un petit peu plus de temps à se mettre en place, c'est peut-être déjà de se créer une forme de visibilité sur Internet et sur le réseau. qui va le plus toucher notre cible en fait. Moi, je sais que typiquement, je suis allé sur LinkedIn parce que je sais que c'est là-dessus où il y a le plus de décideurs qui est le type de client que je vise. Et donc, je me suis dit, je ne suis pas là pour devenir influenceur LinkedIn, je ne suis pas là pour avoir une grosse communauté, mais déjà, partage ce que tu sais, partage ce que tu sais faire. Ça ne te coûte pas grand-chose et tu peux être sûr qu'il y a du monde qui va te voir et ça te permet déjà de faciliter un petit peu ta prospection.

  • Speaker #0

    Alors attends, je vais y revenir. On va aller voir aussi ton profil. Mais donc déjà... Moi, tu vois, je pense qu'il n'y a pas encore beaucoup d'étudiants qui vont sur LinkedIn, de plus en plus, mais à mon avis, c'est pas non plus, à part ceux qui sont en école de commerce, ils n'y pensent pas forcément. Or, tu es d'accord qu'on peut être freelance dans n'importe quel domaine, même si on fait des études de pharma, de kiné ou n'importe quoi d'autre à côté. Du coup, tu n'as pas mis étudiant, tu as mis quoi comme statut, comme titre ?

  • Speaker #1

    En fait, je n'ai pas mis un nom de job parce qu'il n'y en avait pas de manière spécifique. En plus, vu que je n'avais pas d'offre, je veux dire, je n'ai pas associé une offre à un job. Donc, de départ, j'avais mis quelque chose du style comme je réalise vos sites web en no code ou quelque chose comme ça quand je faisais encore ça. Et puis au moment où je me suis lancé plus sur la partie prospection, parce que c'est ce qui me plaisait plus, je crois qu'il y avait une tagline comme je prospecte à votre place ou je vais vous chercher des rendez-vous avec la prospection. Enfin vraiment, en fait. Au-delà de donner un nom de job, un intitulé de job, vraiment une description très rapide de ce que je fais en fait en ligne et quel est l'avantage finalement à faire appel à ce genre de service.

  • Speaker #0

    Et alors sur la partie fake it until you make it qui peut être un peu critique quand tu fais tes études parce que bon, tu n'as pas un énorme portfolio client. Enfin voilà, je me dis, il suffit d'un, tu me diras. Mais au début, tu n'avais pas encore ton premier client, notamment sur ton offre de prospection. Tu as fait quoi ? Tu as fait des faux cas clients ? Comment tu as rempli ce vide, entre guillemets, dans le CV, le début du CV, en fait, qui est un peu critique quand tu es freelance et que les gens, ils aiment bien savoir ce que tu as fait avant ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors, j'ai rempli quelques expériences sur lesquelles je m'étais lancé, en fait, quelques mini-projets qui n'avaient pas forcément abouti, mais que je trouvais pertinent à intégrer, surtout avec l'explication qui est derrière, en fait, d'expliquer le pourquoi ça n'avait pas continué pour montrer que ce n'était pas simplement... une faute de parcours, un manque de compétences, mais bien dû à quelque chose de précis. Je me souviens notamment, ça a été le cas avec un projet que j'avais fait avec un pote à moi, sur lequel on avait été incubé à Nantes, une forme de projet startup, on avait expliqué pourquoi on n'y était pas allé. Et puis effectivement, il y a eu un peu de fake au début. En fait, ce que j'aimais bien faire, c'était rentrer en contact avec des boîtes, et même si je passais 10-15 minutes à les conseiller gratuitement, je leur disais derrière, est-ce que ça vous dérange si je dis que j'ai... entre guillemets bosser pour vous dans le sens où on a échangé peut-être sur une problématique que vous avez pendant 5-10 minutes. Donc ce n'était pas des vrais cas clients, j'ai été payé pour le faire, mais c'était quand même des entreprises ou des contacts avec qui j'avais échangé et sur lesquels j'avais espéré avoir un peu d'impact on va dire au début.

  • Speaker #0

    Pas mal. En gros, c'est une façon de conseil gratuit en échange d'une référence, ce qui se pratique quand même dans l'univers du freelancing, surtout quand on commence. Par curiosité, tu te rappelles combien tu priceais au tout début en freelance ? Peut-être aussi, j'allais dire, enfermé dans ce syndrome de l'imposteur de je viens de me lancer sur une nouvelle compétence, je n'ai pas encore de portfolio et d'ailleurs je me demande si c'est pas un peu ça aussi le risque quand tu te lances en freelance en tant qu'étudiant c'est que vraiment tu te prices très très bas point d'interrogation je sais pas si c'était ton cas en fait pas vraiment au début c'est à dire que je suis parti plus haut sur mes prix dès le début et je les ai rebaissés par la suite en fait je pense qu'il y a ce côté un petit peu justement vidéo motivation ou mindset

  • Speaker #1

    où on dit que ouais t'as trop regardé ça et en fait tu te dis que tu vaux alors oui c'est vrai tu vaux de l'argent mais et Peut-être pas trop non plus au début, donc j'ai un peu baissé mes pricing. Et effectivement, comparé à une personne qui avait de l'expérience par la suite ou une agence typiquement pour un site web, je devais être l'ordre de peut-être 30-40% moins cher. Donc pertinent pour la boîte en question et en même temps pour moi, pas forcément trop de pertes parce que j'ai beaucoup moins de frais qu'une agence traditionnelle par exemple. Donc je m'y retrouvais, c'était un pricing qui dans tous les cas était cool pour moi parce que c'était plus que ce que je pouvais espérer faire en restant juste étudiant. Mais effectivement, le pricing a évolué au fur et à mesure du temps.

  • Speaker #0

    Ok, écoute, là-dessus, je ne sais pas après ce que vous faites, vous nous direz dans les commentaires sur la communauté. Il y a quand même un minimum, moi je trouve, incompressible en dessous duquel... pas aller. Moi, des fois, j'ai rencontré des freelances. Je pense à quelqu'un à Nantes qui m'a dit que il gagnait 10 ou 15 000 par an. Je lui ai dit, ce n'est pas possible ça. Parce qu'en fait, c'est une façon de s'appauvrir. Même si tu le fais en parallèle, en side, même si tu es salarié, même si tu es étudiant, je trouve que si tu baisses trop ton prix, déjà, ça fait baisser le marché. En plus, ça décroît aussi un peu l'attention que le client peut avoir avec toi. La qualité perçue, non aussi, qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Clairement, je sais. Et parce que, du coup, pas le client, mais le prospect me l'a dit, qu'il y a eu des deals que je n'ai pas signés parce que j'étais trop bas. Et qu'en fait, il se doutait que... Alors déjà, qu'il y avait le profil un petit peu jeunesse qui rentre en compte. Mais il se doutait que potentiellement, il y avait une forme d'immaturité dans le pricing. C'est-à-dire que je ne me rendais pas suffisamment compte du travail qu'il y avait à faire ou ce que ça représentait ou le niveau d'engagement qu'il y allait avoir derrière. Donc, ça m'a un peu porté défaut aussi de... En fait, c'est assez compliqué. Il faut être sur cette bonne ligne. On ne va pas être trop cher, pas plus cher qu'une agence parce qu'on est freelance et que les gens savent qu'on a moins de charges. En même temps, ne pas se sous-évaluer pour ne pas paraître comme un amateur. Donc, il y a vraiment un petit peu cette ligne à aller tester et aller travailler avec.

  • Speaker #0

    Et de toute façon, toi, ta stratégie, ça a été après de passer à l'offre plutôt qu'au temps. Je ne sais pas si tu veux en parler maintenant. À quel moment ça s'est passé, le fait que tu te dises j'arrête de vendre mon temps parce que j'ai mes études à côté et je vends une offre

  • Speaker #1

    Assez tard, en fait. Sur la partie site web, finalement, c'était une offre puisque je vendais un site. Je faisais le ratio surtout au temps que ça allait me prendre plus qu'au projet en lui-même. Donc, j'étais quand même sur une vente de temps, même si pour le client, c'était plus à l'offre. Et en fait, c'est venu que récemment où j'ai vraiment essayé de packager des offres complètes avec beaucoup de process mis en amont sur de l'onboarding, sur du suivi client, sur de la délivrabilité aussi, pour que je sois sûr que mon client se dise j'en ai pour mon argent et j'ai réussi à avoir ce que je voulais avec le service d'Antoine et que pour moi, je sois en mesure de me dire ok, j'ai l'impression d'avoir vraiment été très rentable sur ce client-là parce que ça m'a pris très peu de temps et j'ai pu me dégager du temps justement pour prospecter derrière, pour être en cours, pour étudier, etc.

  • Speaker #0

    Bon, on va en parler tout à l'heure, de toute façon, de ton équilibre entre tes cours, ton alternance et puis ton métier de freelance et de solopreneur. Est-ce que tu as d'autres techniques à nous donner qui sont bonnes quand tu es étudiant pour trouver tes premiers clients en freelance ?

  • Speaker #1

    Ouais, je trouve qu'il y a un truc qu'on sous-estime énormément, c'est son cercle très proche. Et il y a un truc qui peut être super bien, c'est de prendre son iPhone, envoyer un message groupé à tous ses contacts en disant tout simplement Bah hello, j'essaye de me lancer sur une petite activité de x ou y quelque chose, n'importe quoi, par exemple la création de cet internet pour moi. Si jamais tu as des besoins ou tu connais quelqu'un qui pourrait avoir un besoin, n'hésite pas à me parler ou à me recommander parce que ça pourrait m'aider. Et en fait, très souvent ça peut marcher. Parce qu'une personne plus une personne, ça permet de faire monter le volume de prospection assez rapidement. C'est des personnes qui ont généralement déjà eu affaire à toi, donc ils ont une forme de confiance en toi, même si tu n'as rien prouvé pour eux, on va dire. Et puis, ça te permet de faire tes premiers tests.

  • Speaker #0

    Trop bien. De toute façon, j'allais dire, comme moi j'ai fait appel à tes services aussi, toi tu avais aussi utilisé cette technique quand on s'était rencontrés, puisqu'on s'était rencontrés à Nantes, via le réseau Nantais. Et j'étais en train de remonter sur le fil pour regarder comment tu m'avais alpagué sur LinkedIn. Mais donc, on s'était déjà vu dans la vraie vie. Et après, tu m'avais dit, tu avais rebondi sur un de mes posts. Tu t'intéressais quand même à mon univers et tu avais dit, est-ce que… Enfin, attends, je te dis le bon truc. Mais est-ce que tu fais de la prospection pour ton nouveau programme au-delà de ton acquisition LinkedIn ? Et tu avais commencé à engager aussi la conversation sur, en gros, ton offre. Et tu vois, tu t'étais intéressé à moi, mais on s'était déjà vu aussi dans la vraie vie. Ce n'était pas de la prospection dite… cold, tu vois, complètement froide. Donc, je pense que ça aussi, t'es malin. Et peut-être que c'est ça qu'il faut viser quand on est étudiant, c'est se dire, évidemment qu'on peut faire le truc le plus dur du monde, genre du cold emailing sur des clients de grands comptes qu'on ne connaît pas et qui sont à Paris. Et nous, on est en train de faire nos études à Toulouse. Après, je trouve que c'est assez réaliste, ta façon de penser, de se dire, et si je commençais dans mon cercle proche, et si je commençais par le plus facile ? Comme disent les Américains, c'est les low-hanging fruits, c'est-à-dire les petits fruits que je peux cueillir vite fait sans sortir l'échelle. Donc voilà, hyper cool aussi à combiner quand tu es étudiant et que tu as plein de choses à faire. Si ça te va, du coup, on va mettre tes petites techniques en plus commerciales dans la newsletter et je te propose qu'on passe à comment garder l'équilibre entre les études, potentiellement un premier boulot en salariat ou en tout cas une alternance. Et le freelancing, parce que toi, tu as combiné les trois. Tu ne t'es pas arrêté à juste je fais mes études et je suis freelance Non, tu as rajouté une case qui est celle de l'alternance. Donc, on va voir comment tu as combiné tout ça pour être un espèce de super salarié diversifié slash freelance solopreneur. C'est parti pour le prochain épisode.

Description

Envie de te lancer en freelance sans attendre la fin de tes études ?


Dans ce nouvel épisode du Board, mon invité Antoine Guiné, devenu freelance pendant ses études, t’explique comment signer tes premiers clients et générer tes premiers revenus avant même de décrocher ton diplôme. 🎓


Sa recette : une bonne dose de débrouille et d’audace et des astuces qu’il partage dans cette série pour te construire un portfolio, créer des contacts et même signer ton premier gros contrat !


📌 Comment Antoine a trouvé ses premiers clients dès la sortie du lycée

📌 Comment il utilise LinkedIn pour prospecter efficacement

📌 Ses techniques pour décrocher une alternance compatible avec le freelancing

📌 Comment il gère son emploi du temps pour éviter le burn-out et quand même profiter de sa vie d’étudiant

📌 Ses conseils pour rendre son activité freelance aussi durable et soutenable qu’un super job en CDI


Un épisode idéal pour les étudiants ambitieux qui veulent booster leurs revenus pendant leurs études.

Y a pas que les stages ou les apprentissages dans la vie, y a le freelancing aussi !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP.1 - I’m free - Stevie Wonder

EP.2 - Price Tag - Jessie J

EP.3 - Don’t stop me now - Queen

EP.4 - Not like us - Kendrick Lamar

EP.5 - 99 problems - Jay Z


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors Antoine, tu nous as parlé de la prospection, tu y as les caches, ça c'était pour tes tout débuts dans l'entrepreneuriat. Quelles sont tes techniques et qu'est-ce que tu conseillerais aux étudiants qui veulent être freelance ou solopreneurs pour trouver leur premier client ? On spoiler alerte, toi maintenant tu travailles aussi dans le domaine de la prospection en tant qu'expertise, mais tu es d'accord que la prospection ça prend du temps, donc ça me semble presque antinomique par rapport au fait de faire des études. Enfin déjà quand on fait ses études, on n'a pas non plus trop trop de temps pour prospecter la terre entière sur son freelancing. Qu'est-ce que tu conseilles ?

  • Speaker #1

    Je pense qu'on est sur un tout début, comme j'ai pu le dire, et surtout qu'on n'est pas sur un service ou une offre liée à la prospection. Donc théoriquement pas de compétences spécifiques là-dedans. Je pense que... Le plus simple, mais en même temps le plus dur, c'est de prendre son téléphone. C'est très simple parce que ça demande juste un numéro de téléphone et on peut trouver le numéro de n'importe quelle entreprise sur Internet très rapidement. Et en même temps, c'est dur parce qu'il faut briser peut-être une forme de timidité ou le fait qu'on n'ait jamais pu faire ça auparavant. Donc, il faut se faire un petit peu de violence, mais c'est pour moi la méthode la plus rapide. Et puis après, si on veut aborder des techniques un petit peu plus déjà complexes ou qui vont prendre un petit peu plus de temps à se mettre en place, c'est peut-être déjà de se créer une forme de visibilité sur Internet et sur le réseau. qui va le plus toucher notre cible en fait. Moi, je sais que typiquement, je suis allé sur LinkedIn parce que je sais que c'est là-dessus où il y a le plus de décideurs qui est le type de client que je vise. Et donc, je me suis dit, je ne suis pas là pour devenir influenceur LinkedIn, je ne suis pas là pour avoir une grosse communauté, mais déjà, partage ce que tu sais, partage ce que tu sais faire. Ça ne te coûte pas grand-chose et tu peux être sûr qu'il y a du monde qui va te voir et ça te permet déjà de faciliter un petit peu ta prospection.

  • Speaker #0

    Alors attends, je vais y revenir. On va aller voir aussi ton profil. Mais donc déjà... Moi, tu vois, je pense qu'il n'y a pas encore beaucoup d'étudiants qui vont sur LinkedIn, de plus en plus, mais à mon avis, c'est pas non plus, à part ceux qui sont en école de commerce, ils n'y pensent pas forcément. Or, tu es d'accord qu'on peut être freelance dans n'importe quel domaine, même si on fait des études de pharma, de kiné ou n'importe quoi d'autre à côté. Du coup, tu n'as pas mis étudiant, tu as mis quoi comme statut, comme titre ?

  • Speaker #1

    En fait, je n'ai pas mis un nom de job parce qu'il n'y en avait pas de manière spécifique. En plus, vu que je n'avais pas d'offre, je veux dire, je n'ai pas associé une offre à un job. Donc, de départ, j'avais mis quelque chose du style comme je réalise vos sites web en no code ou quelque chose comme ça quand je faisais encore ça. Et puis au moment où je me suis lancé plus sur la partie prospection, parce que c'est ce qui me plaisait plus, je crois qu'il y avait une tagline comme je prospecte à votre place ou je vais vous chercher des rendez-vous avec la prospection. Enfin vraiment, en fait. Au-delà de donner un nom de job, un intitulé de job, vraiment une description très rapide de ce que je fais en fait en ligne et quel est l'avantage finalement à faire appel à ce genre de service.

  • Speaker #0

    Et alors sur la partie fake it until you make it qui peut être un peu critique quand tu fais tes études parce que bon, tu n'as pas un énorme portfolio client. Enfin voilà, je me dis, il suffit d'un, tu me diras. Mais au début, tu n'avais pas encore ton premier client, notamment sur ton offre de prospection. Tu as fait quoi ? Tu as fait des faux cas clients ? Comment tu as rempli ce vide, entre guillemets, dans le CV, le début du CV, en fait, qui est un peu critique quand tu es freelance et que les gens, ils aiment bien savoir ce que tu as fait avant ?

  • Speaker #1

    Oui. Alors, j'ai rempli quelques expériences sur lesquelles je m'étais lancé, en fait, quelques mini-projets qui n'avaient pas forcément abouti, mais que je trouvais pertinent à intégrer, surtout avec l'explication qui est derrière, en fait, d'expliquer le pourquoi ça n'avait pas continué pour montrer que ce n'était pas simplement... une faute de parcours, un manque de compétences, mais bien dû à quelque chose de précis. Je me souviens notamment, ça a été le cas avec un projet que j'avais fait avec un pote à moi, sur lequel on avait été incubé à Nantes, une forme de projet startup, on avait expliqué pourquoi on n'y était pas allé. Et puis effectivement, il y a eu un peu de fake au début. En fait, ce que j'aimais bien faire, c'était rentrer en contact avec des boîtes, et même si je passais 10-15 minutes à les conseiller gratuitement, je leur disais derrière, est-ce que ça vous dérange si je dis que j'ai... entre guillemets bosser pour vous dans le sens où on a échangé peut-être sur une problématique que vous avez pendant 5-10 minutes. Donc ce n'était pas des vrais cas clients, j'ai été payé pour le faire, mais c'était quand même des entreprises ou des contacts avec qui j'avais échangé et sur lesquels j'avais espéré avoir un peu d'impact on va dire au début.

  • Speaker #0

    Pas mal. En gros, c'est une façon de conseil gratuit en échange d'une référence, ce qui se pratique quand même dans l'univers du freelancing, surtout quand on commence. Par curiosité, tu te rappelles combien tu priceais au tout début en freelance ? Peut-être aussi, j'allais dire, enfermé dans ce syndrome de l'imposteur de je viens de me lancer sur une nouvelle compétence, je n'ai pas encore de portfolio et d'ailleurs je me demande si c'est pas un peu ça aussi le risque quand tu te lances en freelance en tant qu'étudiant c'est que vraiment tu te prices très très bas point d'interrogation je sais pas si c'était ton cas en fait pas vraiment au début c'est à dire que je suis parti plus haut sur mes prix dès le début et je les ai rebaissés par la suite en fait je pense qu'il y a ce côté un petit peu justement vidéo motivation ou mindset

  • Speaker #1

    où on dit que ouais t'as trop regardé ça et en fait tu te dis que tu vaux alors oui c'est vrai tu vaux de l'argent mais et Peut-être pas trop non plus au début, donc j'ai un peu baissé mes pricing. Et effectivement, comparé à une personne qui avait de l'expérience par la suite ou une agence typiquement pour un site web, je devais être l'ordre de peut-être 30-40% moins cher. Donc pertinent pour la boîte en question et en même temps pour moi, pas forcément trop de pertes parce que j'ai beaucoup moins de frais qu'une agence traditionnelle par exemple. Donc je m'y retrouvais, c'était un pricing qui dans tous les cas était cool pour moi parce que c'était plus que ce que je pouvais espérer faire en restant juste étudiant. Mais effectivement, le pricing a évolué au fur et à mesure du temps.

  • Speaker #0

    Ok, écoute, là-dessus, je ne sais pas après ce que vous faites, vous nous direz dans les commentaires sur la communauté. Il y a quand même un minimum, moi je trouve, incompressible en dessous duquel... pas aller. Moi, des fois, j'ai rencontré des freelances. Je pense à quelqu'un à Nantes qui m'a dit que il gagnait 10 ou 15 000 par an. Je lui ai dit, ce n'est pas possible ça. Parce qu'en fait, c'est une façon de s'appauvrir. Même si tu le fais en parallèle, en side, même si tu es salarié, même si tu es étudiant, je trouve que si tu baisses trop ton prix, déjà, ça fait baisser le marché. En plus, ça décroît aussi un peu l'attention que le client peut avoir avec toi. La qualité perçue, non aussi, qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Clairement, je sais. Et parce que, du coup, pas le client, mais le prospect me l'a dit, qu'il y a eu des deals que je n'ai pas signés parce que j'étais trop bas. Et qu'en fait, il se doutait que... Alors déjà, qu'il y avait le profil un petit peu jeunesse qui rentre en compte. Mais il se doutait que potentiellement, il y avait une forme d'immaturité dans le pricing. C'est-à-dire que je ne me rendais pas suffisamment compte du travail qu'il y avait à faire ou ce que ça représentait ou le niveau d'engagement qu'il y allait avoir derrière. Donc, ça m'a un peu porté défaut aussi de... En fait, c'est assez compliqué. Il faut être sur cette bonne ligne. On ne va pas être trop cher, pas plus cher qu'une agence parce qu'on est freelance et que les gens savent qu'on a moins de charges. En même temps, ne pas se sous-évaluer pour ne pas paraître comme un amateur. Donc, il y a vraiment un petit peu cette ligne à aller tester et aller travailler avec.

  • Speaker #0

    Et de toute façon, toi, ta stratégie, ça a été après de passer à l'offre plutôt qu'au temps. Je ne sais pas si tu veux en parler maintenant. À quel moment ça s'est passé, le fait que tu te dises j'arrête de vendre mon temps parce que j'ai mes études à côté et je vends une offre

  • Speaker #1

    Assez tard, en fait. Sur la partie site web, finalement, c'était une offre puisque je vendais un site. Je faisais le ratio surtout au temps que ça allait me prendre plus qu'au projet en lui-même. Donc, j'étais quand même sur une vente de temps, même si pour le client, c'était plus à l'offre. Et en fait, c'est venu que récemment où j'ai vraiment essayé de packager des offres complètes avec beaucoup de process mis en amont sur de l'onboarding, sur du suivi client, sur de la délivrabilité aussi, pour que je sois sûr que mon client se dise j'en ai pour mon argent et j'ai réussi à avoir ce que je voulais avec le service d'Antoine et que pour moi, je sois en mesure de me dire ok, j'ai l'impression d'avoir vraiment été très rentable sur ce client-là parce que ça m'a pris très peu de temps et j'ai pu me dégager du temps justement pour prospecter derrière, pour être en cours, pour étudier, etc.

  • Speaker #0

    Bon, on va en parler tout à l'heure, de toute façon, de ton équilibre entre tes cours, ton alternance et puis ton métier de freelance et de solopreneur. Est-ce que tu as d'autres techniques à nous donner qui sont bonnes quand tu es étudiant pour trouver tes premiers clients en freelance ?

  • Speaker #1

    Ouais, je trouve qu'il y a un truc qu'on sous-estime énormément, c'est son cercle très proche. Et il y a un truc qui peut être super bien, c'est de prendre son iPhone, envoyer un message groupé à tous ses contacts en disant tout simplement Bah hello, j'essaye de me lancer sur une petite activité de x ou y quelque chose, n'importe quoi, par exemple la création de cet internet pour moi. Si jamais tu as des besoins ou tu connais quelqu'un qui pourrait avoir un besoin, n'hésite pas à me parler ou à me recommander parce que ça pourrait m'aider. Et en fait, très souvent ça peut marcher. Parce qu'une personne plus une personne, ça permet de faire monter le volume de prospection assez rapidement. C'est des personnes qui ont généralement déjà eu affaire à toi, donc ils ont une forme de confiance en toi, même si tu n'as rien prouvé pour eux, on va dire. Et puis, ça te permet de faire tes premiers tests.

  • Speaker #0

    Trop bien. De toute façon, j'allais dire, comme moi j'ai fait appel à tes services aussi, toi tu avais aussi utilisé cette technique quand on s'était rencontrés, puisqu'on s'était rencontrés à Nantes, via le réseau Nantais. Et j'étais en train de remonter sur le fil pour regarder comment tu m'avais alpagué sur LinkedIn. Mais donc, on s'était déjà vu dans la vraie vie. Et après, tu m'avais dit, tu avais rebondi sur un de mes posts. Tu t'intéressais quand même à mon univers et tu avais dit, est-ce que… Enfin, attends, je te dis le bon truc. Mais est-ce que tu fais de la prospection pour ton nouveau programme au-delà de ton acquisition LinkedIn ? Et tu avais commencé à engager aussi la conversation sur, en gros, ton offre. Et tu vois, tu t'étais intéressé à moi, mais on s'était déjà vu aussi dans la vraie vie. Ce n'était pas de la prospection dite… cold, tu vois, complètement froide. Donc, je pense que ça aussi, t'es malin. Et peut-être que c'est ça qu'il faut viser quand on est étudiant, c'est se dire, évidemment qu'on peut faire le truc le plus dur du monde, genre du cold emailing sur des clients de grands comptes qu'on ne connaît pas et qui sont à Paris. Et nous, on est en train de faire nos études à Toulouse. Après, je trouve que c'est assez réaliste, ta façon de penser, de se dire, et si je commençais dans mon cercle proche, et si je commençais par le plus facile ? Comme disent les Américains, c'est les low-hanging fruits, c'est-à-dire les petits fruits que je peux cueillir vite fait sans sortir l'échelle. Donc voilà, hyper cool aussi à combiner quand tu es étudiant et que tu as plein de choses à faire. Si ça te va, du coup, on va mettre tes petites techniques en plus commerciales dans la newsletter et je te propose qu'on passe à comment garder l'équilibre entre les études, potentiellement un premier boulot en salariat ou en tout cas une alternance. Et le freelancing, parce que toi, tu as combiné les trois. Tu ne t'es pas arrêté à juste je fais mes études et je suis freelance Non, tu as rajouté une case qui est celle de l'alternance. Donc, on va voir comment tu as combiné tout ça pour être un espèce de super salarié diversifié slash freelance solopreneur. C'est parti pour le prochain épisode.

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