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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

20 questions sur le freelancing et le solopreneuriat I Le Board x La Cohorte I En direct de Taf, Wax, Relax

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41min |01/08/2024
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20 questions sur le freelancing et le solopreneuriat I Le Board x La Cohorte I En direct de Taf, Wax, Relax

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Description

Cette semaine, je t'emmène avec moi en vacances (ou presque).


Je t'embarque avec moi en séjour Taf Wax Relax (mes séjours coliving & surf entre solopreneurs. 🏄🏻‍♀️


Lors de la dernière édition, j'ai enregistré un épisode collector avec Marine Aubonnet, la créatrice du podcast La Cohorte, un des top podcasts France pour les freelances.


Entre deux sessions de surf, on a posé nos micros et débattu de freelancing et solopreneuriat, à base de questions wtf préparées par Chat-GPT :

•⁠ ⁠Si tu devais choisir un animal totem pour représenter les freelances, ce serait lequel ?

•⁠ ⁠Quel est le meilleur (ou pire) conseil qu'on t'ai donné en freelance ?

•⁠ ⁠Quelle est ta méthode secrète pour déstresser après une journée de merde ?

•⁠ ⁠A quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ?


Un épisode collector qui ne va pas te dépayser si tu es en vacances, comme on a enregistré sur fond de mouettes...


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Bonne écoute !

__


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Salut Marine.

  • Speaker #1

    Salut Flavie, trop contente de te retrouver.

  • Speaker #0

    Trop bien. Alors, je te présente, si jamais vous nous écoutez sur le board, Marine.

  • Speaker #1

    Il n'y en a qu'une.

  • Speaker #0

    Tu es la formidable et l'unique host du podcast La Cohorte, le meilleur podcast sur le freelancing.

  • Speaker #1

    Et pour les auditeurs de La Cohorte qui ne connaissent pas Flavie, Flavie est celle qui fait frétiller vos oreilles sur le board, son podcast que vous... Vous allez dévorer si vous ne le connaissez pas encore.

  • Speaker #0

    Écoute, on se fait un petit épisode collector. On est toutes les deux en tongs. Short, paf, wax, relax.

  • Speaker #1

    Short.

  • Speaker #0

    Ouais, soleil, il y a des mouettes. Il y aura un petit peu de bruit, un petit peu de vent. On vient de finir la session de surf. Et puis, on est en séminaire de solopreneur et freelance.

  • Speaker #1

    J'ai adoré ce mot séminaire que tu avais choisi. On y croit. Il y a un petit côté vintage.

  • Speaker #0

    Voilà, on travaille un peu. On fait un peu des podcasts n'importe naouak. Et puis,

  • Speaker #1

    on se met en ce qui me concerne. La totale impro.

  • Speaker #0

    Et voilà, vous êtes avec nous pour une petite demi-heure en roue libre sur quoi ? Notre vision, nos funky trips sur le freelancing et le support. En l'occurrence,

  • Speaker #1

    c'est ChatGPT qui a préparé les questions.

  • Speaker #0

    On l'a un peu pimpé.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, voilà. Donc, en gros, on va parler d'entrepreneuriat et puis d'avenir.

  • Speaker #0

    Ouais, je dirais qu'on a une vingtaine ou une trentaine de questions un peu genre tirées au sort. Vous pouvez jouer à ça chez vous avec un pote freelance.

  • Speaker #1

    Ouais, vous vous poserez les mêmes questions.

  • Speaker #0

    Peut-être avec quelque chose à boire, non ?

  • Speaker #1

    On voulait le faire, mais comme il est en milieu de l'après-midi, on se dit que ce n'est pas très raisonnable.

  • Speaker #0

    On commence par quelle question, Marine ?

  • Speaker #1

    J'aime bien celle-ci, je te la pose parce que je ne saurais pas y répondre. J'aime beaucoup celle-ci. Quel est le plus gros mensonge que tu as dit à un client ? Elle est chaude celle-ci.

  • Speaker #0

    Elle commence trash. Alors, ne faites pas genre chastes oreilles, je ne mens jamais à mes clients, chers freelances, parce qu'on sait qu'on a toujours des excuses un petit peu. Alors moi, je suis bien embêtée maintenant parce que la plupart, ils me suivent en story. Donc par exemple, là, je ne vais pas dire, je suis en séminaire parce qu'en fait, ils me voient en story en train de se faire.

  • Speaker #1

    En séminaire.

  • Speaker #0

    Donc c'est la merde. Non, non, si, la classique, c'est oui, oui, c'est prêt. Fichons-nous un call pour en parler. pour valider, fixons un call pour valider. Je fixe le call au mieux 24 ou 48 heures après et j'ai une nocturne pour finir le truc.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça sur le timing. Moi aussi, j'ai pas mal pipoté, mais bien sûr, c'est en cours. En fait, je temporise. Je leur dis, j'ai quelques questions à vous poser. J'ai besoin d'informations complémentaires. Alors qu'en fait, je n'ai pas du tout besoin de ces infos. Mais ça me donne une raison pour temporiser.

  • Speaker #0

    Oui, toujours répondre à une question par une autre question.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est du semi-pipo, quoi.

  • Speaker #0

    Du pipo professionnel.

  • Speaker #1

    Du Pipo Pro. Je n'ai pas trop menti à mes clients. Ça a dû m'arriver de leur mentir. Mais si, je vous ai envoyé le mail. Ah mince, il est resté dans mes brouillons. Ça a dû m'arriver de le faire une ou deux fois.

  • Speaker #0

    Bon, tu as été dure avec moi. Oui, c'était chaud. Tu ne me présentes pas sous mon meilleur jour pour tes auditeurs.

  • Speaker #1

    Non, c'est clair. Ce n'était pas sympa d'attaquer par ça.

  • Speaker #0

    Tiens, quel est le meilleur ou le pire conseil qu'on ne t'ait jamais donné en tant que freelance ?

  • Speaker #1

    Oui, alors, il y a un truc qui m'énerve, mais vraiment chaud. C'est quand on me dit, on ne me l'a pas dit à moi, mais je l'ai vu tellement sur LinkedIn, c'est de travailler mon mindset. Ça me rend mais hystéro. Genre comment je fais pour travailler mon mindset, tu vois. Ça fait depuis quelques années que je cohabite avec mon mindset. Et genre, c'est pas malléable, je ne peux pas travailler dessus. Donc, en fait, perso, je fonctionne vraiment à la victoire externe, tu vois. Si je vois que ce que j'entreprends, ça fonctionne, et bien mon mindset, c'est un gros coup de boost. Donc, c'est plutôt dans ce sens-là. Plutôt que de travailler. En fait, je vois souvent, ouais, vas-y, travaille d'abord ton mindset d'entrepreneur. En fait, ça vient avec les petites réussites. Donc, je déteste quand on me dit travaille ton mindset.

  • Speaker #0

    C'est complètement débile pour moi. C'est les mots valises de l'entrepreneuriat que je ne peux plus blairer. C'est travaille ton mindset, propose de la valeur actionnable. Ça veut dire quoi ? En fait, c'est vraiment des mots valises qui ne veulent rien dire du verbiage d'entrepreneuriat. Et moi, je suis complètement d'accord avec toi. Ce n'est pas le mindset que tu travailles, c'est que tu fais des choses, ça réussit, du coup, tu as plus confiance en toi.

  • Speaker #1

    Travailler ton mindset, je te juge.

  • Speaker #0

    Écoute, moi, c'était ma question signature de mon début de podcast, le meilleur ou le pire conseil qu'on t'ait jamais donné. Et non, écoute, moi, je pense que finalement... Le pire conseil, c'était le TGM. Tu vois, c'est un peu un conseil sous-jacent. Non,

  • Speaker #1

    alors là, j'ai été obligée de te contredire.

  • Speaker #0

    Oui, je sais. Je sais pourquoi. Parce que surtout au début, tu ne sais pas ce que tu feras pour tes clients, donc tu le fais au TGM. Mais moi, ça m'a vraiment mis mal. C'est-à-dire que ça m'a mis dans un cercle infernal où ma première année de freelancing, je n'ai pas pris de vacances. Je travaillais tout le temps. J'étais obsédée par mon temps. Et déjà que moi, je suis assez obsédée par la productivité. Je me suis dit... chaque minute de mon temps est facturable ? J'étais en mode, il fallait que j'aille voir un psy, je pense, après ma première.

  • Speaker #1

    Je pense qu'il faut qu'on décrypte, parce que là, on est allé un peu trop vite. Et en plus, il y a les mouettes qui ont participé au débat, finalement. Travailler au TGM, c'est en gros, ce que tu t'appelles par ça, c'est facturer des journées. Et indiquer à tes clients, j'ai passé X temps sur la mission, et donc c'est le temps. Je pense que c'est une façon de commencer, parce que c'est facile. On regarde sur les simulateurs Shine ou sur Malte, et en deux-deux, on peut définir son TGM. Et si on ne sait pas comment facturer, ça peut être une bonne façon de commencer. Je pense qu'il ne faut pas en faire un… Peut-être que tu es un peu responsable de ça. Moi, je vois plein de débutants qui disent Non, mais surtout, le TGM, c'est caca, c'est caca Comme si c'était un truc dégradant. Je pense que pour commencer c'est bien. À partir du moment où on a réalisé quelques petites missions, et puis après en réalité dans la création de contenu, on ne facture jamais au TJM.

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, toi tu es... Enfin tu vois, on va parler freelancing et solo-preneuriat, moi c'est sûr que le freelancing ça ne me convient pas du tout. Parce qu'en fait, en freelance, j'aurais été payée moins qu'en tant que salariée. Donc je fais partie des rares personnes qui s'étaient appauvries avec le freelancing.

  • Speaker #1

    Ça vaut pour les métiers de conseil ça.

  • Speaker #0

    Et je trouve que du coup, ça reflétait mal mon métier. Je ne savais pas comment me vendre au TGM. Et du coup, j'étais chère sur le marché. Donc en fait, tant que j'étais là-dedans, j'étais un peu dans la compétition malsaine.

  • Speaker #1

    Après, je pense que le TGM, ce n'est pas un gros mot. Je pense que pour commencer, c'est bien. Mais je pense qu'assez vite, il faut... Moi, le Maroc, c'est surtout que nos clients ne doivent pas savoir combien de temps on consacre à la mission. Parce qu'à partir du moment où j'ai fait cette erreur-là... J'étais sur une mission où j'envoyais des tables au temps et je disais, voilà, j'ai passé tel temps sur ça, tel temps sur ça. Donc, résultat, l'addition, c'est tant. Sauf qu'à partir de ce moment-là, j'avais un client qui me disait, ah ouais, mais alors attends, je ne comprends pas pourquoi tu as mis autant de temps là-dessus. Franchement, c'est trop long. Et donc, en fait, c'est notre info à nous, le temps. Le mieux, c'est de pouvoir facturer le plus rapidement possible au livrable. Et là, ça change la donne. OK.

  • Speaker #0

    Bon, meilleur conseil ?

  • Speaker #1

    Le meilleur conseil que j'ai reçu ? Alors là, je t'avoue, je ne suis pas que des conseils pourris.

  • Speaker #0

    C'est toi qui donne les conseils.

  • Speaker #1

    Oui, c'est moi qui donne les conseils. Le meilleur conseil que j'ai reçu, c'est super bateau, mais se spécialiser.

  • Speaker #0

    Excellent.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas original.

  • Speaker #0

    Mais attends, on n'est pas obligé d'être original surtout.

  • Speaker #1

    C'est clair.

  • Speaker #0

    Meilleur conseil ? Moi j'avoue, pareil, j'ai reçu des piètres conseils. Parce qu'en fait, j'ai reçu plein de conseils d'entrepreneuriat. Et je trouve que ça n'allait pas du tout avec le freelancing. Et j'ai reçu plein de mauvais conseils de mes potes salariés aussi. Ceux qui me disaient Mais pourquoi tu fais ton Instagrammeuse, là, à poster des posts sur LinkedIn ? C'était jaloux. Non, mais je leur disais Je ne sais pas, si tu étais freelance, tu ferais comment pour trouver tes clients ?

  • Speaker #1

    C'était jaloux.

  • Speaker #0

    Non, non, meilleur conseil, ne facture pas tout ton temps.

  • Speaker #1

    Oui, c'est clair. Tu vois, c'est aussi un luxe d'être dans une situation où on pourrait facturer tout son temps. Tout le monde ne se rendait pas dès le départ à un truc. Ah là là, potentiellement, j'ai des missions qui me prêtent toute ma semaine.

  • Speaker #0

    Si, en fait, il y en a plein. On appelle ça gentiment, mais tu vois, un peu salariat déguisé. En fait, les développeurs qui se vendent 5 jours sur 5 pendant 6 mois en ESL, non. Moi, je parlais avec la directrice de Malte, région Ouest, elle me dit, on ne trouve plus de toute la région Ouest de développeurs qui travaillent plus de 4 jours sur 5, parce qu'en fait, ils veulent profiter de la vie. Donc, tu vois, moi, je dis à mes amis développeurs, en fait, pourquoi tu acceptes des missions 5 jours sur 5 ?

  • Speaker #1

    Il y a un job salarié.

  • Speaker #0

    4 jours sur 5, 3 jours sur 5, ça passe. Oui, c'est clair. Donc, gardez-vous du temps un petit peu pour vous.

  • Speaker #1

    Ça marche. Moi, je te posais une question.

  • Speaker #0

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Bon, forcément, le dress code quand tu bosses. Comment tu es sapée ?

  • Speaker #0

    Scandaleux. Scandaleux dress code. Leggings, birk. Non, pieds nus. Leggings, pieds nus. En fait, je vais déposer mes enfants à l'école en mode sport. Après, je vais au sport. Et tu ne te changes pas ? Je ne me change pas tout de suite. Moi, j'aime bien prendre ma douche. en midi, tu vois.

  • Speaker #1

    Quand elle s'est bien incrustée dans la peau.

  • Speaker #0

    Je suis un peu décalée.

  • Speaker #1

    Ou alors, tu ne fais pas vraiment du sport. C'est un sport.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà. Et qu'est-ce que j'ai comme... Non, voilà. Pieds nus, posé dans mon canapé, selon toutes les préconisations des ergognomes qui travaillent.

  • Speaker #1

    Ergotérapeute, évidemment. Ah non, moi, je ne fais pas ça. Non, pas du tout. Non, alors, le seul truc, c'est que... Je suis toujours en pantoufles. Et du coup, il y a quelques jours, Je me faisais la réflexion, mais putain, elles sont défoncées, mes pantoufles. C'est des espèces de hug, mais c'est des cross, mais qui sont de très bonne qualité. Et en fait, je me dis, mais merde, comment ça se fait que je les use autant ? Ah bah, en fait, c'est les chaussures que je porte à H24. Donc, voilà ce qui se passe. J'ai un trou devant.

  • Speaker #0

    T'as un trou devant tes...

  • Speaker #1

    Sur le bout de mes...

  • Speaker #0

    Que tu mets que en travaillant à ton ordinateur sans rien faire d'autre.

  • Speaker #1

    Ouais, bah je me déplace.

  • Speaker #0

    Tu bouges les orteils quand tu...

  • Speaker #1

    Ouais, et puis je me déplace et tout. Non, non, je suis une digitale locale nomade. Je change de pièce. Maintenant je fais ça. Donc je les porte beaucoup, donc elles sont un peu usées, mais je pense qu'elles peuvent tenir. Et aussi, alors ça c'est un truc, et je crois que j'avais l'idée que je l'avais sur tous mes enregistrements d'épisodes, mais j'ai une espèce de gilet, genre la serpillarde quoi, dans le Père Noël, une ordure, que je mets par-dessus mes fringues parce que j'ai froid, et c'est un truc en fausse laine, tu peux le mettre dans tous les sens, ça marche, mais il est horrible ce truc. Et je l'ai pas passé à la machine depuis 10 ans je crois.

  • Speaker #0

    Mon grand problème c'est les podcasts vidéo. maintenant il faut faire des podcasts vidéo en fait on voit ta dégaine en vidéo il faut que je m'habille moi je mets que des petits clips mais même quoi qu'il en soit on voit ah ben j'ai une casquette tout le temps aussi même chez moi une casquette à l'intérieur mais à débattre ouais je la valide elle est visée sur ma tête alors qu'est-ce que c'est quoi ta méthode secrète pour déstressé quand t'as une journée de merde freelance alors ça je l'ai un peu anticipé et j'ai honte de répondre mais je crois que c'est pas une méthode secrète mais

  • Speaker #1

    En fait, je crois que je crie sur mes enfants.

  • Speaker #0

    Tu cherches un bouc émissaire ?

  • Speaker #1

    Ça me défoule. Non, mais c'est pas bien. Sinon, je n'ai pas de méthode. C'est que je fais pas mal de sport, donc ça m'aide bien. Mais en vrai, je crois que le premier truc qui se passe, c'est ça. Donc, c'est très, très moche. Moi, je ne souhaite pas ça chez vous.

  • Speaker #0

    Je ne supporte pas ces ascenseurs émotionnels. Ça m'est réarrivé lundi avec un mauvais feedback client. Et je trouve que c'est hyper dur dans le freelance. C'est-à-dire que tout va bien et tout, tu te défonces. Et j'en tas. un mini feedback désagréable, un truc qui va pas dans ton sens, c'est le fameux ascenseur émotionnel.

  • Speaker #1

    Moi aussi,

  • Speaker #0

    j'ai envie de tout casser. Moi, je pars marcher en mode Manu Flurax, Mamie Flurax, avec un podcast. Et du coup, j'écoute rien du podcast parce que je suis en train de ressasser le truc en boucle dans ma tête.

  • Speaker #1

    Mamie Flurax, j'ai envie d'aller essayer de le dire, tu dentines un peu des fesses quand tu marches ?

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce que la marche, tu vois, c'est pas une activité très... Mais bon, je trouve que ça vide bien le cerveau. Et ça te force à ne pas rester derrière ton bac en te disant, je vais lui répondre. Ah oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Surtout, ne jamais répondre à chaud. Ouh là là, j'ai trop fait ça. Quelqu'un qui va répondre à chaud, ça va beaucoup mieux. Alors, je poursuis. À ce moment-là, à quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ? 10 ans, donc ça nous fait 2034. C'est à la fois loin et pas si loin que ça.

  • Speaker #0

    Putain, on est passé du pyjama à dans 10 ans, la prospective. Pyjama, prospective.

  • Speaker #1

    Oui, prospective, ça demande une certaine élasticité du cerveau. Oui.

  • Speaker #0

    Moi, j'adore les trucs du futur en plus. Mais là, j'avoue, j'ai du mal à voir parce qu'avec tous les chamboulements de métiers, genre l'LGBT, toutes les IA, ça me fait un peu peur. Parce qu'on voit qu'on se fait un petit peu uberiser nos trucs créatifs. Écoute, je pense que le freelance, dans dix ans, il sera quand même mieux admis en société encore. Parce que là, il n'y a que un million de freelance. Ça fait même pas, je sais plus combien ça fait sur le nombre de populations actives en France.

  • Speaker #1

    Ouais. Après, il y a des freelances cachées, à mon avis.

  • Speaker #0

    Oui. Voilà. Donc, plus admis en société. Un mix des équipes hybrides dans les boîtes où il y aura genre moitié freelance, moitié salarié. Et puis, tous les salariés diversifiés qui seront en partie freelance. Donc, un peu comme moi, comme moi, je me suis lancée. Voilà, je vois plus comme ça. Tu vois, vision de société, je me dis le freelance va plus admis. Après, qu'est-ce qu'il va faire le freelance ?

  • Speaker #1

    Moi, je pense qu'il gagnera déjà plus de pognon. Oui. Ce serait pas mal. Plus de pognon pour pouvoir se payer les trucs qu'il a envie de se payer. Voilà. Et puis, il y aura ce truc, de plus en plus de trucs collectifs, un peu comme on est en train de faire là. On se fera des séminaires, mais ça deviendra carrément la norme. Et puis même, je pense qu'il y aura un truc complètement hippie, des maisons, des co-living, mais à vie. Des gens qui s'installent.

  • Speaker #0

    Moi, je pense qu'il sera hyper spécialisé.

  • Speaker #1

    Ah ouais ?

  • Speaker #0

    T'en as parlé, je pense que je ne vois pas comment c'est possible autrement.

  • Speaker #1

    Alors après, c'est sur la spécialisation, tu peux choisir une niche, mais vraiment une petite niche qui apprécie le côté toussus.

  • Speaker #0

    Oui, mais bon, en gros, je pense qu'il y aura plus ça va, plus ça va la spécialisation. Là, c'était la spécialisation des métiers, genre grosse hacker, grosse marketer, non, non, non. Il y avait aussi de la spécialisation sectorielle. Là, il va y avoir les deux. spécialisation métier, spécialisation sectorielle et peut-être spécialisation outils ou techniques ou approches spécifiques. Je vais révéler un espèce de triptyque de la spécialisation de mini-niche.

  • Speaker #1

    Ou un bien spécialisé. Mais il peut pivoter. Le truc, c'est qu'il sera un freelance qui pivotera.

  • Speaker #0

    Et dans dix ans, ça veut dire que les freelances, il y aura des générations alpha qui seront freelances. Donc ça sera un post-étude.

  • Speaker #1

    Oui, mais alors eux, tu vois, j'en ai déjà croisé des précurseurs. Ils ne se posent pas la question du format freelance salarié. Ils n'en ont rien à faire. Et ça, c'est assez cool. Non, mais c'est vrai.

  • Speaker #0

    En fait, tu veux dire que ça ne sera plus un clivage ? Pas du tout.

  • Speaker #1

    Ok. Je pense que ça sera...

  • Speaker #0

    Tu choisiras ton job que tu as envie de faire.

  • Speaker #1

    Tu définiras le format, à la limite, avec ton boss ou ton client. Mais ça sera complètement modulable.

  • Speaker #0

    Comme on a vu qu'aujourd'hui, tout le monde est un peu créateur aussi. Avec une chaîne YouTube, des réseaux sociaux, je pense que tout le monde sera un peu solopreneur, au moins un petit peu en parallèle. Pas forcément pour son métier principal, mais il y aura un petit truc à côté.

  • Speaker #1

    Un peu à l'américaine.

  • Speaker #0

    Ok, boule de cristal, on verra. Rendez-vous dans dix ans. C'est quoi la chose la plus surprenante que tu as apprise sur toi-même, Marine, quand tu es devenue freelance ?

  • Speaker #1

    C'est question, tu vois, on a zéro préparé. La chose la plus surprenante que j'ai apprise sur moi-même, En fait, si, je pensais être structurellement désorganisée et je suis capable de progresser. Alors tout doux, je ne suis pas en mode, j'ai planifié toutes mes journées et je batch comme une folle. Mais quand même, je progresse et c'est très satisfaisant. En fait, c'est juste, on peut évoluer, on peut monter en compétence sur tout. Bon, ça prend plus ou moins de temps, mais je crois que c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu m'as un peu piqué, j'allais dire disciplinée parce que je pense que ça c'est le podcast. Je pensais que j'étais bordélique et en fait quand même ça fait quatre ans que je fais des podcasts.

  • Speaker #1

    Oui, c'est un peu le même sujet.

  • Speaker #0

    Alors du coup, je vais en trouver une autre. Je vais dire le goût du risque. Je te jure. Alors attention, j'étais hyper politique, bonne élève, première de la classe et tout dans ma carrière d'avant. Donc je ne pensais pas être quelqu'un qui avait trop le goût d'oser, d'entreprendre. Et là, je trouve que plus ça va, plus je l'ai. Tu vois, genre, je lance des trucs, vas-y, j'y vais, je crois mon intuition, je pivote, je teste une nouvelle offre. Je suis trop à fond. Là, j'ai presque...

  • Speaker #1

    Je reconnais que tu incarnes bien cette idée, c'est l'action d'abord, la réflexion après.

  • Speaker #0

    Oui. Avant, j'aurais dit que c'était un truc de teubé, d'influenceur de salle de sport, de dire ça. Mais maintenant, je valorise plus l'action que la réflexion.

  • Speaker #1

    Et bien distinguer, on digresse là, mais bien distinguer les phases d'action et les phases de réflexion, parce que moi, j'ai tendance à perdre tout en même temps. Non mais c'est vrai en fait, dès que je fais un truc, genre je mets un signe de ponctuation ah mais enfin, est-ce que c'est le bon signe ? Genre se poser les questions après quoi. Poursuivons. Ah j'aime bien celle-ci ! Si tu pouvais collaborer avec une star pour un projet freelance, avec qui ce serait ?

  • Speaker #0

    Et putain, je suis nulle en star. Je ne connais rien en star. Voici cette week.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te dire un truc genre Oprah Winfrey ou Beyoncé, tiens un truc qui en jette quoi.

  • Speaker #0

    Mais je sais, mais je suis nulle en star. Genre moi, j'écoute des chanteurs morts. Bob Marley.

  • Speaker #1

    Tu peux dire un mort aussi, pourquoi pas.

  • Speaker #0

    Oprah Winfrey, j'ai découvert qu'il s'était un peu sur le tard, qu'elle a un méga écosystème business, solo-preneur et tout, mais je ne sais pas. Ah ouais,

  • Speaker #1

    elle est palaise.

  • Speaker #0

    Non, moi, c'est sûr que ça serait un artiste. Dans le sens où, en fait, j'adore... En fait, les artistes, ils m'inspirent beaucoup dans le côté solo-preneur et tout, parce que je trouve qu'on a plein de points communs. Il faut qu'ils soient créatifs, il faut qu'ils osent affirmer... un nouveau truc un peu sur le marché. Il y a beaucoup de... C'est dur de se différencier.

  • Speaker #1

    C'est chaud, oui.

  • Speaker #0

    Et ça me plairait. Et moi, j'aime bien le côté créatif du soloprenariat. C'est artisan, faire des trucs de ses dix doigts, fun aussi. Donc, j'aimerais trop que ça soit un artiste ou sinon, un champion de surf, mais je ne les connais pas pour continuer la progression.

  • Speaker #1

    Un style rêve, un champion de surf, c'est Kelly Slater,

  • Speaker #0

    mais ça commence vraiment à date ? Ça date un peu, voilà.

  • Speaker #1

    Ouais, moi, j'aurais dit Beyoncé, un truc... qui envoie la classe.

  • Speaker #0

    En toute simplicité.

  • Speaker #1

    Mais en toute simplicité, alors il faut trouver un projet, quoi.

  • Speaker #0

    Oui.

  • Speaker #1

    Mais bon, à réfléchir.

  • Speaker #0

    Ben podcast, est-ce qu'il y en a un à elle ?

  • Speaker #1

    Bon, bien sûr, laisse tomber. Peut-être ? Oui, bien sûr. Ok.

  • Speaker #0

    Alors.

  • Speaker #1

    Tu sais quoi ? Je vais lui envoyer une demande d'interview. On ne sait jamais. Vas-y.

  • Speaker #0

    Quel est le mythe emblairable sur le freelancing que tu as envie de dégommer ?

  • Speaker #1

    Juste, on ne l'a pas déjà fait, celle-ci ?

  • Speaker #0

    Non.

  • Speaker #1

    Non, c'était le conseil. Ah oui, le mythe. OK, je l'ai. Ah oui, le mythe sur le freelancing, c'est qu'on est tous des précaires. En fait, c'est ça. J'aime pas. Et ça, c'est un de mes combats. C'est que, enfin, alors, en dehors de notre petit écosystème, mais pour beaucoup, freelancing, c'est associé à la précarité, galérien, encore. Alors, ça évolue. Et j'aimerais que, voilà, on puisse associer le freelancing à choix de carrière, tu vois, et à ambition.

  • Speaker #0

    Mais tout à fait d'accord. Je déteste ce truc et j'ai fait un post la dernière fois sur ça. Tout le monde était à fond. Ça marche bien, ton petit business de freelancing ? Bah écoute, je sais pas, je fais plus de chiffre d'affaires que ta startup là qui est censée révolutionner la planète, donc bah ouais, je pense que ça marche bien.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est clair, c'est le truc, je sais plus ce que m'avait dit ma belle-mère, mais genre, ta petite cuisine, ta petite toutouille.

  • Speaker #0

    Bon allez, belle-mère, c'est hors-jeu de toute façon. Ouais, de toute façon,

  • Speaker #1

    j'ai pas prolongé l'échange, mais bon, j'ai compris quoi.

  • Speaker #0

    J'adore.

  • Speaker #1

    Donc ouais, j'aimerais, après c'est plus un truc... à la fois un mythe, parce que soyons lucides, il y a quand même un max d'indépendants qui gagnent peu et pas régulièrement leur vie, mais c'est aussi un truc sur lequel on, en tout cas, toi et moi, on se bat pour que ce ne soit plus le cas et que les finances puissent avoir de plus en plus d'ambition s'ils le souhaitent.

  • Speaker #0

    Moi, c'est le smic LinkedIn. Ça a été un peu... En fait, il y a 10 cas par mois et tout. Tout le monde peut y arriver, etc. Tout le monde, oui, mais pas en faisant tous les métiers en freelance.

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais un peu... Je suis passée à travers ces postes-là.

  • Speaker #0

    Non, mais en fait, typiquement, faire 100K en freelance, c'est facile. Si tu choisis le bon marché, le bon personnage et la bonne compétence...

  • Speaker #1

    Mais ce n'était pas facile.

  • Speaker #0

    Ben non, du coup,

  • Speaker #1

    ce n'était pas facile. C'est possible, j'ai envie de dire, c'est possible.

  • Speaker #0

    Mais il y a plein de gens, surtout, qui ne veulent pas changer leur truc. Donc, si tu ne veux pas changer, si tu veux être, j'en sais rien moi, par exemple, faire 100K en étant naturopathe, je pense que ce n'est pas facile.

  • Speaker #1

    On en revient à notre naturopathie.

  • Speaker #0

    je ne sais pas et s'il y a des naturopathes qui nous écoutent indiquez-nous où vous en êtes en termes de CA parce que ça se trouve on a des préjugés et c'est pas bien non c'est possible et aussi c'est une orga et c'est du taf enfin on ne peut pas se voilà non moi mais moi je suis pour la en gros je suis pour la plasticité c'est-à-dire tu peux changer de métier là on est avec un pote qui était à Sciences Po et qui a fait de la data analyse et bah oui en tant que data scientist je ne sais pas quoi c'est plus facile de faire les six chiffres en fait ouais c'est sûr donc voilà changer de pied si vous avez envie. Et si vous n'avez pas envie, tout le monde n'est pas obligé de faire les 100K. Mais je veux dire, le speak LinkedIn pour tout le monde, dans toutes les niches et dans toutes les conditions, bof.

  • Speaker #1

    Après, à chacun de voir si ça les drive, tu vois, un objectif de chiffre d'affaires ou pas. Mais moi, le message que je veux passer, c'est que c'est possible. C'est pas parce qu'on est tout seul qu'on ne peut pas, quoi. Alors, attends, à moi de choisir une petite question très fun. Alors, attends, tout ça, on avance comme des brutes. Ah oui, j'aime bien celui-ci aussi. je te file 100 000 euros pour organiser un événement de ouf pour les freelances régale-nous, qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    moi c'est sûr, je sais, je veux essayer de le faire, mais je ne sais pas si j'y arriverai je veux alors, deux choix, si je suis en mode on ne prend pas l'avion et tout j'organise une grosse free party donc je voudrais une grosse salle de concert, un gros festival une espèce de TEDx, mais plus rigolo, Independence Day, on parle tous de comment être plus libre. Et après, ça se finit en grosse, grosse soirée. Et sinon, deuxième idée pour les solopreneurs, je voulais qu'on parte aux US, aux USA, la terre où on voyage d'études, de mise des solopreneurs. On rencontre des solopreneurs trop légendaires et tout ça, et qu'on aille finir par soit un event, un gros event, Creator Economy ou je ne sais pas quoi, soit Burning Man. Qu'est-ce que tu en penses ? Mais est-ce que j'ai assez avec 100 000 balles pour emmener tout le monde à Bernoulli ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas sûre. Ok, on emmène, oui. Il y aura une liste d'attente, ça, il est clair.

  • Speaker #0

    Une liste d'attente pour 2 000 balles.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, on va vous faire une petite page de vente. On n'a rien, mais dites-nous. Donc, oui, je suis assez chaude bouillante. Moi, je pensais plutôt sur... Peut-être pas trop sur le fond, mais sur la forme. Je me suis dit que ça serait marrant qu'on soit déguisé. Non ? Si tu veux. Un truc un peu déguisé. Et puis, avec des animations... Là, je fais un petit clin d'œil à nos amis du Friop Festival, mais en roller, quoi. On se refait les rollers.

  • Speaker #0

    La roller party,

  • Speaker #1

    c'était bien. La disco roller party, c'était très drôle. Et puis, ou alors... Attends, je l'ai. On se fait ça à un... Tu sais, un parc aquatique. Non mais c'est le retour d'enfance ça serait ouf Là tu nous des relations de dingue on se fait un séjour, tu vois, regarde on prend pas l'avion en plus on privatise un parc aquatique

  • Speaker #0

    Ah oui, il faut privatiser un truc, parce que tu sais les séminaires d'entreprise ils privatisent Pour avoir l'air important, nous on est pas une grosse entreprise mais il faut qu'on se mette à plein de freelance et on privatise un truc de ouf et on s'éclate C'est très festif notre format C'est festif et c'est du type,

  • Speaker #1

    enfin il va y avoir des relations de ouf qui se nuient qui se lit, pardon. Là, c'est un peu bizarre. Et ça sera hyper productif. Donc, je pense que si vous êtes chaud bouillant, vous nous envoyez votre mail, on vous met sur la liste d'attente. De toute façon, Flavie va créer la landing.

  • Speaker #0

    Quel est ton mime préféré pour décrire le freelancing ?

  • Speaker #1

    On dit mime ?

  • Speaker #0

    J'ai fait ça parce que je ne sais pas. Mais non, moi, je dis même. Oui,

  • Speaker #1

    oui. Écoute, alors, je n'en ai pas,

  • Speaker #0

    mais j'adore poster des mimes.

  • Speaker #1

    J'adore les mimes. Mais tu vois, c'est un vrai petit bonheur de les choisir, les images. Et j'aimais bien... J'aime bien mettre des mèmes avec des animaux. Il y en avait un où c'était un ours qui se cachait derrière un arbre et qui se planquait, tu vois, et qui du coup avait un peu de mal à affirmer son positionnement, son pitch. Ah non, c'était quand il voulait négocier ses prix, quoi. Donc il se planque derrière un arbre, et je trouvais ça très drôle et très mignon. J'en ai plein avec des chatons. Oui,

  • Speaker #0

    j'aime bien. Moi c'est alors je sais pas comment le décrire tu vois une espèce de courbe de gosse comme ça donc une espèce de courbe en cloche et donc le mec qui pleure au milieu enfin non au début il y a un mec avec une cagoule enfin pas une cagoule une capuche de prêtre au milieu il y a un mec un peu genre qui fait plein de trucs et à droite il y a le mec un peu relax avec sa petite capuche de prêtre et ça ça fait trop penser à ma vie solopreneur c'est au début tu commences avec des choses simples genre je vends tel truc, c'est tel prix, voilà. Après, tu construis des milliards de trucs, putain de process dans tous les sens, 12 podcasts, 14 réseaux sociaux, un ocean avec 177 pages. Et après, tu reviens à un truc basique, genre je note mes idées de post LinkedIn sur ma note iPhone et je les poste. Ouais,

  • Speaker #1

    c'est marrant.

  • Speaker #0

    En création de contenu, notamment.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est la création de contenu, je vois. Ouais, je vois. Je sais pas où je me situe dans la courbe, en fait.

  • Speaker #0

    Simplicité, rocket science au milieu. Et après, tu reviens à la simplicité, mais genre... Parce que t'es un senior, en fait, t'as compris ce qu'il fallait abandonner, tu gardes que ce qui est le mieux.

  • Speaker #1

    Je crois que je suis un peu paumée dans la cour, moi, perso. Je peux... Bon. Écoute, je te dirais si je progresse. Alors, attends, qu'est-ce qu'on avait comme question ? Oh putain, celle-ci est... Pardon. Oh flûte, celle-ci, elle est chaude. C'est la première fois que vous m'entendrez jurer. Je l'ai jamais fait sur...

  • Speaker #0

    Moi, ça m'arrive de plus en plus. De plus en plus détente sur le bord de... Est-ce que t'es en épisode ?

  • Speaker #1

    Je pense bien que je scripte tous les épisodes, donc il n'y a jamais de place pour le... La vulgarité.

  • Speaker #0

    J'avais vu un article, une étude de Harvard Business Review qui dit que jurer de temps en temps, ça crée du lien avec les gens et tout. Ils te réunissent de plus, d'une certaine manière.

  • Speaker #1

    Sur le respect, je ne savais pas.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas être comme un charité.

  • Speaker #1

    Ça marche. Aurélie Chast, excusez-moi. J'enchaîne avec cette question. Franchement, la question tue, j'ai envie de dire. C'est quoi son plan à 10 ans ?

  • Speaker #0

    Ah putain, je ne voulais pas que tu me dises ça.

  • Speaker #1

    Ah putain, tu as juré encore.

  • Speaker #0

    Oh putain ! Elle est dans la liste. J'adore cette question, parce que je la pose en bout de camp, on fait le plan à 5 ans. Parce qu'en fait, ça donne des perspectives. Parce que tu sais, moi je suis sur la construction de produits scalables. Donc les gens qui croient qu'en un mois, tu vas gagner 30 000 balles avec une formation en ligne, ils se mettent un gros doigt dans l'œil. Ça prend du temps. Tu vois, il faut créer un média. Il faut pousser le truc, il faut trouver sa méthode.

  • Speaker #1

    Ça prend 5 ans,

  • Speaker #0

    mais ça prend au moins un an. Et donc, ça te donne des perspectives de se dire, dans 5 ans, il faut que j'ai tant. Donc, ça te laisse le temps de construire un produit scalable. Par contre, 10 ans, c'est vraiment dans longtemps. Donc, un, j'espère avoir augmenté mon niveau de surf.

  • Speaker #1

    Oui, il y a ça.

  • Speaker #0

    Deux, je veux continuer à avoir une bonne vie, pas trop déséquilibrer la choupe, je m'améliore. Tu vois, je travaille un peu moins qu'avant, je suis un peu moins stressée. Ce n'est pas gagné, parce que je suis encore un peu obsédée par mon business. Et puis, trois, je voudrais continuer à faire des trucs créatifs. Tu sais, les gens, ils t'enferment vite dans... Bon, tu as une offre qui marche, donc tu ne fais que ça toute la journée. Mais moi, je suis un peu un esprit un peu foufou. Donc, ouais, mais si c'est pour faire un truc toujours le même, ça ne m'intéresse pas. J'ai envie de faire soit mon truc de Burning Man, soit mon festival des friands, soit, je ne sais pas, des trucs de fou.

  • Speaker #1

    Des trucs fun, ouais. Je pense que le truc, franchement, vu l'audience qu'on va avoir sur cet épisode, c'est lancé, quoi. L'événement... ou c'était quoi, l'Aquapark ?

  • Speaker #0

    En faisant du surf avec des freelances comme on est en train de faire là, j'ai aussi l'idée peut-être d'acheter un lieu, pas loin du surf, pour peut-être faire du co-living. Tu vois, j'ai un peu ces projets-là. On revient me voir dans peut-être trois mois, ça aurait peut-être changé. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Moi, je sais pas mal. Moi, à 10 ans, je me vois avec une bête de maison, tu sais, en haute falaise, avec des petits escaliers qui descendent sur la plage. C'est très matérialiste. Mais je vois bien, c'est un truc au bord de la mer. Là-dessus, on se rejoint. C'est vrai que j'aurais fini... Pas mal de romans. Et je pense que j'en ai autant de succès que J.K. Rowling.

  • Speaker #0

    Ah, en mode romancière ?

  • Speaker #1

    Ouais, mais en side, tu vois.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    parfait. Parce que je ne vais pas lâcher le reste. Et du coup, je serai sollicitée régulièrement. On me proposera des déj'incroyables.

  • Speaker #0

    Forcément, vu que tu seras la podcast writer de Beyoncé, tu ouvriras quelques portes.

  • Speaker #1

    Génial. Voilà, je pense qu'il y a...

  • Speaker #0

    Toujours des déjeuners, c'est bien les déjeuners.

  • Speaker #1

    J'aime bien les déj'.

  • Speaker #0

    Et bien...

  • Speaker #1

    Donc attendez, petit aparté, si vous voulez m'inviter à déjeuner, c'est possible. Plutôt à Paris ou région parisienne, parce qu'il ne faut pas. Donc voilà.

  • Speaker #0

    Si vous venez à Nantes, vous m'invitez moi. Puisqu'on était sur l'écriture, si tu écris demain un livre sur le freelancing, quel serait son titre ?

  • Speaker #1

    Plus de kiff, plus de pognon. Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #0

    Parfait. Très Ormosi style.

  • Speaker #1

    Ah oui, mais je n'avais pas la ref, mais du coup, je... Je vais aller regarder.

  • Speaker #0

    Moi, c'est Plus Free Ma Vie.

  • Speaker #1

    C'est déjà un truc de def perso.

  • Speaker #0

    Mais non, mais c'était le nom de ma chronique à Café Freelance, j'aimais bien. Plus Free Ma Vie, by Flavie.

  • Speaker #1

    Genre avec, oh, un truc, une ref plus belle ma vie ?

  • Speaker #0

    Exactement. Ah, j'adore. Et puis moi, je cherche plus de liberté et je trouve qu'on n'en parle pas assez. Parce qu'on parle de fonction, d'optimisation, de productivité, mais c'est nul tout ça. Enfin, c'est bien, c'est un basique, mais après, une fois que tu l'as, t'es là, je suis fatiguée. Et si on vend son temps en freelance jusqu'à 65 ans...

  • Speaker #1

    Plus de kiff.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est bien, c'est bien. Mais ils sont complémentaires, ça peut être volume 1, volume 2. Ou peut-être on peut faire trois volumes. Plus de kiff, plus de liberté, plus de pognon.

  • Speaker #1

    Voilà. Une journée de vie par semaine. commencer par ça appel aux éditeurs je pense qu'on va avoir des propositions ah oui alors celle-ci j'aime bien aussi as-tu un mantra ou une citation qui t'inspire dans ton travail de freelance ?

  • Speaker #0

    je t'ai prise au dépourvu ah ouais le boulet non mais Merde, mieux vous fait que parfait. En fait, moi, c'est Jean-Michel à peu près. Je suis Jean-Michel à peu près. Et en fait, ça marche bien.

  • Speaker #1

    On est un peu dans le même registre. Parce que moi, c'est un truc que je dis à toutes les freelances que j'accompagne pour les décontracter un peu. C'est bancal et c'est normal. Il faut accepter qu'on aura toujours envie de mieux. et que ça fait partie du deal et qu'il y a un côté qui nous est hyper angoissant parce qu'on a l'impression de ne pas arriver là où on veut et puis généralement à la fin de la journée on n'a jamais fait tous nos to-do mais c'est normal et c'est aussi comme ça qu'on avance.

  • Speaker #0

    C'est là qu'il faut se rappeler que comment veux-tu faire tous les métiers d'une entreprise classique en étant tout seul et en travaillant 6-7 heures par jour parce que tu veux un peu de kiff ?

  • Speaker #1

    En étant hyper créatif et hyper malin, d'où grande conviction, les freelances vont sauver le monde. Enfin on peut dire solo-preneur si tu préfères.

  • Speaker #0

    Les deux.

  • Speaker #1

    on est en train de sauver le monde ça me va tout à fait on en est où là ? ah si forcément on est bien on a fait plein plein de questions et ouais je pense que les gens qui vont écouter ces épisodes ils vont repartir on va finir avec le portrait chinois moi je voulais celle de l'animal aussi et

  • Speaker #0

    bien voilà alors attention grosse méga question c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait marine

  • Speaker #1

    Pour finir... Ah oui, d'accord, Faudelé, vas-y.

  • Speaker #0

    Si le freelancing était un animal, un plat, une chanson, une télé-TV et un objet ? OK.

  • Speaker #1

    Un animal, clairement, c'est l'ornithorynque. Moi, j'adore les animaux bizarres et l'ornithorynque, mais genre... C'est génial. Je ne sais pas si tu savais, mais il peut... Il peut empoisonner. Enfin, bon, bref. Il a plein de super-trouves.

  • Speaker #0

    Il peut empoisonner ?

  • Speaker #1

    Il peut s'adapter à plein... Oui, si. Le mal. Il s'adapte à plein d'environnements différents. Et puis il est discret, tu vois, il se la joue pas. J'aime bien. Un plat ? Alors là, je te le sors complètement au hasard, mais j'ai envie de te dire un fish and chips. Me demande pas le rapport avec la choucroute. Une chanson ? J'en ai pas. Je vais te dire ma chanson préférée du monde de toute la vie. Don't Stop Me Now de Queen. Et je suis tentée de chanter, mais je ne vais pas le faire. Une série télé. C'est chaud, quoi. Le freelancing, une série télé. Je vais te dire... Plus belle la vie, parce qu'on en a parlé juste avant. Un objet. Le freelancing est un objet. Eh bien, c'est un... Une paire de tongs. Une paire de tongs. J'adore. Vas-y, à toi. Donc, un plat. Non, un animal.

  • Speaker #0

    Alors, un animal, la loutre.

  • Speaker #1

    Ah, j'aime bien, j'adore les loutres. Loutre de mer quand elles se tiennent la main.

  • Speaker #0

    Mon animal totem, parce que c'est un animal qui est capable de rigoler. Donc, elle ne fait pas que des choses utilitaires.

  • Speaker #1

    Et puis, elles se tiennent la main, les loutres de mer, quand elles dérivent. Trop mignon.

  • Speaker #0

    Ah, trop mignon. Et en plus, elles font du toboggan, des trucs. Enfin, moi, avec vous. Donc, en fait, avoir un métier qui nous amuse aussi, je pense que c'est ça le propre du casting. Un plat, je dirais, des tapas pour tous les sites.

  • Speaker #1

    Ah, mais t'as réfléchi au truc pendant que je répondais.

  • Speaker #0

    Complètement à la rame. Oui, j'ai pris une minute en se...

  • Speaker #1

    Ah, c'est moche, elle a préparé.

  • Speaker #0

    C'est moche. Et la série, je t'en ai parlé hier, dans les séries préférées de tous les temps. For All Mankind, avec mon magnifique accent. C'est une série sur l'espace. Ils sont à la conquête de plein de trucs. J'adore. Ah non, non, c'est pas angoissant.

  • Speaker #1

    Je crois que j'ai arrêté en plus.

  • Speaker #0

    Et j'aime bien parce que c'est, tu sais, prouesse technique, énorme truc d'action. Et je trouve ça assez bien. Moi, j'aime bien le truc planétaire, la métaphore planétaire. On conquête de plein de trucs. On est trop content. À la fin, on a une petite galaxie de produits et tout. Wow. Bon, la chanson, je suis moins inspirée. Moi, j'écoute beaucoup de reggae. J'adore ça. Ça me détend. Donc un truc de reggae, tout nous, tu sais, du reggae route, genre It's Gonna Be Alright, un truc comme ça, tu vois, ou Bombardier, Uprising, genre on est... Tout va bien, tout va bien se passer.

  • Speaker #1

    Ouais, j'adore. Ouais, je prends.

  • Speaker #0

    Et un objet, j'ai... C'est chaud, hein ? Ben, non, mais je vais pas faire ça. Vas-y que j'aille dire un crayon, parce que c'est le truc où c'est nul.

  • Speaker #1

    On va dire au moins un micro, je sais pas.

  • Speaker #0

    Un micro, ben...

  • Speaker #1

    J'ai dit des tongs.

  • Speaker #0

    Je surf, parce que donc...

  • Speaker #1

    On se fait monter dessus.

  • Speaker #0

    On se fait parfois monter dessus par un écrivain. Quand tout va bien, tu prends la vague, t'es trop content. Parfois, tu te prends la planche dans la gueule et t'as envie d'arrêter le freelancing parce que tout t'énerve. Mais après, ça va mieux. Tu as la série qui arrive et là, tu fais ton meilleur ride de ta vie, comme ce matin, qui est la première séance. Elle était incroyable. Elle a un style natural.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, je pense que ça a changé de carrière.

  • Speaker #0

    Dans dix ans,

  • Speaker #1

    on s'en repart. On s'en repart très vite. Alors, là, on a fait tout. On a enchaîné. Je pense que les auditeurs de la cohorte ne sont pas habitués à un épisode de 37 minutes 18, mais ça va le faire. Et petite dernière, donc dis-nous Flavie, pour les auditrices et les auditeurs de la cohorte qui ne connaissent pas encore le board, ce qui me paraît un peu étrange, mais imaginons, quelles seraient les raisons pour qu'ils aillent écouter ton podcast ?

  • Speaker #0

    Eh bien, si vous avez envie de devenir solopreneur...

  • Speaker #1

    Bon, mais alors... Explique-nous la différence entre solopreneur et freelance. Parce que pour moi, en fait, c'est une évolution. C'est un peu la même chose.

  • Speaker #0

    Oui, on peut dire que c'est un peu la même chose. Mais pour moi, le freelance, il vend surtout son temps, son expertise, tu vois. Plutôt en vendant son temps de cerveau disponible dans une boîte. Donc, il ne peut pas avoir 12 000 clients à la fois. Alors que le solopreneur, il va commencer à essayer de scaler. et donc à transformer son jus de cerveau en produit souvent. Peut-être un produit digital ou un collectif. Donc tu vois, c'est plus un entrepreneur solo. Il va faire un effet de levier sur son temps et sur son cerveau.

  • Speaker #1

    Ok, je vois. Moi, j'appelle ça la démultiplication. C'est un silence démultiplié.

  • Speaker #0

    Exact. Et c'est pas le même mode de vie. Donc c'est pas une obligation d'être soit l'un, soit l'autre. Tu vois, c'est pas une évolution comme un Pokémon. Non. C'est juste que... Alors,

  • Speaker #1

    on peut l'envisager un petit peu comme ça.

  • Speaker #0

    Ouais, mais tu vois, par exemple, la vie du solopreneur, c'est... peut-être plus polyvalent, mais aussi il y a plus de trucs à gérer. Peut-être que tu peux prendre une équipe de freelance pour t'aider. Ça, c'est un peu notre vie. Mais en tout cas, moi, je trouve ça très créatif, très fun et tout. Et toutes les semaines, je décode ça avec mes invités qui me donnent plein de compétences pour être un meilleur solopreneur. Et puis surtout, mon podcast, il est chouette et toi, il te plaît parce que tu es créative. Il y a de la musique, des défis. C'est assez rigolo à écouter.

  • Speaker #1

    C'est riche.

  • Speaker #0

    C'est assez rapide. C'est cinq minutes par jour pendant cinq jours. On ne s'ennuie pas, on se marre. et en plus je dis putain moi je n'ai jamais dit putain dans un de mes épisodes ok j'aime je pense que tu l'auras vendu et toi Marine pourquoi on devrait aller écouter ton super podcast La Cohorte ?

  • Speaker #1

    tout simplement parce que je suis une mamie podcasteuse ça fait depuis 2017 non c'est pas du tout un bon argument c'est le plus possible de partager des retours d'expérience d'indépendants voilà c'est des personnes qui expliquent comment elles ont répondu à des questions qu'on se pose tous Donc c'est très concret et c'est très accessible. Moi j'ai à cœur que... Je pense qu'on a beaucoup d'injonctions quand on est dans l'entrepreneuriat. Et je ne veux pas que les épisodes de podcast soient vécus comme des injonctions supplémentaires. Et je fais en sorte qu'à travers les interviews, les personnes sachent tout de suite, OK, ça, c'est pour moi, ça, c'est pas pour moi. Et si c'est pour moi, comment je fais ? Et genre, dès qu'elles ont fini d'écouter, elles peuvent tout de suite mettre en place la première étape et aller dans une direction qui leur permettront d'enchaîner des petites victoires et que ça sera très gratifiant. donc voilà je pense que c'est pour ça que vous pouvez aller écouter le podcast et aussi on se marre bien parce que je fais souvent des petites blagues voilà blagounettes style voilà partie par là de toute façon c'est pas pour rien qu'on s'entend bien parce que nos deux podcasts ils sont un géniaux et

  • Speaker #0

    puis deux très pratico-pratiques et les pratiques cette expression de mamie je l'adore on l'adore bon en tout cas bref écoutez plein de podcasts sur le freelancing kiffez votre vie de freelance

  • Speaker #1

    Et venez en nous envoyer des messages pour nous dire ce que vous avez aimé, pas aimé, on veut savoir.

  • Speaker #0

    Yes. Et puis surtout, n'oubliez pas de profiter de la vie et de vous faire des séminaires entre freelancers comme nous. Salut les freaks, salut les solopreneurs. Merci d'avoir écouté cette série Jitskobu. Je ne sais pas si tu sais, mais je remercie personnellement tous ceux qui me laissent 5 étoiles et un avis sympa sur leur plateforme de podcast ou qui partagent le board sur les réseaux sociaux en me baguant. N'hésite pas à te manifester auprès de moi. et je t'enverrai un petit goodies personnalisé du board pour te remercier. Merci à vous de m'aider à faire grandir le média des solopreneurs et à plus !

Description

Cette semaine, je t'emmène avec moi en vacances (ou presque).


Je t'embarque avec moi en séjour Taf Wax Relax (mes séjours coliving & surf entre solopreneurs. 🏄🏻‍♀️


Lors de la dernière édition, j'ai enregistré un épisode collector avec Marine Aubonnet, la créatrice du podcast La Cohorte, un des top podcasts France pour les freelances.


Entre deux sessions de surf, on a posé nos micros et débattu de freelancing et solopreneuriat, à base de questions wtf préparées par Chat-GPT :

•⁠ ⁠Si tu devais choisir un animal totem pour représenter les freelances, ce serait lequel ?

•⁠ ⁠Quel est le meilleur (ou pire) conseil qu'on t'ai donné en freelance ?

•⁠ ⁠Quelle est ta méthode secrète pour déstresser après une journée de merde ?

•⁠ ⁠A quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ?


Un épisode collector qui ne va pas te dépayser si tu es en vacances, comme on a enregistré sur fond de mouettes...


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Bonne écoute !

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Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Salut Marine.

  • Speaker #1

    Salut Flavie, trop contente de te retrouver.

  • Speaker #0

    Trop bien. Alors, je te présente, si jamais vous nous écoutez sur le board, Marine.

  • Speaker #1

    Il n'y en a qu'une.

  • Speaker #0

    Tu es la formidable et l'unique host du podcast La Cohorte, le meilleur podcast sur le freelancing.

  • Speaker #1

    Et pour les auditeurs de La Cohorte qui ne connaissent pas Flavie, Flavie est celle qui fait frétiller vos oreilles sur le board, son podcast que vous... Vous allez dévorer si vous ne le connaissez pas encore.

  • Speaker #0

    Écoute, on se fait un petit épisode collector. On est toutes les deux en tongs. Short, paf, wax, relax.

  • Speaker #1

    Short.

  • Speaker #0

    Ouais, soleil, il y a des mouettes. Il y aura un petit peu de bruit, un petit peu de vent. On vient de finir la session de surf. Et puis, on est en séminaire de solopreneur et freelance.

  • Speaker #1

    J'ai adoré ce mot séminaire que tu avais choisi. On y croit. Il y a un petit côté vintage.

  • Speaker #0

    Voilà, on travaille un peu. On fait un peu des podcasts n'importe naouak. Et puis,

  • Speaker #1

    on se met en ce qui me concerne. La totale impro.

  • Speaker #0

    Et voilà, vous êtes avec nous pour une petite demi-heure en roue libre sur quoi ? Notre vision, nos funky trips sur le freelancing et le support. En l'occurrence,

  • Speaker #1

    c'est ChatGPT qui a préparé les questions.

  • Speaker #0

    On l'a un peu pimpé.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, voilà. Donc, en gros, on va parler d'entrepreneuriat et puis d'avenir.

  • Speaker #0

    Ouais, je dirais qu'on a une vingtaine ou une trentaine de questions un peu genre tirées au sort. Vous pouvez jouer à ça chez vous avec un pote freelance.

  • Speaker #1

    Ouais, vous vous poserez les mêmes questions.

  • Speaker #0

    Peut-être avec quelque chose à boire, non ?

  • Speaker #1

    On voulait le faire, mais comme il est en milieu de l'après-midi, on se dit que ce n'est pas très raisonnable.

  • Speaker #0

    On commence par quelle question, Marine ?

  • Speaker #1

    J'aime bien celle-ci, je te la pose parce que je ne saurais pas y répondre. J'aime beaucoup celle-ci. Quel est le plus gros mensonge que tu as dit à un client ? Elle est chaude celle-ci.

  • Speaker #0

    Elle commence trash. Alors, ne faites pas genre chastes oreilles, je ne mens jamais à mes clients, chers freelances, parce qu'on sait qu'on a toujours des excuses un petit peu. Alors moi, je suis bien embêtée maintenant parce que la plupart, ils me suivent en story. Donc par exemple, là, je ne vais pas dire, je suis en séminaire parce qu'en fait, ils me voient en story en train de se faire.

  • Speaker #1

    En séminaire.

  • Speaker #0

    Donc c'est la merde. Non, non, si, la classique, c'est oui, oui, c'est prêt. Fichons-nous un call pour en parler. pour valider, fixons un call pour valider. Je fixe le call au mieux 24 ou 48 heures après et j'ai une nocturne pour finir le truc.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça sur le timing. Moi aussi, j'ai pas mal pipoté, mais bien sûr, c'est en cours. En fait, je temporise. Je leur dis, j'ai quelques questions à vous poser. J'ai besoin d'informations complémentaires. Alors qu'en fait, je n'ai pas du tout besoin de ces infos. Mais ça me donne une raison pour temporiser.

  • Speaker #0

    Oui, toujours répondre à une question par une autre question.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est du semi-pipo, quoi.

  • Speaker #0

    Du pipo professionnel.

  • Speaker #1

    Du Pipo Pro. Je n'ai pas trop menti à mes clients. Ça a dû m'arriver de leur mentir. Mais si, je vous ai envoyé le mail. Ah mince, il est resté dans mes brouillons. Ça a dû m'arriver de le faire une ou deux fois.

  • Speaker #0

    Bon, tu as été dure avec moi. Oui, c'était chaud. Tu ne me présentes pas sous mon meilleur jour pour tes auditeurs.

  • Speaker #1

    Non, c'est clair. Ce n'était pas sympa d'attaquer par ça.

  • Speaker #0

    Tiens, quel est le meilleur ou le pire conseil qu'on ne t'ait jamais donné en tant que freelance ?

  • Speaker #1

    Oui, alors, il y a un truc qui m'énerve, mais vraiment chaud. C'est quand on me dit, on ne me l'a pas dit à moi, mais je l'ai vu tellement sur LinkedIn, c'est de travailler mon mindset. Ça me rend mais hystéro. Genre comment je fais pour travailler mon mindset, tu vois. Ça fait depuis quelques années que je cohabite avec mon mindset. Et genre, c'est pas malléable, je ne peux pas travailler dessus. Donc, en fait, perso, je fonctionne vraiment à la victoire externe, tu vois. Si je vois que ce que j'entreprends, ça fonctionne, et bien mon mindset, c'est un gros coup de boost. Donc, c'est plutôt dans ce sens-là. Plutôt que de travailler. En fait, je vois souvent, ouais, vas-y, travaille d'abord ton mindset d'entrepreneur. En fait, ça vient avec les petites réussites. Donc, je déteste quand on me dit travaille ton mindset.

  • Speaker #0

    C'est complètement débile pour moi. C'est les mots valises de l'entrepreneuriat que je ne peux plus blairer. C'est travaille ton mindset, propose de la valeur actionnable. Ça veut dire quoi ? En fait, c'est vraiment des mots valises qui ne veulent rien dire du verbiage d'entrepreneuriat. Et moi, je suis complètement d'accord avec toi. Ce n'est pas le mindset que tu travailles, c'est que tu fais des choses, ça réussit, du coup, tu as plus confiance en toi.

  • Speaker #1

    Travailler ton mindset, je te juge.

  • Speaker #0

    Écoute, moi, c'était ma question signature de mon début de podcast, le meilleur ou le pire conseil qu'on t'ait jamais donné. Et non, écoute, moi, je pense que finalement... Le pire conseil, c'était le TGM. Tu vois, c'est un peu un conseil sous-jacent. Non,

  • Speaker #1

    alors là, j'ai été obligée de te contredire.

  • Speaker #0

    Oui, je sais. Je sais pourquoi. Parce que surtout au début, tu ne sais pas ce que tu feras pour tes clients, donc tu le fais au TGM. Mais moi, ça m'a vraiment mis mal. C'est-à-dire que ça m'a mis dans un cercle infernal où ma première année de freelancing, je n'ai pas pris de vacances. Je travaillais tout le temps. J'étais obsédée par mon temps. Et déjà que moi, je suis assez obsédée par la productivité. Je me suis dit... chaque minute de mon temps est facturable ? J'étais en mode, il fallait que j'aille voir un psy, je pense, après ma première.

  • Speaker #1

    Je pense qu'il faut qu'on décrypte, parce que là, on est allé un peu trop vite. Et en plus, il y a les mouettes qui ont participé au débat, finalement. Travailler au TGM, c'est en gros, ce que tu t'appelles par ça, c'est facturer des journées. Et indiquer à tes clients, j'ai passé X temps sur la mission, et donc c'est le temps. Je pense que c'est une façon de commencer, parce que c'est facile. On regarde sur les simulateurs Shine ou sur Malte, et en deux-deux, on peut définir son TGM. Et si on ne sait pas comment facturer, ça peut être une bonne façon de commencer. Je pense qu'il ne faut pas en faire un… Peut-être que tu es un peu responsable de ça. Moi, je vois plein de débutants qui disent Non, mais surtout, le TGM, c'est caca, c'est caca Comme si c'était un truc dégradant. Je pense que pour commencer c'est bien. À partir du moment où on a réalisé quelques petites missions, et puis après en réalité dans la création de contenu, on ne facture jamais au TJM.

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, toi tu es... Enfin tu vois, on va parler freelancing et solo-preneuriat, moi c'est sûr que le freelancing ça ne me convient pas du tout. Parce qu'en fait, en freelance, j'aurais été payée moins qu'en tant que salariée. Donc je fais partie des rares personnes qui s'étaient appauvries avec le freelancing.

  • Speaker #1

    Ça vaut pour les métiers de conseil ça.

  • Speaker #0

    Et je trouve que du coup, ça reflétait mal mon métier. Je ne savais pas comment me vendre au TGM. Et du coup, j'étais chère sur le marché. Donc en fait, tant que j'étais là-dedans, j'étais un peu dans la compétition malsaine.

  • Speaker #1

    Après, je pense que le TGM, ce n'est pas un gros mot. Je pense que pour commencer, c'est bien. Mais je pense qu'assez vite, il faut... Moi, le Maroc, c'est surtout que nos clients ne doivent pas savoir combien de temps on consacre à la mission. Parce qu'à partir du moment où j'ai fait cette erreur-là... J'étais sur une mission où j'envoyais des tables au temps et je disais, voilà, j'ai passé tel temps sur ça, tel temps sur ça. Donc, résultat, l'addition, c'est tant. Sauf qu'à partir de ce moment-là, j'avais un client qui me disait, ah ouais, mais alors attends, je ne comprends pas pourquoi tu as mis autant de temps là-dessus. Franchement, c'est trop long. Et donc, en fait, c'est notre info à nous, le temps. Le mieux, c'est de pouvoir facturer le plus rapidement possible au livrable. Et là, ça change la donne. OK.

  • Speaker #0

    Bon, meilleur conseil ?

  • Speaker #1

    Le meilleur conseil que j'ai reçu ? Alors là, je t'avoue, je ne suis pas que des conseils pourris.

  • Speaker #0

    C'est toi qui donne les conseils.

  • Speaker #1

    Oui, c'est moi qui donne les conseils. Le meilleur conseil que j'ai reçu, c'est super bateau, mais se spécialiser.

  • Speaker #0

    Excellent.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas original.

  • Speaker #0

    Mais attends, on n'est pas obligé d'être original surtout.

  • Speaker #1

    C'est clair.

  • Speaker #0

    Meilleur conseil ? Moi j'avoue, pareil, j'ai reçu des piètres conseils. Parce qu'en fait, j'ai reçu plein de conseils d'entrepreneuriat. Et je trouve que ça n'allait pas du tout avec le freelancing. Et j'ai reçu plein de mauvais conseils de mes potes salariés aussi. Ceux qui me disaient Mais pourquoi tu fais ton Instagrammeuse, là, à poster des posts sur LinkedIn ? C'était jaloux. Non, mais je leur disais Je ne sais pas, si tu étais freelance, tu ferais comment pour trouver tes clients ?

  • Speaker #1

    C'était jaloux.

  • Speaker #0

    Non, non, meilleur conseil, ne facture pas tout ton temps.

  • Speaker #1

    Oui, c'est clair. Tu vois, c'est aussi un luxe d'être dans une situation où on pourrait facturer tout son temps. Tout le monde ne se rendait pas dès le départ à un truc. Ah là là, potentiellement, j'ai des missions qui me prêtent toute ma semaine.

  • Speaker #0

    Si, en fait, il y en a plein. On appelle ça gentiment, mais tu vois, un peu salariat déguisé. En fait, les développeurs qui se vendent 5 jours sur 5 pendant 6 mois en ESL, non. Moi, je parlais avec la directrice de Malte, région Ouest, elle me dit, on ne trouve plus de toute la région Ouest de développeurs qui travaillent plus de 4 jours sur 5, parce qu'en fait, ils veulent profiter de la vie. Donc, tu vois, moi, je dis à mes amis développeurs, en fait, pourquoi tu acceptes des missions 5 jours sur 5 ?

  • Speaker #1

    Il y a un job salarié.

  • Speaker #0

    4 jours sur 5, 3 jours sur 5, ça passe. Oui, c'est clair. Donc, gardez-vous du temps un petit peu pour vous.

  • Speaker #1

    Ça marche. Moi, je te posais une question.

  • Speaker #0

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Bon, forcément, le dress code quand tu bosses. Comment tu es sapée ?

  • Speaker #0

    Scandaleux. Scandaleux dress code. Leggings, birk. Non, pieds nus. Leggings, pieds nus. En fait, je vais déposer mes enfants à l'école en mode sport. Après, je vais au sport. Et tu ne te changes pas ? Je ne me change pas tout de suite. Moi, j'aime bien prendre ma douche. en midi, tu vois.

  • Speaker #1

    Quand elle s'est bien incrustée dans la peau.

  • Speaker #0

    Je suis un peu décalée.

  • Speaker #1

    Ou alors, tu ne fais pas vraiment du sport. C'est un sport.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà. Et qu'est-ce que j'ai comme... Non, voilà. Pieds nus, posé dans mon canapé, selon toutes les préconisations des ergognomes qui travaillent.

  • Speaker #1

    Ergotérapeute, évidemment. Ah non, moi, je ne fais pas ça. Non, pas du tout. Non, alors, le seul truc, c'est que... Je suis toujours en pantoufles. Et du coup, il y a quelques jours, Je me faisais la réflexion, mais putain, elles sont défoncées, mes pantoufles. C'est des espèces de hug, mais c'est des cross, mais qui sont de très bonne qualité. Et en fait, je me dis, mais merde, comment ça se fait que je les use autant ? Ah bah, en fait, c'est les chaussures que je porte à H24. Donc, voilà ce qui se passe. J'ai un trou devant.

  • Speaker #0

    T'as un trou devant tes...

  • Speaker #1

    Sur le bout de mes...

  • Speaker #0

    Que tu mets que en travaillant à ton ordinateur sans rien faire d'autre.

  • Speaker #1

    Ouais, bah je me déplace.

  • Speaker #0

    Tu bouges les orteils quand tu...

  • Speaker #1

    Ouais, et puis je me déplace et tout. Non, non, je suis une digitale locale nomade. Je change de pièce. Maintenant je fais ça. Donc je les porte beaucoup, donc elles sont un peu usées, mais je pense qu'elles peuvent tenir. Et aussi, alors ça c'est un truc, et je crois que j'avais l'idée que je l'avais sur tous mes enregistrements d'épisodes, mais j'ai une espèce de gilet, genre la serpillarde quoi, dans le Père Noël, une ordure, que je mets par-dessus mes fringues parce que j'ai froid, et c'est un truc en fausse laine, tu peux le mettre dans tous les sens, ça marche, mais il est horrible ce truc. Et je l'ai pas passé à la machine depuis 10 ans je crois.

  • Speaker #0

    Mon grand problème c'est les podcasts vidéo. maintenant il faut faire des podcasts vidéo en fait on voit ta dégaine en vidéo il faut que je m'habille moi je mets que des petits clips mais même quoi qu'il en soit on voit ah ben j'ai une casquette tout le temps aussi même chez moi une casquette à l'intérieur mais à débattre ouais je la valide elle est visée sur ma tête alors qu'est-ce que c'est quoi ta méthode secrète pour déstressé quand t'as une journée de merde freelance alors ça je l'ai un peu anticipé et j'ai honte de répondre mais je crois que c'est pas une méthode secrète mais

  • Speaker #1

    En fait, je crois que je crie sur mes enfants.

  • Speaker #0

    Tu cherches un bouc émissaire ?

  • Speaker #1

    Ça me défoule. Non, mais c'est pas bien. Sinon, je n'ai pas de méthode. C'est que je fais pas mal de sport, donc ça m'aide bien. Mais en vrai, je crois que le premier truc qui se passe, c'est ça. Donc, c'est très, très moche. Moi, je ne souhaite pas ça chez vous.

  • Speaker #0

    Je ne supporte pas ces ascenseurs émotionnels. Ça m'est réarrivé lundi avec un mauvais feedback client. Et je trouve que c'est hyper dur dans le freelance. C'est-à-dire que tout va bien et tout, tu te défonces. Et j'en tas. un mini feedback désagréable, un truc qui va pas dans ton sens, c'est le fameux ascenseur émotionnel.

  • Speaker #1

    Moi aussi,

  • Speaker #0

    j'ai envie de tout casser. Moi, je pars marcher en mode Manu Flurax, Mamie Flurax, avec un podcast. Et du coup, j'écoute rien du podcast parce que je suis en train de ressasser le truc en boucle dans ma tête.

  • Speaker #1

    Mamie Flurax, j'ai envie d'aller essayer de le dire, tu dentines un peu des fesses quand tu marches ?

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce que la marche, tu vois, c'est pas une activité très... Mais bon, je trouve que ça vide bien le cerveau. Et ça te force à ne pas rester derrière ton bac en te disant, je vais lui répondre. Ah oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Surtout, ne jamais répondre à chaud. Ouh là là, j'ai trop fait ça. Quelqu'un qui va répondre à chaud, ça va beaucoup mieux. Alors, je poursuis. À ce moment-là, à quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ? 10 ans, donc ça nous fait 2034. C'est à la fois loin et pas si loin que ça.

  • Speaker #0

    Putain, on est passé du pyjama à dans 10 ans, la prospective. Pyjama, prospective.

  • Speaker #1

    Oui, prospective, ça demande une certaine élasticité du cerveau. Oui.

  • Speaker #0

    Moi, j'adore les trucs du futur en plus. Mais là, j'avoue, j'ai du mal à voir parce qu'avec tous les chamboulements de métiers, genre l'LGBT, toutes les IA, ça me fait un peu peur. Parce qu'on voit qu'on se fait un petit peu uberiser nos trucs créatifs. Écoute, je pense que le freelance, dans dix ans, il sera quand même mieux admis en société encore. Parce que là, il n'y a que un million de freelance. Ça fait même pas, je sais plus combien ça fait sur le nombre de populations actives en France.

  • Speaker #1

    Ouais. Après, il y a des freelances cachées, à mon avis.

  • Speaker #0

    Oui. Voilà. Donc, plus admis en société. Un mix des équipes hybrides dans les boîtes où il y aura genre moitié freelance, moitié salarié. Et puis, tous les salariés diversifiés qui seront en partie freelance. Donc, un peu comme moi, comme moi, je me suis lancée. Voilà, je vois plus comme ça. Tu vois, vision de société, je me dis le freelance va plus admis. Après, qu'est-ce qu'il va faire le freelance ?

  • Speaker #1

    Moi, je pense qu'il gagnera déjà plus de pognon. Oui. Ce serait pas mal. Plus de pognon pour pouvoir se payer les trucs qu'il a envie de se payer. Voilà. Et puis, il y aura ce truc, de plus en plus de trucs collectifs, un peu comme on est en train de faire là. On se fera des séminaires, mais ça deviendra carrément la norme. Et puis même, je pense qu'il y aura un truc complètement hippie, des maisons, des co-living, mais à vie. Des gens qui s'installent.

  • Speaker #0

    Moi, je pense qu'il sera hyper spécialisé.

  • Speaker #1

    Ah ouais ?

  • Speaker #0

    T'en as parlé, je pense que je ne vois pas comment c'est possible autrement.

  • Speaker #1

    Alors après, c'est sur la spécialisation, tu peux choisir une niche, mais vraiment une petite niche qui apprécie le côté toussus.

  • Speaker #0

    Oui, mais bon, en gros, je pense qu'il y aura plus ça va, plus ça va la spécialisation. Là, c'était la spécialisation des métiers, genre grosse hacker, grosse marketer, non, non, non. Il y avait aussi de la spécialisation sectorielle. Là, il va y avoir les deux. spécialisation métier, spécialisation sectorielle et peut-être spécialisation outils ou techniques ou approches spécifiques. Je vais révéler un espèce de triptyque de la spécialisation de mini-niche.

  • Speaker #1

    Ou un bien spécialisé. Mais il peut pivoter. Le truc, c'est qu'il sera un freelance qui pivotera.

  • Speaker #0

    Et dans dix ans, ça veut dire que les freelances, il y aura des générations alpha qui seront freelances. Donc ça sera un post-étude.

  • Speaker #1

    Oui, mais alors eux, tu vois, j'en ai déjà croisé des précurseurs. Ils ne se posent pas la question du format freelance salarié. Ils n'en ont rien à faire. Et ça, c'est assez cool. Non, mais c'est vrai.

  • Speaker #0

    En fait, tu veux dire que ça ne sera plus un clivage ? Pas du tout.

  • Speaker #1

    Ok. Je pense que ça sera...

  • Speaker #0

    Tu choisiras ton job que tu as envie de faire.

  • Speaker #1

    Tu définiras le format, à la limite, avec ton boss ou ton client. Mais ça sera complètement modulable.

  • Speaker #0

    Comme on a vu qu'aujourd'hui, tout le monde est un peu créateur aussi. Avec une chaîne YouTube, des réseaux sociaux, je pense que tout le monde sera un peu solopreneur, au moins un petit peu en parallèle. Pas forcément pour son métier principal, mais il y aura un petit truc à côté.

  • Speaker #1

    Un peu à l'américaine.

  • Speaker #0

    Ok, boule de cristal, on verra. Rendez-vous dans dix ans. C'est quoi la chose la plus surprenante que tu as apprise sur toi-même, Marine, quand tu es devenue freelance ?

  • Speaker #1

    C'est question, tu vois, on a zéro préparé. La chose la plus surprenante que j'ai apprise sur moi-même, En fait, si, je pensais être structurellement désorganisée et je suis capable de progresser. Alors tout doux, je ne suis pas en mode, j'ai planifié toutes mes journées et je batch comme une folle. Mais quand même, je progresse et c'est très satisfaisant. En fait, c'est juste, on peut évoluer, on peut monter en compétence sur tout. Bon, ça prend plus ou moins de temps, mais je crois que c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu m'as un peu piqué, j'allais dire disciplinée parce que je pense que ça c'est le podcast. Je pensais que j'étais bordélique et en fait quand même ça fait quatre ans que je fais des podcasts.

  • Speaker #1

    Oui, c'est un peu le même sujet.

  • Speaker #0

    Alors du coup, je vais en trouver une autre. Je vais dire le goût du risque. Je te jure. Alors attention, j'étais hyper politique, bonne élève, première de la classe et tout dans ma carrière d'avant. Donc je ne pensais pas être quelqu'un qui avait trop le goût d'oser, d'entreprendre. Et là, je trouve que plus ça va, plus je l'ai. Tu vois, genre, je lance des trucs, vas-y, j'y vais, je crois mon intuition, je pivote, je teste une nouvelle offre. Je suis trop à fond. Là, j'ai presque...

  • Speaker #1

    Je reconnais que tu incarnes bien cette idée, c'est l'action d'abord, la réflexion après.

  • Speaker #0

    Oui. Avant, j'aurais dit que c'était un truc de teubé, d'influenceur de salle de sport, de dire ça. Mais maintenant, je valorise plus l'action que la réflexion.

  • Speaker #1

    Et bien distinguer, on digresse là, mais bien distinguer les phases d'action et les phases de réflexion, parce que moi, j'ai tendance à perdre tout en même temps. Non mais c'est vrai en fait, dès que je fais un truc, genre je mets un signe de ponctuation ah mais enfin, est-ce que c'est le bon signe ? Genre se poser les questions après quoi. Poursuivons. Ah j'aime bien celle-ci ! Si tu pouvais collaborer avec une star pour un projet freelance, avec qui ce serait ?

  • Speaker #0

    Et putain, je suis nulle en star. Je ne connais rien en star. Voici cette week.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te dire un truc genre Oprah Winfrey ou Beyoncé, tiens un truc qui en jette quoi.

  • Speaker #0

    Mais je sais, mais je suis nulle en star. Genre moi, j'écoute des chanteurs morts. Bob Marley.

  • Speaker #1

    Tu peux dire un mort aussi, pourquoi pas.

  • Speaker #0

    Oprah Winfrey, j'ai découvert qu'il s'était un peu sur le tard, qu'elle a un méga écosystème business, solo-preneur et tout, mais je ne sais pas. Ah ouais,

  • Speaker #1

    elle est palaise.

  • Speaker #0

    Non, moi, c'est sûr que ça serait un artiste. Dans le sens où, en fait, j'adore... En fait, les artistes, ils m'inspirent beaucoup dans le côté solo-preneur et tout, parce que je trouve qu'on a plein de points communs. Il faut qu'ils soient créatifs, il faut qu'ils osent affirmer... un nouveau truc un peu sur le marché. Il y a beaucoup de... C'est dur de se différencier.

  • Speaker #1

    C'est chaud, oui.

  • Speaker #0

    Et ça me plairait. Et moi, j'aime bien le côté créatif du soloprenariat. C'est artisan, faire des trucs de ses dix doigts, fun aussi. Donc, j'aimerais trop que ça soit un artiste ou sinon, un champion de surf, mais je ne les connais pas pour continuer la progression.

  • Speaker #1

    Un style rêve, un champion de surf, c'est Kelly Slater,

  • Speaker #0

    mais ça commence vraiment à date ? Ça date un peu, voilà.

  • Speaker #1

    Ouais, moi, j'aurais dit Beyoncé, un truc... qui envoie la classe.

  • Speaker #0

    En toute simplicité.

  • Speaker #1

    Mais en toute simplicité, alors il faut trouver un projet, quoi.

  • Speaker #0

    Oui.

  • Speaker #1

    Mais bon, à réfléchir.

  • Speaker #0

    Ben podcast, est-ce qu'il y en a un à elle ?

  • Speaker #1

    Bon, bien sûr, laisse tomber. Peut-être ? Oui, bien sûr. Ok.

  • Speaker #0

    Alors.

  • Speaker #1

    Tu sais quoi ? Je vais lui envoyer une demande d'interview. On ne sait jamais. Vas-y.

  • Speaker #0

    Quel est le mythe emblairable sur le freelancing que tu as envie de dégommer ?

  • Speaker #1

    Juste, on ne l'a pas déjà fait, celle-ci ?

  • Speaker #0

    Non.

  • Speaker #1

    Non, c'était le conseil. Ah oui, le mythe. OK, je l'ai. Ah oui, le mythe sur le freelancing, c'est qu'on est tous des précaires. En fait, c'est ça. J'aime pas. Et ça, c'est un de mes combats. C'est que, enfin, alors, en dehors de notre petit écosystème, mais pour beaucoup, freelancing, c'est associé à la précarité, galérien, encore. Alors, ça évolue. Et j'aimerais que, voilà, on puisse associer le freelancing à choix de carrière, tu vois, et à ambition.

  • Speaker #0

    Mais tout à fait d'accord. Je déteste ce truc et j'ai fait un post la dernière fois sur ça. Tout le monde était à fond. Ça marche bien, ton petit business de freelancing ? Bah écoute, je sais pas, je fais plus de chiffre d'affaires que ta startup là qui est censée révolutionner la planète, donc bah ouais, je pense que ça marche bien.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est clair, c'est le truc, je sais plus ce que m'avait dit ma belle-mère, mais genre, ta petite cuisine, ta petite toutouille.

  • Speaker #0

    Bon allez, belle-mère, c'est hors-jeu de toute façon. Ouais, de toute façon,

  • Speaker #1

    j'ai pas prolongé l'échange, mais bon, j'ai compris quoi.

  • Speaker #0

    J'adore.

  • Speaker #1

    Donc ouais, j'aimerais, après c'est plus un truc... à la fois un mythe, parce que soyons lucides, il y a quand même un max d'indépendants qui gagnent peu et pas régulièrement leur vie, mais c'est aussi un truc sur lequel on, en tout cas, toi et moi, on se bat pour que ce ne soit plus le cas et que les finances puissent avoir de plus en plus d'ambition s'ils le souhaitent.

  • Speaker #0

    Moi, c'est le smic LinkedIn. Ça a été un peu... En fait, il y a 10 cas par mois et tout. Tout le monde peut y arriver, etc. Tout le monde, oui, mais pas en faisant tous les métiers en freelance.

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais un peu... Je suis passée à travers ces postes-là.

  • Speaker #0

    Non, mais en fait, typiquement, faire 100K en freelance, c'est facile. Si tu choisis le bon marché, le bon personnage et la bonne compétence...

  • Speaker #1

    Mais ce n'était pas facile.

  • Speaker #0

    Ben non, du coup,

  • Speaker #1

    ce n'était pas facile. C'est possible, j'ai envie de dire, c'est possible.

  • Speaker #0

    Mais il y a plein de gens, surtout, qui ne veulent pas changer leur truc. Donc, si tu ne veux pas changer, si tu veux être, j'en sais rien moi, par exemple, faire 100K en étant naturopathe, je pense que ce n'est pas facile.

  • Speaker #1

    On en revient à notre naturopathie.

  • Speaker #0

    je ne sais pas et s'il y a des naturopathes qui nous écoutent indiquez-nous où vous en êtes en termes de CA parce que ça se trouve on a des préjugés et c'est pas bien non c'est possible et aussi c'est une orga et c'est du taf enfin on ne peut pas se voilà non moi mais moi je suis pour la en gros je suis pour la plasticité c'est-à-dire tu peux changer de métier là on est avec un pote qui était à Sciences Po et qui a fait de la data analyse et bah oui en tant que data scientist je ne sais pas quoi c'est plus facile de faire les six chiffres en fait ouais c'est sûr donc voilà changer de pied si vous avez envie. Et si vous n'avez pas envie, tout le monde n'est pas obligé de faire les 100K. Mais je veux dire, le speak LinkedIn pour tout le monde, dans toutes les niches et dans toutes les conditions, bof.

  • Speaker #1

    Après, à chacun de voir si ça les drive, tu vois, un objectif de chiffre d'affaires ou pas. Mais moi, le message que je veux passer, c'est que c'est possible. C'est pas parce qu'on est tout seul qu'on ne peut pas, quoi. Alors, attends, à moi de choisir une petite question très fun. Alors, attends, tout ça, on avance comme des brutes. Ah oui, j'aime bien celui-ci aussi. je te file 100 000 euros pour organiser un événement de ouf pour les freelances régale-nous, qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    moi c'est sûr, je sais, je veux essayer de le faire, mais je ne sais pas si j'y arriverai je veux alors, deux choix, si je suis en mode on ne prend pas l'avion et tout j'organise une grosse free party donc je voudrais une grosse salle de concert, un gros festival une espèce de TEDx, mais plus rigolo, Independence Day, on parle tous de comment être plus libre. Et après, ça se finit en grosse, grosse soirée. Et sinon, deuxième idée pour les solopreneurs, je voulais qu'on parte aux US, aux USA, la terre où on voyage d'études, de mise des solopreneurs. On rencontre des solopreneurs trop légendaires et tout ça, et qu'on aille finir par soit un event, un gros event, Creator Economy ou je ne sais pas quoi, soit Burning Man. Qu'est-ce que tu en penses ? Mais est-ce que j'ai assez avec 100 000 balles pour emmener tout le monde à Bernoulli ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas sûre. Ok, on emmène, oui. Il y aura une liste d'attente, ça, il est clair.

  • Speaker #0

    Une liste d'attente pour 2 000 balles.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, on va vous faire une petite page de vente. On n'a rien, mais dites-nous. Donc, oui, je suis assez chaude bouillante. Moi, je pensais plutôt sur... Peut-être pas trop sur le fond, mais sur la forme. Je me suis dit que ça serait marrant qu'on soit déguisé. Non ? Si tu veux. Un truc un peu déguisé. Et puis, avec des animations... Là, je fais un petit clin d'œil à nos amis du Friop Festival, mais en roller, quoi. On se refait les rollers.

  • Speaker #0

    La roller party,

  • Speaker #1

    c'était bien. La disco roller party, c'était très drôle. Et puis, ou alors... Attends, je l'ai. On se fait ça à un... Tu sais, un parc aquatique. Non mais c'est le retour d'enfance ça serait ouf Là tu nous des relations de dingue on se fait un séjour, tu vois, regarde on prend pas l'avion en plus on privatise un parc aquatique

  • Speaker #0

    Ah oui, il faut privatiser un truc, parce que tu sais les séminaires d'entreprise ils privatisent Pour avoir l'air important, nous on est pas une grosse entreprise mais il faut qu'on se mette à plein de freelance et on privatise un truc de ouf et on s'éclate C'est très festif notre format C'est festif et c'est du type,

  • Speaker #1

    enfin il va y avoir des relations de ouf qui se nuient qui se lit, pardon. Là, c'est un peu bizarre. Et ça sera hyper productif. Donc, je pense que si vous êtes chaud bouillant, vous nous envoyez votre mail, on vous met sur la liste d'attente. De toute façon, Flavie va créer la landing.

  • Speaker #0

    Quel est ton mime préféré pour décrire le freelancing ?

  • Speaker #1

    On dit mime ?

  • Speaker #0

    J'ai fait ça parce que je ne sais pas. Mais non, moi, je dis même. Oui,

  • Speaker #1

    oui. Écoute, alors, je n'en ai pas,

  • Speaker #0

    mais j'adore poster des mimes.

  • Speaker #1

    J'adore les mimes. Mais tu vois, c'est un vrai petit bonheur de les choisir, les images. Et j'aimais bien... J'aime bien mettre des mèmes avec des animaux. Il y en avait un où c'était un ours qui se cachait derrière un arbre et qui se planquait, tu vois, et qui du coup avait un peu de mal à affirmer son positionnement, son pitch. Ah non, c'était quand il voulait négocier ses prix, quoi. Donc il se planque derrière un arbre, et je trouvais ça très drôle et très mignon. J'en ai plein avec des chatons. Oui,

  • Speaker #0

    j'aime bien. Moi c'est alors je sais pas comment le décrire tu vois une espèce de courbe de gosse comme ça donc une espèce de courbe en cloche et donc le mec qui pleure au milieu enfin non au début il y a un mec avec une cagoule enfin pas une cagoule une capuche de prêtre au milieu il y a un mec un peu genre qui fait plein de trucs et à droite il y a le mec un peu relax avec sa petite capuche de prêtre et ça ça fait trop penser à ma vie solopreneur c'est au début tu commences avec des choses simples genre je vends tel truc, c'est tel prix, voilà. Après, tu construis des milliards de trucs, putain de process dans tous les sens, 12 podcasts, 14 réseaux sociaux, un ocean avec 177 pages. Et après, tu reviens à un truc basique, genre je note mes idées de post LinkedIn sur ma note iPhone et je les poste. Ouais,

  • Speaker #1

    c'est marrant.

  • Speaker #0

    En création de contenu, notamment.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est la création de contenu, je vois. Ouais, je vois. Je sais pas où je me situe dans la courbe, en fait.

  • Speaker #0

    Simplicité, rocket science au milieu. Et après, tu reviens à la simplicité, mais genre... Parce que t'es un senior, en fait, t'as compris ce qu'il fallait abandonner, tu gardes que ce qui est le mieux.

  • Speaker #1

    Je crois que je suis un peu paumée dans la cour, moi, perso. Je peux... Bon. Écoute, je te dirais si je progresse. Alors, attends, qu'est-ce qu'on avait comme question ? Oh putain, celle-ci est... Pardon. Oh flûte, celle-ci, elle est chaude. C'est la première fois que vous m'entendrez jurer. Je l'ai jamais fait sur...

  • Speaker #0

    Moi, ça m'arrive de plus en plus. De plus en plus détente sur le bord de... Est-ce que t'es en épisode ?

  • Speaker #1

    Je pense bien que je scripte tous les épisodes, donc il n'y a jamais de place pour le... La vulgarité.

  • Speaker #0

    J'avais vu un article, une étude de Harvard Business Review qui dit que jurer de temps en temps, ça crée du lien avec les gens et tout. Ils te réunissent de plus, d'une certaine manière.

  • Speaker #1

    Sur le respect, je ne savais pas.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas être comme un charité.

  • Speaker #1

    Ça marche. Aurélie Chast, excusez-moi. J'enchaîne avec cette question. Franchement, la question tue, j'ai envie de dire. C'est quoi son plan à 10 ans ?

  • Speaker #0

    Ah putain, je ne voulais pas que tu me dises ça.

  • Speaker #1

    Ah putain, tu as juré encore.

  • Speaker #0

    Oh putain ! Elle est dans la liste. J'adore cette question, parce que je la pose en bout de camp, on fait le plan à 5 ans. Parce qu'en fait, ça donne des perspectives. Parce que tu sais, moi je suis sur la construction de produits scalables. Donc les gens qui croient qu'en un mois, tu vas gagner 30 000 balles avec une formation en ligne, ils se mettent un gros doigt dans l'œil. Ça prend du temps. Tu vois, il faut créer un média. Il faut pousser le truc, il faut trouver sa méthode.

  • Speaker #1

    Ça prend 5 ans,

  • Speaker #0

    mais ça prend au moins un an. Et donc, ça te donne des perspectives de se dire, dans 5 ans, il faut que j'ai tant. Donc, ça te laisse le temps de construire un produit scalable. Par contre, 10 ans, c'est vraiment dans longtemps. Donc, un, j'espère avoir augmenté mon niveau de surf.

  • Speaker #1

    Oui, il y a ça.

  • Speaker #0

    Deux, je veux continuer à avoir une bonne vie, pas trop déséquilibrer la choupe, je m'améliore. Tu vois, je travaille un peu moins qu'avant, je suis un peu moins stressée. Ce n'est pas gagné, parce que je suis encore un peu obsédée par mon business. Et puis, trois, je voudrais continuer à faire des trucs créatifs. Tu sais, les gens, ils t'enferment vite dans... Bon, tu as une offre qui marche, donc tu ne fais que ça toute la journée. Mais moi, je suis un peu un esprit un peu foufou. Donc, ouais, mais si c'est pour faire un truc toujours le même, ça ne m'intéresse pas. J'ai envie de faire soit mon truc de Burning Man, soit mon festival des friands, soit, je ne sais pas, des trucs de fou.

  • Speaker #1

    Des trucs fun, ouais. Je pense que le truc, franchement, vu l'audience qu'on va avoir sur cet épisode, c'est lancé, quoi. L'événement... ou c'était quoi, l'Aquapark ?

  • Speaker #0

    En faisant du surf avec des freelances comme on est en train de faire là, j'ai aussi l'idée peut-être d'acheter un lieu, pas loin du surf, pour peut-être faire du co-living. Tu vois, j'ai un peu ces projets-là. On revient me voir dans peut-être trois mois, ça aurait peut-être changé. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Moi, je sais pas mal. Moi, à 10 ans, je me vois avec une bête de maison, tu sais, en haute falaise, avec des petits escaliers qui descendent sur la plage. C'est très matérialiste. Mais je vois bien, c'est un truc au bord de la mer. Là-dessus, on se rejoint. C'est vrai que j'aurais fini... Pas mal de romans. Et je pense que j'en ai autant de succès que J.K. Rowling.

  • Speaker #0

    Ah, en mode romancière ?

  • Speaker #1

    Ouais, mais en side, tu vois.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    parfait. Parce que je ne vais pas lâcher le reste. Et du coup, je serai sollicitée régulièrement. On me proposera des déj'incroyables.

  • Speaker #0

    Forcément, vu que tu seras la podcast writer de Beyoncé, tu ouvriras quelques portes.

  • Speaker #1

    Génial. Voilà, je pense qu'il y a...

  • Speaker #0

    Toujours des déjeuners, c'est bien les déjeuners.

  • Speaker #1

    J'aime bien les déj'.

  • Speaker #0

    Et bien...

  • Speaker #1

    Donc attendez, petit aparté, si vous voulez m'inviter à déjeuner, c'est possible. Plutôt à Paris ou région parisienne, parce qu'il ne faut pas. Donc voilà.

  • Speaker #0

    Si vous venez à Nantes, vous m'invitez moi. Puisqu'on était sur l'écriture, si tu écris demain un livre sur le freelancing, quel serait son titre ?

  • Speaker #1

    Plus de kiff, plus de pognon. Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #0

    Parfait. Très Ormosi style.

  • Speaker #1

    Ah oui, mais je n'avais pas la ref, mais du coup, je... Je vais aller regarder.

  • Speaker #0

    Moi, c'est Plus Free Ma Vie.

  • Speaker #1

    C'est déjà un truc de def perso.

  • Speaker #0

    Mais non, mais c'était le nom de ma chronique à Café Freelance, j'aimais bien. Plus Free Ma Vie, by Flavie.

  • Speaker #1

    Genre avec, oh, un truc, une ref plus belle ma vie ?

  • Speaker #0

    Exactement. Ah, j'adore. Et puis moi, je cherche plus de liberté et je trouve qu'on n'en parle pas assez. Parce qu'on parle de fonction, d'optimisation, de productivité, mais c'est nul tout ça. Enfin, c'est bien, c'est un basique, mais après, une fois que tu l'as, t'es là, je suis fatiguée. Et si on vend son temps en freelance jusqu'à 65 ans...

  • Speaker #1

    Plus de kiff.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est bien, c'est bien. Mais ils sont complémentaires, ça peut être volume 1, volume 2. Ou peut-être on peut faire trois volumes. Plus de kiff, plus de liberté, plus de pognon.

  • Speaker #1

    Voilà. Une journée de vie par semaine. commencer par ça appel aux éditeurs je pense qu'on va avoir des propositions ah oui alors celle-ci j'aime bien aussi as-tu un mantra ou une citation qui t'inspire dans ton travail de freelance ?

  • Speaker #0

    je t'ai prise au dépourvu ah ouais le boulet non mais Merde, mieux vous fait que parfait. En fait, moi, c'est Jean-Michel à peu près. Je suis Jean-Michel à peu près. Et en fait, ça marche bien.

  • Speaker #1

    On est un peu dans le même registre. Parce que moi, c'est un truc que je dis à toutes les freelances que j'accompagne pour les décontracter un peu. C'est bancal et c'est normal. Il faut accepter qu'on aura toujours envie de mieux. et que ça fait partie du deal et qu'il y a un côté qui nous est hyper angoissant parce qu'on a l'impression de ne pas arriver là où on veut et puis généralement à la fin de la journée on n'a jamais fait tous nos to-do mais c'est normal et c'est aussi comme ça qu'on avance.

  • Speaker #0

    C'est là qu'il faut se rappeler que comment veux-tu faire tous les métiers d'une entreprise classique en étant tout seul et en travaillant 6-7 heures par jour parce que tu veux un peu de kiff ?

  • Speaker #1

    En étant hyper créatif et hyper malin, d'où grande conviction, les freelances vont sauver le monde. Enfin on peut dire solo-preneur si tu préfères.

  • Speaker #0

    Les deux.

  • Speaker #1

    on est en train de sauver le monde ça me va tout à fait on en est où là ? ah si forcément on est bien on a fait plein plein de questions et ouais je pense que les gens qui vont écouter ces épisodes ils vont repartir on va finir avec le portrait chinois moi je voulais celle de l'animal aussi et

  • Speaker #0

    bien voilà alors attention grosse méga question c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait marine

  • Speaker #1

    Pour finir... Ah oui, d'accord, Faudelé, vas-y.

  • Speaker #0

    Si le freelancing était un animal, un plat, une chanson, une télé-TV et un objet ? OK.

  • Speaker #1

    Un animal, clairement, c'est l'ornithorynque. Moi, j'adore les animaux bizarres et l'ornithorynque, mais genre... C'est génial. Je ne sais pas si tu savais, mais il peut... Il peut empoisonner. Enfin, bon, bref. Il a plein de super-trouves.

  • Speaker #0

    Il peut empoisonner ?

  • Speaker #1

    Il peut s'adapter à plein... Oui, si. Le mal. Il s'adapte à plein d'environnements différents. Et puis il est discret, tu vois, il se la joue pas. J'aime bien. Un plat ? Alors là, je te le sors complètement au hasard, mais j'ai envie de te dire un fish and chips. Me demande pas le rapport avec la choucroute. Une chanson ? J'en ai pas. Je vais te dire ma chanson préférée du monde de toute la vie. Don't Stop Me Now de Queen. Et je suis tentée de chanter, mais je ne vais pas le faire. Une série télé. C'est chaud, quoi. Le freelancing, une série télé. Je vais te dire... Plus belle la vie, parce qu'on en a parlé juste avant. Un objet. Le freelancing est un objet. Eh bien, c'est un... Une paire de tongs. Une paire de tongs. J'adore. Vas-y, à toi. Donc, un plat. Non, un animal.

  • Speaker #0

    Alors, un animal, la loutre.

  • Speaker #1

    Ah, j'aime bien, j'adore les loutres. Loutre de mer quand elles se tiennent la main.

  • Speaker #0

    Mon animal totem, parce que c'est un animal qui est capable de rigoler. Donc, elle ne fait pas que des choses utilitaires.

  • Speaker #1

    Et puis, elles se tiennent la main, les loutres de mer, quand elles dérivent. Trop mignon.

  • Speaker #0

    Ah, trop mignon. Et en plus, elles font du toboggan, des trucs. Enfin, moi, avec vous. Donc, en fait, avoir un métier qui nous amuse aussi, je pense que c'est ça le propre du casting. Un plat, je dirais, des tapas pour tous les sites.

  • Speaker #1

    Ah, mais t'as réfléchi au truc pendant que je répondais.

  • Speaker #0

    Complètement à la rame. Oui, j'ai pris une minute en se...

  • Speaker #1

    Ah, c'est moche, elle a préparé.

  • Speaker #0

    C'est moche. Et la série, je t'en ai parlé hier, dans les séries préférées de tous les temps. For All Mankind, avec mon magnifique accent. C'est une série sur l'espace. Ils sont à la conquête de plein de trucs. J'adore. Ah non, non, c'est pas angoissant.

  • Speaker #1

    Je crois que j'ai arrêté en plus.

  • Speaker #0

    Et j'aime bien parce que c'est, tu sais, prouesse technique, énorme truc d'action. Et je trouve ça assez bien. Moi, j'aime bien le truc planétaire, la métaphore planétaire. On conquête de plein de trucs. On est trop content. À la fin, on a une petite galaxie de produits et tout. Wow. Bon, la chanson, je suis moins inspirée. Moi, j'écoute beaucoup de reggae. J'adore ça. Ça me détend. Donc un truc de reggae, tout nous, tu sais, du reggae route, genre It's Gonna Be Alright, un truc comme ça, tu vois, ou Bombardier, Uprising, genre on est... Tout va bien, tout va bien se passer.

  • Speaker #1

    Ouais, j'adore. Ouais, je prends.

  • Speaker #0

    Et un objet, j'ai... C'est chaud, hein ? Ben, non, mais je vais pas faire ça. Vas-y que j'aille dire un crayon, parce que c'est le truc où c'est nul.

  • Speaker #1

    On va dire au moins un micro, je sais pas.

  • Speaker #0

    Un micro, ben...

  • Speaker #1

    J'ai dit des tongs.

  • Speaker #0

    Je surf, parce que donc...

  • Speaker #1

    On se fait monter dessus.

  • Speaker #0

    On se fait parfois monter dessus par un écrivain. Quand tout va bien, tu prends la vague, t'es trop content. Parfois, tu te prends la planche dans la gueule et t'as envie d'arrêter le freelancing parce que tout t'énerve. Mais après, ça va mieux. Tu as la série qui arrive et là, tu fais ton meilleur ride de ta vie, comme ce matin, qui est la première séance. Elle était incroyable. Elle a un style natural.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, je pense que ça a changé de carrière.

  • Speaker #0

    Dans dix ans,

  • Speaker #1

    on s'en repart. On s'en repart très vite. Alors, là, on a fait tout. On a enchaîné. Je pense que les auditeurs de la cohorte ne sont pas habitués à un épisode de 37 minutes 18, mais ça va le faire. Et petite dernière, donc dis-nous Flavie, pour les auditrices et les auditeurs de la cohorte qui ne connaissent pas encore le board, ce qui me paraît un peu étrange, mais imaginons, quelles seraient les raisons pour qu'ils aillent écouter ton podcast ?

  • Speaker #0

    Eh bien, si vous avez envie de devenir solopreneur...

  • Speaker #1

    Bon, mais alors... Explique-nous la différence entre solopreneur et freelance. Parce que pour moi, en fait, c'est une évolution. C'est un peu la même chose.

  • Speaker #0

    Oui, on peut dire que c'est un peu la même chose. Mais pour moi, le freelance, il vend surtout son temps, son expertise, tu vois. Plutôt en vendant son temps de cerveau disponible dans une boîte. Donc, il ne peut pas avoir 12 000 clients à la fois. Alors que le solopreneur, il va commencer à essayer de scaler. et donc à transformer son jus de cerveau en produit souvent. Peut-être un produit digital ou un collectif. Donc tu vois, c'est plus un entrepreneur solo. Il va faire un effet de levier sur son temps et sur son cerveau.

  • Speaker #1

    Ok, je vois. Moi, j'appelle ça la démultiplication. C'est un silence démultiplié.

  • Speaker #0

    Exact. Et c'est pas le même mode de vie. Donc c'est pas une obligation d'être soit l'un, soit l'autre. Tu vois, c'est pas une évolution comme un Pokémon. Non. C'est juste que... Alors,

  • Speaker #1

    on peut l'envisager un petit peu comme ça.

  • Speaker #0

    Ouais, mais tu vois, par exemple, la vie du solopreneur, c'est... peut-être plus polyvalent, mais aussi il y a plus de trucs à gérer. Peut-être que tu peux prendre une équipe de freelance pour t'aider. Ça, c'est un peu notre vie. Mais en tout cas, moi, je trouve ça très créatif, très fun et tout. Et toutes les semaines, je décode ça avec mes invités qui me donnent plein de compétences pour être un meilleur solopreneur. Et puis surtout, mon podcast, il est chouette et toi, il te plaît parce que tu es créative. Il y a de la musique, des défis. C'est assez rigolo à écouter.

  • Speaker #1

    C'est riche.

  • Speaker #0

    C'est assez rapide. C'est cinq minutes par jour pendant cinq jours. On ne s'ennuie pas, on se marre. et en plus je dis putain moi je n'ai jamais dit putain dans un de mes épisodes ok j'aime je pense que tu l'auras vendu et toi Marine pourquoi on devrait aller écouter ton super podcast La Cohorte ?

  • Speaker #1

    tout simplement parce que je suis une mamie podcasteuse ça fait depuis 2017 non c'est pas du tout un bon argument c'est le plus possible de partager des retours d'expérience d'indépendants voilà c'est des personnes qui expliquent comment elles ont répondu à des questions qu'on se pose tous Donc c'est très concret et c'est très accessible. Moi j'ai à cœur que... Je pense qu'on a beaucoup d'injonctions quand on est dans l'entrepreneuriat. Et je ne veux pas que les épisodes de podcast soient vécus comme des injonctions supplémentaires. Et je fais en sorte qu'à travers les interviews, les personnes sachent tout de suite, OK, ça, c'est pour moi, ça, c'est pas pour moi. Et si c'est pour moi, comment je fais ? Et genre, dès qu'elles ont fini d'écouter, elles peuvent tout de suite mettre en place la première étape et aller dans une direction qui leur permettront d'enchaîner des petites victoires et que ça sera très gratifiant. donc voilà je pense que c'est pour ça que vous pouvez aller écouter le podcast et aussi on se marre bien parce que je fais souvent des petites blagues voilà blagounettes style voilà partie par là de toute façon c'est pas pour rien qu'on s'entend bien parce que nos deux podcasts ils sont un géniaux et

  • Speaker #0

    puis deux très pratico-pratiques et les pratiques cette expression de mamie je l'adore on l'adore bon en tout cas bref écoutez plein de podcasts sur le freelancing kiffez votre vie de freelance

  • Speaker #1

    Et venez en nous envoyer des messages pour nous dire ce que vous avez aimé, pas aimé, on veut savoir.

  • Speaker #0

    Yes. Et puis surtout, n'oubliez pas de profiter de la vie et de vous faire des séminaires entre freelancers comme nous. Salut les freaks, salut les solopreneurs. Merci d'avoir écouté cette série Jitskobu. Je ne sais pas si tu sais, mais je remercie personnellement tous ceux qui me laissent 5 étoiles et un avis sympa sur leur plateforme de podcast ou qui partagent le board sur les réseaux sociaux en me baguant. N'hésite pas à te manifester auprès de moi. et je t'enverrai un petit goodies personnalisé du board pour te remercier. Merci à vous de m'aider à faire grandir le média des solopreneurs et à plus !

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Description

Cette semaine, je t'emmène avec moi en vacances (ou presque).


Je t'embarque avec moi en séjour Taf Wax Relax (mes séjours coliving & surf entre solopreneurs. 🏄🏻‍♀️


Lors de la dernière édition, j'ai enregistré un épisode collector avec Marine Aubonnet, la créatrice du podcast La Cohorte, un des top podcasts France pour les freelances.


Entre deux sessions de surf, on a posé nos micros et débattu de freelancing et solopreneuriat, à base de questions wtf préparées par Chat-GPT :

•⁠ ⁠Si tu devais choisir un animal totem pour représenter les freelances, ce serait lequel ?

•⁠ ⁠Quel est le meilleur (ou pire) conseil qu'on t'ai donné en freelance ?

•⁠ ⁠Quelle est ta méthode secrète pour déstresser après une journée de merde ?

•⁠ ⁠A quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ?


Un épisode collector qui ne va pas te dépayser si tu es en vacances, comme on a enregistré sur fond de mouettes...


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


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Bonne écoute !

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Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Salut Marine.

  • Speaker #1

    Salut Flavie, trop contente de te retrouver.

  • Speaker #0

    Trop bien. Alors, je te présente, si jamais vous nous écoutez sur le board, Marine.

  • Speaker #1

    Il n'y en a qu'une.

  • Speaker #0

    Tu es la formidable et l'unique host du podcast La Cohorte, le meilleur podcast sur le freelancing.

  • Speaker #1

    Et pour les auditeurs de La Cohorte qui ne connaissent pas Flavie, Flavie est celle qui fait frétiller vos oreilles sur le board, son podcast que vous... Vous allez dévorer si vous ne le connaissez pas encore.

  • Speaker #0

    Écoute, on se fait un petit épisode collector. On est toutes les deux en tongs. Short, paf, wax, relax.

  • Speaker #1

    Short.

  • Speaker #0

    Ouais, soleil, il y a des mouettes. Il y aura un petit peu de bruit, un petit peu de vent. On vient de finir la session de surf. Et puis, on est en séminaire de solopreneur et freelance.

  • Speaker #1

    J'ai adoré ce mot séminaire que tu avais choisi. On y croit. Il y a un petit côté vintage.

  • Speaker #0

    Voilà, on travaille un peu. On fait un peu des podcasts n'importe naouak. Et puis,

  • Speaker #1

    on se met en ce qui me concerne. La totale impro.

  • Speaker #0

    Et voilà, vous êtes avec nous pour une petite demi-heure en roue libre sur quoi ? Notre vision, nos funky trips sur le freelancing et le support. En l'occurrence,

  • Speaker #1

    c'est ChatGPT qui a préparé les questions.

  • Speaker #0

    On l'a un peu pimpé.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, voilà. Donc, en gros, on va parler d'entrepreneuriat et puis d'avenir.

  • Speaker #0

    Ouais, je dirais qu'on a une vingtaine ou une trentaine de questions un peu genre tirées au sort. Vous pouvez jouer à ça chez vous avec un pote freelance.

  • Speaker #1

    Ouais, vous vous poserez les mêmes questions.

  • Speaker #0

    Peut-être avec quelque chose à boire, non ?

  • Speaker #1

    On voulait le faire, mais comme il est en milieu de l'après-midi, on se dit que ce n'est pas très raisonnable.

  • Speaker #0

    On commence par quelle question, Marine ?

  • Speaker #1

    J'aime bien celle-ci, je te la pose parce que je ne saurais pas y répondre. J'aime beaucoup celle-ci. Quel est le plus gros mensonge que tu as dit à un client ? Elle est chaude celle-ci.

  • Speaker #0

    Elle commence trash. Alors, ne faites pas genre chastes oreilles, je ne mens jamais à mes clients, chers freelances, parce qu'on sait qu'on a toujours des excuses un petit peu. Alors moi, je suis bien embêtée maintenant parce que la plupart, ils me suivent en story. Donc par exemple, là, je ne vais pas dire, je suis en séminaire parce qu'en fait, ils me voient en story en train de se faire.

  • Speaker #1

    En séminaire.

  • Speaker #0

    Donc c'est la merde. Non, non, si, la classique, c'est oui, oui, c'est prêt. Fichons-nous un call pour en parler. pour valider, fixons un call pour valider. Je fixe le call au mieux 24 ou 48 heures après et j'ai une nocturne pour finir le truc.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça sur le timing. Moi aussi, j'ai pas mal pipoté, mais bien sûr, c'est en cours. En fait, je temporise. Je leur dis, j'ai quelques questions à vous poser. J'ai besoin d'informations complémentaires. Alors qu'en fait, je n'ai pas du tout besoin de ces infos. Mais ça me donne une raison pour temporiser.

  • Speaker #0

    Oui, toujours répondre à une question par une autre question.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est du semi-pipo, quoi.

  • Speaker #0

    Du pipo professionnel.

  • Speaker #1

    Du Pipo Pro. Je n'ai pas trop menti à mes clients. Ça a dû m'arriver de leur mentir. Mais si, je vous ai envoyé le mail. Ah mince, il est resté dans mes brouillons. Ça a dû m'arriver de le faire une ou deux fois.

  • Speaker #0

    Bon, tu as été dure avec moi. Oui, c'était chaud. Tu ne me présentes pas sous mon meilleur jour pour tes auditeurs.

  • Speaker #1

    Non, c'est clair. Ce n'était pas sympa d'attaquer par ça.

  • Speaker #0

    Tiens, quel est le meilleur ou le pire conseil qu'on ne t'ait jamais donné en tant que freelance ?

  • Speaker #1

    Oui, alors, il y a un truc qui m'énerve, mais vraiment chaud. C'est quand on me dit, on ne me l'a pas dit à moi, mais je l'ai vu tellement sur LinkedIn, c'est de travailler mon mindset. Ça me rend mais hystéro. Genre comment je fais pour travailler mon mindset, tu vois. Ça fait depuis quelques années que je cohabite avec mon mindset. Et genre, c'est pas malléable, je ne peux pas travailler dessus. Donc, en fait, perso, je fonctionne vraiment à la victoire externe, tu vois. Si je vois que ce que j'entreprends, ça fonctionne, et bien mon mindset, c'est un gros coup de boost. Donc, c'est plutôt dans ce sens-là. Plutôt que de travailler. En fait, je vois souvent, ouais, vas-y, travaille d'abord ton mindset d'entrepreneur. En fait, ça vient avec les petites réussites. Donc, je déteste quand on me dit travaille ton mindset.

  • Speaker #0

    C'est complètement débile pour moi. C'est les mots valises de l'entrepreneuriat que je ne peux plus blairer. C'est travaille ton mindset, propose de la valeur actionnable. Ça veut dire quoi ? En fait, c'est vraiment des mots valises qui ne veulent rien dire du verbiage d'entrepreneuriat. Et moi, je suis complètement d'accord avec toi. Ce n'est pas le mindset que tu travailles, c'est que tu fais des choses, ça réussit, du coup, tu as plus confiance en toi.

  • Speaker #1

    Travailler ton mindset, je te juge.

  • Speaker #0

    Écoute, moi, c'était ma question signature de mon début de podcast, le meilleur ou le pire conseil qu'on t'ait jamais donné. Et non, écoute, moi, je pense que finalement... Le pire conseil, c'était le TGM. Tu vois, c'est un peu un conseil sous-jacent. Non,

  • Speaker #1

    alors là, j'ai été obligée de te contredire.

  • Speaker #0

    Oui, je sais. Je sais pourquoi. Parce que surtout au début, tu ne sais pas ce que tu feras pour tes clients, donc tu le fais au TGM. Mais moi, ça m'a vraiment mis mal. C'est-à-dire que ça m'a mis dans un cercle infernal où ma première année de freelancing, je n'ai pas pris de vacances. Je travaillais tout le temps. J'étais obsédée par mon temps. Et déjà que moi, je suis assez obsédée par la productivité. Je me suis dit... chaque minute de mon temps est facturable ? J'étais en mode, il fallait que j'aille voir un psy, je pense, après ma première.

  • Speaker #1

    Je pense qu'il faut qu'on décrypte, parce que là, on est allé un peu trop vite. Et en plus, il y a les mouettes qui ont participé au débat, finalement. Travailler au TGM, c'est en gros, ce que tu t'appelles par ça, c'est facturer des journées. Et indiquer à tes clients, j'ai passé X temps sur la mission, et donc c'est le temps. Je pense que c'est une façon de commencer, parce que c'est facile. On regarde sur les simulateurs Shine ou sur Malte, et en deux-deux, on peut définir son TGM. Et si on ne sait pas comment facturer, ça peut être une bonne façon de commencer. Je pense qu'il ne faut pas en faire un… Peut-être que tu es un peu responsable de ça. Moi, je vois plein de débutants qui disent Non, mais surtout, le TGM, c'est caca, c'est caca Comme si c'était un truc dégradant. Je pense que pour commencer c'est bien. À partir du moment où on a réalisé quelques petites missions, et puis après en réalité dans la création de contenu, on ne facture jamais au TJM.

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, toi tu es... Enfin tu vois, on va parler freelancing et solo-preneuriat, moi c'est sûr que le freelancing ça ne me convient pas du tout. Parce qu'en fait, en freelance, j'aurais été payée moins qu'en tant que salariée. Donc je fais partie des rares personnes qui s'étaient appauvries avec le freelancing.

  • Speaker #1

    Ça vaut pour les métiers de conseil ça.

  • Speaker #0

    Et je trouve que du coup, ça reflétait mal mon métier. Je ne savais pas comment me vendre au TGM. Et du coup, j'étais chère sur le marché. Donc en fait, tant que j'étais là-dedans, j'étais un peu dans la compétition malsaine.

  • Speaker #1

    Après, je pense que le TGM, ce n'est pas un gros mot. Je pense que pour commencer, c'est bien. Mais je pense qu'assez vite, il faut... Moi, le Maroc, c'est surtout que nos clients ne doivent pas savoir combien de temps on consacre à la mission. Parce qu'à partir du moment où j'ai fait cette erreur-là... J'étais sur une mission où j'envoyais des tables au temps et je disais, voilà, j'ai passé tel temps sur ça, tel temps sur ça. Donc, résultat, l'addition, c'est tant. Sauf qu'à partir de ce moment-là, j'avais un client qui me disait, ah ouais, mais alors attends, je ne comprends pas pourquoi tu as mis autant de temps là-dessus. Franchement, c'est trop long. Et donc, en fait, c'est notre info à nous, le temps. Le mieux, c'est de pouvoir facturer le plus rapidement possible au livrable. Et là, ça change la donne. OK.

  • Speaker #0

    Bon, meilleur conseil ?

  • Speaker #1

    Le meilleur conseil que j'ai reçu ? Alors là, je t'avoue, je ne suis pas que des conseils pourris.

  • Speaker #0

    C'est toi qui donne les conseils.

  • Speaker #1

    Oui, c'est moi qui donne les conseils. Le meilleur conseil que j'ai reçu, c'est super bateau, mais se spécialiser.

  • Speaker #0

    Excellent.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas original.

  • Speaker #0

    Mais attends, on n'est pas obligé d'être original surtout.

  • Speaker #1

    C'est clair.

  • Speaker #0

    Meilleur conseil ? Moi j'avoue, pareil, j'ai reçu des piètres conseils. Parce qu'en fait, j'ai reçu plein de conseils d'entrepreneuriat. Et je trouve que ça n'allait pas du tout avec le freelancing. Et j'ai reçu plein de mauvais conseils de mes potes salariés aussi. Ceux qui me disaient Mais pourquoi tu fais ton Instagrammeuse, là, à poster des posts sur LinkedIn ? C'était jaloux. Non, mais je leur disais Je ne sais pas, si tu étais freelance, tu ferais comment pour trouver tes clients ?

  • Speaker #1

    C'était jaloux.

  • Speaker #0

    Non, non, meilleur conseil, ne facture pas tout ton temps.

  • Speaker #1

    Oui, c'est clair. Tu vois, c'est aussi un luxe d'être dans une situation où on pourrait facturer tout son temps. Tout le monde ne se rendait pas dès le départ à un truc. Ah là là, potentiellement, j'ai des missions qui me prêtent toute ma semaine.

  • Speaker #0

    Si, en fait, il y en a plein. On appelle ça gentiment, mais tu vois, un peu salariat déguisé. En fait, les développeurs qui se vendent 5 jours sur 5 pendant 6 mois en ESL, non. Moi, je parlais avec la directrice de Malte, région Ouest, elle me dit, on ne trouve plus de toute la région Ouest de développeurs qui travaillent plus de 4 jours sur 5, parce qu'en fait, ils veulent profiter de la vie. Donc, tu vois, moi, je dis à mes amis développeurs, en fait, pourquoi tu acceptes des missions 5 jours sur 5 ?

  • Speaker #1

    Il y a un job salarié.

  • Speaker #0

    4 jours sur 5, 3 jours sur 5, ça passe. Oui, c'est clair. Donc, gardez-vous du temps un petit peu pour vous.

  • Speaker #1

    Ça marche. Moi, je te posais une question.

  • Speaker #0

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Bon, forcément, le dress code quand tu bosses. Comment tu es sapée ?

  • Speaker #0

    Scandaleux. Scandaleux dress code. Leggings, birk. Non, pieds nus. Leggings, pieds nus. En fait, je vais déposer mes enfants à l'école en mode sport. Après, je vais au sport. Et tu ne te changes pas ? Je ne me change pas tout de suite. Moi, j'aime bien prendre ma douche. en midi, tu vois.

  • Speaker #1

    Quand elle s'est bien incrustée dans la peau.

  • Speaker #0

    Je suis un peu décalée.

  • Speaker #1

    Ou alors, tu ne fais pas vraiment du sport. C'est un sport.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà. Et qu'est-ce que j'ai comme... Non, voilà. Pieds nus, posé dans mon canapé, selon toutes les préconisations des ergognomes qui travaillent.

  • Speaker #1

    Ergotérapeute, évidemment. Ah non, moi, je ne fais pas ça. Non, pas du tout. Non, alors, le seul truc, c'est que... Je suis toujours en pantoufles. Et du coup, il y a quelques jours, Je me faisais la réflexion, mais putain, elles sont défoncées, mes pantoufles. C'est des espèces de hug, mais c'est des cross, mais qui sont de très bonne qualité. Et en fait, je me dis, mais merde, comment ça se fait que je les use autant ? Ah bah, en fait, c'est les chaussures que je porte à H24. Donc, voilà ce qui se passe. J'ai un trou devant.

  • Speaker #0

    T'as un trou devant tes...

  • Speaker #1

    Sur le bout de mes...

  • Speaker #0

    Que tu mets que en travaillant à ton ordinateur sans rien faire d'autre.

  • Speaker #1

    Ouais, bah je me déplace.

  • Speaker #0

    Tu bouges les orteils quand tu...

  • Speaker #1

    Ouais, et puis je me déplace et tout. Non, non, je suis une digitale locale nomade. Je change de pièce. Maintenant je fais ça. Donc je les porte beaucoup, donc elles sont un peu usées, mais je pense qu'elles peuvent tenir. Et aussi, alors ça c'est un truc, et je crois que j'avais l'idée que je l'avais sur tous mes enregistrements d'épisodes, mais j'ai une espèce de gilet, genre la serpillarde quoi, dans le Père Noël, une ordure, que je mets par-dessus mes fringues parce que j'ai froid, et c'est un truc en fausse laine, tu peux le mettre dans tous les sens, ça marche, mais il est horrible ce truc. Et je l'ai pas passé à la machine depuis 10 ans je crois.

  • Speaker #0

    Mon grand problème c'est les podcasts vidéo. maintenant il faut faire des podcasts vidéo en fait on voit ta dégaine en vidéo il faut que je m'habille moi je mets que des petits clips mais même quoi qu'il en soit on voit ah ben j'ai une casquette tout le temps aussi même chez moi une casquette à l'intérieur mais à débattre ouais je la valide elle est visée sur ma tête alors qu'est-ce que c'est quoi ta méthode secrète pour déstressé quand t'as une journée de merde freelance alors ça je l'ai un peu anticipé et j'ai honte de répondre mais je crois que c'est pas une méthode secrète mais

  • Speaker #1

    En fait, je crois que je crie sur mes enfants.

  • Speaker #0

    Tu cherches un bouc émissaire ?

  • Speaker #1

    Ça me défoule. Non, mais c'est pas bien. Sinon, je n'ai pas de méthode. C'est que je fais pas mal de sport, donc ça m'aide bien. Mais en vrai, je crois que le premier truc qui se passe, c'est ça. Donc, c'est très, très moche. Moi, je ne souhaite pas ça chez vous.

  • Speaker #0

    Je ne supporte pas ces ascenseurs émotionnels. Ça m'est réarrivé lundi avec un mauvais feedback client. Et je trouve que c'est hyper dur dans le freelance. C'est-à-dire que tout va bien et tout, tu te défonces. Et j'en tas. un mini feedback désagréable, un truc qui va pas dans ton sens, c'est le fameux ascenseur émotionnel.

  • Speaker #1

    Moi aussi,

  • Speaker #0

    j'ai envie de tout casser. Moi, je pars marcher en mode Manu Flurax, Mamie Flurax, avec un podcast. Et du coup, j'écoute rien du podcast parce que je suis en train de ressasser le truc en boucle dans ma tête.

  • Speaker #1

    Mamie Flurax, j'ai envie d'aller essayer de le dire, tu dentines un peu des fesses quand tu marches ?

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce que la marche, tu vois, c'est pas une activité très... Mais bon, je trouve que ça vide bien le cerveau. Et ça te force à ne pas rester derrière ton bac en te disant, je vais lui répondre. Ah oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Surtout, ne jamais répondre à chaud. Ouh là là, j'ai trop fait ça. Quelqu'un qui va répondre à chaud, ça va beaucoup mieux. Alors, je poursuis. À ce moment-là, à quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ? 10 ans, donc ça nous fait 2034. C'est à la fois loin et pas si loin que ça.

  • Speaker #0

    Putain, on est passé du pyjama à dans 10 ans, la prospective. Pyjama, prospective.

  • Speaker #1

    Oui, prospective, ça demande une certaine élasticité du cerveau. Oui.

  • Speaker #0

    Moi, j'adore les trucs du futur en plus. Mais là, j'avoue, j'ai du mal à voir parce qu'avec tous les chamboulements de métiers, genre l'LGBT, toutes les IA, ça me fait un peu peur. Parce qu'on voit qu'on se fait un petit peu uberiser nos trucs créatifs. Écoute, je pense que le freelance, dans dix ans, il sera quand même mieux admis en société encore. Parce que là, il n'y a que un million de freelance. Ça fait même pas, je sais plus combien ça fait sur le nombre de populations actives en France.

  • Speaker #1

    Ouais. Après, il y a des freelances cachées, à mon avis.

  • Speaker #0

    Oui. Voilà. Donc, plus admis en société. Un mix des équipes hybrides dans les boîtes où il y aura genre moitié freelance, moitié salarié. Et puis, tous les salariés diversifiés qui seront en partie freelance. Donc, un peu comme moi, comme moi, je me suis lancée. Voilà, je vois plus comme ça. Tu vois, vision de société, je me dis le freelance va plus admis. Après, qu'est-ce qu'il va faire le freelance ?

  • Speaker #1

    Moi, je pense qu'il gagnera déjà plus de pognon. Oui. Ce serait pas mal. Plus de pognon pour pouvoir se payer les trucs qu'il a envie de se payer. Voilà. Et puis, il y aura ce truc, de plus en plus de trucs collectifs, un peu comme on est en train de faire là. On se fera des séminaires, mais ça deviendra carrément la norme. Et puis même, je pense qu'il y aura un truc complètement hippie, des maisons, des co-living, mais à vie. Des gens qui s'installent.

  • Speaker #0

    Moi, je pense qu'il sera hyper spécialisé.

  • Speaker #1

    Ah ouais ?

  • Speaker #0

    T'en as parlé, je pense que je ne vois pas comment c'est possible autrement.

  • Speaker #1

    Alors après, c'est sur la spécialisation, tu peux choisir une niche, mais vraiment une petite niche qui apprécie le côté toussus.

  • Speaker #0

    Oui, mais bon, en gros, je pense qu'il y aura plus ça va, plus ça va la spécialisation. Là, c'était la spécialisation des métiers, genre grosse hacker, grosse marketer, non, non, non. Il y avait aussi de la spécialisation sectorielle. Là, il va y avoir les deux. spécialisation métier, spécialisation sectorielle et peut-être spécialisation outils ou techniques ou approches spécifiques. Je vais révéler un espèce de triptyque de la spécialisation de mini-niche.

  • Speaker #1

    Ou un bien spécialisé. Mais il peut pivoter. Le truc, c'est qu'il sera un freelance qui pivotera.

  • Speaker #0

    Et dans dix ans, ça veut dire que les freelances, il y aura des générations alpha qui seront freelances. Donc ça sera un post-étude.

  • Speaker #1

    Oui, mais alors eux, tu vois, j'en ai déjà croisé des précurseurs. Ils ne se posent pas la question du format freelance salarié. Ils n'en ont rien à faire. Et ça, c'est assez cool. Non, mais c'est vrai.

  • Speaker #0

    En fait, tu veux dire que ça ne sera plus un clivage ? Pas du tout.

  • Speaker #1

    Ok. Je pense que ça sera...

  • Speaker #0

    Tu choisiras ton job que tu as envie de faire.

  • Speaker #1

    Tu définiras le format, à la limite, avec ton boss ou ton client. Mais ça sera complètement modulable.

  • Speaker #0

    Comme on a vu qu'aujourd'hui, tout le monde est un peu créateur aussi. Avec une chaîne YouTube, des réseaux sociaux, je pense que tout le monde sera un peu solopreneur, au moins un petit peu en parallèle. Pas forcément pour son métier principal, mais il y aura un petit truc à côté.

  • Speaker #1

    Un peu à l'américaine.

  • Speaker #0

    Ok, boule de cristal, on verra. Rendez-vous dans dix ans. C'est quoi la chose la plus surprenante que tu as apprise sur toi-même, Marine, quand tu es devenue freelance ?

  • Speaker #1

    C'est question, tu vois, on a zéro préparé. La chose la plus surprenante que j'ai apprise sur moi-même, En fait, si, je pensais être structurellement désorganisée et je suis capable de progresser. Alors tout doux, je ne suis pas en mode, j'ai planifié toutes mes journées et je batch comme une folle. Mais quand même, je progresse et c'est très satisfaisant. En fait, c'est juste, on peut évoluer, on peut monter en compétence sur tout. Bon, ça prend plus ou moins de temps, mais je crois que c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu m'as un peu piqué, j'allais dire disciplinée parce que je pense que ça c'est le podcast. Je pensais que j'étais bordélique et en fait quand même ça fait quatre ans que je fais des podcasts.

  • Speaker #1

    Oui, c'est un peu le même sujet.

  • Speaker #0

    Alors du coup, je vais en trouver une autre. Je vais dire le goût du risque. Je te jure. Alors attention, j'étais hyper politique, bonne élève, première de la classe et tout dans ma carrière d'avant. Donc je ne pensais pas être quelqu'un qui avait trop le goût d'oser, d'entreprendre. Et là, je trouve que plus ça va, plus je l'ai. Tu vois, genre, je lance des trucs, vas-y, j'y vais, je crois mon intuition, je pivote, je teste une nouvelle offre. Je suis trop à fond. Là, j'ai presque...

  • Speaker #1

    Je reconnais que tu incarnes bien cette idée, c'est l'action d'abord, la réflexion après.

  • Speaker #0

    Oui. Avant, j'aurais dit que c'était un truc de teubé, d'influenceur de salle de sport, de dire ça. Mais maintenant, je valorise plus l'action que la réflexion.

  • Speaker #1

    Et bien distinguer, on digresse là, mais bien distinguer les phases d'action et les phases de réflexion, parce que moi, j'ai tendance à perdre tout en même temps. Non mais c'est vrai en fait, dès que je fais un truc, genre je mets un signe de ponctuation ah mais enfin, est-ce que c'est le bon signe ? Genre se poser les questions après quoi. Poursuivons. Ah j'aime bien celle-ci ! Si tu pouvais collaborer avec une star pour un projet freelance, avec qui ce serait ?

  • Speaker #0

    Et putain, je suis nulle en star. Je ne connais rien en star. Voici cette week.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te dire un truc genre Oprah Winfrey ou Beyoncé, tiens un truc qui en jette quoi.

  • Speaker #0

    Mais je sais, mais je suis nulle en star. Genre moi, j'écoute des chanteurs morts. Bob Marley.

  • Speaker #1

    Tu peux dire un mort aussi, pourquoi pas.

  • Speaker #0

    Oprah Winfrey, j'ai découvert qu'il s'était un peu sur le tard, qu'elle a un méga écosystème business, solo-preneur et tout, mais je ne sais pas. Ah ouais,

  • Speaker #1

    elle est palaise.

  • Speaker #0

    Non, moi, c'est sûr que ça serait un artiste. Dans le sens où, en fait, j'adore... En fait, les artistes, ils m'inspirent beaucoup dans le côté solo-preneur et tout, parce que je trouve qu'on a plein de points communs. Il faut qu'ils soient créatifs, il faut qu'ils osent affirmer... un nouveau truc un peu sur le marché. Il y a beaucoup de... C'est dur de se différencier.

  • Speaker #1

    C'est chaud, oui.

  • Speaker #0

    Et ça me plairait. Et moi, j'aime bien le côté créatif du soloprenariat. C'est artisan, faire des trucs de ses dix doigts, fun aussi. Donc, j'aimerais trop que ça soit un artiste ou sinon, un champion de surf, mais je ne les connais pas pour continuer la progression.

  • Speaker #1

    Un style rêve, un champion de surf, c'est Kelly Slater,

  • Speaker #0

    mais ça commence vraiment à date ? Ça date un peu, voilà.

  • Speaker #1

    Ouais, moi, j'aurais dit Beyoncé, un truc... qui envoie la classe.

  • Speaker #0

    En toute simplicité.

  • Speaker #1

    Mais en toute simplicité, alors il faut trouver un projet, quoi.

  • Speaker #0

    Oui.

  • Speaker #1

    Mais bon, à réfléchir.

  • Speaker #0

    Ben podcast, est-ce qu'il y en a un à elle ?

  • Speaker #1

    Bon, bien sûr, laisse tomber. Peut-être ? Oui, bien sûr. Ok.

  • Speaker #0

    Alors.

  • Speaker #1

    Tu sais quoi ? Je vais lui envoyer une demande d'interview. On ne sait jamais. Vas-y.

  • Speaker #0

    Quel est le mythe emblairable sur le freelancing que tu as envie de dégommer ?

  • Speaker #1

    Juste, on ne l'a pas déjà fait, celle-ci ?

  • Speaker #0

    Non.

  • Speaker #1

    Non, c'était le conseil. Ah oui, le mythe. OK, je l'ai. Ah oui, le mythe sur le freelancing, c'est qu'on est tous des précaires. En fait, c'est ça. J'aime pas. Et ça, c'est un de mes combats. C'est que, enfin, alors, en dehors de notre petit écosystème, mais pour beaucoup, freelancing, c'est associé à la précarité, galérien, encore. Alors, ça évolue. Et j'aimerais que, voilà, on puisse associer le freelancing à choix de carrière, tu vois, et à ambition.

  • Speaker #0

    Mais tout à fait d'accord. Je déteste ce truc et j'ai fait un post la dernière fois sur ça. Tout le monde était à fond. Ça marche bien, ton petit business de freelancing ? Bah écoute, je sais pas, je fais plus de chiffre d'affaires que ta startup là qui est censée révolutionner la planète, donc bah ouais, je pense que ça marche bien.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est clair, c'est le truc, je sais plus ce que m'avait dit ma belle-mère, mais genre, ta petite cuisine, ta petite toutouille.

  • Speaker #0

    Bon allez, belle-mère, c'est hors-jeu de toute façon. Ouais, de toute façon,

  • Speaker #1

    j'ai pas prolongé l'échange, mais bon, j'ai compris quoi.

  • Speaker #0

    J'adore.

  • Speaker #1

    Donc ouais, j'aimerais, après c'est plus un truc... à la fois un mythe, parce que soyons lucides, il y a quand même un max d'indépendants qui gagnent peu et pas régulièrement leur vie, mais c'est aussi un truc sur lequel on, en tout cas, toi et moi, on se bat pour que ce ne soit plus le cas et que les finances puissent avoir de plus en plus d'ambition s'ils le souhaitent.

  • Speaker #0

    Moi, c'est le smic LinkedIn. Ça a été un peu... En fait, il y a 10 cas par mois et tout. Tout le monde peut y arriver, etc. Tout le monde, oui, mais pas en faisant tous les métiers en freelance.

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais un peu... Je suis passée à travers ces postes-là.

  • Speaker #0

    Non, mais en fait, typiquement, faire 100K en freelance, c'est facile. Si tu choisis le bon marché, le bon personnage et la bonne compétence...

  • Speaker #1

    Mais ce n'était pas facile.

  • Speaker #0

    Ben non, du coup,

  • Speaker #1

    ce n'était pas facile. C'est possible, j'ai envie de dire, c'est possible.

  • Speaker #0

    Mais il y a plein de gens, surtout, qui ne veulent pas changer leur truc. Donc, si tu ne veux pas changer, si tu veux être, j'en sais rien moi, par exemple, faire 100K en étant naturopathe, je pense que ce n'est pas facile.

  • Speaker #1

    On en revient à notre naturopathie.

  • Speaker #0

    je ne sais pas et s'il y a des naturopathes qui nous écoutent indiquez-nous où vous en êtes en termes de CA parce que ça se trouve on a des préjugés et c'est pas bien non c'est possible et aussi c'est une orga et c'est du taf enfin on ne peut pas se voilà non moi mais moi je suis pour la en gros je suis pour la plasticité c'est-à-dire tu peux changer de métier là on est avec un pote qui était à Sciences Po et qui a fait de la data analyse et bah oui en tant que data scientist je ne sais pas quoi c'est plus facile de faire les six chiffres en fait ouais c'est sûr donc voilà changer de pied si vous avez envie. Et si vous n'avez pas envie, tout le monde n'est pas obligé de faire les 100K. Mais je veux dire, le speak LinkedIn pour tout le monde, dans toutes les niches et dans toutes les conditions, bof.

  • Speaker #1

    Après, à chacun de voir si ça les drive, tu vois, un objectif de chiffre d'affaires ou pas. Mais moi, le message que je veux passer, c'est que c'est possible. C'est pas parce qu'on est tout seul qu'on ne peut pas, quoi. Alors, attends, à moi de choisir une petite question très fun. Alors, attends, tout ça, on avance comme des brutes. Ah oui, j'aime bien celui-ci aussi. je te file 100 000 euros pour organiser un événement de ouf pour les freelances régale-nous, qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    moi c'est sûr, je sais, je veux essayer de le faire, mais je ne sais pas si j'y arriverai je veux alors, deux choix, si je suis en mode on ne prend pas l'avion et tout j'organise une grosse free party donc je voudrais une grosse salle de concert, un gros festival une espèce de TEDx, mais plus rigolo, Independence Day, on parle tous de comment être plus libre. Et après, ça se finit en grosse, grosse soirée. Et sinon, deuxième idée pour les solopreneurs, je voulais qu'on parte aux US, aux USA, la terre où on voyage d'études, de mise des solopreneurs. On rencontre des solopreneurs trop légendaires et tout ça, et qu'on aille finir par soit un event, un gros event, Creator Economy ou je ne sais pas quoi, soit Burning Man. Qu'est-ce que tu en penses ? Mais est-ce que j'ai assez avec 100 000 balles pour emmener tout le monde à Bernoulli ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas sûre. Ok, on emmène, oui. Il y aura une liste d'attente, ça, il est clair.

  • Speaker #0

    Une liste d'attente pour 2 000 balles.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, on va vous faire une petite page de vente. On n'a rien, mais dites-nous. Donc, oui, je suis assez chaude bouillante. Moi, je pensais plutôt sur... Peut-être pas trop sur le fond, mais sur la forme. Je me suis dit que ça serait marrant qu'on soit déguisé. Non ? Si tu veux. Un truc un peu déguisé. Et puis, avec des animations... Là, je fais un petit clin d'œil à nos amis du Friop Festival, mais en roller, quoi. On se refait les rollers.

  • Speaker #0

    La roller party,

  • Speaker #1

    c'était bien. La disco roller party, c'était très drôle. Et puis, ou alors... Attends, je l'ai. On se fait ça à un... Tu sais, un parc aquatique. Non mais c'est le retour d'enfance ça serait ouf Là tu nous des relations de dingue on se fait un séjour, tu vois, regarde on prend pas l'avion en plus on privatise un parc aquatique

  • Speaker #0

    Ah oui, il faut privatiser un truc, parce que tu sais les séminaires d'entreprise ils privatisent Pour avoir l'air important, nous on est pas une grosse entreprise mais il faut qu'on se mette à plein de freelance et on privatise un truc de ouf et on s'éclate C'est très festif notre format C'est festif et c'est du type,

  • Speaker #1

    enfin il va y avoir des relations de ouf qui se nuient qui se lit, pardon. Là, c'est un peu bizarre. Et ça sera hyper productif. Donc, je pense que si vous êtes chaud bouillant, vous nous envoyez votre mail, on vous met sur la liste d'attente. De toute façon, Flavie va créer la landing.

  • Speaker #0

    Quel est ton mime préféré pour décrire le freelancing ?

  • Speaker #1

    On dit mime ?

  • Speaker #0

    J'ai fait ça parce que je ne sais pas. Mais non, moi, je dis même. Oui,

  • Speaker #1

    oui. Écoute, alors, je n'en ai pas,

  • Speaker #0

    mais j'adore poster des mimes.

  • Speaker #1

    J'adore les mimes. Mais tu vois, c'est un vrai petit bonheur de les choisir, les images. Et j'aimais bien... J'aime bien mettre des mèmes avec des animaux. Il y en avait un où c'était un ours qui se cachait derrière un arbre et qui se planquait, tu vois, et qui du coup avait un peu de mal à affirmer son positionnement, son pitch. Ah non, c'était quand il voulait négocier ses prix, quoi. Donc il se planque derrière un arbre, et je trouvais ça très drôle et très mignon. J'en ai plein avec des chatons. Oui,

  • Speaker #0

    j'aime bien. Moi c'est alors je sais pas comment le décrire tu vois une espèce de courbe de gosse comme ça donc une espèce de courbe en cloche et donc le mec qui pleure au milieu enfin non au début il y a un mec avec une cagoule enfin pas une cagoule une capuche de prêtre au milieu il y a un mec un peu genre qui fait plein de trucs et à droite il y a le mec un peu relax avec sa petite capuche de prêtre et ça ça fait trop penser à ma vie solopreneur c'est au début tu commences avec des choses simples genre je vends tel truc, c'est tel prix, voilà. Après, tu construis des milliards de trucs, putain de process dans tous les sens, 12 podcasts, 14 réseaux sociaux, un ocean avec 177 pages. Et après, tu reviens à un truc basique, genre je note mes idées de post LinkedIn sur ma note iPhone et je les poste. Ouais,

  • Speaker #1

    c'est marrant.

  • Speaker #0

    En création de contenu, notamment.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est la création de contenu, je vois. Ouais, je vois. Je sais pas où je me situe dans la courbe, en fait.

  • Speaker #0

    Simplicité, rocket science au milieu. Et après, tu reviens à la simplicité, mais genre... Parce que t'es un senior, en fait, t'as compris ce qu'il fallait abandonner, tu gardes que ce qui est le mieux.

  • Speaker #1

    Je crois que je suis un peu paumée dans la cour, moi, perso. Je peux... Bon. Écoute, je te dirais si je progresse. Alors, attends, qu'est-ce qu'on avait comme question ? Oh putain, celle-ci est... Pardon. Oh flûte, celle-ci, elle est chaude. C'est la première fois que vous m'entendrez jurer. Je l'ai jamais fait sur...

  • Speaker #0

    Moi, ça m'arrive de plus en plus. De plus en plus détente sur le bord de... Est-ce que t'es en épisode ?

  • Speaker #1

    Je pense bien que je scripte tous les épisodes, donc il n'y a jamais de place pour le... La vulgarité.

  • Speaker #0

    J'avais vu un article, une étude de Harvard Business Review qui dit que jurer de temps en temps, ça crée du lien avec les gens et tout. Ils te réunissent de plus, d'une certaine manière.

  • Speaker #1

    Sur le respect, je ne savais pas.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas être comme un charité.

  • Speaker #1

    Ça marche. Aurélie Chast, excusez-moi. J'enchaîne avec cette question. Franchement, la question tue, j'ai envie de dire. C'est quoi son plan à 10 ans ?

  • Speaker #0

    Ah putain, je ne voulais pas que tu me dises ça.

  • Speaker #1

    Ah putain, tu as juré encore.

  • Speaker #0

    Oh putain ! Elle est dans la liste. J'adore cette question, parce que je la pose en bout de camp, on fait le plan à 5 ans. Parce qu'en fait, ça donne des perspectives. Parce que tu sais, moi je suis sur la construction de produits scalables. Donc les gens qui croient qu'en un mois, tu vas gagner 30 000 balles avec une formation en ligne, ils se mettent un gros doigt dans l'œil. Ça prend du temps. Tu vois, il faut créer un média. Il faut pousser le truc, il faut trouver sa méthode.

  • Speaker #1

    Ça prend 5 ans,

  • Speaker #0

    mais ça prend au moins un an. Et donc, ça te donne des perspectives de se dire, dans 5 ans, il faut que j'ai tant. Donc, ça te laisse le temps de construire un produit scalable. Par contre, 10 ans, c'est vraiment dans longtemps. Donc, un, j'espère avoir augmenté mon niveau de surf.

  • Speaker #1

    Oui, il y a ça.

  • Speaker #0

    Deux, je veux continuer à avoir une bonne vie, pas trop déséquilibrer la choupe, je m'améliore. Tu vois, je travaille un peu moins qu'avant, je suis un peu moins stressée. Ce n'est pas gagné, parce que je suis encore un peu obsédée par mon business. Et puis, trois, je voudrais continuer à faire des trucs créatifs. Tu sais, les gens, ils t'enferment vite dans... Bon, tu as une offre qui marche, donc tu ne fais que ça toute la journée. Mais moi, je suis un peu un esprit un peu foufou. Donc, ouais, mais si c'est pour faire un truc toujours le même, ça ne m'intéresse pas. J'ai envie de faire soit mon truc de Burning Man, soit mon festival des friands, soit, je ne sais pas, des trucs de fou.

  • Speaker #1

    Des trucs fun, ouais. Je pense que le truc, franchement, vu l'audience qu'on va avoir sur cet épisode, c'est lancé, quoi. L'événement... ou c'était quoi, l'Aquapark ?

  • Speaker #0

    En faisant du surf avec des freelances comme on est en train de faire là, j'ai aussi l'idée peut-être d'acheter un lieu, pas loin du surf, pour peut-être faire du co-living. Tu vois, j'ai un peu ces projets-là. On revient me voir dans peut-être trois mois, ça aurait peut-être changé. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Moi, je sais pas mal. Moi, à 10 ans, je me vois avec une bête de maison, tu sais, en haute falaise, avec des petits escaliers qui descendent sur la plage. C'est très matérialiste. Mais je vois bien, c'est un truc au bord de la mer. Là-dessus, on se rejoint. C'est vrai que j'aurais fini... Pas mal de romans. Et je pense que j'en ai autant de succès que J.K. Rowling.

  • Speaker #0

    Ah, en mode romancière ?

  • Speaker #1

    Ouais, mais en side, tu vois.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    parfait. Parce que je ne vais pas lâcher le reste. Et du coup, je serai sollicitée régulièrement. On me proposera des déj'incroyables.

  • Speaker #0

    Forcément, vu que tu seras la podcast writer de Beyoncé, tu ouvriras quelques portes.

  • Speaker #1

    Génial. Voilà, je pense qu'il y a...

  • Speaker #0

    Toujours des déjeuners, c'est bien les déjeuners.

  • Speaker #1

    J'aime bien les déj'.

  • Speaker #0

    Et bien...

  • Speaker #1

    Donc attendez, petit aparté, si vous voulez m'inviter à déjeuner, c'est possible. Plutôt à Paris ou région parisienne, parce qu'il ne faut pas. Donc voilà.

  • Speaker #0

    Si vous venez à Nantes, vous m'invitez moi. Puisqu'on était sur l'écriture, si tu écris demain un livre sur le freelancing, quel serait son titre ?

  • Speaker #1

    Plus de kiff, plus de pognon. Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #0

    Parfait. Très Ormosi style.

  • Speaker #1

    Ah oui, mais je n'avais pas la ref, mais du coup, je... Je vais aller regarder.

  • Speaker #0

    Moi, c'est Plus Free Ma Vie.

  • Speaker #1

    C'est déjà un truc de def perso.

  • Speaker #0

    Mais non, mais c'était le nom de ma chronique à Café Freelance, j'aimais bien. Plus Free Ma Vie, by Flavie.

  • Speaker #1

    Genre avec, oh, un truc, une ref plus belle ma vie ?

  • Speaker #0

    Exactement. Ah, j'adore. Et puis moi, je cherche plus de liberté et je trouve qu'on n'en parle pas assez. Parce qu'on parle de fonction, d'optimisation, de productivité, mais c'est nul tout ça. Enfin, c'est bien, c'est un basique, mais après, une fois que tu l'as, t'es là, je suis fatiguée. Et si on vend son temps en freelance jusqu'à 65 ans...

  • Speaker #1

    Plus de kiff.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est bien, c'est bien. Mais ils sont complémentaires, ça peut être volume 1, volume 2. Ou peut-être on peut faire trois volumes. Plus de kiff, plus de liberté, plus de pognon.

  • Speaker #1

    Voilà. Une journée de vie par semaine. commencer par ça appel aux éditeurs je pense qu'on va avoir des propositions ah oui alors celle-ci j'aime bien aussi as-tu un mantra ou une citation qui t'inspire dans ton travail de freelance ?

  • Speaker #0

    je t'ai prise au dépourvu ah ouais le boulet non mais Merde, mieux vous fait que parfait. En fait, moi, c'est Jean-Michel à peu près. Je suis Jean-Michel à peu près. Et en fait, ça marche bien.

  • Speaker #1

    On est un peu dans le même registre. Parce que moi, c'est un truc que je dis à toutes les freelances que j'accompagne pour les décontracter un peu. C'est bancal et c'est normal. Il faut accepter qu'on aura toujours envie de mieux. et que ça fait partie du deal et qu'il y a un côté qui nous est hyper angoissant parce qu'on a l'impression de ne pas arriver là où on veut et puis généralement à la fin de la journée on n'a jamais fait tous nos to-do mais c'est normal et c'est aussi comme ça qu'on avance.

  • Speaker #0

    C'est là qu'il faut se rappeler que comment veux-tu faire tous les métiers d'une entreprise classique en étant tout seul et en travaillant 6-7 heures par jour parce que tu veux un peu de kiff ?

  • Speaker #1

    En étant hyper créatif et hyper malin, d'où grande conviction, les freelances vont sauver le monde. Enfin on peut dire solo-preneur si tu préfères.

  • Speaker #0

    Les deux.

  • Speaker #1

    on est en train de sauver le monde ça me va tout à fait on en est où là ? ah si forcément on est bien on a fait plein plein de questions et ouais je pense que les gens qui vont écouter ces épisodes ils vont repartir on va finir avec le portrait chinois moi je voulais celle de l'animal aussi et

  • Speaker #0

    bien voilà alors attention grosse méga question c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait marine

  • Speaker #1

    Pour finir... Ah oui, d'accord, Faudelé, vas-y.

  • Speaker #0

    Si le freelancing était un animal, un plat, une chanson, une télé-TV et un objet ? OK.

  • Speaker #1

    Un animal, clairement, c'est l'ornithorynque. Moi, j'adore les animaux bizarres et l'ornithorynque, mais genre... C'est génial. Je ne sais pas si tu savais, mais il peut... Il peut empoisonner. Enfin, bon, bref. Il a plein de super-trouves.

  • Speaker #0

    Il peut empoisonner ?

  • Speaker #1

    Il peut s'adapter à plein... Oui, si. Le mal. Il s'adapte à plein d'environnements différents. Et puis il est discret, tu vois, il se la joue pas. J'aime bien. Un plat ? Alors là, je te le sors complètement au hasard, mais j'ai envie de te dire un fish and chips. Me demande pas le rapport avec la choucroute. Une chanson ? J'en ai pas. Je vais te dire ma chanson préférée du monde de toute la vie. Don't Stop Me Now de Queen. Et je suis tentée de chanter, mais je ne vais pas le faire. Une série télé. C'est chaud, quoi. Le freelancing, une série télé. Je vais te dire... Plus belle la vie, parce qu'on en a parlé juste avant. Un objet. Le freelancing est un objet. Eh bien, c'est un... Une paire de tongs. Une paire de tongs. J'adore. Vas-y, à toi. Donc, un plat. Non, un animal.

  • Speaker #0

    Alors, un animal, la loutre.

  • Speaker #1

    Ah, j'aime bien, j'adore les loutres. Loutre de mer quand elles se tiennent la main.

  • Speaker #0

    Mon animal totem, parce que c'est un animal qui est capable de rigoler. Donc, elle ne fait pas que des choses utilitaires.

  • Speaker #1

    Et puis, elles se tiennent la main, les loutres de mer, quand elles dérivent. Trop mignon.

  • Speaker #0

    Ah, trop mignon. Et en plus, elles font du toboggan, des trucs. Enfin, moi, avec vous. Donc, en fait, avoir un métier qui nous amuse aussi, je pense que c'est ça le propre du casting. Un plat, je dirais, des tapas pour tous les sites.

  • Speaker #1

    Ah, mais t'as réfléchi au truc pendant que je répondais.

  • Speaker #0

    Complètement à la rame. Oui, j'ai pris une minute en se...

  • Speaker #1

    Ah, c'est moche, elle a préparé.

  • Speaker #0

    C'est moche. Et la série, je t'en ai parlé hier, dans les séries préférées de tous les temps. For All Mankind, avec mon magnifique accent. C'est une série sur l'espace. Ils sont à la conquête de plein de trucs. J'adore. Ah non, non, c'est pas angoissant.

  • Speaker #1

    Je crois que j'ai arrêté en plus.

  • Speaker #0

    Et j'aime bien parce que c'est, tu sais, prouesse technique, énorme truc d'action. Et je trouve ça assez bien. Moi, j'aime bien le truc planétaire, la métaphore planétaire. On conquête de plein de trucs. On est trop content. À la fin, on a une petite galaxie de produits et tout. Wow. Bon, la chanson, je suis moins inspirée. Moi, j'écoute beaucoup de reggae. J'adore ça. Ça me détend. Donc un truc de reggae, tout nous, tu sais, du reggae route, genre It's Gonna Be Alright, un truc comme ça, tu vois, ou Bombardier, Uprising, genre on est... Tout va bien, tout va bien se passer.

  • Speaker #1

    Ouais, j'adore. Ouais, je prends.

  • Speaker #0

    Et un objet, j'ai... C'est chaud, hein ? Ben, non, mais je vais pas faire ça. Vas-y que j'aille dire un crayon, parce que c'est le truc où c'est nul.

  • Speaker #1

    On va dire au moins un micro, je sais pas.

  • Speaker #0

    Un micro, ben...

  • Speaker #1

    J'ai dit des tongs.

  • Speaker #0

    Je surf, parce que donc...

  • Speaker #1

    On se fait monter dessus.

  • Speaker #0

    On se fait parfois monter dessus par un écrivain. Quand tout va bien, tu prends la vague, t'es trop content. Parfois, tu te prends la planche dans la gueule et t'as envie d'arrêter le freelancing parce que tout t'énerve. Mais après, ça va mieux. Tu as la série qui arrive et là, tu fais ton meilleur ride de ta vie, comme ce matin, qui est la première séance. Elle était incroyable. Elle a un style natural.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, je pense que ça a changé de carrière.

  • Speaker #0

    Dans dix ans,

  • Speaker #1

    on s'en repart. On s'en repart très vite. Alors, là, on a fait tout. On a enchaîné. Je pense que les auditeurs de la cohorte ne sont pas habitués à un épisode de 37 minutes 18, mais ça va le faire. Et petite dernière, donc dis-nous Flavie, pour les auditrices et les auditeurs de la cohorte qui ne connaissent pas encore le board, ce qui me paraît un peu étrange, mais imaginons, quelles seraient les raisons pour qu'ils aillent écouter ton podcast ?

  • Speaker #0

    Eh bien, si vous avez envie de devenir solopreneur...

  • Speaker #1

    Bon, mais alors... Explique-nous la différence entre solopreneur et freelance. Parce que pour moi, en fait, c'est une évolution. C'est un peu la même chose.

  • Speaker #0

    Oui, on peut dire que c'est un peu la même chose. Mais pour moi, le freelance, il vend surtout son temps, son expertise, tu vois. Plutôt en vendant son temps de cerveau disponible dans une boîte. Donc, il ne peut pas avoir 12 000 clients à la fois. Alors que le solopreneur, il va commencer à essayer de scaler. et donc à transformer son jus de cerveau en produit souvent. Peut-être un produit digital ou un collectif. Donc tu vois, c'est plus un entrepreneur solo. Il va faire un effet de levier sur son temps et sur son cerveau.

  • Speaker #1

    Ok, je vois. Moi, j'appelle ça la démultiplication. C'est un silence démultiplié.

  • Speaker #0

    Exact. Et c'est pas le même mode de vie. Donc c'est pas une obligation d'être soit l'un, soit l'autre. Tu vois, c'est pas une évolution comme un Pokémon. Non. C'est juste que... Alors,

  • Speaker #1

    on peut l'envisager un petit peu comme ça.

  • Speaker #0

    Ouais, mais tu vois, par exemple, la vie du solopreneur, c'est... peut-être plus polyvalent, mais aussi il y a plus de trucs à gérer. Peut-être que tu peux prendre une équipe de freelance pour t'aider. Ça, c'est un peu notre vie. Mais en tout cas, moi, je trouve ça très créatif, très fun et tout. Et toutes les semaines, je décode ça avec mes invités qui me donnent plein de compétences pour être un meilleur solopreneur. Et puis surtout, mon podcast, il est chouette et toi, il te plaît parce que tu es créative. Il y a de la musique, des défis. C'est assez rigolo à écouter.

  • Speaker #1

    C'est riche.

  • Speaker #0

    C'est assez rapide. C'est cinq minutes par jour pendant cinq jours. On ne s'ennuie pas, on se marre. et en plus je dis putain moi je n'ai jamais dit putain dans un de mes épisodes ok j'aime je pense que tu l'auras vendu et toi Marine pourquoi on devrait aller écouter ton super podcast La Cohorte ?

  • Speaker #1

    tout simplement parce que je suis une mamie podcasteuse ça fait depuis 2017 non c'est pas du tout un bon argument c'est le plus possible de partager des retours d'expérience d'indépendants voilà c'est des personnes qui expliquent comment elles ont répondu à des questions qu'on se pose tous Donc c'est très concret et c'est très accessible. Moi j'ai à cœur que... Je pense qu'on a beaucoup d'injonctions quand on est dans l'entrepreneuriat. Et je ne veux pas que les épisodes de podcast soient vécus comme des injonctions supplémentaires. Et je fais en sorte qu'à travers les interviews, les personnes sachent tout de suite, OK, ça, c'est pour moi, ça, c'est pas pour moi. Et si c'est pour moi, comment je fais ? Et genre, dès qu'elles ont fini d'écouter, elles peuvent tout de suite mettre en place la première étape et aller dans une direction qui leur permettront d'enchaîner des petites victoires et que ça sera très gratifiant. donc voilà je pense que c'est pour ça que vous pouvez aller écouter le podcast et aussi on se marre bien parce que je fais souvent des petites blagues voilà blagounettes style voilà partie par là de toute façon c'est pas pour rien qu'on s'entend bien parce que nos deux podcasts ils sont un géniaux et

  • Speaker #0

    puis deux très pratico-pratiques et les pratiques cette expression de mamie je l'adore on l'adore bon en tout cas bref écoutez plein de podcasts sur le freelancing kiffez votre vie de freelance

  • Speaker #1

    Et venez en nous envoyer des messages pour nous dire ce que vous avez aimé, pas aimé, on veut savoir.

  • Speaker #0

    Yes. Et puis surtout, n'oubliez pas de profiter de la vie et de vous faire des séminaires entre freelancers comme nous. Salut les freaks, salut les solopreneurs. Merci d'avoir écouté cette série Jitskobu. Je ne sais pas si tu sais, mais je remercie personnellement tous ceux qui me laissent 5 étoiles et un avis sympa sur leur plateforme de podcast ou qui partagent le board sur les réseaux sociaux en me baguant. N'hésite pas à te manifester auprès de moi. et je t'enverrai un petit goodies personnalisé du board pour te remercier. Merci à vous de m'aider à faire grandir le média des solopreneurs et à plus !

Description

Cette semaine, je t'emmène avec moi en vacances (ou presque).


Je t'embarque avec moi en séjour Taf Wax Relax (mes séjours coliving & surf entre solopreneurs. 🏄🏻‍♀️


Lors de la dernière édition, j'ai enregistré un épisode collector avec Marine Aubonnet, la créatrice du podcast La Cohorte, un des top podcasts France pour les freelances.


Entre deux sessions de surf, on a posé nos micros et débattu de freelancing et solopreneuriat, à base de questions wtf préparées par Chat-GPT :

•⁠ ⁠Si tu devais choisir un animal totem pour représenter les freelances, ce serait lequel ?

•⁠ ⁠Quel est le meilleur (ou pire) conseil qu'on t'ai donné en freelance ?

•⁠ ⁠Quelle est ta méthode secrète pour déstresser après une journée de merde ?

•⁠ ⁠A quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ?


Un épisode collector qui ne va pas te dépayser si tu es en vacances, comme on a enregistré sur fond de mouettes...


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Bonne écoute !

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Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Salut Marine.

  • Speaker #1

    Salut Flavie, trop contente de te retrouver.

  • Speaker #0

    Trop bien. Alors, je te présente, si jamais vous nous écoutez sur le board, Marine.

  • Speaker #1

    Il n'y en a qu'une.

  • Speaker #0

    Tu es la formidable et l'unique host du podcast La Cohorte, le meilleur podcast sur le freelancing.

  • Speaker #1

    Et pour les auditeurs de La Cohorte qui ne connaissent pas Flavie, Flavie est celle qui fait frétiller vos oreilles sur le board, son podcast que vous... Vous allez dévorer si vous ne le connaissez pas encore.

  • Speaker #0

    Écoute, on se fait un petit épisode collector. On est toutes les deux en tongs. Short, paf, wax, relax.

  • Speaker #1

    Short.

  • Speaker #0

    Ouais, soleil, il y a des mouettes. Il y aura un petit peu de bruit, un petit peu de vent. On vient de finir la session de surf. Et puis, on est en séminaire de solopreneur et freelance.

  • Speaker #1

    J'ai adoré ce mot séminaire que tu avais choisi. On y croit. Il y a un petit côté vintage.

  • Speaker #0

    Voilà, on travaille un peu. On fait un peu des podcasts n'importe naouak. Et puis,

  • Speaker #1

    on se met en ce qui me concerne. La totale impro.

  • Speaker #0

    Et voilà, vous êtes avec nous pour une petite demi-heure en roue libre sur quoi ? Notre vision, nos funky trips sur le freelancing et le support. En l'occurrence,

  • Speaker #1

    c'est ChatGPT qui a préparé les questions.

  • Speaker #0

    On l'a un peu pimpé.

  • Speaker #1

    Ok, écoute, voilà. Donc, en gros, on va parler d'entrepreneuriat et puis d'avenir.

  • Speaker #0

    Ouais, je dirais qu'on a une vingtaine ou une trentaine de questions un peu genre tirées au sort. Vous pouvez jouer à ça chez vous avec un pote freelance.

  • Speaker #1

    Ouais, vous vous poserez les mêmes questions.

  • Speaker #0

    Peut-être avec quelque chose à boire, non ?

  • Speaker #1

    On voulait le faire, mais comme il est en milieu de l'après-midi, on se dit que ce n'est pas très raisonnable.

  • Speaker #0

    On commence par quelle question, Marine ?

  • Speaker #1

    J'aime bien celle-ci, je te la pose parce que je ne saurais pas y répondre. J'aime beaucoup celle-ci. Quel est le plus gros mensonge que tu as dit à un client ? Elle est chaude celle-ci.

  • Speaker #0

    Elle commence trash. Alors, ne faites pas genre chastes oreilles, je ne mens jamais à mes clients, chers freelances, parce qu'on sait qu'on a toujours des excuses un petit peu. Alors moi, je suis bien embêtée maintenant parce que la plupart, ils me suivent en story. Donc par exemple, là, je ne vais pas dire, je suis en séminaire parce qu'en fait, ils me voient en story en train de se faire.

  • Speaker #1

    En séminaire.

  • Speaker #0

    Donc c'est la merde. Non, non, si, la classique, c'est oui, oui, c'est prêt. Fichons-nous un call pour en parler. pour valider, fixons un call pour valider. Je fixe le call au mieux 24 ou 48 heures après et j'ai une nocturne pour finir le truc.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça sur le timing. Moi aussi, j'ai pas mal pipoté, mais bien sûr, c'est en cours. En fait, je temporise. Je leur dis, j'ai quelques questions à vous poser. J'ai besoin d'informations complémentaires. Alors qu'en fait, je n'ai pas du tout besoin de ces infos. Mais ça me donne une raison pour temporiser.

  • Speaker #0

    Oui, toujours répondre à une question par une autre question.

  • Speaker #1

    Exactement. Mais c'est du semi-pipo, quoi.

  • Speaker #0

    Du pipo professionnel.

  • Speaker #1

    Du Pipo Pro. Je n'ai pas trop menti à mes clients. Ça a dû m'arriver de leur mentir. Mais si, je vous ai envoyé le mail. Ah mince, il est resté dans mes brouillons. Ça a dû m'arriver de le faire une ou deux fois.

  • Speaker #0

    Bon, tu as été dure avec moi. Oui, c'était chaud. Tu ne me présentes pas sous mon meilleur jour pour tes auditeurs.

  • Speaker #1

    Non, c'est clair. Ce n'était pas sympa d'attaquer par ça.

  • Speaker #0

    Tiens, quel est le meilleur ou le pire conseil qu'on ne t'ait jamais donné en tant que freelance ?

  • Speaker #1

    Oui, alors, il y a un truc qui m'énerve, mais vraiment chaud. C'est quand on me dit, on ne me l'a pas dit à moi, mais je l'ai vu tellement sur LinkedIn, c'est de travailler mon mindset. Ça me rend mais hystéro. Genre comment je fais pour travailler mon mindset, tu vois. Ça fait depuis quelques années que je cohabite avec mon mindset. Et genre, c'est pas malléable, je ne peux pas travailler dessus. Donc, en fait, perso, je fonctionne vraiment à la victoire externe, tu vois. Si je vois que ce que j'entreprends, ça fonctionne, et bien mon mindset, c'est un gros coup de boost. Donc, c'est plutôt dans ce sens-là. Plutôt que de travailler. En fait, je vois souvent, ouais, vas-y, travaille d'abord ton mindset d'entrepreneur. En fait, ça vient avec les petites réussites. Donc, je déteste quand on me dit travaille ton mindset.

  • Speaker #0

    C'est complètement débile pour moi. C'est les mots valises de l'entrepreneuriat que je ne peux plus blairer. C'est travaille ton mindset, propose de la valeur actionnable. Ça veut dire quoi ? En fait, c'est vraiment des mots valises qui ne veulent rien dire du verbiage d'entrepreneuriat. Et moi, je suis complètement d'accord avec toi. Ce n'est pas le mindset que tu travailles, c'est que tu fais des choses, ça réussit, du coup, tu as plus confiance en toi.

  • Speaker #1

    Travailler ton mindset, je te juge.

  • Speaker #0

    Écoute, moi, c'était ma question signature de mon début de podcast, le meilleur ou le pire conseil qu'on t'ait jamais donné. Et non, écoute, moi, je pense que finalement... Le pire conseil, c'était le TGM. Tu vois, c'est un peu un conseil sous-jacent. Non,

  • Speaker #1

    alors là, j'ai été obligée de te contredire.

  • Speaker #0

    Oui, je sais. Je sais pourquoi. Parce que surtout au début, tu ne sais pas ce que tu feras pour tes clients, donc tu le fais au TGM. Mais moi, ça m'a vraiment mis mal. C'est-à-dire que ça m'a mis dans un cercle infernal où ma première année de freelancing, je n'ai pas pris de vacances. Je travaillais tout le temps. J'étais obsédée par mon temps. Et déjà que moi, je suis assez obsédée par la productivité. Je me suis dit... chaque minute de mon temps est facturable ? J'étais en mode, il fallait que j'aille voir un psy, je pense, après ma première.

  • Speaker #1

    Je pense qu'il faut qu'on décrypte, parce que là, on est allé un peu trop vite. Et en plus, il y a les mouettes qui ont participé au débat, finalement. Travailler au TGM, c'est en gros, ce que tu t'appelles par ça, c'est facturer des journées. Et indiquer à tes clients, j'ai passé X temps sur la mission, et donc c'est le temps. Je pense que c'est une façon de commencer, parce que c'est facile. On regarde sur les simulateurs Shine ou sur Malte, et en deux-deux, on peut définir son TGM. Et si on ne sait pas comment facturer, ça peut être une bonne façon de commencer. Je pense qu'il ne faut pas en faire un… Peut-être que tu es un peu responsable de ça. Moi, je vois plein de débutants qui disent Non, mais surtout, le TGM, c'est caca, c'est caca Comme si c'était un truc dégradant. Je pense que pour commencer c'est bien. À partir du moment où on a réalisé quelques petites missions, et puis après en réalité dans la création de contenu, on ne facture jamais au TJM.

  • Speaker #0

    Non mais de toute façon, toi tu es... Enfin tu vois, on va parler freelancing et solo-preneuriat, moi c'est sûr que le freelancing ça ne me convient pas du tout. Parce qu'en fait, en freelance, j'aurais été payée moins qu'en tant que salariée. Donc je fais partie des rares personnes qui s'étaient appauvries avec le freelancing.

  • Speaker #1

    Ça vaut pour les métiers de conseil ça.

  • Speaker #0

    Et je trouve que du coup, ça reflétait mal mon métier. Je ne savais pas comment me vendre au TGM. Et du coup, j'étais chère sur le marché. Donc en fait, tant que j'étais là-dedans, j'étais un peu dans la compétition malsaine.

  • Speaker #1

    Après, je pense que le TGM, ce n'est pas un gros mot. Je pense que pour commencer, c'est bien. Mais je pense qu'assez vite, il faut... Moi, le Maroc, c'est surtout que nos clients ne doivent pas savoir combien de temps on consacre à la mission. Parce qu'à partir du moment où j'ai fait cette erreur-là... J'étais sur une mission où j'envoyais des tables au temps et je disais, voilà, j'ai passé tel temps sur ça, tel temps sur ça. Donc, résultat, l'addition, c'est tant. Sauf qu'à partir de ce moment-là, j'avais un client qui me disait, ah ouais, mais alors attends, je ne comprends pas pourquoi tu as mis autant de temps là-dessus. Franchement, c'est trop long. Et donc, en fait, c'est notre info à nous, le temps. Le mieux, c'est de pouvoir facturer le plus rapidement possible au livrable. Et là, ça change la donne. OK.

  • Speaker #0

    Bon, meilleur conseil ?

  • Speaker #1

    Le meilleur conseil que j'ai reçu ? Alors là, je t'avoue, je ne suis pas que des conseils pourris.

  • Speaker #0

    C'est toi qui donne les conseils.

  • Speaker #1

    Oui, c'est moi qui donne les conseils. Le meilleur conseil que j'ai reçu, c'est super bateau, mais se spécialiser.

  • Speaker #0

    Excellent.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas original.

  • Speaker #0

    Mais attends, on n'est pas obligé d'être original surtout.

  • Speaker #1

    C'est clair.

  • Speaker #0

    Meilleur conseil ? Moi j'avoue, pareil, j'ai reçu des piètres conseils. Parce qu'en fait, j'ai reçu plein de conseils d'entrepreneuriat. Et je trouve que ça n'allait pas du tout avec le freelancing. Et j'ai reçu plein de mauvais conseils de mes potes salariés aussi. Ceux qui me disaient Mais pourquoi tu fais ton Instagrammeuse, là, à poster des posts sur LinkedIn ? C'était jaloux. Non, mais je leur disais Je ne sais pas, si tu étais freelance, tu ferais comment pour trouver tes clients ?

  • Speaker #1

    C'était jaloux.

  • Speaker #0

    Non, non, meilleur conseil, ne facture pas tout ton temps.

  • Speaker #1

    Oui, c'est clair. Tu vois, c'est aussi un luxe d'être dans une situation où on pourrait facturer tout son temps. Tout le monde ne se rendait pas dès le départ à un truc. Ah là là, potentiellement, j'ai des missions qui me prêtent toute ma semaine.

  • Speaker #0

    Si, en fait, il y en a plein. On appelle ça gentiment, mais tu vois, un peu salariat déguisé. En fait, les développeurs qui se vendent 5 jours sur 5 pendant 6 mois en ESL, non. Moi, je parlais avec la directrice de Malte, région Ouest, elle me dit, on ne trouve plus de toute la région Ouest de développeurs qui travaillent plus de 4 jours sur 5, parce qu'en fait, ils veulent profiter de la vie. Donc, tu vois, moi, je dis à mes amis développeurs, en fait, pourquoi tu acceptes des missions 5 jours sur 5 ?

  • Speaker #1

    Il y a un job salarié.

  • Speaker #0

    4 jours sur 5, 3 jours sur 5, ça passe. Oui, c'est clair. Donc, gardez-vous du temps un petit peu pour vous.

  • Speaker #1

    Ça marche. Moi, je te posais une question.

  • Speaker #0

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Bon, forcément, le dress code quand tu bosses. Comment tu es sapée ?

  • Speaker #0

    Scandaleux. Scandaleux dress code. Leggings, birk. Non, pieds nus. Leggings, pieds nus. En fait, je vais déposer mes enfants à l'école en mode sport. Après, je vais au sport. Et tu ne te changes pas ? Je ne me change pas tout de suite. Moi, j'aime bien prendre ma douche. en midi, tu vois.

  • Speaker #1

    Quand elle s'est bien incrustée dans la peau.

  • Speaker #0

    Je suis un peu décalée.

  • Speaker #1

    Ou alors, tu ne fais pas vraiment du sport. C'est un sport.

  • Speaker #0

    Non, mais voilà. Et qu'est-ce que j'ai comme... Non, voilà. Pieds nus, posé dans mon canapé, selon toutes les préconisations des ergognomes qui travaillent.

  • Speaker #1

    Ergotérapeute, évidemment. Ah non, moi, je ne fais pas ça. Non, pas du tout. Non, alors, le seul truc, c'est que... Je suis toujours en pantoufles. Et du coup, il y a quelques jours, Je me faisais la réflexion, mais putain, elles sont défoncées, mes pantoufles. C'est des espèces de hug, mais c'est des cross, mais qui sont de très bonne qualité. Et en fait, je me dis, mais merde, comment ça se fait que je les use autant ? Ah bah, en fait, c'est les chaussures que je porte à H24. Donc, voilà ce qui se passe. J'ai un trou devant.

  • Speaker #0

    T'as un trou devant tes...

  • Speaker #1

    Sur le bout de mes...

  • Speaker #0

    Que tu mets que en travaillant à ton ordinateur sans rien faire d'autre.

  • Speaker #1

    Ouais, bah je me déplace.

  • Speaker #0

    Tu bouges les orteils quand tu...

  • Speaker #1

    Ouais, et puis je me déplace et tout. Non, non, je suis une digitale locale nomade. Je change de pièce. Maintenant je fais ça. Donc je les porte beaucoup, donc elles sont un peu usées, mais je pense qu'elles peuvent tenir. Et aussi, alors ça c'est un truc, et je crois que j'avais l'idée que je l'avais sur tous mes enregistrements d'épisodes, mais j'ai une espèce de gilet, genre la serpillarde quoi, dans le Père Noël, une ordure, que je mets par-dessus mes fringues parce que j'ai froid, et c'est un truc en fausse laine, tu peux le mettre dans tous les sens, ça marche, mais il est horrible ce truc. Et je l'ai pas passé à la machine depuis 10 ans je crois.

  • Speaker #0

    Mon grand problème c'est les podcasts vidéo. maintenant il faut faire des podcasts vidéo en fait on voit ta dégaine en vidéo il faut que je m'habille moi je mets que des petits clips mais même quoi qu'il en soit on voit ah ben j'ai une casquette tout le temps aussi même chez moi une casquette à l'intérieur mais à débattre ouais je la valide elle est visée sur ma tête alors qu'est-ce que c'est quoi ta méthode secrète pour déstressé quand t'as une journée de merde freelance alors ça je l'ai un peu anticipé et j'ai honte de répondre mais je crois que c'est pas une méthode secrète mais

  • Speaker #1

    En fait, je crois que je crie sur mes enfants.

  • Speaker #0

    Tu cherches un bouc émissaire ?

  • Speaker #1

    Ça me défoule. Non, mais c'est pas bien. Sinon, je n'ai pas de méthode. C'est que je fais pas mal de sport, donc ça m'aide bien. Mais en vrai, je crois que le premier truc qui se passe, c'est ça. Donc, c'est très, très moche. Moi, je ne souhaite pas ça chez vous.

  • Speaker #0

    Je ne supporte pas ces ascenseurs émotionnels. Ça m'est réarrivé lundi avec un mauvais feedback client. Et je trouve que c'est hyper dur dans le freelance. C'est-à-dire que tout va bien et tout, tu te défonces. Et j'en tas. un mini feedback désagréable, un truc qui va pas dans ton sens, c'est le fameux ascenseur émotionnel.

  • Speaker #1

    Moi aussi,

  • Speaker #0

    j'ai envie de tout casser. Moi, je pars marcher en mode Manu Flurax, Mamie Flurax, avec un podcast. Et du coup, j'écoute rien du podcast parce que je suis en train de ressasser le truc en boucle dans ma tête.

  • Speaker #1

    Mamie Flurax, j'ai envie d'aller essayer de le dire, tu dentines un peu des fesses quand tu marches ?

  • Speaker #0

    Oui, c'est parce que la marche, tu vois, c'est pas une activité très... Mais bon, je trouve que ça vide bien le cerveau. Et ça te force à ne pas rester derrière ton bac en te disant, je vais lui répondre. Ah oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Surtout, ne jamais répondre à chaud. Ouh là là, j'ai trop fait ça. Quelqu'un qui va répondre à chaud, ça va beaucoup mieux. Alors, je poursuis. À ce moment-là, à quoi ressembleront les freelances dans 10 ans ? 10 ans, donc ça nous fait 2034. C'est à la fois loin et pas si loin que ça.

  • Speaker #0

    Putain, on est passé du pyjama à dans 10 ans, la prospective. Pyjama, prospective.

  • Speaker #1

    Oui, prospective, ça demande une certaine élasticité du cerveau. Oui.

  • Speaker #0

    Moi, j'adore les trucs du futur en plus. Mais là, j'avoue, j'ai du mal à voir parce qu'avec tous les chamboulements de métiers, genre l'LGBT, toutes les IA, ça me fait un peu peur. Parce qu'on voit qu'on se fait un petit peu uberiser nos trucs créatifs. Écoute, je pense que le freelance, dans dix ans, il sera quand même mieux admis en société encore. Parce que là, il n'y a que un million de freelance. Ça fait même pas, je sais plus combien ça fait sur le nombre de populations actives en France.

  • Speaker #1

    Ouais. Après, il y a des freelances cachées, à mon avis.

  • Speaker #0

    Oui. Voilà. Donc, plus admis en société. Un mix des équipes hybrides dans les boîtes où il y aura genre moitié freelance, moitié salarié. Et puis, tous les salariés diversifiés qui seront en partie freelance. Donc, un peu comme moi, comme moi, je me suis lancée. Voilà, je vois plus comme ça. Tu vois, vision de société, je me dis le freelance va plus admis. Après, qu'est-ce qu'il va faire le freelance ?

  • Speaker #1

    Moi, je pense qu'il gagnera déjà plus de pognon. Oui. Ce serait pas mal. Plus de pognon pour pouvoir se payer les trucs qu'il a envie de se payer. Voilà. Et puis, il y aura ce truc, de plus en plus de trucs collectifs, un peu comme on est en train de faire là. On se fera des séminaires, mais ça deviendra carrément la norme. Et puis même, je pense qu'il y aura un truc complètement hippie, des maisons, des co-living, mais à vie. Des gens qui s'installent.

  • Speaker #0

    Moi, je pense qu'il sera hyper spécialisé.

  • Speaker #1

    Ah ouais ?

  • Speaker #0

    T'en as parlé, je pense que je ne vois pas comment c'est possible autrement.

  • Speaker #1

    Alors après, c'est sur la spécialisation, tu peux choisir une niche, mais vraiment une petite niche qui apprécie le côté toussus.

  • Speaker #0

    Oui, mais bon, en gros, je pense qu'il y aura plus ça va, plus ça va la spécialisation. Là, c'était la spécialisation des métiers, genre grosse hacker, grosse marketer, non, non, non. Il y avait aussi de la spécialisation sectorielle. Là, il va y avoir les deux. spécialisation métier, spécialisation sectorielle et peut-être spécialisation outils ou techniques ou approches spécifiques. Je vais révéler un espèce de triptyque de la spécialisation de mini-niche.

  • Speaker #1

    Ou un bien spécialisé. Mais il peut pivoter. Le truc, c'est qu'il sera un freelance qui pivotera.

  • Speaker #0

    Et dans dix ans, ça veut dire que les freelances, il y aura des générations alpha qui seront freelances. Donc ça sera un post-étude.

  • Speaker #1

    Oui, mais alors eux, tu vois, j'en ai déjà croisé des précurseurs. Ils ne se posent pas la question du format freelance salarié. Ils n'en ont rien à faire. Et ça, c'est assez cool. Non, mais c'est vrai.

  • Speaker #0

    En fait, tu veux dire que ça ne sera plus un clivage ? Pas du tout.

  • Speaker #1

    Ok. Je pense que ça sera...

  • Speaker #0

    Tu choisiras ton job que tu as envie de faire.

  • Speaker #1

    Tu définiras le format, à la limite, avec ton boss ou ton client. Mais ça sera complètement modulable.

  • Speaker #0

    Comme on a vu qu'aujourd'hui, tout le monde est un peu créateur aussi. Avec une chaîne YouTube, des réseaux sociaux, je pense que tout le monde sera un peu solopreneur, au moins un petit peu en parallèle. Pas forcément pour son métier principal, mais il y aura un petit truc à côté.

  • Speaker #1

    Un peu à l'américaine.

  • Speaker #0

    Ok, boule de cristal, on verra. Rendez-vous dans dix ans. C'est quoi la chose la plus surprenante que tu as apprise sur toi-même, Marine, quand tu es devenue freelance ?

  • Speaker #1

    C'est question, tu vois, on a zéro préparé. La chose la plus surprenante que j'ai apprise sur moi-même, En fait, si, je pensais être structurellement désorganisée et je suis capable de progresser. Alors tout doux, je ne suis pas en mode, j'ai planifié toutes mes journées et je batch comme une folle. Mais quand même, je progresse et c'est très satisfaisant. En fait, c'est juste, on peut évoluer, on peut monter en compétence sur tout. Bon, ça prend plus ou moins de temps, mais je crois que c'est ça.

  • Speaker #0

    Tu m'as un peu piqué, j'allais dire disciplinée parce que je pense que ça c'est le podcast. Je pensais que j'étais bordélique et en fait quand même ça fait quatre ans que je fais des podcasts.

  • Speaker #1

    Oui, c'est un peu le même sujet.

  • Speaker #0

    Alors du coup, je vais en trouver une autre. Je vais dire le goût du risque. Je te jure. Alors attention, j'étais hyper politique, bonne élève, première de la classe et tout dans ma carrière d'avant. Donc je ne pensais pas être quelqu'un qui avait trop le goût d'oser, d'entreprendre. Et là, je trouve que plus ça va, plus je l'ai. Tu vois, genre, je lance des trucs, vas-y, j'y vais, je crois mon intuition, je pivote, je teste une nouvelle offre. Je suis trop à fond. Là, j'ai presque...

  • Speaker #1

    Je reconnais que tu incarnes bien cette idée, c'est l'action d'abord, la réflexion après.

  • Speaker #0

    Oui. Avant, j'aurais dit que c'était un truc de teubé, d'influenceur de salle de sport, de dire ça. Mais maintenant, je valorise plus l'action que la réflexion.

  • Speaker #1

    Et bien distinguer, on digresse là, mais bien distinguer les phases d'action et les phases de réflexion, parce que moi, j'ai tendance à perdre tout en même temps. Non mais c'est vrai en fait, dès que je fais un truc, genre je mets un signe de ponctuation ah mais enfin, est-ce que c'est le bon signe ? Genre se poser les questions après quoi. Poursuivons. Ah j'aime bien celle-ci ! Si tu pouvais collaborer avec une star pour un projet freelance, avec qui ce serait ?

  • Speaker #0

    Et putain, je suis nulle en star. Je ne connais rien en star. Voici cette week.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te dire un truc genre Oprah Winfrey ou Beyoncé, tiens un truc qui en jette quoi.

  • Speaker #0

    Mais je sais, mais je suis nulle en star. Genre moi, j'écoute des chanteurs morts. Bob Marley.

  • Speaker #1

    Tu peux dire un mort aussi, pourquoi pas.

  • Speaker #0

    Oprah Winfrey, j'ai découvert qu'il s'était un peu sur le tard, qu'elle a un méga écosystème business, solo-preneur et tout, mais je ne sais pas. Ah ouais,

  • Speaker #1

    elle est palaise.

  • Speaker #0

    Non, moi, c'est sûr que ça serait un artiste. Dans le sens où, en fait, j'adore... En fait, les artistes, ils m'inspirent beaucoup dans le côté solo-preneur et tout, parce que je trouve qu'on a plein de points communs. Il faut qu'ils soient créatifs, il faut qu'ils osent affirmer... un nouveau truc un peu sur le marché. Il y a beaucoup de... C'est dur de se différencier.

  • Speaker #1

    C'est chaud, oui.

  • Speaker #0

    Et ça me plairait. Et moi, j'aime bien le côté créatif du soloprenariat. C'est artisan, faire des trucs de ses dix doigts, fun aussi. Donc, j'aimerais trop que ça soit un artiste ou sinon, un champion de surf, mais je ne les connais pas pour continuer la progression.

  • Speaker #1

    Un style rêve, un champion de surf, c'est Kelly Slater,

  • Speaker #0

    mais ça commence vraiment à date ? Ça date un peu, voilà.

  • Speaker #1

    Ouais, moi, j'aurais dit Beyoncé, un truc... qui envoie la classe.

  • Speaker #0

    En toute simplicité.

  • Speaker #1

    Mais en toute simplicité, alors il faut trouver un projet, quoi.

  • Speaker #0

    Oui.

  • Speaker #1

    Mais bon, à réfléchir.

  • Speaker #0

    Ben podcast, est-ce qu'il y en a un à elle ?

  • Speaker #1

    Bon, bien sûr, laisse tomber. Peut-être ? Oui, bien sûr. Ok.

  • Speaker #0

    Alors.

  • Speaker #1

    Tu sais quoi ? Je vais lui envoyer une demande d'interview. On ne sait jamais. Vas-y.

  • Speaker #0

    Quel est le mythe emblairable sur le freelancing que tu as envie de dégommer ?

  • Speaker #1

    Juste, on ne l'a pas déjà fait, celle-ci ?

  • Speaker #0

    Non.

  • Speaker #1

    Non, c'était le conseil. Ah oui, le mythe. OK, je l'ai. Ah oui, le mythe sur le freelancing, c'est qu'on est tous des précaires. En fait, c'est ça. J'aime pas. Et ça, c'est un de mes combats. C'est que, enfin, alors, en dehors de notre petit écosystème, mais pour beaucoup, freelancing, c'est associé à la précarité, galérien, encore. Alors, ça évolue. Et j'aimerais que, voilà, on puisse associer le freelancing à choix de carrière, tu vois, et à ambition.

  • Speaker #0

    Mais tout à fait d'accord. Je déteste ce truc et j'ai fait un post la dernière fois sur ça. Tout le monde était à fond. Ça marche bien, ton petit business de freelancing ? Bah écoute, je sais pas, je fais plus de chiffre d'affaires que ta startup là qui est censée révolutionner la planète, donc bah ouais, je pense que ça marche bien.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est clair, c'est le truc, je sais plus ce que m'avait dit ma belle-mère, mais genre, ta petite cuisine, ta petite toutouille.

  • Speaker #0

    Bon allez, belle-mère, c'est hors-jeu de toute façon. Ouais, de toute façon,

  • Speaker #1

    j'ai pas prolongé l'échange, mais bon, j'ai compris quoi.

  • Speaker #0

    J'adore.

  • Speaker #1

    Donc ouais, j'aimerais, après c'est plus un truc... à la fois un mythe, parce que soyons lucides, il y a quand même un max d'indépendants qui gagnent peu et pas régulièrement leur vie, mais c'est aussi un truc sur lequel on, en tout cas, toi et moi, on se bat pour que ce ne soit plus le cas et que les finances puissent avoir de plus en plus d'ambition s'ils le souhaitent.

  • Speaker #0

    Moi, c'est le smic LinkedIn. Ça a été un peu... En fait, il y a 10 cas par mois et tout. Tout le monde peut y arriver, etc. Tout le monde, oui, mais pas en faisant tous les métiers en freelance.

  • Speaker #1

    Alors ça, j'étais un peu... Je suis passée à travers ces postes-là.

  • Speaker #0

    Non, mais en fait, typiquement, faire 100K en freelance, c'est facile. Si tu choisis le bon marché, le bon personnage et la bonne compétence...

  • Speaker #1

    Mais ce n'était pas facile.

  • Speaker #0

    Ben non, du coup,

  • Speaker #1

    ce n'était pas facile. C'est possible, j'ai envie de dire, c'est possible.

  • Speaker #0

    Mais il y a plein de gens, surtout, qui ne veulent pas changer leur truc. Donc, si tu ne veux pas changer, si tu veux être, j'en sais rien moi, par exemple, faire 100K en étant naturopathe, je pense que ce n'est pas facile.

  • Speaker #1

    On en revient à notre naturopathie.

  • Speaker #0

    je ne sais pas et s'il y a des naturopathes qui nous écoutent indiquez-nous où vous en êtes en termes de CA parce que ça se trouve on a des préjugés et c'est pas bien non c'est possible et aussi c'est une orga et c'est du taf enfin on ne peut pas se voilà non moi mais moi je suis pour la en gros je suis pour la plasticité c'est-à-dire tu peux changer de métier là on est avec un pote qui était à Sciences Po et qui a fait de la data analyse et bah oui en tant que data scientist je ne sais pas quoi c'est plus facile de faire les six chiffres en fait ouais c'est sûr donc voilà changer de pied si vous avez envie. Et si vous n'avez pas envie, tout le monde n'est pas obligé de faire les 100K. Mais je veux dire, le speak LinkedIn pour tout le monde, dans toutes les niches et dans toutes les conditions, bof.

  • Speaker #1

    Après, à chacun de voir si ça les drive, tu vois, un objectif de chiffre d'affaires ou pas. Mais moi, le message que je veux passer, c'est que c'est possible. C'est pas parce qu'on est tout seul qu'on ne peut pas, quoi. Alors, attends, à moi de choisir une petite question très fun. Alors, attends, tout ça, on avance comme des brutes. Ah oui, j'aime bien celui-ci aussi. je te file 100 000 euros pour organiser un événement de ouf pour les freelances régale-nous, qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #0

    moi c'est sûr, je sais, je veux essayer de le faire, mais je ne sais pas si j'y arriverai je veux alors, deux choix, si je suis en mode on ne prend pas l'avion et tout j'organise une grosse free party donc je voudrais une grosse salle de concert, un gros festival une espèce de TEDx, mais plus rigolo, Independence Day, on parle tous de comment être plus libre. Et après, ça se finit en grosse, grosse soirée. Et sinon, deuxième idée pour les solopreneurs, je voulais qu'on parte aux US, aux USA, la terre où on voyage d'études, de mise des solopreneurs. On rencontre des solopreneurs trop légendaires et tout ça, et qu'on aille finir par soit un event, un gros event, Creator Economy ou je ne sais pas quoi, soit Burning Man. Qu'est-ce que tu en penses ? Mais est-ce que j'ai assez avec 100 000 balles pour emmener tout le monde à Bernoulli ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas sûre. Ok, on emmène, oui. Il y aura une liste d'attente, ça, il est clair.

  • Speaker #0

    Une liste d'attente pour 2 000 balles.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, on va vous faire une petite page de vente. On n'a rien, mais dites-nous. Donc, oui, je suis assez chaude bouillante. Moi, je pensais plutôt sur... Peut-être pas trop sur le fond, mais sur la forme. Je me suis dit que ça serait marrant qu'on soit déguisé. Non ? Si tu veux. Un truc un peu déguisé. Et puis, avec des animations... Là, je fais un petit clin d'œil à nos amis du Friop Festival, mais en roller, quoi. On se refait les rollers.

  • Speaker #0

    La roller party,

  • Speaker #1

    c'était bien. La disco roller party, c'était très drôle. Et puis, ou alors... Attends, je l'ai. On se fait ça à un... Tu sais, un parc aquatique. Non mais c'est le retour d'enfance ça serait ouf Là tu nous des relations de dingue on se fait un séjour, tu vois, regarde on prend pas l'avion en plus on privatise un parc aquatique

  • Speaker #0

    Ah oui, il faut privatiser un truc, parce que tu sais les séminaires d'entreprise ils privatisent Pour avoir l'air important, nous on est pas une grosse entreprise mais il faut qu'on se mette à plein de freelance et on privatise un truc de ouf et on s'éclate C'est très festif notre format C'est festif et c'est du type,

  • Speaker #1

    enfin il va y avoir des relations de ouf qui se nuient qui se lit, pardon. Là, c'est un peu bizarre. Et ça sera hyper productif. Donc, je pense que si vous êtes chaud bouillant, vous nous envoyez votre mail, on vous met sur la liste d'attente. De toute façon, Flavie va créer la landing.

  • Speaker #0

    Quel est ton mime préféré pour décrire le freelancing ?

  • Speaker #1

    On dit mime ?

  • Speaker #0

    J'ai fait ça parce que je ne sais pas. Mais non, moi, je dis même. Oui,

  • Speaker #1

    oui. Écoute, alors, je n'en ai pas,

  • Speaker #0

    mais j'adore poster des mimes.

  • Speaker #1

    J'adore les mimes. Mais tu vois, c'est un vrai petit bonheur de les choisir, les images. Et j'aimais bien... J'aime bien mettre des mèmes avec des animaux. Il y en avait un où c'était un ours qui se cachait derrière un arbre et qui se planquait, tu vois, et qui du coup avait un peu de mal à affirmer son positionnement, son pitch. Ah non, c'était quand il voulait négocier ses prix, quoi. Donc il se planque derrière un arbre, et je trouvais ça très drôle et très mignon. J'en ai plein avec des chatons. Oui,

  • Speaker #0

    j'aime bien. Moi c'est alors je sais pas comment le décrire tu vois une espèce de courbe de gosse comme ça donc une espèce de courbe en cloche et donc le mec qui pleure au milieu enfin non au début il y a un mec avec une cagoule enfin pas une cagoule une capuche de prêtre au milieu il y a un mec un peu genre qui fait plein de trucs et à droite il y a le mec un peu relax avec sa petite capuche de prêtre et ça ça fait trop penser à ma vie solopreneur c'est au début tu commences avec des choses simples genre je vends tel truc, c'est tel prix, voilà. Après, tu construis des milliards de trucs, putain de process dans tous les sens, 12 podcasts, 14 réseaux sociaux, un ocean avec 177 pages. Et après, tu reviens à un truc basique, genre je note mes idées de post LinkedIn sur ma note iPhone et je les poste. Ouais,

  • Speaker #1

    c'est marrant.

  • Speaker #0

    En création de contenu, notamment.

  • Speaker #1

    Ouais, c'est la création de contenu, je vois. Ouais, je vois. Je sais pas où je me situe dans la courbe, en fait.

  • Speaker #0

    Simplicité, rocket science au milieu. Et après, tu reviens à la simplicité, mais genre... Parce que t'es un senior, en fait, t'as compris ce qu'il fallait abandonner, tu gardes que ce qui est le mieux.

  • Speaker #1

    Je crois que je suis un peu paumée dans la cour, moi, perso. Je peux... Bon. Écoute, je te dirais si je progresse. Alors, attends, qu'est-ce qu'on avait comme question ? Oh putain, celle-ci est... Pardon. Oh flûte, celle-ci, elle est chaude. C'est la première fois que vous m'entendrez jurer. Je l'ai jamais fait sur...

  • Speaker #0

    Moi, ça m'arrive de plus en plus. De plus en plus détente sur le bord de... Est-ce que t'es en épisode ?

  • Speaker #1

    Je pense bien que je scripte tous les épisodes, donc il n'y a jamais de place pour le... La vulgarité.

  • Speaker #0

    J'avais vu un article, une étude de Harvard Business Review qui dit que jurer de temps en temps, ça crée du lien avec les gens et tout. Ils te réunissent de plus, d'une certaine manière.

  • Speaker #1

    Sur le respect, je ne savais pas.

  • Speaker #0

    Il ne faut pas être comme un charité.

  • Speaker #1

    Ça marche. Aurélie Chast, excusez-moi. J'enchaîne avec cette question. Franchement, la question tue, j'ai envie de dire. C'est quoi son plan à 10 ans ?

  • Speaker #0

    Ah putain, je ne voulais pas que tu me dises ça.

  • Speaker #1

    Ah putain, tu as juré encore.

  • Speaker #0

    Oh putain ! Elle est dans la liste. J'adore cette question, parce que je la pose en bout de camp, on fait le plan à 5 ans. Parce qu'en fait, ça donne des perspectives. Parce que tu sais, moi je suis sur la construction de produits scalables. Donc les gens qui croient qu'en un mois, tu vas gagner 30 000 balles avec une formation en ligne, ils se mettent un gros doigt dans l'œil. Ça prend du temps. Tu vois, il faut créer un média. Il faut pousser le truc, il faut trouver sa méthode.

  • Speaker #1

    Ça prend 5 ans,

  • Speaker #0

    mais ça prend au moins un an. Et donc, ça te donne des perspectives de se dire, dans 5 ans, il faut que j'ai tant. Donc, ça te laisse le temps de construire un produit scalable. Par contre, 10 ans, c'est vraiment dans longtemps. Donc, un, j'espère avoir augmenté mon niveau de surf.

  • Speaker #1

    Oui, il y a ça.

  • Speaker #0

    Deux, je veux continuer à avoir une bonne vie, pas trop déséquilibrer la choupe, je m'améliore. Tu vois, je travaille un peu moins qu'avant, je suis un peu moins stressée. Ce n'est pas gagné, parce que je suis encore un peu obsédée par mon business. Et puis, trois, je voudrais continuer à faire des trucs créatifs. Tu sais, les gens, ils t'enferment vite dans... Bon, tu as une offre qui marche, donc tu ne fais que ça toute la journée. Mais moi, je suis un peu un esprit un peu foufou. Donc, ouais, mais si c'est pour faire un truc toujours le même, ça ne m'intéresse pas. J'ai envie de faire soit mon truc de Burning Man, soit mon festival des friands, soit, je ne sais pas, des trucs de fou.

  • Speaker #1

    Des trucs fun, ouais. Je pense que le truc, franchement, vu l'audience qu'on va avoir sur cet épisode, c'est lancé, quoi. L'événement... ou c'était quoi, l'Aquapark ?

  • Speaker #0

    En faisant du surf avec des freelances comme on est en train de faire là, j'ai aussi l'idée peut-être d'acheter un lieu, pas loin du surf, pour peut-être faire du co-living. Tu vois, j'ai un peu ces projets-là. On revient me voir dans peut-être trois mois, ça aurait peut-être changé. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Moi, je sais pas mal. Moi, à 10 ans, je me vois avec une bête de maison, tu sais, en haute falaise, avec des petits escaliers qui descendent sur la plage. C'est très matérialiste. Mais je vois bien, c'est un truc au bord de la mer. Là-dessus, on se rejoint. C'est vrai que j'aurais fini... Pas mal de romans. Et je pense que j'en ai autant de succès que J.K. Rowling.

  • Speaker #0

    Ah, en mode romancière ?

  • Speaker #1

    Ouais, mais en side, tu vois.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    parfait. Parce que je ne vais pas lâcher le reste. Et du coup, je serai sollicitée régulièrement. On me proposera des déj'incroyables.

  • Speaker #0

    Forcément, vu que tu seras la podcast writer de Beyoncé, tu ouvriras quelques portes.

  • Speaker #1

    Génial. Voilà, je pense qu'il y a...

  • Speaker #0

    Toujours des déjeuners, c'est bien les déjeuners.

  • Speaker #1

    J'aime bien les déj'.

  • Speaker #0

    Et bien...

  • Speaker #1

    Donc attendez, petit aparté, si vous voulez m'inviter à déjeuner, c'est possible. Plutôt à Paris ou région parisienne, parce qu'il ne faut pas. Donc voilà.

  • Speaker #0

    Si vous venez à Nantes, vous m'invitez moi. Puisqu'on était sur l'écriture, si tu écris demain un livre sur le freelancing, quel serait son titre ?

  • Speaker #1

    Plus de kiff, plus de pognon. Je ne sais pas, je ne sais pas.

  • Speaker #0

    Parfait. Très Ormosi style.

  • Speaker #1

    Ah oui, mais je n'avais pas la ref, mais du coup, je... Je vais aller regarder.

  • Speaker #0

    Moi, c'est Plus Free Ma Vie.

  • Speaker #1

    C'est déjà un truc de def perso.

  • Speaker #0

    Mais non, mais c'était le nom de ma chronique à Café Freelance, j'aimais bien. Plus Free Ma Vie, by Flavie.

  • Speaker #1

    Genre avec, oh, un truc, une ref plus belle ma vie ?

  • Speaker #0

    Exactement. Ah, j'adore. Et puis moi, je cherche plus de liberté et je trouve qu'on n'en parle pas assez. Parce qu'on parle de fonction, d'optimisation, de productivité, mais c'est nul tout ça. Enfin, c'est bien, c'est un basique, mais après, une fois que tu l'as, t'es là, je suis fatiguée. Et si on vend son temps en freelance jusqu'à 65 ans...

  • Speaker #1

    Plus de kiff.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. C'est bien, c'est bien. Mais ils sont complémentaires, ça peut être volume 1, volume 2. Ou peut-être on peut faire trois volumes. Plus de kiff, plus de liberté, plus de pognon.

  • Speaker #1

    Voilà. Une journée de vie par semaine. commencer par ça appel aux éditeurs je pense qu'on va avoir des propositions ah oui alors celle-ci j'aime bien aussi as-tu un mantra ou une citation qui t'inspire dans ton travail de freelance ?

  • Speaker #0

    je t'ai prise au dépourvu ah ouais le boulet non mais Merde, mieux vous fait que parfait. En fait, moi, c'est Jean-Michel à peu près. Je suis Jean-Michel à peu près. Et en fait, ça marche bien.

  • Speaker #1

    On est un peu dans le même registre. Parce que moi, c'est un truc que je dis à toutes les freelances que j'accompagne pour les décontracter un peu. C'est bancal et c'est normal. Il faut accepter qu'on aura toujours envie de mieux. et que ça fait partie du deal et qu'il y a un côté qui nous est hyper angoissant parce qu'on a l'impression de ne pas arriver là où on veut et puis généralement à la fin de la journée on n'a jamais fait tous nos to-do mais c'est normal et c'est aussi comme ça qu'on avance.

  • Speaker #0

    C'est là qu'il faut se rappeler que comment veux-tu faire tous les métiers d'une entreprise classique en étant tout seul et en travaillant 6-7 heures par jour parce que tu veux un peu de kiff ?

  • Speaker #1

    En étant hyper créatif et hyper malin, d'où grande conviction, les freelances vont sauver le monde. Enfin on peut dire solo-preneur si tu préfères.

  • Speaker #0

    Les deux.

  • Speaker #1

    on est en train de sauver le monde ça me va tout à fait on en est où là ? ah si forcément on est bien on a fait plein plein de questions et ouais je pense que les gens qui vont écouter ces épisodes ils vont repartir on va finir avec le portrait chinois moi je voulais celle de l'animal aussi et

  • Speaker #0

    bien voilà alors attention grosse méga question c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait chinois c'est un portrait marine

  • Speaker #1

    Pour finir... Ah oui, d'accord, Faudelé, vas-y.

  • Speaker #0

    Si le freelancing était un animal, un plat, une chanson, une télé-TV et un objet ? OK.

  • Speaker #1

    Un animal, clairement, c'est l'ornithorynque. Moi, j'adore les animaux bizarres et l'ornithorynque, mais genre... C'est génial. Je ne sais pas si tu savais, mais il peut... Il peut empoisonner. Enfin, bon, bref. Il a plein de super-trouves.

  • Speaker #0

    Il peut empoisonner ?

  • Speaker #1

    Il peut s'adapter à plein... Oui, si. Le mal. Il s'adapte à plein d'environnements différents. Et puis il est discret, tu vois, il se la joue pas. J'aime bien. Un plat ? Alors là, je te le sors complètement au hasard, mais j'ai envie de te dire un fish and chips. Me demande pas le rapport avec la choucroute. Une chanson ? J'en ai pas. Je vais te dire ma chanson préférée du monde de toute la vie. Don't Stop Me Now de Queen. Et je suis tentée de chanter, mais je ne vais pas le faire. Une série télé. C'est chaud, quoi. Le freelancing, une série télé. Je vais te dire... Plus belle la vie, parce qu'on en a parlé juste avant. Un objet. Le freelancing est un objet. Eh bien, c'est un... Une paire de tongs. Une paire de tongs. J'adore. Vas-y, à toi. Donc, un plat. Non, un animal.

  • Speaker #0

    Alors, un animal, la loutre.

  • Speaker #1

    Ah, j'aime bien, j'adore les loutres. Loutre de mer quand elles se tiennent la main.

  • Speaker #0

    Mon animal totem, parce que c'est un animal qui est capable de rigoler. Donc, elle ne fait pas que des choses utilitaires.

  • Speaker #1

    Et puis, elles se tiennent la main, les loutres de mer, quand elles dérivent. Trop mignon.

  • Speaker #0

    Ah, trop mignon. Et en plus, elles font du toboggan, des trucs. Enfin, moi, avec vous. Donc, en fait, avoir un métier qui nous amuse aussi, je pense que c'est ça le propre du casting. Un plat, je dirais, des tapas pour tous les sites.

  • Speaker #1

    Ah, mais t'as réfléchi au truc pendant que je répondais.

  • Speaker #0

    Complètement à la rame. Oui, j'ai pris une minute en se...

  • Speaker #1

    Ah, c'est moche, elle a préparé.

  • Speaker #0

    C'est moche. Et la série, je t'en ai parlé hier, dans les séries préférées de tous les temps. For All Mankind, avec mon magnifique accent. C'est une série sur l'espace. Ils sont à la conquête de plein de trucs. J'adore. Ah non, non, c'est pas angoissant.

  • Speaker #1

    Je crois que j'ai arrêté en plus.

  • Speaker #0

    Et j'aime bien parce que c'est, tu sais, prouesse technique, énorme truc d'action. Et je trouve ça assez bien. Moi, j'aime bien le truc planétaire, la métaphore planétaire. On conquête de plein de trucs. On est trop content. À la fin, on a une petite galaxie de produits et tout. Wow. Bon, la chanson, je suis moins inspirée. Moi, j'écoute beaucoup de reggae. J'adore ça. Ça me détend. Donc un truc de reggae, tout nous, tu sais, du reggae route, genre It's Gonna Be Alright, un truc comme ça, tu vois, ou Bombardier, Uprising, genre on est... Tout va bien, tout va bien se passer.

  • Speaker #1

    Ouais, j'adore. Ouais, je prends.

  • Speaker #0

    Et un objet, j'ai... C'est chaud, hein ? Ben, non, mais je vais pas faire ça. Vas-y que j'aille dire un crayon, parce que c'est le truc où c'est nul.

  • Speaker #1

    On va dire au moins un micro, je sais pas.

  • Speaker #0

    Un micro, ben...

  • Speaker #1

    J'ai dit des tongs.

  • Speaker #0

    Je surf, parce que donc...

  • Speaker #1

    On se fait monter dessus.

  • Speaker #0

    On se fait parfois monter dessus par un écrivain. Quand tout va bien, tu prends la vague, t'es trop content. Parfois, tu te prends la planche dans la gueule et t'as envie d'arrêter le freelancing parce que tout t'énerve. Mais après, ça va mieux. Tu as la série qui arrive et là, tu fais ton meilleur ride de ta vie, comme ce matin, qui est la première séance. Elle était incroyable. Elle a un style natural.

  • Speaker #1

    D'ailleurs, je pense que ça a changé de carrière.

  • Speaker #0

    Dans dix ans,

  • Speaker #1

    on s'en repart. On s'en repart très vite. Alors, là, on a fait tout. On a enchaîné. Je pense que les auditeurs de la cohorte ne sont pas habitués à un épisode de 37 minutes 18, mais ça va le faire. Et petite dernière, donc dis-nous Flavie, pour les auditrices et les auditeurs de la cohorte qui ne connaissent pas encore le board, ce qui me paraît un peu étrange, mais imaginons, quelles seraient les raisons pour qu'ils aillent écouter ton podcast ?

  • Speaker #0

    Eh bien, si vous avez envie de devenir solopreneur...

  • Speaker #1

    Bon, mais alors... Explique-nous la différence entre solopreneur et freelance. Parce que pour moi, en fait, c'est une évolution. C'est un peu la même chose.

  • Speaker #0

    Oui, on peut dire que c'est un peu la même chose. Mais pour moi, le freelance, il vend surtout son temps, son expertise, tu vois. Plutôt en vendant son temps de cerveau disponible dans une boîte. Donc, il ne peut pas avoir 12 000 clients à la fois. Alors que le solopreneur, il va commencer à essayer de scaler. et donc à transformer son jus de cerveau en produit souvent. Peut-être un produit digital ou un collectif. Donc tu vois, c'est plus un entrepreneur solo. Il va faire un effet de levier sur son temps et sur son cerveau.

  • Speaker #1

    Ok, je vois. Moi, j'appelle ça la démultiplication. C'est un silence démultiplié.

  • Speaker #0

    Exact. Et c'est pas le même mode de vie. Donc c'est pas une obligation d'être soit l'un, soit l'autre. Tu vois, c'est pas une évolution comme un Pokémon. Non. C'est juste que... Alors,

  • Speaker #1

    on peut l'envisager un petit peu comme ça.

  • Speaker #0

    Ouais, mais tu vois, par exemple, la vie du solopreneur, c'est... peut-être plus polyvalent, mais aussi il y a plus de trucs à gérer. Peut-être que tu peux prendre une équipe de freelance pour t'aider. Ça, c'est un peu notre vie. Mais en tout cas, moi, je trouve ça très créatif, très fun et tout. Et toutes les semaines, je décode ça avec mes invités qui me donnent plein de compétences pour être un meilleur solopreneur. Et puis surtout, mon podcast, il est chouette et toi, il te plaît parce que tu es créative. Il y a de la musique, des défis. C'est assez rigolo à écouter.

  • Speaker #1

    C'est riche.

  • Speaker #0

    C'est assez rapide. C'est cinq minutes par jour pendant cinq jours. On ne s'ennuie pas, on se marre. et en plus je dis putain moi je n'ai jamais dit putain dans un de mes épisodes ok j'aime je pense que tu l'auras vendu et toi Marine pourquoi on devrait aller écouter ton super podcast La Cohorte ?

  • Speaker #1

    tout simplement parce que je suis une mamie podcasteuse ça fait depuis 2017 non c'est pas du tout un bon argument c'est le plus possible de partager des retours d'expérience d'indépendants voilà c'est des personnes qui expliquent comment elles ont répondu à des questions qu'on se pose tous Donc c'est très concret et c'est très accessible. Moi j'ai à cœur que... Je pense qu'on a beaucoup d'injonctions quand on est dans l'entrepreneuriat. Et je ne veux pas que les épisodes de podcast soient vécus comme des injonctions supplémentaires. Et je fais en sorte qu'à travers les interviews, les personnes sachent tout de suite, OK, ça, c'est pour moi, ça, c'est pas pour moi. Et si c'est pour moi, comment je fais ? Et genre, dès qu'elles ont fini d'écouter, elles peuvent tout de suite mettre en place la première étape et aller dans une direction qui leur permettront d'enchaîner des petites victoires et que ça sera très gratifiant. donc voilà je pense que c'est pour ça que vous pouvez aller écouter le podcast et aussi on se marre bien parce que je fais souvent des petites blagues voilà blagounettes style voilà partie par là de toute façon c'est pas pour rien qu'on s'entend bien parce que nos deux podcasts ils sont un géniaux et

  • Speaker #0

    puis deux très pratico-pratiques et les pratiques cette expression de mamie je l'adore on l'adore bon en tout cas bref écoutez plein de podcasts sur le freelancing kiffez votre vie de freelance

  • Speaker #1

    Et venez en nous envoyer des messages pour nous dire ce que vous avez aimé, pas aimé, on veut savoir.

  • Speaker #0

    Yes. Et puis surtout, n'oubliez pas de profiter de la vie et de vous faire des séminaires entre freelancers comme nous. Salut les freaks, salut les solopreneurs. Merci d'avoir écouté cette série Jitskobu. Je ne sais pas si tu sais, mais je remercie personnellement tous ceux qui me laissent 5 étoiles et un avis sympa sur leur plateforme de podcast ou qui partagent le board sur les réseaux sociaux en me baguant. N'hésite pas à te manifester auprès de moi. et je t'enverrai un petit goodies personnalisé du board pour te remercier. Merci à vous de m'aider à faire grandir le média des solopreneurs et à plus !

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