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4/5 🏋- Ouvrir une salle de sport en solo : de zéro réseau à 300.000 € levés cover
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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

4/5 🏋- Ouvrir une salle de sport en solo : de zéro réseau à 300.000 € levés

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08min |24/04/2025
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08min |24/04/2025
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Description

Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c’est possible ou c’est de la folie ?


Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l’impression de devoir monter l’Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l’a fait.


Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.


📌 Comment passer d’une idée floue à un projet concret, même sans expérience dans le secteur ?

📌 Comment financer la création d’un lieu physique quand on est solopreneur ?

📌 Comment Marion a créé une communauté avant même l’ouverture de sa salle de sport pour trouver ses premiers clients ?

📌 Comment organiser sa semaine pour faire tourner un lieu sans s’épuiser ?

📌 Comment convaincre les banques et les investisseurs de te suivre ?

📌 Quelles erreurs éviter pour ne pas finir en burn-out à force de porter toutes les casquettes ?

📌 Comment créer un lieu rentable et assurer un maximum de trésorerie ?


Un épisode à ne pas manquer si tu veux monter un projet dans la vraie vie et trouver des clés concrètes pour le financer, le lancer et surtout… le rentabiliser.


💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne. Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant. Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux : Respire - Gaël Faye


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news.

  • Speaker #1

    Alors le multi-casketing, un de mes trucs préférés. Je trouve que le multi-casketing digital, c'est déjà quelque chose de fatigant, charge mentale, tout ce qu'on doit faire en solopreneur. Mais toi, en plus, tu as un lieu physique à tenir. Est-ce que tu peux nous raconter peut-être les coulisses de ce qu'on n'imagine pas, de tout ce qu'il faut anticiper comme casquette à avoir ? Et comment on fait pour ne pas finir en burn-out ? Est-ce que tu t'es entourée ? Est-ce que tu as recruté ? Raconte-nous un peu tout ça.

  • Speaker #2

    Ouais, c'est assez rigolo. Quand on préparait un peu et qu'on discutait de tout ça, et même tu le vois au quotidien, j'essaie de lister un peu le nombre de postes que j'occupe au quotidien. En gros, dès le démarrage du projet, tu avais chef de chantier. Heureusement, j'ai eu une archi qui m'ont accompagnée. Mais sinon, chef de chantier, ensuite RH, acheteuse, commercial, manager. barista, responsable marketing, communication, business, B2B, responsable éliminantiel, animatrice de communauté. En gros, il y a toute la partie aussi responsable administrative et financière. En fait, il y a tout. T'es solo.

  • Speaker #1

    Mais t'as pas pris un assistant ? En fait, alors, je te dis ça, évidemment, tu dois me dire, j'avais peut-être pas la trésor au début. Comment ça se passe, en fait ? Tu peux prendre de l'aide directe ? Tu l'avais budgétée dans ton business plan ou t'as dit je vais commencer solo, solo ?

  • Speaker #2

    Alors oui, je l'avais budgété directement dans mon business plan. Pour être très franche, j'avais budgété quelqu'un qui m'accompagne notamment sur la partie accueil, café, barista, vraiment pour la partie service. Et entre parenthèses aussi, j'avais budgété le fait que je me rémunérais des dégarages. Il vaut mieux, qui peut le plus peut le moins, il vaut mieux le prévoir et ajuster ensuite.

  • Speaker #1

    Et là, tu t'es rémunéré ou pas ? Pas encore. Pas encore ? pour quand ?

  • Speaker #2

    Ouais, ça va être là courant 2025.

  • Speaker #1

    Et donc là, tu t'es pas rémunérée et tu freelances pas, on est d'accord ? Non. Parce que t'étais à temps plein sur le lieu.

  • Speaker #2

    Exactement. Je me suis mis en mode all-in, là où avant j'avais deux jours de freelancing, il y a un moment où j'ai tout arrêté pour mettre à fond et pour faire en sorte que ça avance. Au final, comme tu l'as un peu entendu, ça a pris plus de temps, donc là c'est vrai que il va falloir un moment que je puisse me rémunérer. Toutes ces casquettes-là, c'est sûr. que quand on démarre, que ce soit en freelance ou quand on lance son business, son commerce ou son lieu, on est obligé d'y passer. Et moi, je suis ravie, en plus, de toucher un petit peu à tout, dans l'idée que derrière, je serai plus à l'aise pour m'alléger, former, exactement. Du coup,

  • Speaker #1

    je n'ai jamais bu d'aussi bon café que depuis que je te connais chez Boulder. Je suis contente que tu aies suivi une formation de barista.

  • Speaker #2

    Mais en fait, je suis allée aussi vers là où le café, c'est un produit que j'adore. Pour moi, il y a deux choses. Il y a la première qui est acceptée de passer un peu par toutes ces étapes au démarrage. Anticiper quand même assez rapidement le fait d'avoir de l'aide, c'est ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai embauché William qui est barista et qui m'accompagne pour l'instant en temps partiel, mais qui me permet de me dégager des heures pendant lesquelles je vais aller démarcher des entreprises, je vais aller voir mes voisins, leur parler, leur raconter le fait que Boulder a ouvert. Donc voilà, je vais vraiment me dégager 2-3 heures par jour pour faire tout. tout ce que je faisais avant, le soir et le dimanche.

  • Speaker #1

    Parce que ça me fait vraiment trop penser au freelance qui vend son temps et qui ne fait pas les trucs à côté qu'il devrait faire pour les clients d'après. En fait, toi, c'est pareil. Toi, tu es là de 8h à...

  • Speaker #2

    De 8h à 18h20 avant d'aller à l'école.

  • Speaker #1

    C'est long quand même. Et du coup, tu as l'impression de bosser. Mais en fait, tu bosses, bien sûr, mais tu fais des cafés, tu as qu'à aller à l'école. Tu ne faisais pas la prospection que tu devrais. Et on s'était vu en début en mode... On va en parler dans le dernier épisode. C'est quoi le ramp-up ? C'est quoi le plan pour faire venir les clients, pour vite se remettre à flot ? Et c'est intéressant de voir ce parallèle. Donc toi aussi, tu as dû investir dans la délégation et dégager du temps pour faire des trucs stratégiques.

  • Speaker #2

    Et c'est exactement ça. C'est un vrai investissement que je fais. Aujourd'hui, encore une fois, je ne suis pas encore rentable, donc j'investis, notamment dans William. Mais pour, en fait, c'est soit j'arrive à développer et à utiliser ce temps pour en développer rapidement et pouvoir me payer et être rentable. soit en fait ça ne marchera pas parce que j'aurai pas le temps de, si je suis happée par l'opérationnel, j'aurai pas le temps d'éloper et du coup je n'arriverai pas aux objectifs. Donc voilà, c'est assez obligatoire. Et puis aussi pour la charge mentale. Puis on veut faire du sport et puis on est les cordonniers les plus mal chaussés. Non, non, j'arrive encore à faire du sport trois fois par semaine. Donc ça va. Mais voilà, il faut bien s'organiser, s'entourer et pas hésiter à embaucher.

  • Speaker #3

    Je dirais que ce serait quoi ?

  • Speaker #1

    Parce que ce que je vois aussi, c'est la tétanie de « il faut que je me forme surtout avant de commencer » , etc. Alors, qu'est-ce que… Sur quoi il faut se former vraiment ? Qu'est-ce qui est vraiment utile ? Et qu'est-ce qui est plutôt de l'ordre de la procrastination ou de la peur ?

  • Speaker #2

    Exactement, le troisième point, c'est ça, c'est la formation. Je pense qu'il faut, et c'est un bon exercice aussi, que de lister les choses sur lesquelles nous, on est bon. Et moi, tout ce qui m'a servi, enfin tout ce que j'ai appris dans ma vie d'avant, qui me sert aujourd'hui de management, de gestion, de commercial, je n'ai pas peur d'aller voir les gens, de leur parler, de leur raconter l'histoire des boulders, j'adore ça. Tous les clients qui passent la porte ici. Je leur fais visiter, je les mets vraiment. Ça, c'est ma passion de vendre. Et là, en plus, je vends mon propre projet, mon propre conseil. Donc, c'est génial. Tout ça, c'était OK. En revanche, de savoir faire des cœurs dans les lattes, au démarrage, il n'y avait pas William. Et il fallait bien. La promesse, c'était un vrai coffee shop, un café de spécialité. Et donc, il a fallu que j'apprenne ça. Et c'était aussi une volonté que d'apprendre quelque chose de concret. Je pense que j'avais besoin de ça aussi. Et donc, j'ai sélectionné parmi toutes les compétences et toutes les casquettes que j'allais avoir. laquelle est-ce que je ne connais pas aujourd'hui et sur laquelle il va falloir que je me forme. Et donc, je suis allée faire une formation de barista à Paris pendant 5 jours, financée par un opco. Quand on est freelance, on cotise tous les mois. Et donc, on a des financements. Moi, c'était via l'Agefis. Donc ça, c'est un vrai tips qui m'a financé entièrement ma formation qui a coûté quand même 1750 euros. Donc, ce n'est pas rien. 5 jours, mais tu avais toute la culture du café, l'histoire, jusqu'au petit cœur, effectivement. que je sais désormais à peu près faire.

  • Speaker #1

    Je demande que tu saches faire le B de bolster dans tes matchs. Trop bien. Écoute, merci beaucoup pour ce multi casqueting. Écoute, on est avec toi. Et ce que je voulais dire aussi, c'est que dans ces moments-là, en tant que solopreneur, il ne faut pas hésiter à faire appel aux autres. Parce que nous, on s'est bu plein de café. Moi, je viens faire du sport ici. On s'est filé des coups de main. Je t'ai forcé à aller sur LinkedIn à poster. J'ai fait Ghostwriter pour toi. Trop marrant. Alors que je n'ai pas du tout ce talent-là. Mais c'était cool comme je connaissais ton projet. Et voilà, tout le monde peut donner un petit coup de main au solopreneur qui se lance. Donc, n'hésitez pas à demander autour de vous parce que finalement, tu vois, 10 minutes de compétence d'un copywriter pour faire ton site, celui qui vient boire un café parmi les freelance nomades qui viennent chez Boulder, c'est hyper précieux pour toi. Trop cool.

  • Speaker #2

    Pas hésité à demander de l'aide. C'est vrai que je n'en ai pas parlé tellement. J'oublie de le faire, mais il faut le faire. Parfois, l'aide vient à vous, c'est encore mieux. C'est ça.

  • Speaker #1

    Mais non, on ne peut pas s'empêcher d'aider. Les freelancers, on est là. Alors attends, je peux t'aider sur ton truc et tout. Bon, allez, dernier épisode. On va regarder maintenant combien ça gagne parce que c'est bien beau de faire des projets et passions, d'ouvrir sa salle de sport. Mais moi, je lutte contre la précarisation des freelances, des indépendants et des solopreneurs. Donc, j'aimerais bien qu'on parle maintenant. Monnaie sonnante et trébuchante, tu en as un petit peu parlé tout à l'heure. Est-ce que tu peux te payer ? Quel est un peu le film entre le moment où on ouvre et là, c'est à ton cinquième mois d'ouverture. Donc, on va faire le bilan dans le dernier épisode. C'est parti.

Description

Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c’est possible ou c’est de la folie ?


Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l’impression de devoir monter l’Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l’a fait.


Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.


📌 Comment passer d’une idée floue à un projet concret, même sans expérience dans le secteur ?

📌 Comment financer la création d’un lieu physique quand on est solopreneur ?

📌 Comment Marion a créé une communauté avant même l’ouverture de sa salle de sport pour trouver ses premiers clients ?

📌 Comment organiser sa semaine pour faire tourner un lieu sans s’épuiser ?

📌 Comment convaincre les banques et les investisseurs de te suivre ?

📌 Quelles erreurs éviter pour ne pas finir en burn-out à force de porter toutes les casquettes ?

📌 Comment créer un lieu rentable et assurer un maximum de trésorerie ?


Un épisode à ne pas manquer si tu veux monter un projet dans la vraie vie et trouver des clés concrètes pour le financer, le lancer et surtout… le rentabiliser.


💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne. Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant. Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux : Respire - Gaël Faye


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news.

  • Speaker #1

    Alors le multi-casketing, un de mes trucs préférés. Je trouve que le multi-casketing digital, c'est déjà quelque chose de fatigant, charge mentale, tout ce qu'on doit faire en solopreneur. Mais toi, en plus, tu as un lieu physique à tenir. Est-ce que tu peux nous raconter peut-être les coulisses de ce qu'on n'imagine pas, de tout ce qu'il faut anticiper comme casquette à avoir ? Et comment on fait pour ne pas finir en burn-out ? Est-ce que tu t'es entourée ? Est-ce que tu as recruté ? Raconte-nous un peu tout ça.

  • Speaker #2

    Ouais, c'est assez rigolo. Quand on préparait un peu et qu'on discutait de tout ça, et même tu le vois au quotidien, j'essaie de lister un peu le nombre de postes que j'occupe au quotidien. En gros, dès le démarrage du projet, tu avais chef de chantier. Heureusement, j'ai eu une archi qui m'ont accompagnée. Mais sinon, chef de chantier, ensuite RH, acheteuse, commercial, manager. barista, responsable marketing, communication, business, B2B, responsable éliminantiel, animatrice de communauté. En gros, il y a toute la partie aussi responsable administrative et financière. En fait, il y a tout. T'es solo.

  • Speaker #1

    Mais t'as pas pris un assistant ? En fait, alors, je te dis ça, évidemment, tu dois me dire, j'avais peut-être pas la trésor au début. Comment ça se passe, en fait ? Tu peux prendre de l'aide directe ? Tu l'avais budgétée dans ton business plan ou t'as dit je vais commencer solo, solo ?

  • Speaker #2

    Alors oui, je l'avais budgété directement dans mon business plan. Pour être très franche, j'avais budgété quelqu'un qui m'accompagne notamment sur la partie accueil, café, barista, vraiment pour la partie service. Et entre parenthèses aussi, j'avais budgété le fait que je me rémunérais des dégarages. Il vaut mieux, qui peut le plus peut le moins, il vaut mieux le prévoir et ajuster ensuite.

  • Speaker #1

    Et là, tu t'es rémunéré ou pas ? Pas encore. Pas encore ? pour quand ?

  • Speaker #2

    Ouais, ça va être là courant 2025.

  • Speaker #1

    Et donc là, tu t'es pas rémunérée et tu freelances pas, on est d'accord ? Non. Parce que t'étais à temps plein sur le lieu.

  • Speaker #2

    Exactement. Je me suis mis en mode all-in, là où avant j'avais deux jours de freelancing, il y a un moment où j'ai tout arrêté pour mettre à fond et pour faire en sorte que ça avance. Au final, comme tu l'as un peu entendu, ça a pris plus de temps, donc là c'est vrai que il va falloir un moment que je puisse me rémunérer. Toutes ces casquettes-là, c'est sûr. que quand on démarre, que ce soit en freelance ou quand on lance son business, son commerce ou son lieu, on est obligé d'y passer. Et moi, je suis ravie, en plus, de toucher un petit peu à tout, dans l'idée que derrière, je serai plus à l'aise pour m'alléger, former, exactement. Du coup,

  • Speaker #1

    je n'ai jamais bu d'aussi bon café que depuis que je te connais chez Boulder. Je suis contente que tu aies suivi une formation de barista.

  • Speaker #2

    Mais en fait, je suis allée aussi vers là où le café, c'est un produit que j'adore. Pour moi, il y a deux choses. Il y a la première qui est acceptée de passer un peu par toutes ces étapes au démarrage. Anticiper quand même assez rapidement le fait d'avoir de l'aide, c'est ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai embauché William qui est barista et qui m'accompagne pour l'instant en temps partiel, mais qui me permet de me dégager des heures pendant lesquelles je vais aller démarcher des entreprises, je vais aller voir mes voisins, leur parler, leur raconter le fait que Boulder a ouvert. Donc voilà, je vais vraiment me dégager 2-3 heures par jour pour faire tout. tout ce que je faisais avant, le soir et le dimanche.

  • Speaker #1

    Parce que ça me fait vraiment trop penser au freelance qui vend son temps et qui ne fait pas les trucs à côté qu'il devrait faire pour les clients d'après. En fait, toi, c'est pareil. Toi, tu es là de 8h à...

  • Speaker #2

    De 8h à 18h20 avant d'aller à l'école.

  • Speaker #1

    C'est long quand même. Et du coup, tu as l'impression de bosser. Mais en fait, tu bosses, bien sûr, mais tu fais des cafés, tu as qu'à aller à l'école. Tu ne faisais pas la prospection que tu devrais. Et on s'était vu en début en mode... On va en parler dans le dernier épisode. C'est quoi le ramp-up ? C'est quoi le plan pour faire venir les clients, pour vite se remettre à flot ? Et c'est intéressant de voir ce parallèle. Donc toi aussi, tu as dû investir dans la délégation et dégager du temps pour faire des trucs stratégiques.

  • Speaker #2

    Et c'est exactement ça. C'est un vrai investissement que je fais. Aujourd'hui, encore une fois, je ne suis pas encore rentable, donc j'investis, notamment dans William. Mais pour, en fait, c'est soit j'arrive à développer et à utiliser ce temps pour en développer rapidement et pouvoir me payer et être rentable. soit en fait ça ne marchera pas parce que j'aurai pas le temps de, si je suis happée par l'opérationnel, j'aurai pas le temps d'éloper et du coup je n'arriverai pas aux objectifs. Donc voilà, c'est assez obligatoire. Et puis aussi pour la charge mentale. Puis on veut faire du sport et puis on est les cordonniers les plus mal chaussés. Non, non, j'arrive encore à faire du sport trois fois par semaine. Donc ça va. Mais voilà, il faut bien s'organiser, s'entourer et pas hésiter à embaucher.

  • Speaker #3

    Je dirais que ce serait quoi ?

  • Speaker #1

    Parce que ce que je vois aussi, c'est la tétanie de « il faut que je me forme surtout avant de commencer » , etc. Alors, qu'est-ce que… Sur quoi il faut se former vraiment ? Qu'est-ce qui est vraiment utile ? Et qu'est-ce qui est plutôt de l'ordre de la procrastination ou de la peur ?

  • Speaker #2

    Exactement, le troisième point, c'est ça, c'est la formation. Je pense qu'il faut, et c'est un bon exercice aussi, que de lister les choses sur lesquelles nous, on est bon. Et moi, tout ce qui m'a servi, enfin tout ce que j'ai appris dans ma vie d'avant, qui me sert aujourd'hui de management, de gestion, de commercial, je n'ai pas peur d'aller voir les gens, de leur parler, de leur raconter l'histoire des boulders, j'adore ça. Tous les clients qui passent la porte ici. Je leur fais visiter, je les mets vraiment. Ça, c'est ma passion de vendre. Et là, en plus, je vends mon propre projet, mon propre conseil. Donc, c'est génial. Tout ça, c'était OK. En revanche, de savoir faire des cœurs dans les lattes, au démarrage, il n'y avait pas William. Et il fallait bien. La promesse, c'était un vrai coffee shop, un café de spécialité. Et donc, il a fallu que j'apprenne ça. Et c'était aussi une volonté que d'apprendre quelque chose de concret. Je pense que j'avais besoin de ça aussi. Et donc, j'ai sélectionné parmi toutes les compétences et toutes les casquettes que j'allais avoir. laquelle est-ce que je ne connais pas aujourd'hui et sur laquelle il va falloir que je me forme. Et donc, je suis allée faire une formation de barista à Paris pendant 5 jours, financée par un opco. Quand on est freelance, on cotise tous les mois. Et donc, on a des financements. Moi, c'était via l'Agefis. Donc ça, c'est un vrai tips qui m'a financé entièrement ma formation qui a coûté quand même 1750 euros. Donc, ce n'est pas rien. 5 jours, mais tu avais toute la culture du café, l'histoire, jusqu'au petit cœur, effectivement. que je sais désormais à peu près faire.

  • Speaker #1

    Je demande que tu saches faire le B de bolster dans tes matchs. Trop bien. Écoute, merci beaucoup pour ce multi casqueting. Écoute, on est avec toi. Et ce que je voulais dire aussi, c'est que dans ces moments-là, en tant que solopreneur, il ne faut pas hésiter à faire appel aux autres. Parce que nous, on s'est bu plein de café. Moi, je viens faire du sport ici. On s'est filé des coups de main. Je t'ai forcé à aller sur LinkedIn à poster. J'ai fait Ghostwriter pour toi. Trop marrant. Alors que je n'ai pas du tout ce talent-là. Mais c'était cool comme je connaissais ton projet. Et voilà, tout le monde peut donner un petit coup de main au solopreneur qui se lance. Donc, n'hésitez pas à demander autour de vous parce que finalement, tu vois, 10 minutes de compétence d'un copywriter pour faire ton site, celui qui vient boire un café parmi les freelance nomades qui viennent chez Boulder, c'est hyper précieux pour toi. Trop cool.

  • Speaker #2

    Pas hésité à demander de l'aide. C'est vrai que je n'en ai pas parlé tellement. J'oublie de le faire, mais il faut le faire. Parfois, l'aide vient à vous, c'est encore mieux. C'est ça.

  • Speaker #1

    Mais non, on ne peut pas s'empêcher d'aider. Les freelancers, on est là. Alors attends, je peux t'aider sur ton truc et tout. Bon, allez, dernier épisode. On va regarder maintenant combien ça gagne parce que c'est bien beau de faire des projets et passions, d'ouvrir sa salle de sport. Mais moi, je lutte contre la précarisation des freelances, des indépendants et des solopreneurs. Donc, j'aimerais bien qu'on parle maintenant. Monnaie sonnante et trébuchante, tu en as un petit peu parlé tout à l'heure. Est-ce que tu peux te payer ? Quel est un peu le film entre le moment où on ouvre et là, c'est à ton cinquième mois d'ouverture. Donc, on va faire le bilan dans le dernier épisode. C'est parti.

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Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c’est possible ou c’est de la folie ?


Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l’impression de devoir monter l’Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l’a fait.


Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.


📌 Comment passer d’une idée floue à un projet concret, même sans expérience dans le secteur ?

📌 Comment financer la création d’un lieu physique quand on est solopreneur ?

📌 Comment Marion a créé une communauté avant même l’ouverture de sa salle de sport pour trouver ses premiers clients ?

📌 Comment organiser sa semaine pour faire tourner un lieu sans s’épuiser ?

📌 Comment convaincre les banques et les investisseurs de te suivre ?

📌 Quelles erreurs éviter pour ne pas finir en burn-out à force de porter toutes les casquettes ?

📌 Comment créer un lieu rentable et assurer un maximum de trésorerie ?


Un épisode à ne pas manquer si tu veux monter un projet dans la vraie vie et trouver des clés concrètes pour le financer, le lancer et surtout… le rentabiliser.


💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne. Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant. Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux : Respire - Gaël Faye


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news.

  • Speaker #1

    Alors le multi-casketing, un de mes trucs préférés. Je trouve que le multi-casketing digital, c'est déjà quelque chose de fatigant, charge mentale, tout ce qu'on doit faire en solopreneur. Mais toi, en plus, tu as un lieu physique à tenir. Est-ce que tu peux nous raconter peut-être les coulisses de ce qu'on n'imagine pas, de tout ce qu'il faut anticiper comme casquette à avoir ? Et comment on fait pour ne pas finir en burn-out ? Est-ce que tu t'es entourée ? Est-ce que tu as recruté ? Raconte-nous un peu tout ça.

  • Speaker #2

    Ouais, c'est assez rigolo. Quand on préparait un peu et qu'on discutait de tout ça, et même tu le vois au quotidien, j'essaie de lister un peu le nombre de postes que j'occupe au quotidien. En gros, dès le démarrage du projet, tu avais chef de chantier. Heureusement, j'ai eu une archi qui m'ont accompagnée. Mais sinon, chef de chantier, ensuite RH, acheteuse, commercial, manager. barista, responsable marketing, communication, business, B2B, responsable éliminantiel, animatrice de communauté. En gros, il y a toute la partie aussi responsable administrative et financière. En fait, il y a tout. T'es solo.

  • Speaker #1

    Mais t'as pas pris un assistant ? En fait, alors, je te dis ça, évidemment, tu dois me dire, j'avais peut-être pas la trésor au début. Comment ça se passe, en fait ? Tu peux prendre de l'aide directe ? Tu l'avais budgétée dans ton business plan ou t'as dit je vais commencer solo, solo ?

  • Speaker #2

    Alors oui, je l'avais budgété directement dans mon business plan. Pour être très franche, j'avais budgété quelqu'un qui m'accompagne notamment sur la partie accueil, café, barista, vraiment pour la partie service. Et entre parenthèses aussi, j'avais budgété le fait que je me rémunérais des dégarages. Il vaut mieux, qui peut le plus peut le moins, il vaut mieux le prévoir et ajuster ensuite.

  • Speaker #1

    Et là, tu t'es rémunéré ou pas ? Pas encore. Pas encore ? pour quand ?

  • Speaker #2

    Ouais, ça va être là courant 2025.

  • Speaker #1

    Et donc là, tu t'es pas rémunérée et tu freelances pas, on est d'accord ? Non. Parce que t'étais à temps plein sur le lieu.

  • Speaker #2

    Exactement. Je me suis mis en mode all-in, là où avant j'avais deux jours de freelancing, il y a un moment où j'ai tout arrêté pour mettre à fond et pour faire en sorte que ça avance. Au final, comme tu l'as un peu entendu, ça a pris plus de temps, donc là c'est vrai que il va falloir un moment que je puisse me rémunérer. Toutes ces casquettes-là, c'est sûr. que quand on démarre, que ce soit en freelance ou quand on lance son business, son commerce ou son lieu, on est obligé d'y passer. Et moi, je suis ravie, en plus, de toucher un petit peu à tout, dans l'idée que derrière, je serai plus à l'aise pour m'alléger, former, exactement. Du coup,

  • Speaker #1

    je n'ai jamais bu d'aussi bon café que depuis que je te connais chez Boulder. Je suis contente que tu aies suivi une formation de barista.

  • Speaker #2

    Mais en fait, je suis allée aussi vers là où le café, c'est un produit que j'adore. Pour moi, il y a deux choses. Il y a la première qui est acceptée de passer un peu par toutes ces étapes au démarrage. Anticiper quand même assez rapidement le fait d'avoir de l'aide, c'est ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai embauché William qui est barista et qui m'accompagne pour l'instant en temps partiel, mais qui me permet de me dégager des heures pendant lesquelles je vais aller démarcher des entreprises, je vais aller voir mes voisins, leur parler, leur raconter le fait que Boulder a ouvert. Donc voilà, je vais vraiment me dégager 2-3 heures par jour pour faire tout. tout ce que je faisais avant, le soir et le dimanche.

  • Speaker #1

    Parce que ça me fait vraiment trop penser au freelance qui vend son temps et qui ne fait pas les trucs à côté qu'il devrait faire pour les clients d'après. En fait, toi, c'est pareil. Toi, tu es là de 8h à...

  • Speaker #2

    De 8h à 18h20 avant d'aller à l'école.

  • Speaker #1

    C'est long quand même. Et du coup, tu as l'impression de bosser. Mais en fait, tu bosses, bien sûr, mais tu fais des cafés, tu as qu'à aller à l'école. Tu ne faisais pas la prospection que tu devrais. Et on s'était vu en début en mode... On va en parler dans le dernier épisode. C'est quoi le ramp-up ? C'est quoi le plan pour faire venir les clients, pour vite se remettre à flot ? Et c'est intéressant de voir ce parallèle. Donc toi aussi, tu as dû investir dans la délégation et dégager du temps pour faire des trucs stratégiques.

  • Speaker #2

    Et c'est exactement ça. C'est un vrai investissement que je fais. Aujourd'hui, encore une fois, je ne suis pas encore rentable, donc j'investis, notamment dans William. Mais pour, en fait, c'est soit j'arrive à développer et à utiliser ce temps pour en développer rapidement et pouvoir me payer et être rentable. soit en fait ça ne marchera pas parce que j'aurai pas le temps de, si je suis happée par l'opérationnel, j'aurai pas le temps d'éloper et du coup je n'arriverai pas aux objectifs. Donc voilà, c'est assez obligatoire. Et puis aussi pour la charge mentale. Puis on veut faire du sport et puis on est les cordonniers les plus mal chaussés. Non, non, j'arrive encore à faire du sport trois fois par semaine. Donc ça va. Mais voilà, il faut bien s'organiser, s'entourer et pas hésiter à embaucher.

  • Speaker #3

    Je dirais que ce serait quoi ?

  • Speaker #1

    Parce que ce que je vois aussi, c'est la tétanie de « il faut que je me forme surtout avant de commencer » , etc. Alors, qu'est-ce que… Sur quoi il faut se former vraiment ? Qu'est-ce qui est vraiment utile ? Et qu'est-ce qui est plutôt de l'ordre de la procrastination ou de la peur ?

  • Speaker #2

    Exactement, le troisième point, c'est ça, c'est la formation. Je pense qu'il faut, et c'est un bon exercice aussi, que de lister les choses sur lesquelles nous, on est bon. Et moi, tout ce qui m'a servi, enfin tout ce que j'ai appris dans ma vie d'avant, qui me sert aujourd'hui de management, de gestion, de commercial, je n'ai pas peur d'aller voir les gens, de leur parler, de leur raconter l'histoire des boulders, j'adore ça. Tous les clients qui passent la porte ici. Je leur fais visiter, je les mets vraiment. Ça, c'est ma passion de vendre. Et là, en plus, je vends mon propre projet, mon propre conseil. Donc, c'est génial. Tout ça, c'était OK. En revanche, de savoir faire des cœurs dans les lattes, au démarrage, il n'y avait pas William. Et il fallait bien. La promesse, c'était un vrai coffee shop, un café de spécialité. Et donc, il a fallu que j'apprenne ça. Et c'était aussi une volonté que d'apprendre quelque chose de concret. Je pense que j'avais besoin de ça aussi. Et donc, j'ai sélectionné parmi toutes les compétences et toutes les casquettes que j'allais avoir. laquelle est-ce que je ne connais pas aujourd'hui et sur laquelle il va falloir que je me forme. Et donc, je suis allée faire une formation de barista à Paris pendant 5 jours, financée par un opco. Quand on est freelance, on cotise tous les mois. Et donc, on a des financements. Moi, c'était via l'Agefis. Donc ça, c'est un vrai tips qui m'a financé entièrement ma formation qui a coûté quand même 1750 euros. Donc, ce n'est pas rien. 5 jours, mais tu avais toute la culture du café, l'histoire, jusqu'au petit cœur, effectivement. que je sais désormais à peu près faire.

  • Speaker #1

    Je demande que tu saches faire le B de bolster dans tes matchs. Trop bien. Écoute, merci beaucoup pour ce multi casqueting. Écoute, on est avec toi. Et ce que je voulais dire aussi, c'est que dans ces moments-là, en tant que solopreneur, il ne faut pas hésiter à faire appel aux autres. Parce que nous, on s'est bu plein de café. Moi, je viens faire du sport ici. On s'est filé des coups de main. Je t'ai forcé à aller sur LinkedIn à poster. J'ai fait Ghostwriter pour toi. Trop marrant. Alors que je n'ai pas du tout ce talent-là. Mais c'était cool comme je connaissais ton projet. Et voilà, tout le monde peut donner un petit coup de main au solopreneur qui se lance. Donc, n'hésitez pas à demander autour de vous parce que finalement, tu vois, 10 minutes de compétence d'un copywriter pour faire ton site, celui qui vient boire un café parmi les freelance nomades qui viennent chez Boulder, c'est hyper précieux pour toi. Trop cool.

  • Speaker #2

    Pas hésité à demander de l'aide. C'est vrai que je n'en ai pas parlé tellement. J'oublie de le faire, mais il faut le faire. Parfois, l'aide vient à vous, c'est encore mieux. C'est ça.

  • Speaker #1

    Mais non, on ne peut pas s'empêcher d'aider. Les freelancers, on est là. Alors attends, je peux t'aider sur ton truc et tout. Bon, allez, dernier épisode. On va regarder maintenant combien ça gagne parce que c'est bien beau de faire des projets et passions, d'ouvrir sa salle de sport. Mais moi, je lutte contre la précarisation des freelances, des indépendants et des solopreneurs. Donc, j'aimerais bien qu'on parle maintenant. Monnaie sonnante et trébuchante, tu en as un petit peu parlé tout à l'heure. Est-ce que tu peux te payer ? Quel est un peu le film entre le moment où on ouvre et là, c'est à ton cinquième mois d'ouverture. Donc, on va faire le bilan dans le dernier épisode. C'est parti.

Description

Ouvrir un lieu physique en solo comme un restaurant, un coworking ou une salle de sport … c’est possible ou c’est de la folie ?


Financement, gestion quotidienne, création de communauté… quand on est solopreneur on peut avoir l’impression de devoir monter l’Everest. Pourtant, Marion Pageot-Raith l’a fait.


Fondatrice du studio de sport Bolder à Nantes, Marion te partage les coulisses de son parcours pour créer sa salle de sport en partant de zéro, tout en étant freelance en parallèle pour se financer. Pas de mise de départ, pas de réseau, juste une grosse dose de détermination et des stratégies très concrètes pour sortir son projet de terre, jour après jour.


📌 Comment passer d’une idée floue à un projet concret, même sans expérience dans le secteur ?

📌 Comment financer la création d’un lieu physique quand on est solopreneur ?

📌 Comment Marion a créé une communauté avant même l’ouverture de sa salle de sport pour trouver ses premiers clients ?

📌 Comment organiser sa semaine pour faire tourner un lieu sans s’épuiser ?

📌 Comment convaincre les banques et les investisseurs de te suivre ?

📌 Quelles erreurs éviter pour ne pas finir en burn-out à force de porter toutes les casquettes ?

📌 Comment créer un lieu rentable et assurer un maximum de trésorerie ?


Un épisode à ne pas manquer si tu veux monter un projet dans la vraie vie et trouver des clés concrètes pour le financer, le lancer et surtout… le rentabiliser.


💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne. Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant. Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux : Respire - Gaël Faye


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news.

  • Speaker #1

    Alors le multi-casketing, un de mes trucs préférés. Je trouve que le multi-casketing digital, c'est déjà quelque chose de fatigant, charge mentale, tout ce qu'on doit faire en solopreneur. Mais toi, en plus, tu as un lieu physique à tenir. Est-ce que tu peux nous raconter peut-être les coulisses de ce qu'on n'imagine pas, de tout ce qu'il faut anticiper comme casquette à avoir ? Et comment on fait pour ne pas finir en burn-out ? Est-ce que tu t'es entourée ? Est-ce que tu as recruté ? Raconte-nous un peu tout ça.

  • Speaker #2

    Ouais, c'est assez rigolo. Quand on préparait un peu et qu'on discutait de tout ça, et même tu le vois au quotidien, j'essaie de lister un peu le nombre de postes que j'occupe au quotidien. En gros, dès le démarrage du projet, tu avais chef de chantier. Heureusement, j'ai eu une archi qui m'ont accompagnée. Mais sinon, chef de chantier, ensuite RH, acheteuse, commercial, manager. barista, responsable marketing, communication, business, B2B, responsable éliminantiel, animatrice de communauté. En gros, il y a toute la partie aussi responsable administrative et financière. En fait, il y a tout. T'es solo.

  • Speaker #1

    Mais t'as pas pris un assistant ? En fait, alors, je te dis ça, évidemment, tu dois me dire, j'avais peut-être pas la trésor au début. Comment ça se passe, en fait ? Tu peux prendre de l'aide directe ? Tu l'avais budgétée dans ton business plan ou t'as dit je vais commencer solo, solo ?

  • Speaker #2

    Alors oui, je l'avais budgété directement dans mon business plan. Pour être très franche, j'avais budgété quelqu'un qui m'accompagne notamment sur la partie accueil, café, barista, vraiment pour la partie service. Et entre parenthèses aussi, j'avais budgété le fait que je me rémunérais des dégarages. Il vaut mieux, qui peut le plus peut le moins, il vaut mieux le prévoir et ajuster ensuite.

  • Speaker #1

    Et là, tu t'es rémunéré ou pas ? Pas encore. Pas encore ? pour quand ?

  • Speaker #2

    Ouais, ça va être là courant 2025.

  • Speaker #1

    Et donc là, tu t'es pas rémunérée et tu freelances pas, on est d'accord ? Non. Parce que t'étais à temps plein sur le lieu.

  • Speaker #2

    Exactement. Je me suis mis en mode all-in, là où avant j'avais deux jours de freelancing, il y a un moment où j'ai tout arrêté pour mettre à fond et pour faire en sorte que ça avance. Au final, comme tu l'as un peu entendu, ça a pris plus de temps, donc là c'est vrai que il va falloir un moment que je puisse me rémunérer. Toutes ces casquettes-là, c'est sûr. que quand on démarre, que ce soit en freelance ou quand on lance son business, son commerce ou son lieu, on est obligé d'y passer. Et moi, je suis ravie, en plus, de toucher un petit peu à tout, dans l'idée que derrière, je serai plus à l'aise pour m'alléger, former, exactement. Du coup,

  • Speaker #1

    je n'ai jamais bu d'aussi bon café que depuis que je te connais chez Boulder. Je suis contente que tu aies suivi une formation de barista.

  • Speaker #2

    Mais en fait, je suis allée aussi vers là où le café, c'est un produit que j'adore. Pour moi, il y a deux choses. Il y a la première qui est acceptée de passer un peu par toutes ces étapes au démarrage. Anticiper quand même assez rapidement le fait d'avoir de l'aide, c'est ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai embauché William qui est barista et qui m'accompagne pour l'instant en temps partiel, mais qui me permet de me dégager des heures pendant lesquelles je vais aller démarcher des entreprises, je vais aller voir mes voisins, leur parler, leur raconter le fait que Boulder a ouvert. Donc voilà, je vais vraiment me dégager 2-3 heures par jour pour faire tout. tout ce que je faisais avant, le soir et le dimanche.

  • Speaker #1

    Parce que ça me fait vraiment trop penser au freelance qui vend son temps et qui ne fait pas les trucs à côté qu'il devrait faire pour les clients d'après. En fait, toi, c'est pareil. Toi, tu es là de 8h à...

  • Speaker #2

    De 8h à 18h20 avant d'aller à l'école.

  • Speaker #1

    C'est long quand même. Et du coup, tu as l'impression de bosser. Mais en fait, tu bosses, bien sûr, mais tu fais des cafés, tu as qu'à aller à l'école. Tu ne faisais pas la prospection que tu devrais. Et on s'était vu en début en mode... On va en parler dans le dernier épisode. C'est quoi le ramp-up ? C'est quoi le plan pour faire venir les clients, pour vite se remettre à flot ? Et c'est intéressant de voir ce parallèle. Donc toi aussi, tu as dû investir dans la délégation et dégager du temps pour faire des trucs stratégiques.

  • Speaker #2

    Et c'est exactement ça. C'est un vrai investissement que je fais. Aujourd'hui, encore une fois, je ne suis pas encore rentable, donc j'investis, notamment dans William. Mais pour, en fait, c'est soit j'arrive à développer et à utiliser ce temps pour en développer rapidement et pouvoir me payer et être rentable. soit en fait ça ne marchera pas parce que j'aurai pas le temps de, si je suis happée par l'opérationnel, j'aurai pas le temps d'éloper et du coup je n'arriverai pas aux objectifs. Donc voilà, c'est assez obligatoire. Et puis aussi pour la charge mentale. Puis on veut faire du sport et puis on est les cordonniers les plus mal chaussés. Non, non, j'arrive encore à faire du sport trois fois par semaine. Donc ça va. Mais voilà, il faut bien s'organiser, s'entourer et pas hésiter à embaucher.

  • Speaker #3

    Je dirais que ce serait quoi ?

  • Speaker #1

    Parce que ce que je vois aussi, c'est la tétanie de « il faut que je me forme surtout avant de commencer » , etc. Alors, qu'est-ce que… Sur quoi il faut se former vraiment ? Qu'est-ce qui est vraiment utile ? Et qu'est-ce qui est plutôt de l'ordre de la procrastination ou de la peur ?

  • Speaker #2

    Exactement, le troisième point, c'est ça, c'est la formation. Je pense qu'il faut, et c'est un bon exercice aussi, que de lister les choses sur lesquelles nous, on est bon. Et moi, tout ce qui m'a servi, enfin tout ce que j'ai appris dans ma vie d'avant, qui me sert aujourd'hui de management, de gestion, de commercial, je n'ai pas peur d'aller voir les gens, de leur parler, de leur raconter l'histoire des boulders, j'adore ça. Tous les clients qui passent la porte ici. Je leur fais visiter, je les mets vraiment. Ça, c'est ma passion de vendre. Et là, en plus, je vends mon propre projet, mon propre conseil. Donc, c'est génial. Tout ça, c'était OK. En revanche, de savoir faire des cœurs dans les lattes, au démarrage, il n'y avait pas William. Et il fallait bien. La promesse, c'était un vrai coffee shop, un café de spécialité. Et donc, il a fallu que j'apprenne ça. Et c'était aussi une volonté que d'apprendre quelque chose de concret. Je pense que j'avais besoin de ça aussi. Et donc, j'ai sélectionné parmi toutes les compétences et toutes les casquettes que j'allais avoir. laquelle est-ce que je ne connais pas aujourd'hui et sur laquelle il va falloir que je me forme. Et donc, je suis allée faire une formation de barista à Paris pendant 5 jours, financée par un opco. Quand on est freelance, on cotise tous les mois. Et donc, on a des financements. Moi, c'était via l'Agefis. Donc ça, c'est un vrai tips qui m'a financé entièrement ma formation qui a coûté quand même 1750 euros. Donc, ce n'est pas rien. 5 jours, mais tu avais toute la culture du café, l'histoire, jusqu'au petit cœur, effectivement. que je sais désormais à peu près faire.

  • Speaker #1

    Je demande que tu saches faire le B de bolster dans tes matchs. Trop bien. Écoute, merci beaucoup pour ce multi casqueting. Écoute, on est avec toi. Et ce que je voulais dire aussi, c'est que dans ces moments-là, en tant que solopreneur, il ne faut pas hésiter à faire appel aux autres. Parce que nous, on s'est bu plein de café. Moi, je viens faire du sport ici. On s'est filé des coups de main. Je t'ai forcé à aller sur LinkedIn à poster. J'ai fait Ghostwriter pour toi. Trop marrant. Alors que je n'ai pas du tout ce talent-là. Mais c'était cool comme je connaissais ton projet. Et voilà, tout le monde peut donner un petit coup de main au solopreneur qui se lance. Donc, n'hésitez pas à demander autour de vous parce que finalement, tu vois, 10 minutes de compétence d'un copywriter pour faire ton site, celui qui vient boire un café parmi les freelance nomades qui viennent chez Boulder, c'est hyper précieux pour toi. Trop cool.

  • Speaker #2

    Pas hésité à demander de l'aide. C'est vrai que je n'en ai pas parlé tellement. J'oublie de le faire, mais il faut le faire. Parfois, l'aide vient à vous, c'est encore mieux. C'est ça.

  • Speaker #1

    Mais non, on ne peut pas s'empêcher d'aider. Les freelancers, on est là. Alors attends, je peux t'aider sur ton truc et tout. Bon, allez, dernier épisode. On va regarder maintenant combien ça gagne parce que c'est bien beau de faire des projets et passions, d'ouvrir sa salle de sport. Mais moi, je lutte contre la précarisation des freelances, des indépendants et des solopreneurs. Donc, j'aimerais bien qu'on parle maintenant. Monnaie sonnante et trébuchante, tu en as un petit peu parlé tout à l'heure. Est-ce que tu peux te payer ? Quel est un peu le film entre le moment où on ouvre et là, c'est à ton cinquième mois d'ouverture. Donc, on va faire le bilan dans le dernier épisode. C'est parti.

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