Speaker #0Salut à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode collector. Et oui, oui, oui, je vais vous raconter tout ce que je vais changer dans mon podcast pour 2025. Ça va me donner l'occasion aussi de faire un petit bilan sur les chiffres, de vous partager des choses intéressantes que j'ai vues en termes de création de contenu pour l'année et de vous donner des idées pour faire pareil de votre côté, que vous ayez un média de type podcast, chaîne YouTube, newsletter. Eh bien, ça va être le moment de regarder un petit peu si ça performe et peut-être de changer des choses dans votre ligne éditoriale. ou dans vos formats, ou bien dans la façon dont vous communiquez sur les réseaux sociaux. Alors déjà, désolée pour ma voix, je suis vraiment en pleine rhinopharyngite, chopée de mes enfants. Et en même temps, je voulais enregistrer quand même cet épisode pour enteriner tous ces changements. Vous emmenez avec moi aussi dans les coulisses de l'évolution du board. Vous parlez aussi de ma nouvelle émission, Solo Nation, qui va sortir la semaine prochaine sur ce podcast. Bref, plein plein de nouvelles sympas à vous partager. N'oubliez pas de vous abonner à la newsletter du board, je vous mets le lien en description de cet épisode où vous retrouverez les chiffres précis, détaillés. Allez, c'est parti pour cet épisode, je vais tout changer dans mon podcast en 2025 et je vous raconte. Alors cet épisode, je vais le découper en trois parties. Qu'est-ce qui m'a donné envie de changer des choses ? Dans cette partie, on va parler des alerteurs, des indicateurs, du contexte aussi. qui peut vous donner envie de changer des choses dans votre business ou dans votre podcast, dans votre média. Je vais vous partager des chiffres, voilà, je vais vous partager plein de trucs assez intéressants et croustillants. Deuxième partie, je vais vous parler des changements que j'ai opérés, des risques aussi que j'ai pris et du reward, donc du ROI que je compte avoir. Ça va être la partie où je vais vous parler aussi de ma nouvelle ligne éditoriale, de ce que je vais faire sur les réseaux sociaux, de ma nouvelle émission, tout ça. Et troisième partie, la stratégie à copier-coller pour toi. Donc là, je vais te donner des idées de choses à changer ou à améliorer dans ton média pour avoir encore plus de retour sur investissement sur ton business. Et puis après, on va clôturer et je répondrai bien sûr à toutes vos questions sur Spotify ou sur les réseaux sociaux. N'hésitez pas à laisser un petit commentaire et à venir me poser des questions, j'y répondrai avec grand plaisir. Alors, disclaimer aussi avant qu'on commence cet épisode, c'est jamais facile de changer, surtout de changer des choses qui fonctionnent bien dans l'entrepreneuriat. Et en fait, je ne sais pas depuis combien de temps tu m'écoutes ou tu me suis, mais moi, mon podcast, c'est vraiment la prunelle de mes yeux. C'est comme ça que j'ai commencé à entreprendre, en fait, il y a cinq ans. Et c'est vraiment la pierre angulaire de mon business. Donc, c'est vraiment mon actif, mon asset le plus important. Donc, ce n'est vraiment pas évident pour moi de changer des choses là-dessus. D'autant qu'il y a quand même un enjeu financier. Alors, le podcast m'a rapporté l'année dernière en sponsoring et en brand content 50 000 euros. donc de façon directe, 50 000 euros hors taxes sur l'année, sur 320 000 euros de chiffre d'affaires. Et en moyenne, il me rapporte 250 000 euros par an, on va dire hors taxes, de produits dérivés, puisqu'on peut considérer que l'incubateur, solopreneur et le bootcamp, c'est directement dérivé du podcast, parce que ces idées de produits, je les ai eues grâce au podcast. Je trouve les clients grâce au podcast, enfin quasi essentiellement. Donc voilà, c'est quand même un gros enjeu. stratégique. Mais voilà, c'est pas les, j'allais dire, c'est pas les joyaux de la couronne non plus. Je pense que toute institution, tout business, toute offre, tout média ne doit pas hésiter à revoir un peu des choses pour pas non plus, comment dire, être trop statique. Et donc c'est ça qui m'a guidée aussi. Je me suis dit, j'ai vu plusieurs petits signes en fait qu'il était temps de changer des choses. Je vais t'en parler dans la première partie. Et je me suis dit, allez. moi aussi je peux changer même ce qu'il y a de plus important pour moi et c'était d'ailleurs le bon move parfois c'est d'oser changer des choses qui fonctionnent de façon ok, genre bien, ça va, ça fonctionne bien, pour les remplacer par quelque chose qui fonctionne de façon extraordinaire alors j'ai aucune garantie à ce stade, on est le 26 février que ce que je vais faire va faire fonctionner le podcast de façon extraordinaire mais voilà je vais t'expliquer pourquoi je le fais et j'ai bon espoir qu'en tout cas ça Ça permet de faire passer encore un plateau d'écoute, de performance et tout ça au podcast. Alors c'est parti pour la partie 1. Qu'est-ce qui m'a donné envie de changer ? Let's go ! Alors pour cette première partie, qu'est-ce que j'ai vu dans mon radar qui m'a donné envie de changer des choses au podcast ? Eh bien, ça s'est passé à peu près vers la fin d'année 2024. J'avais beau être dans l'euphorie de mon chiffre d'affaires, mes 300 000 euros en solo, j'étais hyper contente, j'ai commencé à voir des choses qui m'ont pas plu. Et je t'en parle parce que je pense que si moi je les avais pas vu venir, peut-être que toi non plus, peut-être que toi aussi tu peux les rater. Et en fait voilà, en fin d'année j'ai voulu faire mon bilan 2024 et je me suis rendu compte que je suivais assez mal mes KPIs, donc mes indicateurs chiffrés. Évidemment, comme tout podcasteur, je regardais mes écoutes de podcast, on va dire au moins tous les mois, parce que notamment quand j'ai des sponsors, j'ai des obligations de faire un certain nombre d'écoutes par mois. C'est ce que je vends en tout cas dans les pré-rolls. Le board fait à peu près 15 000 écoutes par mois sur le podcast audio. Donc voilà, ça je regardais à peu près, mais pas plus que ça, parce que mes mini-séries, j'en sors toutes les semaines, donc je m'en fiche un peu s'il y en a une qui fait... 100 écoutes de plus, 200 écoutes de plus, l'autre un peu moins. C'était OK pour moi, je regardais vraiment dans la globalité. Et en fait, pour les besoins aussi d'un sponsor qui m'a demandé de regarder l'évolution des écoutes du board depuis les débuts, d'année en année, j'ai dû aller un peu plus loin dans les chiffres. En plus, moi j'adore les chiffres, donc c'est vraiment surprenant que je n'ai pas vu le truc venir plus tôt. Mais donc voilà ce que j'ai fait pour ce sponsor. J'ai regardé le pourcentage de croissance d'année en année. Et en fait, j'ai remarqué que la croissance commençait à ralentir. Alors attention, il y a toujours une croissance, toujours à deux chiffres, mais je vais te donner les chiffres, ça va être plus flagrant. Entre 2021 et 2022, j'ai fait 109% de croissance. En 2023, j'ai fait 625% de croissance. Donc ça, c'était énorme, c'est le boost grâce aux mini-séries. Et en 2024, j'ai fait seulement 64% de croissance. Donc ça, il n'y a pas péril en la demeure, mais quand même, il y a vraiment une diminution énorme de la croissance. Et voilà, une sorte de plateau d'écoute, plateau d'écoute que je voyais un peu par ailleurs, parce que je me disais, tiens, il faudra que j'arrive aux 1 million d'écoutes, ça devrait être facile, maintenant que j'ai 1,5 million d'écoutes cumulées. Et en fait, ce n'était pas si facile que ça. Donc voilà, ça c'est le premier élément, on va dire chiffré. Deuxième élément qui m'a interpellée en 2024, c'est évidemment l'essor de YouTube. Alors je le savais depuis des années, les podcasteurs étaient vraiment incités à aller vers le format vidéo. D'abord grâce aux vidéos courtes, short, reels, etc. pour faire des extraits de podcast, puis vidéos longues. Mais là je l'ai vraiment vu de ouf en 2024 avec plusieurs éléments. Déjà un, j'ai pris quelqu'un pour m'aider en YouTube stratégiste et du coup j'ai compris que c'était vraiment un jeu à part avec ses codes, etc. Et avec un énorme potentiel car YouTube c'est une plateforme algorithmique donc qui distribue... activement les contenus, contrairement aux plateformes de podcast qui recommandent relativement peu les podcasts, donc il n'y a pas beaucoup de croissance grâce aux plateformes. Ensuite, je suis allée à la Paris Creator Week, je crois que je t'avais raconté dans une de mes newsletters, je ne sais plus si c'était en fin d'année ou en début d'année 2025, et là j'ai vu qu'il n'y en avait que pour le YouTube Game, on va dire 95% de la Creator Economy, c'était vraiment YouTube, YouTube, YouTube, donc là je me suis dit, oh là là, attention, Il faut vraiment y aller cette année, il ne faut pas traîner. Et enfin, j'ai fait des expérimentations vidéo aussi en début d'année et ça m'a confortée dans cette envie-là. Sauf que mon podcast, en l'état actuel des choses, il était compliqué à transposer sur YouTube pour plein de raisons. Parce que les mini-séries, des petits morceaux snackés, ce n'est pas trop adapté au YouTube où c'est plutôt des épisodes longs. parce qu'on était en pyjama chez nous, en bon solopreneur que nous sommes, donc c'est pas hyper cinématographique on va dire, parce que mes épisodes n'étaient pas scriptés, il y avait plein de raisons, et d'ailleurs une de mes idoles, J. Klaus Creator Science, dont je suis abonnée à son membership, le dit souvent, il y a des techniques pour Youtube et notamment pour podcaster sur Youtube, et lui il a créé un produit qui s'appelle Podcast Like a Youtuber, Et en fait, voilà, ça pareil, quand j'ai vu ce produit créé, je me suis dit, il a raison, il y a vraiment un problème quand on est podcasteur audio pour se lancer sur YouTube, c'est pas tout à fait les mêmes codes, donc voilà, intéressant. Alors, troisième contexte qui m'a donné envie de peut-être bouger un peu les choses, le sponsoring. Donc je t'en ai parlé, le sponsoring c'est quand même un revenu diversifié important pour moi, à peu près 20% de mes revenus, et là j'étais un peu bloquée par certains de mes formats actuels, notamment le format miniserie où... Bah typiquement, quand tu fais un pré-roll de 30 secondes sur un épisode d'une heure, ça passe. 30 secondes sur des épisodes de 5 minutes, c'est un peu plus relou. Et donc j'avais des demandes de sponsors que j'ai dû refuser, parce que je voulais pas sponsoriser 100% des épisodes. Donc ça commençait à m'en kikiner un petit peu. Et enfin, quatrième contexte, j'ai maintenant l'incubateur solopreneur qui tourne à plein régime. Donc je sais pas si t'es encore allé voir, mais je te conseille vraiment de t'inscrire. pour plusieurs raisons, notamment parce que je vais bientôt augmenter les prix du membership annuel. Pour le moment, je suis encore à 800 euros hors taxes l'année, mais je vais pas tarder à augmenter les prix. En fait, et maintenant, j'ai vraiment les lives tous les vendredis à 14h avec les experts. Et en fait, ces lives, ils sont vraiment ultra intéressants. C'est vraiment des problématiques hyper, hyper précises. Et plus ça va, plus j'avais moins envie de passer du temps à organiser ces lives et un peu moins, du coup, de faire des interviews en plus dans le podcast parce que ça me faisait un peu double travail, double emploi. si je puis dire. Et enfin, la dernière raison, mais pas la moindre, c'est que depuis longtemps, je réfléchis à créer un format un petit peu plus entertaining autour du podcast, c'est-à-dire que je remarque cette vague de l'entertainment qui va de des jeux de type des jeux de MrBeast sur YouTube à des podcasts plus de discussions entre potes, y compris sur des sujets sérieux. comme par exemple le podcast Silicon Carnet sur la tech dans lequel moi j'interviens régulièrement. Et j'avais envie de créer un format comme ça pour le board parce que je me disais vraiment ça fait sens. Moi je suis très communauté, communauté depuis cinq ans. Genre on est ensemble, on discute entre solopreneurs, entre freelance. Et j'avais vraiment envie de trouver un format dans lequel toutes les conversations que j'ai avec vous, à bâton rompu entre solo, en mode vas-y je te refais ton business model, je t'aide à lancer ton produit et tout, que ça se sente dans nos... dans mes contenus, et donc je cherchais ce format-là. Et en fin d'année, j'ai décidé de passer à l'action. Je me suis dit, allez, je vais le créer, ce format, je vais lancer cette nouvelle émission. Et j'ai eu envie de lancer une émission de type talk show avec et entre les meilleurs solopreneurs du monde, enfin du monde de la francophonie, parce que quand même en français, pour que ce soit plus simple pour moi. Et donc voilà, je me suis dit, allez, go, je lance cette nouvelle émission. Et à partir du moment où je l'ai lancée, ou en tout cas j'ai eu l'idée de la lancer, je me suis dit, ok, c'est cool, je vais avoir une émission qui va à peu près faire 25 épisodes par an, donc on va dire une semaine sur deux, il faut que je lui fasse de la place. Donc ça veut dire qu'il va falloir que je, soit je rajoute des formats, mais je pense que ce n'était pas une bonne stratégie, parce que moi je faisais déjà trop d'épisodes, tout le temps, sans jamais de pause, pas de saison, tout ça, depuis 5 ans. Donc je me suis dit plutôt... Non, non, au contraire, il faut que tu rationalises ta ligne édito, Flav, et que tu te demandes à quel endroit tu peux mettre cette nouvelle émission. Et pour toutes ces raisons, eh bien, j'ai dû du coup prendre une décision qui m'est apparue clairement une fois que j'ai dessiné, en fait, j'ai relié tous les points. Et tout ce faisceau d'indices m'a amené à une seule décision claire dont je vais te parler dans la deuxième partie. Quel suspense insoutenable ! Alors deuxième partie, je vais te parler des changements que j'opère dans ma ligne édito, tout ce que je vais changer dans le podcast et par quoi ça a commencé, quelle est la part de prise de risque aussi, combien j'investis, tout ça. C'est parti ! Alors comme je te disais, j'avais un peu des intuitions mais j'avais rien de clair et en fait en mettant tous les chiffres et toutes mes observations, en les formalisant, maintenant ça m'apparaît très très clairement comme un faisceau d'indices. qui m'a orienté beaucoup plus vite mon action et je sais en fait ce que je dois faire et ce que je dois changer dans mon podcast pour cette année. Donc la première décision qui n'est pas du tout facile à prendre, c'est celle que beaucoup d'entrepreneurs redoutent de prendre, c'est ce que j'appelle kill the babies, c'est-à-dire tuer son bébé. Et en fait, parfois c'est nécessaire, c'est tuer quelque chose qui fonctionne bien au profit d'autre chose qui va fonctionner encore mieux. Et donc là... ça m'apparaissait clairement, plateau d'écoute, problème de sponsoring, lassitude, redondance voire concurrence avec l'incubateur, et puis besoin de faire de la place dans ma ligne édito. Donc j'ai décidé en 2025 de supprimer le format mini-série, qui est pourtant celui qui m'a fait exploser avec le board. Donc voilà, je prends un risque éditorial, mais je vais t'expliquer par quoi je vais le remplacer et pourquoi je pense que ça va payer. Alors si vous êtes hyper nostalgique du format, il y en a... plein à réécouter. Attention, je ne vais pas les cuter tout de suite parce que je dois en avoir une petite dizaine déjà d'enregistrés donc je vais quand même les publier. Mais disons qu'à partir de, je pense, avril ou avril-mai, il n'y en aura plus et ça va être remplacé par autre chose. Donc ce autre chose, on l'a vu, c'est d'abord plus d'entertainment avec ma nouvelle émission Solo Nation. Donc là, c'est officiel. Ça va sortir sur le podcast la semaine prochaine. Et donc cette nouvelle émission, j'ai mis énormément de soin. énormément de travail pendant les six derniers mois pour la construire. Et en gros, je vais te la pitcher très très rapidement. L'idée, c'est vraiment que je me sois recréé mon board avec d'autres top solopreneurs, entrepreneurs en ligne, créateurs de contenu de la francophonie. Mon ambition, c'est vraiment de monter d'un cran encore en termes d'expertise sur la partie solopreneur. Là où le board était encore un peu freelance et tout, moi je pense que ma valeur ajoutée, elle est vraiment plus sur le solopreneur diversifié. Donc j'ai envie de créer un format signature qui corresponde à ça. Avec les meilleurs de la francophonie, parce que je pense qu'on peut tout à fait concourir dans le même game un peu que les Etats-Unis. Il y en a marre que tout soit en anglais. Donc j'ai vraiment réuni les meilleurs de tous les pays et pas que la France. pour justement avoir les meilleurs conseils. Ensuite, c'est une émission enregistrée en studio vidéo pour être pensée YouTube first. Donc c'est-à-dire vraiment, elle sera très agréable à écouter en podcast, mais elle a été pensée d'abord pour YouTube, pour m'aider à justement performer sur cette plateforme avec ses codes à part. Il fallait vraiment que je me défasse un peu de mon identité purement podcast audio et que je crée ça pour cette plateforme. Ça me permettra aussi de faire des vidéos sur Spotify, qui sont des formats de plus en plus poussés. J'avais remarqué que quand j'avais fait mes petites vidéos en janvier, j'avais été poussée dans les algorithmes de recommandations, un peu comme dans le flux vidéo. Voilà, donc intéressant. Ensuite, ça me permet en ligne éditoriale, je t'en ai parlé, de viser encore plus le solopreneur, en devenir et déjà actif, plutôt que le freelance. Donc ça, ça me différencie aussi des autres podcasts sur le freelancing. que j'apprécie d'ailleurs énormément et on est amis. Mais voilà, moi, je n'étais pas forcément la meilleure freelance. Ça me posait un problème aussi parce que des fois, je parlais aux freelances, des fois, je parlais aux salariés, des fois, je parlais aux solopreneurs. Là, c'est très clair, je parle aux solopreneurs actuels ou en devenir. Et en fait, ça va faciliter énormément, je pense, ma ligne édito. Ensuite, c'est un format qui va être plus facile à monétiser, sponsoriser. Parce que plus qu'Ali, parce que beaucoup plus de vidéos courtes, etc., dérivées, donc ça me permettra de faire énormément de posts sur les réseaux sociaux. Et c'est plus facile de faire payer, je ne sais pas combien je vais faire payer, 5-6 000 euros une émission comme ça, que de faire des petits bouts de pré-roll sur des petits bouts de mini-séries. Voilà, et ça va m'attirer aussi une nouvelle audience, normalement, d'après mes calculs. Notamment YouTube, où en fait la... C'est intéressant dans les stats, par exemple sur mon podcast j'ai à peu près 60% de femmes, 40% d'hommes, sur YouTube c'est l'inverse, c'est même 70% d'hommes et 30% de femmes. YouTube c'est aussi une audience un peu plus jeune que sur mon podcast, et notamment ça faisait partie de ma stratégie pour attirer certains types de freelance et de solopreneurs en devenir, comme par exemple les freelance tech, développeurs, data, product managers, etc. qui sont une cible importante. pour l'incubateur solopreneur et le bootcamp, puisque dans chaque bootcamp, j'ai au moins 2-3 personnes, donc presque, on va dire, un quart, voire même un tiers de la population qui sont des freelances tech. Donc super pertinent, je trouve, pour aussi derrière la vente des produits dérivés du board. Donc on voit aussi qu'avec cette nouvelle émission, je remonte mon podcast dans le funnel d'acquisition, c'est-à-dire que je considère que cette nouvelle émission YouTube, elle va m'amener aussi du... top funnels, c'est-à-dire des personnes qui ne me connaissaient pas avant, qui vont découvrir l'émission et qui vont rentrer dans mon univers. Et là, je vais pouvoir justement compléter ma ligne éditoriale, donc le 50% restant, avec des choses qui vont être plutôt mid funnels ou bottom funnels, c'est-à-dire des contenus qui doivent être orientés un petit peu plus conversion et un peu moins découverte. C'est ça aussi donc qui m'a donné envie de remplacer les miniseries par un autre. type de format pour les 50% restants, qui sera un format solo, solo cast. Donc un format que j'adore, que vous appréciez aussi énormément, parce que dès que je fais des épisodes solo, ils sont plébiscités, ils sont beaucoup plus écoutés en fait que les mini-séries. Et je crois qu'aujourd'hui j'ai réussi à vous donner suffisamment confiance pour que vous me fassiez confiance sur un format de 40-45 minutes solo. où vous vous dites, ok, je vais l'écouter, je vais accorder mon attention, mais je vais en retirer un certain nombre d'avantages, de connaissances, des choses intéressantes. Là où avant, j'étais complètement inconnue au bataillon, et donc faire des mini-séries qui étaient des épisodes de seulement 5 minutes ne coûtait pas trop, et c'est ça qui m'a permis de capter mes nouveaux auditeurs, de donner confiance et tout ça. Maintenant, je pense que les gens sont prêts à m'accorder leur confiance plus facilement. Et donc les épisodes solo ça va me permettre deux choses, déjà de faire ce qu'on appelle des value assets au niveau des américains, c'est-à-dire des épisodes où parce qu'on a atteint un certain achievement, donc un certain accomplissement professionnel, on peut se permettre de donner des conseils précis sur un sujet. J'aurais pas pu faire ça il y a cinq ans mais maintenant je peux le faire. Par exemple je peux vous dire comment j'ai fait mes 100 000 euros, mes premiers 100 000 euros en ligne ou encore... comment j'ai amené ma newsletter à 10 000 abonnés, ou encore comment j'ai créé un bootcamp rentable qui me rapporte 300 000 euros par an, etc. Donc ça, c'est des choses que j'ai envie de faire cette année, parce que j'ai beaucoup de choses à raconter, et je n'avais pas la place avec les mini-séries, puisque c'était toujours des interviews. Donc vraiment, je manquais d'espace pour raconter ça. Et d'autre part, ces épisodes solos, Ils ont plusieurs autres avantages. Ils vont pouvoir répondre directement à des questions SEO, c'est-à-dire des questions que vous vous posez fréquemment. Ils seront plus evergreen, donc c'est-à-dire que vous les réécoutez deux ans plus tard, ils fonctionnent toujours. Là où les mini-séries sont parfois un peu plus périssables. Et puis surtout, d'un point de vue vidéo toujours, puisqu'on a vu que c'était censé être maintenant la pierre angulaire de la diffusion des podcasts pour tous les podcasteurs. C'est beaucoup plus facile de les transformer, enfin de les penser aussi comme des formats vidéo qui peuvent être, avoir un certain succès en stand-alone, c'est-à-dire en tant que tel sur la plateforme YouTube. Et donc voilà, je vais pouvoir les scripter, les filmer chez moi et aussi intéressant, les batcher, c'est-à-dire les réaliser, en faire plusieurs à la suite pour ensuite être tranquille entre guillemets dans l'année. Parce qu'aussi un autre truc qui était fatigant avec les interviews, c'est trouver les gens. Faire des calls préparatoires et puis faire des interviews tout le temps, tout le temps, tout le temps, tout le temps pour en avoir toujours de prête. Et voilà, c'est un petit côté usant quand on est interviewer de devoir gérer tout ça. Alors que là, avec ma nouvelle émission, j'ai des tournages prévus dans l'année. J'ai six tournages prévus dans l'année de quatre émissions. Donc certes, c'est un énorme travail. Mais après, bon ben voilà, c'est fait et c'est plutôt du travail de montage, mes équipes de montage, tout ça. Et du coup, je pourrais faire pareil avec mes épisodes solo. Alors en vrai, j'y crois pas trop. Je pense que je vais continuer à garder un petit côté à l'arrache sur des trucs parce que c'est aussi ma façon de fonctionner. Je me connais, je vais avoir des idées à la dernière minute et tout ça. Mais voilà, j'aurai la possibilité, si je le souhaitais, d'être une personne vraiment extrêmement bien organisée. Voilà, donc je t'ai parlé de plein plein de choses là sur les changements. Alors le risque aussi et les rewards. Donc tout ça, ça a un coût. Plus de vidéos dit plus de coûts. Avant, un épisode audio, ça me coûtait à peu près... 60 euros à produire juste de monteurs vidéo. Ensuite, on va dire, allez, 150 euros si je rajoutais le podcast management, la diffusion, etc. En version vidéo minimaliste, c'était à peu près 250 euros par épisode. Diffusion sur les réseaux sociaux, montage minimaliste. Là, ma nouvelle émission, c'est n'importe quoi. C'est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus cher. pour plein de raisons que je vais détailler après, mais en gros, ça va me coûter 138 000 euros l'année, divisé par 24, donc 5 750 euros par épisode. Alors ne faites pas ça chez vous, ne commencez pas tout de suite par faire ça. Moi, j'ai fait 50 podcasts avant d'en arriver là, et je vais t'expliquer aussi pourquoi je pense que je vais quand même avoir un ROI. Mais clairement, c'est un autre jeu. Alors parce que je loue des studios, j'ai beaucoup de montage. Beaucoup de vidéos short, j'ai maquillage, photos, etc. Et surtout, je fais venir à chaque fois 4 personnes en plateau. Donc c'est vraiment, on est 12 dans la team des co-animateurs. Donc certes, il va y avoir un potentiel de viralité énorme, mais en même temps, il y a un coût énorme aussi de réunir toutes ces personnes, etc. et de faire tous les produits dérivés. Par contre, voilà, c'est 130 000 euros. « Demain, je fais bien les 500 000 euros hors taxes de chiffre d'affaires que j'ai prévus et que ça m'aide à capter toutes les nouvelles audiences qui me permettront de réaliser ces 500 000 euros scalables tous les ans. » Je pense que ça peut m'amener très très loin. Aujourd'hui, c'est un pari qui est un peu délicat à prendre parce que la dépense est tout de suite considérable par rapport à avant. Mais demain, si ça m'amène toute cette nouvelle... ses nouveaux abonnés, etc., je pense que ça sera valable, versus une entreprise qui devrait faire des pubs de plus en plus, et augmenter, et payer des créas en pub, payer de la pub tous les mois pour trouver ses clients. Donc écoutez, on verra à la fin de l'année, moi je ferai toujours mes solos là, où je vous raconterai en building public, comme vous aimez bien mes chiffres, est-ce que je me suis plantée, et tout ça. Et puis les épisodes ne sont pas gravés dans le marbre, si c'est un énorme foirage que personne n'écoute, personne ne regarde, tout le monde trouve ça nul, je ne ferai pas les prochains épisodes. point ça aura été une belle histoire, ça m'aura déjà permis de rencontrer 12 top entrepreneurs, de me faire un petit mastermind avec eux voilà Mais je sais que ça n'arrivera pas. Vous serez là pour m'aider, me soutenir. Donc ce que vous pouvez faire, c'est aller vous abonner aussi à la chaîne YouTube. Et puis bien sûr, écouter, soutenir l'émission. Dites-moi si ça vous a plu. Racontez-moi dès que je publierai la semaine prochaine le premier épisode. Bon, et enfin, qui dit tous ces changements dans mon podcast, dit aussi changements sur mes réseaux sociaux, puisque c'est la partie distribution. Donc comment je parle du podcast sur les réseaux sociaux. Et là, clairement, je vais aussi changer vers la vidéo. Je pense que comme tout le monde, on a eu un gros coup de mou quand même quand on a LinkedIn comme canal principal, quand on a vu que le reach a été diminué par, je sais pas par combien, j'allais dire par 10, c'est un peu exagéré mais vraiment, ouais, je pense que moi j'avais des posts à 10, 15 000 vues, je me suis retrouvée à 2, 3 000 vues, donc ça a donné presque envie d'abandonner la plateforme pour une autre, comme par exemple YouTube, mais j'ai testé quand même les vidéos courtes et là ça m'a donné des résultats what the fuck. complètement what the fuck, donc une énorme croissance. Je n'ai jamais vu ça de ma vie en fait. Et donc je pense que ce format, il est tellement poussé par LinkedIn qu'il faut vraiment l'utiliser. Donc pour te donner des infos, j'avais publié, je crois que c'était 21 capsules vidéo de 30 secondes pour mon opération janvier liberté. Et j'ai fait 1,8 million de vues sur LinkedIn. Incroyable, donc deux fois plus, enfin deux fois plus, presque deux fois plus que mon année dernière. sur LinkedIn. Vraiment, c'est un reach phénoménal. C'est aussi pour ça que je m'oriente vers ces nouveaux formats. Avec ma nouvelle émission, je vais pouvoir publier minimum 20 vidéos short par épisode. Je vais pouvoir arroser les réseaux sociaux de vidéos courtes, et notamment sur LinkedIn, où je vais voir si cette prime à la vidéo continue. J'avais peur que ça ne fasse pas trop de conversion, mais figure-toi qu'en gros, J'ai remarqué qu'à chaque vidéo qui a explosé, elles ont quasiment toutes explosé, c'est-à-dire qu'au début il y avait 1, je ne sais pas, 1 500, 2 000 vues, et puis d'un coup c'est passé à 40 000, et ensuite 400 000, 500 000, même 600 000 vues par vidéo. Et bien à chaque fois j'ai eu des boosts de demandes d'ajouts, ou de gens qui me suivaient sur mon profil, donc d'abonnés. Donc à chaque fois genre 200 ou 300 abonnés, donc mine de rien ça fait beaucoup. Et donc, ces abonnés, si après, ils découvrent mon univers et qu'ensuite, ils écoutent mes épisodes de podcast et tout ça, je pense que ça pourra vraiment me servir. Voilà, dans le funnel d'acquisition, c'est vraiment top funnel aussi, là, les vidéos LinkedIn, notamment. C'est aussi un format qui est re-perposable, c'est-à-dire qu'avec une vidéo courte, on peut la poster avec des outils d'automatisation sur plein de réseaux sociaux, Instagram, TikTok, YouTube et LinkedIn, du coup. Donc franchement, ça fait une portée qui est quand même assez intéressante, là où sinon, il faudrait passer 20 minutes ou trois quarts d'heure à chaque fois à créer un poste from scratch avec les codes de chaque plateforme, de chaque réseau social. Donc j'avoue que d'un point de vue scalabilité du contenu, c'est vraiment très intéressant. Donc voilà, moi je vais miser à fond sur les vidéos aussi dans ma communication, mais je vais t'en parler dans la... dans la dernière partie pour te donner aussi des stratégies pour toi à copier-coller. Et enfin, le dernier truc qu'il faut que je change, c'est la newsletter. Alors ça, moi, je n'hésite pas à la changer, généralement une fois par an, pour qu'elle colle bien au concept du podcast. Et là, comme le podcast évolue, youpi, je vais devoir encore faire un changement de l'inédito, parce que les cinq défis de la semaine, ça ne correspondra plus trop, parce qu'il n'y a plus les mini-séries avec les cinq défis. Donc, à voir comment je vais la faire évoluer. C'est en train d'être travaillé. Mais ça aussi, ça me soulage d'avance parce que je commençais à reprendre beaucoup trop de temps à écrire cette newsletter. 3-4 heures par semaine, je le faisais tout le temps le jeudi soir avant le vendredi. Là, j'ai été en retard sur certaines newsletters, donc ça commençait à me peser un petit peu trop. Donc là, l'avantage, c'est qu'avec mes émissions qui sont tournées à l'avance, je pense que je vais pouvoir aussi préparer du contenu vraiment intéressant à l'avance, le batcher, le programmer. Enfin voilà, toujours dans un monde idéal, normalement, ça me permettrait d'avoir plus d'avance aussi là-dessus. Bon voilà, ça, c'était la partie, tous les changements, les risques que je prends. Je vais clôturer cette partie en te parlant du ROI, retour sur investissement. Là, j'ai fait un calcul tout simple. Je me suis dit que... Si j'arrive à passer de à peu près, je faisais à peu près 500 écoutes par épisode de mini-série, donc on va dire 500 auditeurs. Si à terme, quand ça marchera bien, quand ma chaîne YouTube sera bien, etc., je fais ne serait-ce que 5000 vues par émission, ce qui me semble réaliste par rapport à d'autres émissions qui se ressemblent, et à la qualité qu'on y met, et avec les méga stars qui vont partager les têtes d'affiche, tu verras, je ne te spoil pas, en fait, ça fait tout simplement un ROI x 10, c'est-à-dire 10 fois plus d'audience, 10 fois plus d'écoute, 10 fois plus d'auditeurs, de gens qui écoutent le board, donc ça me semble énorme. En tout cas, c'est le pari que je prends avec ces investissements et toutes ces modifications. Je vais aller mettre un cierge dans la bonne mère des solopreneurs pour voir si ça se réalise pour moi. N'hésite pas à croiser les doigts pour moi aussi. Dis-moi en commentaire si tu penses que je fais un pari complètement débile ou fou. Et je te propose qu'on clôture cet épisode avec la troisième partie, la stratégie à copier-coller pour toi. Alors je t'ai raconté ma vie en build in public, non pas pour juste parler de moi, mais tout simplement parce que je trouve que quand on est solopreneur... Et notamment quand on a un média, c'est pas toujours facile de trouver des vrais chiffres. Les gens ne partagent pas leurs écoutes, ne partagent pas le prix moyen de leur sponsoring, leur état d'âme, leur changement de ligne édito qui ont été gagnants ou perdants. Donc j'essaye de tout partager pour toi pour que tu puisses ensuite t'adapter. Qu'est-ce que j'ai retenu comme idée que tu pourrais copier-coller pour toi ? Tout simplement. Premièrement, où est-ce que tu mets ton média dans ton funnel d'acquisition ? Donc ça c'est pareil, c'est quelque chose que j'avais vu chez Creator Science. Je te mets le screenshot dans la newsletter. C'est est-ce que ton média est un canal d'acquisition pour tes futurs clients ? Donc il est en top funnel, comme moi ça va être par exemple avec ma nouvelle émission YouTube. Ou est-ce qu'au contraire il est en bas de ton funnel, conversion ? Moi c'était plutôt ça, ça sera plutôt les épisodes solo. Par exemple, je ne sais pas moi, tu as envie de créer un bootcamp, tu vas écouter mon épisode solo, comment j'ai créé un bootcamp rentable qui me rapporte 300 000 euros. Forcément, ici à la fin, il y aura un call to action vers le bootcamp de l'incubateur solopreneur où je t'apprends à faire ça. Et je pense qu'il y aura de meilleures chances que tu candidates à la fin de cette vidéo qu'à la fin d'une émission solo nation. Donc regarde bien où tu veux positionner ton podcast. dans ton funnel d'acquisition. Moi, je l'ai remonté d'un cran, plutôt vers le top, pour m'amener un petit peu plus d'acquisition. Mais pour toi, ça pourrait être l'inverse. Donc, à voir. Ensuite, important aussi, toujours bien veiller à ce qu'il y ait une adéquation entre ton média et tes produits. Alors ça, je le vois énormément chez les alumnis de mon bootcamp que j'accompagne tout le temps sur ça, à la fois sur construire leur média, mais aussi construire leur premier produit scalable. Et souvent, il y a vraiment un gap entre les deux. Mais vraiment, ton média et ton produit, l'un doit servir à l'autre. C'est-à-dire que moi, j'ai l'incubateur solopreneur. Donc le board, naturellement, ça m'envoie des clients vers l'incubateur solopreneur. Et donc là, mon idée, c'était de créer des nouveaux formats qui me rapportent encore plus de clients pour cet incubateur solopreneur. Je t'en ai parlé tout à l'heure. Donc n'hésite pas à soit changer la ligne édito de ton média si tu te rends compte que ça ne... Ça ne t'amène pas directement de client, ou bien à créer un produit dérivé de ton média pour justement le monétiser. Troisième idée, regarde ta concurrence. Moi, je trouve qu'on n'évolue jamais tout seul. Il n'y a pas que le board dans la vie. Donc, il y a mes idées, mes envies, mes intuitions, mais je regarde toujours aussi ce qui se passe par ailleurs. Et j'ai vu les émissions entertainment, genre sans permission et tout ça, et je me suis dit, c'est quand même cool à écouter. Donc voilà, le côté entertainment, c'est un truc que j'ai vu dans tout mon écosystème. Je regarde aussi comment évoluent les podcasts concurrents de ma niche aussi, pour pouvoir continuer à me différencier. Là où les mini-séries au début c'était bien, parce qu'il y a 5 ans il y avait Génération Do It Yourself qui durait 3 heures, moi j'ai proposé un podcast qui durait 5 minutes pour me distinguer. Là, il y a d'autres formes de distinction à faire pour justement surnager par rapport à la concurrence. Enfin, à copier-coller pour toi, la bascule en vidéo. Alors je sais, moi j'ai été réfractaire pendant super longtemps, et je le suis encore sur le format vidéo, parce que c'est chiant, on ne va pas se mentir, il faut s'habiller, se maquiller, parfois aller dans un studio. Mais c'est vraiment, je trouve, plutôt une autre façon de créer du contenu. Ce n'est pas forcément plus long, c'est juste que c'est une autre méthode. Je vais te prendre un exemple parlant, je pense. Les carousels LinkedIn. Au début, il y avait un gros blocage, personne ne voulait faire des carousels, parce que ça demande un formatage de la pensée différent que d'écrire un texte. En fait, c'est pareil dans les vidéos, c'est qu'aujourd'hui, tu dois, au lieu de passer une demi-heure, trois quarts d'heure, tous les jours, à écrire un post LinkedIn écrit, là, il va falloir que tu scriptes une vidéo, et qu'ensuite, quand tu en as dix scriptées, tu ailles dans un studio où tu fasses venir un vidéaste, où tu te filmes en face cam, et tu vas dire les dix face caméra. Donc oui, ça va te prendre plus de temps en amont, mais derrière, ça t'en sera gagné. Tu ne passeras pas trois quarts d'heure tous les jours à écrire ton post LinkedIn. Donc c'est comme ça qu'il faut voir aussi ce changement de paradigme entre écrit et vidéo. Et je t'en ai déjà parlé dans plusieurs newsletters et tout ça. Je pense que ça ne demande pas forcément plus de travail. Ça demande juste une méthodologie de création de contenu différente. Donc moi, je te conseille vraiment de réfléchir à comment tu pourrais transformer tes posts LinkedIn en vidéo, par exemple, ou transformer ton... Ta newsletter en vidéo short ou ton, je sais pas moi, ta newsletter d'analyse en analyse vidéo sur YouTube, il y a plein plein de façons de transformer un solo média en une autre forme plus vidéo. Et un exemple que je voulais te citer, c'est que par exemple, moi j'utilise chaque trimestre, je fais des campagnes sur LinkedIn de postes écrits pour donner envie de rejoindre mon bootcamp. Et là, je me suis dit, tiens, pour le prochain... Donc c'est des postes que je réutilise de trimestre en trimestre, en gros je les recycle, et ça, ça me permet à chaque fois de recruter les 12 candidats de mon bootcamp. Et en fait là je me suis dit, tiens, ça vaudrait le coup de savoir si si je transforme ces postes-là en vidéos, est-ce que ça ne me permettra pas de recruter mes 12 candidats de bootcamp plus vite, puisque chaque vidéo peut avoir un potentiel de faire 500 000 vues, là où mes postes vont faire, allez, 5000 vues max. Est-ce que ça ne me permettrait pas de recruter mes candidats plus vite ? Donc tu vois, je vais tenter ça, je vais recycler 15-20 posts LinkedIn en 15-20 vidéos. Je vais essayer de les tourner, de les monter, etc. et de les poster et je te raconterai ce que ça donnera. Donc on va voir si le fait de faire une campagne vidéo au lieu de faire une campagne texte a le même impact ou plus d'impact. Voilà en tout cas tout ce que tu peux copier, coller pour toi. Et peut-être le message final, c'est surtout n'hésite pas. pas à pivoter ou à faire changer des choses, j'en parle très très régulièrement dans mon podcast ou ailleurs mais c'est pas faire la girouette dès qu'il y a un truc qui est pas parfait pour toi, qui convertit pas très bien ou qui te plaît pas aussi parce que moi mon podcast tu vois je le fais évoluer pour plusieurs choses 1 pour sa pertinence, 2 pour la conversion mais aussi 3 pour l'automatisation est-ce que ça peut m'apporter plus en me prenant moins de temps temps, est-ce que je peux batcher et tout ça. Et puis quatre, pour le kiff. Parce qu'il faut faire aussi évoluer en fonction des sujets dont t'as envie de parler. Voilà, moi ça fait cinq ans que je fais ça, j'ai aussi envie, avec cette nouvelle émission, c'est ça qui me plaît, de la co-animer avec d'autres, comme ça je vais pas rester que sur mes propres idées, de me créer mon petit mastermind à moi, avec des top top entrepreneurs, business en ligne et tout. Voilà, et tout ça Je le fais aussi pour moi, je ne le fais pas que pour les métriques de conversion. Voilà, donc toi aussi, une stratégie que tu peux adapter, c'est qu'est-ce que tu as envie de faire en termes éditorial et comment ça peut servir au mieux ton business. Voilà, j'espère que cet épisode t'a plu. Building public, tout ce que je vais changer en 2025, tout ce que toi aussi, tu peux changer. Si tu as des questions, je répondrai avec grand plaisir. Tu peux aussi nous rejoindre dans l'incubateur Solopreneur où je fais cet exercice-là tous les mois avec les incubés. On fait un live où vous pouvez venir avec toutes vos questions, vos exercices à corriger. Par exemple, si tu as changé la ligne édito de ton podcast et que tu veux mon avis, tu pourras me demander de corriger ou de t'apporter mon feedback en live. Voilà, moi maintenant, je vais clôturer cet épisode en te demandant ton aide pour m'accompagner dans tous ces nouveaux projets. Donc, premièrement, est-ce que tu veux bien t'abonner à ma chaîne YouTube pour m'aider à pousser la future émission ? Donc laisse-moi un petit commentaire si tu as vu la nouvelle émission et puis voilà, viens participer à la conversation en discussion. Tu peux aussi t'abonner au podcast audio, puisque donc une semaine sur deux, je diffuserai Solo Nation sur le podcast. Tu peux aussi t'abonner à la newsletter du board, parce que je continuerai à vous envoyer et à vous diffuser des templates, des bonus et tout ce qu'il y a en bonus, soit avec mes invités, mes co-animateurs ou les templates que j'ai créés pour t'aider à construire ton solo business plus vite. Si tu as aimé cette émission, n'hésite pas à l'envoyer à un de tes potes solopreneurs. et puis je te remercie de m'avoir écouté malgré ma voix enrhumée et je te souhaite plein de bonnes choses dans la refonte de la ligne édito aussi de ton média de tes produits etc et puis je te dis à la semaine prochaine pour la nouvelle émission Solo Nation salut tout le monde
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