Speaker #0Bonjour et bienvenue dans Le Bonheur me va si bien, le podcast pour les femmes qui souhaitent s'épanouir et construire une vie qui leur ressemble. Je m'appelle Audrey, je suis coach de vie certifiée, business mentor et fondatrice de Ma Cohérence. Ma vie, je l'ai créée et il n'y a rien de magique. Un pas après l'autre, j'ai avancé, testé, recommencé et j'ai fini par trouver Ma Cohérence, cet équilibre entre tous les domaines de ma vie. Aujourd'hui, je suis convaincue que nous avons toute la possibilité de trouver cette cohérence. Chacune, nous avons le pouvoir de créer une vie plus en harmonie avec nos valeurs, nos désirs, qui nous sommes profondément. Ma mission, vous l'aurez compris, est de vous guider, vous aider à mieux vous connaître, à vous approprier votre vie pour être plus sereine, épanouie, et enfin, trouver vous aussi cet équilibre, ce bonheur et cette légèreté. Pour cela, sur ce podcast, je vous livre chaque semaine des conseils, des outils et méthodes concrètes pour comprendre vos émotions, mettre en lumière vos qualités osez être vous. En résumé, je vous aide à vous remettre au centre de votre vie et enfin prendre conscience que vous êtes la personne la plus importante de votre vie. Alors préparez-vous à reprendre votre vie en main. Il y a un adage que l'on entend souvent, qui a été source pour moi de questionnements pendant très longtemps, il vaut mieux avoir des remords que des regrets. Pas si simple, mais pour ma part mon choix est fait et tu vas vite comprendre lequel. Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo, ce nouvel épisode du podcast Le Bonheur me va si bien, ça fait un petit moment de mois que je n'ai pas enregistré pour cause de surmenage de trop de projets et donc j'ai dû prioriser et ces vidéos sont passées en 3 ou 4ème position je pense. Mais je suis contente de revenir ici et j'ai choisi le sujet. Vraiment c'est un sujet qui me tenait à cœur parce que j'avais besoin de quelque chose qui me motive pour reprendre. le chemin de ce tournage. Donc aujourd'hui, on va parler remords, regrets. Pourquoi ? Parce que tu sais ce que j'ai remarqué avec les femmes que j'accompagne depuis toutes ces années, c'est qu'elles n'ont pas peur de travailler dur. Elles ne manquent ni de volonté, ni d'intelligence, ni de cœur. Par contre, il y a une chose qui les hante, petite sourdine, quelque chose qu'elles n'osent pas toujours nommer, mais que moi, coach, Je reconnais dans leur silence, dans leur posture, dans leur regard, dans leur soupir. C'est la peur, la peur de passer à côté. Pas de rater sa vie, mais de réussir une vie qui ne leur ressemble pas vraiment. En quelque sorte de cocher toutes les cases et de se rendre compte trop tard qu'elles ont oublié la leur. Celle compte vraiment. Et c'est exactement ce que Brunewa, une infirmière australienne, a recueilli auprès de centaines de personnes en fin de vie. Leurs derniers mots, leurs regrets les plus profonds. J'ai envie de te les partager aujourd'hui. Pas pour te faire peur, pas pour te faire culpabiliser, mais pour que tu puisses toi aussi choisir autre chose et le faire maintenant. Et si tu veux déjà faire un premier pas vers plus de conscience, de toi. Je te mets en description deux quiz. J'en ai deux à te proposer, c'est rapide, il y a une dizaine de questions. Et au moins, derrière, tu auras des outils, des questions à te poser pour avancer, soit avec tes émotions, soit avec ta confiance en toi. Deux alliés indispensables pour ne pas avoir de regrets. Donc, ces cinq regrets, quels sont-ils ? Prépare les mouchoirs. Oui, j'en ai eu besoin. Moi, le jour où je les ai découverts, et encore aujourd'hui, je sens l'émotion qui est là, qui monte, parce que je sais ce que je vais te dire et je sais que chez moi, ça va éveiller aussi beaucoup d'émotions. Donc le premier regret, c'est j'aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie, pas celle que les autres attendaient de moi. Et c'est ce regret qui m'a fait le plus d'effet la première fois que je l'ai entendu, que je l'ai lu. Il a touché quelque chose de très intime en moi, peut-être que tu vas t'y reconnaître aussi, cette pression, presque invisible, d'être la petite fille sage, une bonne élève, une femme fiable, courageuse, discrète, une mère bienveillante, celle qu'on attend, celle qui ne déçoit pas, celle qui réussit tout comme il faut bien. Mais à quel moment dans tout ça on se choisit vraiment soi ? À quel moment on se dit ça c'est mon choix ? Même si ça dérange, même si ça déçoit, c'est ok. Donc aujourd'hui, toi qui m'écoutes, toi qui me regardes, tu vis peut-être une vie qui fonctionne sur le... papier. Mais est-ce que c'est vraiment la tienne ? Est-ce qu'elle te ressemble ? Est-ce que tu te sens toi en train de l'écrire ou est-ce que tu suis simplement l'histoire ? Je te l'ai dit, cet épisode est important pour moi. Donc désolé de te poser ces questions assez cash. Mon expérience de coach m'a appris qu'une question en elle-même n'est rien. C'est plutôt la réponse que l'on se cache qui apporte la douleur ou la libération. On pense bien à ça. Et si tu veux aller plus loin sur la thématique du sujet du syndrome de la bonne élève, j'ai un épisode de potesse qui est dédié, je te mets le lien dans le description. Deuxième regret, c'est celui de toutes celles qui ont donné sans compter. J'aurais aimé ne pas avoir travaillé autant. qui ont bossé, qui ont pris soin de la maison, qui ont voulu prouver leur valeur pour assurer, pour ne pas laisser tomber, pour ne pas être laissé de côté. Et qui, un jour, en se retournant, enfin, se retourner, se demandent ce qu'elles ont manqué pendant ce temps-là. Elles ont donné tellement pour leur travail, pour leur maison, pour ces choses-là, qu'au moins, on se retrouve et on se dit, mais ma vie, c'est quoi ? C'est fait de quoi ? C'est fait de « je dois faire » , « je fais » , « je fais » . Alors, ce n'est pas qu'il faut arrêter de travailler. Je ne vous dis pas le but. Moi, mon travail contribue à mon épanouissement personnel. Mais j'ai envie de t'inviter à te poser la question. Est-ce que tu travailles pour nourrir ta vie ou pour te nourrir alimentairement parlant simplement ? Est-ce que tu te sacrifies ? Ta vie perso, une partie pour ton travail, où est-ce que tu en es par rapport à ça ? On a le droit d'être ambitieuse, on a le droit d'être engagée, on a le droit d'être passionnée, on a le droit de rêver d'une carrière. C'est OK. Et on a aussi le droit de poser des limites, prendre du recul, s'autoriser à respirer. Tu as le droit à une vie à toi, en dehors de ton job, de ta tout doux qui n'en finit jamais. Ce n'est pas juste un petit dimanche soir sur le coin du canapé à moitié à culpabiliser parce qu'enfin tu t'arrêtes. Tu as le droit d'une vraie vie pleine en présence. Donc aujourd'hui, demande-toi est-ce que tu bosses pour cocher des cases ou pour construire une vie qui te nourrit réellement. Le troisième, il me touche aussi particulièrement, il fait écho pour moi à ce qu'on apprend très tôt. Sans s'en rendre compte, sans que même nos parents ne s'en rendent compte. C'est, j'aurais aimé avoir le courage d'exprimer mes sentiers. On nous apprend à être forte, discrète, polie. De se taire, pour éviter de déranger. Que pleurer, c'est être fragile. Que dire ce que l'on ressent, c'est inutile, c'est trop, pas trop, pas assez, machin. C'est pas grave. Allez, c'est rien. Y'a pas de sens, c'est rien, c'est rien. Oh mais pourquoi tu pleures ? Arrête de faire ta chochotte ! Toutes ces choses-là, ça nous a appris à ravaler, à prendre sur nous, à sourire même quand ça déborde de l'intérieur. Et là, je vous le partage, j'ai une émotion forte. C'est comme ça que j'ai toujours été en fait. Adolescente, j'ai fait une dépression. Adolescente, j'ai été hospitalisée. Pourtant, ça ne se voyait pas parce que je souriais. Alors qu'à l'intérieur, ça n'allait pas. Mais à Pifeil, c'est tellement plus simple. Et du coup, si je reprends le fil à force, on se coupe de tout ce que l'on ressent vraiment. On ne sait plus si on est triste, fatigué, en colère, dépassé. On se contente de dire « oui, ça va » . C'est pour ça que je déteste la question « comment ça va ? » « ça va, non » . Moi, je préfère demander « comment tu te sens ? » Parce qu'est-ce que ça va vraiment ? Exprimer ce que l'on ressent, ce n'est pas être faible. C'est se choisir. C'est sortir de ce fichu syndrome de la bonne élève qui fait tout bien sans jamais dire quand ça ne va pas. Donc arrêtez de taire ce que vous ressentez par peur de déranger, par peur d'être aussi parfois même rejeté. Autorisez-vous enfin à ressentir et à dire qu'est-ce qui va vraiment se passer si vous dites les choses ? Qu'est-ce qui vous fait peur ? Et là, c'est la coach qui vous parle. Parce que si ça reste enfoui, c'est qu'il y a des choses, il y a des croyances, il y a des peurs, il y a des drivers, des choses qui vous dirigent. contre parfois votre propre volonté. Donc réfléchissez à tout ça, c'est un épisode qui est assez riche, mais c'est vraiment un épisode qui comptait pour moi, et on n'a pas fini, on n'est qu'au troisième, il en reste deux. Donc on prend une respiration, on souffle et on respire, voilà, et c'est reparti. Le quatrième. Une question là-bas. Est-ce que tu sais ce qui s'efface le plus vite quand on est débordé ? Les liens. Le café que tu devais prendre avec tes copines depuis X semaines, X mois. Ce message auquel tu n'as jamais répondu. Ce coup de fil que l'on remet encore de jour en jour. Ce quatrième regret, c'est j'aurais aimé rester en contact avec mes amis. Parce que parfois, il est aussi trop tard. Et ce regret-là, il nous rappelle que nos relations sont extrêmement précieuses. Pas seulement les grandes amitiés, mais aussi toutes les petites présences douces, les regards qui nous comprennent, les moments partagés. Prendre soin de ses liens, c'est prendre soin de son cœur aussi, et donc de soi. C'est dire à la personne, tu comptes pour moi, et je souhaiterais te faire de la place. Et la réciproque est tout aussi importante, elle vous fera du bien. Prenez-en conscience. Surtout si vous avez, en langage de l'amour, le temps partagé. Donc à quand ? quand remonte ton dernier vrai moment de connexion avec quelqu'un que tu aimes vraiment et sincèrement ? L'amour pour moi, ce n'est pas que l'amour physique et charnel. On peut aimer des gens, on peut aimer sans que ce soit ce côté charnel. L'amour, l'amitié, quand ? Ce, le cinquième, le dernier, il est pour moi très émouvant. Parce que trop souvent, je le vois avec les personnes que j'accompagne, que ce soit les créatrices ou en coaching individuel, on attend. On attend le bon moment, la bonne situation, le bon contexte, la recherche du truc parfait, d'être parfaitement prête. Je serai bien quand, ça ira mieux, on ne sera plus calme, je serai heureuse quand, quand j'aurai réussi, quand j'aurai fait ci, quand j'aurai fait ça. Le regret, c'est que j'aurais aimé m'autoriser à être plus heureuse. Il porte tout son sens. Vraiment, la phrase, j'aurais aimé m'autoriser à être plus heureuse. Il parle de lui-même. Le bonheur, ce n'est pas une ligne d'arrivée. Ce n'est pas je vais devenir la meilleure version de moi-même. C'est pour moi une décision plutôt douce que l'on prend et à la fois courageuse que tu peux prendre là maintenant. C'est t'autoriser à savourer, même quand tout n'est pas parfait. C'est s'ouvrir à la joie sans attente de permissions extérieures. Et si c'était ça justement, en fait, vivre sans regret ? Pas une vie parfaite, mais une vie choisie, ressentie, vécue. Le bonheur, ce n'est pas une récompense, c'est une permission à t'offrir dès maintenant. Le bonheur, il se cache dans les petites choses du quotidien, pas forcément dans les grandes réussites, dans les grands succès. Vraiment, comprends ça ? Le bonheur me va si bien, ce n'est pas pour rien que j'ai choisi ce thème de podcast, parce qu'on a tout le droit au bonheur. D'une, vous le méritez, je le mérite, tu le mérites, dans tous les sens. Mais la première chose à faire, c'est de s'y autoriser. De chercher ce bonheur qui est là, qui est présent. Oui, bien sûr, nos vies ne sont pas parfaites. Bien évidemment, nous ne sommes pas parfaites. Encore heureux d'ailleurs. Sinon, ce serait bien triste, on s'ennuierait à bouer. Donc, moi j'apprends à chercher ce petit bonheur. parfois oui il y a un truc c'est pas beau j'avais pris oh ça a de gaz la météo mais c'est ok oh la glace elle est tombée bon ben on en rigole voilà c'est enfin il y a des petites choses des fois du quotidien on peut en faire presque des drames alors qu'il y a tellement mais tellement plus important tellement mais tellement plus grave quand je vois des personnes qui sont aujourd'hui handicapées suite à un accident de surf dans une piscine dans une rivière en voiture peu importe et qui arrivent à remonter ça qui arrivent à Ciao ! à trouver cette résilience et cette force, continuer à être heureux, à vivre une vie qui les épanouit. Donc oui, on peut être épanoui, même si tout n'est pas parfait dans nos vies. Oui, on peut être heureuse. Et vous avez le droit de l'être, vous avez le droit de sourire, vous avez le droit d'être joyeuse, vous avez le droit de le montrer, vous avez le droit de le crier sur les toits. Soyez joyeuse, souriez, vous verrez, les autres vous souriront d'autant plus. Et c'est communicatif, c'est contagieux le sourire, le rire. et la joie. Donc pensez-y. Voilà pour ces cinq regrets que les gens expriment le plus souvent en fin de vie. Et si tu regardes cette vidéo et que tu en es là, c'est peut-être que tu fais partie de celles qui ne veulent pas attendre, justement, pour vivre autrement. Tu as envie d'une vie alignée, vivante, vibrante, et pas juste pour les autres, mais aussi pour toi. Alors, sache que c'est exactement pour ça que j'ai créé l'accompagnement CréActrice. C'est un programme, six mois, un an, pour t'aider à retrouver, j'ai même envie de te dire, reprendre ta place, à prendre la posée de tes limites, à écouter tes émotions, à te faire confiance, bref, à reprendre le pouvoir sur ta vie en douceur et en conscience. Ce n'est pas forcément changer ta vie, c'est changer la manière dont tu la perçois et la manière dont tu te perçois. Alors, si ça résonne pour toi, je te mets... le lien en description. Tu peux commencer aujourd'hui. Vraiment, la créatrice, il est ouvert toute l'année pour celles qui sont prêtes au moment où elles le sont. C'est ça qui est important. Et si tu te sens prête aujourd'hui, réserve ton appel. Tu seras avec Suzy ou avec moi-même. C'est un appel qui est 100% gratuit. 30 minutes d'échange, 45 minutes parfois. On va te poser plein de questions pour mieux te comprendre. On va te dire oui, c'est fait pour toi, non, c'est pas fait pour toi. Et puis, on répond à toutes tes questions. Fin de cet aparté. mais j'aimerais savoir, là, toi qui m'écoutes, lequel de ces cinq regrets t'as le plus touché dans ce que je t'ai partagé ? Lequel tu n'as pas envie de ressentir le jour où tu partiras ? Lequel tu n'as pas envie d'un matin te réveiller à 70 ans et te dire « j'ai raté ça, j'ai fait ça, j'ai oublié ça, tant c'était important pour moi » . Et peut-être que toi, ton regret aujourd'hui, il ne fait pas partie de ces cinq-là. Note-le-moi quand même sous cette vidéo. Dis-moi ce qu'il en est pour toi. Et puis, on peut peut-être échanger aussi. Des fois, ça aide, ça ouvre et ça permet de débloquer certaines situations. Donc, prends bien soin de toi. Vraiment, vraiment. Pas demain, dès maintenant. Et je te retrouve très bientôt pour le prochain épisode qui sera maintenant, je pense, pour me permettre de reprendre en douceur dans 15 jours.