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Le médium c'est la vie

Avec Simon Buret

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52min |01/03/2024
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Le médium c'est la vie

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52min |01/03/2024
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Description

Cet homme là, je l’ai écouté pendant des années, encore plongée jusqu’au cou dans l’adolescence. Le premier album qu’il a fait avec son acolyte, c’est l’un des premiers albums que j’ai acheté et c’était la première lettre du répertoire de mon iPod ; cela commençait donc toujours par Aaron. J’aimais la voix, la richesse des paroles, le subtil mélange de gravité et de grâce qui se dégage du tout. Bref, ça agissait en moi.

 

Depuis il y a eu d’autres titres, d'autres projets, la vie a coulé, et l’art a continué son chemin. Musique, peinture, les mots, toujours. Et moi, je suis restée une fervente auditrice de l’ombre.

 

Il est arrivé une demie heure en avance, et j’ai couru à la porte surprise de l’ouvrir sur lui, alors que j’écoutais Everybreath you take de Police. Surprise !

 

Simon Buret, j’ai eu l’impression qu’il avait beaucoup regardé le ciel de Grèce qu’il aime tant, pour posséder un tel regard, un peu ébloui, avec cette lumière particulière qui éclabousse le fond des yeux et vous le verrez ; le verbe !

 

Il y avait l’odeur du café frais et on s’est installé autour de la table basse de ce petit pied à terre parisien que j’occupe aléatoirement, et qui ne possède rien de moi, à part ces conversations qu’il abrite et recueille comme un petit cabinet de curiosité recevant pour quelques instants des vivants et leurs confidences. Après tout, nous ne sommes que de passage ici bas...


Musique ©aaron


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Cet homme là, je l’ai écouté pendant des années, encore plongée jusqu’au cou dans l’adolescence. Le premier album qu’il a fait avec son acolyte, c’est l’un des premiers albums que j’ai acheté et c’était la première lettre du répertoire de mon iPod ; cela commençait donc toujours par Aaron. J’aimais la voix, la richesse des paroles, le subtil mélange de gravité et de grâce qui se dégage du tout. Bref, ça agissait en moi.

 

Depuis il y a eu d’autres titres, d'autres projets, la vie a coulé, et l’art a continué son chemin. Musique, peinture, les mots, toujours. Et moi, je suis restée une fervente auditrice de l’ombre.

 

Il est arrivé une demie heure en avance, et j’ai couru à la porte surprise de l’ouvrir sur lui, alors que j’écoutais Everybreath you take de Police. Surprise !

 

Simon Buret, j’ai eu l’impression qu’il avait beaucoup regardé le ciel de Grèce qu’il aime tant, pour posséder un tel regard, un peu ébloui, avec cette lumière particulière qui éclabousse le fond des yeux et vous le verrez ; le verbe !

 

Il y avait l’odeur du café frais et on s’est installé autour de la table basse de ce petit pied à terre parisien que j’occupe aléatoirement, et qui ne possède rien de moi, à part ces conversations qu’il abrite et recueille comme un petit cabinet de curiosité recevant pour quelques instants des vivants et leurs confidences. Après tout, nous ne sommes que de passage ici bas...


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Depuis il y a eu d’autres titres, d'autres projets, la vie a coulé, et l’art a continué son chemin. Musique, peinture, les mots, toujours. Et moi, je suis restée une fervente auditrice de l’ombre.

 

Il est arrivé une demie heure en avance, et j’ai couru à la porte surprise de l’ouvrir sur lui, alors que j’écoutais Everybreath you take de Police. Surprise !

 

Simon Buret, j’ai eu l’impression qu’il avait beaucoup regardé le ciel de Grèce qu’il aime tant, pour posséder un tel regard, un peu ébloui, avec cette lumière particulière qui éclabousse le fond des yeux et vous le verrez ; le verbe !

 

Il y avait l’odeur du café frais et on s’est installé autour de la table basse de ce petit pied à terre parisien que j’occupe aléatoirement, et qui ne possède rien de moi, à part ces conversations qu’il abrite et recueille comme un petit cabinet de curiosité recevant pour quelques instants des vivants et leurs confidences. Après tout, nous ne sommes que de passage ici bas...


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Cet homme là, je l’ai écouté pendant des années, encore plongée jusqu’au cou dans l’adolescence. Le premier album qu’il a fait avec son acolyte, c’est l’un des premiers albums que j’ai acheté et c’était la première lettre du répertoire de mon iPod ; cela commençait donc toujours par Aaron. J’aimais la voix, la richesse des paroles, le subtil mélange de gravité et de grâce qui se dégage du tout. Bref, ça agissait en moi.

 

Depuis il y a eu d’autres titres, d'autres projets, la vie a coulé, et l’art a continué son chemin. Musique, peinture, les mots, toujours. Et moi, je suis restée une fervente auditrice de l’ombre.

 

Il est arrivé une demie heure en avance, et j’ai couru à la porte surprise de l’ouvrir sur lui, alors que j’écoutais Everybreath you take de Police. Surprise !

 

Simon Buret, j’ai eu l’impression qu’il avait beaucoup regardé le ciel de Grèce qu’il aime tant, pour posséder un tel regard, un peu ébloui, avec cette lumière particulière qui éclabousse le fond des yeux et vous le verrez ; le verbe !

 

Il y avait l’odeur du café frais et on s’est installé autour de la table basse de ce petit pied à terre parisien que j’occupe aléatoirement, et qui ne possède rien de moi, à part ces conversations qu’il abrite et recueille comme un petit cabinet de curiosité recevant pour quelques instants des vivants et leurs confidences. Après tout, nous ne sommes que de passage ici bas...


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