Six salariés sur dix du privé ont eu des work besties, des collègues qui sont devenus de véritables meilleurs amis au travail. Et ces relations ne s’arrêtent pas toujours à la porte du bureau : 70 % des sondés ont même tissé des liens si forts qu’ils se sont transformés en amitiés dans la sphère privée.

Et ces work besties jouent un rôle crucial au travail : ils nourrissent la motivation et le dépassement de soi. Quand on a un work bestie, on est prêt à se surpasser pour lui s’il rencontre une difficulté ou s’il a besoin d’un coup de main. Ça réchauffe l’ambiance de tout un open space, d’ailleurs.

Mais ça a aussi ses limites ! Par exemple, près d’un salarié sur deux reconnaît que l’absence de son work bestie le démotive. Et puis, l’humain est intéressé quand même, c’est pourquoi, selon certains sociologues et économistes, on peut tisser des liens d’amitié au travail pour servir des objectifs plus intéressés, comme soigner son image ou récolter des infos utiles.

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