On est nombreux à être lancés dans une course sans fin à la reconnaissance. Perfectionnisme, hautes responsabilités, sommet, gloire .. c'est comme s'il fallait briller à tout prix pour être quelqu'un, réussir sans cesse de nouveaux challenges avec la sensation de ne jamais être assez.

Choisir une vie ou une existence ordinaire ressemble pour certains à une forme de renonciation, un compromis perdant. Comme si la normalité était synonyme de médiocrité.

Pourtant rattacher la valeur de notre vie à des notions de succès ou d'échec mesuré uniquement via des standards externes donne l'impression d'avoir raté sa vie.

Le "Assez bien" est considéré comme de la faiblesse

Il est même repoussé, assimilé à un manque de courage alors qu 'assez bien c’est déjà très bien. 

La réussite est propre à chacun, mais c'est intéressant d'essayer de sortir des visions binaire succès ou échec. C’est là que l'assez bien ou le juste milieu a toute sa raison d'être, pour éviter de nourrir une sensation d'échec non stop.

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