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Et si vous plongiez dans la tête d’un bébé philosophe, mutique, persuadé d’être Dieu, au Japon des années 70 ? cover
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LE MORNING

Et si vous plongiez dans la tête d’un bébé philosophe, mutique, persuadé d’être Dieu, au Japon des années 70 ?

Et si vous plongiez dans la tête d’un bébé philosophe, mutique, persuadé d’être Dieu, au Japon des années 70 ?

02min |27/06/2025|

2

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Description

Adapté du roman autobiographique d’Amélie Nothomb, Amélie et la Métaphysique des Tubes raconte les trois premières années de sa vie au Japon en tant que Belge expatriée. L’héroïne, bébé mutique et immobile, se perçoit comme un dieu tout-puissant, n’ayant ni besoin de parler ni de bouger. Ce n’est qu’à deux ans et demi, lors d’un tremblement de terre, que quelque chose se fissure. Le choc, suivi d’un événement anodin mais décisif — la découverte du goût du chocolat blanc — marque son éveil à la vie sensorielle. À partir de là, Amélie découvre la joie, la colère, la parole, la perte aussi. Amélie n’apprend pas seulement à parler ou marcher, elle va donc comprendre ses émotions et surtout comment les apprivoiser. Des leçons qui durent toute la vie !


Ce qui marque d’abord, c’est le style visuel. Le film ne ressemble pas à une animation classique : il mélange dessins à l’aquarelle, arrière-plans flous, et textures et c’est ce qui donne l’impression de voir à travers les yeux d’un enfant. Chaque saison a sa palette, chaque personnage sa couleur dominante. L’animation est fluide, mais jamais réaliste : ici, c’est l’émotion et la sensation qui dictent l’image.


Amélie et la Métaphysique des Tubes, dévoilée en mai dernier à Cannes, est désormais disponible dans les salles obscures.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Adapté du roman autobiographique d’Amélie Nothomb, Amélie et la Métaphysique des Tubes raconte les trois premières années de sa vie au Japon en tant que Belge expatriée. L’héroïne, bébé mutique et immobile, se perçoit comme un dieu tout-puissant, n’ayant ni besoin de parler ni de bouger. Ce n’est qu’à deux ans et demi, lors d’un tremblement de terre, que quelque chose se fissure. Le choc, suivi d’un événement anodin mais décisif — la découverte du goût du chocolat blanc — marque son éveil à la vie sensorielle. À partir de là, Amélie découvre la joie, la colère, la parole, la perte aussi. Amélie n’apprend pas seulement à parler ou marcher, elle va donc comprendre ses émotions et surtout comment les apprivoiser. Des leçons qui durent toute la vie !


Ce qui marque d’abord, c’est le style visuel. Le film ne ressemble pas à une animation classique : il mélange dessins à l’aquarelle, arrière-plans flous, et textures et c’est ce qui donne l’impression de voir à travers les yeux d’un enfant. Chaque saison a sa palette, chaque personnage sa couleur dominante. L’animation est fluide, mais jamais réaliste : ici, c’est l’émotion et la sensation qui dictent l’image.


Amélie et la Métaphysique des Tubes, dévoilée en mai dernier à Cannes, est désormais disponible dans les salles obscures.


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Adapté du roman autobiographique d’Amélie Nothomb, Amélie et la Métaphysique des Tubes raconte les trois premières années de sa vie au Japon en tant que Belge expatriée. L’héroïne, bébé mutique et immobile, se perçoit comme un dieu tout-puissant, n’ayant ni besoin de parler ni de bouger. Ce n’est qu’à deux ans et demi, lors d’un tremblement de terre, que quelque chose se fissure. Le choc, suivi d’un événement anodin mais décisif — la découverte du goût du chocolat blanc — marque son éveil à la vie sensorielle. À partir de là, Amélie découvre la joie, la colère, la parole, la perte aussi. Amélie n’apprend pas seulement à parler ou marcher, elle va donc comprendre ses émotions et surtout comment les apprivoiser. Des leçons qui durent toute la vie !


Ce qui marque d’abord, c’est le style visuel. Le film ne ressemble pas à une animation classique : il mélange dessins à l’aquarelle, arrière-plans flous, et textures et c’est ce qui donne l’impression de voir à travers les yeux d’un enfant. Chaque saison a sa palette, chaque personnage sa couleur dominante. L’animation est fluide, mais jamais réaliste : ici, c’est l’émotion et la sensation qui dictent l’image.


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Adapté du roman autobiographique d’Amélie Nothomb, Amélie et la Métaphysique des Tubes raconte les trois premières années de sa vie au Japon en tant que Belge expatriée. L’héroïne, bébé mutique et immobile, se perçoit comme un dieu tout-puissant, n’ayant ni besoin de parler ni de bouger. Ce n’est qu’à deux ans et demi, lors d’un tremblement de terre, que quelque chose se fissure. Le choc, suivi d’un événement anodin mais décisif — la découverte du goût du chocolat blanc — marque son éveil à la vie sensorielle. À partir de là, Amélie découvre la joie, la colère, la parole, la perte aussi. Amélie n’apprend pas seulement à parler ou marcher, elle va donc comprendre ses émotions et surtout comment les apprivoiser. Des leçons qui durent toute la vie !


Ce qui marque d’abord, c’est le style visuel. Le film ne ressemble pas à une animation classique : il mélange dessins à l’aquarelle, arrière-plans flous, et textures et c’est ce qui donne l’impression de voir à travers les yeux d’un enfant. Chaque saison a sa palette, chaque personnage sa couleur dominante. L’animation est fluide, mais jamais réaliste : ici, c’est l’émotion et la sensation qui dictent l’image.


Amélie et la Métaphysique des Tubes, dévoilée en mai dernier à Cannes, est désormais disponible dans les salles obscures.


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