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LE MORNING RADIO MONACO

Le catamaran Energy Observer est rentré au port !

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02min |17/06/2024|

9

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Ce navire scientifique unique en son genre a sillonné les eaux du globe pendant 7 ans et il vient tout juste de rejoindre son port d’attache de Saint-Malo. 

Lancée en 2017, sa première expédition l’avait amené à longer les côtes de l’hexagone - avec une escale d’une semaine à Monaco SAS le Prince Albert II avait alors eu l’occasion de naviguer à bord de l’Energy Observer en compagnie de Bertrand Piccard, pionnier de l’aviation à énergie solaire avec le Solar Impulse


Puis, ce fut, le tour de la Méditerranée, avant une expédition vers le Pôle Nord, jusqu’au Spitzberg, cher au Prince Albert Ier et à ses descendants. 

Et enfin, à partir de 2020, un tour du monde à vocation scientifique et écologique.  


A la seule force du vent, de ses panneaux solaires et de sa pile à combustible alimentée par de l’hydrogène, ce bicoque autonome, zéro bruit et zéro émission, a parcouru 68 000 nautiques, soit environ 126 000 kilomètres. Plus de trois fois la circonférence de la Terre. 

Pendant son odyssée, l’Energy Observer a effectué une centaine d’escales à travers 50 pays. 


L’objectif était de rencontrer des porteurs de projets, de découvrir les solutions mises en place localement aux quatre pour lutter contre les effets réchauffement climatiques, la pollution ou encore la surexploitation des milieux marins. 

Mais il s’agissait, aussi, de prouver l’efficience des technologies et du mix énergétique embarqué à bord de ce bateau de 30 mètres de long. 40% de vent, 40% de photovoltaïque et 20% d’énergie issue de l’hydrogène produit à bord par électrolyse. 

Désormais, l’équipe de l’Energy Observer travaille sur un projet de cargo à hydrogène liquide et sur un nouveau concept de navire scientifique pour expérimenter des carburants de synthèse. 

En attendant, le catamaran continue de jouer les vedettes. A l’occasion des JO de Paris, il va remonter la Seine pour s’amarrer entre le pont de l’Alma et le Pont Alexandre III à partir du 27 juillet.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ce navire scientifique unique en son genre a sillonné les eaux du globe pendant 7 ans et il vient tout juste de rejoindre son port d’attache de Saint-Malo. 

Lancée en 2017, sa première expédition l’avait amené à longer les côtes de l’hexagone - avec une escale d’une semaine à Monaco SAS le Prince Albert II avait alors eu l’occasion de naviguer à bord de l’Energy Observer en compagnie de Bertrand Piccard, pionnier de l’aviation à énergie solaire avec le Solar Impulse


Puis, ce fut, le tour de la Méditerranée, avant une expédition vers le Pôle Nord, jusqu’au Spitzberg, cher au Prince Albert Ier et à ses descendants. 

Et enfin, à partir de 2020, un tour du monde à vocation scientifique et écologique.  


A la seule force du vent, de ses panneaux solaires et de sa pile à combustible alimentée par de l’hydrogène, ce bicoque autonome, zéro bruit et zéro émission, a parcouru 68 000 nautiques, soit environ 126 000 kilomètres. Plus de trois fois la circonférence de la Terre. 

Pendant son odyssée, l’Energy Observer a effectué une centaine d’escales à travers 50 pays. 


L’objectif était de rencontrer des porteurs de projets, de découvrir les solutions mises en place localement aux quatre pour lutter contre les effets réchauffement climatiques, la pollution ou encore la surexploitation des milieux marins. 

Mais il s’agissait, aussi, de prouver l’efficience des technologies et du mix énergétique embarqué à bord de ce bateau de 30 mètres de long. 40% de vent, 40% de photovoltaïque et 20% d’énergie issue de l’hydrogène produit à bord par électrolyse. 

Désormais, l’équipe de l’Energy Observer travaille sur un projet de cargo à hydrogène liquide et sur un nouveau concept de navire scientifique pour expérimenter des carburants de synthèse. 

En attendant, le catamaran continue de jouer les vedettes. A l’occasion des JO de Paris, il va remonter la Seine pour s’amarrer entre le pont de l’Alma et le Pont Alexandre III à partir du 27 juillet.


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Lancée en 2017, sa première expédition l’avait amené à longer les côtes de l’hexagone - avec une escale d’une semaine à Monaco SAS le Prince Albert II avait alors eu l’occasion de naviguer à bord de l’Energy Observer en compagnie de Bertrand Piccard, pionnier de l’aviation à énergie solaire avec le Solar Impulse


Puis, ce fut, le tour de la Méditerranée, avant une expédition vers le Pôle Nord, jusqu’au Spitzberg, cher au Prince Albert Ier et à ses descendants. 

Et enfin, à partir de 2020, un tour du monde à vocation scientifique et écologique.  


A la seule force du vent, de ses panneaux solaires et de sa pile à combustible alimentée par de l’hydrogène, ce bicoque autonome, zéro bruit et zéro émission, a parcouru 68 000 nautiques, soit environ 126 000 kilomètres. Plus de trois fois la circonférence de la Terre. 

Pendant son odyssée, l’Energy Observer a effectué une centaine d’escales à travers 50 pays. 


L’objectif était de rencontrer des porteurs de projets, de découvrir les solutions mises en place localement aux quatre pour lutter contre les effets réchauffement climatiques, la pollution ou encore la surexploitation des milieux marins. 

Mais il s’agissait, aussi, de prouver l’efficience des technologies et du mix énergétique embarqué à bord de ce bateau de 30 mètres de long. 40% de vent, 40% de photovoltaïque et 20% d’énergie issue de l’hydrogène produit à bord par électrolyse. 

Désormais, l’équipe de l’Energy Observer travaille sur un projet de cargo à hydrogène liquide et sur un nouveau concept de navire scientifique pour expérimenter des carburants de synthèse. 

En attendant, le catamaran continue de jouer les vedettes. A l’occasion des JO de Paris, il va remonter la Seine pour s’amarrer entre le pont de l’Alma et le Pont Alexandre III à partir du 27 juillet.


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Ce navire scientifique unique en son genre a sillonné les eaux du globe pendant 7 ans et il vient tout juste de rejoindre son port d’attache de Saint-Malo. 

Lancée en 2017, sa première expédition l’avait amené à longer les côtes de l’hexagone - avec une escale d’une semaine à Monaco SAS le Prince Albert II avait alors eu l’occasion de naviguer à bord de l’Energy Observer en compagnie de Bertrand Piccard, pionnier de l’aviation à énergie solaire avec le Solar Impulse


Puis, ce fut, le tour de la Méditerranée, avant une expédition vers le Pôle Nord, jusqu’au Spitzberg, cher au Prince Albert Ier et à ses descendants. 

Et enfin, à partir de 2020, un tour du monde à vocation scientifique et écologique.  


A la seule force du vent, de ses panneaux solaires et de sa pile à combustible alimentée par de l’hydrogène, ce bicoque autonome, zéro bruit et zéro émission, a parcouru 68 000 nautiques, soit environ 126 000 kilomètres. Plus de trois fois la circonférence de la Terre. 

Pendant son odyssée, l’Energy Observer a effectué une centaine d’escales à travers 50 pays. 


L’objectif était de rencontrer des porteurs de projets, de découvrir les solutions mises en place localement aux quatre pour lutter contre les effets réchauffement climatiques, la pollution ou encore la surexploitation des milieux marins. 

Mais il s’agissait, aussi, de prouver l’efficience des technologies et du mix énergétique embarqué à bord de ce bateau de 30 mètres de long. 40% de vent, 40% de photovoltaïque et 20% d’énergie issue de l’hydrogène produit à bord par électrolyse. 

Désormais, l’équipe de l’Energy Observer travaille sur un projet de cargo à hydrogène liquide et sur un nouveau concept de navire scientifique pour expérimenter des carburants de synthèse. 

En attendant, le catamaran continue de jouer les vedettes. A l’occasion des JO de Paris, il va remonter la Seine pour s’amarrer entre le pont de l’Alma et le Pont Alexandre III à partir du 27 juillet.


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