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LE MORNING

Les origines des traditions du réveillon de la nouvelle année

Les origines des traditions du réveillon de la nouvelle année

01min |27/12/2024|

11

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Description

La fête du Nouvel An trouve ses racines dans l’Antiquité romaine

À l’époque, il ne s’agissait pas de feux d’artifice ou de résolutions, mais d’un bon festin. 

Les Romains croyaient que plus leur repas de la Saint-Sylvestre était copieux … plus l’année à venir serait prospère.
Une tradition qui pourrait expliquer pourquoi nos repas de réveillon restent si riches et festifs !


Et le choix de cette date pour marquer la fin de l’année n’est d’ailleurs pas si ancien

Oui, pendant des siècles, le Nouvel An a voyagé dans le temps
Jules César l’avait fixé au 1er janvier, en l’honneur de Janus, le dieu romain des commencements.

Mais sous Charlemagne, il tombait le 25 décembre … et au Moyen Âge, c’était souvent à Pâques que l’on célébrait le début d’une nouvelle année.
Ce n’est qu’en 1564, sous Charles 9, que la France a officiellement adopté la date actuelle.

Il y a aussi le fameux baiser sous le gui.
Cette coutume, que nous associons à minuit, remonte aux Celtes, convaincus des pouvoirs magiques de cette plante.

Accrochée dans les maisons, elle portait chance et symbolisait la prospérité.

Aujourd’hui, ce geste reste une façon romantique et porte-bonheur d’embrasser la nouvelle année 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

La fête du Nouvel An trouve ses racines dans l’Antiquité romaine

À l’époque, il ne s’agissait pas de feux d’artifice ou de résolutions, mais d’un bon festin. 

Les Romains croyaient que plus leur repas de la Saint-Sylvestre était copieux … plus l’année à venir serait prospère.
Une tradition qui pourrait expliquer pourquoi nos repas de réveillon restent si riches et festifs !


Et le choix de cette date pour marquer la fin de l’année n’est d’ailleurs pas si ancien

Oui, pendant des siècles, le Nouvel An a voyagé dans le temps
Jules César l’avait fixé au 1er janvier, en l’honneur de Janus, le dieu romain des commencements.

Mais sous Charlemagne, il tombait le 25 décembre … et au Moyen Âge, c’était souvent à Pâques que l’on célébrait le début d’une nouvelle année.
Ce n’est qu’en 1564, sous Charles 9, que la France a officiellement adopté la date actuelle.

Il y a aussi le fameux baiser sous le gui.
Cette coutume, que nous associons à minuit, remonte aux Celtes, convaincus des pouvoirs magiques de cette plante.

Accrochée dans les maisons, elle portait chance et symbolisait la prospérité.

Aujourd’hui, ce geste reste une façon romantique et porte-bonheur d’embrasser la nouvelle année 


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La fête du Nouvel An trouve ses racines dans l’Antiquité romaine

À l’époque, il ne s’agissait pas de feux d’artifice ou de résolutions, mais d’un bon festin. 

Les Romains croyaient que plus leur repas de la Saint-Sylvestre était copieux … plus l’année à venir serait prospère.
Une tradition qui pourrait expliquer pourquoi nos repas de réveillon restent si riches et festifs !


Et le choix de cette date pour marquer la fin de l’année n’est d’ailleurs pas si ancien

Oui, pendant des siècles, le Nouvel An a voyagé dans le temps
Jules César l’avait fixé au 1er janvier, en l’honneur de Janus, le dieu romain des commencements.

Mais sous Charlemagne, il tombait le 25 décembre … et au Moyen Âge, c’était souvent à Pâques que l’on célébrait le début d’une nouvelle année.
Ce n’est qu’en 1564, sous Charles 9, que la France a officiellement adopté la date actuelle.

Il y a aussi le fameux baiser sous le gui.
Cette coutume, que nous associons à minuit, remonte aux Celtes, convaincus des pouvoirs magiques de cette plante.

Accrochée dans les maisons, elle portait chance et symbolisait la prospérité.

Aujourd’hui, ce geste reste une façon romantique et porte-bonheur d’embrasser la nouvelle année 


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La fête du Nouvel An trouve ses racines dans l’Antiquité romaine

À l’époque, il ne s’agissait pas de feux d’artifice ou de résolutions, mais d’un bon festin. 

Les Romains croyaient que plus leur repas de la Saint-Sylvestre était copieux … plus l’année à venir serait prospère.
Une tradition qui pourrait expliquer pourquoi nos repas de réveillon restent si riches et festifs !


Et le choix de cette date pour marquer la fin de l’année n’est d’ailleurs pas si ancien

Oui, pendant des siècles, le Nouvel An a voyagé dans le temps
Jules César l’avait fixé au 1er janvier, en l’honneur de Janus, le dieu romain des commencements.

Mais sous Charlemagne, il tombait le 25 décembre … et au Moyen Âge, c’était souvent à Pâques que l’on célébrait le début d’une nouvelle année.
Ce n’est qu’en 1564, sous Charles 9, que la France a officiellement adopté la date actuelle.

Il y a aussi le fameux baiser sous le gui.
Cette coutume, que nous associons à minuit, remonte aux Celtes, convaincus des pouvoirs magiques de cette plante.

Accrochée dans les maisons, elle portait chance et symbolisait la prospérité.

Aujourd’hui, ce geste reste une façon romantique et porte-bonheur d’embrasser la nouvelle année 


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