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LE MORNING

On confond souvent accepter et baisser les bras.

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01min |03/06/2025|

2

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Description

C’est vrai et c’est essentiel de bien les distinguer parce que, accepter ce qui est, ce n’est pas renoncer à ce qu’on veut.

Accepter, c’est d’abord un acte de lucidité. C’est reconnaître une situation pour ce qu’elle est, sans filtre, sans masque.

En psychologie, on parle d’acceptation active : c’est une posture mentale qui dit “je vois clairement ce qui se passe, et je choisis de composer avec la réalité, pas de la fuir”.


En fait, le cerveau déteste le flou. Plus on résiste à ce qu’on ne contrôle pas, plus on déclenche du stress, des ruminations, et parfois même des blocages émotionnels.

À l’inverse, accepter réduit l’activation de l’amygdale, notre centre d’alerte, et ouvre la porte à l’ajustement.


Alors non, accepter une rupture, un refus, un contretemps, ce n’est pas abandonner.

C’est juste dire : “Ok, c’est là. Et maintenant, qu’est-ce que j’en fais ?”


Et c’est souvent là que commence le vrai pouvoir d’agir.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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C’est vrai et c’est essentiel de bien les distinguer parce que, accepter ce qui est, ce n’est pas renoncer à ce qu’on veut.

Accepter, c’est d’abord un acte de lucidité. C’est reconnaître une situation pour ce qu’elle est, sans filtre, sans masque.

En psychologie, on parle d’acceptation active : c’est une posture mentale qui dit “je vois clairement ce qui se passe, et je choisis de composer avec la réalité, pas de la fuir”.


En fait, le cerveau déteste le flou. Plus on résiste à ce qu’on ne contrôle pas, plus on déclenche du stress, des ruminations, et parfois même des blocages émotionnels.

À l’inverse, accepter réduit l’activation de l’amygdale, notre centre d’alerte, et ouvre la porte à l’ajustement.


Alors non, accepter une rupture, un refus, un contretemps, ce n’est pas abandonner.

C’est juste dire : “Ok, c’est là. Et maintenant, qu’est-ce que j’en fais ?”


Et c’est souvent là que commence le vrai pouvoir d’agir.


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Accepter, c’est d’abord un acte de lucidité. C’est reconnaître une situation pour ce qu’elle est, sans filtre, sans masque.

En psychologie, on parle d’acceptation active : c’est une posture mentale qui dit “je vois clairement ce qui se passe, et je choisis de composer avec la réalité, pas de la fuir”.


En fait, le cerveau déteste le flou. Plus on résiste à ce qu’on ne contrôle pas, plus on déclenche du stress, des ruminations, et parfois même des blocages émotionnels.

À l’inverse, accepter réduit l’activation de l’amygdale, notre centre d’alerte, et ouvre la porte à l’ajustement.


Alors non, accepter une rupture, un refus, un contretemps, ce n’est pas abandonner.

C’est juste dire : “Ok, c’est là. Et maintenant, qu’est-ce que j’en fais ?”


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Accepter, c’est d’abord un acte de lucidité. C’est reconnaître une situation pour ce qu’elle est, sans filtre, sans masque.

En psychologie, on parle d’acceptation active : c’est une posture mentale qui dit “je vois clairement ce qui se passe, et je choisis de composer avec la réalité, pas de la fuir”.


En fait, le cerveau déteste le flou. Plus on résiste à ce qu’on ne contrôle pas, plus on déclenche du stress, des ruminations, et parfois même des blocages émotionnels.

À l’inverse, accepter réduit l’activation de l’amygdale, notre centre d’alerte, et ouvre la porte à l’ajustement.


Alors non, accepter une rupture, un refus, un contretemps, ce n’est pas abandonner.

C’est juste dire : “Ok, c’est là. Et maintenant, qu’est-ce que j’en fais ?”


Et c’est souvent là que commence le vrai pouvoir d’agir.


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