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LE MORNING

Passé versus présent : qu’est-ce qui nous influence le plus ?

Passé versus présent : qu’est-ce qui nous influence le plus ?

01min |29/04/2025|

1

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Description

Majoritairement, dans notre société, la croyance est qu’on est prisonnier de notre passé et que c’est lui qui détermine notre présent. Dans cette vision, les événements vécus, les expériences forgent notre identité. C’est ce qu’on nomme la version déterministe.


À l’opposé, ou presque, il y a la vision constructiviste : ici, on est le résultat d’une construction qui se joue au présent. Pour un constructiviste, en clair, ce n’est pas tant le passé qui nous forge, mais ce qu’on en fait.


Donc si on s’appuie sur la vision constructiviste, ce n’est pas la nature des événements qui compte, mais la façon de les percevoir et de les intégrer à notre vie. Un même événement peut nous détruire ou nous rendre plus fort.


Selon le prisme constructiviste, tous les événements passés sont réinterprétés non-stop, et réécrits à la lumière de notre compréhension du moment. On est capable de fabriquer de faux souvenirs, en étant persuadés que ce dont on se rappelle est réellement arrivé.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Majoritairement, dans notre société, la croyance est qu’on est prisonnier de notre passé et que c’est lui qui détermine notre présent. Dans cette vision, les événements vécus, les expériences forgent notre identité. C’est ce qu’on nomme la version déterministe.


À l’opposé, ou presque, il y a la vision constructiviste : ici, on est le résultat d’une construction qui se joue au présent. Pour un constructiviste, en clair, ce n’est pas tant le passé qui nous forge, mais ce qu’on en fait.


Donc si on s’appuie sur la vision constructiviste, ce n’est pas la nature des événements qui compte, mais la façon de les percevoir et de les intégrer à notre vie. Un même événement peut nous détruire ou nous rendre plus fort.


Selon le prisme constructiviste, tous les événements passés sont réinterprétés non-stop, et réécrits à la lumière de notre compréhension du moment. On est capable de fabriquer de faux souvenirs, en étant persuadés que ce dont on se rappelle est réellement arrivé.


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À l’opposé, ou presque, il y a la vision constructiviste : ici, on est le résultat d’une construction qui se joue au présent. Pour un constructiviste, en clair, ce n’est pas tant le passé qui nous forge, mais ce qu’on en fait.


Donc si on s’appuie sur la vision constructiviste, ce n’est pas la nature des événements qui compte, mais la façon de les percevoir et de les intégrer à notre vie. Un même événement peut nous détruire ou nous rendre plus fort.


Selon le prisme constructiviste, tous les événements passés sont réinterprétés non-stop, et réécrits à la lumière de notre compréhension du moment. On est capable de fabriquer de faux souvenirs, en étant persuadés que ce dont on se rappelle est réellement arrivé.


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À l’opposé, ou presque, il y a la vision constructiviste : ici, on est le résultat d’une construction qui se joue au présent. Pour un constructiviste, en clair, ce n’est pas tant le passé qui nous forge, mais ce qu’on en fait.


Donc si on s’appuie sur la vision constructiviste, ce n’est pas la nature des événements qui compte, mais la façon de les percevoir et de les intégrer à notre vie. Un même événement peut nous détruire ou nous rendre plus fort.


Selon le prisme constructiviste, tous les événements passés sont réinterprétés non-stop, et réécrits à la lumière de notre compréhension du moment. On est capable de fabriquer de faux souvenirs, en étant persuadés que ce dont on se rappelle est réellement arrivé.


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