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Vinyles de légende : quand un disque vaut une fortune cover
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Le podcast de Nos années Vintage

Vinyles de légende : quand un disque vaut une fortune

Vinyles de légende : quand un disque vaut une fortune

07min |02/06/2025
Play
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Le podcast de Nos années Vintage

Vinyles de légende : quand un disque vaut une fortune

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Description

Pourquoi certains vinyles se vendent-ils à des milliers d’euros ? Du White Album des Beatles à une édition interdite des Sex Pistols, ce deuxième épisode de Nos Années Vintage vous plonge dans l’univers fascinant des disques de collection. Rareté, état, pressage, anecdotes incroyables et conseils pour estimer vos trésors oubliés… Une exploration entre passion musicale, nostalgie et véritables objets d’art.
🎙️ À écouter si vous avez une platine… ou juste un peu de curiosité !

👉 Abonnez-vous et retrouvez plus d’articles et d’histoires sur nosanneesvintage.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le blog Nos années vintage vous propose une série de podcasts autour de personnalités, d'objets cultes et d'événements marquants. Voici le second épisode consacré aux disques vinyles les plus recherchés. Quand on voit ce White Album des Beatles, l'exemplaire numéro 1 de Ringo Starr, parti pour plus de 645 000 euros, c'est fou non ? Qui aurait pu imaginer un tel retour en force du vinyle ? On sent bien ce mélange de nostalgie, mais aussi une vraie recherche d'authenticité sonore. Alors, aujourd'hui, on va explorer un peu ce monde fascinant des vinyles de collection. Pourquoi est-ce que certains disques pannent une petite fortune ? Quels sont ces trésors qui dorment peut-être chez les gens ? Pour ça, on s'est appuyé sur des articles du blog Nos Années Vintage. Ils détaillent bien les vinyles les plus recherchés, les facteurs de valeur. Notre idée ? c'est de comprendre ce qui fait qu'un vinyle devient précieux, découvrir quelques exemples emblématiques et, qui sait, regarder sa propre collection un peu différemment. Allez, on se lance dans cet univers.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. Et la valeur d'un vinyle, c'est vraiment un cocktail complexe. Bien sûr, il y a la rareté, ça c'est évident. Mais il y a aussi l'état, ça c'est crucial. Le disque et la pochette, impeccable. Le pressage aussi, ça joue énormément. Est-ce que c'est la toute première édition ? Et puis, il y a la demande actuelle, certaines particularités du disque et même sa provenance. Où il vient ?

  • Speaker #0

    La rareté, d'accord, ça semble logique. Mais j'ai l'impression que parfois, c'est juste le nom de l'artiste qui fait tout. Même si le disque n'est pas si rare. Ou alors c'est vraiment l'édition limitée, celle qui a été retirée de la vente, qui fait tout exploser.

  • Speaker #1

    C'est un peu des deux, en fait. C'est un équilibre. La notoriété, ça crée une base, une demande constante. Mais c'est la rareté extrême. qui fait vraiment flamber les prix. Prenez par exemple God Save the Queen des Sex Pistols, la version sur le label AMM. Retirez presque tout de suite, 99% des exemplaires détruits, si vous en trouvez un, ça peut dépasser les 15 000 euros.

  • Speaker #0

    Ah oui, quand même.

  • Speaker #1

    Ou alors le Black Album de Prince, annulé par Prince lui-même juste avant la sortie. Les quelques copies qui ont survécu, ça vaut plus de 27 500 dollars. Là, c'est l'histoire qui crée la rareté. Mais même pour des artistes très connus, Un premier pressage un peu limité, sorti juste avant le succès, comme le Love Me Do des Beatles, avant qu'il ne devienne planétaire, eh bien c'est très recherché.

  • Speaker #0

    Et l'état, vous disiez, crucial. Un disque avec quelques rayures, un peu écouté, ça perd toute sa valeur alors ?

  • Speaker #1

    Pas forcément toute sa valeur, non, mais ça chute. Ça chute vite et fort. L'idéal, le top, c'est l'état mint, neuf, jamais écouté ou presque. Et ça vaut pour le disque, mais aussi pour la pochette. Pas de coin corné. Pas d'écriture. Après, bien sûr, l'artiste joue. Beatles, Elvis, Bowie, c'est des valeurs sûres. Mais en France aussi, attention, un premier pressage de Histoire de Mélodie Nelson de Gainsbourg, s'il est parfait, ça peut approcher les 2000 euros. Un Retien la nuit de Halidé, pareil, autour de 1000 euros.

  • Speaker #0

    Gainsbourg, Halidé, ah oui, ça nous ramène en arrière. On sortait le disque de sa pochette, on le posait délicatement sur la platine. C'était tout un rituel l'écoute d'un vinyle. Rien à voir avec cliquer sur un fichier numérique.

  • Speaker #1

    C'est exactement ça. Ce rapport à l'objet, à la pochette qu'on regardait pendant l'écoute. Ça fait partie de l'attrait aujourd'hui. C'est quelque chose de tangible. Et c'est là que le pressage devient si important. Le premier est souvent vu comme le plus authentique, le plus proche de l'intention de l'artiste. Le premier Led Zeppelin au Royaume-Uni avec le logo turquoise sur l'étiquette. Oui. Ça peut monter jusqu'à 30 000 euros.

  • Speaker #0

    Incroyable.

  • Speaker #1

    Ou une version alternative de The Freewheeling Bob Dylan avec des chansons qui ont été retirées ensuite. 35 000 dollars. Les petits détails comptent. Le numéro de matrice gravé près du centre, le label exact. C'est un vrai travail de détective parfois.

  • Speaker #0

    Et la demande du marché, elle évolue. Il y a des modes dans les vinyles de collection ?

  • Speaker #1

    Ah oui, clairement. Certains genres sont plus recherchés à certaines périodes. Le jazz Miles Davis, Coltrane, ça reste très demandé. Le funk aussi, James Brown. En partie parce qu'ils sont beaucoup samplés dans l'hip-hop, ça les remet en lumière. Le rock des années 60-70, le punk, ça reste des valeurs sûres. Et puis il y a les petites pépites, les particularités. Les vinyles colorés, par exemple. Le Bohemian Rhapsody de Queen en vinyle bleu, limité à 200 exemplaires, plus de 6000 euros.

  • Speaker #0

    Juste pour la couleur ?

  • Speaker #1

    Pour la couleur et la rareté, oui. Ou la pochette du Velvet Underground avec la banane de Warhol. Si la banane est encore pelable et en bon état, Ça grimpe à plus de 9000 dollars. Même une erreur de pressage, une faute sur l'étiquette, ça peut créer de la valeur. Ou des éditions spécifiques de certains pays, comme le Japon ou l'Afrique du Sud.

  • Speaker #0

    Et il y a ces cas un peu extrêmes, non ? Comme cet album unique du Wu-Tang Clan ?

  • Speaker #1

    Oui, Once Upon a Time in Shaolin. Un seul et unique exemplaire, vendu 2 millions de dollars. Bon, c'était aussi un geste artistique, une protestation contre la musique devenue trop jetable.

  • Speaker #0

    Une démarche conceptuelle en somme. Voilà.

  • Speaker #1

    Plus classiquement, le tout premier enregistrement d'Elvis Presley, My Happiness. C'était un acetate, une pièce unique, vendu plus de 300 000 dollars. Et même des albums plus récents. Bleach de Nirvana, le tout premier pressage sur ce pop, il est très recherché. En France aussi, on a nos trésors cachés. Certains pressages sur Pat et Marconi, Barclay, Vogue, surtout dans le funk, le jazz rare groove, ça peut valoir plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #0

    D'accord, mais alors comment on fait pour savoir si on n'a pas une de ces pépites chez soi sans savoir ?

  • Speaker #1

    Heureusement, il y a des outils aujourd'hui. Le site Discog, c'est la référence mondiale. Une base de données énorme avec l'historique des ventes, ça donne une bonne idée. Il y a aussi Poppsike qui archive les résultats des ventes aux enchères passées. Pour la France, on a le Jubebox Magazine qui publie des codes. Il y a même des applis comme Vinyl Value App. Et puis, il faut parler aux passionnés, aller sur les forums.

  • Speaker #0

    Et pour les trouver physiquement, ces disques ? Ah,

  • Speaker #1

    là, c'est le plaisir de la Chine. Les marchés aux puces, les brocantes, les disquaires spécialisés, bien sûr. Des endroits comme Bettino's à Paris ou le mythique Amweb à Records à Los Angeles. Et les ventes aux enchères spécialisées. Donc, pour résumer, on voit bien que la valeur d'un vinyle, c'est un mélange, un alliage assez complexe entre la rareté pure, l'état de conservation, l'histoire du disque, le pressage et puis le désir du marché à un moment T. Mais souvent, pour le collectionneur, c'est la passion qui prime. La passion pour l'objet, pour l'histoire, pour la musique. Même si, oui, l'aspect investissement existe pour les pièces vraiment rares.

  • Speaker #0

    C'est vrai que cette quête d'objets physiques, d'artefacts musicaux... À notre époque où tout est dématérialisé, ça interpelle. Qu'est-ce que ça nous dit de notre besoin de lien, de connexion tangible avec la musique, au-delà de juste la consommer ? L'histoire de cet album unique du Wootentent, par exemple, ça pousse à réfléchir, non ? La musique, comme une œuvre d'art, presque unie face à sa diffusion de masse immatérielle.

  • Speaker #1

    Vous venez d'écouter le second épisode du podcast Nos Années Vintage. En attendant le prochain épisode, faites un tour sur notre site internet.

Description

Pourquoi certains vinyles se vendent-ils à des milliers d’euros ? Du White Album des Beatles à une édition interdite des Sex Pistols, ce deuxième épisode de Nos Années Vintage vous plonge dans l’univers fascinant des disques de collection. Rareté, état, pressage, anecdotes incroyables et conseils pour estimer vos trésors oubliés… Une exploration entre passion musicale, nostalgie et véritables objets d’art.
🎙️ À écouter si vous avez une platine… ou juste un peu de curiosité !

👉 Abonnez-vous et retrouvez plus d’articles et d’histoires sur nosanneesvintage.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le blog Nos années vintage vous propose une série de podcasts autour de personnalités, d'objets cultes et d'événements marquants. Voici le second épisode consacré aux disques vinyles les plus recherchés. Quand on voit ce White Album des Beatles, l'exemplaire numéro 1 de Ringo Starr, parti pour plus de 645 000 euros, c'est fou non ? Qui aurait pu imaginer un tel retour en force du vinyle ? On sent bien ce mélange de nostalgie, mais aussi une vraie recherche d'authenticité sonore. Alors, aujourd'hui, on va explorer un peu ce monde fascinant des vinyles de collection. Pourquoi est-ce que certains disques pannent une petite fortune ? Quels sont ces trésors qui dorment peut-être chez les gens ? Pour ça, on s'est appuyé sur des articles du blog Nos Années Vintage. Ils détaillent bien les vinyles les plus recherchés, les facteurs de valeur. Notre idée ? c'est de comprendre ce qui fait qu'un vinyle devient précieux, découvrir quelques exemples emblématiques et, qui sait, regarder sa propre collection un peu différemment. Allez, on se lance dans cet univers.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. Et la valeur d'un vinyle, c'est vraiment un cocktail complexe. Bien sûr, il y a la rareté, ça c'est évident. Mais il y a aussi l'état, ça c'est crucial. Le disque et la pochette, impeccable. Le pressage aussi, ça joue énormément. Est-ce que c'est la toute première édition ? Et puis, il y a la demande actuelle, certaines particularités du disque et même sa provenance. Où il vient ?

  • Speaker #0

    La rareté, d'accord, ça semble logique. Mais j'ai l'impression que parfois, c'est juste le nom de l'artiste qui fait tout. Même si le disque n'est pas si rare. Ou alors c'est vraiment l'édition limitée, celle qui a été retirée de la vente, qui fait tout exploser.

  • Speaker #1

    C'est un peu des deux, en fait. C'est un équilibre. La notoriété, ça crée une base, une demande constante. Mais c'est la rareté extrême. qui fait vraiment flamber les prix. Prenez par exemple God Save the Queen des Sex Pistols, la version sur le label AMM. Retirez presque tout de suite, 99% des exemplaires détruits, si vous en trouvez un, ça peut dépasser les 15 000 euros.

  • Speaker #0

    Ah oui, quand même.

  • Speaker #1

    Ou alors le Black Album de Prince, annulé par Prince lui-même juste avant la sortie. Les quelques copies qui ont survécu, ça vaut plus de 27 500 dollars. Là, c'est l'histoire qui crée la rareté. Mais même pour des artistes très connus, Un premier pressage un peu limité, sorti juste avant le succès, comme le Love Me Do des Beatles, avant qu'il ne devienne planétaire, eh bien c'est très recherché.

  • Speaker #0

    Et l'état, vous disiez, crucial. Un disque avec quelques rayures, un peu écouté, ça perd toute sa valeur alors ?

  • Speaker #1

    Pas forcément toute sa valeur, non, mais ça chute. Ça chute vite et fort. L'idéal, le top, c'est l'état mint, neuf, jamais écouté ou presque. Et ça vaut pour le disque, mais aussi pour la pochette. Pas de coin corné. Pas d'écriture. Après, bien sûr, l'artiste joue. Beatles, Elvis, Bowie, c'est des valeurs sûres. Mais en France aussi, attention, un premier pressage de Histoire de Mélodie Nelson de Gainsbourg, s'il est parfait, ça peut approcher les 2000 euros. Un Retien la nuit de Halidé, pareil, autour de 1000 euros.

  • Speaker #0

    Gainsbourg, Halidé, ah oui, ça nous ramène en arrière. On sortait le disque de sa pochette, on le posait délicatement sur la platine. C'était tout un rituel l'écoute d'un vinyle. Rien à voir avec cliquer sur un fichier numérique.

  • Speaker #1

    C'est exactement ça. Ce rapport à l'objet, à la pochette qu'on regardait pendant l'écoute. Ça fait partie de l'attrait aujourd'hui. C'est quelque chose de tangible. Et c'est là que le pressage devient si important. Le premier est souvent vu comme le plus authentique, le plus proche de l'intention de l'artiste. Le premier Led Zeppelin au Royaume-Uni avec le logo turquoise sur l'étiquette. Oui. Ça peut monter jusqu'à 30 000 euros.

  • Speaker #0

    Incroyable.

  • Speaker #1

    Ou une version alternative de The Freewheeling Bob Dylan avec des chansons qui ont été retirées ensuite. 35 000 dollars. Les petits détails comptent. Le numéro de matrice gravé près du centre, le label exact. C'est un vrai travail de détective parfois.

  • Speaker #0

    Et la demande du marché, elle évolue. Il y a des modes dans les vinyles de collection ?

  • Speaker #1

    Ah oui, clairement. Certains genres sont plus recherchés à certaines périodes. Le jazz Miles Davis, Coltrane, ça reste très demandé. Le funk aussi, James Brown. En partie parce qu'ils sont beaucoup samplés dans l'hip-hop, ça les remet en lumière. Le rock des années 60-70, le punk, ça reste des valeurs sûres. Et puis il y a les petites pépites, les particularités. Les vinyles colorés, par exemple. Le Bohemian Rhapsody de Queen en vinyle bleu, limité à 200 exemplaires, plus de 6000 euros.

  • Speaker #0

    Juste pour la couleur ?

  • Speaker #1

    Pour la couleur et la rareté, oui. Ou la pochette du Velvet Underground avec la banane de Warhol. Si la banane est encore pelable et en bon état, Ça grimpe à plus de 9000 dollars. Même une erreur de pressage, une faute sur l'étiquette, ça peut créer de la valeur. Ou des éditions spécifiques de certains pays, comme le Japon ou l'Afrique du Sud.

  • Speaker #0

    Et il y a ces cas un peu extrêmes, non ? Comme cet album unique du Wu-Tang Clan ?

  • Speaker #1

    Oui, Once Upon a Time in Shaolin. Un seul et unique exemplaire, vendu 2 millions de dollars. Bon, c'était aussi un geste artistique, une protestation contre la musique devenue trop jetable.

  • Speaker #0

    Une démarche conceptuelle en somme. Voilà.

  • Speaker #1

    Plus classiquement, le tout premier enregistrement d'Elvis Presley, My Happiness. C'était un acetate, une pièce unique, vendu plus de 300 000 dollars. Et même des albums plus récents. Bleach de Nirvana, le tout premier pressage sur ce pop, il est très recherché. En France aussi, on a nos trésors cachés. Certains pressages sur Pat et Marconi, Barclay, Vogue, surtout dans le funk, le jazz rare groove, ça peut valoir plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #0

    D'accord, mais alors comment on fait pour savoir si on n'a pas une de ces pépites chez soi sans savoir ?

  • Speaker #1

    Heureusement, il y a des outils aujourd'hui. Le site Discog, c'est la référence mondiale. Une base de données énorme avec l'historique des ventes, ça donne une bonne idée. Il y a aussi Poppsike qui archive les résultats des ventes aux enchères passées. Pour la France, on a le Jubebox Magazine qui publie des codes. Il y a même des applis comme Vinyl Value App. Et puis, il faut parler aux passionnés, aller sur les forums.

  • Speaker #0

    Et pour les trouver physiquement, ces disques ? Ah,

  • Speaker #1

    là, c'est le plaisir de la Chine. Les marchés aux puces, les brocantes, les disquaires spécialisés, bien sûr. Des endroits comme Bettino's à Paris ou le mythique Amweb à Records à Los Angeles. Et les ventes aux enchères spécialisées. Donc, pour résumer, on voit bien que la valeur d'un vinyle, c'est un mélange, un alliage assez complexe entre la rareté pure, l'état de conservation, l'histoire du disque, le pressage et puis le désir du marché à un moment T. Mais souvent, pour le collectionneur, c'est la passion qui prime. La passion pour l'objet, pour l'histoire, pour la musique. Même si, oui, l'aspect investissement existe pour les pièces vraiment rares.

  • Speaker #0

    C'est vrai que cette quête d'objets physiques, d'artefacts musicaux... À notre époque où tout est dématérialisé, ça interpelle. Qu'est-ce que ça nous dit de notre besoin de lien, de connexion tangible avec la musique, au-delà de juste la consommer ? L'histoire de cet album unique du Wootentent, par exemple, ça pousse à réfléchir, non ? La musique, comme une œuvre d'art, presque unie face à sa diffusion de masse immatérielle.

  • Speaker #1

    Vous venez d'écouter le second épisode du podcast Nos Années Vintage. En attendant le prochain épisode, faites un tour sur notre site internet.

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Pourquoi certains vinyles se vendent-ils à des milliers d’euros ? Du White Album des Beatles à une édition interdite des Sex Pistols, ce deuxième épisode de Nos Années Vintage vous plonge dans l’univers fascinant des disques de collection. Rareté, état, pressage, anecdotes incroyables et conseils pour estimer vos trésors oubliés… Une exploration entre passion musicale, nostalgie et véritables objets d’art.
🎙️ À écouter si vous avez une platine… ou juste un peu de curiosité !

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  • Speaker #0

    Le blog Nos années vintage vous propose une série de podcasts autour de personnalités, d'objets cultes et d'événements marquants. Voici le second épisode consacré aux disques vinyles les plus recherchés. Quand on voit ce White Album des Beatles, l'exemplaire numéro 1 de Ringo Starr, parti pour plus de 645 000 euros, c'est fou non ? Qui aurait pu imaginer un tel retour en force du vinyle ? On sent bien ce mélange de nostalgie, mais aussi une vraie recherche d'authenticité sonore. Alors, aujourd'hui, on va explorer un peu ce monde fascinant des vinyles de collection. Pourquoi est-ce que certains disques pannent une petite fortune ? Quels sont ces trésors qui dorment peut-être chez les gens ? Pour ça, on s'est appuyé sur des articles du blog Nos Années Vintage. Ils détaillent bien les vinyles les plus recherchés, les facteurs de valeur. Notre idée ? c'est de comprendre ce qui fait qu'un vinyle devient précieux, découvrir quelques exemples emblématiques et, qui sait, regarder sa propre collection un peu différemment. Allez, on se lance dans cet univers.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. Et la valeur d'un vinyle, c'est vraiment un cocktail complexe. Bien sûr, il y a la rareté, ça c'est évident. Mais il y a aussi l'état, ça c'est crucial. Le disque et la pochette, impeccable. Le pressage aussi, ça joue énormément. Est-ce que c'est la toute première édition ? Et puis, il y a la demande actuelle, certaines particularités du disque et même sa provenance. Où il vient ?

  • Speaker #0

    La rareté, d'accord, ça semble logique. Mais j'ai l'impression que parfois, c'est juste le nom de l'artiste qui fait tout. Même si le disque n'est pas si rare. Ou alors c'est vraiment l'édition limitée, celle qui a été retirée de la vente, qui fait tout exploser.

  • Speaker #1

    C'est un peu des deux, en fait. C'est un équilibre. La notoriété, ça crée une base, une demande constante. Mais c'est la rareté extrême. qui fait vraiment flamber les prix. Prenez par exemple God Save the Queen des Sex Pistols, la version sur le label AMM. Retirez presque tout de suite, 99% des exemplaires détruits, si vous en trouvez un, ça peut dépasser les 15 000 euros.

  • Speaker #0

    Ah oui, quand même.

  • Speaker #1

    Ou alors le Black Album de Prince, annulé par Prince lui-même juste avant la sortie. Les quelques copies qui ont survécu, ça vaut plus de 27 500 dollars. Là, c'est l'histoire qui crée la rareté. Mais même pour des artistes très connus, Un premier pressage un peu limité, sorti juste avant le succès, comme le Love Me Do des Beatles, avant qu'il ne devienne planétaire, eh bien c'est très recherché.

  • Speaker #0

    Et l'état, vous disiez, crucial. Un disque avec quelques rayures, un peu écouté, ça perd toute sa valeur alors ?

  • Speaker #1

    Pas forcément toute sa valeur, non, mais ça chute. Ça chute vite et fort. L'idéal, le top, c'est l'état mint, neuf, jamais écouté ou presque. Et ça vaut pour le disque, mais aussi pour la pochette. Pas de coin corné. Pas d'écriture. Après, bien sûr, l'artiste joue. Beatles, Elvis, Bowie, c'est des valeurs sûres. Mais en France aussi, attention, un premier pressage de Histoire de Mélodie Nelson de Gainsbourg, s'il est parfait, ça peut approcher les 2000 euros. Un Retien la nuit de Halidé, pareil, autour de 1000 euros.

  • Speaker #0

    Gainsbourg, Halidé, ah oui, ça nous ramène en arrière. On sortait le disque de sa pochette, on le posait délicatement sur la platine. C'était tout un rituel l'écoute d'un vinyle. Rien à voir avec cliquer sur un fichier numérique.

  • Speaker #1

    C'est exactement ça. Ce rapport à l'objet, à la pochette qu'on regardait pendant l'écoute. Ça fait partie de l'attrait aujourd'hui. C'est quelque chose de tangible. Et c'est là que le pressage devient si important. Le premier est souvent vu comme le plus authentique, le plus proche de l'intention de l'artiste. Le premier Led Zeppelin au Royaume-Uni avec le logo turquoise sur l'étiquette. Oui. Ça peut monter jusqu'à 30 000 euros.

  • Speaker #0

    Incroyable.

  • Speaker #1

    Ou une version alternative de The Freewheeling Bob Dylan avec des chansons qui ont été retirées ensuite. 35 000 dollars. Les petits détails comptent. Le numéro de matrice gravé près du centre, le label exact. C'est un vrai travail de détective parfois.

  • Speaker #0

    Et la demande du marché, elle évolue. Il y a des modes dans les vinyles de collection ?

  • Speaker #1

    Ah oui, clairement. Certains genres sont plus recherchés à certaines périodes. Le jazz Miles Davis, Coltrane, ça reste très demandé. Le funk aussi, James Brown. En partie parce qu'ils sont beaucoup samplés dans l'hip-hop, ça les remet en lumière. Le rock des années 60-70, le punk, ça reste des valeurs sûres. Et puis il y a les petites pépites, les particularités. Les vinyles colorés, par exemple. Le Bohemian Rhapsody de Queen en vinyle bleu, limité à 200 exemplaires, plus de 6000 euros.

  • Speaker #0

    Juste pour la couleur ?

  • Speaker #1

    Pour la couleur et la rareté, oui. Ou la pochette du Velvet Underground avec la banane de Warhol. Si la banane est encore pelable et en bon état, Ça grimpe à plus de 9000 dollars. Même une erreur de pressage, une faute sur l'étiquette, ça peut créer de la valeur. Ou des éditions spécifiques de certains pays, comme le Japon ou l'Afrique du Sud.

  • Speaker #0

    Et il y a ces cas un peu extrêmes, non ? Comme cet album unique du Wu-Tang Clan ?

  • Speaker #1

    Oui, Once Upon a Time in Shaolin. Un seul et unique exemplaire, vendu 2 millions de dollars. Bon, c'était aussi un geste artistique, une protestation contre la musique devenue trop jetable.

  • Speaker #0

    Une démarche conceptuelle en somme. Voilà.

  • Speaker #1

    Plus classiquement, le tout premier enregistrement d'Elvis Presley, My Happiness. C'était un acetate, une pièce unique, vendu plus de 300 000 dollars. Et même des albums plus récents. Bleach de Nirvana, le tout premier pressage sur ce pop, il est très recherché. En France aussi, on a nos trésors cachés. Certains pressages sur Pat et Marconi, Barclay, Vogue, surtout dans le funk, le jazz rare groove, ça peut valoir plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #0

    D'accord, mais alors comment on fait pour savoir si on n'a pas une de ces pépites chez soi sans savoir ?

  • Speaker #1

    Heureusement, il y a des outils aujourd'hui. Le site Discog, c'est la référence mondiale. Une base de données énorme avec l'historique des ventes, ça donne une bonne idée. Il y a aussi Poppsike qui archive les résultats des ventes aux enchères passées. Pour la France, on a le Jubebox Magazine qui publie des codes. Il y a même des applis comme Vinyl Value App. Et puis, il faut parler aux passionnés, aller sur les forums.

  • Speaker #0

    Et pour les trouver physiquement, ces disques ? Ah,

  • Speaker #1

    là, c'est le plaisir de la Chine. Les marchés aux puces, les brocantes, les disquaires spécialisés, bien sûr. Des endroits comme Bettino's à Paris ou le mythique Amweb à Records à Los Angeles. Et les ventes aux enchères spécialisées. Donc, pour résumer, on voit bien que la valeur d'un vinyle, c'est un mélange, un alliage assez complexe entre la rareté pure, l'état de conservation, l'histoire du disque, le pressage et puis le désir du marché à un moment T. Mais souvent, pour le collectionneur, c'est la passion qui prime. La passion pour l'objet, pour l'histoire, pour la musique. Même si, oui, l'aspect investissement existe pour les pièces vraiment rares.

  • Speaker #0

    C'est vrai que cette quête d'objets physiques, d'artefacts musicaux... À notre époque où tout est dématérialisé, ça interpelle. Qu'est-ce que ça nous dit de notre besoin de lien, de connexion tangible avec la musique, au-delà de juste la consommer ? L'histoire de cet album unique du Wootentent, par exemple, ça pousse à réfléchir, non ? La musique, comme une œuvre d'art, presque unie face à sa diffusion de masse immatérielle.

  • Speaker #1

    Vous venez d'écouter le second épisode du podcast Nos Années Vintage. En attendant le prochain épisode, faites un tour sur notre site internet.

Description

Pourquoi certains vinyles se vendent-ils à des milliers d’euros ? Du White Album des Beatles à une édition interdite des Sex Pistols, ce deuxième épisode de Nos Années Vintage vous plonge dans l’univers fascinant des disques de collection. Rareté, état, pressage, anecdotes incroyables et conseils pour estimer vos trésors oubliés… Une exploration entre passion musicale, nostalgie et véritables objets d’art.
🎙️ À écouter si vous avez une platine… ou juste un peu de curiosité !

👉 Abonnez-vous et retrouvez plus d’articles et d’histoires sur nosanneesvintage.fr


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le blog Nos années vintage vous propose une série de podcasts autour de personnalités, d'objets cultes et d'événements marquants. Voici le second épisode consacré aux disques vinyles les plus recherchés. Quand on voit ce White Album des Beatles, l'exemplaire numéro 1 de Ringo Starr, parti pour plus de 645 000 euros, c'est fou non ? Qui aurait pu imaginer un tel retour en force du vinyle ? On sent bien ce mélange de nostalgie, mais aussi une vraie recherche d'authenticité sonore. Alors, aujourd'hui, on va explorer un peu ce monde fascinant des vinyles de collection. Pourquoi est-ce que certains disques pannent une petite fortune ? Quels sont ces trésors qui dorment peut-être chez les gens ? Pour ça, on s'est appuyé sur des articles du blog Nos Années Vintage. Ils détaillent bien les vinyles les plus recherchés, les facteurs de valeur. Notre idée ? c'est de comprendre ce qui fait qu'un vinyle devient précieux, découvrir quelques exemples emblématiques et, qui sait, regarder sa propre collection un peu différemment. Allez, on se lance dans cet univers.

  • Speaker #1

    Oui, tout à fait. Et la valeur d'un vinyle, c'est vraiment un cocktail complexe. Bien sûr, il y a la rareté, ça c'est évident. Mais il y a aussi l'état, ça c'est crucial. Le disque et la pochette, impeccable. Le pressage aussi, ça joue énormément. Est-ce que c'est la toute première édition ? Et puis, il y a la demande actuelle, certaines particularités du disque et même sa provenance. Où il vient ?

  • Speaker #0

    La rareté, d'accord, ça semble logique. Mais j'ai l'impression que parfois, c'est juste le nom de l'artiste qui fait tout. Même si le disque n'est pas si rare. Ou alors c'est vraiment l'édition limitée, celle qui a été retirée de la vente, qui fait tout exploser.

  • Speaker #1

    C'est un peu des deux, en fait. C'est un équilibre. La notoriété, ça crée une base, une demande constante. Mais c'est la rareté extrême. qui fait vraiment flamber les prix. Prenez par exemple God Save the Queen des Sex Pistols, la version sur le label AMM. Retirez presque tout de suite, 99% des exemplaires détruits, si vous en trouvez un, ça peut dépasser les 15 000 euros.

  • Speaker #0

    Ah oui, quand même.

  • Speaker #1

    Ou alors le Black Album de Prince, annulé par Prince lui-même juste avant la sortie. Les quelques copies qui ont survécu, ça vaut plus de 27 500 dollars. Là, c'est l'histoire qui crée la rareté. Mais même pour des artistes très connus, Un premier pressage un peu limité, sorti juste avant le succès, comme le Love Me Do des Beatles, avant qu'il ne devienne planétaire, eh bien c'est très recherché.

  • Speaker #0

    Et l'état, vous disiez, crucial. Un disque avec quelques rayures, un peu écouté, ça perd toute sa valeur alors ?

  • Speaker #1

    Pas forcément toute sa valeur, non, mais ça chute. Ça chute vite et fort. L'idéal, le top, c'est l'état mint, neuf, jamais écouté ou presque. Et ça vaut pour le disque, mais aussi pour la pochette. Pas de coin corné. Pas d'écriture. Après, bien sûr, l'artiste joue. Beatles, Elvis, Bowie, c'est des valeurs sûres. Mais en France aussi, attention, un premier pressage de Histoire de Mélodie Nelson de Gainsbourg, s'il est parfait, ça peut approcher les 2000 euros. Un Retien la nuit de Halidé, pareil, autour de 1000 euros.

  • Speaker #0

    Gainsbourg, Halidé, ah oui, ça nous ramène en arrière. On sortait le disque de sa pochette, on le posait délicatement sur la platine. C'était tout un rituel l'écoute d'un vinyle. Rien à voir avec cliquer sur un fichier numérique.

  • Speaker #1

    C'est exactement ça. Ce rapport à l'objet, à la pochette qu'on regardait pendant l'écoute. Ça fait partie de l'attrait aujourd'hui. C'est quelque chose de tangible. Et c'est là que le pressage devient si important. Le premier est souvent vu comme le plus authentique, le plus proche de l'intention de l'artiste. Le premier Led Zeppelin au Royaume-Uni avec le logo turquoise sur l'étiquette. Oui. Ça peut monter jusqu'à 30 000 euros.

  • Speaker #0

    Incroyable.

  • Speaker #1

    Ou une version alternative de The Freewheeling Bob Dylan avec des chansons qui ont été retirées ensuite. 35 000 dollars. Les petits détails comptent. Le numéro de matrice gravé près du centre, le label exact. C'est un vrai travail de détective parfois.

  • Speaker #0

    Et la demande du marché, elle évolue. Il y a des modes dans les vinyles de collection ?

  • Speaker #1

    Ah oui, clairement. Certains genres sont plus recherchés à certaines périodes. Le jazz Miles Davis, Coltrane, ça reste très demandé. Le funk aussi, James Brown. En partie parce qu'ils sont beaucoup samplés dans l'hip-hop, ça les remet en lumière. Le rock des années 60-70, le punk, ça reste des valeurs sûres. Et puis il y a les petites pépites, les particularités. Les vinyles colorés, par exemple. Le Bohemian Rhapsody de Queen en vinyle bleu, limité à 200 exemplaires, plus de 6000 euros.

  • Speaker #0

    Juste pour la couleur ?

  • Speaker #1

    Pour la couleur et la rareté, oui. Ou la pochette du Velvet Underground avec la banane de Warhol. Si la banane est encore pelable et en bon état, Ça grimpe à plus de 9000 dollars. Même une erreur de pressage, une faute sur l'étiquette, ça peut créer de la valeur. Ou des éditions spécifiques de certains pays, comme le Japon ou l'Afrique du Sud.

  • Speaker #0

    Et il y a ces cas un peu extrêmes, non ? Comme cet album unique du Wu-Tang Clan ?

  • Speaker #1

    Oui, Once Upon a Time in Shaolin. Un seul et unique exemplaire, vendu 2 millions de dollars. Bon, c'était aussi un geste artistique, une protestation contre la musique devenue trop jetable.

  • Speaker #0

    Une démarche conceptuelle en somme. Voilà.

  • Speaker #1

    Plus classiquement, le tout premier enregistrement d'Elvis Presley, My Happiness. C'était un acetate, une pièce unique, vendu plus de 300 000 dollars. Et même des albums plus récents. Bleach de Nirvana, le tout premier pressage sur ce pop, il est très recherché. En France aussi, on a nos trésors cachés. Certains pressages sur Pat et Marconi, Barclay, Vogue, surtout dans le funk, le jazz rare groove, ça peut valoir plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #0

    D'accord, mais alors comment on fait pour savoir si on n'a pas une de ces pépites chez soi sans savoir ?

  • Speaker #1

    Heureusement, il y a des outils aujourd'hui. Le site Discog, c'est la référence mondiale. Une base de données énorme avec l'historique des ventes, ça donne une bonne idée. Il y a aussi Poppsike qui archive les résultats des ventes aux enchères passées. Pour la France, on a le Jubebox Magazine qui publie des codes. Il y a même des applis comme Vinyl Value App. Et puis, il faut parler aux passionnés, aller sur les forums.

  • Speaker #0

    Et pour les trouver physiquement, ces disques ? Ah,

  • Speaker #1

    là, c'est le plaisir de la Chine. Les marchés aux puces, les brocantes, les disquaires spécialisés, bien sûr. Des endroits comme Bettino's à Paris ou le mythique Amweb à Records à Los Angeles. Et les ventes aux enchères spécialisées. Donc, pour résumer, on voit bien que la valeur d'un vinyle, c'est un mélange, un alliage assez complexe entre la rareté pure, l'état de conservation, l'histoire du disque, le pressage et puis le désir du marché à un moment T. Mais souvent, pour le collectionneur, c'est la passion qui prime. La passion pour l'objet, pour l'histoire, pour la musique. Même si, oui, l'aspect investissement existe pour les pièces vraiment rares.

  • Speaker #0

    C'est vrai que cette quête d'objets physiques, d'artefacts musicaux... À notre époque où tout est dématérialisé, ça interpelle. Qu'est-ce que ça nous dit de notre besoin de lien, de connexion tangible avec la musique, au-delà de juste la consommer ? L'histoire de cet album unique du Wootentent, par exemple, ça pousse à réfléchir, non ? La musique, comme une œuvre d'art, presque unie face à sa diffusion de masse immatérielle.

  • Speaker #1

    Vous venez d'écouter le second épisode du podcast Nos Années Vintage. En attendant le prochain épisode, faites un tour sur notre site internet.

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