Campement à haute activité - Retour sur le camp vmc contre le projet de poubelle nucléaire à bure cover
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Les coulisses de la lutte

Campement à haute activité - Retour sur le camp vmc contre le projet de poubelle nucléaire à bure

Campement à haute activité - Retour sur le camp vmc contre le projet de poubelle nucléaire à bure

42min |23/11/2021
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Description

A l’été 2015, dans l’Est de la France à Bure, se tient un camp autogéré, anticapitaliste et auti-autoritaire, qui s’oppose au projet d’enfouissement des déchets radioactifs CIGEO. La préparation minutieuse de ce camp dure un an et l’évènement se passe sur l’ancienne gare de Luméville, terrain convoité par l’agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l’ANDRA.  Ce projet de « poubelle nucléaire » fait face à une forte opposition depuis des décennies.


Plus d’un millier de militant·es, venus d’horizons divers et notamment des luttes contre les grands projets inutiles, se rassemblent à l’occasion de cet évènement, pour discuter, échanger et mener des actions directes décentralisées. Les buts sont multiples : alerter sur le projet en cours. Montrer que la région est loin d’être morte. Donner aux personnes l’envie de s’installer sur le long terme. Visibiliser les enjeux antinucléaires dans le contexte de la COP21, qui se tiendra peu de temps après à Paris. Geste contre le nucléaire, l’organisation de ce camp est aussi une démonstration d’auto-gestion et d’organisation collective autonome à grande échelle.


Comment s’est monté un tel projet ? Dans quelle stratégie globale s’inscrit-il ? Quels liens ont été tissés avec les habitant·es et les organisations locales ? A quoi ce camp a-t-il mené et quel(s) rôle(s) a-t-il joué dans les luttes antinucléaires et écologistes en France ?

Louise et Joël, qui ont participé à cette dynamique, témoignent de leurs vécus au sein de ce collectif et nous livrent dans les détails les étapes de leur lutte.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

A l’été 2015, dans l’Est de la France à Bure, se tient un camp autogéré, anticapitaliste et auti-autoritaire, qui s’oppose au projet d’enfouissement des déchets radioactifs CIGEO. La préparation minutieuse de ce camp dure un an et l’évènement se passe sur l’ancienne gare de Luméville, terrain convoité par l’agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l’ANDRA.  Ce projet de « poubelle nucléaire » fait face à une forte opposition depuis des décennies.


Plus d’un millier de militant·es, venus d’horizons divers et notamment des luttes contre les grands projets inutiles, se rassemblent à l’occasion de cet évènement, pour discuter, échanger et mener des actions directes décentralisées. Les buts sont multiples : alerter sur le projet en cours. Montrer que la région est loin d’être morte. Donner aux personnes l’envie de s’installer sur le long terme. Visibiliser les enjeux antinucléaires dans le contexte de la COP21, qui se tiendra peu de temps après à Paris. Geste contre le nucléaire, l’organisation de ce camp est aussi une démonstration d’auto-gestion et d’organisation collective autonome à grande échelle.


Comment s’est monté un tel projet ? Dans quelle stratégie globale s’inscrit-il ? Quels liens ont été tissés avec les habitant·es et les organisations locales ? A quoi ce camp a-t-il mené et quel(s) rôle(s) a-t-il joué dans les luttes antinucléaires et écologistes en France ?

Louise et Joël, qui ont participé à cette dynamique, témoignent de leurs vécus au sein de ce collectif et nous livrent dans les détails les étapes de leur lutte.


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A l’été 2015, dans l’Est de la France à Bure, se tient un camp autogéré, anticapitaliste et auti-autoritaire, qui s’oppose au projet d’enfouissement des déchets radioactifs CIGEO. La préparation minutieuse de ce camp dure un an et l’évènement se passe sur l’ancienne gare de Luméville, terrain convoité par l’agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l’ANDRA.  Ce projet de « poubelle nucléaire » fait face à une forte opposition depuis des décennies.


Plus d’un millier de militant·es, venus d’horizons divers et notamment des luttes contre les grands projets inutiles, se rassemblent à l’occasion de cet évènement, pour discuter, échanger et mener des actions directes décentralisées. Les buts sont multiples : alerter sur le projet en cours. Montrer que la région est loin d’être morte. Donner aux personnes l’envie de s’installer sur le long terme. Visibiliser les enjeux antinucléaires dans le contexte de la COP21, qui se tiendra peu de temps après à Paris. Geste contre le nucléaire, l’organisation de ce camp est aussi une démonstration d’auto-gestion et d’organisation collective autonome à grande échelle.


Comment s’est monté un tel projet ? Dans quelle stratégie globale s’inscrit-il ? Quels liens ont été tissés avec les habitant·es et les organisations locales ? A quoi ce camp a-t-il mené et quel(s) rôle(s) a-t-il joué dans les luttes antinucléaires et écologistes en France ?

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A l’été 2015, dans l’Est de la France à Bure, se tient un camp autogéré, anticapitaliste et auti-autoritaire, qui s’oppose au projet d’enfouissement des déchets radioactifs CIGEO. La préparation minutieuse de ce camp dure un an et l’évènement se passe sur l’ancienne gare de Luméville, terrain convoité par l’agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, l’ANDRA.  Ce projet de « poubelle nucléaire » fait face à une forte opposition depuis des décennies.


Plus d’un millier de militant·es, venus d’horizons divers et notamment des luttes contre les grands projets inutiles, se rassemblent à l’occasion de cet évènement, pour discuter, échanger et mener des actions directes décentralisées. Les buts sont multiples : alerter sur le projet en cours. Montrer que la région est loin d’être morte. Donner aux personnes l’envie de s’installer sur le long terme. Visibiliser les enjeux antinucléaires dans le contexte de la COP21, qui se tiendra peu de temps après à Paris. Geste contre le nucléaire, l’organisation de ce camp est aussi une démonstration d’auto-gestion et d’organisation collective autonome à grande échelle.


Comment s’est monté un tel projet ? Dans quelle stratégie globale s’inscrit-il ? Quels liens ont été tissés avec les habitant·es et les organisations locales ? A quoi ce camp a-t-il mené et quel(s) rôle(s) a-t-il joué dans les luttes antinucléaires et écologistes en France ?

Louise et Joël, qui ont participé à cette dynamique, témoignent de leurs vécus au sein de ce collectif et nous livrent dans les détails les étapes de leur lutte.


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