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#11 Olympe de Gouges – La pionnière des droits des femmes guillotinée pour ses idées cover
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Les Icônes du Jour

#11 Olympe de Gouges – La pionnière des droits des femmes guillotinée pour ses idées

#11 Olympe de Gouges – La pionnière des droits des femmes guillotinée pour ses idées

04min |18/08/2025
Play
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Description

🔥Peut-on être condamnée à mort pour avoir demandé l’égalité ?
Et pourquoi la Déclaration des droits de l’homme… oubliait-elle les femmes ?


🎙️Autrice engagée, féministe avant l’heure, Olympe de Gouges ose tout :
– dénoncer l’esclavage,
– défendre le droit au divorce,
– réclamer la citoyenneté pleine et entière pour les femmes.

En 1793, elle paiera ces idées de sa vie.

Un destin brûlant, raconté en moins de 5 minutes.


💌 Écris-moi en commentaire le nom d’une femme qu’on devrait toutes et tous connaître
et n’hésite pas à m’envoyer tes retours sur l’épisode ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans les Icones du jour, le podcast qui répare l'histoire, une femme à la fois. Aujourd'hui, on remonte à la Révolution française. Au collège, j'ai appris les vies et actions de Robespierre, Danton, Marat. Et bien il y a aussi Olympe de Gouges. Elle écrivait pendant que les autres décidaient. Et elle a payé très cher le prix de sa liberté. Olympe de Gouges est née en 1748 à Montauban. Elle était autrice, dramaturge et penseuse politique. Elle s'appelle en réalité Marie Gouze. Issue d'un milieu modeste, elle perd son mari très jeune et refuse de se remarier. Elle quitte Montauban pour Paris. Seule, indépendante, mère d'un petit garçon, elle choisit son nom de plume. Olympe de Gouges. Dans les salons parisiens, elle découvre des idées des Lumières. Rousseau, Voltaire, elle lit tout. Et elle comprend très vite que ces beaux discours oublient quelqu'un, les femmes. À une époque où les femmes n'avaient pas la voix au chapitre, elle prend alors la plume. Et elle écrit. Beaucoup. Elle critique l'esclavage, elle défend les droits des femmes, elle s'en prend aux injustices sociales. En 1791, elle rédige surtout un texte devenu célèbre, la Déclaration des droits des femmes et de la citoyenne. Un manifeste féministe en pleine révolution. Évidemment, ça n'a pas plu à tout le monde. Dans sa déclaration, elle affirme que la femme n'est libre et demeure égale à l'homme en droit. À l'époque, c'est explosif. Elle revendique le droit au divorce, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, et même l'égalité dans l'héritage. En résumé, elle demande à être traitée comme une citoyenne à part entière. Et là, la révolution, si belle en théorie, se ferme comme une huître. Parce que l'égalité, oui, mais entre hommes. Les femmes peuvent tricoter à la tribune, mais pas trop penser. Elle s'attaque aussi à l'esclavage. Dès 1788, elle publie « Réflexions sur les hommes nègres » où elle dénonce la traite des Noirs. Elle écrit pour le théâtre, car c'est un moyen populaire de faire passer des idées. Et dans sa déclaration des droits de la femme, elle parodie volontairement celle de 1789 pour montrer l'absurdité d'exclure la moitié de la population. À travers des formules cinglantes, elle interprète directement les hommes au pouvoir. « Homme, es-tu capable d'être juste ? C'est une femme qui t'en fait la question. » En 1793, Olympe critique Robespierre et plaide pour une démocratie plus inclusive. Elle refuse de se taire, même quand la révolution devient plus radicale. Elle publie « Les trois urnes » . Un texte politique où elle propose aux citoyens de choisir leur régime par référendum. Trop audacieuse, trop indépendante, trop bruyante, le tribunal révolutionnaire ne lui pardonne pas. Elle est arrêtée, jugée, exécutée. Même en prison, elle continue à écrire, à se défendre et à revendiquer ses idées. À 45 ans, elle monte sur l'échafaud avec ce mot célèbre. Si une femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir celui de monter à la tribune. C'est clair, net et très en avant sur son temps. Merci d'avoir écouté les Icones du jour. Elle a été effacée d'Emmanuel pendant des siècles. Aujourd'hui, elle est une figure majeure du féminisme français. En se baladant à Toulouse, Presse, Tévreux, Dijon ou encore Agnières, en passant dans la rue Olympe de Gouges, on se souviendra que derrière ce nom, il y a une femme qui a mis sa vie en jeu, juste pour le droit de dire « je pense » . Alors on continue à la faire entendre. Cet épisode t'a plu ? Alors abonne-toi, partage-le et mets 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Et dis-moi en commentaire le nom d'une femme qu'on devrait tous et toutes connaître. et à demain pour une autre voix qu'on aurait bien aimé entendre plus tôt.

Description

🔥Peut-on être condamnée à mort pour avoir demandé l’égalité ?
Et pourquoi la Déclaration des droits de l’homme… oubliait-elle les femmes ?


🎙️Autrice engagée, féministe avant l’heure, Olympe de Gouges ose tout :
– dénoncer l’esclavage,
– défendre le droit au divorce,
– réclamer la citoyenneté pleine et entière pour les femmes.

En 1793, elle paiera ces idées de sa vie.

Un destin brûlant, raconté en moins de 5 minutes.


💌 Écris-moi en commentaire le nom d’une femme qu’on devrait toutes et tous connaître
et n’hésite pas à m’envoyer tes retours sur l’épisode ici


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    Bienvenue dans les Icones du jour, le podcast qui répare l'histoire, une femme à la fois. Aujourd'hui, on remonte à la Révolution française. Au collège, j'ai appris les vies et actions de Robespierre, Danton, Marat. Et bien il y a aussi Olympe de Gouges. Elle écrivait pendant que les autres décidaient. Et elle a payé très cher le prix de sa liberté. Olympe de Gouges est née en 1748 à Montauban. Elle était autrice, dramaturge et penseuse politique. Elle s'appelle en réalité Marie Gouze. Issue d'un milieu modeste, elle perd son mari très jeune et refuse de se remarier. Elle quitte Montauban pour Paris. Seule, indépendante, mère d'un petit garçon, elle choisit son nom de plume. Olympe de Gouges. Dans les salons parisiens, elle découvre des idées des Lumières. Rousseau, Voltaire, elle lit tout. Et elle comprend très vite que ces beaux discours oublient quelqu'un, les femmes. À une époque où les femmes n'avaient pas la voix au chapitre, elle prend alors la plume. Et elle écrit. Beaucoup. Elle critique l'esclavage, elle défend les droits des femmes, elle s'en prend aux injustices sociales. En 1791, elle rédige surtout un texte devenu célèbre, la Déclaration des droits des femmes et de la citoyenne. Un manifeste féministe en pleine révolution. Évidemment, ça n'a pas plu à tout le monde. Dans sa déclaration, elle affirme que la femme n'est libre et demeure égale à l'homme en droit. À l'époque, c'est explosif. Elle revendique le droit au divorce, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, et même l'égalité dans l'héritage. En résumé, elle demande à être traitée comme une citoyenne à part entière. Et là, la révolution, si belle en théorie, se ferme comme une huître. Parce que l'égalité, oui, mais entre hommes. Les femmes peuvent tricoter à la tribune, mais pas trop penser. Elle s'attaque aussi à l'esclavage. Dès 1788, elle publie « Réflexions sur les hommes nègres » où elle dénonce la traite des Noirs. Elle écrit pour le théâtre, car c'est un moyen populaire de faire passer des idées. Et dans sa déclaration des droits de la femme, elle parodie volontairement celle de 1789 pour montrer l'absurdité d'exclure la moitié de la population. À travers des formules cinglantes, elle interprète directement les hommes au pouvoir. « Homme, es-tu capable d'être juste ? C'est une femme qui t'en fait la question. » En 1793, Olympe critique Robespierre et plaide pour une démocratie plus inclusive. Elle refuse de se taire, même quand la révolution devient plus radicale. Elle publie « Les trois urnes » . Un texte politique où elle propose aux citoyens de choisir leur régime par référendum. Trop audacieuse, trop indépendante, trop bruyante, le tribunal révolutionnaire ne lui pardonne pas. Elle est arrêtée, jugée, exécutée. Même en prison, elle continue à écrire, à se défendre et à revendiquer ses idées. À 45 ans, elle monte sur l'échafaud avec ce mot célèbre. Si une femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir celui de monter à la tribune. C'est clair, net et très en avant sur son temps. Merci d'avoir écouté les Icones du jour. Elle a été effacée d'Emmanuel pendant des siècles. Aujourd'hui, elle est une figure majeure du féminisme français. En se baladant à Toulouse, Presse, Tévreux, Dijon ou encore Agnières, en passant dans la rue Olympe de Gouges, on se souviendra que derrière ce nom, il y a une femme qui a mis sa vie en jeu, juste pour le droit de dire « je pense » . Alors on continue à la faire entendre. Cet épisode t'a plu ? Alors abonne-toi, partage-le et mets 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Et dis-moi en commentaire le nom d'une femme qu'on devrait tous et toutes connaître. et à demain pour une autre voix qu'on aurait bien aimé entendre plus tôt.

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– dénoncer l’esclavage,
– défendre le droit au divorce,
– réclamer la citoyenneté pleine et entière pour les femmes.

En 1793, elle paiera ces idées de sa vie.

Un destin brûlant, raconté en moins de 5 minutes.


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    Bienvenue dans les Icones du jour, le podcast qui répare l'histoire, une femme à la fois. Aujourd'hui, on remonte à la Révolution française. Au collège, j'ai appris les vies et actions de Robespierre, Danton, Marat. Et bien il y a aussi Olympe de Gouges. Elle écrivait pendant que les autres décidaient. Et elle a payé très cher le prix de sa liberté. Olympe de Gouges est née en 1748 à Montauban. Elle était autrice, dramaturge et penseuse politique. Elle s'appelle en réalité Marie Gouze. Issue d'un milieu modeste, elle perd son mari très jeune et refuse de se remarier. Elle quitte Montauban pour Paris. Seule, indépendante, mère d'un petit garçon, elle choisit son nom de plume. Olympe de Gouges. Dans les salons parisiens, elle découvre des idées des Lumières. Rousseau, Voltaire, elle lit tout. Et elle comprend très vite que ces beaux discours oublient quelqu'un, les femmes. À une époque où les femmes n'avaient pas la voix au chapitre, elle prend alors la plume. Et elle écrit. Beaucoup. Elle critique l'esclavage, elle défend les droits des femmes, elle s'en prend aux injustices sociales. En 1791, elle rédige surtout un texte devenu célèbre, la Déclaration des droits des femmes et de la citoyenne. Un manifeste féministe en pleine révolution. Évidemment, ça n'a pas plu à tout le monde. Dans sa déclaration, elle affirme que la femme n'est libre et demeure égale à l'homme en droit. À l'époque, c'est explosif. Elle revendique le droit au divorce, la reconnaissance des enfants nés hors mariage, et même l'égalité dans l'héritage. En résumé, elle demande à être traitée comme une citoyenne à part entière. Et là, la révolution, si belle en théorie, se ferme comme une huître. Parce que l'égalité, oui, mais entre hommes. Les femmes peuvent tricoter à la tribune, mais pas trop penser. Elle s'attaque aussi à l'esclavage. Dès 1788, elle publie « Réflexions sur les hommes nègres » où elle dénonce la traite des Noirs. Elle écrit pour le théâtre, car c'est un moyen populaire de faire passer des idées. Et dans sa déclaration des droits de la femme, elle parodie volontairement celle de 1789 pour montrer l'absurdité d'exclure la moitié de la population. À travers des formules cinglantes, elle interprète directement les hommes au pouvoir. « Homme, es-tu capable d'être juste ? C'est une femme qui t'en fait la question. » En 1793, Olympe critique Robespierre et plaide pour une démocratie plus inclusive. Elle refuse de se taire, même quand la révolution devient plus radicale. Elle publie « Les trois urnes » . Un texte politique où elle propose aux citoyens de choisir leur régime par référendum. Trop audacieuse, trop indépendante, trop bruyante, le tribunal révolutionnaire ne lui pardonne pas. Elle est arrêtée, jugée, exécutée. Même en prison, elle continue à écrire, à se défendre et à revendiquer ses idées. À 45 ans, elle monte sur l'échafaud avec ce mot célèbre. Si une femme a le droit de monter sur l'échafaud, elle doit avoir celui de monter à la tribune. C'est clair, net et très en avant sur son temps. Merci d'avoir écouté les Icones du jour. Elle a été effacée d'Emmanuel pendant des siècles. Aujourd'hui, elle est une figure majeure du féminisme français. En se baladant à Toulouse, Presse, Tévreux, Dijon ou encore Agnières, en passant dans la rue Olympe de Gouges, on se souviendra que derrière ce nom, il y a une femme qui a mis sa vie en jeu, juste pour le droit de dire « je pense » . Alors on continue à la faire entendre. Cet épisode t'a plu ? Alors abonne-toi, partage-le et mets 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Et dis-moi en commentaire le nom d'une femme qu'on devrait tous et toutes connaître. et à demain pour une autre voix qu'on aurait bien aimé entendre plus tôt.

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Et pourquoi la Déclaration des droits de l’homme… oubliait-elle les femmes ?


🎙️Autrice engagée, féministe avant l’heure, Olympe de Gouges ose tout :
– dénoncer l’esclavage,
– défendre le droit au divorce,
– réclamer la citoyenneté pleine et entière pour les femmes.

En 1793, elle paiera ces idées de sa vie.

Un destin brûlant, raconté en moins de 5 minutes.


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