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Les Nouvelles filles de la Campagne.

Extrait//Marguerite "Secouer la poussière et avancer."

Extrait//Marguerite "Secouer la poussière et avancer."

03min |04/12/2024
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Description

🎧 🎧 Voici un extrait du nouvel épisode qui sortira Vendredi matin 📣


Merci à Marguerite pour son témoignage. 🙏


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    On avait envie de venir ici, on s'était dit, pour nos vieux jours, on viendra en Dordogne parce que c'est joli, parce que voilà, il y a de la famille. Et puis un jour, on s'est dit, mais en fait, pourquoi attendre nos vieux jours ? On est libre, on fait ce qu'on veut, on a eu envie de venir, et bien on est venus.

  • Speaker #1

    Tout simplement.

  • Speaker #0

    Voilà. Non, c'est vrai que ça nous a pris d'un coup, il fallait qu'on parte. C'était un appel, c'était puissant, puissant. Il fallait vraiment qu'on était... On ne pouvait plus rester là. Premier janvier, on a dit, ben, on part. Et puis, le 2 juillet, on a jeté ici. La campagne ne signifie pas isolement social. Ça, c'est pas vrai. Par contre, ce qui est vrai, c'est que on ne se sent pas forcément bien là où on arrive. Tout de suite. C'est ça. Nous, quand on est arrivés en Ariège, on avait aussi ce désir-là. Et puis, ça n'a pas marché. Et ben voilà, quand on n'est pas bien à un endroit, on secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs.

  • Speaker #1

    Sympa ton expression. On secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs. C'est la première fois que je l'entends.

  • Speaker #0

    J'ai une conception de la liberté. Je suis libre, je fais ce que je veux. Et si j'ai une envie, je la suis. Et je mets en œuvre ce qu'il faut pour que ça marche. Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est notre vie sociale. Il ne faut pas croire qu'on s'est enterré. Au contraire. Moi, je connais plein de gens, des gens qui sont très valeureux, des gens qui ont une grande richesse intérieure. Et c'est formidable. On a des tas d'amis avec lesquels on peut avoir des échanges en profondeur, avec lesquels on échange des coups de main. Non, vraiment, c'est très, très riche. Et donc, oui, on a besoin des peignes et c'est un savoir-faire qui se perd. Et aujourd'hui, je suis la seule. J'ai dû apprendre toute seule. Donc, j'ai reconstitué mon savoir-faire. J'ai réinventé mon savoir-faire.

  • Speaker #1

    Tu as appris toute seule ? Oui.

  • Speaker #0

    Personne n'a voulu parce que l'autre artisan qui était encore en exercice à l'époque m'a dit, mais vous êtes une femme. Je suis passionnée de... ma vie est dans mes mains et donc j'ai besoin de toucher, j'ai besoin de faire, j'ai besoin de... voilà, donc j'ai besoin de comprendre comment on fait les choses.

  • Speaker #1

    Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Alors vous venez d'entendre Marguerite. une nouvelle vie de la campagne ou presque. Parce qu'en effet, Marguerite a déjà vécu plusieurs expériences de vie en campagne. Déménager, changer de vie, ça ne marche pas forcément du premier coup. Mais c'est justement ce qui rend son histoire intéressante. Dans le premier épisode, Marguerite nous parlera de son parcours, de sa première installation en ruralité, qui n'a pas forcément été très satisfaisante. Mais elle nous parlera aussi de son engouement à réessayer ailleurs. jusqu'à son déménagement en Dordogne où là enfin elle a trouvé un équilibre et un véritable chez-soi. Et dans la seconde partie, on parlera davantage de sa reconversion professionnelle. Et là, attention, tenez-vous bien, je vous promets des surprises, de la nouveauté, voire même un scoop. Car oui, Marguerite est la seule femme en France à faire ce qu'elle fait aujourd'hui. Alors je vous donne rendez-vous vendredi matin à la première heure pour découvrir son histoire incroyable. Allez, je vous laisse. Je vous remercie. Merci Marguerite et à bientôt. Ciao !

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🎧 🎧 Voici un extrait du nouvel épisode qui sortira Vendredi matin 📣


Merci à Marguerite pour son témoignage. 🙏


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  • Speaker #0

    On avait envie de venir ici, on s'était dit, pour nos vieux jours, on viendra en Dordogne parce que c'est joli, parce que voilà, il y a de la famille. Et puis un jour, on s'est dit, mais en fait, pourquoi attendre nos vieux jours ? On est libre, on fait ce qu'on veut, on a eu envie de venir, et bien on est venus.

  • Speaker #1

    Tout simplement.

  • Speaker #0

    Voilà. Non, c'est vrai que ça nous a pris d'un coup, il fallait qu'on parte. C'était un appel, c'était puissant, puissant. Il fallait vraiment qu'on était... On ne pouvait plus rester là. Premier janvier, on a dit, ben, on part. Et puis, le 2 juillet, on a jeté ici. La campagne ne signifie pas isolement social. Ça, c'est pas vrai. Par contre, ce qui est vrai, c'est que on ne se sent pas forcément bien là où on arrive. Tout de suite. C'est ça. Nous, quand on est arrivés en Ariège, on avait aussi ce désir-là. Et puis, ça n'a pas marché. Et ben voilà, quand on n'est pas bien à un endroit, on secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs.

  • Speaker #1

    Sympa ton expression. On secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs. C'est la première fois que je l'entends.

  • Speaker #0

    J'ai une conception de la liberté. Je suis libre, je fais ce que je veux. Et si j'ai une envie, je la suis. Et je mets en œuvre ce qu'il faut pour que ça marche. Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est notre vie sociale. Il ne faut pas croire qu'on s'est enterré. Au contraire. Moi, je connais plein de gens, des gens qui sont très valeureux, des gens qui ont une grande richesse intérieure. Et c'est formidable. On a des tas d'amis avec lesquels on peut avoir des échanges en profondeur, avec lesquels on échange des coups de main. Non, vraiment, c'est très, très riche. Et donc, oui, on a besoin des peignes et c'est un savoir-faire qui se perd. Et aujourd'hui, je suis la seule. J'ai dû apprendre toute seule. Donc, j'ai reconstitué mon savoir-faire. J'ai réinventé mon savoir-faire.

  • Speaker #1

    Tu as appris toute seule ? Oui.

  • Speaker #0

    Personne n'a voulu parce que l'autre artisan qui était encore en exercice à l'époque m'a dit, mais vous êtes une femme. Je suis passionnée de... ma vie est dans mes mains et donc j'ai besoin de toucher, j'ai besoin de faire, j'ai besoin de... voilà, donc j'ai besoin de comprendre comment on fait les choses.

  • Speaker #1

    Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Alors vous venez d'entendre Marguerite. une nouvelle vie de la campagne ou presque. Parce qu'en effet, Marguerite a déjà vécu plusieurs expériences de vie en campagne. Déménager, changer de vie, ça ne marche pas forcément du premier coup. Mais c'est justement ce qui rend son histoire intéressante. Dans le premier épisode, Marguerite nous parlera de son parcours, de sa première installation en ruralité, qui n'a pas forcément été très satisfaisante. Mais elle nous parlera aussi de son engouement à réessayer ailleurs. jusqu'à son déménagement en Dordogne où là enfin elle a trouvé un équilibre et un véritable chez-soi. Et dans la seconde partie, on parlera davantage de sa reconversion professionnelle. Et là, attention, tenez-vous bien, je vous promets des surprises, de la nouveauté, voire même un scoop. Car oui, Marguerite est la seule femme en France à faire ce qu'elle fait aujourd'hui. Alors je vous donne rendez-vous vendredi matin à la première heure pour découvrir son histoire incroyable. Allez, je vous laisse. Je vous remercie. Merci Marguerite et à bientôt. Ciao !

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    On avait envie de venir ici, on s'était dit, pour nos vieux jours, on viendra en Dordogne parce que c'est joli, parce que voilà, il y a de la famille. Et puis un jour, on s'est dit, mais en fait, pourquoi attendre nos vieux jours ? On est libre, on fait ce qu'on veut, on a eu envie de venir, et bien on est venus.

  • Speaker #1

    Tout simplement.

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    Voilà. Non, c'est vrai que ça nous a pris d'un coup, il fallait qu'on parte. C'était un appel, c'était puissant, puissant. Il fallait vraiment qu'on était... On ne pouvait plus rester là. Premier janvier, on a dit, ben, on part. Et puis, le 2 juillet, on a jeté ici. La campagne ne signifie pas isolement social. Ça, c'est pas vrai. Par contre, ce qui est vrai, c'est que on ne se sent pas forcément bien là où on arrive. Tout de suite. C'est ça. Nous, quand on est arrivés en Ariège, on avait aussi ce désir-là. Et puis, ça n'a pas marché. Et ben voilà, quand on n'est pas bien à un endroit, on secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs.

  • Speaker #1

    Sympa ton expression. On secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs. C'est la première fois que je l'entends.

  • Speaker #0

    J'ai une conception de la liberté. Je suis libre, je fais ce que je veux. Et si j'ai une envie, je la suis. Et je mets en œuvre ce qu'il faut pour que ça marche. Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est notre vie sociale. Il ne faut pas croire qu'on s'est enterré. Au contraire. Moi, je connais plein de gens, des gens qui sont très valeureux, des gens qui ont une grande richesse intérieure. Et c'est formidable. On a des tas d'amis avec lesquels on peut avoir des échanges en profondeur, avec lesquels on échange des coups de main. Non, vraiment, c'est très, très riche. Et donc, oui, on a besoin des peignes et c'est un savoir-faire qui se perd. Et aujourd'hui, je suis la seule. J'ai dû apprendre toute seule. Donc, j'ai reconstitué mon savoir-faire. J'ai réinventé mon savoir-faire.

  • Speaker #1

    Tu as appris toute seule ? Oui.

  • Speaker #0

    Personne n'a voulu parce que l'autre artisan qui était encore en exercice à l'époque m'a dit, mais vous êtes une femme. Je suis passionnée de... ma vie est dans mes mains et donc j'ai besoin de toucher, j'ai besoin de faire, j'ai besoin de... voilà, donc j'ai besoin de comprendre comment on fait les choses.

  • Speaker #1

    Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Alors vous venez d'entendre Marguerite. une nouvelle vie de la campagne ou presque. Parce qu'en effet, Marguerite a déjà vécu plusieurs expériences de vie en campagne. Déménager, changer de vie, ça ne marche pas forcément du premier coup. Mais c'est justement ce qui rend son histoire intéressante. Dans le premier épisode, Marguerite nous parlera de son parcours, de sa première installation en ruralité, qui n'a pas forcément été très satisfaisante. Mais elle nous parlera aussi de son engouement à réessayer ailleurs. jusqu'à son déménagement en Dordogne où là enfin elle a trouvé un équilibre et un véritable chez-soi. Et dans la seconde partie, on parlera davantage de sa reconversion professionnelle. Et là, attention, tenez-vous bien, je vous promets des surprises, de la nouveauté, voire même un scoop. Car oui, Marguerite est la seule femme en France à faire ce qu'elle fait aujourd'hui. Alors je vous donne rendez-vous vendredi matin à la première heure pour découvrir son histoire incroyable. Allez, je vous laisse. Je vous remercie. Merci Marguerite et à bientôt. Ciao !

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    On avait envie de venir ici, on s'était dit, pour nos vieux jours, on viendra en Dordogne parce que c'est joli, parce que voilà, il y a de la famille. Et puis un jour, on s'est dit, mais en fait, pourquoi attendre nos vieux jours ? On est libre, on fait ce qu'on veut, on a eu envie de venir, et bien on est venus.

  • Speaker #1

    Tout simplement.

  • Speaker #0

    Voilà. Non, c'est vrai que ça nous a pris d'un coup, il fallait qu'on parte. C'était un appel, c'était puissant, puissant. Il fallait vraiment qu'on était... On ne pouvait plus rester là. Premier janvier, on a dit, ben, on part. Et puis, le 2 juillet, on a jeté ici. La campagne ne signifie pas isolement social. Ça, c'est pas vrai. Par contre, ce qui est vrai, c'est que on ne se sent pas forcément bien là où on arrive. Tout de suite. C'est ça. Nous, quand on est arrivés en Ariège, on avait aussi ce désir-là. Et puis, ça n'a pas marché. Et ben voilà, quand on n'est pas bien à un endroit, on secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs.

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    Sympa ton expression. On secoue la poussière de ses chaussures et on va voir ailleurs. C'est la première fois que je l'entends.

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    J'ai une conception de la liberté. Je suis libre, je fais ce que je veux. Et si j'ai une envie, je la suis. Et je mets en œuvre ce qu'il faut pour que ça marche. Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est notre vie sociale. Il ne faut pas croire qu'on s'est enterré. Au contraire. Moi, je connais plein de gens, des gens qui sont très valeureux, des gens qui ont une grande richesse intérieure. Et c'est formidable. On a des tas d'amis avec lesquels on peut avoir des échanges en profondeur, avec lesquels on échange des coups de main. Non, vraiment, c'est très, très riche. Et donc, oui, on a besoin des peignes et c'est un savoir-faire qui se perd. Et aujourd'hui, je suis la seule. J'ai dû apprendre toute seule. Donc, j'ai reconstitué mon savoir-faire. J'ai réinventé mon savoir-faire.

  • Speaker #1

    Tu as appris toute seule ? Oui.

  • Speaker #0

    Personne n'a voulu parce que l'autre artisan qui était encore en exercice à l'époque m'a dit, mais vous êtes une femme. Je suis passionnée de... ma vie est dans mes mains et donc j'ai besoin de toucher, j'ai besoin de faire, j'ai besoin de... voilà, donc j'ai besoin de comprendre comment on fait les choses.

  • Speaker #1

    Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Alors vous venez d'entendre Marguerite. une nouvelle vie de la campagne ou presque. Parce qu'en effet, Marguerite a déjà vécu plusieurs expériences de vie en campagne. Déménager, changer de vie, ça ne marche pas forcément du premier coup. Mais c'est justement ce qui rend son histoire intéressante. Dans le premier épisode, Marguerite nous parlera de son parcours, de sa première installation en ruralité, qui n'a pas forcément été très satisfaisante. Mais elle nous parlera aussi de son engouement à réessayer ailleurs. jusqu'à son déménagement en Dordogne où là enfin elle a trouvé un équilibre et un véritable chez-soi. Et dans la seconde partie, on parlera davantage de sa reconversion professionnelle. Et là, attention, tenez-vous bien, je vous promets des surprises, de la nouveauté, voire même un scoop. Car oui, Marguerite est la seule femme en France à faire ce qu'elle fait aujourd'hui. Alors je vous donne rendez-vous vendredi matin à la première heure pour découvrir son histoire incroyable. Allez, je vous laisse. Je vous remercie. Merci Marguerite et à bientôt. Ciao !

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