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Les Petits rats d'Hamelin

Ma petite entreprise : vendre ou ne pas vendre ?

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05min |09/12/2025
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Dans le secteur nuisibles, de plus en plus de dirigeants s’interrogent sur la cession d'entreprise : départ à la retraite, volonté de changement ou opportunité économique. Le marché est particulièrement dynamique, porté par une vague de baby-boomers qui préparent leur départ et par l’intérêt croissant des repreneurs.


Les sociétés de dératisation attirent largement : groupes comme Elis, Anticimex ou Rentokil, entrepreneurs en reconversion, mais aussi entreprises du bâtiment ou de la propreté séduites par la rentabilité du secteur. Comme l’explique Christophe Berthier (Synercom), vendre sa société peut représenter une véritable porte de sortie avantageuse. Le témoignage de Jean-Paul Dufrenne (Servigeco, PROSANE) l’illustre bien : lorsqu’il a mis son entreprise sur le marché, dix-sept repreneurs se sont présentés.


L’article montre ainsi pourquoi ces entreprises se revendent facilement, quels types d’acheteurs se positionnent, et comment ce contexte crée un terrain favorable pour les dirigeants souhaitant transmettre leur activité.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans le secteur nuisibles, de plus en plus de dirigeants s’interrogent sur la cession d'entreprise : départ à la retraite, volonté de changement ou opportunité économique. Le marché est particulièrement dynamique, porté par une vague de baby-boomers qui préparent leur départ et par l’intérêt croissant des repreneurs.


Les sociétés de dératisation attirent largement : groupes comme Elis, Anticimex ou Rentokil, entrepreneurs en reconversion, mais aussi entreprises du bâtiment ou de la propreté séduites par la rentabilité du secteur. Comme l’explique Christophe Berthier (Synercom), vendre sa société peut représenter une véritable porte de sortie avantageuse. Le témoignage de Jean-Paul Dufrenne (Servigeco, PROSANE) l’illustre bien : lorsqu’il a mis son entreprise sur le marché, dix-sept repreneurs se sont présentés.


L’article montre ainsi pourquoi ces entreprises se revendent facilement, quels types d’acheteurs se positionnent, et comment ce contexte crée un terrain favorable pour les dirigeants souhaitant transmettre leur activité.


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Les sociétés de dératisation attirent largement : groupes comme Elis, Anticimex ou Rentokil, entrepreneurs en reconversion, mais aussi entreprises du bâtiment ou de la propreté séduites par la rentabilité du secteur. Comme l’explique Christophe Berthier (Synercom), vendre sa société peut représenter une véritable porte de sortie avantageuse. Le témoignage de Jean-Paul Dufrenne (Servigeco, PROSANE) l’illustre bien : lorsqu’il a mis son entreprise sur le marché, dix-sept repreneurs se sont présentés.


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Les sociétés de dératisation attirent largement : groupes comme Elis, Anticimex ou Rentokil, entrepreneurs en reconversion, mais aussi entreprises du bâtiment ou de la propreté séduites par la rentabilité du secteur. Comme l’explique Christophe Berthier (Synercom), vendre sa société peut représenter une véritable porte de sortie avantageuse. Le témoignage de Jean-Paul Dufrenne (Servigeco, PROSANE) l’illustre bien : lorsqu’il a mis son entreprise sur le marché, dix-sept repreneurs se sont présentés.


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