Description
« Un poème est debout sur une page »
« Je pense qu’on peut retrouver les gens qu’on aime de toutes sortes de façons. »
La poésie en est une. Suivre Annie Lafleur de l’histoire du cycle de ses recueils « Rosebud », « Bec-de-lièvre », « Ciguë » et « Puberté » parus chez le Quartanier aux saisons de son écriture, faire du livre un cadre que l’on suit et dont on sort avec les mots qui s’y couchent.
Annie Lafleur explique « asseoir le nid du livre sur quelque chose de concret pour avoir ensuite le champ libre », un champ dont nous explorons le rythme à travers cet électrocardiogramme du poème. Extrasystoles, arythmie, chercher le pouls, trouver la voix, sentir le corps. Côté écriture, côté lecture. Suivre, se laisser dépasser, revenir dans la course des mots, lâcher prise par la poésie.
Puberté. Ciguë. Annie Lafleur évoque ce « féminin doublement muet » que la poésie révèle.
Annie Lafleur vous invite à lire Joyce Carol Oates (Reflets en eau trouble), Sam Shepard, Richard Ford, Ariana Reines (Mercury, A sand book), Chantal Akerman (Ma mère rit) et Diana Atkinson (Strip).
« Je ne prends pas le lecteur par la main, je le tire par les cheveux »
Merci Annie Lafleur. Entretien réalisé par Camille Lucidi, disponible en podcast audio et video.
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