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Letters to myself

Le syndrome de la femme parfaite

Le syndrome de la femme parfaite

19min |18/05/2025
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Le syndrome de la femme parfaite

Le syndrome de la femme parfaite

19min |18/05/2025
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Description

Dans cette épisode, je te raconte le poids de la vie quand on est une femme qui a habitué tout le Monde à ce qu’on soit la femme parfaite alors qu’en réalité on veut juste être une humaine avec nos moments de croissance et nos moments de décroissance.


Prenons le temps d’être imparfaitement nous-même car l’homme n’est pas parfait et ben la femme non plus finalement.


On a le droit de lâcher prise et de déléguer. Oui, ces tâches seront faites, différemment, oui, mais ça nous débarrassera d’un poids.


Les femmes ont été trop souvent programmé à devoir tout faire et à savoir tout. Mais à quelle moment, on nous a appris à nous détendre, à déléguer avant qu’on ne puisse plus.


Si, ce sujet t'intéresse, cet épisode est celui qu’il te faut. Assied toi avec ta boisson préférée, et profite de mon épisode sur « le syndrome de la femme parfaite ».

——————————————————————-

Je te remercie d’avance pour ton écoute et j’espère que mon retour d’expérience t’aura fait plaisir et t’aura aider à te poser les bonnes questions sur ta propre vie.


N'hésite pas à noter et à laisser un avis sous mon podcast pour m'encourager et permettre au podcast d'être mieux référencé.


Abonne-toi à mon IG pour discuter, pour voter des prochains thèmes en mode chill :

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hi everyone ! On va parler aujourd'hui du syndrome de la fille et de la femme parfaite. Bon, j'encadre un peu les deux parce que d'abord on est fille, on est d'abord l'enfant de nos parents, donc déjà pour commencer... Pour vous mettre déjà une petite intro, on est fille et ensuite on devient adulte, donc on devient femme. C'est tout un processus. Et après, bien sûr, il y a le sujet de la mère parfaite, mais bon, ce n'est pas un sujet que je peux traiter parce que je n'ai pas encore eu d'enfant. Voilà. On va commencer vraiment par ce syndrome-là. Déjà, pourquoi je viens en parler ? Pour commencer, parce que c'est quelque chose qui me touche. Clairement, la pression. La pression sociale, la pression de devoir bien faire les choses. Surtout quand, vous savez, on a donné l'habitude aux gens. Moi, c'est vraiment mon cas. Quand on a commencé à donner l'habitude aux gens de faire à manger. Le jour où tu ne fais plus, bon Dieu, tout le monde, mais tu ne fais plus, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as un problème dans ta tête ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Il faut faire à manger. Franchement, une femme qui ne fait pas à manger, ce n'est pas bien. Franchement, t'achètes. Avant, tu faisais, qu'est-ce qui se... passe en dépression non j'ai juste envie de me concentrer sur d'autres choses j'ai envie de profiter qu'on me le fasse directement qu'on passe à manger aussi ça me retire une charge mentale parce qu'en soit pour pouvoir faire à manger il ya beaucoup d'étapes déjà il faut faire les courses donc il faut aller au supermarché Porter les courses, choisir tout ça, faire la cure, mettre chez toi, ranger les courses. Ensuite, il faut couper, par exemple, les légumes. Mon Dieu, déjà, juste là, je suis déjà en angoisse, franchement. Faire tout ça, éplucher, nettoyer, faire un cure, surveiller, laisser refroidir, mettre au frigo. Ensuite, faire les pensions pour chaque jour. Mon Dieu, mais déjà, juste là, on parle juste de... Faire à manger. Et ensuite, veiller à ce que ça ne pourrisse pas. Franchement, tu deviens une cuisinière. Une vraie cuisinière, comme au restaurant. La gestion des stocks, tout ça, rendement, tout ça, tout le bord. Ça, c'est juste cuisiner. Par exemple, il y a un autre sujet, c'est l'essence, la voiture. Mon Dieu, mais même une voiture, c'est beaucoup de charges mentales. Clairement. Donc, la voiture, il faut veiller à ce qu'il y ait toujours de l'essence. Il faut prévoir le budget, il faut aller près d'une station d'essence. Ouvertes, à la bonne heure, parce que moi je veux un pompis, tout ça. Et moi je veux payer un ticket restaurant. Du coup, je peux payer que des montants un peu fixes à moins de 25 euros. Moi ça me va parce que la voiture a un petit bac, mais bon voilà. Faut quand même surveiller ça, faut le faire avant le dimanche. En plus moi je veux faire l'essence quand il n'y a pas le soleil chaud. Donc en fait, à partir de 17h. Franchement, beaucoup de gestion. Beaucoup de gestion. Franchement, on en parlait hier, j'avais une conférence sur la charge mentale, Elia, et bien sûr c'était fait pour les femmes cette conférence, et franchement, ils ont dit qu'un humain normal, donc en soi, c'est pas pour dénigrer, mais un homme a environ 30 000 choses dans sa tête, une femme c'est le double, clairement, c'est le double. Et en vrai, ça m'étonne pas, parce que souvent, une bonne parenté de la charge mentale est... que l'homme est censé gérer, il la refile à la femme, ni de rien. Franchement, une femme, si elle est malade, elle doit se gérer elle-même, en général. Ce n'est pas l'homme qui va prendre soin. Et après, on le gagne, s'il a une petite coupure, mon Dieu ! Ouh, la terre tremble ! Il faut l'aider, il faut l'aider, lui, il faut l'aider. Mais toi, tu peux crever, si toi, tu as un problème du foie. Je ne généralise pas, bien sûr, mais... Bien sûr, c'est mon podcast, je parle de mon expérience. Vous avez le droit d'avoir d'autres pensées, c'est justement le but. Moi, je trouve que justement, petite parenthèse, c'est que je trouve que quand d'autres personnes te donnent ton avis, mais différent du tien, ça te pousse à développer ta propre pensée. Moi, je trouve que c'est ça mon avis. Par exemple, j'en ai écouté des podcasts, j'en écoute encore. Et justement, je ne suis pas d'accord avec tout, mais je trouve que c'est intéressant d'avoir l'avis des autres. Donc, moi, je trouve que c'est intéressant d'écouter des podcasts ou d'écouter des gens de manière générale. Puisque quand tu prends le temps d'écouter, de comprendre, tu te mets à la place de l'autre et après tu te mets aussi à ta place donc c'est important du coup bien sûr, ce que je veux dire c'est qu'il faut toujours prendre avec des pincettes ce que quelqu'un peut vous dire Mais du coup, oui, pour moi, c'est vraiment épuisant. La charge mentale des femmes, j'avoue, c'est un vrai sujet. Et ils en ont fait une conférence. Et finalement, la dame, elle a dit, la conférencière, qu'en soi, l'IA ne va pas vous aider. Elle a besoin que vous vous aidiez, c'est vous-même. Clairement, elle nous a dit ça. Elle nous a dit, en soi, pour pouvoir réduire sa charge mentale, il faut déjà savoir où est-ce qu'on perd du temps dans sa vie. Donc, il faut déjà savoir qu'est-ce qu'on fait dans notre journée, dans notre semaine. exactement et optimiser chaque moment par exemple. Mais je trouve que justement, quand on optimise, ça nous laisse du temps. Et quand ça nous laisse du temps, on a envie d'en faire encore. Donc en vrai, des fois, ce qu'on ne sait plus si bien optimiser, moi, c'est grave ce qui m'arrive au taf. Franchement, les trucs, je les fais vite et tout. Eh bien, si tu les fais vite, on te donne d'autres. Et puis, tu optimises parce que tu te sens débordée et après, on te donne d'autres. C'est fini, on te donne d'autres, on te donne plus, on te donne tellement plus qu'après tu as... Tu ne peux pas entre-gérer des fois. Et après, tu es en mode... Et certains trucs, tu es en mode, ce n'est pas important, je ne les ai pas faits. Mais du coup, finalement, il fallait peut-être les faire. Mais oui, pour moi, c'est un peu ce syndrome-là tout le temps. Vous êtes parfait. Je ne sais pas si ça vous arrive. Je ne sais pas si les hommes ont ce syndrome-là. Je pense qu'eux, ils en ont d'autres. D'ailleurs, j'aime bien. Il y a un podcast sur le masculin. J'aime bien. Je trouve ça intéressant d'avoir l'avis des hommes dit par un homme. Parce que souvent, entre filles, on parle des garçons, mais on n'est pas un garçon. Donc c'est bien d'avoir la vie d'un garçon. Mais franchement, j'aurais tellement aimé que tout soit un peu plus lisse, qu'on ait le droit de dire non, j'ai pas envie de faire tout le temps bien les choses. J'ai le droit d'être humaine. Et en plus, moi, je suis chef de projet pour un devoir scolaire. Et c'est pas évident, en fait, parce que tout le temps... Tu dois motiver les gens, mais toi qui te motives ? Toi, tu dois toujours être au taquet, tu dois être au courant de tout, tu dois tout faire, mais toi, à quel moment tu te relâches en fait ? Et le jour où, par exemple, tu te relâches un peu, peut-être deux semaines, par exemple, et que tu dis rien, tu ne les coaches pas, tu ne les motives pas, tu ne fais rien, tu ne reviens pas, tu ne vérifies pas, tu ne fais rien du tout, eh bien, ils diront que c'est ta faute. Ils diront que c'est ta faute. Je ne prends personne, mais... globalement, les gens préfèrent qu'on les stresse, que ça soit bien fait plutôt qu'on ne les stresse pas et qu'en fait ça ne soit pas fait on ne t'en voudra jamais d'avoir fait avancer les projets, d'avoir fait les choses franchement je trouve ça tellement bizarre dans la psychologie humaine c'est-à-dire, si tu ne dis pas aux gens il faut faire ci, il faut faire ça tu les laisses un peu vivre eux-mêmes, et bien ils t'en voudront ils te diront, tu ne m'as rien dit tu ne m'as pas relancé, il vaut mieux qu'ils t'aient trop chiante, mais c'est bien fait Merci. Ils te trouvent gentille, mais tu n'as rien fait. Et là, ils t'en voudront vraiment. Ils diront, ah, elle ne m'a rien dit. Tu ne peux pas dire que j'étais timide. Tu ne peux pas lancer cette carte, mon Dieu. Tu peux toujours bien faire les choses. Je trouve ça dur. Jamais, je n'ai le droit de dire, je ne sais pas faire un truc. Tout le temps, tu es capable, tu as le fait. Tout le temps, tu as bien fait les choses. Même la maison. J'ai fait un épisode sur la maison, mais c'est aussi une charge mentale. Peu importe, mais c'est une charge mentale. Que ce soit ta maison à toi ou celle de quelqu'un d'autre, mais si c'est la tienne, c'est encore plus. Mais ce n'est pas évident. Balayer, s'empiler, l'exclaméning, l'intérieur, l'extérieur, enlever les soldats réunis, vérifier que la maison est bien sur certains points, comme la clim, l'entretien, ce genre de choses. Vérifier que l'Internet fonctionne bien. Faire signaler au propriétaire que ça ne fonctionne pas. Attendre qu'il répare. Voilà. Ensuite, secouer certaines choses. Laver certaines choses. Puis dépoussiérer. Oh mon Dieu, il y a tellement de choses à faire. Entre aussi, trier ses papiers. Lire les courriers quand on voit. Gérer les impôts. Gérer la CAF. Gérer toutes les administrations comme ça. C'est beaucoup de choses. Gérer ton compte en banque aussi. Aïe, aïe, aïe. Mon Dieu. tellement de choses à gérer, franchement c'est juste une angoisse et je comprends que il y a des femmes, des hommes aussi qui tombent en burn-out en vrai, c'est pas évident c'était pas soutenu, je pense que c'est justement moi je pense que le sujet en fait c'était aussi lâcher prise je pense que vraiment c'est quelque chose qu'on doit apprendre à faire et tout et madame a dit ça en vraiment lâcher prise, elle nous a demandé à quel moment on prend du temps pour soi vraiment pour soi, pas à s'occuper de quelqu'un, mais s'occuper de soi-même. Et en vrai, j'ai regardé dans ma journée et j'étais en mode, il n'y a pas beaucoup de time en fait. Pas beaucoup de time en fait, où je prends du temps pour moi, vraiment pour moi. Je dirais que quand je me maquille un petit peu, je prends du temps pour moi et tout. Mais j'avoue, quand je travaille, je fais 9h-17h, que j'arrive au travail, j'ai pas de temps pour moi. Franchement, non, t'as pas de temps pour toi. Après, tu vas au sport. En plus, ça, c'est dur aussi. Je retourne aujourd'hui cette semaine, mais ce n'est pas évident. Tu vas au sport. Ensuite, tu rentres chez toi. Il est genre 19h20, 15h20. Ensuite, tu te douches. C'est fini tout ça. Il est 20h. Tu dois ensuite normalement cuisiner, le manger, le repas. Il est genre 21h30. Après, tu sens que c'est prendre du temps pour toi, là ? C'est le redormir. On fouette. C'est le temps de dormir. Tu vas dire bon, tu regardes quelques messages, tu scrolles, tu en as un. Mais il est 22h30 et tout. 23h, t'es crevé, tu dors en fait. Ça veut pas dire que t'as pris du temps pour toi vraiment. Et du coup, t'attends le week-end, t'attends le dimanche en général. Parce que samedi, c'est le jour où tu fais toutes tes démarches. Toutes les courses et tout qui s'accumulent et tout ça. Tu vas le faire le samedi. Donc il te reste le dimanche. Mais bon, dimanche, il faut que t'aies juste envie de dormir. Pour moi, le vrai luxe, c'est d'avoir du temps pour dormir. Pour moi, c'est un vrai luxe. Mais ouais, c'est pas évident. Je trouve que les femmes, on nous a conditionnées à toujours porter la maison. C'est grave, la phrase potomitan et tout. C'est très lourd à porter. On porte une maison. On est les fondations de la maison. On est les potos. Franchement. C'est pas évident, sans nous tout s'effondre. C'est ce qui est dur en fait dans la charge mentale, c'est que t'as l'impression tout le temps que c'est toi qui portes tout. Et en vrai, il y a une dame qui a dit hier, oui en vrai on pense toujours qu'on a besoin de nous, mais en soi si par exemple on peut vraiment pas, les choses vont continuer. Autrement, différemment, c'est vrai, mais elles vont continuer, ça c'est vrai. Si par exemple je dis, même au travail, ils font semblant des fois que t'es indispensable et tout, mais si t'es pas là... ils vont te remplacer et vice-versa. Si ma responsable n'est pas là, on va devoir faire avancer les choses quand même. Donc dans tous les cas, tout le monde est un peu, je ne dirais pas remplaçable, mais substituable peut-être, je ne sais pas si c'est le bon terme, mais on peut toujours faire à la place de quelqu'un. Ça sera différent, pas les mêmes méthodologies, les mêmes visions, les mêmes choses, ça c'est clair. Clairement, ce ne sera jamais pareil. Mais on peut avoir un résultat final pareil ou semblable ou peut-être complètement différent, mais qui collera aux objectifs quand même demandés. Donc, ça reste correct. Mais j'avoue que tout le temps, on doit faire bien les choses. Là, je parle d'une partie des choses à gérer, mais je ne m'en rendais pas compte. En fait, j'étais en plus habituée d'avoir des standards élevés et de devoir faire beaucoup de choses dans ma vie. Pour moi, c'est normal. Mais en fait, non, d'ici, il faut quand même apprendre à lever le pied, à même s'arrêter des fois en chemin et dire, je refuse, je ne fais pas ça. Je n'ai plus envie, je n'ai plus de force. Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui ont pris l'habitude de me voir sortir en soirée très souvent. Mais ça, j'avoue, ça, j'ai du mal maintenant. Là, franchement, si j'ai une soirée... En fait, là, en plus, je préfère aller graver en soirée seule, ça. ou bachata ou je ne sais pas, mais soirée chill, soirée cinéma, un truc un peu chic. Mais mon Dieu, il y a des gens qui m'ont remis en soirée, je leur disais, mais non, je n'ai pas envie d'aller. Je n'ai pas envie d'aller, bientôt examen et tout. J'ai envie d'être au calme. J'ai envie d'être posée dans mon lit, regarder un peu la télé, faire des tableaux Excel et tout. J'ai envie de faire ça, j'ai envie d'avoir du temps pour moi, d'être posée et tout. Voilà quoi, j'ai pas mal de petits projets et tout. Et puis j'avoue que je me cherche un peu beaucoup. En ce moment, je crois que j'ai un projet business que je pourrais mettre en place. Donc je mets toute mon énergie dedans. Et comme dirait mon pote, t'en as... qu'est-ce que tu perds en fait ? Au pire, t'auras appris des choses et... Le projet n'aime pas Nancy. Mais je sens que j'ai appris pas mal de choses. Franchement, j'en ai appris des choses. Surtout ce qui est plan financier, créer une offre de produits, tout. Rétarif déjà. J'ai beaucoup avancé, j'ai appris beaucoup de choses. Ça, je pense que ça devait être un peu une étude de casse au business, mais je trouve que c'est hyper intéressant. Et de toute façon, quand tu es plongée dedans, tu ne peux qu'apprécier. Je comprends qu'il y ait des sociétés qui aident les gens, qui ont leur entreprise et tout, mais c'est un vrai bonheur, en tout cas pour moi, personnellement, de pouvoir faire toute la stratégie, puisque finalement, c'est mes études, tout ce qui est stratégique. Pour moi c'est la base et après créer l'entreprise vraiment ce côté administratif ça va vite tu sais. C'est le plus simple. Mais déjà créer le concept, le business plan, le plan financier, tout ça, tous les petits calculs, soit le PST, la concurrence, nan nan. Est-ce qu'on veut des salariés ? Oui, non. Comment on va s'en occuper ? Nan nan nan nan nan. Le recrutement des salariés, image de marque en clair, tout ça. Il y a tellement de choses. Et du coup c'est pour aussi vous parler du côté aussi business aussi finalement la femme doit toujours être parfaite, toujours parfaite. Tirée à la 4 épingles, bien profite, belle, intelligente, une bonne maman, une bonne épouse, une bonne femme et une bonne fille finalement. Elle doit aussi être vraiment unique et excellente à chaque fois. Il faut vraiment que chaque femme se distingue, en plus de ne pas s'inspirer d'une autre, j'ai l'impression. Il faut vraiment qu'on soit parfaites, uniquement, nous-mêmes, toujours meilleures. Et je ne sais pas, il manque un peu d'entraide. Et je trouve que ce genre d'événement, c'était vraiment intéressant de pouvoir partager d'autres ressentis d'autres femmes. Donc franchement, ce sujet-là, c'est vraiment intéressant et je vous... recommande je vous abdiquerai vous dire mais ce que j'ai réussi m'en sortir en fait de ce syndrome et à améliorer ma charge mentale mais donc là ça va ce que j'ai fait mais j'avais pas l'énergie en fait j'ai eu un mal dedans en avril du coup j'ai pas envie de manger pas envie de cuisiner rien c'est très compliqué pour moi donc bon moi j'ai vu que j'avais plus de courses pas dit je vais acheter au début il va acheter comme ça je choisis exactement ce que je veux manger qui est simple à manger tout la fois c'est un moment comme ça et de toute façon je mangeais une fois par jour j'ai que le midi donc c'est pas forcément évident pour moi mais bon j'ai tenu ça a été mais franchement faut aller au sport faut faire à manger faut suivre les cours faut travailler Il faut être une bonne copine, une bonne fille, une bonne partout. Il faut être parfaite tout le temps. Pour moi, ça, c'est une angoisse. Mais bon, ce n'est pas évident. Mais bon, je vous recommande vraiment de trier dans votre vie, de faire le classement de tout ce que vous faites, de vous regrouper. Et ensuite, vraiment analyser si vous vous sentez mieux. Et je pense... Planifier dans son agenda des pauses. Je pense que c'est grave important de mettre dans son agenda repos. Chill day, I don't know. Trouvez un nom marketing si vous voulez. C'est important de mettre dans son agenda. Aujourd'hui, je suis occupée. Occupée de quoi ? De me reposer. C'est tout. Franchement, se reposer, c'est un goût. J'ai l'impression que c'est devenu une richesse. Une richesse humaine dans du temps. Franchement, des fois, même pas aller au médecin, c'est compliqué. Donc on dit que ça me disait plein, on dit non, on dit il reste la semaine, si vous prenez rendez-vous à 4h45, j'avoue que je ferais fort de prendre, c'est ma santé. Et rattraper un autre jour en surcan, mais c'est pas du tout évident. Mais bon, sur ce, je vous laisse, je suis épuisée, j'ai envie de dormir, je voulais faire ce sujet depuis un petit moment. Mais je ne savais pas comment l'aborder. Mais je suis heureuse d'avoir vu tout. Donc bisous, bye, la team. Later to myself, you know. That's a girl, Jessie. Bye bye, bonne nuit.

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Dans cette épisode, je te raconte le poids de la vie quand on est une femme qui a habitué tout le Monde à ce qu’on soit la femme parfaite alors qu’en réalité on veut juste être une humaine avec nos moments de croissance et nos moments de décroissance.


Prenons le temps d’être imparfaitement nous-même car l’homme n’est pas parfait et ben la femme non plus finalement.


On a le droit de lâcher prise et de déléguer. Oui, ces tâches seront faites, différemment, oui, mais ça nous débarrassera d’un poids.


Les femmes ont été trop souvent programmé à devoir tout faire et à savoir tout. Mais à quelle moment, on nous a appris à nous détendre, à déléguer avant qu’on ne puisse plus.


Si, ce sujet t'intéresse, cet épisode est celui qu’il te faut. Assied toi avec ta boisson préférée, et profite de mon épisode sur « le syndrome de la femme parfaite ».

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Je te remercie d’avance pour ton écoute et j’espère que mon retour d’expérience t’aura fait plaisir et t’aura aider à te poser les bonnes questions sur ta propre vie.


N'hésite pas à noter et à laisser un avis sous mon podcast pour m'encourager et permettre au podcast d'être mieux référencé.


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  • Speaker #0

    Hi everyone ! On va parler aujourd'hui du syndrome de la fille et de la femme parfaite. Bon, j'encadre un peu les deux parce que d'abord on est fille, on est d'abord l'enfant de nos parents, donc déjà pour commencer... Pour vous mettre déjà une petite intro, on est fille et ensuite on devient adulte, donc on devient femme. C'est tout un processus. Et après, bien sûr, il y a le sujet de la mère parfaite, mais bon, ce n'est pas un sujet que je peux traiter parce que je n'ai pas encore eu d'enfant. Voilà. On va commencer vraiment par ce syndrome-là. Déjà, pourquoi je viens en parler ? Pour commencer, parce que c'est quelque chose qui me touche. Clairement, la pression. La pression sociale, la pression de devoir bien faire les choses. Surtout quand, vous savez, on a donné l'habitude aux gens. Moi, c'est vraiment mon cas. Quand on a commencé à donner l'habitude aux gens de faire à manger. Le jour où tu ne fais plus, bon Dieu, tout le monde, mais tu ne fais plus, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as un problème dans ta tête ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Il faut faire à manger. Franchement, une femme qui ne fait pas à manger, ce n'est pas bien. Franchement, t'achètes. Avant, tu faisais, qu'est-ce qui se... passe en dépression non j'ai juste envie de me concentrer sur d'autres choses j'ai envie de profiter qu'on me le fasse directement qu'on passe à manger aussi ça me retire une charge mentale parce qu'en soit pour pouvoir faire à manger il ya beaucoup d'étapes déjà il faut faire les courses donc il faut aller au supermarché Porter les courses, choisir tout ça, faire la cure, mettre chez toi, ranger les courses. Ensuite, il faut couper, par exemple, les légumes. Mon Dieu, déjà, juste là, je suis déjà en angoisse, franchement. Faire tout ça, éplucher, nettoyer, faire un cure, surveiller, laisser refroidir, mettre au frigo. Ensuite, faire les pensions pour chaque jour. Mon Dieu, mais déjà, juste là, on parle juste de... Faire à manger. Et ensuite, veiller à ce que ça ne pourrisse pas. Franchement, tu deviens une cuisinière. Une vraie cuisinière, comme au restaurant. La gestion des stocks, tout ça, rendement, tout ça, tout le bord. Ça, c'est juste cuisiner. Par exemple, il y a un autre sujet, c'est l'essence, la voiture. Mon Dieu, mais même une voiture, c'est beaucoup de charges mentales. Clairement. Donc, la voiture, il faut veiller à ce qu'il y ait toujours de l'essence. Il faut prévoir le budget, il faut aller près d'une station d'essence. Ouvertes, à la bonne heure, parce que moi je veux un pompis, tout ça. Et moi je veux payer un ticket restaurant. Du coup, je peux payer que des montants un peu fixes à moins de 25 euros. Moi ça me va parce que la voiture a un petit bac, mais bon voilà. Faut quand même surveiller ça, faut le faire avant le dimanche. En plus moi je veux faire l'essence quand il n'y a pas le soleil chaud. Donc en fait, à partir de 17h. Franchement, beaucoup de gestion. Beaucoup de gestion. Franchement, on en parlait hier, j'avais une conférence sur la charge mentale, Elia, et bien sûr c'était fait pour les femmes cette conférence, et franchement, ils ont dit qu'un humain normal, donc en soi, c'est pas pour dénigrer, mais un homme a environ 30 000 choses dans sa tête, une femme c'est le double, clairement, c'est le double. Et en vrai, ça m'étonne pas, parce que souvent, une bonne parenté de la charge mentale est... que l'homme est censé gérer, il la refile à la femme, ni de rien. Franchement, une femme, si elle est malade, elle doit se gérer elle-même, en général. Ce n'est pas l'homme qui va prendre soin. Et après, on le gagne, s'il a une petite coupure, mon Dieu ! Ouh, la terre tremble ! Il faut l'aider, il faut l'aider, lui, il faut l'aider. Mais toi, tu peux crever, si toi, tu as un problème du foie. Je ne généralise pas, bien sûr, mais... Bien sûr, c'est mon podcast, je parle de mon expérience. Vous avez le droit d'avoir d'autres pensées, c'est justement le but. Moi, je trouve que justement, petite parenthèse, c'est que je trouve que quand d'autres personnes te donnent ton avis, mais différent du tien, ça te pousse à développer ta propre pensée. Moi, je trouve que c'est ça mon avis. Par exemple, j'en ai écouté des podcasts, j'en écoute encore. Et justement, je ne suis pas d'accord avec tout, mais je trouve que c'est intéressant d'avoir l'avis des autres. Donc, moi, je trouve que c'est intéressant d'écouter des podcasts ou d'écouter des gens de manière générale. Puisque quand tu prends le temps d'écouter, de comprendre, tu te mets à la place de l'autre et après tu te mets aussi à ta place donc c'est important du coup bien sûr, ce que je veux dire c'est qu'il faut toujours prendre avec des pincettes ce que quelqu'un peut vous dire Mais du coup, oui, pour moi, c'est vraiment épuisant. La charge mentale des femmes, j'avoue, c'est un vrai sujet. Et ils en ont fait une conférence. Et finalement, la dame, elle a dit, la conférencière, qu'en soi, l'IA ne va pas vous aider. Elle a besoin que vous vous aidiez, c'est vous-même. Clairement, elle nous a dit ça. Elle nous a dit, en soi, pour pouvoir réduire sa charge mentale, il faut déjà savoir où est-ce qu'on perd du temps dans sa vie. Donc, il faut déjà savoir qu'est-ce qu'on fait dans notre journée, dans notre semaine. exactement et optimiser chaque moment par exemple. Mais je trouve que justement, quand on optimise, ça nous laisse du temps. Et quand ça nous laisse du temps, on a envie d'en faire encore. Donc en vrai, des fois, ce qu'on ne sait plus si bien optimiser, moi, c'est grave ce qui m'arrive au taf. Franchement, les trucs, je les fais vite et tout. Eh bien, si tu les fais vite, on te donne d'autres. Et puis, tu optimises parce que tu te sens débordée et après, on te donne d'autres. C'est fini, on te donne d'autres, on te donne plus, on te donne tellement plus qu'après tu as... Tu ne peux pas entre-gérer des fois. Et après, tu es en mode... Et certains trucs, tu es en mode, ce n'est pas important, je ne les ai pas faits. Mais du coup, finalement, il fallait peut-être les faire. Mais oui, pour moi, c'est un peu ce syndrome-là tout le temps. Vous êtes parfait. Je ne sais pas si ça vous arrive. Je ne sais pas si les hommes ont ce syndrome-là. Je pense qu'eux, ils en ont d'autres. D'ailleurs, j'aime bien. Il y a un podcast sur le masculin. J'aime bien. Je trouve ça intéressant d'avoir l'avis des hommes dit par un homme. Parce que souvent, entre filles, on parle des garçons, mais on n'est pas un garçon. Donc c'est bien d'avoir la vie d'un garçon. Mais franchement, j'aurais tellement aimé que tout soit un peu plus lisse, qu'on ait le droit de dire non, j'ai pas envie de faire tout le temps bien les choses. J'ai le droit d'être humaine. Et en plus, moi, je suis chef de projet pour un devoir scolaire. Et c'est pas évident, en fait, parce que tout le temps... Tu dois motiver les gens, mais toi qui te motives ? Toi, tu dois toujours être au taquet, tu dois être au courant de tout, tu dois tout faire, mais toi, à quel moment tu te relâches en fait ? Et le jour où, par exemple, tu te relâches un peu, peut-être deux semaines, par exemple, et que tu dis rien, tu ne les coaches pas, tu ne les motives pas, tu ne fais rien, tu ne reviens pas, tu ne vérifies pas, tu ne fais rien du tout, eh bien, ils diront que c'est ta faute. Ils diront que c'est ta faute. Je ne prends personne, mais... globalement, les gens préfèrent qu'on les stresse, que ça soit bien fait plutôt qu'on ne les stresse pas et qu'en fait ça ne soit pas fait on ne t'en voudra jamais d'avoir fait avancer les projets, d'avoir fait les choses franchement je trouve ça tellement bizarre dans la psychologie humaine c'est-à-dire, si tu ne dis pas aux gens il faut faire ci, il faut faire ça tu les laisses un peu vivre eux-mêmes, et bien ils t'en voudront ils te diront, tu ne m'as rien dit tu ne m'as pas relancé, il vaut mieux qu'ils t'aient trop chiante, mais c'est bien fait Merci. Ils te trouvent gentille, mais tu n'as rien fait. Et là, ils t'en voudront vraiment. Ils diront, ah, elle ne m'a rien dit. Tu ne peux pas dire que j'étais timide. Tu ne peux pas lancer cette carte, mon Dieu. Tu peux toujours bien faire les choses. Je trouve ça dur. Jamais, je n'ai le droit de dire, je ne sais pas faire un truc. Tout le temps, tu es capable, tu as le fait. Tout le temps, tu as bien fait les choses. Même la maison. J'ai fait un épisode sur la maison, mais c'est aussi une charge mentale. Peu importe, mais c'est une charge mentale. Que ce soit ta maison à toi ou celle de quelqu'un d'autre, mais si c'est la tienne, c'est encore plus. Mais ce n'est pas évident. Balayer, s'empiler, l'exclaméning, l'intérieur, l'extérieur, enlever les soldats réunis, vérifier que la maison est bien sur certains points, comme la clim, l'entretien, ce genre de choses. Vérifier que l'Internet fonctionne bien. Faire signaler au propriétaire que ça ne fonctionne pas. Attendre qu'il répare. Voilà. Ensuite, secouer certaines choses. Laver certaines choses. Puis dépoussiérer. Oh mon Dieu, il y a tellement de choses à faire. Entre aussi, trier ses papiers. Lire les courriers quand on voit. Gérer les impôts. Gérer la CAF. Gérer toutes les administrations comme ça. C'est beaucoup de choses. Gérer ton compte en banque aussi. Aïe, aïe, aïe. Mon Dieu. tellement de choses à gérer, franchement c'est juste une angoisse et je comprends que il y a des femmes, des hommes aussi qui tombent en burn-out en vrai, c'est pas évident c'était pas soutenu, je pense que c'est justement moi je pense que le sujet en fait c'était aussi lâcher prise je pense que vraiment c'est quelque chose qu'on doit apprendre à faire et tout et madame a dit ça en vraiment lâcher prise, elle nous a demandé à quel moment on prend du temps pour soi vraiment pour soi, pas à s'occuper de quelqu'un, mais s'occuper de soi-même. Et en vrai, j'ai regardé dans ma journée et j'étais en mode, il n'y a pas beaucoup de time en fait. Pas beaucoup de time en fait, où je prends du temps pour moi, vraiment pour moi. Je dirais que quand je me maquille un petit peu, je prends du temps pour moi et tout. Mais j'avoue, quand je travaille, je fais 9h-17h, que j'arrive au travail, j'ai pas de temps pour moi. Franchement, non, t'as pas de temps pour toi. Après, tu vas au sport. En plus, ça, c'est dur aussi. Je retourne aujourd'hui cette semaine, mais ce n'est pas évident. Tu vas au sport. Ensuite, tu rentres chez toi. Il est genre 19h20, 15h20. Ensuite, tu te douches. C'est fini tout ça. Il est 20h. Tu dois ensuite normalement cuisiner, le manger, le repas. Il est genre 21h30. Après, tu sens que c'est prendre du temps pour toi, là ? C'est le redormir. On fouette. C'est le temps de dormir. Tu vas dire bon, tu regardes quelques messages, tu scrolles, tu en as un. Mais il est 22h30 et tout. 23h, t'es crevé, tu dors en fait. Ça veut pas dire que t'as pris du temps pour toi vraiment. Et du coup, t'attends le week-end, t'attends le dimanche en général. Parce que samedi, c'est le jour où tu fais toutes tes démarches. Toutes les courses et tout qui s'accumulent et tout ça. Tu vas le faire le samedi. Donc il te reste le dimanche. Mais bon, dimanche, il faut que t'aies juste envie de dormir. Pour moi, le vrai luxe, c'est d'avoir du temps pour dormir. Pour moi, c'est un vrai luxe. Mais ouais, c'est pas évident. Je trouve que les femmes, on nous a conditionnées à toujours porter la maison. C'est grave, la phrase potomitan et tout. C'est très lourd à porter. On porte une maison. On est les fondations de la maison. On est les potos. Franchement. C'est pas évident, sans nous tout s'effondre. C'est ce qui est dur en fait dans la charge mentale, c'est que t'as l'impression tout le temps que c'est toi qui portes tout. Et en vrai, il y a une dame qui a dit hier, oui en vrai on pense toujours qu'on a besoin de nous, mais en soi si par exemple on peut vraiment pas, les choses vont continuer. Autrement, différemment, c'est vrai, mais elles vont continuer, ça c'est vrai. Si par exemple je dis, même au travail, ils font semblant des fois que t'es indispensable et tout, mais si t'es pas là... ils vont te remplacer et vice-versa. Si ma responsable n'est pas là, on va devoir faire avancer les choses quand même. Donc dans tous les cas, tout le monde est un peu, je ne dirais pas remplaçable, mais substituable peut-être, je ne sais pas si c'est le bon terme, mais on peut toujours faire à la place de quelqu'un. Ça sera différent, pas les mêmes méthodologies, les mêmes visions, les mêmes choses, ça c'est clair. Clairement, ce ne sera jamais pareil. Mais on peut avoir un résultat final pareil ou semblable ou peut-être complètement différent, mais qui collera aux objectifs quand même demandés. Donc, ça reste correct. Mais j'avoue que tout le temps, on doit faire bien les choses. Là, je parle d'une partie des choses à gérer, mais je ne m'en rendais pas compte. En fait, j'étais en plus habituée d'avoir des standards élevés et de devoir faire beaucoup de choses dans ma vie. Pour moi, c'est normal. Mais en fait, non, d'ici, il faut quand même apprendre à lever le pied, à même s'arrêter des fois en chemin et dire, je refuse, je ne fais pas ça. Je n'ai plus envie, je n'ai plus de force. Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui ont pris l'habitude de me voir sortir en soirée très souvent. Mais ça, j'avoue, ça, j'ai du mal maintenant. Là, franchement, si j'ai une soirée... En fait, là, en plus, je préfère aller graver en soirée seule, ça. ou bachata ou je ne sais pas, mais soirée chill, soirée cinéma, un truc un peu chic. Mais mon Dieu, il y a des gens qui m'ont remis en soirée, je leur disais, mais non, je n'ai pas envie d'aller. Je n'ai pas envie d'aller, bientôt examen et tout. J'ai envie d'être au calme. J'ai envie d'être posée dans mon lit, regarder un peu la télé, faire des tableaux Excel et tout. J'ai envie de faire ça, j'ai envie d'avoir du temps pour moi, d'être posée et tout. Voilà quoi, j'ai pas mal de petits projets et tout. Et puis j'avoue que je me cherche un peu beaucoup. En ce moment, je crois que j'ai un projet business que je pourrais mettre en place. Donc je mets toute mon énergie dedans. Et comme dirait mon pote, t'en as... qu'est-ce que tu perds en fait ? Au pire, t'auras appris des choses et... Le projet n'aime pas Nancy. Mais je sens que j'ai appris pas mal de choses. Franchement, j'en ai appris des choses. Surtout ce qui est plan financier, créer une offre de produits, tout. Rétarif déjà. J'ai beaucoup avancé, j'ai appris beaucoup de choses. Ça, je pense que ça devait être un peu une étude de casse au business, mais je trouve que c'est hyper intéressant. Et de toute façon, quand tu es plongée dedans, tu ne peux qu'apprécier. Je comprends qu'il y ait des sociétés qui aident les gens, qui ont leur entreprise et tout, mais c'est un vrai bonheur, en tout cas pour moi, personnellement, de pouvoir faire toute la stratégie, puisque finalement, c'est mes études, tout ce qui est stratégique. Pour moi c'est la base et après créer l'entreprise vraiment ce côté administratif ça va vite tu sais. C'est le plus simple. Mais déjà créer le concept, le business plan, le plan financier, tout ça, tous les petits calculs, soit le PST, la concurrence, nan nan. Est-ce qu'on veut des salariés ? Oui, non. Comment on va s'en occuper ? Nan nan nan nan nan. Le recrutement des salariés, image de marque en clair, tout ça. Il y a tellement de choses. Et du coup c'est pour aussi vous parler du côté aussi business aussi finalement la femme doit toujours être parfaite, toujours parfaite. Tirée à la 4 épingles, bien profite, belle, intelligente, une bonne maman, une bonne épouse, une bonne femme et une bonne fille finalement. Elle doit aussi être vraiment unique et excellente à chaque fois. Il faut vraiment que chaque femme se distingue, en plus de ne pas s'inspirer d'une autre, j'ai l'impression. Il faut vraiment qu'on soit parfaites, uniquement, nous-mêmes, toujours meilleures. Et je ne sais pas, il manque un peu d'entraide. Et je trouve que ce genre d'événement, c'était vraiment intéressant de pouvoir partager d'autres ressentis d'autres femmes. Donc franchement, ce sujet-là, c'est vraiment intéressant et je vous... recommande je vous abdiquerai vous dire mais ce que j'ai réussi m'en sortir en fait de ce syndrome et à améliorer ma charge mentale mais donc là ça va ce que j'ai fait mais j'avais pas l'énergie en fait j'ai eu un mal dedans en avril du coup j'ai pas envie de manger pas envie de cuisiner rien c'est très compliqué pour moi donc bon moi j'ai vu que j'avais plus de courses pas dit je vais acheter au début il va acheter comme ça je choisis exactement ce que je veux manger qui est simple à manger tout la fois c'est un moment comme ça et de toute façon je mangeais une fois par jour j'ai que le midi donc c'est pas forcément évident pour moi mais bon j'ai tenu ça a été mais franchement faut aller au sport faut faire à manger faut suivre les cours faut travailler Il faut être une bonne copine, une bonne fille, une bonne partout. Il faut être parfaite tout le temps. Pour moi, ça, c'est une angoisse. Mais bon, ce n'est pas évident. Mais bon, je vous recommande vraiment de trier dans votre vie, de faire le classement de tout ce que vous faites, de vous regrouper. Et ensuite, vraiment analyser si vous vous sentez mieux. Et je pense... Planifier dans son agenda des pauses. Je pense que c'est grave important de mettre dans son agenda repos. Chill day, I don't know. Trouvez un nom marketing si vous voulez. C'est important de mettre dans son agenda. Aujourd'hui, je suis occupée. Occupée de quoi ? De me reposer. C'est tout. Franchement, se reposer, c'est un goût. J'ai l'impression que c'est devenu une richesse. Une richesse humaine dans du temps. Franchement, des fois, même pas aller au médecin, c'est compliqué. Donc on dit que ça me disait plein, on dit non, on dit il reste la semaine, si vous prenez rendez-vous à 4h45, j'avoue que je ferais fort de prendre, c'est ma santé. Et rattraper un autre jour en surcan, mais c'est pas du tout évident. Mais bon, sur ce, je vous laisse, je suis épuisée, j'ai envie de dormir, je voulais faire ce sujet depuis un petit moment. Mais je ne savais pas comment l'aborder. Mais je suis heureuse d'avoir vu tout. Donc bisous, bye, la team. Later to myself, you know. That's a girl, Jessie. Bye bye, bonne nuit.

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Dans cette épisode, je te raconte le poids de la vie quand on est une femme qui a habitué tout le Monde à ce qu’on soit la femme parfaite alors qu’en réalité on veut juste être une humaine avec nos moments de croissance et nos moments de décroissance.


Prenons le temps d’être imparfaitement nous-même car l’homme n’est pas parfait et ben la femme non plus finalement.


On a le droit de lâcher prise et de déléguer. Oui, ces tâches seront faites, différemment, oui, mais ça nous débarrassera d’un poids.


Les femmes ont été trop souvent programmé à devoir tout faire et à savoir tout. Mais à quelle moment, on nous a appris à nous détendre, à déléguer avant qu’on ne puisse plus.


Si, ce sujet t'intéresse, cet épisode est celui qu’il te faut. Assied toi avec ta boisson préférée, et profite de mon épisode sur « le syndrome de la femme parfaite ».

——————————————————————-

Je te remercie d’avance pour ton écoute et j’espère que mon retour d’expérience t’aura fait plaisir et t’aura aider à te poser les bonnes questions sur ta propre vie.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hi everyone ! On va parler aujourd'hui du syndrome de la fille et de la femme parfaite. Bon, j'encadre un peu les deux parce que d'abord on est fille, on est d'abord l'enfant de nos parents, donc déjà pour commencer... Pour vous mettre déjà une petite intro, on est fille et ensuite on devient adulte, donc on devient femme. C'est tout un processus. Et après, bien sûr, il y a le sujet de la mère parfaite, mais bon, ce n'est pas un sujet que je peux traiter parce que je n'ai pas encore eu d'enfant. Voilà. On va commencer vraiment par ce syndrome-là. Déjà, pourquoi je viens en parler ? Pour commencer, parce que c'est quelque chose qui me touche. Clairement, la pression. La pression sociale, la pression de devoir bien faire les choses. Surtout quand, vous savez, on a donné l'habitude aux gens. Moi, c'est vraiment mon cas. Quand on a commencé à donner l'habitude aux gens de faire à manger. Le jour où tu ne fais plus, bon Dieu, tout le monde, mais tu ne fais plus, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as un problème dans ta tête ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Il faut faire à manger. Franchement, une femme qui ne fait pas à manger, ce n'est pas bien. Franchement, t'achètes. Avant, tu faisais, qu'est-ce qui se... passe en dépression non j'ai juste envie de me concentrer sur d'autres choses j'ai envie de profiter qu'on me le fasse directement qu'on passe à manger aussi ça me retire une charge mentale parce qu'en soit pour pouvoir faire à manger il ya beaucoup d'étapes déjà il faut faire les courses donc il faut aller au supermarché Porter les courses, choisir tout ça, faire la cure, mettre chez toi, ranger les courses. Ensuite, il faut couper, par exemple, les légumes. Mon Dieu, déjà, juste là, je suis déjà en angoisse, franchement. Faire tout ça, éplucher, nettoyer, faire un cure, surveiller, laisser refroidir, mettre au frigo. Ensuite, faire les pensions pour chaque jour. Mon Dieu, mais déjà, juste là, on parle juste de... Faire à manger. Et ensuite, veiller à ce que ça ne pourrisse pas. Franchement, tu deviens une cuisinière. Une vraie cuisinière, comme au restaurant. La gestion des stocks, tout ça, rendement, tout ça, tout le bord. Ça, c'est juste cuisiner. Par exemple, il y a un autre sujet, c'est l'essence, la voiture. Mon Dieu, mais même une voiture, c'est beaucoup de charges mentales. Clairement. Donc, la voiture, il faut veiller à ce qu'il y ait toujours de l'essence. Il faut prévoir le budget, il faut aller près d'une station d'essence. Ouvertes, à la bonne heure, parce que moi je veux un pompis, tout ça. Et moi je veux payer un ticket restaurant. Du coup, je peux payer que des montants un peu fixes à moins de 25 euros. Moi ça me va parce que la voiture a un petit bac, mais bon voilà. Faut quand même surveiller ça, faut le faire avant le dimanche. En plus moi je veux faire l'essence quand il n'y a pas le soleil chaud. Donc en fait, à partir de 17h. Franchement, beaucoup de gestion. Beaucoup de gestion. Franchement, on en parlait hier, j'avais une conférence sur la charge mentale, Elia, et bien sûr c'était fait pour les femmes cette conférence, et franchement, ils ont dit qu'un humain normal, donc en soi, c'est pas pour dénigrer, mais un homme a environ 30 000 choses dans sa tête, une femme c'est le double, clairement, c'est le double. Et en vrai, ça m'étonne pas, parce que souvent, une bonne parenté de la charge mentale est... que l'homme est censé gérer, il la refile à la femme, ni de rien. Franchement, une femme, si elle est malade, elle doit se gérer elle-même, en général. Ce n'est pas l'homme qui va prendre soin. Et après, on le gagne, s'il a une petite coupure, mon Dieu ! Ouh, la terre tremble ! Il faut l'aider, il faut l'aider, lui, il faut l'aider. Mais toi, tu peux crever, si toi, tu as un problème du foie. Je ne généralise pas, bien sûr, mais... Bien sûr, c'est mon podcast, je parle de mon expérience. Vous avez le droit d'avoir d'autres pensées, c'est justement le but. Moi, je trouve que justement, petite parenthèse, c'est que je trouve que quand d'autres personnes te donnent ton avis, mais différent du tien, ça te pousse à développer ta propre pensée. Moi, je trouve que c'est ça mon avis. Par exemple, j'en ai écouté des podcasts, j'en écoute encore. Et justement, je ne suis pas d'accord avec tout, mais je trouve que c'est intéressant d'avoir l'avis des autres. Donc, moi, je trouve que c'est intéressant d'écouter des podcasts ou d'écouter des gens de manière générale. Puisque quand tu prends le temps d'écouter, de comprendre, tu te mets à la place de l'autre et après tu te mets aussi à ta place donc c'est important du coup bien sûr, ce que je veux dire c'est qu'il faut toujours prendre avec des pincettes ce que quelqu'un peut vous dire Mais du coup, oui, pour moi, c'est vraiment épuisant. La charge mentale des femmes, j'avoue, c'est un vrai sujet. Et ils en ont fait une conférence. Et finalement, la dame, elle a dit, la conférencière, qu'en soi, l'IA ne va pas vous aider. Elle a besoin que vous vous aidiez, c'est vous-même. Clairement, elle nous a dit ça. Elle nous a dit, en soi, pour pouvoir réduire sa charge mentale, il faut déjà savoir où est-ce qu'on perd du temps dans sa vie. Donc, il faut déjà savoir qu'est-ce qu'on fait dans notre journée, dans notre semaine. exactement et optimiser chaque moment par exemple. Mais je trouve que justement, quand on optimise, ça nous laisse du temps. Et quand ça nous laisse du temps, on a envie d'en faire encore. Donc en vrai, des fois, ce qu'on ne sait plus si bien optimiser, moi, c'est grave ce qui m'arrive au taf. Franchement, les trucs, je les fais vite et tout. Eh bien, si tu les fais vite, on te donne d'autres. Et puis, tu optimises parce que tu te sens débordée et après, on te donne d'autres. C'est fini, on te donne d'autres, on te donne plus, on te donne tellement plus qu'après tu as... Tu ne peux pas entre-gérer des fois. Et après, tu es en mode... Et certains trucs, tu es en mode, ce n'est pas important, je ne les ai pas faits. Mais du coup, finalement, il fallait peut-être les faire. Mais oui, pour moi, c'est un peu ce syndrome-là tout le temps. Vous êtes parfait. Je ne sais pas si ça vous arrive. Je ne sais pas si les hommes ont ce syndrome-là. Je pense qu'eux, ils en ont d'autres. D'ailleurs, j'aime bien. Il y a un podcast sur le masculin. J'aime bien. Je trouve ça intéressant d'avoir l'avis des hommes dit par un homme. Parce que souvent, entre filles, on parle des garçons, mais on n'est pas un garçon. Donc c'est bien d'avoir la vie d'un garçon. Mais franchement, j'aurais tellement aimé que tout soit un peu plus lisse, qu'on ait le droit de dire non, j'ai pas envie de faire tout le temps bien les choses. J'ai le droit d'être humaine. Et en plus, moi, je suis chef de projet pour un devoir scolaire. Et c'est pas évident, en fait, parce que tout le temps... Tu dois motiver les gens, mais toi qui te motives ? Toi, tu dois toujours être au taquet, tu dois être au courant de tout, tu dois tout faire, mais toi, à quel moment tu te relâches en fait ? Et le jour où, par exemple, tu te relâches un peu, peut-être deux semaines, par exemple, et que tu dis rien, tu ne les coaches pas, tu ne les motives pas, tu ne fais rien, tu ne reviens pas, tu ne vérifies pas, tu ne fais rien du tout, eh bien, ils diront que c'est ta faute. Ils diront que c'est ta faute. Je ne prends personne, mais... globalement, les gens préfèrent qu'on les stresse, que ça soit bien fait plutôt qu'on ne les stresse pas et qu'en fait ça ne soit pas fait on ne t'en voudra jamais d'avoir fait avancer les projets, d'avoir fait les choses franchement je trouve ça tellement bizarre dans la psychologie humaine c'est-à-dire, si tu ne dis pas aux gens il faut faire ci, il faut faire ça tu les laisses un peu vivre eux-mêmes, et bien ils t'en voudront ils te diront, tu ne m'as rien dit tu ne m'as pas relancé, il vaut mieux qu'ils t'aient trop chiante, mais c'est bien fait Merci. Ils te trouvent gentille, mais tu n'as rien fait. Et là, ils t'en voudront vraiment. Ils diront, ah, elle ne m'a rien dit. Tu ne peux pas dire que j'étais timide. Tu ne peux pas lancer cette carte, mon Dieu. Tu peux toujours bien faire les choses. Je trouve ça dur. Jamais, je n'ai le droit de dire, je ne sais pas faire un truc. Tout le temps, tu es capable, tu as le fait. Tout le temps, tu as bien fait les choses. Même la maison. J'ai fait un épisode sur la maison, mais c'est aussi une charge mentale. Peu importe, mais c'est une charge mentale. Que ce soit ta maison à toi ou celle de quelqu'un d'autre, mais si c'est la tienne, c'est encore plus. Mais ce n'est pas évident. Balayer, s'empiler, l'exclaméning, l'intérieur, l'extérieur, enlever les soldats réunis, vérifier que la maison est bien sur certains points, comme la clim, l'entretien, ce genre de choses. Vérifier que l'Internet fonctionne bien. Faire signaler au propriétaire que ça ne fonctionne pas. Attendre qu'il répare. Voilà. Ensuite, secouer certaines choses. Laver certaines choses. Puis dépoussiérer. Oh mon Dieu, il y a tellement de choses à faire. Entre aussi, trier ses papiers. Lire les courriers quand on voit. Gérer les impôts. Gérer la CAF. Gérer toutes les administrations comme ça. C'est beaucoup de choses. Gérer ton compte en banque aussi. Aïe, aïe, aïe. Mon Dieu. tellement de choses à gérer, franchement c'est juste une angoisse et je comprends que il y a des femmes, des hommes aussi qui tombent en burn-out en vrai, c'est pas évident c'était pas soutenu, je pense que c'est justement moi je pense que le sujet en fait c'était aussi lâcher prise je pense que vraiment c'est quelque chose qu'on doit apprendre à faire et tout et madame a dit ça en vraiment lâcher prise, elle nous a demandé à quel moment on prend du temps pour soi vraiment pour soi, pas à s'occuper de quelqu'un, mais s'occuper de soi-même. Et en vrai, j'ai regardé dans ma journée et j'étais en mode, il n'y a pas beaucoup de time en fait. Pas beaucoup de time en fait, où je prends du temps pour moi, vraiment pour moi. Je dirais que quand je me maquille un petit peu, je prends du temps pour moi et tout. Mais j'avoue, quand je travaille, je fais 9h-17h, que j'arrive au travail, j'ai pas de temps pour moi. Franchement, non, t'as pas de temps pour toi. Après, tu vas au sport. En plus, ça, c'est dur aussi. Je retourne aujourd'hui cette semaine, mais ce n'est pas évident. Tu vas au sport. Ensuite, tu rentres chez toi. Il est genre 19h20, 15h20. Ensuite, tu te douches. C'est fini tout ça. Il est 20h. Tu dois ensuite normalement cuisiner, le manger, le repas. Il est genre 21h30. Après, tu sens que c'est prendre du temps pour toi, là ? C'est le redormir. On fouette. C'est le temps de dormir. Tu vas dire bon, tu regardes quelques messages, tu scrolles, tu en as un. Mais il est 22h30 et tout. 23h, t'es crevé, tu dors en fait. Ça veut pas dire que t'as pris du temps pour toi vraiment. Et du coup, t'attends le week-end, t'attends le dimanche en général. Parce que samedi, c'est le jour où tu fais toutes tes démarches. Toutes les courses et tout qui s'accumulent et tout ça. Tu vas le faire le samedi. Donc il te reste le dimanche. Mais bon, dimanche, il faut que t'aies juste envie de dormir. Pour moi, le vrai luxe, c'est d'avoir du temps pour dormir. Pour moi, c'est un vrai luxe. Mais ouais, c'est pas évident. Je trouve que les femmes, on nous a conditionnées à toujours porter la maison. C'est grave, la phrase potomitan et tout. C'est très lourd à porter. On porte une maison. On est les fondations de la maison. On est les potos. Franchement. C'est pas évident, sans nous tout s'effondre. C'est ce qui est dur en fait dans la charge mentale, c'est que t'as l'impression tout le temps que c'est toi qui portes tout. Et en vrai, il y a une dame qui a dit hier, oui en vrai on pense toujours qu'on a besoin de nous, mais en soi si par exemple on peut vraiment pas, les choses vont continuer. Autrement, différemment, c'est vrai, mais elles vont continuer, ça c'est vrai. Si par exemple je dis, même au travail, ils font semblant des fois que t'es indispensable et tout, mais si t'es pas là... ils vont te remplacer et vice-versa. Si ma responsable n'est pas là, on va devoir faire avancer les choses quand même. Donc dans tous les cas, tout le monde est un peu, je ne dirais pas remplaçable, mais substituable peut-être, je ne sais pas si c'est le bon terme, mais on peut toujours faire à la place de quelqu'un. Ça sera différent, pas les mêmes méthodologies, les mêmes visions, les mêmes choses, ça c'est clair. Clairement, ce ne sera jamais pareil. Mais on peut avoir un résultat final pareil ou semblable ou peut-être complètement différent, mais qui collera aux objectifs quand même demandés. Donc, ça reste correct. Mais j'avoue que tout le temps, on doit faire bien les choses. Là, je parle d'une partie des choses à gérer, mais je ne m'en rendais pas compte. En fait, j'étais en plus habituée d'avoir des standards élevés et de devoir faire beaucoup de choses dans ma vie. Pour moi, c'est normal. Mais en fait, non, d'ici, il faut quand même apprendre à lever le pied, à même s'arrêter des fois en chemin et dire, je refuse, je ne fais pas ça. Je n'ai plus envie, je n'ai plus de force. Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui ont pris l'habitude de me voir sortir en soirée très souvent. Mais ça, j'avoue, ça, j'ai du mal maintenant. Là, franchement, si j'ai une soirée... En fait, là, en plus, je préfère aller graver en soirée seule, ça. ou bachata ou je ne sais pas, mais soirée chill, soirée cinéma, un truc un peu chic. Mais mon Dieu, il y a des gens qui m'ont remis en soirée, je leur disais, mais non, je n'ai pas envie d'aller. Je n'ai pas envie d'aller, bientôt examen et tout. J'ai envie d'être au calme. J'ai envie d'être posée dans mon lit, regarder un peu la télé, faire des tableaux Excel et tout. J'ai envie de faire ça, j'ai envie d'avoir du temps pour moi, d'être posée et tout. Voilà quoi, j'ai pas mal de petits projets et tout. Et puis j'avoue que je me cherche un peu beaucoup. En ce moment, je crois que j'ai un projet business que je pourrais mettre en place. Donc je mets toute mon énergie dedans. Et comme dirait mon pote, t'en as... qu'est-ce que tu perds en fait ? Au pire, t'auras appris des choses et... Le projet n'aime pas Nancy. Mais je sens que j'ai appris pas mal de choses. Franchement, j'en ai appris des choses. Surtout ce qui est plan financier, créer une offre de produits, tout. Rétarif déjà. J'ai beaucoup avancé, j'ai appris beaucoup de choses. Ça, je pense que ça devait être un peu une étude de casse au business, mais je trouve que c'est hyper intéressant. Et de toute façon, quand tu es plongée dedans, tu ne peux qu'apprécier. Je comprends qu'il y ait des sociétés qui aident les gens, qui ont leur entreprise et tout, mais c'est un vrai bonheur, en tout cas pour moi, personnellement, de pouvoir faire toute la stratégie, puisque finalement, c'est mes études, tout ce qui est stratégique. Pour moi c'est la base et après créer l'entreprise vraiment ce côté administratif ça va vite tu sais. C'est le plus simple. Mais déjà créer le concept, le business plan, le plan financier, tout ça, tous les petits calculs, soit le PST, la concurrence, nan nan. Est-ce qu'on veut des salariés ? Oui, non. Comment on va s'en occuper ? Nan nan nan nan nan. Le recrutement des salariés, image de marque en clair, tout ça. Il y a tellement de choses. Et du coup c'est pour aussi vous parler du côté aussi business aussi finalement la femme doit toujours être parfaite, toujours parfaite. Tirée à la 4 épingles, bien profite, belle, intelligente, une bonne maman, une bonne épouse, une bonne femme et une bonne fille finalement. Elle doit aussi être vraiment unique et excellente à chaque fois. Il faut vraiment que chaque femme se distingue, en plus de ne pas s'inspirer d'une autre, j'ai l'impression. Il faut vraiment qu'on soit parfaites, uniquement, nous-mêmes, toujours meilleures. Et je ne sais pas, il manque un peu d'entraide. Et je trouve que ce genre d'événement, c'était vraiment intéressant de pouvoir partager d'autres ressentis d'autres femmes. Donc franchement, ce sujet-là, c'est vraiment intéressant et je vous... recommande je vous abdiquerai vous dire mais ce que j'ai réussi m'en sortir en fait de ce syndrome et à améliorer ma charge mentale mais donc là ça va ce que j'ai fait mais j'avais pas l'énergie en fait j'ai eu un mal dedans en avril du coup j'ai pas envie de manger pas envie de cuisiner rien c'est très compliqué pour moi donc bon moi j'ai vu que j'avais plus de courses pas dit je vais acheter au début il va acheter comme ça je choisis exactement ce que je veux manger qui est simple à manger tout la fois c'est un moment comme ça et de toute façon je mangeais une fois par jour j'ai que le midi donc c'est pas forcément évident pour moi mais bon j'ai tenu ça a été mais franchement faut aller au sport faut faire à manger faut suivre les cours faut travailler Il faut être une bonne copine, une bonne fille, une bonne partout. Il faut être parfaite tout le temps. Pour moi, ça, c'est une angoisse. Mais bon, ce n'est pas évident. Mais bon, je vous recommande vraiment de trier dans votre vie, de faire le classement de tout ce que vous faites, de vous regrouper. Et ensuite, vraiment analyser si vous vous sentez mieux. Et je pense... Planifier dans son agenda des pauses. Je pense que c'est grave important de mettre dans son agenda repos. Chill day, I don't know. Trouvez un nom marketing si vous voulez. C'est important de mettre dans son agenda. Aujourd'hui, je suis occupée. Occupée de quoi ? De me reposer. C'est tout. Franchement, se reposer, c'est un goût. J'ai l'impression que c'est devenu une richesse. Une richesse humaine dans du temps. Franchement, des fois, même pas aller au médecin, c'est compliqué. Donc on dit que ça me disait plein, on dit non, on dit il reste la semaine, si vous prenez rendez-vous à 4h45, j'avoue que je ferais fort de prendre, c'est ma santé. Et rattraper un autre jour en surcan, mais c'est pas du tout évident. Mais bon, sur ce, je vous laisse, je suis épuisée, j'ai envie de dormir, je voulais faire ce sujet depuis un petit moment. Mais je ne savais pas comment l'aborder. Mais je suis heureuse d'avoir vu tout. Donc bisous, bye, la team. Later to myself, you know. That's a girl, Jessie. Bye bye, bonne nuit.

Description

Dans cette épisode, je te raconte le poids de la vie quand on est une femme qui a habitué tout le Monde à ce qu’on soit la femme parfaite alors qu’en réalité on veut juste être une humaine avec nos moments de croissance et nos moments de décroissance.


Prenons le temps d’être imparfaitement nous-même car l’homme n’est pas parfait et ben la femme non plus finalement.


On a le droit de lâcher prise et de déléguer. Oui, ces tâches seront faites, différemment, oui, mais ça nous débarrassera d’un poids.


Les femmes ont été trop souvent programmé à devoir tout faire et à savoir tout. Mais à quelle moment, on nous a appris à nous détendre, à déléguer avant qu’on ne puisse plus.


Si, ce sujet t'intéresse, cet épisode est celui qu’il te faut. Assied toi avec ta boisson préférée, et profite de mon épisode sur « le syndrome de la femme parfaite ».

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Je te remercie d’avance pour ton écoute et j’espère que mon retour d’expérience t’aura fait plaisir et t’aura aider à te poser les bonnes questions sur ta propre vie.


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Transcription

  • Speaker #0

    Hi everyone ! On va parler aujourd'hui du syndrome de la fille et de la femme parfaite. Bon, j'encadre un peu les deux parce que d'abord on est fille, on est d'abord l'enfant de nos parents, donc déjà pour commencer... Pour vous mettre déjà une petite intro, on est fille et ensuite on devient adulte, donc on devient femme. C'est tout un processus. Et après, bien sûr, il y a le sujet de la mère parfaite, mais bon, ce n'est pas un sujet que je peux traiter parce que je n'ai pas encore eu d'enfant. Voilà. On va commencer vraiment par ce syndrome-là. Déjà, pourquoi je viens en parler ? Pour commencer, parce que c'est quelque chose qui me touche. Clairement, la pression. La pression sociale, la pression de devoir bien faire les choses. Surtout quand, vous savez, on a donné l'habitude aux gens. Moi, c'est vraiment mon cas. Quand on a commencé à donner l'habitude aux gens de faire à manger. Le jour où tu ne fais plus, bon Dieu, tout le monde, mais tu ne fais plus, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu as un problème dans ta tête ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Il faut faire à manger. Franchement, une femme qui ne fait pas à manger, ce n'est pas bien. Franchement, t'achètes. Avant, tu faisais, qu'est-ce qui se... passe en dépression non j'ai juste envie de me concentrer sur d'autres choses j'ai envie de profiter qu'on me le fasse directement qu'on passe à manger aussi ça me retire une charge mentale parce qu'en soit pour pouvoir faire à manger il ya beaucoup d'étapes déjà il faut faire les courses donc il faut aller au supermarché Porter les courses, choisir tout ça, faire la cure, mettre chez toi, ranger les courses. Ensuite, il faut couper, par exemple, les légumes. Mon Dieu, déjà, juste là, je suis déjà en angoisse, franchement. Faire tout ça, éplucher, nettoyer, faire un cure, surveiller, laisser refroidir, mettre au frigo. Ensuite, faire les pensions pour chaque jour. Mon Dieu, mais déjà, juste là, on parle juste de... Faire à manger. Et ensuite, veiller à ce que ça ne pourrisse pas. Franchement, tu deviens une cuisinière. Une vraie cuisinière, comme au restaurant. La gestion des stocks, tout ça, rendement, tout ça, tout le bord. Ça, c'est juste cuisiner. Par exemple, il y a un autre sujet, c'est l'essence, la voiture. Mon Dieu, mais même une voiture, c'est beaucoup de charges mentales. Clairement. Donc, la voiture, il faut veiller à ce qu'il y ait toujours de l'essence. Il faut prévoir le budget, il faut aller près d'une station d'essence. Ouvertes, à la bonne heure, parce que moi je veux un pompis, tout ça. Et moi je veux payer un ticket restaurant. Du coup, je peux payer que des montants un peu fixes à moins de 25 euros. Moi ça me va parce que la voiture a un petit bac, mais bon voilà. Faut quand même surveiller ça, faut le faire avant le dimanche. En plus moi je veux faire l'essence quand il n'y a pas le soleil chaud. Donc en fait, à partir de 17h. Franchement, beaucoup de gestion. Beaucoup de gestion. Franchement, on en parlait hier, j'avais une conférence sur la charge mentale, Elia, et bien sûr c'était fait pour les femmes cette conférence, et franchement, ils ont dit qu'un humain normal, donc en soi, c'est pas pour dénigrer, mais un homme a environ 30 000 choses dans sa tête, une femme c'est le double, clairement, c'est le double. Et en vrai, ça m'étonne pas, parce que souvent, une bonne parenté de la charge mentale est... que l'homme est censé gérer, il la refile à la femme, ni de rien. Franchement, une femme, si elle est malade, elle doit se gérer elle-même, en général. Ce n'est pas l'homme qui va prendre soin. Et après, on le gagne, s'il a une petite coupure, mon Dieu ! Ouh, la terre tremble ! Il faut l'aider, il faut l'aider, lui, il faut l'aider. Mais toi, tu peux crever, si toi, tu as un problème du foie. Je ne généralise pas, bien sûr, mais... Bien sûr, c'est mon podcast, je parle de mon expérience. Vous avez le droit d'avoir d'autres pensées, c'est justement le but. Moi, je trouve que justement, petite parenthèse, c'est que je trouve que quand d'autres personnes te donnent ton avis, mais différent du tien, ça te pousse à développer ta propre pensée. Moi, je trouve que c'est ça mon avis. Par exemple, j'en ai écouté des podcasts, j'en écoute encore. Et justement, je ne suis pas d'accord avec tout, mais je trouve que c'est intéressant d'avoir l'avis des autres. Donc, moi, je trouve que c'est intéressant d'écouter des podcasts ou d'écouter des gens de manière générale. Puisque quand tu prends le temps d'écouter, de comprendre, tu te mets à la place de l'autre et après tu te mets aussi à ta place donc c'est important du coup bien sûr, ce que je veux dire c'est qu'il faut toujours prendre avec des pincettes ce que quelqu'un peut vous dire Mais du coup, oui, pour moi, c'est vraiment épuisant. La charge mentale des femmes, j'avoue, c'est un vrai sujet. Et ils en ont fait une conférence. Et finalement, la dame, elle a dit, la conférencière, qu'en soi, l'IA ne va pas vous aider. Elle a besoin que vous vous aidiez, c'est vous-même. Clairement, elle nous a dit ça. Elle nous a dit, en soi, pour pouvoir réduire sa charge mentale, il faut déjà savoir où est-ce qu'on perd du temps dans sa vie. Donc, il faut déjà savoir qu'est-ce qu'on fait dans notre journée, dans notre semaine. exactement et optimiser chaque moment par exemple. Mais je trouve que justement, quand on optimise, ça nous laisse du temps. Et quand ça nous laisse du temps, on a envie d'en faire encore. Donc en vrai, des fois, ce qu'on ne sait plus si bien optimiser, moi, c'est grave ce qui m'arrive au taf. Franchement, les trucs, je les fais vite et tout. Eh bien, si tu les fais vite, on te donne d'autres. Et puis, tu optimises parce que tu te sens débordée et après, on te donne d'autres. C'est fini, on te donne d'autres, on te donne plus, on te donne tellement plus qu'après tu as... Tu ne peux pas entre-gérer des fois. Et après, tu es en mode... Et certains trucs, tu es en mode, ce n'est pas important, je ne les ai pas faits. Mais du coup, finalement, il fallait peut-être les faire. Mais oui, pour moi, c'est un peu ce syndrome-là tout le temps. Vous êtes parfait. Je ne sais pas si ça vous arrive. Je ne sais pas si les hommes ont ce syndrome-là. Je pense qu'eux, ils en ont d'autres. D'ailleurs, j'aime bien. Il y a un podcast sur le masculin. J'aime bien. Je trouve ça intéressant d'avoir l'avis des hommes dit par un homme. Parce que souvent, entre filles, on parle des garçons, mais on n'est pas un garçon. Donc c'est bien d'avoir la vie d'un garçon. Mais franchement, j'aurais tellement aimé que tout soit un peu plus lisse, qu'on ait le droit de dire non, j'ai pas envie de faire tout le temps bien les choses. J'ai le droit d'être humaine. Et en plus, moi, je suis chef de projet pour un devoir scolaire. Et c'est pas évident, en fait, parce que tout le temps... Tu dois motiver les gens, mais toi qui te motives ? Toi, tu dois toujours être au taquet, tu dois être au courant de tout, tu dois tout faire, mais toi, à quel moment tu te relâches en fait ? Et le jour où, par exemple, tu te relâches un peu, peut-être deux semaines, par exemple, et que tu dis rien, tu ne les coaches pas, tu ne les motives pas, tu ne fais rien, tu ne reviens pas, tu ne vérifies pas, tu ne fais rien du tout, eh bien, ils diront que c'est ta faute. Ils diront que c'est ta faute. Je ne prends personne, mais... globalement, les gens préfèrent qu'on les stresse, que ça soit bien fait plutôt qu'on ne les stresse pas et qu'en fait ça ne soit pas fait on ne t'en voudra jamais d'avoir fait avancer les projets, d'avoir fait les choses franchement je trouve ça tellement bizarre dans la psychologie humaine c'est-à-dire, si tu ne dis pas aux gens il faut faire ci, il faut faire ça tu les laisses un peu vivre eux-mêmes, et bien ils t'en voudront ils te diront, tu ne m'as rien dit tu ne m'as pas relancé, il vaut mieux qu'ils t'aient trop chiante, mais c'est bien fait Merci. Ils te trouvent gentille, mais tu n'as rien fait. Et là, ils t'en voudront vraiment. Ils diront, ah, elle ne m'a rien dit. Tu ne peux pas dire que j'étais timide. Tu ne peux pas lancer cette carte, mon Dieu. Tu peux toujours bien faire les choses. Je trouve ça dur. Jamais, je n'ai le droit de dire, je ne sais pas faire un truc. Tout le temps, tu es capable, tu as le fait. Tout le temps, tu as bien fait les choses. Même la maison. J'ai fait un épisode sur la maison, mais c'est aussi une charge mentale. Peu importe, mais c'est une charge mentale. Que ce soit ta maison à toi ou celle de quelqu'un d'autre, mais si c'est la tienne, c'est encore plus. Mais ce n'est pas évident. Balayer, s'empiler, l'exclaméning, l'intérieur, l'extérieur, enlever les soldats réunis, vérifier que la maison est bien sur certains points, comme la clim, l'entretien, ce genre de choses. Vérifier que l'Internet fonctionne bien. Faire signaler au propriétaire que ça ne fonctionne pas. Attendre qu'il répare. Voilà. Ensuite, secouer certaines choses. Laver certaines choses. Puis dépoussiérer. Oh mon Dieu, il y a tellement de choses à faire. Entre aussi, trier ses papiers. Lire les courriers quand on voit. Gérer les impôts. Gérer la CAF. Gérer toutes les administrations comme ça. C'est beaucoup de choses. Gérer ton compte en banque aussi. Aïe, aïe, aïe. Mon Dieu. tellement de choses à gérer, franchement c'est juste une angoisse et je comprends que il y a des femmes, des hommes aussi qui tombent en burn-out en vrai, c'est pas évident c'était pas soutenu, je pense que c'est justement moi je pense que le sujet en fait c'était aussi lâcher prise je pense que vraiment c'est quelque chose qu'on doit apprendre à faire et tout et madame a dit ça en vraiment lâcher prise, elle nous a demandé à quel moment on prend du temps pour soi vraiment pour soi, pas à s'occuper de quelqu'un, mais s'occuper de soi-même. Et en vrai, j'ai regardé dans ma journée et j'étais en mode, il n'y a pas beaucoup de time en fait. Pas beaucoup de time en fait, où je prends du temps pour moi, vraiment pour moi. Je dirais que quand je me maquille un petit peu, je prends du temps pour moi et tout. Mais j'avoue, quand je travaille, je fais 9h-17h, que j'arrive au travail, j'ai pas de temps pour moi. Franchement, non, t'as pas de temps pour toi. Après, tu vas au sport. En plus, ça, c'est dur aussi. Je retourne aujourd'hui cette semaine, mais ce n'est pas évident. Tu vas au sport. Ensuite, tu rentres chez toi. Il est genre 19h20, 15h20. Ensuite, tu te douches. C'est fini tout ça. Il est 20h. Tu dois ensuite normalement cuisiner, le manger, le repas. Il est genre 21h30. Après, tu sens que c'est prendre du temps pour toi, là ? C'est le redormir. On fouette. C'est le temps de dormir. Tu vas dire bon, tu regardes quelques messages, tu scrolles, tu en as un. Mais il est 22h30 et tout. 23h, t'es crevé, tu dors en fait. Ça veut pas dire que t'as pris du temps pour toi vraiment. Et du coup, t'attends le week-end, t'attends le dimanche en général. Parce que samedi, c'est le jour où tu fais toutes tes démarches. Toutes les courses et tout qui s'accumulent et tout ça. Tu vas le faire le samedi. Donc il te reste le dimanche. Mais bon, dimanche, il faut que t'aies juste envie de dormir. Pour moi, le vrai luxe, c'est d'avoir du temps pour dormir. Pour moi, c'est un vrai luxe. Mais ouais, c'est pas évident. Je trouve que les femmes, on nous a conditionnées à toujours porter la maison. C'est grave, la phrase potomitan et tout. C'est très lourd à porter. On porte une maison. On est les fondations de la maison. On est les potos. Franchement. C'est pas évident, sans nous tout s'effondre. C'est ce qui est dur en fait dans la charge mentale, c'est que t'as l'impression tout le temps que c'est toi qui portes tout. Et en vrai, il y a une dame qui a dit hier, oui en vrai on pense toujours qu'on a besoin de nous, mais en soi si par exemple on peut vraiment pas, les choses vont continuer. Autrement, différemment, c'est vrai, mais elles vont continuer, ça c'est vrai. Si par exemple je dis, même au travail, ils font semblant des fois que t'es indispensable et tout, mais si t'es pas là... ils vont te remplacer et vice-versa. Si ma responsable n'est pas là, on va devoir faire avancer les choses quand même. Donc dans tous les cas, tout le monde est un peu, je ne dirais pas remplaçable, mais substituable peut-être, je ne sais pas si c'est le bon terme, mais on peut toujours faire à la place de quelqu'un. Ça sera différent, pas les mêmes méthodologies, les mêmes visions, les mêmes choses, ça c'est clair. Clairement, ce ne sera jamais pareil. Mais on peut avoir un résultat final pareil ou semblable ou peut-être complètement différent, mais qui collera aux objectifs quand même demandés. Donc, ça reste correct. Mais j'avoue que tout le temps, on doit faire bien les choses. Là, je parle d'une partie des choses à gérer, mais je ne m'en rendais pas compte. En fait, j'étais en plus habituée d'avoir des standards élevés et de devoir faire beaucoup de choses dans ma vie. Pour moi, c'est normal. Mais en fait, non, d'ici, il faut quand même apprendre à lever le pied, à même s'arrêter des fois en chemin et dire, je refuse, je ne fais pas ça. Je n'ai plus envie, je n'ai plus de force. Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui ont pris l'habitude de me voir sortir en soirée très souvent. Mais ça, j'avoue, ça, j'ai du mal maintenant. Là, franchement, si j'ai une soirée... En fait, là, en plus, je préfère aller graver en soirée seule, ça. ou bachata ou je ne sais pas, mais soirée chill, soirée cinéma, un truc un peu chic. Mais mon Dieu, il y a des gens qui m'ont remis en soirée, je leur disais, mais non, je n'ai pas envie d'aller. Je n'ai pas envie d'aller, bientôt examen et tout. J'ai envie d'être au calme. J'ai envie d'être posée dans mon lit, regarder un peu la télé, faire des tableaux Excel et tout. J'ai envie de faire ça, j'ai envie d'avoir du temps pour moi, d'être posée et tout. Voilà quoi, j'ai pas mal de petits projets et tout. Et puis j'avoue que je me cherche un peu beaucoup. En ce moment, je crois que j'ai un projet business que je pourrais mettre en place. Donc je mets toute mon énergie dedans. Et comme dirait mon pote, t'en as... qu'est-ce que tu perds en fait ? Au pire, t'auras appris des choses et... Le projet n'aime pas Nancy. Mais je sens que j'ai appris pas mal de choses. Franchement, j'en ai appris des choses. Surtout ce qui est plan financier, créer une offre de produits, tout. Rétarif déjà. J'ai beaucoup avancé, j'ai appris beaucoup de choses. Ça, je pense que ça devait être un peu une étude de casse au business, mais je trouve que c'est hyper intéressant. Et de toute façon, quand tu es plongée dedans, tu ne peux qu'apprécier. Je comprends qu'il y ait des sociétés qui aident les gens, qui ont leur entreprise et tout, mais c'est un vrai bonheur, en tout cas pour moi, personnellement, de pouvoir faire toute la stratégie, puisque finalement, c'est mes études, tout ce qui est stratégique. Pour moi c'est la base et après créer l'entreprise vraiment ce côté administratif ça va vite tu sais. C'est le plus simple. Mais déjà créer le concept, le business plan, le plan financier, tout ça, tous les petits calculs, soit le PST, la concurrence, nan nan. Est-ce qu'on veut des salariés ? Oui, non. Comment on va s'en occuper ? Nan nan nan nan nan. Le recrutement des salariés, image de marque en clair, tout ça. Il y a tellement de choses. Et du coup c'est pour aussi vous parler du côté aussi business aussi finalement la femme doit toujours être parfaite, toujours parfaite. Tirée à la 4 épingles, bien profite, belle, intelligente, une bonne maman, une bonne épouse, une bonne femme et une bonne fille finalement. Elle doit aussi être vraiment unique et excellente à chaque fois. Il faut vraiment que chaque femme se distingue, en plus de ne pas s'inspirer d'une autre, j'ai l'impression. Il faut vraiment qu'on soit parfaites, uniquement, nous-mêmes, toujours meilleures. Et je ne sais pas, il manque un peu d'entraide. Et je trouve que ce genre d'événement, c'était vraiment intéressant de pouvoir partager d'autres ressentis d'autres femmes. Donc franchement, ce sujet-là, c'est vraiment intéressant et je vous... recommande je vous abdiquerai vous dire mais ce que j'ai réussi m'en sortir en fait de ce syndrome et à améliorer ma charge mentale mais donc là ça va ce que j'ai fait mais j'avais pas l'énergie en fait j'ai eu un mal dedans en avril du coup j'ai pas envie de manger pas envie de cuisiner rien c'est très compliqué pour moi donc bon moi j'ai vu que j'avais plus de courses pas dit je vais acheter au début il va acheter comme ça je choisis exactement ce que je veux manger qui est simple à manger tout la fois c'est un moment comme ça et de toute façon je mangeais une fois par jour j'ai que le midi donc c'est pas forcément évident pour moi mais bon j'ai tenu ça a été mais franchement faut aller au sport faut faire à manger faut suivre les cours faut travailler Il faut être une bonne copine, une bonne fille, une bonne partout. Il faut être parfaite tout le temps. Pour moi, ça, c'est une angoisse. Mais bon, ce n'est pas évident. Mais bon, je vous recommande vraiment de trier dans votre vie, de faire le classement de tout ce que vous faites, de vous regrouper. Et ensuite, vraiment analyser si vous vous sentez mieux. Et je pense... Planifier dans son agenda des pauses. Je pense que c'est grave important de mettre dans son agenda repos. Chill day, I don't know. Trouvez un nom marketing si vous voulez. C'est important de mettre dans son agenda. Aujourd'hui, je suis occupée. Occupée de quoi ? De me reposer. C'est tout. Franchement, se reposer, c'est un goût. J'ai l'impression que c'est devenu une richesse. Une richesse humaine dans du temps. Franchement, des fois, même pas aller au médecin, c'est compliqué. Donc on dit que ça me disait plein, on dit non, on dit il reste la semaine, si vous prenez rendez-vous à 4h45, j'avoue que je ferais fort de prendre, c'est ma santé. Et rattraper un autre jour en surcan, mais c'est pas du tout évident. Mais bon, sur ce, je vous laisse, je suis épuisée, j'ai envie de dormir, je voulais faire ce sujet depuis un petit moment. Mais je ne savais pas comment l'aborder. Mais je suis heureuse d'avoir vu tout. Donc bisous, bye, la team. Later to myself, you know. That's a girl, Jessie. Bye bye, bonne nuit.

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