Description
«Je me retournerai souvent», le dernier ouvrage de Jean-Paul Enthoven paru chez Grasset, nous plonge dans le passé. Un espace temporel, «une maladie proustienne» que l'écrivain aime cultiver Son passé, certes, mais surtout celui de ceux qu'il aime. «Je ne supporte pas qu'ils aient un avant où je n'étais pas. J'ai besoin de tout savoir», confie-t-il. Ses amis vivants ou défunts, les femmes aimées, la littérature, tous sont un miroir, un moyen pour lui de se connaître. En revanche, l'ancien éditeur, toujours critique littéraire n'a rien gardé de son enfance sur sa terre natale, l'Algérie, lieu «imbibé de sang, de bêtise et de corruption». L'invité de Guyonne de Montjou préfère décrire la comédie humaine qu'offre Paris, dont il est témoin tous les jours, installé au Café de Flore avec ses œufs à la coque. Jean-Paul Enthoven se confie sans détour dans «Libre à vous».
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