Description
l est devenu presque suspect, voire condamnable, d’oser défendre le Maroc. Défendre ses institutions, ses forces vives, son socle de stabilité semble aujourd’hui un acte de défiance envers une opinion publique devenue amère. À peine prononce-t-on un mot de reconnaissance envers Sa Majesté le Roi, les FAR ou la DGSN, qu’on se voit jeté à la figure l’épithète infamante de « aayacha ». Comme si l’amour du pays était devenu un péché, une compromission servile ou un acte de trahison intellectuelle. Comme si l’adhésion sincère à un projet national était une posture de courtisan. Triste époque où défendre sa patrie est assimilé à un manque d’intégrité morale.
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