Description
Et il s’agit, bien évidemment, des dirigeants européens, pas de leurs peuples. Ces peuples-là pensent ce qu’ils veulent, comme ils veulent, quand ils veulent, et c’est le propre des démocraties, du moins telles que l’on nous les a présentées jadis, mais ils sont sévèrement contrôlés et encadrés par leurs gouvernants, qui en ont peur. Le discours du vice-président américain J.D. Vance à Munich, la semaine dernière, est éloquent et instructif à plus d’un titre.
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