Metaclassique #224 – Détonner cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #224 – Détonner

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1h00 |17/05/2023
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Dans une interview qu’il se donnait à lui même en 1962, quelques semaines avant sa mort, le compositeur Hanns Eisler affirmait qu’il n’y a pas d’évolution autonome du matériau musical en soi. Ce n’est que dans son rapport contradictoire avec la société que la musique se développe. Et c’est probablement parce qu’il n’était pas dupe des révolutions musicales qui viendraient se revendiquer en toute indépendance de quelque révolution sociale que Hanns Eisler a pu afficher une liberté musicale aussi franche en composant aussi bien des sonates que des lieders, des pièces de cabaret que des œuvres chorales encore reprises aujourd’hui en chant de manifestation en Allemagne. Et comme son œuvre est portée par un esprit détonnant, c’est bien pour un numéro « Détonner » que Metaclassique s’engage à faire cette semaine le portrait du compositeur. En réunissant dans le salon Mahler de la Bibliothèque La Grange Fleuret à Paris, par ordre d’apparition dans l’émission : la chanteuse et chercheuse Marie Soubestre, le musicologue Pascal Huynh, le petit-fils de Hanns Eisler et poète Daniel Pozner et le guitariste et membre du groupe Das Kapital, Hasse Poulsen.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans une interview qu’il se donnait à lui même en 1962, quelques semaines avant sa mort, le compositeur Hanns Eisler affirmait qu’il n’y a pas d’évolution autonome du matériau musical en soi. Ce n’est que dans son rapport contradictoire avec la société que la musique se développe. Et c’est probablement parce qu’il n’était pas dupe des révolutions musicales qui viendraient se revendiquer en toute indépendance de quelque révolution sociale que Hanns Eisler a pu afficher une liberté musicale aussi franche en composant aussi bien des sonates que des lieders, des pièces de cabaret que des œuvres chorales encore reprises aujourd’hui en chant de manifestation en Allemagne. Et comme son œuvre est portée par un esprit détonnant, c’est bien pour un numéro « Détonner » que Metaclassique s’engage à faire cette semaine le portrait du compositeur. En réunissant dans le salon Mahler de la Bibliothèque La Grange Fleuret à Paris, par ordre d’apparition dans l’émission : la chanteuse et chercheuse Marie Soubestre, le musicologue Pascal Huynh, le petit-fils de Hanns Eisler et poète Daniel Pozner et le guitariste et membre du groupe Das Kapital, Hasse Poulsen.

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Dans une interview qu’il se donnait à lui même en 1962, quelques semaines avant sa mort, le compositeur Hanns Eisler affirmait qu’il n’y a pas d’évolution autonome du matériau musical en soi. Ce n’est que dans son rapport contradictoire avec la société que la musique se développe. Et c’est probablement parce qu’il n’était pas dupe des révolutions musicales qui viendraient se revendiquer en toute indépendance de quelque révolution sociale que Hanns Eisler a pu afficher une liberté musicale aussi franche en composant aussi bien des sonates que des lieders, des pièces de cabaret que des œuvres chorales encore reprises aujourd’hui en chant de manifestation en Allemagne. Et comme son œuvre est portée par un esprit détonnant, c’est bien pour un numéro « Détonner » que Metaclassique s’engage à faire cette semaine le portrait du compositeur. En réunissant dans le salon Mahler de la Bibliothèque La Grange Fleuret à Paris, par ordre d’apparition dans l’émission : la chanteuse et chercheuse Marie Soubestre, le musicologue Pascal Huynh, le petit-fils de Hanns Eisler et poète Daniel Pozner et le guitariste et membre du groupe Das Kapital, Hasse Poulsen.

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