Metaclassique #352 – Faire cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #352 – Faire

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1h00 |29/10/2025
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Description

Ecouter une œuvre, c’est en suivre les points de nervure, les balises, les manières d’avancer ou de reculer dans le discours, tout ce qui peut permettre de reconnaître l’écriture de tel compositeur ou telle compositrice. Mais dire les choses comme ça relègue l’engagement des interprètes, la perspective prise par qui écoute et tout ce tient du geste pour des éléments au service du texte. À l’encontre de cette hiérarchie qui met toujours le texte au-dessus de tout, Alvaro Oviedo explique que « la musique n’est pas ce que le compositeur écrit, ce n’est pas ce que l’interprète joue, ce n’est pas ce que l’auditeur perçoit, ce n’est pas non plus l’en-soi d’un ensemble organisé de sons : c’est tout cela à la fois ou plutôt ce qui se passe entre ces termes, termes qui sont eux-mêmes des nœuds de relations. » (p. 9) Cette affirmation est le point de départ de l’essai d’Alvaro Oviedo, Faire sensation paru aux Presses Universitaires de Rennes et qui explorent les œuvres et la pensée musicale de Luciano Berio, Helmut Lachenmann, Olga Neuwirth ou encore, pour commencer, de Gyorgy Kurtag. Alvaro Oviedo est l’invité unique de ce numéro « Faire » de Metaclassique.

Une émission menée et fabriquée par David Christoffel.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ecouter une œuvre, c’est en suivre les points de nervure, les balises, les manières d’avancer ou de reculer dans le discours, tout ce qui peut permettre de reconnaître l’écriture de tel compositeur ou telle compositrice. Mais dire les choses comme ça relègue l’engagement des interprètes, la perspective prise par qui écoute et tout ce tient du geste pour des éléments au service du texte. À l’encontre de cette hiérarchie qui met toujours le texte au-dessus de tout, Alvaro Oviedo explique que « la musique n’est pas ce que le compositeur écrit, ce n’est pas ce que l’interprète joue, ce n’est pas ce que l’auditeur perçoit, ce n’est pas non plus l’en-soi d’un ensemble organisé de sons : c’est tout cela à la fois ou plutôt ce qui se passe entre ces termes, termes qui sont eux-mêmes des nœuds de relations. » (p. 9) Cette affirmation est le point de départ de l’essai d’Alvaro Oviedo, Faire sensation paru aux Presses Universitaires de Rennes et qui explorent les œuvres et la pensée musicale de Luciano Berio, Helmut Lachenmann, Olga Neuwirth ou encore, pour commencer, de Gyorgy Kurtag. Alvaro Oviedo est l’invité unique de ce numéro « Faire » de Metaclassique.

Une émission menée et fabriquée par David Christoffel.



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Ecouter une œuvre, c’est en suivre les points de nervure, les balises, les manières d’avancer ou de reculer dans le discours, tout ce qui peut permettre de reconnaître l’écriture de tel compositeur ou telle compositrice. Mais dire les choses comme ça relègue l’engagement des interprètes, la perspective prise par qui écoute et tout ce tient du geste pour des éléments au service du texte. À l’encontre de cette hiérarchie qui met toujours le texte au-dessus de tout, Alvaro Oviedo explique que « la musique n’est pas ce que le compositeur écrit, ce n’est pas ce que l’interprète joue, ce n’est pas ce que l’auditeur perçoit, ce n’est pas non plus l’en-soi d’un ensemble organisé de sons : c’est tout cela à la fois ou plutôt ce qui se passe entre ces termes, termes qui sont eux-mêmes des nœuds de relations. » (p. 9) Cette affirmation est le point de départ de l’essai d’Alvaro Oviedo, Faire sensation paru aux Presses Universitaires de Rennes et qui explorent les œuvres et la pensée musicale de Luciano Berio, Helmut Lachenmann, Olga Neuwirth ou encore, pour commencer, de Gyorgy Kurtag. Alvaro Oviedo est l’invité unique de ce numéro « Faire » de Metaclassique.

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Ecouter une œuvre, c’est en suivre les points de nervure, les balises, les manières d’avancer ou de reculer dans le discours, tout ce qui peut permettre de reconnaître l’écriture de tel compositeur ou telle compositrice. Mais dire les choses comme ça relègue l’engagement des interprètes, la perspective prise par qui écoute et tout ce tient du geste pour des éléments au service du texte. À l’encontre de cette hiérarchie qui met toujours le texte au-dessus de tout, Alvaro Oviedo explique que « la musique n’est pas ce que le compositeur écrit, ce n’est pas ce que l’interprète joue, ce n’est pas ce que l’auditeur perçoit, ce n’est pas non plus l’en-soi d’un ensemble organisé de sons : c’est tout cela à la fois ou plutôt ce qui se passe entre ces termes, termes qui sont eux-mêmes des nœuds de relations. » (p. 9) Cette affirmation est le point de départ de l’essai d’Alvaro Oviedo, Faire sensation paru aux Presses Universitaires de Rennes et qui explorent les œuvres et la pensée musicale de Luciano Berio, Helmut Lachenmann, Olga Neuwirth ou encore, pour commencer, de Gyorgy Kurtag. Alvaro Oviedo est l’invité unique de ce numéro « Faire » de Metaclassique.

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