Speaker #2Bonjour et bienvenue pour ce nouvel épisode du podcast Mise en lumière holistique. Et quel épisode ! Pas seulement pour la thématique choisie, mais pour déjà tout le contexte. Plus de deux ans d'existence, un nouveau magnifique visuel depuis ce début d'année 2024. 160 000 écoutes depuis quelques jours, et aujourd'hui, le centième épisode. Tellement symbolique que j'ai désiré mettre les pieds dans le plat. Alors oui, toujours bien ancré, et encore plus pour cet épisode. Alors, autant vous prévenir, si c'est la première fois que vous écoutez un épisode de Mise en lumière holistique, déjà, bienvenue, mais vous n'êtes peut-être pas prêts. Parce que, justement... Vous avez vu la lumière ou que le nom de l'épisode vous a accroché en vous disant mais qu'est-ce qu'elle va raconter encore celle-là ? Désolée, mauvaise nouvelle, parce que cela signifie que vous avez 99 épisodes de retard pour comprendre tous mes propos aujourd'hui. Car autant vous prévenir, enfin, votre mental, devrais-je plutôt dire, lui, il va vraiment pas m'aimer. Si vous n'êtes pas prêt à vous remettre en question, à remettre en question votre vie, à remettre en question votre maladie, vous, face à la maladie, je confirme, vous n'êtes absolument pas prêt pour cet épisode. Déjà, je remets dans le contexte. Je cohabite avec une sclérose en plaques depuis 20 ans maintenant. Waouh ! 2024, beaucoup de choses à fêter finalement, car il y a également les 10 ans d'arrêt de mon traitement à l'interféron. Donc, 20 ans de cohabitation dans mon corps, mais presque 50 ans devant les yeux avec ma mère. Mon histoire, j'ai déjà eu l'occasion d'en parler dans certains épisodes. Oui, je vous ai dit tout à l'heure que vous aviez sûrement un peu de retard dans les écoutes du podcast. Eh ben tiens, rentrons directement dans le vif du sujet. Une cèpe, oui, comme maman. Bel esprit de loyauté, Véro, vis-à-vis ta mère. Tout ça pour me faire aimer d'elle. Oui, je remets dans le contexte. Ma mère est tombée malade et s'est retrouvée en fauteuil roulant à ma naissance. Il m'aura fallu 35 ans et des séances de kinésiologie et une approche énergétique pour mettre en avant que, inconsciemment, j'avais culpabilisé face à ça. En enregistrant le programme, si ma mère est malade, c'est à cause de moi. Culpabilité bonjour. Mais j'ai également enregistré un double programme. Car en effet, ma mère, étant en fauteuil, n'a pas tellement pu s'occuper de moi car elle n'était pas en capacité physique de me tenir dans ses bras sans me faire tomber. Nouveau programme enregistré par Bébé Véro, ma mère ne m'aime pas. Quelle bonne idée par conséquence, pour me faire aimer de ma mère en grandissant, que de lui ressembler. Tiens, une cèpe, ouais, ça a l'air cool. Elle a l'air de bien le vivre, et puis on sera pareil. Waouh, qu'est-ce qu'on peut être bête. Et rappel, ceci est mon histoire. Nous avons tous des points communs, c'est-à-dire la maladie, avec ses symboliques, mais les programmes, c'est-à-dire son message, et parfois différentes symboliques, sont subtilement différentes et uniques à chacun. Car oui, en effet, la maladie a un message pour vous à un instant T. Nous ne tombons jamais malades. Par hasard, gardez toujours cela en tête. La maladie est un appel au secours de votre âme. A vous maintenant de la comprendre, de la décoder. Puisqu'en même temps, elle vous donne ce moment pour le faire. La maladie est là pour vous faire passer un message que vous n'avez pas été capable d'entendre autrement qu'à travers elle et sa douleur ressentie par votre corps. Je vais surtout vous faire comprendre que votre corps et ses blocages ou problématiques ne font que répondre à votre plan émotionnel et mental. C'est d'ailleurs ce que je vous explique au travers de tous mes partages avec ce podcast depuis plus de deux ans. Comprendre que les mots M O T S entendus depuis votre enfance Dans certains cas, même lors de la grossesse, et on peut même aller encore plus loin en parlant des neuf mois avant votre conception, ces mots vont devenir des mots MAUX dans votre vie d'adulte. En fait, la maladie n'est pas un problème. Elle est la solution au problème. Mais ce problème, soit vous ne l'avez pas vu à temps, soit vous n'avez pas voulu le voir. Rappel important, en aucun cas mon discours sera de vous dire d'arrêter tout traitement ou tout suivi conventionnel. Bien au contraire, la médecine allopathique d'aujourd'hui va s'occuper de votre corps. A vous maintenant de vous occuper de votre esprit afin de ne plus tomber malade ou de faire en sorte que celle-ci ait le moins d'impact dans votre vie. En cet instant, je suis là pour planter des graines, pour vous éclairer dans votre propre cheminement de guérison. Vous voir différemment. comprendre que ce qui vous a rendu malade n'a plus aucune raison d'exister dans votre vie. Car cela signifie se remettre en question et par conséquence, remettre en question son existence et ce qui cohabite autour. Et c'est là où cela peut faire mal. Le passage de je suis victime de ma maladie à je suis responsable de ma maladie Et c'est ce positionnement qui va faire toute la différence sur votre chemin de guérison. Car oui, la guérison est effectivement un choix. Votre vie est un choix, le fameux libre-arbitre. Et en ne guérissant pas, vous avez fait le choix de ne pas guérir. Ah, ça grince, oui, je sais. Choix conscient, mais inconscient, dans 95% des cas. D'où le travail sur soi, le fameux développement personnel. Il n'est pas là pour vous développer, il est là pour partir à la recherche de vous-même, à l'intérieur de vous, de qui vous êtes véritablement. Et pas le personnage du malade créé par votre mental, car cette version de vous n'est pas la bonne. C'est Dolores Cannon qui, suite à ses 40 ans d'expérience sur l'hypnose quantique, nous dit que notre corps n'est absolument pas malade normalement. Mais nous le rendons malade. Nous sommes le créateur de notre maladie. Bonne nouvelle, si nous créons notre maladie, c'est que nous avons le pouvoir également de créer notre guérison. Notre corps est un champ d'informations. La physique quantique et les neurosciences arrivent parfaitement à le démontrer aujourd'hui. C'est-à-dire que pour certains chercheurs, notre corps ne serait que le résultat matériel de nos pensées et de nos croyances. Bon, la médecine traditionnelle chinoise et certaines philosophies du monde le savent depuis des siècles. En poussant plus loin, notre corps ne serait donc qu'un hologramme de nos pensées et de nos croyances. Mais je ne suis pas là aujourd'hui pour aller dans cette direction. Enfin, un tout petit peu quand même. Et que le but du véritable développement personnel est de vous amener à la déconstruction de vous-même. Enfin, celui de votre mental et de votre ego qui a créé le personnage du malade. Ça marche pour toutes les maladies. Vous n'êtes pas exceptionnel. C'est-à-dire des constructions de tout ce que vous avez construit et qui vous a rendu malade. Un déconditionnement émotionnel et mental, afin de faire disparaître ce fameux personnage du malade, celui de votre égo qui pense être malade. Tout à l'heure, j'ai commencé à faire une allusion sur votre positionnement de victimisation ou de responsabilité. Je vais vous montrer l'importance du pouvoir des croyances sur votre corps. En étant victime de votre maladie, ce n'est jamais de votre faute. Vous vous trouvez des excuses. Pardon. Vous vous cachez derrière. Ouais, mais tu comprends, je suis malade à cause d'un virus, d'un vaccin. Et c'est vrai ! Ouais, mais ma maladie, elle est génétique, c'est héréditaire et familial. Et c'est vrai, vous avez raison ! Ouais, mais c'est à cause des pesticides, du téflon et j'en passe. Oui, c'est toujours vrai. Si vous pensez que c'est votre alimentation qui vous rend malade, que certains aliments sont vos ennemis, c'est absolument vrai, puisque ce sont vos croyances. Donc je ne remets pas ça en question. Mais ce qui me dérange un peu, bon beaucoup dans ce discours on va pas se mentir, c'est de laisser le pouvoir à l'extérieur de vous. C'est la faute à mon environnement, à mes collègues, à ma famille ou encore à ma nourriture. Donc, je suis une victime. Ce n'est pas de ma faute. Bonjour Calimero. Parce que dans ce cas, pourquoi mon frère n'a pas déclenché de sclérose en plaques ? Il n'a a priori aucune raison d'en déclencher. Alors que nous avons le même terrain de croissance depuis notre enfance. Il va être temps, peut-être, en tant que victime, de vous poser la question quels sont finalement les bénéfices que vous avez à rester malade. Ça vous choque ? Tant mieux. Je ne suis pas là non plus pour vous faire plaisir. Je vais vous donner un exemple très simple. Une femme qui tombe malade, style un cancer. Femme mariée, mais un mari volage, sur le point de la quitter. En tombant malade, avec tout le processus de traitement qui va se mettre en place, le docteur va venir régulièrement la voir, les infirmières et tout le corps médical autour. Son fils vient manger tous les dimanches finalement pour avoir bonne conscience. La voisine va lui faire les courses et papoter avec elle régulièrement. Ah oui, son mari est toujours là car il ne peut pas demander le divorce pour qu'il va passer sinon auprès des autres. Oui, il a lui-même aussi ses propres blessures émotionnelles. Même si dans les stats, je crois que le conjoint a tendance plutôt à s'en aller, car la maladie, et surtout les conséquences, font généralement peur. Bref, finalement, avec son cancer, cette femme a un contact humain journalier, se sent moins seule, elle se sent soutenue et surtout aimée. Du moins, c'est la sensation qu'elle a. Quand elle se plaint, elle est écoutée. Pas de bol pour elle, elle vient guérir de son cancer. Finalement, le mari se barre, le fils ne fait plus qu'appeler une fois par mois, le médecin plus qu'une fois par an pour le suivi. Seule la voisine vient pour se sentir moins seule elle aussi. C'était quand même plus sympa quand elle était malade. Dans cet exemple, le but est de vous faire comprendre quels sont les avantages et les bénéfices que vous avez à guérir. Ou non. Je vous donnerai tout à l'heure l'exemple d'un enfant que j'ai eu en consultation. et dont le mécanisme de la non-guérison est encore plus élaboré que ça. Parents, vous n'êtes pas prêts à ce témoignage si vous remettre en question n'est pas possible. Car oui, il faut comprendre que votre mental va automatiquement chercher des avantages d'un côté et les inconvénients de l'autre. Il va faire la balance. Quel est votre degré de loyauté vis-à-vis de la maladie ? De tout ce qu'elle a créé dans votre vie, dans votre monde ? De tout ce qu'il va falloir remettre en question ? de tout ce que vous allez devoir quitter, peut-être même physiquement. Posez-vous la question, qu'est-ce que vous y gagnez à être et surtout à rester malade ? La seule différence, c'est votre positionnement. victime ou responsable. Donc ne me sortez pas l'excuse de la génétique, surtout qu'aujourd'hui l'épigénétique démontre que nous avons la capacité de modifier nos propres gènes. Ou encore l'excuse de on a ça dans la famille C'est me trouver, encore et toujours, des excuses et des raisons extérieures à vous. Donc l'extérieur est votre bourreau et vous, vous êtes la victime. Or, je passe mon temps à vous répéter que ce monde extérieur n'est que le reflet de votre monde intérieur. Tout part absolument de vous. Vous n'êtes pas votre maladie. Je répète, vous n'êtes pas votre maladie. Sinon, cela signifie qu'elle est vous. Alors que non, vous avez une maladie, un truc qui vous accompagne. Votre maladie est un avatar de votre mental qui vous fait croire que vous êtes malade. Bon, et ça, ça ne marche pas que pour la maladie. En quoi vous êtes finalement attaché à cette maladie ? Qu'est-ce qu'elle vous apporte dans votre quotidien ? Quoi ? Mais elle ne m'apporte absolument rien à part des douleurs et de la souffrance. Ouais, ouais, ne vous inquiétez pas, je vous ai entendu me répondre. Mais pourquoi alors y êtes-vous encore attaché ? Alors inconsciemment évidemment, mais le but c'est d'y aller couche après couche, le fameux oignon dont on a tant parlé pour les deux ans du podcast. Car à chaque couche, vous allez découvrir tous les liens que vous avez créés au fur et à mesure, les mécanismes de défense que votre mental a créé au fur et à mesure, et qui, même dans certains cas, vous servent d'excuses. J'avoue, j'en peux plus aujourd'hui, ouais. Mais tu comprends, je suis hypersensible, je suis TDA, je suis ci, je suis ça. Non, non, non, non, non, non, tu es juste surtout déséquilibré émotionnellement parlant, énergétiquement parlant, et que partir à la recherche de toi-même, te remettre en question, te fait peur. Évidemment que cela fait peur. Enfin, non, juste à votre mental, car lui, il est bien en place depuis des lustres, et il n'a aucune envie de bouger, il adore son confort. Avec ma sep, en étant fatiguée, en loupant une marche, en ne marchant pas droit, je n'ai jamais sorti l'argument de ouais mais tu comprends, j'ai une sep Non, je suis fatiguée, je vais me reposer. Je loupe une marche, la prochaine fois je lèverai la jambe plus haute. Certains diront que j'ai peut-être une force de caractère. Sincèrement, je ne suis vraiment pas sûre. J'ai de nombreux aspects de fainéante avec un soupçon de procrastination dans certains cas. Par contre... Il y a une énorme différence entre moi et les personnes que je peux accompagner au quotidien, que ce soit en Reiki ou en soins énergétiques. Je ne me suis jamais posé de questions. J'ai fait. Point. J'ai avancé. Bon, avec une cèpe touchant mes jambes, c'est très drôle. Mais quand certaines initiées me posent des questions en essayant de trouver déjà les réponses avant de commencer, c'est toujours compliqué pour moi d'y répondre car nous sommes tous déjà uniques et que mes réponses ne sont valables que pour moi. Mais par contre, je ne me suis jamais posé autant de questions. Surtout avec le développement personnel d'aujourd'hui. J'ai accumulé des connaissances en 15 ans que je vous partage ici. Mais pas pour nourrir mon mental. Car les réponses et les compréhensions me sont toujours venues par l'expérience de la vie. Et c'est ça qui fait la différence. Je fais et ensuite je comprends avec ma boîte à outils à disposition que je me suis construite depuis 15 ans. Le philosophe grec Epictète a dit Nos émotions ne naissent pas de choses, mais du jugement que nous portons sur les choses C'est-à-dire qu'il y a des événements dans votre vie, des expériences factuelles qui sont de nature neutre. Et puis il y a votre interprétation par rapport à votre vécu, à vos différentes expériences, à vos émotions, à vos pensées et les croyances qui sont venues se greffer dessus. Ce qui fait que plus tard, cette expérience va être catégorisée par votre cerveau. Bon. ou mauvais pour votre vie. Et c'est pour cela que nous vivons chacun dans notre propre monde, avec notre propre compréhension. Par contre, vous êtes responsable de la mise à jour du programme, de ces émotions, qui vont sûrement être surinterprétées par rapport à vos blessures de l'enfant intérieur, des croyances qui se sont créées, qui viennent se cristalliser dans votre corps sous forme de trauma ou de maladie. Donc, oui, cela inclut de remettre en question entièrement votre vie, vos fondations dans certains cas. Ce qui vous semble normal, alors que finalement, cela n'est peut-être pas le cas. Et d'ailleurs, en vous racontant ça, je me souviens d'une personne, en accompagnement, qui me raconte que pour son cadeau de mariage, son père corse lui avait offert par tradition un fusil. À sa fille. à son mariage. Donc cela peut être normal, par tradition, alors pardon, je n'ai rien contre vous les Corses, mais par contre du point de vue symbolique et énergétique, elle a bien compris l'impact du fusil que cela avait eu dans sa vie, et dans un aspect de sa maladie. Abordons maintenant un sujet très délicat, les enfants. J'en parle rarement sur les réseaux car c'est le sujet qui me vaut le plus de commentaires et même parfois de remarques piquantes de parents qui sont en sur-émotion. Le seul et unique commentaire d'ailleurs négatif de ce podcast, bon, une sur 160 000 écoutes, ça va, le seul commentaire vient d'un père en colère face à mes propos face au diabète de sa jeune fille. Je lui ai servi de poaching ball, pas de souci. Je vais vous raconter l'histoire de l'enfant qui était malade pour faire plaisir à sa mère. Oui, même moi, quand il me l'a raconté, j'avoue, j'étais pas prête. Un enfant malade, depuis quelques années, se présente accompagné de sa mère. Comme à chaque fois, nous échangerons tous les trois afin d'écouter et surtout d'observer tout le monde. Puis j'échange avec l'enfant, seul, avant le soin énergétique. Le contexte, l'enfant a des soucis de santé depuis quelques années, avec des hospitalisations. Sur le papier, pour les médecins, il n'y a plus aucune raison que l'enfant soit malade. Dans les faits, il a toujours les symptômes et les conséquences physiques. Et en tête à tête, il m'avoue en toute innocence, de manière logique, que pour lui, il est toujours malade pour faire plaisir à sa mère. Alors j'avoue, j'ai pas très bien compris sur le coup, donc je le fais répéter et on vient à développer. Et il m'explique qu'il avait observé qu'à partir du moment qu'il allait mieux, donc moins d'hôpital, de kiné, de docteur, il avait la sensation que sa mère n'existait plus. Du moins, c'était son interprétation de son observation. Car il avait assimilé que quand il était malade, sa mère devait côtoyer un milieu qui n'était pas le sien à la base. Elle se formait donc, faisait des recherches, occupait son temps à s'occuper de lui, à avoir une existence en fait. qui la faisait sortir de son train-train quotidien et surtout qu'elle donnait l'impression d'être valorisée par l'extérieur. Ceci était l'interprétation inconsciente du comportement et des mots entendus de par sa mère. Choquant, j'avoue, sur le moment, ça m'a fait bizarre. Et je me suis même dit qu'en essayant d'inventer l'histoire pour un scénario, j'y aurais jamais pensé. Alors, chers parents, non, vous ne connaissez pas votre enfant. Vous-même, vous êtes peut-être sûrement en train de réparer vos traumas vis-à-vis de vos propres parents. Dans ce cas, pourquoi vos enfants n'auraient pas de traumas vis-à-vis de vous ? Donc, je répète, vous ne connaissez pas vos enfants parce qu'ils s'adaptent et se suradaptent par rapport à vous. Comme vous, vous l'avez fait consciemment ou inconsciemment. Et c'est parfaitement OK, c'est le jeu. Et je rigole même quand j'ai des amis qui me disent Ah non, mais moi, je fais avec ma fille absolument l'inverse de tout ce que j'ai eu comme éducation. Eh bah justement, tu crées de nouveaux traumas qui seront différents de toi. Mais c'est ok, c'est le jeu, ça fonctionne comme ça. J'ai entendu récemment la phrase d'un psy qui recommandait aux parents de demander à l'enfant ce qu'il désirait et comment il aimerait que vous vous comportiez dans certaines situations. Dans la limite évidemment de vos compétences, vos choix et peut-être de la loi également dans certains aspects. Alors plutôt que de lui imposer en pensant que cela est bon pour lui, que c'est pour son bien, pire, que ça va lui faire plaisir alors que non, c'est à vous que vous faites plaisir. Combien de parents projettent sur leurs enfants des traumas non résolus, des envies non assouvis lors de leur propre enfance ? Car oui, dans la maladie de votre enfant, même si elle est présente depuis sa naissance, il y a ce qui lui appartient, ce qu'il a choisi de venir vivre comme expérience, et il y a également votre part de responsabilité. Et je voudrais vous lire d'ailleurs un magnifique message que j'ai reçu d'une maman, de ses prises de conscience en travaillant sur elle-même, et d'une remise en question, qui en tant que parent, n'est évidemment pas évidente. Elle m'a écrit, Ça m'a mis une sacrée claque de réaliser que ma blessure d'abandon se greffait inconsciemment sur ma fille. Je pense que le retard de croissance in utero m'a mis face à la peur de la mort, alors qu'en soi, je ne suis pas quelqu'un qui en a peur. Ce qui fait qu'en grandissant, les séparations étaient très difficiles pour elle, avec moi et surtout avec son père, et les au revoir tout court. À deux ans, je me suis dit que tout était encore possible pour elle de se détacher de ce qui ne lui appartient pas. Mais il va sans dire que pour cela, il faut passer par l'acceptation que cela nous appartient à nous, les parents, et même si ça nous fait chier, ça fait mal en tant que parent, conscient et bienveillant, on veut faire le max et le mieux pour son enfant, et parfois, on ne regarde pas là où on doit regarder, car ça fait mal personnellement de le voir et pourtant si essentiel pour être un parent aligné. Donc oui, Je répète, dans la maladie de votre enfant, il y a ceux qui lui appartient, et il y a ceux qui vous appartient. Et justement, c'est la bonne nouvelle que la science arrive à démontrer aujourd'hui. Je parle des sciences, pas de la médecine allopathique. Tous les futurs sont possibles pour vous ainsi que pour votre enfant. Ils sont possibles car ils existent déjà dans tous les champs d'information dans lequel nous vivons individuellement. Il existe donc le futur où vous êtes malade, comme le futur où vous êtes guéri. Maintenant, à vous de savoir et de choisir auquel vous désirez vous brancher. J'ai vu récemment un post de Jean-Jacques Charbonnier où il partageait un livre sur la médecine holistique et quantique. Quelqu'un en commentaire lui demandait si nous avions des preuves scientifiques vraies, si la médecine quantique et vibratoire, celle que je pratique au quotidien, est efficace. Ce à quoi Jean-Jacques Charbonnier a répondu non. Car la science n'a pas les outils nécessaires pour prouver quoi que ce soit dans ce domaine. Bien trop subtil, pour elle, c'est un peu comme si on essayait de mesurer le volume de l'océan avec une cuillère à café. Seulement, voilà, la grande majorité des scientifiques manquent d'humilité dans ce domaine, car ils pensent toujours pouvoir tout évaluer avec leur cuillère à café. Jean-Jacques Charbonnier est docteur, à la base, anesthésiste. Je dis toujours que je suis mon meilleur exemple. D'autres exemples que j'ai pu également raconter dans ce podcast, dont celui sur les soins énergétiques. Vous avez encore l'exemple de ce moine tibétain, Pagyak Rinpoche, désolé pour la prononciation, guéri de la gangrène par la méditation. Tous les médecins, au vu de son état, désiraient l'amputer. Ce qui était effectivement une voie possible, et sûrement la plus courante, ou du moins la plus normale. Mais il a fait le choix de prendre un autre futur. celui de la méditation intensive pendant trois ans, ce qui lui a permis de faire disparaître, sans aucune approche médicale, sa gangrène. Ce qui a donné un livre, La méditation m'a sauvé. Alors n'oubliez jamais, vous avez toujours tous les choix possibles devant vous. A vous de faire votre évaluation si la guérison en vous réellement est sincèrement le coup, mais avec les conséquences que cela peut avoir dans votre vie. Est-ce que vous désirez vous en donner tous les moyens ? Alors oui, d'abord financier car... On va pas se mentir, ça peut avoir un coût. Mais est-ce que vous préférez investir dans un portable à 1000 balles, ou plutôt de croire en vous et aller mieux pour le même prix ? Tout est question de choix. Et ne me sortez pas l'argument de Oui, mais j'ai pas les moyens, ça coûte cher. Alors déjà, il y a de tout pour toutes les bourses. Et on a déjà eu l'occasion de faire un très bel épisode en début d'année avec Thibaut et Louise sur Investir sur soi, où je raconte mon parcours. Ou même avec 270 euros de RSA, je faisais ma médecine chinoise à plus de 2000 euros par an. Et non, je n'avais personne à la maison pour me soutenir financièrement, car j'étais seule. Je n'ai jamais vu l'argent comme un frein dans l'investissement sur moi-même. Je suis d'ailleurs l'investissement, alors hormis ma maison évidemment, mais je suis l'investissement le plus cher de toute ma vie. Car finalement, c'est une question de choix et de priorité. Je suis ma priorité, je le répète assez souvent avec la notion d'ancrage. Car oui, j'ai surtout fait ce choix. Et vous, vous faites le choix de ne pas faire ce choix, qui reste finalement un choix. Vous donnez les moyens de partir à la connaissance de vous-même. Je parle de la connaissance profonde, de votre mode d'emploi et non pas de la superficialité consommée de ce développement personnel aujourd'hui. Celle où il faut aller dans vos profondeurs les plus inconfortables. Celle qui vont remettre en question votre mode de fonctionnement, qui vous a rendu malade. Partir à la recherche de vous-même, en quittant l'avatar du malade. c'est faire un deuil de cette partie de vous-même qui n'a plus aucune raison d'exister. C'est le moment justement de vivre la vie que vous voulez au plus profond de vous-même et pas celle que vous vous êtes imposée ou alors pire, que l'on vous a imposée. J'ai eu plusieurs fois lors d'accompagnements de personnes m'avouer qu'elles avaient peur de découvrir qu'elles étaient une mauvaise personne. Je leur ai répondu à chaque fois que la mauvaise personne était celle que j'avais en face de moi à ce moment-là, avec le rôle du malade. et que plus elles allaient se défaire de tous ces liens d'attachement, se libérer de toutes ces blessures, de tous ces mécanismes de défense mis en place, elles allaient découvrir que c'était de magnifiques personnes, belles et joyeuses, où la vie finalement est magnifique chaque jour. Le corps n'est qu'un hologramme, une représentation de vos émotions, de vos pensées, de vos croyances. Changez vos croyances, changez votre vie. C'est d'ailleurs le slogan que j'ai donné dans le prochain épisode avec mes deux complices, le psy et la coach, épisode qu'on a fait sur les croyances. Et hier, lors d'une séance de conscience ancrage en accompagnement de trois mois, j'ai demandé à la personne en exercice de remercier son corps, alors qu'il le fait souffrir dans son quotidien. Le remercier, car il est toujours là, oui. Il la supporte, et j'ai presque envie de dire dans tous les sens du terme. Mais en même temps, il la fait souffrir, ah oui. Mais elle passe son temps à le blâmer, plutôt que de l'aimer. Donc, il ne fait qu'exécuter ce désordre. Commencez déjà à l'aimer, ce corps, à le remercier pour tout ce qu'il est capable de faire dans votre quotidien. Chérissez-le. Ah oui, aussi chose importante, faites attention à votre vocabulaire s'il vous plaît. Oui, au début, on a peut-être besoin d'aller au combat, d'avoir de la force, du courage, de tenir bon. Mais plus vous luttez, plus vous vous fatiguez, moins vous lâchez prise. Du coup, vous n'accepterez jamais. Vous ne guérirez pas. Car oui, nous avons absolument tous le pouvoir de guérison. Parlez-en à votre chakra couronne, c'est lui qui détient les clés de votre guérison interne. Ah oui, pas de bol, pour vous, ce chakra couronne ne s'ouvre que lorsque tous les autres chakras sont stables, et surtout avec un ancrage vraiment, mais alors vraiment, mais vraiment, vraiment, vraiment bien stable. Donc oui, la guérison est un choix. On se retrouve la semaine prochaine, ici ou ailleurs, sur les différents réseaux sociaux.