Speaker #0Ce que l'on ne veut pas voir avec les yeux, le corps nous le fait boire avec excès. L'alcool, ce liquide souvent festif, devient parfois un refuge. Derrière chaque verre qui déborde, il y a une émotion qui cherche à s'exprimer. Un silence qu'on ne sait pas habiter, une faille que l'on tente de combler. Et si nous prenions un instant pour écouter autrement ce que l'alcool vient nous dire ? Bonjour et bienvenue sur le podcast Mise en lumière holistique, l'émission qui éclaire votre chemin intérieur vers le bien-être et la transformation. Je suis Véronique Thorezin, mentor spirituel et thérapeute holistique. Derrière chaque épisode se cache un peu de mon histoire, de mon parcours avec une maladie inflammatoire neurologique, une sclérose en plaques, de ma résilience, de mes découvertes et apprentissages personnels qui sont devenus aujourd'hui mon expertise en tant que thérapeute dans ce cheminement de spiritualité, de développement personnel, de guérison et surtout de connaissance de soi-même. Venez récupérer des pièces de votre puzzle au travers de l'énergétique, de la médecine traditionnelle chinoise, de mindset, de symbolique de maladie, évidemment d'ancrage et de lâcher prise, et bien d'autres pratiques pour vous permettre d'avancer, de comprendre et d'œuvrer sur vous-même. Chaque semaine, que ce soit seul ou avec des invités inspirants, nous explorerons divers aspects pour vous apporter des clés essentielles de compréhension dans votre épanouissement. Préparez-vous à illuminer votre chemin vers une vie consciente, ancrée et harmonieuse. Je vous souhaite la bienvenue pour ce moment d'écoute où vous découvrirez que vous êtes un corps, mais également une âme et un esprit. Préparez-vous à plonger dans une aventure transformative chaque semaine avec Mise en lumière holistique. Bonjour et bienvenue pour ce nouvel épisode du podcast Mise en lumière holistique, un épisode sur une symbolique émotionnelle reconnue maladie chronique par l'OMS, mais qui concerne un sujet bien plus profond. très souvent tabou et pourtant si présent dans notre société, je parle de l'alcoolisme. Mais j'avoue que je n'avais jamais pensé à aborder ce sujet sur le podcast, mais suite à de très nombreuses demandes en stories sur Instagram, ce sujet est revenu sur le tapis plusieurs fois. Peut-être parce que justement, en tant que bonne française, alors que je ne bois pas une goutte d'alcool, je n'avais jamais pensé à catégoriser ce sujet en maladie émotionnelle. Alors que ce sujet... me concerne depuis mon adolescence avec un père alcoolique, mais heureusement non violent. Alors évidemment, je ne l'aborderai pas d'un point de vue médical ou même psychologique, ce n'est pas mon métier. Je vous propose un voyage, à ma manière comme à chaque fois, à travers la symbolique émotionnelle, du point de vue énergétique, avec un soupçon de mémoire cellulaire, de chakra, de médecine traditionnelle chinoise sous couvert de spiritualité, car on est en plein dedans avec ce sujet. Parce que l'alcoolisme, comme toute forme de dépendance, raconte une histoire. L'histoire d'un être humain en souffrance, souvent blessé, parfois très sensible, qui cherche à combler un vide, à fuir une douleur ou à survivre à un trop-plein. Je vous le rappelle, mais ce podcast n'est pas un diagnostic ni un substitut à un accompagnement médical. C'est un regard complémentaire, une porte ouverte sur d'autres compréhensions possibles. L'alcool au-delà de la substance est souvent utilisé comme un anesthésiant émotionnel. Boire pour oublier, pour s'évader, pour se couper d'une réalité difficile, ou pour calmer un mental envahissant. Il se cache souvent derrière une grande solitude, un besoin d'amour non comblé, une blessure d'abandon, de rejet, ou encore une injustice non digérée. Mais si l'on gratte encore un peu plus profondément, On retrouve souvent l'empreinte des 5 blessures de l'âme et je vous laisse découvrir tous les épisodes dédiés à ce sujet. Et même d'ailleurs le e-book gratuit avec un quiz pour savoir votre blessure du moment. Et ces blessures donc, lorsqu'elles ne sont pas reconnues au guéri, créent des masques, des mécanismes de défense inconscients qui, à force de vouloir protéger, finissent par enfermer la personne dans des comportements d'autodestruction. Prenons quelques exemples concrets. Une personne qui souffre de rejet peut inconsciemment penser qu'elle ne mérite pas d'exister pleinement. Alors, boire devient une manière de se rendre invisible, de se dissoudre symboliquement, comme si elle cherchait à disparaître. Qui pourrait se traduire par de l'anorexie chez d'autres personnes. Avec la blessure d'abandon, l'alcool remplit un vide affectif béant. Il devient le compagnon fidèle, celui qui ne part jamais. Une illusion de lien et de présence constante. La trahison, souvent liée à un manque de confiance envers les autres, pousse parfois à se saboter avant d'être trahi à nouveau. Alors boire revient à prendre le contrôle d'une douleur inévitable. Dans la blessure d'humiliation, le corps a vécu comme un honteux, sale, coupable. L'alcool peut venir anesthésier cette perception, voire punir le corps que l'on n'arrive pas à aimer. J'ai même accompagné des personnes en soins où l'alcool pouvait à tour de rôle être soit le bourreau, Soit le sauveur, avec évidemment la personne comme victime. Quant à l'injustice, elle engendre rigidité et contrôle. L'alcool peut devenir alors une soupape incontrôlable, une explosion émotionnelle face à une pression trop longtemps contenue. La personne peut se transformer en passant de Dr. Jekyll à Mr. Hyde. Dans tous les cas, l'alcool devient alors un moyen de calmer une douleur identitaire, une tentative de ne plus ressentir la honte, le vide, l'impuissance ou même la rage. Il peut être aussi un moyen de se punir inconsciemment, de porter la faute, ou de rester loyal à une souffrance familiale. Une sorte de cri étouffé, un appel au secours qui ne sait pas comment se dire, une tentative de calmer un tumulte intérieur en accédant temporairement à un monde plus doux, plus silencieux. Mais cette fuite finit par enfermer. Et ce qu'on pensait fuir finit souvent par nous poursuivre de plus près. L'alcoolisme peut donc traduire un besoin inconscient de dissoudre un ressenti insupportable, de cacher ou s'empêcher de vivre une émotion dite désagréable. Cela peut cacher aussi des tentatives de rejouer, de réparer un traumatisme familial ou transgénérationnel. Souvent on retrouve dans l'arbre généalogique des ancêtres alcooliques, des secrets de famille, des deuils non faits, des injustices tues. L'alcool vient alors parler à la place de l'histoire parce qu'il porte une mémoire. En médecine traditionnelle chinoise, l'organe le plus impacté par l'alcool, c'est le foie, avec son entraille, la visicule biliaire. C'est lui qui gouverne la libre circulation de l'énergie, c'est-à-dire le qi. Et ce foie est associé à une émotion, oui, la colère, mais bien plus encore, la frustration. La capacité également à planifier et à se projeter dans l'avenir. Et lorsque ce foie et cette visicule biliaire sont déséquilibrés, que ce soit par excès ou par vide, ils peuvent entraîner Irritabilité, pulsions, rancunes, avec évidemment des blocages internes comme une impossibilité de passage à l'action. L'alcool, en surchargeant ce foie, accentue donc les stagnations du qi, ce qui peut créer un cercle vicieux. Plus l'émotion stagne et plus le besoin de soulagement immédiat grandit. Plus on boit pour se calmer donc et plus ce déséquilibre s'installe. Oui, c'est une histoire du serpent qui se mord la queue. La MTC ? dit que le foie s'ouvre aux yeux. Et dans une lecture symbolique, l'alcool peut alors représenter l'incapacité ou alors la peur de voir quelque chose. Une vérité familiale, une douleur ancienne, une part de soi-même que l'on ne veut pas regarder en face. Le chêne, l'esprit ou la conscience qui est logé dans l'organe du cœur est également impacté. Quand le foie est en déséquilibre, ce chêne devient alors instable. Cela peut se traduire par de l'agitation mentale, des troubles du sommeil, un comportement impulsif, une perte de repère et se sentir en insécurité en permanence. L'alcoolisme peut alors venir brouiller cette conscience en empêchant l'accès à la clarté et surtout à cette paix intérieure. Dans les cas d'alcoolisme prolongé, on observe aussi un affaiblissement de la rate qui appartient à l'intersaison de la terre. La rate, le siège de la rumination, de l'anxiété. Et une rate affaiblie peut donner une impression constante de vide intérieur, un besoin de compenser, souvent avec de la nourriture, du sucre et même de l'alcool. La saveur liée à la diététique chinoise, donc à l'alimentation pour la rate et l'estomac, est douce, légèrement sucrée. Ce qui, dans certains cas, pourrait être apparenté à un manque de douceur. Et je pourrais même aller un peu plus loin et faire le lien avec notre mère et notre féminin nourricier. Ce déséquilibre entre le foie, le cœur et la rate traduit donc un chaos émotionnel, évidemment un manque d'ancrage et un cœur trop lourd à contenir la charge intérieure. Et du point de vue énergétique ? Eh bien, plusieurs chakras peuvent être déséquilibrés dans une problématique d'alcoolisme. L'alcool agit comme un dérégulateur du système énergétique, brouillant ainsi la circulation de l'énergie. Prenons le chakra racine, le... premier chakra, il est souvent en vide ou en fuite. L'alcool devient alors un échappatoire à la densité de ce monde matériel au quotidien, au corps. Il trahit un besoin de sécurité intérieure non comblée. Sécurité matérielle. Mais surtout une peur, une fuite de la réalité, et parfois un lien transgénérationnel coupé comme une rupture avec ses racines familiales, une sorte de déracinement. Au niveau du chakra sacré, celui qui nous a vu naître pendant neuf mois est lié justement au goût et au plaisir de vivre. L'alcoolisme traduit alors un déséquilibre affectif profond. peut-être avec sa mère ou une figure féminine. Un lien évidemment au corps qui est douloureux et un besoin de fuir la blessure de rejet ou d'humiliation dans ce qui concerne son rapport à l'intimité. Avec le chakra du plexus solaire, lui, il régit la confiance en soi, la volonté, l'identité personnelle. Donc évidemment, l'alcool vient ici anesthésier ce sentiment d'impuissance. Il permet de combler une perte d'identité ou un conflit intérieur entre ce que l'on veut être et ce que l'on croit devoir incarner. Ou peut-être même ce que les autres nous imposent. Avec le chakra du cœur, évidemment il est fermé, vidé, ou au contraire trop ouvert dans l'espoir d'être aimé. Alors l'alcool peut masquer une détresse affective. un sentiment de solitude chronique ou une incapacité à recevoir l'amour sans condition. C'est aussi le chakra de la loyauté invisible. On boit parfois inconsciemment pour porter une souffrance familiale et venir réparer une blessure d'amour transmise. Continuons et arrivons maintenant au chakra de la gorge. Alors lui, lorsqu'il est bloqué, il reflète une parole tue, un cri retenu, une vérité intérieure qui n'a jamais pu être dite. L'alcool devient alors un anesthésiant pour ne pas avoir à exprimer ce qui brûle à l'intérieur. Ou à l'inverse, une manière de tout lâcher d'un coup, de trop parler trop fort trop vite, quand les mots n'ont plus trouvé leur juste place depuis longtemps. Alors évidemment, le chakra du troisième œil est perturbé dans sa capacité à voir clair, à avoir une vision lucide de sa propre vie. Ainsi, ce brouillard mental que l'alcool entretient empêche l'intuition et le discernement. créant un flou constant entre passé, présent et futur. Et pour finir, avec ce chakra couronne, il est très intéressant de l'observer chez certaines personnes très connectées, dites spirituelles, mais sans aucun ancrage. L'alcool va alors agir comme une fausse élévation. Il va donner l'illusion d'une expansion de conscience, mais en réalité déconnectée de sa verticalité, c'est-à-dire de ce fameux alignement profond. De sa vraie sagesse, grosso modo. Alors ça marche aussi pour toutes les personnes pensant qu'ils ont besoin d'ayahuasca ou de champignons pour se connecter au grand tout. Ancrez-vous les gars, ça suffit largement. C'est surtout beaucoup plus naturel et beaucoup moins violent. Mais c'est sûr que l'atteinte d'une nirvana sera beaucoup plus longue, donc c'est beaucoup moins glamour. L'alcoolisme serait donc une tentative de rééquilibrage, mais finalement, ça dérègle encore plus. L'alcoolisme peut parfois cacher une hypersensibilité dite spirituelle, une âme qui ressent trop, qui capte tout, qui ne trouve pas sa place dans ce monde trop bruyant, trop dur, trop dense. Oui, là je viens toujours de décrire quelqu'un qui n'est pas du tout ancré. Alors, une conscience qui n'a pas appris à canaliser sa lumière, waouh, ça fait très def perso, ni à accueillir d'ailleurs ses ombres. Et dans ce tumulte intérieur, l'alcool devient alors un faux ami, Un faux allié, une p... porte d'entrée vers un ailleurs plus doux, plus lent et parfois quasiment mystique. Chez certaines personnes très connectées, style médium, artiste ou hyper intuitif, l'alcool agit comme un stimulateur de verticalité. Il donne l'illusion d'ouvrir un espace subtil, de dissoudre ses limites, de se rapprocher d'une forme de transcendance, mais en réalité, il détruit votre ancrage, vous empêche d'être aligné et surtout fragilise votre axe terre-ciel, ce qui accessoirement ... nous permet quand même d'être vivant sur cette terre. L'alcoolisme peut aussi être une tentative inconsciente de retrouver une union perdue avec son âme, comme une quête spirituelle qui s'ignore. Une manière de combler cette sensation d'exil intérieur, comme si quelque chose de fondamental avait été oublié ou brisé. Il y a parfois, dans le fond, une blessure de séparation. Séparation avec le divin, l'amour inconditionnel, ou avec même l'essence pure. La libération ? ne peut venir qu'un retour à soi, d'une reconnexion sincère au corps, au cœur et à l'instant présent. Elle passe évidemment par une spiritualité incarnée, ai-je besoin de dire ancrée, c'est-à-dire qui n'échappe pas au réel. Une spiritualité n'est pas hors-sol, mais habitée dans son corps. Alors, sortir de cet alcoolisme, ou simplement de cette relation ambiguë avec l'alcool, demande un retour à soi. Un retour au corps. Un retour au cœur. Un retour... à l'instant présent, c'est-à-dire à sa vie matérielle sur Terre. Cela ne passe pas par la force de la volonté seule, mais par la compréhension. La douceur et l'écoute, et surtout, une reconstruction de l'intérieur. Car si la personne devait justement se brancher sur sa volonté mentale, c'est foutu. Oui, car ce mental, c'est peut-être celui qui a tout détruit auparavant. Je ferai peut-être d'ailleurs un épisode de podcast pour différencier la volonté du mental, qui est néfaste, à la volonté qui appartient au rein et à l'ancrage, et qui est donc bien plus saine, celle qui appartient véritablement à votre être. Alors ? Premier conseil basique, revenir à soi, c'est-à-dire revenir au corps. C'est peut-être commencer par bouger autrement, par respirer plus lentement, par marcher pieds nus, par se reconnecter à cette enveloppe qu'on a voulu fuir, mais qui finalement est notre maison, notre véhicule terrestre. Ai-je besoin de vous rappeler de travailler vos blessures émotionnelles ? Alors non, on n'a pas besoin d'avoir plongé dans cet alcoolisme, mais... en allant voir cet enfant intérieur, celui qui a manqué d'amour, de sécurité, de reconnaissance, en lui disant « Hey, je suis là maintenant et tu n'es plus seul. » Explorez également pourquoi pas vos mémoires familiales, pour sortir des schémas invisibles, qu'on perpétue sans le savoir, c'est-à-dire reconnaître que ce poids n'est sûrement pas le vôtre, et surtout s'autoriser à le poser et à le déposer. Soutenir les organes en MTC, et non, ce n'est pas accessoire, c'est-à-dire que le foie, le cœur et la rate ont besoin d'attention. Cela passera par des changements du point de vue alimentaire, et pourquoi pas, même la pharmacopée. Se relier à la base, c'est-à-dire votre ancrage qui est alors inexistant. Il est donc indispensable de le reconstruire afin de vous sentir vivant chaque jour. Gardez en tête une chose, que la guérison, non, n'est jamais un objectif. C'est un cheminement. Un retour à soi, une transformation progressive, très lente, mais surtout profonde. Alors l'alcoolisme, non, n'est pas une faiblesse. Ce n'est pas non plus une question de volonté ou de force de caractère. C'est l'expression d'une douleur enfouie, ancienne, d'une blessure non nommée, d'une énergie qui cherche désespérément à circuler autrement. Ce n'est pas un appel au secours, c'est un appel à l'amour, à la douceur et à la paix intérieure. Un appel à être... entendue, reconnue, mais surtout sans honte. Et parfois, il faut un long détour dans la fuite ou la dépendance pour revenir à soi avec plus de douceur et plus d'ancrage. Ce que l'on pensait être une faiblesse devient alors un chemin, et ce que l'on voulait cacher devient alors un cadeau pour soi. Ce nouvel épisode du podcast Mise en lumière holistique touche à sa fin. J'espère qu'il vous aura offert un éclairage différent, une des pistes de réflexion sans jugement. Sans culpabilité et avec toute la douceur possible. On se retrouve la semaine prochaine avec un nouveau sujet, seul, peut-être accompagné. N'hésitez pas à vous inscrire à ma newsletter mensuelle pour recevoir des nouvelles énergétiques tous les mois dans la Vérolusion. Et lors de votre inscription, récupérez gratuitement mon tout nouvel e-book sur le pouvoir du mental et ses croyances. Une plongée profonde pour comprendre l'impact de nos schémas de pensée et comment les transformer afin de retrouver plus de clarté et d'alignement dans votre vie. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où je partage mon expertise au quotidien, également toutes mes prestations, mon accompagnement conscience-ancrage sur trois mois, les initiations Reiki en ligne ou en présentiel, et même les soins audio-hypno-méditatifs sur mon site internet www.veronictoraisin.fr. Tous les liens pour me retrouver seront dans le descriptif de l'épisode. Vous pouvez écouter tous les autres épisodes sur les différentes plateformes d'écoute ainsi que sur ma chaîne YouTube. Et si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner, commenter, noter et même partager le podcast Mise en Lumière Holistique. A nos prochaines écoutes, à vos prochaines prises de conscience. Merveilleux moment à vous. A très vite pour un prochain épisode. D'accord, une âme, un esprit et n'oubliez jamais d'être précieux.