Speaker #0Hello et bienvenue dans Mode d'emploi, le podcast incontournable des marques engagées. Je suis Audrey, styliste, consultante et hackeuse au service des entrepreneurs mode et lifestyle. Depuis 2018, j'accompagne les créateurs et créatrices pour donner vie à leurs projets en partageant les conseils et les secrets. crée bien garder des grandes marques pour réussir. Dans ce podcast, nous allons pirater les techniques et méthodes de l'industrie pour les mettre entre les mains de marques indépendantes comme la vôtre. Alors que vous souhaitez créer votre marque en partant de zéro ou lui donner un coup de boost en vendant plus et mieux, vous êtes au bon endroit. Mes très chères créatrices et créateurs, je suis ravie de vous retrouver pour un tout nouvel épisode de Mode d'Emploi. J'espère que vous allez bien, que votre rentrée septembre-octobre se passe bien et que ... vous préparez au mieux cette fin d'année, que vous soyez en lancement de projet ou que vous ayez déjà votre marque et que vous prépariez tout simplement les ventes de la fin d'année. Avant de commencer cet épisode, je voulais remercier une nouvelle fois Alice qui a laissé un commentaire sous un épisode qui parle du choix de son produit, de son produit phare pour sa collection et qui explique que grâce au programme Créer sa marque, elle a pu choisir son produit phare de manière assez facile grâce à un exercice. que j'adore. Alors je te remercie Alice de le souligner parce que vraiment j'ai adoré faire, imaginer, penser cet exercice pour que le choix du produit important et phare et signature de ta marque puisse voir le jour de manière fluide et sans frustration. Donc je te remercie. Aujourd'hui on va parler du sourcing, le sourcing c'est-à-dire la recherche de fournisseurs de tissus ou d'ateliers de confection. Donc le sourcing c'est souvent la bête noire des créatrices. et des créateurs. Je le redis souvent parce que c'est clairement la raison pour laquelle vous intégrez le plus souvent le programme Créer sa marque, typiquement, ou la raison pour laquelle vous me sollicitez le plus souvent. Effectivement, le sourcing, ça peut devenir une vraie galère si tu ne sais pas exactement ce que tu cherches, si tu ne sais pas à qui t'adresser, si tu ne sais pas comment t'adresser à ces personnes-là. Donc aujourd'hui, on va voir ensemble les 5 erreurs les plus fréquentes que je vois chez les personnes débutantes et bien évidemment, on va voir comment les éviter et comment faire différemment pour ... Pas que tu te retrouves dans cette galère de sourcing et je vais essayer de faire en sorte que le sourcing devienne un peu plus fluide pour toi et que ça soit un peu moins ta bête noire. On est donc parti pour l'épisode du jour. La première erreur que je vois très souvent, c'est de surestimer ses besoins et ses quantités. Donc c'est, disons, l'erreur la plus classique, à savoir tu vas contacter un fournisseur ou un atelier et tu vas dire par exemple, je veux produire 100 pièces. ou 200 pièces ou 500 pièces pour paraître crédible. En réalité, tu ne sais pas exactement comment calculer ce chiffre, tu n'as pas de précommande, tu n'as pas forcément de budget, tu ne sais pas où est-ce que tu vas stocker tout ça. En gros, tu n'as pas vraiment d'idée de tes quantités et tu vas contacter un fournisseur en disant un chiffre un peu comme ça, à la volée, ou un chiffre même que tu auras grossi mentalement pour paraître crédible. Sauf qu'en fait, auprès de ton fournisseur, ton atelier, tu vas te positionner sur ces volumes-là, il va te donner des prix pour ces volumes-là, tu vas questionner et échanger avec des ateliers sur cette base-là de volume. Tu risques du coup de t'engager sur trop de volume en te disant par exemple tu vas avoir un retour pour 500 ou pour 100 pièces et tu vas te dire finalement produire 500 pièces c'est moins cher à la pièce qu'en produire 100, donc tu as l'impression d'être gagnante ou gagnant. Et au final, tu vas produire beaucoup, te retrouver avec beaucoup de stocks et avoir du mal à vendre, puisque si en plus c'est ta première collection, clairement c'est pas celle qui va se vendre le mieux. Ce sera sûrement pas la première, donc tu peux te retrouver avec beaucoup de stocks, et le stock c'est la pire des situations. Enfin, trop de stocks dans une collection prêt-à-porter, c'est quand même la pire des situations. Et dans le meilleur des cas, en fait, t'échanges avec cet atelier, et puis tu vas déchanter en te rendant compte que... tu as un devis pour 500 pièces et qu'en mettant tout ça dans un tableau Excel et en essayant de rendre ça tout ça un peu cohérent, tu te rends compte que le montant que tu dois investir pour sortir une seule collection est énorme et tu te déchantes et tu te démotives et tu te paralyses. Donc la décision a du mal à être prise et en général ça crée des problèmes de délai parce que tu ne vas pas avancer, parce que tu ne vas pas réussir à prendre ta décision et ça, ça peut compliquer clairement le processus de création et surtout de sourcing. de tes fournisseurs et de tes ateliers. Sur le fournisseur de tissus, justement, pareil, si tu regardes des fournisseurs avec des quantités que tu auras surestimées, tu vas aller sourcer des tissus dont tu n'es pas capable finalement d'y avoir accès parce que tu n'as en réalité pas ces quantités-là. Ce qu'il faut faire, c'est déjà toujours être honnête, que ce soit avec tes ateliers ou avec tes fournisseurs, ou dont tu as des marges de sourcing, toujours être honnête. Tu démarres, tu es en train de tester, tu n'as pas des énormes quantités, c'est normal, ce n'est pas grave, et les fournisseurs sont bien au courant. Donc tu peux demander s'ils font des quantités accessibles, qu'ils aient son minimum de quantité, etc., s'ils font de la petite série, mais en gros, il vaut mieux un atelier qui accepte de te faire 30 pièces, plutôt que d'essayer d'impressionner un atelier en en demandant 200, et qui va... accepté, sauf que c'est toi qui va te retrouver dans la panade à un moment donné avec tout ton stock ou avec des devis qui ne sont pas réalistes pour une marque qui se lance. Donc ça c'est la première erreur, surestimer ses besoins et ses quantités, que ce soit auprès d'un fournisseur de tissus ou auprès d'un atelier. La deuxième erreur que je vois souvent aussi, c'est de multiplier les fournisseurs. En gros de vouloir tout tester, tout comparer, de contacter des dizaines de fournisseurs de tissus. Et à un moment donné, t'arrives au stade où tu ne sais plus vraiment à qui t'as déjà demandé, qui est-ce qui t'a répondu, qu'est-ce que tu leur avais demandé. Tu vas recevoir au mieux des échantillons, des réponses déjà, et des échantillons de tissus. Tu sais plus ceux qui t'ont envoyé, pourquoi t'avais demandé tel tissu, tel robraque, etc. Donc en gros, tu te retrouves avec beaucoup d'échantillons ou quelques échantillons, mais pas assez de données sur qui t'a répondu et qui ne t'a pas répondu. et aucun échantillon sur lequel tu t'arrêtes vraiment parce que t'es noyé. là-dessus et puis t'es paralysé à l'idée de faire un choix. Ça je pense que ça parle un peu à tout le monde en général quand on se retrouve face à beaucoup trop de choix, on devient, on se paralyse, surtout quand on est créatrice ou créateur et qu'on est seul derrière son projet, c'est compliqué de choisir quand on a 30, 40 échantillons de tissus sous les yeux, c'est compliqué de choisir une couleur, un motif, une matière, etc. On n'a personne en face pour nous conseiller et on s'est finalement perdu en contactant énormément de fournisseurs et en se disant que la quantité valait mieux que la qualité ou en tout cas qu'avec beaucoup de quantité on aurait plus de choix et donc ce serait plus simple de choisir. En général c'est faux. Pareil pour les ateliers, tu peux en contacter beaucoup, dans le meilleur des cas ils vont te répondre. Donc par exemple tu contactes 10 ateliers, 8 ateliers t'envoient des devis et puis tu sais plus qui fait quoi, tu sais plus comment avancer. et au lieu d'avancer, tu vas passer ton temps à comparer, à recomparer et à te poser... un milliard de questions. Finalement, plus tu multiplies les interlocuteurs, plus tu dilues ton énergie et plus tu vas te perdre dans les échanges. Ça va provoquer cette paralysie dont je parle souvent et au mieux, dans le meilleur des cas, ça va provoquer simplement une perte de temps. Mais ça, c'est vraiment dans le meilleur des cas parce que le temps de répondre à tout le monde, de faire des choix, de comparer, tu vas perdre du temps même si tu arrives à la fin à prendre une décision. Tu vas perdre du temps et de l'énergie. et tu ne seras jamais certain ou certaine de ta décision parce que tu auras beaucoup réfléchi et beaucoup comparé. Donc, essaye de te faire un tableau clair, déjà, pour faire ton suivi de sourcing, et contacte moins mais mieux. Moi, c'est la méthode que je fais appliquer à mes élèves dans le programme Créer sa marque. C'est-à-dire qu'on parle d'abord, déjà, de la méthode, de leurs besoins. On arrive à définir tous leurs besoins grâce à différents exercices. C'est une méthode précise. et un déroulé précis. Et une fois que ces besoins sont définis, là, les élèves peuvent aller chercher dans la bibliothèque de fournisseurs, dans tous les outils que je mets à disposition pour trouver les bons fournisseurs, les bons ateliers à contacter. Et surtout, je vais pouvoir orienter à ce moment-là, en fonction des besoins, vers les ateliers et les fournisseurs qui sont les plus adaptés et éviter de leur faire envoyer des e-mails à 50 personnes pour avoir peu de réponses ou en tout cas pour avoir des réponses qui ne sont pas appropriées, leur faire perdre du temps. Vraiment, à chaque fois, je leur conseille en général 2-3 fournisseurs et c'est amplement suffisant pour qu'elles trouvent leur fournisseur idéal pour cette première collection ou pour les deux premières collections. Erreur numéro 3 que je vois tout le temps, je dirais, quand on est sur la création d'une marque et qu'on n'est pas de ce milieu-là, c'est l'erreur principale aussi dans le sourcing, ça va être une mauvaise prise de contact. Je la vois franchement systématiquement. des mails qui sont trop longs, qui sont trop... pas assez précis et trop longs sur plein d'autres sujets qui ne concernent pas le fournisseur, des pièces jointes hyper lourdes, des phrases trop vagues, des fois aussi en disant qu'on cherche à produire des vêtements, on sait pas exactement quels vêtements, on sait pas exactement quel tissu, quelle quantité, etc. Et du coup personne va te répondre dans ces cas-là. En tant que créatrice, on se dit en fait personne ne veut bosser avec moi ou ce milieu est hyper fermé, je comprends pas ce que j'entends, ce que je comprends. Mais en fait, c'est pas ça, c'est juste que le message est pas bien transmis, il est pas pro, et du coup, forcément, les fournisseurs ne prennent pas le temps de répondre, parce qu'ils ont ce genre de message un peu trop souvent. Donc les erreurs typiques, c'est vraiment ça, le message trop long, le message trop flou, et pas d'infos concrètes sur le produit, sur les quantités, sur les délais, sur les matières voulues, etc. Donc contacte les bonnes personnes, ça c'est le plus important, contacte les bonnes personnes avec le bon outil. C'est super d'avoir aussi un bon mail mais il va falloir écrire aux bons ateliers, aux bons fournisseurs, ne serait-ce qu'il y a quelques jours. J'ai par exemple moi, Audrey NWR, reçu un email avec effectivement un cahier des charges, donc pas mal, je vois l'effort, le cahier des charges est un peu trop dense presque, il est assez important. donc avec un cahier des charges en pièces jointes sauf que la personne qui me contactent, c'est pour produire des vêtements, et moi je suis pas du tout un atelier. Donc je me dis, mais si cette personne-là a envoyé ce mail-là à des dizaines, voire des centaines d'emails de potentiels ateliers, sachant qu'il y en a peut-être la moitié qui n'ont rien à voir avec des ateliers de confection, bon, elle va recevoir très peu de réponses, elle va passer pour quelqu'un qui n'est pas professionnel, et en plus, bon, le cahier des charges est pas hyper optimal non plus, parce qu'il est... très long parce que sur un premier contact il est pas bon. Enfin, il y a plein de choses qui ne vont pas, plein de petits détails qui ne vont pas et on sent que la personne a contacté des dizaines et des dizaines de personnes en pensant bien faire et finalement c'est l'erreur la plus basique qu'on puisse voir. Donc, concentre-toi sur faire un bon message. Moi j'ai des templates d'email dans le programme Créer sa marque qui sont très succincts, qui sont faits pour avoir de la réponse. et qui obtiennent des réponses, et c'est effectivement les retours que j'ai des ateliers et des créatrices que j'accompagne, qu'elles ont des retours grâce à ces emails de contact. Et surtout, il faut savoir pourquoi tu les contactes et qui tu vas contacter. Donc dans ces cas-là, c'est important d'être accompagné sur cette partie de recherche et de sourcing. L'erreur numéro 4 que je vois et que je peux comprendre, mais que je vois souvent, ça va être de chercher à tout avoir. Le prix, la qualité, la petite quantité, etc. C'est humain, on veut le meilleur de tout, on veut de la qualité, on veut peu de quantité, donc peu de pièces, et on veut du pas cher dans l'idéal, mais clairement dans le textile, ces trois choses-là ne cohabitent pas. Et je pense que dans plein de domaines, ces trois choses-là ne peuvent pas cohabiter. Tu peux en avoir deux sur trois, mais tu n'auras jamais les trois. Si tu veux une petite quantité et une belle qualité, il va falloir accepter par exemple un prix plus élevé. si tu veux gagner sur les prix. Il faudra forcément... tirer un peu la qualité vers le bas ou augmenter grandement tes quantités pour tirer les prix à la pièce et obtenir à la fin un prix de revient moins élevé. Mais essaye de définir en priorité quand tu te lances, quand tu démarres, définis ta priorité avant de chercher ton fournisseur. Qu'est-ce que tu cherches à tout prix ? Est-ce que tu cherches à faire quelque chose de rentable et donc de pas cher ? Et ce que tu vas essayer de trouver, c'est vraiment un prix. Est-ce que tu veux de la sérénité, de la production locale et tu veux ça aussi pour le côté éthique mais en plus tu veux pouvoir te rendre sur place régulièrement et pouvoir avoir des échanges rapides et simples et fluides avec tes fournisseurs ? Est-ce que tu es pressé, tu veux vite tester ton produit ou alors ton produit il a une innovation ou il est tellement nouveau que tu sais qu'il faut vite le sortir sur le marché donc tu as des délais très courts et c'est ça ta priorité et tu es prête à payer le prix fort du coup pour aller vite. ... Est-ce que tu préfères tester par exemple ton projet avec des petites quantités et te dire bon ben voilà moi ce que je veux c'est vraiment des petites séries donc des minimums de quantité bas parce que je veux tester, quitte à payer un peu plus cher, je veux tester avec des petites séries pour m'assurer d'investir plus plus tard. Gros tu dois savoir dès le début où tu places ton curseur et qu'est-ce qui est important pour toi, qu'est-ce qui est ta priorité. C'est pas la même en fonction de la marque que tu sors, en fonction de ton produit, en fonction de ta situation. personnel et professionnel aussi, d'accord ? Faut bien faire en fonction de toi, et pas en fonction de ce que t'entends dans des épisodes de podcast, mais dans d'autres épisodes de podcast, pas les miens, bien sûr, mais pas en fonction de toutes ces superbes histoires que tu peux entendre sur les réseaux sociaux ou quoi. Fais en fonction de toi et de ta situation, d'accord ? C'est important d'être réaliste, de garder les pieds sur terre, et de pas surestimer ou sous-estimer tes besoins, tes priorités, ok ? Tu veux... Il vaut mieux des fois fabriquer par exemple 30 pièces en France, que tu paieras forcément plus cher que 500 pièces au Portugal, mais tu as la flexibilité et la proximité que tu cherchais au départ, par exemple. En gros, le fournisseur parfait n'existe pas, par contre le bon fournisseur pour ton projet, il existe, maintenant il faut le trouver et il faut que toi tu saches ce que tu cherches. Et enfin la cinquième et dernière erreur, et là on sort un petit peu du sujet du sourcing, plus ou moins. mais on est sur quelque chose de plus spécifique, c'est que penser que du tissu en fin de stock, des fins de rouleau, ça veut dire que c'est moins cher. Ça c'est une idée reçue, on croit que fin de stock égale en gros super affaire, qu'on va avoir un prix parce que c'est des fins de stock. En fait... Déjà, ce n'est pas moins cher pour plein de raisons, parce qu'il y a forcément un intermédiaire supplémentaire, il y a un travail commercial supplémentaire, de reconditionnement aussi. Il y a forcément ces frais qui s'ajoutent. On est sur des tissus qui viennent de maisons de haute couture la plupart du temps. Donc forcément, ces maisons de haute couture, elles ont des tissus qui, de base, sont plus chers que la plupart des tissus qu'on peut trouver sur le marché du prêt-à-porter. Donc, on ne sera pas sur des tissus au prix des tissus de prêt-à-porter. Et en plus, ça peut être plus risqué parce que les quantités sont limitées et tu ne pourras pas recommander la même matière de manière régulière. C'est-à-dire que si tu sors un premier drop de produit avec cette matière-là, si demain tu as une rupture de stock et que tu veux recommander de la matière, tu ne vas pas la trouver. Et la plupart du temps, c'est là le problème. C'est aussi que quand tu vas vouloir faire tes prototypes, il va falloir acheter toute la matière parce qu'entre le moment où tu fais ton premier prototype, on en parlera dans... un épisode de podcast qui arrive bientôt, entre le moment où tu fais ton premier prototype et le moment où tu produis ta collection à échelle plus industrielle pour la vente, il y a forcément des semaines, des mois qui se sont écoulés et donc ta matière, elle aura disparu en général, elle aura été achetée par quelqu'un d'autre. Donc tu vas être obligé d'acheter toute ta matière dès le début, donc c'est plus d'engagement financier, c'est plus risqué financièrement et il ne faut pas baser toute sa stratégie là-dessus en se disant que fin de stock égale... Petit prix ou super affaire. Donc ne te dis pas que tu vas obtenir des matières moins chères en faisant de l'upcycling, même si, attention, l'upcycling est une super idée, une super opportunité, mais en tout cas pas pour ces raisons-là, pas pour les raisons du prix, ça peut être une super opportunité pour ta marque, pour plein d'autres raisons, mais du coup là c'est un autre sujet et on pourra peut-être en reparler lors d'un épisode de podcast dédié. Voilà pour les 5 erreurs que je vais te résumer. Et surtout, ce que je voulais te dire, c'est que le sourcing, c'est un mix d'instinct, de stratégie et de bon sens. Tu vas forcément tâtonner. Mais si tu évites ces erreurs, à savoir ne pas surestimer tes besoins, ne pas te disperser entre trop de fournisseurs, soigner ta prise de contact, être lucide et réaliste sur le triangle prix, qualité, quantité, etc. Et ne pas te baser sur une stratégie de fin de stock vs prix. si tu évites ces erreurs là tu vas gagner un temps fou et tu seras crédible auprès de tes ateliers dans la plupart des cas. Ton but, c'est pas de trouver le fournisseur parfait, c'est de bâtir une relation de confiance, une relation durable avec ce fournisseur et surtout trouver le fournisseur qui te correspond à toi et rien qu'à toi. Voilà, on arrive déjà à la fin de cet épisode sur le thème du sourcing. J'espère que mes conseils t'auront été utiles. Si cet épisode t'a plu, tu peux me laisser 5 étoiles et un commentaire sur la plateforme d'écoute de ton choix. à savoir Spotify ou Apple Podcasts par exemple. Mes très chères créatrices et créateurs, merci d'avoir été à l'écoute, continuez de transformer vos rêves en réalité, prenez soin de vous, et à bientôt pour un nouvel épisode.
