Speaker #0Bonjour à tous et à toutes, mon nom est Christian et bienvenue à ce deuxième épisode du podcast Nidio Nidiable. Aujourd'hui, je fais la suite de mon premier épisode, je vous ai parlé de Dieu et là je vais vous parler du diable. Le concept intéressant, le diable c'est quoi exactement ? Est-ce que ce prend un vrai danger ? Bon, moi la première question que je me pose là... Est-ce qu'on a été éduqués sur la nature du diable ? Est-ce qu'on nous a vraiment informés ? Parce qu'ils prétendent tous avoir ces gens-là de la religion, ou bien importe de quoi. On vous a jamais éduqués sur le diable ? Jamais. Ah, sur le feu. Le feu est dangereux, on vous a donné le long et le large. Tous les détails. N'est-ce pas ? La vitesse. Est-ce qu'on vous a indiqué combien c'était dangereux la vitesse ? On vous l'a indiqué. Les hauteurs. Il ne faut pas tomber, il faut faire attention. Faire un tour en vélo, vous mettre un casque en auto, une certaine sécurité. Et pourquoi ? Parce que l'impact à tant de kilomètres heure, il y a tellement de détails. On vous explique le danger réel et ce qu'il faudrait faire ou pas faire. Si le diable était un réel danger, et surtout pas un danger de mourir ou se casser une jambe, un danger pour l'éternité parce que c'est ça la punition, on serait plaqué mur à mur d'éducation sur le diable. Je vais vous faire un topo rapide. Je ne me prétends pas pantoute un connaisseur de la situation, mais j'ai quand même étudié le sujet. Le diable, celui qu'on appelle le diable, parce qu'il y en a plusieurs diables, mais le diable. Il y en a pour qui c'est Satan. Son vrai nom, ce serait Samaël. Si on parle des musulmans, eux, ils l'appellent Iblis. C'est le même personnage. C'est celui qui a refusé d'obéir à Dieu, à Allah, peu importe comment vous l'appelez. Puis qui a créé une rébellion avec certains anges. Il est embarqué dans son trip. Puis finalement, il y a eu une guerre. Puis ils ont perdu. Sérieux. Ton père, c'est l'absolu. Il est absolu. Tu vas-tu faire une guerre contre l'absolu ? Ça n'a aucun sens. Les histoires qu'on vous a racontées, c'est une paroute. Mais bon, l'histoire, c'est ça. Puis là, ça gagne à Samaël. Ils ont été déchus. Ils ont été reniés pour mille ans, ou peu importe comment c'est fait. Il y en a plusieurs, il y a Harry Mann là-dedans, il y a Azazel. Bon, je ne peux pas commencer par les nommer. By the way, Azrael n'est pas là-dedans, et ce n'est pas le chat de Gargamel. Azrael, c'est l'ange de la mort. C'est une autre histoire. Mais bon, il y a des anges déchus, et c'est tous des démons, des diables. Comme là, on dit que présentement, c'est l'âge d'Ariman, parce que là, c'est la technologie qui empoisonne l'esprit des gens. Bien, ça, c'est ce qu'ont été les histoires, les gens. Mais c'était un réel danger, on vous l'aurait raconté. On vous en aurait parlé pour sauver votre âme. Ben non, on vous en a pas parlé jamais. Fait que moi, par temps, on m'en a pas parlé, là. C'est de la cochonnerie. Mais là, il y en a pour qui ont vendu leur arme, puis ont réussi à avoir ce qu'ils voulaient, puis là, c'est fait. Là, ils sont condamnés. Là, ils sont terrorisés. Ça va être l'éternité. L'éternité, ça se suppose qu'il y a du temps. Là, je vous annonce officiellement, c'est pas là que je vais vous le faire. Je vais le faire quand je vais faire les capsules en vidéo. J'ai une preuve scientifique que le temps n'existe pas. C'est très intéressant. C'est lié à mon domaine d'études, évidemment, comme je l'ai dit dans les épisodes précédents. J'ai étudié les mathématiques et la physique à l'université et j'ai approfondi vraiment ces matières-là. Dans un de mes prochains épisodes, je vais vous faire la preuve que le temps et l'espace n'existent pas réellement, que ce n'est qu'un concept. Mais là, aujourd'hui, on va se passer ça, on est déjà assez chargé. Le temps semble exister. On a vraiment l'impression de le vivre. Faire Montréal-Québec à 100 km heure, ça prend 2h30, c'est constant. OK, il y a une cohérence à l'univers. C'est un concept. On n'est pas là réellement. Le temps, il ne se passe pas réellement. C'est un concept. Mais là, on n'accorde pas là-dessus. Là, on accorde sur la punition éternelle. Dans le tissu de l'absolu, quand je parlais de Dieu, dans l'épisode précédent, s'il y a un Dieu, s'il y a un grand S et un grand I, il est absolu, il est tout, il est plus que tout. Et dans ce tissu-là, le temps n'a pas de prise, il n'y a pas de temps. C'est un état Dieu. Ça, je vais en parler plus tard aussi dans le détail, pour amener des données qui vont être plus intelligibles. Là, le but, c'est pas ça. Là, je vous parle du diable. Et là, l'éternité peut pas exister. La punition éternelle peut pas exister. Oui, on peut vivre un état de souffrance, ou de ci, ou de ça, mais pour vivre un état de souffrance, il faut que le temps se passe. Il faut qu'il y ait une référence à un sentiment de bonheur ou de confort pour souffrir. Femme Annie, sinon, viens au monde dans un endroit où il fait moins 40 Celsius tout le temps. Tu n'as pas froid, c'est la température normale. Tu n'as pas de référence autre. Une information, Femme Annie, c'est comme ta vie de tous les jours. Si par contre, tu te promènes entre 35 Celsius et moins 35 Celsius, comme à Montréal on vit, Quand au printemps, il se met à faire 5 degrés, tu sors en short court, mais à l'automne, quand il fait 5 degrés, tu mets quasiment ton manteau d'hiver. Et que dans les faits, on le subit, ben là, c'est sûr qu'on a une référence. Et on le vit par rapport au temps. Oui, c'est un état qu'on vit, mais il n'est pas éternel. Donc, le diable, c'est un concept qui est apparu en fonction qu'il y a pas vraiment des gens qui faisaient du mal. Il y a des gens qui étaient bénéfiques. Et on a comme mis ça dans des boîtes, c'est pari. Ça, c'est mon point de vue. Mais je pense que c'est assez difficilement réfutable. Il y avait les gentils et les pas gentils. Il y a le bien et le mal. C'est une conséquence des constats des actes des gens. Comme j'ai déjà dit, le bien et le mal n'existent pas. J'ai dit ça dans l'épisode pilote. Le bien ou le mal, c'est une conséquence de faits zérés. Je prends toujours le même exemple. Le guépard qui attraque la petite chèvre de trois mois, la petite gazelle, puis qu'elle tue devant sa mère, la mère est complètement dévastée. Elle a de la peine. Le guépard a fait du mal à la mère. Est-ce que c'est mal, non ? Pas parce que c'est dans la nature qu'il faut quitter des gazelles que c'est correct. Non, non. Il a fait du mal. Ce n'est pas mal, c'est un fait. Quand vous faites du mal, vous faites du mal à quelqu'un parce qu'il va perdre quelque chose, il va souffrir d'un manque de ci ou de ça, ou d'un dérangement, peu importe. Ce n'est pas mal. Ce que vous faites, ça fait du mal. Ce que vous subissez, ce n'est pas mal. Ça vous fait du mal. Le diable ne peut pas être le mal incarné. Le diable, c'est un concept que les êtres humains ont créé. Et c'est dans le tirage officiel pour nous manipuler comme des marionnettes. Donc, de toute façon, le diable, s'il existait, il serait une composante de l'absolu. C'est une composante de Dieu. Il fait partie de Dieu. Sinon, Dieu n'est pas absolu. S'il y a un enfer, il est dans Dieu, l'enfer. Sinon, Dieu n'est pas absolu. Il y a quelque chose qui n'est pas Dieu. Ça ne marche pas. Ça ne marche pas, cette affaire-là. Mais, est-ce que vraiment le diable, c'est celui qu'on nous a bienveillamment, guillemets, présenté ? Non. Parce que justement, c'est un danger sous lequel on vous a jamais éduqué. Comprenez, le diable serait le mal incarné. Mais le mal existe pas, ça commence mal. Le diable, il va faire que tu vas aller en enfer pour l'éternité. Mais le temps existe pas, c'est une conséquence de notre espace-temps. Après le Big Bang, il est apparu l'espace et le temps, en passant, qui n'existaient pas avant. Dieu n'est pas dans un temps. Dieu, c'est un état. Je l'appelle Dieu pour vous faire plaisir, moi je l'appelle l'absolu. Je vais l'appeler Dieu, c'est le plus simple. Dieu voit tous les instants en même temps, il ne glisse pas sur le temps. Le temps, il est dans lui, c'est un composant. Comme votre ongle. Votre ongle, c'est pas vous. C'est une partie d'eux. Ben c'est ça. Le temps, c'est une partie d'eux. Pis c'est juste une conséquence. Le diable, peu importe comment vous allez le prendre, il peut pas exister. Pas comme on nous l'a présenté. Vraiment pas. Puis s'il existait, disons, un absolu qui serait mauvais, disons que l'absolu, ce serait le diable. Ça lui donne quoi de faire du mal ? C'est quoi faire du mal ? C'est par rapport à quoi ? Il est à la base de tout, il n'y a rien avant. Il ne peut pas se référer à quelque chose qu'il connaît pour faire du mal. Il n'y a pas de notion de mal. L'absolu ne peut pas être mal. Il ne peut pas être mauvais. L'absolu ne peut pas être bon non plus. C'est ça qui est intéressant. Dieu n'est pas mauvais et il n'est pas bon. Dieu est absolu. Il n'a besoin de rien. Il n'a pas besoin de construire un monde merveilleux. Il est absolu. Il est tout. Mais dans lui, il y a tout le mal et le bien que nous nous faisons. La notion du diable... que nous on s'est donné, c'est une personnification du mal qu'on fait, et non du mal qui existe dans l'univers. Il ne peut pas être quelqu'un. Et s'il est quelqu'un, on nous a sacrément mal informés sur nous. Fait qu'à tous ceux qui s'inquiètent d'avoir vendu leur âme au diable, Je vous invite à m'écrire. Je vais mettre mon courriel disponible. On va pouvoir se parler. Je vais faire des séances, si vous voulez. Je pourrais vous prendre en séance. Je vais vous faire un gros ménage de votre esprit. Je connais le dossier de A à Z. Vous n'êtes pas en danger. Ah, vous l'avez vu s'incarner devant vous. D'un, le cerveau est capable de fabriquer de très belles images. Et il y a d'autres êtres dans cet univers-là, qui ne sont peut-être pas des êtres qui sont comme nous, en chair et en os. Il y a peut-être une entité qui nous a fait croire que c'était une diable. et que cette personne-là, cette entité-là, se nourrit de votre peur. Ça, c'est très possible. Ça, ça va être un sujet dans un des épisodes. Les entités potentielles, pas les entités qui existent, non, non. Les entités potentielles peuvent exister. Il faut être pragmatique dans la vie. Il faut arrêter de rêver en couleur. Il faut arrêter de croire au... Père Noël et au diable. Je vous laisse là-dessus. Réfléchissez à tout ça. J'espère que cet épisode-là vous a apporté quelque chose.