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#12 | Jacques Roux (86 ans, soldat à la guerre d'Indochine) : "Le risque nous rend vivants" cover
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Nouvel Œil

#12 | Jacques Roux (86 ans, soldat à la guerre d'Indochine) : "Le risque nous rend vivants"

#12 | Jacques Roux (86 ans, soldat à la guerre d'Indochine) : "Le risque nous rend vivants"

26min |23/03/2020
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26min |23/03/2020
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Description

  🌾« Une vie paisible est fade, c’est comme un plat sans sel. Il faut qu’il y ait du risque, que l’on sente l’adrénaline monter par la peur, pour se rendre compte que la vie vaut la peine d’être vécue. »

Jacques Roux a 86 ans et pour lui, la vie c’est comme un plat, comme un bon dessert dont il faudrait savourer chaque bouchée.  

Il a fait la guerre d’Indochine pendant deux ans, et nous confie que le risque lui a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Ces choses qu’il nous partage dans cet épisode. 

Il nous décrit son enfance, sans téléphone, sans télévision, juste en compagnie de quelques livres, un peu de cinéma, et beaucoup de nature. Une vie bien différente de celle que l’on connait. 

Il a passé 56 années avec sa femme, et il nous raconte leur rencontre, comment ils ont décidé de se marier seulement quelques heures après leur rencontre.

Il nous parle du temps, qui efface la plupart des choses, qui épluche ce que l’on pense important, et qui n’a finalement pas vraiment d’importance. 

Jacques nous transmet de jolies prises de recul au travers de ses anecdotes, pour se recentrer sur ce qui est essentiel. Réécouter cette discussion m’a d’autant plus fait écho en ces temps que nous traversons.

  👉Pour suivre les aventures du podcast :  https://www.instagram.com/nouveloeil_/   


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  🌾« Une vie paisible est fade, c’est comme un plat sans sel. Il faut qu’il y ait du risque, que l’on sente l’adrénaline monter par la peur, pour se rendre compte que la vie vaut la peine d’être vécue. »

Jacques Roux a 86 ans et pour lui, la vie c’est comme un plat, comme un bon dessert dont il faudrait savourer chaque bouchée.  

Il a fait la guerre d’Indochine pendant deux ans, et nous confie que le risque lui a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Ces choses qu’il nous partage dans cet épisode. 

Il nous décrit son enfance, sans téléphone, sans télévision, juste en compagnie de quelques livres, un peu de cinéma, et beaucoup de nature. Une vie bien différente de celle que l’on connait. 

Il a passé 56 années avec sa femme, et il nous raconte leur rencontre, comment ils ont décidé de se marier seulement quelques heures après leur rencontre.

Il nous parle du temps, qui efface la plupart des choses, qui épluche ce que l’on pense important, et qui n’a finalement pas vraiment d’importance. 

Jacques nous transmet de jolies prises de recul au travers de ses anecdotes, pour se recentrer sur ce qui est essentiel. Réécouter cette discussion m’a d’autant plus fait écho en ces temps que nous traversons.

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Jacques Roux a 86 ans et pour lui, la vie c’est comme un plat, comme un bon dessert dont il faudrait savourer chaque bouchée.  

Il a fait la guerre d’Indochine pendant deux ans, et nous confie que le risque lui a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Ces choses qu’il nous partage dans cet épisode. 

Il nous décrit son enfance, sans téléphone, sans télévision, juste en compagnie de quelques livres, un peu de cinéma, et beaucoup de nature. Une vie bien différente de celle que l’on connait. 

Il a passé 56 années avec sa femme, et il nous raconte leur rencontre, comment ils ont décidé de se marier seulement quelques heures après leur rencontre.

Il nous parle du temps, qui efface la plupart des choses, qui épluche ce que l’on pense important, et qui n’a finalement pas vraiment d’importance. 

Jacques nous transmet de jolies prises de recul au travers de ses anecdotes, pour se recentrer sur ce qui est essentiel. Réécouter cette discussion m’a d’autant plus fait écho en ces temps que nous traversons.

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Jacques Roux a 86 ans et pour lui, la vie c’est comme un plat, comme un bon dessert dont il faudrait savourer chaque bouchée.  

Il a fait la guerre d’Indochine pendant deux ans, et nous confie que le risque lui a fait prendre conscience de beaucoup de choses. Ces choses qu’il nous partage dans cet épisode. 

Il nous décrit son enfance, sans téléphone, sans télévision, juste en compagnie de quelques livres, un peu de cinéma, et beaucoup de nature. Une vie bien différente de celle que l’on connait. 

Il a passé 56 années avec sa femme, et il nous raconte leur rencontre, comment ils ont décidé de se marier seulement quelques heures après leur rencontre.

Il nous parle du temps, qui efface la plupart des choses, qui épluche ce que l’on pense important, et qui n’a finalement pas vraiment d’importance. 

Jacques nous transmet de jolies prises de recul au travers de ses anecdotes, pour se recentrer sur ce qui est essentiel. Réécouter cette discussion m’a d’autant plus fait écho en ces temps que nous traversons.

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