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Les podcasts de l'OPC

Les Frères ennemis - Éducation populaire et action culturelle

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18min |01/02/2024
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Description

Dans les années qui suivent la Libération, la création d’un ministère des Affaires culturelles et celle d’un Haut Commissariat à la jeunesse et aux sports éloignent l’action culturelle de l’éducation populaire. Cette dernière, tout en se renouvelant sur un plan militant et doctrinal, se professionnalise et forme un personnel dédié à l’animation. Elle sera par la suite rattachée au Haut Commissariat. Quant au ministère des Affaires culturelles, il est conçu pour la création et l’admiration de l’art. À l’un échoit la pédagogie, à l’autre, l’esthétique. Dotés d'équipements différents, mus par des objectifs divergents, pilotés et administrés par des profils de personnes formées dans des établissements distincts, les secteurs collaborent peu. Ce clivage concourt à faire de ces deux ministères des frères ennemis.

Dans ce sixième épisode, Guy Saez revient sur les étapes qui ont contribué à créer un schisme entre action culturelle et éducation populaire


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans les années qui suivent la Libération, la création d’un ministère des Affaires culturelles et celle d’un Haut Commissariat à la jeunesse et aux sports éloignent l’action culturelle de l’éducation populaire. Cette dernière, tout en se renouvelant sur un plan militant et doctrinal, se professionnalise et forme un personnel dédié à l’animation. Elle sera par la suite rattachée au Haut Commissariat. Quant au ministère des Affaires culturelles, il est conçu pour la création et l’admiration de l’art. À l’un échoit la pédagogie, à l’autre, l’esthétique. Dotés d'équipements différents, mus par des objectifs divergents, pilotés et administrés par des profils de personnes formées dans des établissements distincts, les secteurs collaborent peu. Ce clivage concourt à faire de ces deux ministères des frères ennemis.

Dans ce sixième épisode, Guy Saez revient sur les étapes qui ont contribué à créer un schisme entre action culturelle et éducation populaire


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Dans les années qui suivent la Libération, la création d’un ministère des Affaires culturelles et celle d’un Haut Commissariat à la jeunesse et aux sports éloignent l’action culturelle de l’éducation populaire. Cette dernière, tout en se renouvelant sur un plan militant et doctrinal, se professionnalise et forme un personnel dédié à l’animation. Elle sera par la suite rattachée au Haut Commissariat. Quant au ministère des Affaires culturelles, il est conçu pour la création et l’admiration de l’art. À l’un échoit la pédagogie, à l’autre, l’esthétique. Dotés d'équipements différents, mus par des objectifs divergents, pilotés et administrés par des profils de personnes formées dans des établissements distincts, les secteurs collaborent peu. Ce clivage concourt à faire de ces deux ministères des frères ennemis.

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