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Le Podcast de Yotéra - Kiné

Prescription d’exercices en vidéo / Actu Kiné de la Semaine S2E3 avec Andrew

Prescription d’exercices en vidéo / Actu Kiné de la Semaine S2E3 avec Andrew

49min |15/12/2025
Play
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49min |15/12/2025
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Description

Dans cet épisode, Julien et Gwenaëlle reçoivent Ugo d'Andrew Pro, pour découvrir cette application dédiée aux kinésithérapeutes.


Andrew Pro, c'est quoi ?

Une application de prescription d'exercices en vidéo pour autonomiser les patients entre les séances. Créée par une équipe d'ostéos et kinés, Andrew Pro propose des contenus vidéo réalisés par des experts reconnus : Tessadit Aissaoui, Julie Cantournet, Aude Gastauer, Flavio Bonnet, et bien d'autres.


Ce qu'on découvre dans cet épisode :

  • Comment Andrew Pro fait gagner du temps au quotidien (prescription en moins de 30 secondes)

  • Le retour d'expérience de Gwenaëlle Quelven qui utilise l'outil depuis juillet 2024 avec un taux d'observance de 93%

  • Les fonctionnalités : prescription d'exercices, télésoin, programmation évolutive, capsules d'éducation à la santé

  • La partie Explorer avec méditation, yoga, pilates, cohérence cardiaque

  • Le suivi hybride présentiel et télésoin pour raccourcir les traitements

  • Les tarifs : formule classique à 39 euros par mois, formule premium à 59 euros par mois avec aide CPAM de 350 euros

  • Les nouveautés à venir : application mobile pour les praticiens et IA pour recommander des exercices basés sur les recommandations HAS


Pourquoi ça marche, même avec les patients âgés ?

Plus de 250 000 patients utilisent déjà Andrew, avec des taux d'utilisation très élevés chez les 55-75 ans. L'application est intuitive, esthétique, et les patients apprécient d'avoir un support vidéo pour refaire leurs exercices correctement à domicile.


Code promo : 10% de réduction la première année avec le code GWENAELLE

Essai gratuit 15 jours sur andrewapp.fr


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🙏 Merci pour ton soutien et à très vite,


Julien


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Alors, tout le monde est là ? Gwen est là ? Parfait, coucou ! Ça va ? Ça va et toi ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas coiffée, je sors du cab, vous m'accepterez comme je suis ?

  • Speaker #0

    On accepte comme tu es. J'aime être en drôle tant que ça se fasse parce que souvent ça met 100 ans.

  • Speaker #1

    Ouais, nickel, trop bien. Moi je suis contente de te retrouver aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Et bien moi aussi, bienvenue à tous pour ce nouvel épisode de l'actu kiné de la semaine. J'ai l'impression que ça fait trois mois qu'on ne s'est pas vus. Ouais !

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    ça fait seulement un mois. J'espère que tu vas bien.

  • Speaker #1

    Oui, je vais bien. C'était ta vue hier soir, j'ai fait mon webinaire avec le SLMKR.

  • Speaker #0

    Je n'étais pas là, mais j'ai vu passer l'info.

  • Speaker #1

    Oui, donc c'était challengeant, c'était hyper intéressant, énormément de questions et puis je te ferai un petit résumé. Tu veux que je fasse maintenant, en attendant ?

  • Speaker #0

    En attendant que Andrew arrive à se connecter.

  • Speaker #1

    C'est intéressant de voir, tu sais, sur les réseaux sociaux, il y a... Pas forcément beaucoup de nuances. Il y a plein de gens hyper dans la gratitude qui nous remerciaient du webinaire, bien entendu. Mais il y avait des personnes qui étaient anti-HN et qui disaient que c'était une honte. Donc, anti-hormonclature, c'est une honte. Ça diminue l'accès aux soins. C'est une médecine à deux vitesses. Et il y en a d'autres qui étaient... Non, mais Gwenaëlle, tu as une... Enfin, Gwenaëlle et le SNNKR, vous avez une vision hyper précautionneuse. Il y a plein de choses qu'on peut passer en HN. Tu sais, par exemple... les ondes de choc, l'échographie, etc. Oui, donc tu dis que... Ah oui ? Oui,

  • Speaker #0

    ça ne marche pas. Je pense qu'il faut qu'il me... Souvent, il faut que je suive mon compte pour qu'il puisse se connecter.

  • Speaker #1

    Ah d'accord, ok. Donc Hugo, il faut que tu suives le compte de...

  • Speaker #0

    Des fois, ça bug un peu.

  • Speaker #1

    Ah oui ? Je n'avais pas cette notion-là. Ok, je peux parler deux heures, tu sais.

  • Speaker #0

    Mais du coup, je ne sais même pas si on va devoir reprendre le vis. Je crois qu'on arrête.

  • Speaker #1

    C'est fait. C'est fait,

  • Speaker #0

    oui. Parce que là... Je ne sais pas si ça fait ça. Eh bien, nickel. Parfait. Bienvenue au repos du début. Merci. Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'actu qui est de la semaine. On est avec Gwen. Bonjour à tous.

  • Speaker #1

    La pro du HN.

  • Speaker #0

    La pro du HN. Et il y a un truc qui nous expliquait, c'est avant qu'on lance ça, tu as fait une soirée d'explications HN avec le SNM, KS. Et du coup, bienvenue Hugo d'Andrew. On s'était croisés à Rééducat.

  • Speaker #2

    Tout à fait. Merci pour l'invitation bonjour à tous des petits problèmes techniques pour rejoindre c'est bizarre pourtant je te suivais bien on n'arrivait pas à rejoindre on a habitué ça va ça ne nous choque pas trop donc

  • Speaker #1

    voilà c'était intéressant hier de voir que la nuance sur les réseaux sociaux n'est pas partout et puis de voir c'est dur pour notre profession en ce moment et donc Merci. C'est pour ça que c'est intéressant. Aujourd'hui, on va parler de l'application Andro. Et moi, c'est une application qui m'aura bien facilité la vie depuis juillet. Et c'est pour ça qu'on a été intéressés pour que Hugo, tu viennes nous présenter tout ça.

  • Speaker #0

    Yes. Robert, est-ce que tu veux te présenter peut-être à ceux qui ne te connaissent pas ?

  • Speaker #2

    Vraiment, je vais commencer par me présenter. Et pour rebondir sur ce qu'a dit Gwenaëlle, effectivement, on partage... pas mal de choses sur ce qu'on essaye d'amener dans notre vision de la kiné pour essayer de trouver des solutions à ce modèle économique d'une part, pour revaloriser la prise en charge en kinésithérapie. Donc c'est vrai qu'on a beaucoup de synergies, ce qui nous a amené à pas mal collaborer ensemble. Pour me présenter assez rapidement, moi je m'appelle Hugo Loison, je travaille sur le projet Androu, qui n'est pas un projet, maintenant c'est concret, sur l'outil Androu depuis maintenant un peu plus de deux ans. Et... On a construit un logiciel et une application pour les patients de suivi, de consultation, afin de les rendre acteurs de leur prise en charge en dehors du cabinet. L'objectif était réellement de pousser à l'autonomisation patient. Et là-dessus, je pense qu'on ne va rien apprendre à personne. Plus le patient est autonome et a peut-être sa prise en charge, plus on va avoir des résultats intéressants dans notre rééducation.

  • Speaker #0

    Ça a été créé par... Vous êtes ostéo, c'est ça du coup ? Until still.

  • Speaker #2

    Alors en fait, moi je suis ostéopathe de formation. Ce qui est assez marrant, c'est que dans l'équipe, relativement, il y a des kinés et des ostéos. On a commencé en fait, si vous voulez, avec Andrew, par essayer de trouver une solution pour sortir un peu du passif unique chez les ostéos. Le but n'était pas de faire un outil de rééducation, mais un outil qui poussait les patients à bouger, tout simplement. Et donc ça, ça vient de la construction de mon associé Daniel, qui avait fait une page. à la base Instagram pour ces patients qui a fini par avoir un peu plus de portée, où l'objectif était, je vais vous donner plein de tips pour bouger tous les jours, pour être acteur. Et en fait, ça a très bien pris avec ces patients. Il s'est dit, mais il faut qu'on arrive à l'implémenter pour lutter contre la sédentarité, qui est un enjeu de santé publique majeur aujourd'hui en France. Donc ça, c'était le début, on va dire, de la construction du projet. Et au final, très vite, ça nous a amené vers la kinésithérapie. Et donc, la rééducation, et là, on a implémenté dans notre équipe des experts qui venaient pour plein de prises en charge pour aller construire l'outil avec eux, qui avaient beaucoup plus de légitimité et de pertinence que nous pour construire cet outil.

  • Speaker #0

    Et c'est ça un peu le challenge. C'est vrai qu'il existe déjà, pas très utilisé, mais des applications pour se motiver à faire des exos ou alors même des chaînes YouTube pour le faire et tout. Et moi, ce qui m'attire en tant que kiné, mais je pense que même aussi en tant que, si j'étais patient, c'est le fait que vous avez autant collaboré avec des kinés ou des professionnels de santé qui sont experts dans leur domaine. Et moi, c'est ça qui m'attire surtout en tant que kiné, c'est d'avoir des exos qui sont faits par des kinés doués.

  • Speaker #1

    Si je donne l'exemple dans mon domaine, c'est Julie Cantournet et Aude Gauster. Je ne sais pas comment on dit. Aude Gauster ? Je ne sais pas. Gauster. Gauster. Qui font... Et puis maintenant, il y a Montsé. Ça va être à partir de quand ? Donc en fait, nous, vraiment, moi, c'est génial. C'est les experts. C'est les personnes en qui j'ai confiance. C'est des nouveaux exercices. C'est les exercices aussi que je donne. C'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui. Pareil, moi, pour la main, j'ai cru voir qu'il y avait Tessa. qui faisait des saldites, qui fait des vidéos. Mon seul regret, c'est qu'il n'y a pas de moyenne. Je ne crois pas.

  • Speaker #1

    Oh non, mais quelle lèche-botte. Non mais, moi, je n'ai rien à dire. Ça viendra, ça viendra.

  • Speaker #0

    Des petites capsules HL ?

  • Speaker #1

    Ça viendra, ça viendra. On y travaille, on est à fond. On est au taquet.

  • Speaker #2

    Carrément. Effectivement, l'enjeu était de construire cette équipe pluri-praticien, pluri-formateur en fait, parce que chaque professionnel avec qui on a travaillé est formateur. On a eu la chance de collaborer avec des sociétés savantes aussi, d'avoir échangé avec différents acteurs. On a pu échanger pour reprendre. En McKenzie, par exemple, on a échangé beaucoup et on collabore avec la Clinique du Coureur, avec l'agence EBP, pour des gros organismes de formation. Mais on a eu la chance d'aller aussi échanger avec des sociétés savantes, pour reprendre l'exemple de la Pelvi Perineo. On a pas mal échangé avec la FREP, avec différentes personnes, pour essayer de construire un outil qui est pertinent.

  • Speaker #0

    Ok. Et d'ailleurs, on va quand même dire à ceux qui nous regardent, et merci à ceux qui sont là, de ne pas hésiter à poser des questions sur Andrew Pro. Bien sûr, on y répondra au fur et à mesure.

  • Speaker #2

    Trop bien.

  • Speaker #0

    Donc, en gros, logiciel pour donner des ailes-saut, sous forme de vidéo, si j'ai bien compris. Comment ça s'articule ? Parce que moi, ma peur, ça serait, est-ce que je ne vais pas perdre du temps ? Enfin, perdre du temps, c'est bien sûr qu'il y a un énorme intérêt avec les patients et de l'autonomie et des exos et des supports. Mais est-ce que ça prend beaucoup de temps pour le mettre en place, pour donner les liens, etc. ? Ça, moi, mes freins.

  • Speaker #2

    Effectivement, l'enjeu, c'est de construire un outil qui est pertinent pour la prise en charge de nos patients, tout en ayant le côté où l'enjeu primordial est aussi de faire gagner du temps à nos praticiens. parce que on a un intérêt double, on va s'adresser et aux praticiens et aux patients. D'une part, nous, ce qu'on a voulu faire dans notre outil, contrairement à d'autres logiciels de prescription d'exercice, ou comme tu disais, suivre des vidéos YouTube ou des chaînes YouTube qui t'aident à bouger, déjà, nous, on a une volonté d'avoir un praticien prescripteur. C'est lui qui va mettre en avant les conseils de prescription d'exercice et autres après une séance. Le but, c'est que ça soit très rapide, encore une fois. Et au-delà de la partie mécanique et de la prescription d'exercice en vidéo, nous, on a voulu aller un petit peu plus loin. et accompagner les patients sur les aspects contextuels. Encore une fois, je n'ai rien à prendre à personne, mais les aspects contextuels, c'est capital dans nos prises en charge aujourd'hui, que ce soit l'éducation santé, mais aussi les facteurs modulateurs des symptomatologies comme le stress, l'anxiété, le sommeil, la sédentarité.

  • Speaker #0

    Donc il y a des vidéos d'éducation thérapeutique en fait, c'est ça ?

  • Speaker #1

    L'éducation à la santé, s'il te plaît, c'est moi qui ai fait changer de terme, éducation à la santé. L'éducation thérapeutique du patient, c'est des programmes pluridisciplinaires payés par l'ARS. Des conseils d'hygiène de vie.

  • Speaker #0

    C'est ça. On s'est compris.

  • Speaker #2

    On s'est compris. Attention avec Benahel, elle est un peu pénible sur les termes.

  • Speaker #0

    Elle est chiant.

  • Speaker #1

    J'assume d'être pénible. Bon, par contre, excuse-moi, mais Ego, tu sais, je t'avais prévenu, tu n'as pas répondu à la question de Julien. Donc, ça ne prend pas de temps. Je vais faire un retour d'expérience. Ça ne prend pas de temps parce qu'en plus, ils ont rajouté dernièrement des nouveaux outils. En fait, Tu fais glisser les exercices. Déjà, c'est hyper facile du côté kiné. Tu es sur ton ordi. Tu fais glisser les exercices. Tu changes le nombre de répétitions. Il y a plein de filtres. Tu peux choisir par formateur, par style d'exercice. Et maintenant, depuis deux semaines, ils ont mis, par exemple, l'ombalgie aiguë, phase 1. Et là, tu as six exercices qui se mettent. Et là, tu changes. Et en fait, ils n'arrêtent pas de modifier. Andrew, j'ai l'impression qu'il modifie chaque semaine en nous faisant gagner de plus en plus de temps. Et donc, ça ne prend vraiment pas de temps. Et moi... Je vais juste dire...

  • Speaker #0

    En gros, là, je finis ma séance. J'ai donné des exos à mon patient. Je veux... Ça serait pour des exos en plus ou les mêmes, du coup ?

  • Speaker #1

    Moi, les mêmes. Moi, en tout cas, je... Oui, les mêmes. En fait, au lieu de donner une fiche papier qu'ils vont perdre, en remboursable, tu peux leur donner des exercices ou tu peux aller plus loin et faire une programmation avec vraiment plein d'exercices différents. Et en fait, ce que disait Hugo, qui est intéressant... c'est que tu peux rajouter des conseils d'éducation à la santé, avec soit des vidéos, soit des audios aussi, Hugo ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    Dans l'éducation à la santé, c'est des vidéos, et ensuite sur les facteurs modulateurs de la symptomatologie, c'est vidéos et audios. En fait, pourquoi je ne répondais pas à la question, et tu fais bien de me couper, Gonnay, je ne répondais pas à la question parce que cette question est hyper intéressante quand on construit ce genre d'outils. Les pros veulent toujours plus de fonctionnalités, toujours plus de contenu, complexifier toujours plus l'outil. Mais il ne faut pas oublier que l'aspect primordial, c'est le gain de temps. Donc nous, on a tout fait pour personnaliser l'expérience d'utilisation. Il y a une infinité de contenus et de possibilités d'utilisation d'Androo. Et tu peux t'en servir comme tu le souhaites et surtout t'en servir adapté au patient pour avoir une réelle prise en charge patient-centrée. Donc tout va très vite. La prescription peut durer moins de 30 secondes. Ça, c'est vraiment notre enjeu.

  • Speaker #0

    Il faut quand même faire le dossier. Moi, je suis au bilan,

  • Speaker #1

    tu vois. Je suis au bilan. Et au départ, tu vois, je me disais que ça ne va être que pour mes patientes jeunes. Et en fait, pas du tout. Ce que je fais, c'est que je demande aux patientes. Et là, moi, j'ai inscrit deux patientes ces derniers jours de plus de 70 ans. Et ce matin, je l'en ai fait avec une patiente de 70 ans. Et elle a son smartphone. Et je l'aide à le faire. Mais elles sont vachement douées quand même. Je trouve ça impressionnant. Elles ont déjà leur mail et tout. Et je leur demande, en fait, je dis... Est-ce que vous avez un smartphone ? Est-ce que vous êtes assez doué avec votre téléphone ? Et tu vois, elles aiment bien dire oui, oui, oui. Et en fait, moi, j'ai un très bon taux de suivi, d'observance. Et je fais au bilan, mais ça prend cinq minutes.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    d'accord. Tu vois, après le dossier, tu sais, on l'avait fait ensemble, Julien. C'est même toi qui m'avais montré. Mais tu n'as pas besoin de mettre la date de l'hôtel. Et ça prend vraiment cinq minutes.

  • Speaker #0

    D'accord, très bien.

  • Speaker #2

    L'idée, c'est qu'on rentre l'adresse e-mail, nom, prénom, date de naissance. Et c'est terminé. Le patient est ajouté et reçoit ses accès, donc ça va très vite.

  • Speaker #0

    Et donc, ils peuvent suivre ça sur le téléphone aussi, surtout sur le téléphone aussi, d'accord ? Et ils ont un lien de connexion qu'on leur envoie, en gros, c'est ça ? Lorsqu'on ajoute le mail,

  • Speaker #2

    c'est ça. Il y a deux possibilités. On a des petits QR codes, des affiches dans le cas du nez, où le patient peut tout simplement scanner le QR code pour télécharger l'application. Mais il reçoit aussi un mail avec ses identifiants et le lien de téléchargement de l'application.

  • Speaker #0

    Ok. Et donc, on lui a prescrit. Donc là, j'ai fini. Je lui ai prescrit les exos. Il va les recevoir en mail ? Enfin, un rappel de... Je ne sais pas. Alors, en fait,

  • Speaker #2

    il y a différentes choses. Donc, on reçoit le mail qui permet d'accéder à son espace. Une fois qu'on a téléchargé l'application, ça devient notre petit compagnon d'accompagnement santé. C'est ce qui est hyper intéressant. Et c'est notre fil d'Ariane avec le praticien. Ça permet de maintenir le lien patient-thérapeute en dehors du cabinet. Le patient, lui, va avoir son espace de suivi avec toute sa prescription d'exercice, le conseil d'éducation santé et autres. Et nous, on peut paramétrer des notifications, effectivement. On sait à quel point l'observance, c'est un enjeu assez compliqué dans un système de santé où les patients ont plutôt l'habitude d'être passifs sur leur manière d'aborder le soin. Nous, on a mis en place des notifications de rappel que le patient peut se paramétrer, que nous, on peut faire avec le patient. Il reçoit une petite alerte comme un petit message, une notification sur son téléphone. qui va l'inviter à aller mettre en place les conseils.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Je vais redonner mes astuces.

  • Speaker #2

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Du coup, moi, je leur dis, parce que je ne sais pas si vous savez, mais dans notre sphère, nous, avant, il y avait des applications, mais c'était aux patients de payer un abonnement. Donc, du coup, là, je dis directement aux personnes, est-ce que vous êtes OK, je vous inscris sur une application, mais c'est moi qui vous l'offre, c'est moi qui paye. Et du coup, tu vois, déjà, c'est bon, ils ne vont rien avoir à payer, parce qu'application, des fois, ça peut dire un peu payant. Et après, je leur montre, attention. Bon, déjà, je mets la notification. En gros, tous mes patients doivent faire leurs exercices à 10 heures. Et je leur montre, ne me faites pas chuter mon taux d'observance. Là, je dois être à 93 %. Et je montre, vous voyez, les autres patients, ils ont fait, vous voyez, et je montre mon taux.

  • Speaker #0

    Et voilà.

  • Speaker #1

    Et ça les motive trop. Ça les motive trop. C'est ludique. C'est hyper ludique. C'est sympa.

  • Speaker #2

    C'est un peu ce qu'on appelle gainifier l'expérience du patient. Mettre des challenges. Il y a des choses qui peuvent marcher. en disant, regarde, tous ces patients-là qui sont actifs, il faut trouver ce qui va fonctionner avec le patient, parce que c'est toujours le discours du praticien qui est primordial pour réussir à l'endroit acteur. Ça, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Et toi, Gwen, tu fais par exemple faire telle série d'exercices tous les jours ?

  • Speaker #1

    Oui, alors moi, il y a plusieurs choses. Si c'est une patiente plutôt âgée, je lui donne juste 3-4 exercices que je rechange toutes les semaines. Si c'est une patiente plutôt en rééducation périnéale, jeune, j'ai créé plusieurs programmes d'abdos, qui s'appellent, tu vois, abdos 1, abdos avancés, abdos été, tout ça. Et je leur redonne. Et là, il y a des exercices tous les jours. Elles font comme elles veulent. Mais moi, ça a vachement bien marché parce que ça ne prend que 10 minutes. Et il y a tout type, en fait. Il y a soit moi qui ai mis 5 exercices avec le nombre de répétitions. Soit, ce qui est génial, il y a des séances de renfots. haut du corps, bas du corps, pilates, yoga et tout. Et pareil, sur le pilates, c'est par exemple Marie de Pilates et moi qui a fait. Donc, c'est des personnes référentes pour nous, tu vois. C'est super fait. Donc, voilà, soit elles ont leur programme tous les jours et je leur dis que vous faites au plus possible comme vous pouvez. Et après, sur des patientes douloureuses, là, c'est encore autre chose. C'est des exercices qui évoluent au fur et à mesure.

  • Speaker #0

    Et donc, du coup, je suppose qu'après, tu réactualises le traitement. À la prochaine séance, en gros, tu refais le point et tu réactualises le plan.

  • Speaker #1

    À chaque début de séance, je demande, est-ce que vous avez réussi à faire vos exercices ? S'ils n'ont pas réussi, comme avec une fiche, on va dire, est-ce que c'était assez dur ? Ce n'était pas assez dur ? Ou est-ce que vous vous êtes trompé ? Et à la messagerie, l'autre jour, on m'a dit, mais Gunnel, vous venez de me remettre le même programme. Bien sûr, j'ai remodifié direct.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #2

    Après l'idée c'est aussi ce qui va amener je fais une petite transition, peut-être que vous ne voulez pas aller là-dessus tout de suite, mais c'est ce qui va amener nous ce qu'on pousse un peu dans le suivi hybride avec le télésoin et un peu cette phrase toute faite mais que je trouve hyper intéressante, pourquoi faire faire au patient au cabinet ce qu'il pourrait faire à la maison effectivement, rendre acteur le patient sur la partie exercice il peut y avoir des fois aussi, on n'a pas besoin de le faire revenir au cabinet je pense qu'on l'a tous vécu quand j'échange avec les... 1500 praticiens qui se disent « Andrew, tout le monde l'a vécu, de faire revenir des fois un peu trop tôt un patient, en ayant passé les séances, il y aurait pu avoir plus de progrès là-dessus. » Là, le télésoin est hyper intéressant. Le but n'est pas de remplacer le présentiel, mais une fois sur quatre, une fois sur cinq, de se dire « la semaine prochaine, on se voit en visio. » Vous avez votre challenge d'être hyper actif sur l'application. Plus vous allez mettre en place ces exercices, plus on va progresser. Et on se fait un point en visio pour faire évoluer cette programmation pour la semaine encore d'après, où on se verra en présentiel. Et là, on aura un impact dans la séance présentielle, où on va vraiment... pouvoir prendre le temps et pousser encore plus les choses.

  • Speaker #1

    Et c'est vraiment ça, c'est de leur dire qu'il faut qu'il y ait eu un bon progrès. Parce que tu vois, s'ils me redisent qu'ils ne vont pas du tout faire leurs exercices, on essaie de voir pourquoi. Et j'explique qu'avec Andrew, hop, il y aura vraiment un progrès et c'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui, puis au final, le téléphone, si c'est pour faire le point sur l'évolution, des fois, ça dure moins longtemps qu'une séance classique. Mais effectivement, au final, c'est peut-être un gain de temps. Ok, chouette. Avec ce suivi hybride, le fait d'espacer les séances de suivi, d'autonomiser à fond les patients,

  • Speaker #2

    on gagne du temps quand on les voit, on gagne du temps en les voyant peut-être moins au cabinet, on s'y perd du temps pour augmenter l'accessibilité aux soins. Prendre des nouveaux patients qui sont des fois en attente de prise en charge, il y a toutes ces notions qui sont intéressantes.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, c'est ce qui s'est passé cet été. En août, je n'ai pas travaillé parce que je n'ai pas trouvé de remplaçant, etc. Et du coup, en septembre, normalement, ce qui aurait dû se passer, c'est tout le monde a lâché ses exercices Et je dois reprendre un peu, tu vois, à zéro. Et là, le fait d'avoir Andrew en sept ans, ça a donné plein de fins de traitement. Et c'est... Alors oui, on va dire que je suis partenaire. Il y a une collaboration commerciale qui vient à un lien d'affiliation avec Andrew. Mais là, je pense que vous me connaissez. Je suis assez franche. Et si je vous dis quelque chose, c'est que je le pense. Et clairement, ça m'a donné plein de fins de traitement. Ils m'ont dit non, là, c'est bon. Je vais continuer Andrew. Je me sens solide. Je vais continuer avec l'appli. Et nickel, quoi. Et donc, moi, j'ai vu... mais le traitement se raccourcisse vraiment bien.

  • Speaker #0

    Et donc,

  • Speaker #1

    je le compte du nouveau bilan.

  • Speaker #0

    Ok, ben oui, c'est ça. Et qui dit nouveau bilan, dit plus 25.

  • Speaker #1

    Ben voilà, c'est ça. Exactement.

  • Speaker #0

    Ça, c'est une notion d'optimisation du temps avec le taux qui deviendra plus intéressant.

  • Speaker #2

    On a des vrais enjeux en kinésithérapie de rémunération. Là, ça peut être une des réponses.

  • Speaker #1

    Oui, et de rémunération et d'accès aux soins. Parce qu'hier, on m'a dit... Mais Gwenaëlle, en développant le hors nomenclature, tu donnes moins d'accès aux soins remboursables. Et c'est hyper intéressant parce que pour moi, augmenter l'accès aux soins remboursables, ce n'est pas parce que j'ai été faire trois heures de HN dans la semaine que j'ai diminué mon accès aux soins. Et comment augmenter mon accès aux soins ? C'est pour moi l'autonomisation des patients, la bonne observance, la réorientation vers d'autres professionnels, par exemple de la santé mentale si nécessaire. C'est fou parce que moi, si les gens voulaient me lancer sur comment augmenter l'accès aux soins, j'ai été présidente de CPTS, on peut y aller. Je suis au taquet là-dessus. Et ce n'est pas ça. Il faut autonomiser vos patients chroniques. Il y a un moment, il faut voir, il faut refaire un nouveau bilan intermédiaire, peut-être un bilan final, une fenêtre thérapeutique, autonomiser vos patients, les réorienter vers d'autres pros. Il y a des choses à faire, mais vous n'êtes pas censé voir 1000 ans vos patients.

  • Speaker #0

    Et après, moi, un de mes freins, c'est vrai que les personnes âgées, parce qu'on en a beaucoup au final, de plus dans les 80 et tout, c'est pas non plus 100% d'impatientelles, mais tu as eu des retours en mode, j'arrive pas, c'est trop compliqué, ou en mode, j'aime pas trop faire ça toute seule, ou quoi ?

  • Speaker #2

    Non, elles sont trop fières. Elles sont hyper fières.

  • Speaker #1

    Mais parce qu'il y a un contexte, c'est que moi, j'emmène... Déjà, je suis contente. Dès qu'on part aux autres, je vous préviens, les autres patientes font bien. Et moi, ma patientelle est vraiment âgée. Tu regardes mon snir parce que j'ai beaucoup en rééducation périnéale pour des fuites urinaires chez la personne âgée. On voit hyper périnatalité, sport et tout ça. J'habite au fin fond de la Bretagne et vraiment ça, je peux le dire, j'étais hyper étonnée. Mais que ce soit sur Doctolib ou sur Andrew, à quel point les personnes âgées ont leur smartphone maintenant et elles sont vraiment douées.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas eu des retours en mode, vous me dites de le faire chez moi, vous me lâchez, en mode, vous ne vous occupez pas de moi, des trucs comme ça ?

  • Speaker #1

    Non, parce que je continue à les voir une fois par semaine, moi, quand même. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, je ne les ai pas lâchés. C'est complémentaire. Ah oui, oui, oui. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, ça dépend si elles ont été réactives sur leur prise de rendez-vous. Et du coup, ça a juste augmenté le temps de qualité de soins avec… mes patientes en direct parce que les exercices, ils sont acquis beaucoup plus vite parce que je les montre une première fois lors du bilan, les premiers exercices. Et après, elles ont des vidéos explicatives. Et pour moi, c'est quand même la différence de Andrew par rapport au premier outil que j'avais utilisé. C'est que la vidéo réexplique l'exercice à chaque fois. Si elles veulent, elles peuvent aller repliquer. Après, il y a la vidéo de démonstration. Donc du coup, en fait, les exercices, elles les ont en tête beaucoup plus vite.

  • Speaker #0

    Oui. Moi, c'est bon,

  • Speaker #1

    je peux rentrer dans l'équipe d'Andrew C'est bon là, j'ai mon contrat à la fin,

  • Speaker #2

    non ? Tu commences à bien maîtriser le sujet, mais justement, il faudrait que tu sois... Des fois, on peut presque se dire, tu fais bien de faire des discrétifs, que tu vends presque trop bien. Ouais,

  • Speaker #1

    Hugo, il dit que j'en fais trop, mais de toute façon, c'est pas grave, les gens connaissent ma personnalité. Oui, c'est clair.

  • Speaker #0

    Du coup, t'as un caractère intéressant.

  • Speaker #2

    Ouais, je sais pas si tu voulais... Enfin, Julien, si tu voulais... que je donne aussi mon avis sur le côté personnes âgées, c'est une question hyper intéressante, très pertinente, parce qu'on l'a énormément en fait, c'est assez constant. Et c'est assez rigolo parce qu'il y a cette notion aussi où on a tendance à voir les freins très vite, lorsqu'il y a une innovation, lorsqu'on apporte quelque chose de nouveau. Et moi, je trouve ça toujours très marrant de mettre un peu en perspective, et après je donnerai ma réponse et ma vision sur les personnes âgées, ce côté où j'ai beaucoup de personnes qui me posent cette question, et quand je creuse un petit peu, ils disent... Ah ouais, effectivement, j'ai peut-être 10% de ma patientèle qui a plus de 75-80 ans. Enfin, je ne sais pas non plus les normes. Après, il y a des praticiens qui sont spécialisés en gériatrie. Un praticien qui ne fait que de l'EPAD toute la semaine. Effectivement, je vais lui dire, ça, ce n'est pas adapté pour toi si tu vois uniquement des personnes qui ont plus de 80 ans. Mais c'est là où tu te rends compte qu'il y a quand même une vision et un prisme tout de suite d'aller chercher le négatif de... Ah ouais, mais les personnes âgées... Non, non, non, moi,

  • Speaker #0

    je m'anticipe. Non, je viens à toi, pas toi.

  • Speaker #2

    pas du tout non pas du tout non on parle pas de toi on parle pas de toi non mais je sais mais et même si c'est un prix quoi les gens vont pas se lancer dans une application c'est aussi légitime d'avoir des des appris au gris des choses comme ça ouais ouais ouais mais c'est tout à fait légitime mais c'est hyper intéressant mais donc très souvent on se rend compte déjà que bah effectivement le pourcentage de la patientèle est pas forcément très élevé sur les plus de 80 nous on a des chiffres qui sont hyper intéressants parce que donner mon avis au doigt mouillé sur ma vision, je me suis dit que je ne pouvais pas me faire enlever je pense que ça n'intéresse pas forcément les personnes qui nous écoutent. Par contre, donner les retours d'utilisation des 250 000 patients qu'on a aujourd'hui sur Andrew, on a même dépassé les 250 000 patients. Et quand on voit effectivement que les plus gros utilisateurs, ça va être les 55-65, qu'on a les taux d'utilisation qui sont dans les charnières les plus hautes jusqu'à 70 ans. Et ensuite, des taux d'utilisation hyper intéressants jusqu'à 75 et même 80. En fait, c'est aussi de la réponse statistique parce qu'on commence à avoir on va dire un panier de patients qui est représentatif. Quand on parle effectivement de plus de 250 000 patients, on peut dire que ça commence à être représentatif. Et là, pour le coup, on voit qu'il y a des taux d'utilisation qui sont hyper élevés.

  • Speaker #0

    Les taux d'utilisation sont à plus de 60-65 dans les 250 000 patients.

  • Speaker #2

    Alors là, je pourrais te les ressortir, et ça serait intéressant peut-être sur des rediffusions de le mettre en avant, parce que je n'ai pas envie de te dire un chiffre complètement débile. Je sais que ça représentait, quand on avait sorti ces chiffres-là, parce que ça nous intéressait il y a maintenant un peu plus de six mois, je crois que c'était entre 15 et 20 000 personnes dans la tranche 55-65 pour donner un ordre d'idée juste de cette tranche-là. Et du coup, c'était une des tranches les plus utilisatrices. Et je pense qu'encore aujourd'hui, c'est les plus gros utilisateurs. Parce que c'est des personnes aussi qui ont pris conscience que 30 soins en 2, être acteur de leur santé, ça allait être destiné dans leur bien-être. Donc ça, c'est aussi une verticale qui est intéressante chez ce public-là.

  • Speaker #0

    Ok. Moi, ce qui m'avait trop plu au salon Rééducat sur vos fonctionnalités, alors après, je ne sais pas si c'était pour moi ou pour les patients, mais c'était les vidéos Pilates, Yoga.

  • Speaker #1

    J'en ai.

  • Speaker #2

    et il y avait de la méditation aussi et de la sauf d'hypnothérapie il y a des contenus qui s'appellent micro-voyages aussi c'est des petites évations un petit peu de détente mais en fait c'est exactement ça c'est les contenus sur les facteurs modulateurs de la douleur je pense que tous les praticiens aujourd'hui ou la plupart intègrent un petit peu ça dans leur discours auprès de leurs patients en disant qu'effectivement nos recherches de la douleur nous ont appris qu'il n'y avait pas uniquement la partie mécanique qui rentrait en jeu dans les symptomatologies Merci. pas de la douleur, mais des symptomatologies de manière générale, parce que ça vient fluctuer aussi, des fois des symptomatologies plus physiologiques. Pour le coup, on n'a pas toujours eu les outils pour accompagner le patient, pour pouvoir bosser là-dessus. Donc c'est pour ça que nous, on a fait toute cette partie-là qu'on a appelée Explorer, et qui est en fait des contenus sur le contexte. Comment on accompagne notre patient sur le contexte ? Est-ce qu'on a le temps au cabinet de l'accompagner là-dessus ? Pas toujours, on va s'occuper beaucoup du mécanique. par contre on ouvre sur tous ces facteurs-là de contexte. Et je pense que ça peut être hyper intéressant de donner un outil pour que les patients, de leur côté, jouent sur leur sédentarité, jouent sur leur stress, sur leur anxiété, sur leur sommeil. Parce que toutes les capsules sur le sommeil aussi sont assez intéressantes.

  • Speaker #1

    Je ne suis plus parlée du tout maintenant. Mais du coup, pour vous dire, le truc est d'explorer. Elles adorent mes patientes. Mais en plus, l'application est vraiment très esthétique. C'est très joli. Et du coup, je trouve ça super important. Et une fois que la rééducation s'arrête, moi, je laisse quand même l'accès. Et elles adorent d'avoir tout. Moi, je dis explorer. Je ne crois pas dire explorer. Elles vont dans la partie explorer. Et il y a vraiment beaucoup de choses. Et c'est incroyable. Et moi, je n'ai pas encore utilisé tout. Comme tu disais, il y a beaucoup de fonctionnalités. Et Hugo, il y a un truc dont tu n'as pas parlé. Moi, je n'ai pas encore regardé. Mais est-ce que, par exemple, Tessa... Elle a fait des vidéos pour nous, nous expliquer des choses en tant que kiné, non ? Oui,

  • Speaker #2

    tout à fait. En fait, sur cette partie-là, pour clôturer ces contenus, tous les outils cohérence cardiaque et autres sont présents sur l'outil et ça permet d'avoir une bibliothèque santé pour le patient et ça devient vraiment son compagnon. Et là, c'est très joli, très esthétique, ça rejoint le côté ludique, expérience un peu gamifiée, ça te donne envie de passer du temps sur l'outil. Pour ce qui est des capsules éducatives à destination des patients, on en a déjà parlé, mais tous les formateurs avec qui on a bossé ont également fait des capsules qu'on a appelées micro-learning, parce que ce n'est pas des e-learning qui vont durer 20, 30, 40 minutes, mais micro-learning qui durent entre 3, 4, 5, 6 minutes et qui vont venir tout simplement détailler une symptomatologie, une pathologie. aussi des notions sur du post-opératoire, des notions sur les croyances limitantes, des notions en thérapie comportementale et cognitive, comment déconstruire des croyances limitantes chez nos patients. C'est hyper compliqué. Effectivement, la plupart du temps, il faut se former pour réussir réellement à être bon dans l'échange avec le patient. Mais nous, on a implémenté toutes ces capsules-là et aujourd'hui, on a... une soixantaine de capsules qui ont été réalisées par tous ces formateurs, Flavio Bonnet, Estadio Assaoui. On a travaillé en Pellevipérineo aussi, donc c'est hyper intéressant.

  • Speaker #0

    Trop bien, c'est chouette. Est-ce qu'on peut parler du prix ?

  • Speaker #2

    Oui, tout à fait. En termes de tarification, nous, on va avoir plusieurs formules parce qu'on a réellement deux formules et ensuite, on a à chaque fois deux périodicités de facturation. parce qu'on peut choisir d'être en mensuel pour notre abonnement ou en annuel. La grosse différence entre les deux, ça va être le prix final parce que lorsqu'on a une facturation annuelle, ça revient à moins cher. Mais pour parler des deux formules principales, on a une formule qu'on appelle classique où on va avoir toutes les fonctionnalités de prescription d'exercice en vidéo, l'accès aux capsules d'éducation santé et au contenu justement exploré sur les contextes. Et ensuite, sur cette formule-là, pour l'instant, on a laissé en bêta la version Andrew Coach, qui est notre outil de programmation et qui permet justement de faire des suivis en nomenclature avec Andrew.

  • Speaker #0

    Mais ça, ça va bientôt disparaître et ça sera uniquement sur la formule premium, qui est la formule avec toutes les fonctionnalités d'Andrew, la téléconsultation, la partie Andrew Coach, donc programmation, et bien sûr la prescription d'exercice et autres.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas compris là, Andrew Coach, ça m'a perdu.

  • Speaker #0

    Pardon, c'est vrai que ce n'est pas hyper clair. On a sorti une nouvelle fonctionnalité qui permet au lieu de juste faire de la prescription d'exercice, donc la prescription d'exercice simple, j'envoie trois exercices à mon patient. de faire de la planification évolutive jour après jour, semaine après semaine.

  • Speaker #1

    Je pensais qu'on pouvait le faire de base, d'accord.

  • Speaker #0

    Ça non, c'est récent, on l'a sorti en juillet. Donc en fait, on l'a implémenté 6-7 mois après le lancement d'Androkiné. Et donc ça, ça appartiendra uniquement à la formule un peu plus premium. Donc la formule classique est à 39 euros par mois et la formule un peu plus poussée avec le télésoin... Et Andrew Coach, donc la planification hebdomadaire, est à 59 euros par mois. Ce qui est intéressant dans cette formule avec le télésoin, c'est qu'on a une aide de l'État de 350 euros. Donc en fait, on a un outil agréé et la CPM nous verse 350 euros pour l'utilisation d'Andrew et c'est du déclaratif. Il y a juste à présenter une facture de l'outil Andrew dans le famille. Beaucoup de personnes la confondent avec l'aide à la télétransmission et c'est une nouvelle aide qui est complètement indépendante. et qui vient d'arriver depuis 2024, qui s'appelle l'aide pour un outil de télessoin.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et donc, il y a 350 euros de versement sous présentation, juste de justificatif d'un outil agréé comme Androco.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #0

    Et c'est ce qui fait que sur la formule mensuelle, ça fait 29 euros par mois de reste à charge pour le kiné. Ou si on prend en annuel, ça fait 19 euros de reste à charge mensuel. Donc, ça permet de l'amortir assez vite.

  • Speaker #1

    Et là, tu as donné le prix avec le famille, du coup.

  • Speaker #0

    Dans un deuxième temps, oui. Le prix sans famille, c'est 59 euros. Une fois qu'on a reçu l'aide famille, c'est 29 euros en mensuel ou 19,90 euros. Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    C'est bon, j'ai compris. D'accord. Ok, chouette.

  • Speaker #0

    C'est la plus importante.

  • Speaker #1

    Il y a quelqu'un qui veut participer ? Il y a une autre Gwen qui veut participer.

  • Speaker #2

    Non, c'est Gwen. C'est une collègue d'ici, mais ce n'est pas exprès. Gwen ne veut pas participer, je pense.

  • Speaker #1

    Elle veut peut-être prendre la parole.

  • Speaker #2

    Non, c'est des questions qu'elle va me poser, mais non, je ne pense pas. Mais écoute,

  • Speaker #1

    ça a l'air de partenariat, non ? Oui,

  • Speaker #2

    il faut mettre le code Gwenaëlle. Et on a combien de réductions avec Gwenaëlle ?

  • Speaker #0

    Avec le code Gwenaëlle, effectivement, on a 10% sur la première année. C'est hyper intéressant sur la formule annuelle parce qu'effectivement, vous allez pouvoir prendre l'outil en une fois. Ça va vous coûter 538 euros aujourd'hui en décembre. Et vous allez avoir 350 euros de versement de l'aide en 2026, en avril 2026. Donc un reste à charge de 188 euros l'année. Mais encore une fois, sur l'optimisation du temps thérapeutique, en moyenne, nous, les praticiens, ils arrivent à amortir cet investissement en 2-3 mois.

  • Speaker #2

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Et on peut faire ses propres vidéos ou pas ?

  • Speaker #0

    Tout à fait. On peut ajouter ses propres contenus parce que c'est compliqué d'avoir une bibliothèque totalement.

  • Speaker #1

    Ça bugue.

  • Speaker #2

    C'est moi qui fais quelque chose ? Non, j'ai piqué un truc et ça fait perdre

  • Speaker #1

    Hugo. Je ne touche pas à rien.

  • Speaker #2

    Je ne touche pas à rien. Non, mais ce n'est pas moi, je pense. Hugo, ça, c'est déconnecter tes écouteurs ou quelque chose ?

  • Speaker #0

    Oui. Non, c'est tout bon. Vous savez ce qui m'est arrivé ? C'est que j'ai ma limite de temps Instagram. Ah oui, moi aussi. Je suis imposé de 4 ou 5 minutes et tu as déconnecté Instagram. Donc là, je vais dépasser ma limite à cause de vous. Oui, c'est moi. C'est quand même terrible. Donc, effectivement, on peut ajouter cette forte voix vidéo parce que c'est essentiel de pouvoir adapter certains exercices aussi à des spécificités patientes et inévidentes.

  • Speaker #1

    Ok, trop bien.

  • Speaker #2

    Et on peut aussi, sous les exercices, mettre des petites phrases pour commenter. Moi, j'aime bien commenter des choses, tu sais, donc je mets des petites phrases.

  • Speaker #0

    On peut faire de la recondition écrite, pour l'exercice.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y avait des questions ? Non, pas vraiment. Non,

  • Speaker #2

    les gens sont calmes. C'est impressionnant.

  • Speaker #0

    Je croyais qu'il y avait un commentaire, mais en fait c'est Gwen qui validait qu'elle ne voulait pas réellement rejoindre le live, j'ai l'impression.

  • Speaker #2

    Voilà, c'est ça. Coup de chaud. On m'a posé des questions avant. Est-ce que c'est possible de faire des séances de pilates en visio de groupe avec Andrew ?

  • Speaker #0

    Ça arrive très vite. On a un outil de télésoin. Et effectivement, cet outil de télésoi, on peut l'utiliser pour faire des visios en nomenclature, sur les suivis en nomenclature qu'on peut avoir. Pour l'instant, c'est du one-to-one, donc c'est une seule personne à la fois. Et donc, premier trimestre 2026, pour prendre la marche, parce que les développements, des fois, peuvent prendre plus de temps avec des problématiques techniques, on aura la possibilité de faire des visios groupées.

  • Speaker #2

    Ok, trop bien. C'était ça les principales questions que je t'avais envoyées.

  • Speaker #1

    Je ne vous ai pas les questions sous les yeux.

  • Speaker #2

    Est-ce qu'il y a quelque chose dont tu veux nous parler de particulier, une nouvelle fonctionnalité ou quelque chose qui arrive bientôt qui serait sympa ?

  • Speaker #0

    Oui, ça c'est hyper intéressant et je pense que c'est sympa, ça peut plaire à tout le monde ce sur quoi on travaille en ce moment. C'est un chantier énorme et on trouve que ça peut être une évolution, une innovation assez exceptionnelle en kiné. Je vais en donner deux. Une qui va aller très vite, c'est qu'on va sortir d'ici deux ou trois semaines l'utilisation de téléphone pour le praticien. Aujourd'hui, en tant que pro, on pouvait l'utiliser uniquement sur ordinateur ou sur tablette. Là, dans deux ou trois semaines, on pourra l'utiliser sur téléphone avec un gain de temps qui sera assez dingue parce qu'effectivement, on a bien amélioré l'ergonomie, donc ça va être assez dingue. Et ça, c'est plus le côté technique, ce qui va pouvoir être hyper intéressant sur ce qu'on travaille aujourd'hui. On le travaille avec... notre ami data analyst qui nous a rejoint récemment dans Andrew. Donc lui, son rôle, c'est d'analyser un peu les datas pour faire évoluer l'outil. Il se trouve que c'est assez marrant dans notre équipe, lui, il est ostéo de formation, donc on n'a que des kinés où tout le monde vient du monde de la santé, même si c'est des professions qui à la base n'ont rien à voir. Donc ça, c'est rigolo. On est en train de travailler sur une fonctionnalité de recommandation d'exercice avec de l'intelligence artificielle. Donc on va créer notre propre modèle d'intelligence artificielle. où on va pouvoir, lorsqu'on écrit le bilan, détailler ce pour quoi vient le patient et on va avoir une recommandation d'exercice à partir de ce pour quoi vient le patient. Et on va surtout travailler avec toutes les sociétés savantes avec qui on est en contact, tous les organismes de formation qui vont nous donner toute leur bibliographie. Et on va mettre en lien toutes les recommandations de la HAS en API. Donc, on va le pluguer dans Andrew. Et à chaque fois qu'il va y avoir un prompt, comme on appelle ça en IA, sur le problème d'un type de patient, et et bien notre outil va aller fouiller dans toutes les recommandations HHS et toutes les études qui sont sorties sur le sujet, donc que ce soit sur une prise en charge de l'épaule ou autre. Et après ce tri-là, sur toutes ces recommandations, on va vous présenter une prescription d'exercice qui serait idéale. Et là, c'est encore une fois aux praticiens qu'il y a le dernier mot, parce que la prise en charge EBP, ce n'est pas uniquement ce qu'il y a dans la littérature, mais ça va être aussi s'adapter aux patients pour sélectionner les bonnes capsules. Et donc là, on veut avoir une évolution où on pousse encore plus loin, justement, ce côté EBP. la prise en charge avec Andrew, donc ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    Et pour ceux qui ont déjà l'abonnement, ça sera compris ?

  • Speaker #0

    Ouais, tout à fait.

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    tout à fait.

  • Speaker #1

    Le premium, ça suppose, pas le classique.

  • Speaker #0

    On verra en fonction du coût de développement, c'est toujours pareil, on se pense pas, ça sera peut-être que, effectivement, dans l'outil qui va être le plus onéreux, et au final qui revient à moins cher, avec l'aide de l'État, d'ailleurs. Mais effectivement, ça, c'est une grosse amélioration, avec l'utilisation téléphone, ça va nous faire gagner du temps. Il y a beaucoup de prédicatifs qui nous demandent l'accepté vocale. Le but, c'est de dire, mon patient vient pour telle ou telle problématique, tu as fait ton prompt, on sort toute la recommandation avec la capsule éducative qui va être pertinente. Et tout ça, ça sera sourcé avec une explication détaillée pour chaque exercice. Pourquoi cet exercice est mis en avant ? Parce qu'il est dans les recommandations de l'HAS, parce qu'il est sorti dans telle méta-analyse ou autre.

  • Speaker #2

    D'accord. C'est trop bien. Ça va être un gain de temps de ouf.

  • Speaker #0

    Ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    On a une question de Delphine Gourmaud. et ça tombe bien c'est Ça correspondait à ma question, je voulais qu'on fasse un petit état des lieux des spécialités, des types de vidéos qui existent.

  • Speaker #0

    Super question. Relativement, tout le musculo-squelettique a été bien tourné sur Andrew. On est allé chercher à chaque fois des formateurs sur des articulations, sur des zones. On a des contenus sur coups de poignée main hyper détaillés, avec beaucoup aussi de tableaux cliniques. qui ont été construits par Tessadiasa qui sont top. Pareil sur les pôles avec Germain et Aziz. Tout le musculo-squelettique est hyper poussé. La prise en charge du sportif est aussi hyper poussée pour les spécialistes qui naissent du sport parce qu'on a tourné à peu près 300 vidéos sur la prise en charge du sportif, que ce soit en salle de sport, sur terrain, avec des plans drone sur les phases de réathlétisation et autres. Donc ça c'est hyper poussé.

  • Speaker #1

    Tu peux dire à chaque fois avec qui, comme ça je ferai une petite vidéo.

  • Speaker #0

    Sur la prise en charge des sportifs, on a travaillé avec Flavio Bonnet de l'agence EBP, on a travaillé avec Emmanuel Attia, Pierre Poulin également, sur toute la partie réathlétisation et vidéos en extérieur. Sur la partie pelvique et lénéologie, on a travaillé avec Julie Cantournet, Aude Gastauer, Montier Rejano avec qui on a tourné, les contenus arrivent fin décembre. Donc on va encore étoffer bien évidemment ces intervenants. Le but, c'est d'avoir une vraie pluralité d'intervenants là-dessus. Ensuite, donc, Pelvi Perineo, Kiné du Sport, Céphalée, Cervical G, on a énormément de contenus. Maxilo Facial, on a quelques contenus. C'est Faller, c'est cervical disease. On a retourné les contenus nous et on va faire intervenir bientôt un nouvel intervenant là-dessus. Mais ça, c'est ce qu'on a fait en interne. En maxillofacial, ça va être tourné en début 2026. Je ne peux pas encore dire avec qui parce qu'il n'y a pas tout qui est validé sur les intervenants qu'on va avoir en maxillofacial. Voilà, il y a la pédiatrie qui va arriver aussi avec Jessica Macar. Ça, c'est tout nouveau et on va tourner en février. donc tous les contenus pédiatriques voilà un petit peu où est-ce qu'on en est sur tout ce qui est en genoux membranf et tout alors sur tout ce qui est en genoux membranf sur le genou on a travaillé avec Florent Forelli qui est un gros formateur sur le sujet on a travaillé sur la partie membranf avec Massamba Mbaye sur toute la partie cheville on a travaillé sur la partie adducteur plutôt musculaire on va dire avec Pierre Parton Poulain également. Sur le RACHI, on a travaillé avec Joshua Lavallée, l'informateur sur RACHI. Il s'appellera Chifil pour ceux qui le suivent.

  • Speaker #1

    Je vois.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'on a, les autres intervenants qu'on a pu avoir ? Ce serait dommage d'en oublier quand même.

  • Speaker #1

    En respire peut-être ?

  • Speaker #0

    En respire, on n'a pas encore trop développé cette partie-là, oui. Et ça va être aussi un des objectifs en 2026. Relativement, ça va être de tourner tous les contenus musculosquelétiques. avant d'aller s'attaquer à toutes les parties un peu plus spécifiques. En euro, on a bossé avec Laurent Fabre sur tout ce qui est nourrissage de la douleur, les neuropathies, l'éducation santé. Donc là, on a énormément de contenu avec Laurent Fabre qui sont top. Et il faut qu'on, encore une fois, il faut bien sûr qu'on enrichisse ces parties-là parce qu'il y a toujours mieux à faire. Donc là-dessus, on va continuer d'évoluer.

  • Speaker #1

    OK, on a une prochaine question. Iride Lue, quelle différence entre voir son patient une fois par semaine au cabinet et lui prescrire des exos et la programmation hebdomadaire avec formule premium ?

  • Speaker #0

    Alors en fait, effectivement, c'est pour ça que ça n'a pas été très clair, je pense, la manière dont je me suis exprimé. L'intérêt d'Andrew dans le conventionnement, parce qu'on va découper une partie conventionnée et une partie en nomenclature, dans le conventionnement, ça va être de rendre acteur le patient en dehors des séances. On le sait. Un patient qui progresse et qu'on gagne du temps dans la rééducation, une fois par semaine, la réalisation de ses exercices, ça va être un peu faible. Donc là, l'idée, c'est d'avoir un outil qui permet de l'activer et le rendre beaucoup plus observant en ayant les retours de cette observance parce qu'on peut voir tout ce qu'a fait le patient. Ça, c'est la partie prescription liée à une prise en charge conventionnée. Donc, c'est une prescription simple en listing. On n'a pas besoin de faire une évolution journalière. On a quand même des praticiens qui souhaitent, parce qu'ils voient leur patient toutes les deux semaines, par exemple, faire un programme évolutif jour après jour dans le conventionnement. tu peux le faire en se disant il peut le faire ouais tu peux tout à fait le faire si tu veux le faire dans ton fonctionnement tu peux le faire et tu peux te dire la semaine prochaine on va pas se voir par contre je vais vous mettre 4 séances sur 4 jours avec des exercices différents parce qu'on va travailler de la mobilité on va travailler de la force je dis n'importe quoi mais plutôt qu'en premium ça ça reste le truc de programmation c'est juste que c'est une fonctionnalité qui est sur notre effectivement sur notre partie sur notre formule premium effectivement Merci. L'idée de cette formule premium, c'est aussi de se dire que c'est des praticiens qui vont faire du en amonclature avec la programmation, justement. Et donc, le retour sur investissement, il va aller encore plus vite. Comme je le disais sur la formule premium avec les moins de 10% de Gwenaëlle, vous avez 188 euros de reste à charge à l'année. Donc, lorsqu'on fait des programmations en amonclature, on accompagne des patients sur des programmes mensuels à 80, 90, 100, 120 euros. En fait, l'outil est amorti en deux programmations. Donc, c'est pour ça que… C'est une formule qui permet d'aller plus loin, qui permet de valoriser justement ce suivi en enclature digitale. Donc la différence est la suivante, c'est de se dire, si je veux accompagner un patient sur une prévention de récidive de blessure, qui n'importe quoi, d'une entorse de cheville, potentiellement je vais pouvoir lui faire un programme d'un mois. Il va y avoir plein de choses, des exercices de renforcement, il va y avoir des contenus sur santé aussi, il va y avoir potentiellement de la prescription du coup. de course à pied, avec un programme de course à pied s'il a un objectif aussi de course, et bien ça, je vais pouvoir le valoriser en amontation. Mais c'est une bonne question effectivement. Ça appartient à chacun de choisir comment vous voulez utiliser l'outil et ça, c'est vous qui allez pouvoir le valoriser comme vous le souhaitez dans votre pratique pour le coup.

  • Speaker #2

    Et ça fait gagner vachement de temps parce que sur le HN, avant, il fallait tourner nos vidéos et après, trouver une plateforme LMS où tu mettais en ligne. Enfin, tu vois, ce n'était pas du tout simple. Alors que là, c'est vraiment très simple.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Et pour revenir même avant la chaîne, parce qu'il n'y a pas tout le monde qui est... qui va être prêt à faire du rendement de lecture maintenant. Et puis, on peut aussi aimer, avoir la volonté de faire que de la kinésithérapie et de rester dans la nomenclature parce que c'est ce qui nous passionne. L'objectif d'Andrew, c'est aussi de trouver une solution pour être mieux valorisé, mieux gagner sa vie en restant dans le conventionnement. Et effectivement, si j'arrive à faire 2, 3, 4 bilans en plus par semaine, l'augmentation de mon chiffre d'affaires, je vais très clairement le ressentir à la fin du mois. Et c'est ce qui fait que même sans rendement de lecture, sur la formule premium, Pour parler de celle-ci, on arrive à amortir l'outil très très vite.

  • Speaker #1

    Bon, mais chouette. On arrive au bout, je pense. Moi, c'est clair. J'ai vraiment envie de... Je pense que je vais prendre bien. Je testerai en logo quand je commence. J'espère. Il faut.

  • Speaker #0

    Il faut qu'il teste, vraiment. Tu m'enverras un message.

  • Speaker #1

    Il y a une période de test au début ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    On peut utiliser l'outil complètement gratuitement pendant 15 jours. Le but, c'est que chacun puisse mettre les mains dedans et... et aussi faire son propre avis à l'utilisation.

  • Speaker #2

    Donc là, si un client se dit « j'ai envie de me lancer » , qu'est-ce qu'il fait ?

  • Speaker #0

    Il va sur andrewapp.fr, il va avoir un bouton « tester gratuitement » . Il va pouvoir créer son compte praticien, rentrer ses informations. Il va pouvoir faire « créer mon compte » . Et ensuite, on va lui proposer de se connecter pour lancer sa période d'utilisation gratuite. Et au moment du lancement de sa période d'utilisation gratuite, il choisit la formule qu'il veut avoir à la suite. de sa période d'utilisation gratuite, en sachant qu'il peut la modifier pendant la période d'essai, il n'y a aucun problème. Et bien évidemment, quand il se lance, il faut qu'il rentre le code Gwenaëlle.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #0

    Une fois qu'il a rentré son code Gwenaëlle, il a 15 jours d'utilisation gratuite. C'est à lui de gérer son abonnement. On a tout fait pour que le praticien soit autonome. Donc, c'est lui qui lance son compte. C'est lui qui peut annuler sa période d'essai s'il ne souhaite pas continuer sa période d'essai.

  • Speaker #2

    je rigole parce que du coup c'est surtout, quand est-ce qu'il y a un visio avec vous ?

  • Speaker #0

    À chaque fois que quelqu'un se fait un compte, nous, on propose une vision pour répondre aux questions, aider dans la prise en main. On est assez innovants dans notre manière d'amener ce suivi hybride en autonomisant les patients pour revaloriser la clinique. Donc, on essaie vraiment de pousser ces idées-là en disant la solution, l'État peut nous la donner avec des outils comme ça où il donne des aides avec le télésoin. Même s'il y a des choses où on peut être en désaccord ou on a l'impression de ne pas avoir trop de solutions. Je pense que les solutions viennent de nous, de ce qu'on veut mettre en place avec nos patients. Je pense que ça peut être hyper compliqué dans plein de situations. Mais par contre, ça peut être intéressant d'essayer de mettre en place des actions comme celle-ci ou avec d'autres outils pour justement réussir à revaloriser sa pratique.

  • Speaker #1

    Marie demande si on peut résilier facilement à tout moment.

  • Speaker #0

    Sur la période d'utilisation gratuite, bien évidemment. Et en fait, sur la partie modifier mon profil, on peut... annuler sa période d'essai et comme ça on n'a pas le l'abonnement qui démarre à la suite de cette période là une fois que moi justement mais on est on est client actif et qu'on a payé une première fois sur andrew bon on peut résilier aussi en autonomie sur l'espace nous on a changé un petit peu là dessus on prend juste un petit un petit temps au visio un appel de cinq minutes avec les pros pour essayer de reprendre en fait leur retour comprendre ce qui n'a pas marché pour essayer de faire évoluer l'outil parce que c'est Ce qu'on a remarqué sur les licitations pratiques et utilisateurs, on avait plutôt les retours positifs. Et souvent, les personnes qui sont moins satisfaites donnent moins leur avis. Et donc maintenant, on essaie d'aller un peu avoir cette idée. Oui, bien sûr. Bien sûr,

  • Speaker #1

    bien. Écoute, merci beaucoup. Je pense qu'on est pas mal.

  • Speaker #2

    Oui, c'est parfait.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci pour l'invitation. On a eu un bon moment.

  • Speaker #1

    Merci d'être venue.

  • Speaker #2

    Trop chouette.

  • Speaker #1

    Merci Gwen aussi. Après le temps. Au top. Et je mettrai le replay bientôt. Oui,

  • Speaker #2

    trop bien.

  • Speaker #1

    Merci à tous ceux qui ont regardé le live et à bientôt,

  • Speaker #2

    à la prochaine A bientôt Bonne après-midi

Description

Dans cet épisode, Julien et Gwenaëlle reçoivent Ugo d'Andrew Pro, pour découvrir cette application dédiée aux kinésithérapeutes.


Andrew Pro, c'est quoi ?

Une application de prescription d'exercices en vidéo pour autonomiser les patients entre les séances. Créée par une équipe d'ostéos et kinés, Andrew Pro propose des contenus vidéo réalisés par des experts reconnus : Tessadit Aissaoui, Julie Cantournet, Aude Gastauer, Flavio Bonnet, et bien d'autres.


Ce qu'on découvre dans cet épisode :

  • Comment Andrew Pro fait gagner du temps au quotidien (prescription en moins de 30 secondes)

  • Le retour d'expérience de Gwenaëlle Quelven qui utilise l'outil depuis juillet 2024 avec un taux d'observance de 93%

  • Les fonctionnalités : prescription d'exercices, télésoin, programmation évolutive, capsules d'éducation à la santé

  • La partie Explorer avec méditation, yoga, pilates, cohérence cardiaque

  • Le suivi hybride présentiel et télésoin pour raccourcir les traitements

  • Les tarifs : formule classique à 39 euros par mois, formule premium à 59 euros par mois avec aide CPAM de 350 euros

  • Les nouveautés à venir : application mobile pour les praticiens et IA pour recommander des exercices basés sur les recommandations HAS


Pourquoi ça marche, même avec les patients âgés ?

Plus de 250 000 patients utilisent déjà Andrew, avec des taux d'utilisation très élevés chez les 55-75 ans. L'application est intuitive, esthétique, et les patients apprécient d'avoir un support vidéo pour refaire leurs exercices correctement à domicile.


Code promo : 10% de réduction la première année avec le code GWENAELLE

Essai gratuit 15 jours sur andrewapp.fr


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🙏 Merci pour ton soutien et à très vite,


Julien


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Alors, tout le monde est là ? Gwen est là ? Parfait, coucou ! Ça va ? Ça va et toi ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas coiffée, je sors du cab, vous m'accepterez comme je suis ?

  • Speaker #0

    On accepte comme tu es. J'aime être en drôle tant que ça se fasse parce que souvent ça met 100 ans.

  • Speaker #1

    Ouais, nickel, trop bien. Moi je suis contente de te retrouver aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Et bien moi aussi, bienvenue à tous pour ce nouvel épisode de l'actu kiné de la semaine. J'ai l'impression que ça fait trois mois qu'on ne s'est pas vus. Ouais !

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    ça fait seulement un mois. J'espère que tu vas bien.

  • Speaker #1

    Oui, je vais bien. C'était ta vue hier soir, j'ai fait mon webinaire avec le SLMKR.

  • Speaker #0

    Je n'étais pas là, mais j'ai vu passer l'info.

  • Speaker #1

    Oui, donc c'était challengeant, c'était hyper intéressant, énormément de questions et puis je te ferai un petit résumé. Tu veux que je fasse maintenant, en attendant ?

  • Speaker #0

    En attendant que Andrew arrive à se connecter.

  • Speaker #1

    C'est intéressant de voir, tu sais, sur les réseaux sociaux, il y a... Pas forcément beaucoup de nuances. Il y a plein de gens hyper dans la gratitude qui nous remerciaient du webinaire, bien entendu. Mais il y avait des personnes qui étaient anti-HN et qui disaient que c'était une honte. Donc, anti-hormonclature, c'est une honte. Ça diminue l'accès aux soins. C'est une médecine à deux vitesses. Et il y en a d'autres qui étaient... Non, mais Gwenaëlle, tu as une... Enfin, Gwenaëlle et le SNNKR, vous avez une vision hyper précautionneuse. Il y a plein de choses qu'on peut passer en HN. Tu sais, par exemple... les ondes de choc, l'échographie, etc. Oui, donc tu dis que... Ah oui ? Oui,

  • Speaker #0

    ça ne marche pas. Je pense qu'il faut qu'il me... Souvent, il faut que je suive mon compte pour qu'il puisse se connecter.

  • Speaker #1

    Ah d'accord, ok. Donc Hugo, il faut que tu suives le compte de...

  • Speaker #0

    Des fois, ça bug un peu.

  • Speaker #1

    Ah oui ? Je n'avais pas cette notion-là. Ok, je peux parler deux heures, tu sais.

  • Speaker #0

    Mais du coup, je ne sais même pas si on va devoir reprendre le vis. Je crois qu'on arrête.

  • Speaker #1

    C'est fait. C'est fait,

  • Speaker #0

    oui. Parce que là... Je ne sais pas si ça fait ça. Eh bien, nickel. Parfait. Bienvenue au repos du début. Merci. Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'actu qui est de la semaine. On est avec Gwen. Bonjour à tous.

  • Speaker #1

    La pro du HN.

  • Speaker #0

    La pro du HN. Et il y a un truc qui nous expliquait, c'est avant qu'on lance ça, tu as fait une soirée d'explications HN avec le SNM, KS. Et du coup, bienvenue Hugo d'Andrew. On s'était croisés à Rééducat.

  • Speaker #2

    Tout à fait. Merci pour l'invitation bonjour à tous des petits problèmes techniques pour rejoindre c'est bizarre pourtant je te suivais bien on n'arrivait pas à rejoindre on a habitué ça va ça ne nous choque pas trop donc

  • Speaker #1

    voilà c'était intéressant hier de voir que la nuance sur les réseaux sociaux n'est pas partout et puis de voir c'est dur pour notre profession en ce moment et donc Merci. C'est pour ça que c'est intéressant. Aujourd'hui, on va parler de l'application Andro. Et moi, c'est une application qui m'aura bien facilité la vie depuis juillet. Et c'est pour ça qu'on a été intéressés pour que Hugo, tu viennes nous présenter tout ça.

  • Speaker #0

    Yes. Robert, est-ce que tu veux te présenter peut-être à ceux qui ne te connaissent pas ?

  • Speaker #2

    Vraiment, je vais commencer par me présenter. Et pour rebondir sur ce qu'a dit Gwenaëlle, effectivement, on partage... pas mal de choses sur ce qu'on essaye d'amener dans notre vision de la kiné pour essayer de trouver des solutions à ce modèle économique d'une part, pour revaloriser la prise en charge en kinésithérapie. Donc c'est vrai qu'on a beaucoup de synergies, ce qui nous a amené à pas mal collaborer ensemble. Pour me présenter assez rapidement, moi je m'appelle Hugo Loison, je travaille sur le projet Androu, qui n'est pas un projet, maintenant c'est concret, sur l'outil Androu depuis maintenant un peu plus de deux ans. Et... On a construit un logiciel et une application pour les patients de suivi, de consultation, afin de les rendre acteurs de leur prise en charge en dehors du cabinet. L'objectif était réellement de pousser à l'autonomisation patient. Et là-dessus, je pense qu'on ne va rien apprendre à personne. Plus le patient est autonome et a peut-être sa prise en charge, plus on va avoir des résultats intéressants dans notre rééducation.

  • Speaker #0

    Ça a été créé par... Vous êtes ostéo, c'est ça du coup ? Until still.

  • Speaker #2

    Alors en fait, moi je suis ostéopathe de formation. Ce qui est assez marrant, c'est que dans l'équipe, relativement, il y a des kinés et des ostéos. On a commencé en fait, si vous voulez, avec Andrew, par essayer de trouver une solution pour sortir un peu du passif unique chez les ostéos. Le but n'était pas de faire un outil de rééducation, mais un outil qui poussait les patients à bouger, tout simplement. Et donc ça, ça vient de la construction de mon associé Daniel, qui avait fait une page. à la base Instagram pour ces patients qui a fini par avoir un peu plus de portée, où l'objectif était, je vais vous donner plein de tips pour bouger tous les jours, pour être acteur. Et en fait, ça a très bien pris avec ces patients. Il s'est dit, mais il faut qu'on arrive à l'implémenter pour lutter contre la sédentarité, qui est un enjeu de santé publique majeur aujourd'hui en France. Donc ça, c'était le début, on va dire, de la construction du projet. Et au final, très vite, ça nous a amené vers la kinésithérapie. Et donc, la rééducation, et là, on a implémenté dans notre équipe des experts qui venaient pour plein de prises en charge pour aller construire l'outil avec eux, qui avaient beaucoup plus de légitimité et de pertinence que nous pour construire cet outil.

  • Speaker #0

    Et c'est ça un peu le challenge. C'est vrai qu'il existe déjà, pas très utilisé, mais des applications pour se motiver à faire des exos ou alors même des chaînes YouTube pour le faire et tout. Et moi, ce qui m'attire en tant que kiné, mais je pense que même aussi en tant que, si j'étais patient, c'est le fait que vous avez autant collaboré avec des kinés ou des professionnels de santé qui sont experts dans leur domaine. Et moi, c'est ça qui m'attire surtout en tant que kiné, c'est d'avoir des exos qui sont faits par des kinés doués.

  • Speaker #1

    Si je donne l'exemple dans mon domaine, c'est Julie Cantournet et Aude Gauster. Je ne sais pas comment on dit. Aude Gauster ? Je ne sais pas. Gauster. Gauster. Qui font... Et puis maintenant, il y a Montsé. Ça va être à partir de quand ? Donc en fait, nous, vraiment, moi, c'est génial. C'est les experts. C'est les personnes en qui j'ai confiance. C'est des nouveaux exercices. C'est les exercices aussi que je donne. C'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui. Pareil, moi, pour la main, j'ai cru voir qu'il y avait Tessa. qui faisait des saldites, qui fait des vidéos. Mon seul regret, c'est qu'il n'y a pas de moyenne. Je ne crois pas.

  • Speaker #1

    Oh non, mais quelle lèche-botte. Non mais, moi, je n'ai rien à dire. Ça viendra, ça viendra.

  • Speaker #0

    Des petites capsules HL ?

  • Speaker #1

    Ça viendra, ça viendra. On y travaille, on est à fond. On est au taquet.

  • Speaker #2

    Carrément. Effectivement, l'enjeu était de construire cette équipe pluri-praticien, pluri-formateur en fait, parce que chaque professionnel avec qui on a travaillé est formateur. On a eu la chance de collaborer avec des sociétés savantes aussi, d'avoir échangé avec différents acteurs. On a pu échanger pour reprendre. En McKenzie, par exemple, on a échangé beaucoup et on collabore avec la Clinique du Coureur, avec l'agence EBP, pour des gros organismes de formation. Mais on a eu la chance d'aller aussi échanger avec des sociétés savantes, pour reprendre l'exemple de la Pelvi Perineo. On a pas mal échangé avec la FREP, avec différentes personnes, pour essayer de construire un outil qui est pertinent.

  • Speaker #0

    Ok. Et d'ailleurs, on va quand même dire à ceux qui nous regardent, et merci à ceux qui sont là, de ne pas hésiter à poser des questions sur Andrew Pro. Bien sûr, on y répondra au fur et à mesure.

  • Speaker #2

    Trop bien.

  • Speaker #0

    Donc, en gros, logiciel pour donner des ailes-saut, sous forme de vidéo, si j'ai bien compris. Comment ça s'articule ? Parce que moi, ma peur, ça serait, est-ce que je ne vais pas perdre du temps ? Enfin, perdre du temps, c'est bien sûr qu'il y a un énorme intérêt avec les patients et de l'autonomie et des exos et des supports. Mais est-ce que ça prend beaucoup de temps pour le mettre en place, pour donner les liens, etc. ? Ça, moi, mes freins.

  • Speaker #2

    Effectivement, l'enjeu, c'est de construire un outil qui est pertinent pour la prise en charge de nos patients, tout en ayant le côté où l'enjeu primordial est aussi de faire gagner du temps à nos praticiens. parce que on a un intérêt double, on va s'adresser et aux praticiens et aux patients. D'une part, nous, ce qu'on a voulu faire dans notre outil, contrairement à d'autres logiciels de prescription d'exercice, ou comme tu disais, suivre des vidéos YouTube ou des chaînes YouTube qui t'aident à bouger, déjà, nous, on a une volonté d'avoir un praticien prescripteur. C'est lui qui va mettre en avant les conseils de prescription d'exercice et autres après une séance. Le but, c'est que ça soit très rapide, encore une fois. Et au-delà de la partie mécanique et de la prescription d'exercice en vidéo, nous, on a voulu aller un petit peu plus loin. et accompagner les patients sur les aspects contextuels. Encore une fois, je n'ai rien à prendre à personne, mais les aspects contextuels, c'est capital dans nos prises en charge aujourd'hui, que ce soit l'éducation santé, mais aussi les facteurs modulateurs des symptomatologies comme le stress, l'anxiété, le sommeil, la sédentarité.

  • Speaker #0

    Donc il y a des vidéos d'éducation thérapeutique en fait, c'est ça ?

  • Speaker #1

    L'éducation à la santé, s'il te plaît, c'est moi qui ai fait changer de terme, éducation à la santé. L'éducation thérapeutique du patient, c'est des programmes pluridisciplinaires payés par l'ARS. Des conseils d'hygiène de vie.

  • Speaker #0

    C'est ça. On s'est compris.

  • Speaker #2

    On s'est compris. Attention avec Benahel, elle est un peu pénible sur les termes.

  • Speaker #0

    Elle est chiant.

  • Speaker #1

    J'assume d'être pénible. Bon, par contre, excuse-moi, mais Ego, tu sais, je t'avais prévenu, tu n'as pas répondu à la question de Julien. Donc, ça ne prend pas de temps. Je vais faire un retour d'expérience. Ça ne prend pas de temps parce qu'en plus, ils ont rajouté dernièrement des nouveaux outils. En fait, Tu fais glisser les exercices. Déjà, c'est hyper facile du côté kiné. Tu es sur ton ordi. Tu fais glisser les exercices. Tu changes le nombre de répétitions. Il y a plein de filtres. Tu peux choisir par formateur, par style d'exercice. Et maintenant, depuis deux semaines, ils ont mis, par exemple, l'ombalgie aiguë, phase 1. Et là, tu as six exercices qui se mettent. Et là, tu changes. Et en fait, ils n'arrêtent pas de modifier. Andrew, j'ai l'impression qu'il modifie chaque semaine en nous faisant gagner de plus en plus de temps. Et donc, ça ne prend vraiment pas de temps. Et moi... Je vais juste dire...

  • Speaker #0

    En gros, là, je finis ma séance. J'ai donné des exos à mon patient. Je veux... Ça serait pour des exos en plus ou les mêmes, du coup ?

  • Speaker #1

    Moi, les mêmes. Moi, en tout cas, je... Oui, les mêmes. En fait, au lieu de donner une fiche papier qu'ils vont perdre, en remboursable, tu peux leur donner des exercices ou tu peux aller plus loin et faire une programmation avec vraiment plein d'exercices différents. Et en fait, ce que disait Hugo, qui est intéressant... c'est que tu peux rajouter des conseils d'éducation à la santé, avec soit des vidéos, soit des audios aussi, Hugo ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    Dans l'éducation à la santé, c'est des vidéos, et ensuite sur les facteurs modulateurs de la symptomatologie, c'est vidéos et audios. En fait, pourquoi je ne répondais pas à la question, et tu fais bien de me couper, Gonnay, je ne répondais pas à la question parce que cette question est hyper intéressante quand on construit ce genre d'outils. Les pros veulent toujours plus de fonctionnalités, toujours plus de contenu, complexifier toujours plus l'outil. Mais il ne faut pas oublier que l'aspect primordial, c'est le gain de temps. Donc nous, on a tout fait pour personnaliser l'expérience d'utilisation. Il y a une infinité de contenus et de possibilités d'utilisation d'Androo. Et tu peux t'en servir comme tu le souhaites et surtout t'en servir adapté au patient pour avoir une réelle prise en charge patient-centrée. Donc tout va très vite. La prescription peut durer moins de 30 secondes. Ça, c'est vraiment notre enjeu.

  • Speaker #0

    Il faut quand même faire le dossier. Moi, je suis au bilan,

  • Speaker #1

    tu vois. Je suis au bilan. Et au départ, tu vois, je me disais que ça ne va être que pour mes patientes jeunes. Et en fait, pas du tout. Ce que je fais, c'est que je demande aux patientes. Et là, moi, j'ai inscrit deux patientes ces derniers jours de plus de 70 ans. Et ce matin, je l'en ai fait avec une patiente de 70 ans. Et elle a son smartphone. Et je l'aide à le faire. Mais elles sont vachement douées quand même. Je trouve ça impressionnant. Elles ont déjà leur mail et tout. Et je leur demande, en fait, je dis... Est-ce que vous avez un smartphone ? Est-ce que vous êtes assez doué avec votre téléphone ? Et tu vois, elles aiment bien dire oui, oui, oui. Et en fait, moi, j'ai un très bon taux de suivi, d'observance. Et je fais au bilan, mais ça prend cinq minutes.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    d'accord. Tu vois, après le dossier, tu sais, on l'avait fait ensemble, Julien. C'est même toi qui m'avais montré. Mais tu n'as pas besoin de mettre la date de l'hôtel. Et ça prend vraiment cinq minutes.

  • Speaker #0

    D'accord, très bien.

  • Speaker #2

    L'idée, c'est qu'on rentre l'adresse e-mail, nom, prénom, date de naissance. Et c'est terminé. Le patient est ajouté et reçoit ses accès, donc ça va très vite.

  • Speaker #0

    Et donc, ils peuvent suivre ça sur le téléphone aussi, surtout sur le téléphone aussi, d'accord ? Et ils ont un lien de connexion qu'on leur envoie, en gros, c'est ça ? Lorsqu'on ajoute le mail,

  • Speaker #2

    c'est ça. Il y a deux possibilités. On a des petits QR codes, des affiches dans le cas du nez, où le patient peut tout simplement scanner le QR code pour télécharger l'application. Mais il reçoit aussi un mail avec ses identifiants et le lien de téléchargement de l'application.

  • Speaker #0

    Ok. Et donc, on lui a prescrit. Donc là, j'ai fini. Je lui ai prescrit les exos. Il va les recevoir en mail ? Enfin, un rappel de... Je ne sais pas. Alors, en fait,

  • Speaker #2

    il y a différentes choses. Donc, on reçoit le mail qui permet d'accéder à son espace. Une fois qu'on a téléchargé l'application, ça devient notre petit compagnon d'accompagnement santé. C'est ce qui est hyper intéressant. Et c'est notre fil d'Ariane avec le praticien. Ça permet de maintenir le lien patient-thérapeute en dehors du cabinet. Le patient, lui, va avoir son espace de suivi avec toute sa prescription d'exercice, le conseil d'éducation santé et autres. Et nous, on peut paramétrer des notifications, effectivement. On sait à quel point l'observance, c'est un enjeu assez compliqué dans un système de santé où les patients ont plutôt l'habitude d'être passifs sur leur manière d'aborder le soin. Nous, on a mis en place des notifications de rappel que le patient peut se paramétrer, que nous, on peut faire avec le patient. Il reçoit une petite alerte comme un petit message, une notification sur son téléphone. qui va l'inviter à aller mettre en place les conseils.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Je vais redonner mes astuces.

  • Speaker #2

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Du coup, moi, je leur dis, parce que je ne sais pas si vous savez, mais dans notre sphère, nous, avant, il y avait des applications, mais c'était aux patients de payer un abonnement. Donc, du coup, là, je dis directement aux personnes, est-ce que vous êtes OK, je vous inscris sur une application, mais c'est moi qui vous l'offre, c'est moi qui paye. Et du coup, tu vois, déjà, c'est bon, ils ne vont rien avoir à payer, parce qu'application, des fois, ça peut dire un peu payant. Et après, je leur montre, attention. Bon, déjà, je mets la notification. En gros, tous mes patients doivent faire leurs exercices à 10 heures. Et je leur montre, ne me faites pas chuter mon taux d'observance. Là, je dois être à 93 %. Et je montre, vous voyez, les autres patients, ils ont fait, vous voyez, et je montre mon taux.

  • Speaker #0

    Et voilà.

  • Speaker #1

    Et ça les motive trop. Ça les motive trop. C'est ludique. C'est hyper ludique. C'est sympa.

  • Speaker #2

    C'est un peu ce qu'on appelle gainifier l'expérience du patient. Mettre des challenges. Il y a des choses qui peuvent marcher. en disant, regarde, tous ces patients-là qui sont actifs, il faut trouver ce qui va fonctionner avec le patient, parce que c'est toujours le discours du praticien qui est primordial pour réussir à l'endroit acteur. Ça, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Et toi, Gwen, tu fais par exemple faire telle série d'exercices tous les jours ?

  • Speaker #1

    Oui, alors moi, il y a plusieurs choses. Si c'est une patiente plutôt âgée, je lui donne juste 3-4 exercices que je rechange toutes les semaines. Si c'est une patiente plutôt en rééducation périnéale, jeune, j'ai créé plusieurs programmes d'abdos, qui s'appellent, tu vois, abdos 1, abdos avancés, abdos été, tout ça. Et je leur redonne. Et là, il y a des exercices tous les jours. Elles font comme elles veulent. Mais moi, ça a vachement bien marché parce que ça ne prend que 10 minutes. Et il y a tout type, en fait. Il y a soit moi qui ai mis 5 exercices avec le nombre de répétitions. Soit, ce qui est génial, il y a des séances de renfots. haut du corps, bas du corps, pilates, yoga et tout. Et pareil, sur le pilates, c'est par exemple Marie de Pilates et moi qui a fait. Donc, c'est des personnes référentes pour nous, tu vois. C'est super fait. Donc, voilà, soit elles ont leur programme tous les jours et je leur dis que vous faites au plus possible comme vous pouvez. Et après, sur des patientes douloureuses, là, c'est encore autre chose. C'est des exercices qui évoluent au fur et à mesure.

  • Speaker #0

    Et donc, du coup, je suppose qu'après, tu réactualises le traitement. À la prochaine séance, en gros, tu refais le point et tu réactualises le plan.

  • Speaker #1

    À chaque début de séance, je demande, est-ce que vous avez réussi à faire vos exercices ? S'ils n'ont pas réussi, comme avec une fiche, on va dire, est-ce que c'était assez dur ? Ce n'était pas assez dur ? Ou est-ce que vous vous êtes trompé ? Et à la messagerie, l'autre jour, on m'a dit, mais Gunnel, vous venez de me remettre le même programme. Bien sûr, j'ai remodifié direct.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #2

    Après l'idée c'est aussi ce qui va amener je fais une petite transition, peut-être que vous ne voulez pas aller là-dessus tout de suite, mais c'est ce qui va amener nous ce qu'on pousse un peu dans le suivi hybride avec le télésoin et un peu cette phrase toute faite mais que je trouve hyper intéressante, pourquoi faire faire au patient au cabinet ce qu'il pourrait faire à la maison effectivement, rendre acteur le patient sur la partie exercice il peut y avoir des fois aussi, on n'a pas besoin de le faire revenir au cabinet je pense qu'on l'a tous vécu quand j'échange avec les... 1500 praticiens qui se disent « Andrew, tout le monde l'a vécu, de faire revenir des fois un peu trop tôt un patient, en ayant passé les séances, il y aurait pu avoir plus de progrès là-dessus. » Là, le télésoin est hyper intéressant. Le but n'est pas de remplacer le présentiel, mais une fois sur quatre, une fois sur cinq, de se dire « la semaine prochaine, on se voit en visio. » Vous avez votre challenge d'être hyper actif sur l'application. Plus vous allez mettre en place ces exercices, plus on va progresser. Et on se fait un point en visio pour faire évoluer cette programmation pour la semaine encore d'après, où on se verra en présentiel. Et là, on aura un impact dans la séance présentielle, où on va vraiment... pouvoir prendre le temps et pousser encore plus les choses.

  • Speaker #1

    Et c'est vraiment ça, c'est de leur dire qu'il faut qu'il y ait eu un bon progrès. Parce que tu vois, s'ils me redisent qu'ils ne vont pas du tout faire leurs exercices, on essaie de voir pourquoi. Et j'explique qu'avec Andrew, hop, il y aura vraiment un progrès et c'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui, puis au final, le téléphone, si c'est pour faire le point sur l'évolution, des fois, ça dure moins longtemps qu'une séance classique. Mais effectivement, au final, c'est peut-être un gain de temps. Ok, chouette. Avec ce suivi hybride, le fait d'espacer les séances de suivi, d'autonomiser à fond les patients,

  • Speaker #2

    on gagne du temps quand on les voit, on gagne du temps en les voyant peut-être moins au cabinet, on s'y perd du temps pour augmenter l'accessibilité aux soins. Prendre des nouveaux patients qui sont des fois en attente de prise en charge, il y a toutes ces notions qui sont intéressantes.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, c'est ce qui s'est passé cet été. En août, je n'ai pas travaillé parce que je n'ai pas trouvé de remplaçant, etc. Et du coup, en septembre, normalement, ce qui aurait dû se passer, c'est tout le monde a lâché ses exercices Et je dois reprendre un peu, tu vois, à zéro. Et là, le fait d'avoir Andrew en sept ans, ça a donné plein de fins de traitement. Et c'est... Alors oui, on va dire que je suis partenaire. Il y a une collaboration commerciale qui vient à un lien d'affiliation avec Andrew. Mais là, je pense que vous me connaissez. Je suis assez franche. Et si je vous dis quelque chose, c'est que je le pense. Et clairement, ça m'a donné plein de fins de traitement. Ils m'ont dit non, là, c'est bon. Je vais continuer Andrew. Je me sens solide. Je vais continuer avec l'appli. Et nickel, quoi. Et donc, moi, j'ai vu... mais le traitement se raccourcisse vraiment bien.

  • Speaker #0

    Et donc,

  • Speaker #1

    je le compte du nouveau bilan.

  • Speaker #0

    Ok, ben oui, c'est ça. Et qui dit nouveau bilan, dit plus 25.

  • Speaker #1

    Ben voilà, c'est ça. Exactement.

  • Speaker #0

    Ça, c'est une notion d'optimisation du temps avec le taux qui deviendra plus intéressant.

  • Speaker #2

    On a des vrais enjeux en kinésithérapie de rémunération. Là, ça peut être une des réponses.

  • Speaker #1

    Oui, et de rémunération et d'accès aux soins. Parce qu'hier, on m'a dit... Mais Gwenaëlle, en développant le hors nomenclature, tu donnes moins d'accès aux soins remboursables. Et c'est hyper intéressant parce que pour moi, augmenter l'accès aux soins remboursables, ce n'est pas parce que j'ai été faire trois heures de HN dans la semaine que j'ai diminué mon accès aux soins. Et comment augmenter mon accès aux soins ? C'est pour moi l'autonomisation des patients, la bonne observance, la réorientation vers d'autres professionnels, par exemple de la santé mentale si nécessaire. C'est fou parce que moi, si les gens voulaient me lancer sur comment augmenter l'accès aux soins, j'ai été présidente de CPTS, on peut y aller. Je suis au taquet là-dessus. Et ce n'est pas ça. Il faut autonomiser vos patients chroniques. Il y a un moment, il faut voir, il faut refaire un nouveau bilan intermédiaire, peut-être un bilan final, une fenêtre thérapeutique, autonomiser vos patients, les réorienter vers d'autres pros. Il y a des choses à faire, mais vous n'êtes pas censé voir 1000 ans vos patients.

  • Speaker #0

    Et après, moi, un de mes freins, c'est vrai que les personnes âgées, parce qu'on en a beaucoup au final, de plus dans les 80 et tout, c'est pas non plus 100% d'impatientelles, mais tu as eu des retours en mode, j'arrive pas, c'est trop compliqué, ou en mode, j'aime pas trop faire ça toute seule, ou quoi ?

  • Speaker #2

    Non, elles sont trop fières. Elles sont hyper fières.

  • Speaker #1

    Mais parce qu'il y a un contexte, c'est que moi, j'emmène... Déjà, je suis contente. Dès qu'on part aux autres, je vous préviens, les autres patientes font bien. Et moi, ma patientelle est vraiment âgée. Tu regardes mon snir parce que j'ai beaucoup en rééducation périnéale pour des fuites urinaires chez la personne âgée. On voit hyper périnatalité, sport et tout ça. J'habite au fin fond de la Bretagne et vraiment ça, je peux le dire, j'étais hyper étonnée. Mais que ce soit sur Doctolib ou sur Andrew, à quel point les personnes âgées ont leur smartphone maintenant et elles sont vraiment douées.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas eu des retours en mode, vous me dites de le faire chez moi, vous me lâchez, en mode, vous ne vous occupez pas de moi, des trucs comme ça ?

  • Speaker #1

    Non, parce que je continue à les voir une fois par semaine, moi, quand même. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, je ne les ai pas lâchés. C'est complémentaire. Ah oui, oui, oui. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, ça dépend si elles ont été réactives sur leur prise de rendez-vous. Et du coup, ça a juste augmenté le temps de qualité de soins avec… mes patientes en direct parce que les exercices, ils sont acquis beaucoup plus vite parce que je les montre une première fois lors du bilan, les premiers exercices. Et après, elles ont des vidéos explicatives. Et pour moi, c'est quand même la différence de Andrew par rapport au premier outil que j'avais utilisé. C'est que la vidéo réexplique l'exercice à chaque fois. Si elles veulent, elles peuvent aller repliquer. Après, il y a la vidéo de démonstration. Donc du coup, en fait, les exercices, elles les ont en tête beaucoup plus vite.

  • Speaker #0

    Oui. Moi, c'est bon,

  • Speaker #1

    je peux rentrer dans l'équipe d'Andrew C'est bon là, j'ai mon contrat à la fin,

  • Speaker #2

    non ? Tu commences à bien maîtriser le sujet, mais justement, il faudrait que tu sois... Des fois, on peut presque se dire, tu fais bien de faire des discrétifs, que tu vends presque trop bien. Ouais,

  • Speaker #1

    Hugo, il dit que j'en fais trop, mais de toute façon, c'est pas grave, les gens connaissent ma personnalité. Oui, c'est clair.

  • Speaker #0

    Du coup, t'as un caractère intéressant.

  • Speaker #2

    Ouais, je sais pas si tu voulais... Enfin, Julien, si tu voulais... que je donne aussi mon avis sur le côté personnes âgées, c'est une question hyper intéressante, très pertinente, parce qu'on l'a énormément en fait, c'est assez constant. Et c'est assez rigolo parce qu'il y a cette notion aussi où on a tendance à voir les freins très vite, lorsqu'il y a une innovation, lorsqu'on apporte quelque chose de nouveau. Et moi, je trouve ça toujours très marrant de mettre un peu en perspective, et après je donnerai ma réponse et ma vision sur les personnes âgées, ce côté où j'ai beaucoup de personnes qui me posent cette question, et quand je creuse un petit peu, ils disent... Ah ouais, effectivement, j'ai peut-être 10% de ma patientèle qui a plus de 75-80 ans. Enfin, je ne sais pas non plus les normes. Après, il y a des praticiens qui sont spécialisés en gériatrie. Un praticien qui ne fait que de l'EPAD toute la semaine. Effectivement, je vais lui dire, ça, ce n'est pas adapté pour toi si tu vois uniquement des personnes qui ont plus de 80 ans. Mais c'est là où tu te rends compte qu'il y a quand même une vision et un prisme tout de suite d'aller chercher le négatif de... Ah ouais, mais les personnes âgées... Non, non, non, moi,

  • Speaker #0

    je m'anticipe. Non, je viens à toi, pas toi.

  • Speaker #2

    pas du tout non pas du tout non on parle pas de toi on parle pas de toi non mais je sais mais et même si c'est un prix quoi les gens vont pas se lancer dans une application c'est aussi légitime d'avoir des des appris au gris des choses comme ça ouais ouais ouais mais c'est tout à fait légitime mais c'est hyper intéressant mais donc très souvent on se rend compte déjà que bah effectivement le pourcentage de la patientèle est pas forcément très élevé sur les plus de 80 nous on a des chiffres qui sont hyper intéressants parce que donner mon avis au doigt mouillé sur ma vision, je me suis dit que je ne pouvais pas me faire enlever je pense que ça n'intéresse pas forcément les personnes qui nous écoutent. Par contre, donner les retours d'utilisation des 250 000 patients qu'on a aujourd'hui sur Andrew, on a même dépassé les 250 000 patients. Et quand on voit effectivement que les plus gros utilisateurs, ça va être les 55-65, qu'on a les taux d'utilisation qui sont dans les charnières les plus hautes jusqu'à 70 ans. Et ensuite, des taux d'utilisation hyper intéressants jusqu'à 75 et même 80. En fait, c'est aussi de la réponse statistique parce qu'on commence à avoir on va dire un panier de patients qui est représentatif. Quand on parle effectivement de plus de 250 000 patients, on peut dire que ça commence à être représentatif. Et là, pour le coup, on voit qu'il y a des taux d'utilisation qui sont hyper élevés.

  • Speaker #0

    Les taux d'utilisation sont à plus de 60-65 dans les 250 000 patients.

  • Speaker #2

    Alors là, je pourrais te les ressortir, et ça serait intéressant peut-être sur des rediffusions de le mettre en avant, parce que je n'ai pas envie de te dire un chiffre complètement débile. Je sais que ça représentait, quand on avait sorti ces chiffres-là, parce que ça nous intéressait il y a maintenant un peu plus de six mois, je crois que c'était entre 15 et 20 000 personnes dans la tranche 55-65 pour donner un ordre d'idée juste de cette tranche-là. Et du coup, c'était une des tranches les plus utilisatrices. Et je pense qu'encore aujourd'hui, c'est les plus gros utilisateurs. Parce que c'est des personnes aussi qui ont pris conscience que 30 soins en 2, être acteur de leur santé, ça allait être destiné dans leur bien-être. Donc ça, c'est aussi une verticale qui est intéressante chez ce public-là.

  • Speaker #0

    Ok. Moi, ce qui m'avait trop plu au salon Rééducat sur vos fonctionnalités, alors après, je ne sais pas si c'était pour moi ou pour les patients, mais c'était les vidéos Pilates, Yoga.

  • Speaker #1

    J'en ai.

  • Speaker #2

    et il y avait de la méditation aussi et de la sauf d'hypnothérapie il y a des contenus qui s'appellent micro-voyages aussi c'est des petites évations un petit peu de détente mais en fait c'est exactement ça c'est les contenus sur les facteurs modulateurs de la douleur je pense que tous les praticiens aujourd'hui ou la plupart intègrent un petit peu ça dans leur discours auprès de leurs patients en disant qu'effectivement nos recherches de la douleur nous ont appris qu'il n'y avait pas uniquement la partie mécanique qui rentrait en jeu dans les symptomatologies Merci. pas de la douleur, mais des symptomatologies de manière générale, parce que ça vient fluctuer aussi, des fois des symptomatologies plus physiologiques. Pour le coup, on n'a pas toujours eu les outils pour accompagner le patient, pour pouvoir bosser là-dessus. Donc c'est pour ça que nous, on a fait toute cette partie-là qu'on a appelée Explorer, et qui est en fait des contenus sur le contexte. Comment on accompagne notre patient sur le contexte ? Est-ce qu'on a le temps au cabinet de l'accompagner là-dessus ? Pas toujours, on va s'occuper beaucoup du mécanique. par contre on ouvre sur tous ces facteurs-là de contexte. Et je pense que ça peut être hyper intéressant de donner un outil pour que les patients, de leur côté, jouent sur leur sédentarité, jouent sur leur stress, sur leur anxiété, sur leur sommeil. Parce que toutes les capsules sur le sommeil aussi sont assez intéressantes.

  • Speaker #1

    Je ne suis plus parlée du tout maintenant. Mais du coup, pour vous dire, le truc est d'explorer. Elles adorent mes patientes. Mais en plus, l'application est vraiment très esthétique. C'est très joli. Et du coup, je trouve ça super important. Et une fois que la rééducation s'arrête, moi, je laisse quand même l'accès. Et elles adorent d'avoir tout. Moi, je dis explorer. Je ne crois pas dire explorer. Elles vont dans la partie explorer. Et il y a vraiment beaucoup de choses. Et c'est incroyable. Et moi, je n'ai pas encore utilisé tout. Comme tu disais, il y a beaucoup de fonctionnalités. Et Hugo, il y a un truc dont tu n'as pas parlé. Moi, je n'ai pas encore regardé. Mais est-ce que, par exemple, Tessa... Elle a fait des vidéos pour nous, nous expliquer des choses en tant que kiné, non ? Oui,

  • Speaker #2

    tout à fait. En fait, sur cette partie-là, pour clôturer ces contenus, tous les outils cohérence cardiaque et autres sont présents sur l'outil et ça permet d'avoir une bibliothèque santé pour le patient et ça devient vraiment son compagnon. Et là, c'est très joli, très esthétique, ça rejoint le côté ludique, expérience un peu gamifiée, ça te donne envie de passer du temps sur l'outil. Pour ce qui est des capsules éducatives à destination des patients, on en a déjà parlé, mais tous les formateurs avec qui on a bossé ont également fait des capsules qu'on a appelées micro-learning, parce que ce n'est pas des e-learning qui vont durer 20, 30, 40 minutes, mais micro-learning qui durent entre 3, 4, 5, 6 minutes et qui vont venir tout simplement détailler une symptomatologie, une pathologie. aussi des notions sur du post-opératoire, des notions sur les croyances limitantes, des notions en thérapie comportementale et cognitive, comment déconstruire des croyances limitantes chez nos patients. C'est hyper compliqué. Effectivement, la plupart du temps, il faut se former pour réussir réellement à être bon dans l'échange avec le patient. Mais nous, on a implémenté toutes ces capsules-là et aujourd'hui, on a... une soixantaine de capsules qui ont été réalisées par tous ces formateurs, Flavio Bonnet, Estadio Assaoui. On a travaillé en Pellevipérineo aussi, donc c'est hyper intéressant.

  • Speaker #0

    Trop bien, c'est chouette. Est-ce qu'on peut parler du prix ?

  • Speaker #2

    Oui, tout à fait. En termes de tarification, nous, on va avoir plusieurs formules parce qu'on a réellement deux formules et ensuite, on a à chaque fois deux périodicités de facturation. parce qu'on peut choisir d'être en mensuel pour notre abonnement ou en annuel. La grosse différence entre les deux, ça va être le prix final parce que lorsqu'on a une facturation annuelle, ça revient à moins cher. Mais pour parler des deux formules principales, on a une formule qu'on appelle classique où on va avoir toutes les fonctionnalités de prescription d'exercice en vidéo, l'accès aux capsules d'éducation santé et au contenu justement exploré sur les contextes. Et ensuite, sur cette formule-là, pour l'instant, on a laissé en bêta la version Andrew Coach, qui est notre outil de programmation et qui permet justement de faire des suivis en nomenclature avec Andrew.

  • Speaker #0

    Mais ça, ça va bientôt disparaître et ça sera uniquement sur la formule premium, qui est la formule avec toutes les fonctionnalités d'Andrew, la téléconsultation, la partie Andrew Coach, donc programmation, et bien sûr la prescription d'exercice et autres.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas compris là, Andrew Coach, ça m'a perdu.

  • Speaker #0

    Pardon, c'est vrai que ce n'est pas hyper clair. On a sorti une nouvelle fonctionnalité qui permet au lieu de juste faire de la prescription d'exercice, donc la prescription d'exercice simple, j'envoie trois exercices à mon patient. de faire de la planification évolutive jour après jour, semaine après semaine.

  • Speaker #1

    Je pensais qu'on pouvait le faire de base, d'accord.

  • Speaker #0

    Ça non, c'est récent, on l'a sorti en juillet. Donc en fait, on l'a implémenté 6-7 mois après le lancement d'Androkiné. Et donc ça, ça appartiendra uniquement à la formule un peu plus premium. Donc la formule classique est à 39 euros par mois et la formule un peu plus poussée avec le télésoin... Et Andrew Coach, donc la planification hebdomadaire, est à 59 euros par mois. Ce qui est intéressant dans cette formule avec le télésoin, c'est qu'on a une aide de l'État de 350 euros. Donc en fait, on a un outil agréé et la CPM nous verse 350 euros pour l'utilisation d'Andrew et c'est du déclaratif. Il y a juste à présenter une facture de l'outil Andrew dans le famille. Beaucoup de personnes la confondent avec l'aide à la télétransmission et c'est une nouvelle aide qui est complètement indépendante. et qui vient d'arriver depuis 2024, qui s'appelle l'aide pour un outil de télessoin.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et donc, il y a 350 euros de versement sous présentation, juste de justificatif d'un outil agréé comme Androco.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #0

    Et c'est ce qui fait que sur la formule mensuelle, ça fait 29 euros par mois de reste à charge pour le kiné. Ou si on prend en annuel, ça fait 19 euros de reste à charge mensuel. Donc, ça permet de l'amortir assez vite.

  • Speaker #1

    Et là, tu as donné le prix avec le famille, du coup.

  • Speaker #0

    Dans un deuxième temps, oui. Le prix sans famille, c'est 59 euros. Une fois qu'on a reçu l'aide famille, c'est 29 euros en mensuel ou 19,90 euros. Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    C'est bon, j'ai compris. D'accord. Ok, chouette.

  • Speaker #0

    C'est la plus importante.

  • Speaker #1

    Il y a quelqu'un qui veut participer ? Il y a une autre Gwen qui veut participer.

  • Speaker #2

    Non, c'est Gwen. C'est une collègue d'ici, mais ce n'est pas exprès. Gwen ne veut pas participer, je pense.

  • Speaker #1

    Elle veut peut-être prendre la parole.

  • Speaker #2

    Non, c'est des questions qu'elle va me poser, mais non, je ne pense pas. Mais écoute,

  • Speaker #1

    ça a l'air de partenariat, non ? Oui,

  • Speaker #2

    il faut mettre le code Gwenaëlle. Et on a combien de réductions avec Gwenaëlle ?

  • Speaker #0

    Avec le code Gwenaëlle, effectivement, on a 10% sur la première année. C'est hyper intéressant sur la formule annuelle parce qu'effectivement, vous allez pouvoir prendre l'outil en une fois. Ça va vous coûter 538 euros aujourd'hui en décembre. Et vous allez avoir 350 euros de versement de l'aide en 2026, en avril 2026. Donc un reste à charge de 188 euros l'année. Mais encore une fois, sur l'optimisation du temps thérapeutique, en moyenne, nous, les praticiens, ils arrivent à amortir cet investissement en 2-3 mois.

  • Speaker #2

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Et on peut faire ses propres vidéos ou pas ?

  • Speaker #0

    Tout à fait. On peut ajouter ses propres contenus parce que c'est compliqué d'avoir une bibliothèque totalement.

  • Speaker #1

    Ça bugue.

  • Speaker #2

    C'est moi qui fais quelque chose ? Non, j'ai piqué un truc et ça fait perdre

  • Speaker #1

    Hugo. Je ne touche pas à rien.

  • Speaker #2

    Je ne touche pas à rien. Non, mais ce n'est pas moi, je pense. Hugo, ça, c'est déconnecter tes écouteurs ou quelque chose ?

  • Speaker #0

    Oui. Non, c'est tout bon. Vous savez ce qui m'est arrivé ? C'est que j'ai ma limite de temps Instagram. Ah oui, moi aussi. Je suis imposé de 4 ou 5 minutes et tu as déconnecté Instagram. Donc là, je vais dépasser ma limite à cause de vous. Oui, c'est moi. C'est quand même terrible. Donc, effectivement, on peut ajouter cette forte voix vidéo parce que c'est essentiel de pouvoir adapter certains exercices aussi à des spécificités patientes et inévidentes.

  • Speaker #1

    Ok, trop bien.

  • Speaker #2

    Et on peut aussi, sous les exercices, mettre des petites phrases pour commenter. Moi, j'aime bien commenter des choses, tu sais, donc je mets des petites phrases.

  • Speaker #0

    On peut faire de la recondition écrite, pour l'exercice.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y avait des questions ? Non, pas vraiment. Non,

  • Speaker #2

    les gens sont calmes. C'est impressionnant.

  • Speaker #0

    Je croyais qu'il y avait un commentaire, mais en fait c'est Gwen qui validait qu'elle ne voulait pas réellement rejoindre le live, j'ai l'impression.

  • Speaker #2

    Voilà, c'est ça. Coup de chaud. On m'a posé des questions avant. Est-ce que c'est possible de faire des séances de pilates en visio de groupe avec Andrew ?

  • Speaker #0

    Ça arrive très vite. On a un outil de télésoin. Et effectivement, cet outil de télésoi, on peut l'utiliser pour faire des visios en nomenclature, sur les suivis en nomenclature qu'on peut avoir. Pour l'instant, c'est du one-to-one, donc c'est une seule personne à la fois. Et donc, premier trimestre 2026, pour prendre la marche, parce que les développements, des fois, peuvent prendre plus de temps avec des problématiques techniques, on aura la possibilité de faire des visios groupées.

  • Speaker #2

    Ok, trop bien. C'était ça les principales questions que je t'avais envoyées.

  • Speaker #1

    Je ne vous ai pas les questions sous les yeux.

  • Speaker #2

    Est-ce qu'il y a quelque chose dont tu veux nous parler de particulier, une nouvelle fonctionnalité ou quelque chose qui arrive bientôt qui serait sympa ?

  • Speaker #0

    Oui, ça c'est hyper intéressant et je pense que c'est sympa, ça peut plaire à tout le monde ce sur quoi on travaille en ce moment. C'est un chantier énorme et on trouve que ça peut être une évolution, une innovation assez exceptionnelle en kiné. Je vais en donner deux. Une qui va aller très vite, c'est qu'on va sortir d'ici deux ou trois semaines l'utilisation de téléphone pour le praticien. Aujourd'hui, en tant que pro, on pouvait l'utiliser uniquement sur ordinateur ou sur tablette. Là, dans deux ou trois semaines, on pourra l'utiliser sur téléphone avec un gain de temps qui sera assez dingue parce qu'effectivement, on a bien amélioré l'ergonomie, donc ça va être assez dingue. Et ça, c'est plus le côté technique, ce qui va pouvoir être hyper intéressant sur ce qu'on travaille aujourd'hui. On le travaille avec... notre ami data analyst qui nous a rejoint récemment dans Andrew. Donc lui, son rôle, c'est d'analyser un peu les datas pour faire évoluer l'outil. Il se trouve que c'est assez marrant dans notre équipe, lui, il est ostéo de formation, donc on n'a que des kinés où tout le monde vient du monde de la santé, même si c'est des professions qui à la base n'ont rien à voir. Donc ça, c'est rigolo. On est en train de travailler sur une fonctionnalité de recommandation d'exercice avec de l'intelligence artificielle. Donc on va créer notre propre modèle d'intelligence artificielle. où on va pouvoir, lorsqu'on écrit le bilan, détailler ce pour quoi vient le patient et on va avoir une recommandation d'exercice à partir de ce pour quoi vient le patient. Et on va surtout travailler avec toutes les sociétés savantes avec qui on est en contact, tous les organismes de formation qui vont nous donner toute leur bibliographie. Et on va mettre en lien toutes les recommandations de la HAS en API. Donc, on va le pluguer dans Andrew. Et à chaque fois qu'il va y avoir un prompt, comme on appelle ça en IA, sur le problème d'un type de patient, et et bien notre outil va aller fouiller dans toutes les recommandations HHS et toutes les études qui sont sorties sur le sujet, donc que ce soit sur une prise en charge de l'épaule ou autre. Et après ce tri-là, sur toutes ces recommandations, on va vous présenter une prescription d'exercice qui serait idéale. Et là, c'est encore une fois aux praticiens qu'il y a le dernier mot, parce que la prise en charge EBP, ce n'est pas uniquement ce qu'il y a dans la littérature, mais ça va être aussi s'adapter aux patients pour sélectionner les bonnes capsules. Et donc là, on veut avoir une évolution où on pousse encore plus loin, justement, ce côté EBP. la prise en charge avec Andrew, donc ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    Et pour ceux qui ont déjà l'abonnement, ça sera compris ?

  • Speaker #0

    Ouais, tout à fait.

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    tout à fait.

  • Speaker #1

    Le premium, ça suppose, pas le classique.

  • Speaker #0

    On verra en fonction du coût de développement, c'est toujours pareil, on se pense pas, ça sera peut-être que, effectivement, dans l'outil qui va être le plus onéreux, et au final qui revient à moins cher, avec l'aide de l'État, d'ailleurs. Mais effectivement, ça, c'est une grosse amélioration, avec l'utilisation téléphone, ça va nous faire gagner du temps. Il y a beaucoup de prédicatifs qui nous demandent l'accepté vocale. Le but, c'est de dire, mon patient vient pour telle ou telle problématique, tu as fait ton prompt, on sort toute la recommandation avec la capsule éducative qui va être pertinente. Et tout ça, ça sera sourcé avec une explication détaillée pour chaque exercice. Pourquoi cet exercice est mis en avant ? Parce qu'il est dans les recommandations de l'HAS, parce qu'il est sorti dans telle méta-analyse ou autre.

  • Speaker #2

    D'accord. C'est trop bien. Ça va être un gain de temps de ouf.

  • Speaker #0

    Ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    On a une question de Delphine Gourmaud. et ça tombe bien c'est Ça correspondait à ma question, je voulais qu'on fasse un petit état des lieux des spécialités, des types de vidéos qui existent.

  • Speaker #0

    Super question. Relativement, tout le musculo-squelettique a été bien tourné sur Andrew. On est allé chercher à chaque fois des formateurs sur des articulations, sur des zones. On a des contenus sur coups de poignée main hyper détaillés, avec beaucoup aussi de tableaux cliniques. qui ont été construits par Tessadiasa qui sont top. Pareil sur les pôles avec Germain et Aziz. Tout le musculo-squelettique est hyper poussé. La prise en charge du sportif est aussi hyper poussée pour les spécialistes qui naissent du sport parce qu'on a tourné à peu près 300 vidéos sur la prise en charge du sportif, que ce soit en salle de sport, sur terrain, avec des plans drone sur les phases de réathlétisation et autres. Donc ça c'est hyper poussé.

  • Speaker #1

    Tu peux dire à chaque fois avec qui, comme ça je ferai une petite vidéo.

  • Speaker #0

    Sur la prise en charge des sportifs, on a travaillé avec Flavio Bonnet de l'agence EBP, on a travaillé avec Emmanuel Attia, Pierre Poulin également, sur toute la partie réathlétisation et vidéos en extérieur. Sur la partie pelvique et lénéologie, on a travaillé avec Julie Cantournet, Aude Gastauer, Montier Rejano avec qui on a tourné, les contenus arrivent fin décembre. Donc on va encore étoffer bien évidemment ces intervenants. Le but, c'est d'avoir une vraie pluralité d'intervenants là-dessus. Ensuite, donc, Pelvi Perineo, Kiné du Sport, Céphalée, Cervical G, on a énormément de contenus. Maxilo Facial, on a quelques contenus. C'est Faller, c'est cervical disease. On a retourné les contenus nous et on va faire intervenir bientôt un nouvel intervenant là-dessus. Mais ça, c'est ce qu'on a fait en interne. En maxillofacial, ça va être tourné en début 2026. Je ne peux pas encore dire avec qui parce qu'il n'y a pas tout qui est validé sur les intervenants qu'on va avoir en maxillofacial. Voilà, il y a la pédiatrie qui va arriver aussi avec Jessica Macar. Ça, c'est tout nouveau et on va tourner en février. donc tous les contenus pédiatriques voilà un petit peu où est-ce qu'on en est sur tout ce qui est en genoux membranf et tout alors sur tout ce qui est en genoux membranf sur le genou on a travaillé avec Florent Forelli qui est un gros formateur sur le sujet on a travaillé sur la partie membranf avec Massamba Mbaye sur toute la partie cheville on a travaillé sur la partie adducteur plutôt musculaire on va dire avec Pierre Parton Poulain également. Sur le RACHI, on a travaillé avec Joshua Lavallée, l'informateur sur RACHI. Il s'appellera Chifil pour ceux qui le suivent.

  • Speaker #1

    Je vois.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'on a, les autres intervenants qu'on a pu avoir ? Ce serait dommage d'en oublier quand même.

  • Speaker #1

    En respire peut-être ?

  • Speaker #0

    En respire, on n'a pas encore trop développé cette partie-là, oui. Et ça va être aussi un des objectifs en 2026. Relativement, ça va être de tourner tous les contenus musculosquelétiques. avant d'aller s'attaquer à toutes les parties un peu plus spécifiques. En euro, on a bossé avec Laurent Fabre sur tout ce qui est nourrissage de la douleur, les neuropathies, l'éducation santé. Donc là, on a énormément de contenu avec Laurent Fabre qui sont top. Et il faut qu'on, encore une fois, il faut bien sûr qu'on enrichisse ces parties-là parce qu'il y a toujours mieux à faire. Donc là-dessus, on va continuer d'évoluer.

  • Speaker #1

    OK, on a une prochaine question. Iride Lue, quelle différence entre voir son patient une fois par semaine au cabinet et lui prescrire des exos et la programmation hebdomadaire avec formule premium ?

  • Speaker #0

    Alors en fait, effectivement, c'est pour ça que ça n'a pas été très clair, je pense, la manière dont je me suis exprimé. L'intérêt d'Andrew dans le conventionnement, parce qu'on va découper une partie conventionnée et une partie en nomenclature, dans le conventionnement, ça va être de rendre acteur le patient en dehors des séances. On le sait. Un patient qui progresse et qu'on gagne du temps dans la rééducation, une fois par semaine, la réalisation de ses exercices, ça va être un peu faible. Donc là, l'idée, c'est d'avoir un outil qui permet de l'activer et le rendre beaucoup plus observant en ayant les retours de cette observance parce qu'on peut voir tout ce qu'a fait le patient. Ça, c'est la partie prescription liée à une prise en charge conventionnée. Donc, c'est une prescription simple en listing. On n'a pas besoin de faire une évolution journalière. On a quand même des praticiens qui souhaitent, parce qu'ils voient leur patient toutes les deux semaines, par exemple, faire un programme évolutif jour après jour dans le conventionnement. tu peux le faire en se disant il peut le faire ouais tu peux tout à fait le faire si tu veux le faire dans ton fonctionnement tu peux le faire et tu peux te dire la semaine prochaine on va pas se voir par contre je vais vous mettre 4 séances sur 4 jours avec des exercices différents parce qu'on va travailler de la mobilité on va travailler de la force je dis n'importe quoi mais plutôt qu'en premium ça ça reste le truc de programmation c'est juste que c'est une fonctionnalité qui est sur notre effectivement sur notre partie sur notre formule premium effectivement Merci. L'idée de cette formule premium, c'est aussi de se dire que c'est des praticiens qui vont faire du en amonclature avec la programmation, justement. Et donc, le retour sur investissement, il va aller encore plus vite. Comme je le disais sur la formule premium avec les moins de 10% de Gwenaëlle, vous avez 188 euros de reste à charge à l'année. Donc, lorsqu'on fait des programmations en amonclature, on accompagne des patients sur des programmes mensuels à 80, 90, 100, 120 euros. En fait, l'outil est amorti en deux programmations. Donc, c'est pour ça que… C'est une formule qui permet d'aller plus loin, qui permet de valoriser justement ce suivi en enclature digitale. Donc la différence est la suivante, c'est de se dire, si je veux accompagner un patient sur une prévention de récidive de blessure, qui n'importe quoi, d'une entorse de cheville, potentiellement je vais pouvoir lui faire un programme d'un mois. Il va y avoir plein de choses, des exercices de renforcement, il va y avoir des contenus sur santé aussi, il va y avoir potentiellement de la prescription du coup. de course à pied, avec un programme de course à pied s'il a un objectif aussi de course, et bien ça, je vais pouvoir le valoriser en amontation. Mais c'est une bonne question effectivement. Ça appartient à chacun de choisir comment vous voulez utiliser l'outil et ça, c'est vous qui allez pouvoir le valoriser comme vous le souhaitez dans votre pratique pour le coup.

  • Speaker #2

    Et ça fait gagner vachement de temps parce que sur le HN, avant, il fallait tourner nos vidéos et après, trouver une plateforme LMS où tu mettais en ligne. Enfin, tu vois, ce n'était pas du tout simple. Alors que là, c'est vraiment très simple.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Et pour revenir même avant la chaîne, parce qu'il n'y a pas tout le monde qui est... qui va être prêt à faire du rendement de lecture maintenant. Et puis, on peut aussi aimer, avoir la volonté de faire que de la kinésithérapie et de rester dans la nomenclature parce que c'est ce qui nous passionne. L'objectif d'Andrew, c'est aussi de trouver une solution pour être mieux valorisé, mieux gagner sa vie en restant dans le conventionnement. Et effectivement, si j'arrive à faire 2, 3, 4 bilans en plus par semaine, l'augmentation de mon chiffre d'affaires, je vais très clairement le ressentir à la fin du mois. Et c'est ce qui fait que même sans rendement de lecture, sur la formule premium, Pour parler de celle-ci, on arrive à amortir l'outil très très vite.

  • Speaker #1

    Bon, mais chouette. On arrive au bout, je pense. Moi, c'est clair. J'ai vraiment envie de... Je pense que je vais prendre bien. Je testerai en logo quand je commence. J'espère. Il faut.

  • Speaker #0

    Il faut qu'il teste, vraiment. Tu m'enverras un message.

  • Speaker #1

    Il y a une période de test au début ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    On peut utiliser l'outil complètement gratuitement pendant 15 jours. Le but, c'est que chacun puisse mettre les mains dedans et... et aussi faire son propre avis à l'utilisation.

  • Speaker #2

    Donc là, si un client se dit « j'ai envie de me lancer » , qu'est-ce qu'il fait ?

  • Speaker #0

    Il va sur andrewapp.fr, il va avoir un bouton « tester gratuitement » . Il va pouvoir créer son compte praticien, rentrer ses informations. Il va pouvoir faire « créer mon compte » . Et ensuite, on va lui proposer de se connecter pour lancer sa période d'utilisation gratuite. Et au moment du lancement de sa période d'utilisation gratuite, il choisit la formule qu'il veut avoir à la suite. de sa période d'utilisation gratuite, en sachant qu'il peut la modifier pendant la période d'essai, il n'y a aucun problème. Et bien évidemment, quand il se lance, il faut qu'il rentre le code Gwenaëlle.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #0

    Une fois qu'il a rentré son code Gwenaëlle, il a 15 jours d'utilisation gratuite. C'est à lui de gérer son abonnement. On a tout fait pour que le praticien soit autonome. Donc, c'est lui qui lance son compte. C'est lui qui peut annuler sa période d'essai s'il ne souhaite pas continuer sa période d'essai.

  • Speaker #2

    je rigole parce que du coup c'est surtout, quand est-ce qu'il y a un visio avec vous ?

  • Speaker #0

    À chaque fois que quelqu'un se fait un compte, nous, on propose une vision pour répondre aux questions, aider dans la prise en main. On est assez innovants dans notre manière d'amener ce suivi hybride en autonomisant les patients pour revaloriser la clinique. Donc, on essaie vraiment de pousser ces idées-là en disant la solution, l'État peut nous la donner avec des outils comme ça où il donne des aides avec le télésoin. Même s'il y a des choses où on peut être en désaccord ou on a l'impression de ne pas avoir trop de solutions. Je pense que les solutions viennent de nous, de ce qu'on veut mettre en place avec nos patients. Je pense que ça peut être hyper compliqué dans plein de situations. Mais par contre, ça peut être intéressant d'essayer de mettre en place des actions comme celle-ci ou avec d'autres outils pour justement réussir à revaloriser sa pratique.

  • Speaker #1

    Marie demande si on peut résilier facilement à tout moment.

  • Speaker #0

    Sur la période d'utilisation gratuite, bien évidemment. Et en fait, sur la partie modifier mon profil, on peut... annuler sa période d'essai et comme ça on n'a pas le l'abonnement qui démarre à la suite de cette période là une fois que moi justement mais on est on est client actif et qu'on a payé une première fois sur andrew bon on peut résilier aussi en autonomie sur l'espace nous on a changé un petit peu là dessus on prend juste un petit un petit temps au visio un appel de cinq minutes avec les pros pour essayer de reprendre en fait leur retour comprendre ce qui n'a pas marché pour essayer de faire évoluer l'outil parce que c'est Ce qu'on a remarqué sur les licitations pratiques et utilisateurs, on avait plutôt les retours positifs. Et souvent, les personnes qui sont moins satisfaites donnent moins leur avis. Et donc maintenant, on essaie d'aller un peu avoir cette idée. Oui, bien sûr. Bien sûr,

  • Speaker #1

    bien. Écoute, merci beaucoup. Je pense qu'on est pas mal.

  • Speaker #2

    Oui, c'est parfait.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci pour l'invitation. On a eu un bon moment.

  • Speaker #1

    Merci d'être venue.

  • Speaker #2

    Trop chouette.

  • Speaker #1

    Merci Gwen aussi. Après le temps. Au top. Et je mettrai le replay bientôt. Oui,

  • Speaker #2

    trop bien.

  • Speaker #1

    Merci à tous ceux qui ont regardé le live et à bientôt,

  • Speaker #2

    à la prochaine A bientôt Bonne après-midi

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Description

Dans cet épisode, Julien et Gwenaëlle reçoivent Ugo d'Andrew Pro, pour découvrir cette application dédiée aux kinésithérapeutes.


Andrew Pro, c'est quoi ?

Une application de prescription d'exercices en vidéo pour autonomiser les patients entre les séances. Créée par une équipe d'ostéos et kinés, Andrew Pro propose des contenus vidéo réalisés par des experts reconnus : Tessadit Aissaoui, Julie Cantournet, Aude Gastauer, Flavio Bonnet, et bien d'autres.


Ce qu'on découvre dans cet épisode :

  • Comment Andrew Pro fait gagner du temps au quotidien (prescription en moins de 30 secondes)

  • Le retour d'expérience de Gwenaëlle Quelven qui utilise l'outil depuis juillet 2024 avec un taux d'observance de 93%

  • Les fonctionnalités : prescription d'exercices, télésoin, programmation évolutive, capsules d'éducation à la santé

  • La partie Explorer avec méditation, yoga, pilates, cohérence cardiaque

  • Le suivi hybride présentiel et télésoin pour raccourcir les traitements

  • Les tarifs : formule classique à 39 euros par mois, formule premium à 59 euros par mois avec aide CPAM de 350 euros

  • Les nouveautés à venir : application mobile pour les praticiens et IA pour recommander des exercices basés sur les recommandations HAS


Pourquoi ça marche, même avec les patients âgés ?

Plus de 250 000 patients utilisent déjà Andrew, avec des taux d'utilisation très élevés chez les 55-75 ans. L'application est intuitive, esthétique, et les patients apprécient d'avoir un support vidéo pour refaire leurs exercices correctement à domicile.


Code promo : 10% de réduction la première année avec le code GWENAELLE

Essai gratuit 15 jours sur andrewapp.fr


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🙏 Merci pour ton soutien et à très vite,


Julien


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Alors, tout le monde est là ? Gwen est là ? Parfait, coucou ! Ça va ? Ça va et toi ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas coiffée, je sors du cab, vous m'accepterez comme je suis ?

  • Speaker #0

    On accepte comme tu es. J'aime être en drôle tant que ça se fasse parce que souvent ça met 100 ans.

  • Speaker #1

    Ouais, nickel, trop bien. Moi je suis contente de te retrouver aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Et bien moi aussi, bienvenue à tous pour ce nouvel épisode de l'actu kiné de la semaine. J'ai l'impression que ça fait trois mois qu'on ne s'est pas vus. Ouais !

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    ça fait seulement un mois. J'espère que tu vas bien.

  • Speaker #1

    Oui, je vais bien. C'était ta vue hier soir, j'ai fait mon webinaire avec le SLMKR.

  • Speaker #0

    Je n'étais pas là, mais j'ai vu passer l'info.

  • Speaker #1

    Oui, donc c'était challengeant, c'était hyper intéressant, énormément de questions et puis je te ferai un petit résumé. Tu veux que je fasse maintenant, en attendant ?

  • Speaker #0

    En attendant que Andrew arrive à se connecter.

  • Speaker #1

    C'est intéressant de voir, tu sais, sur les réseaux sociaux, il y a... Pas forcément beaucoup de nuances. Il y a plein de gens hyper dans la gratitude qui nous remerciaient du webinaire, bien entendu. Mais il y avait des personnes qui étaient anti-HN et qui disaient que c'était une honte. Donc, anti-hormonclature, c'est une honte. Ça diminue l'accès aux soins. C'est une médecine à deux vitesses. Et il y en a d'autres qui étaient... Non, mais Gwenaëlle, tu as une... Enfin, Gwenaëlle et le SNNKR, vous avez une vision hyper précautionneuse. Il y a plein de choses qu'on peut passer en HN. Tu sais, par exemple... les ondes de choc, l'échographie, etc. Oui, donc tu dis que... Ah oui ? Oui,

  • Speaker #0

    ça ne marche pas. Je pense qu'il faut qu'il me... Souvent, il faut que je suive mon compte pour qu'il puisse se connecter.

  • Speaker #1

    Ah d'accord, ok. Donc Hugo, il faut que tu suives le compte de...

  • Speaker #0

    Des fois, ça bug un peu.

  • Speaker #1

    Ah oui ? Je n'avais pas cette notion-là. Ok, je peux parler deux heures, tu sais.

  • Speaker #0

    Mais du coup, je ne sais même pas si on va devoir reprendre le vis. Je crois qu'on arrête.

  • Speaker #1

    C'est fait. C'est fait,

  • Speaker #0

    oui. Parce que là... Je ne sais pas si ça fait ça. Eh bien, nickel. Parfait. Bienvenue au repos du début. Merci. Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'actu qui est de la semaine. On est avec Gwen. Bonjour à tous.

  • Speaker #1

    La pro du HN.

  • Speaker #0

    La pro du HN. Et il y a un truc qui nous expliquait, c'est avant qu'on lance ça, tu as fait une soirée d'explications HN avec le SNM, KS. Et du coup, bienvenue Hugo d'Andrew. On s'était croisés à Rééducat.

  • Speaker #2

    Tout à fait. Merci pour l'invitation bonjour à tous des petits problèmes techniques pour rejoindre c'est bizarre pourtant je te suivais bien on n'arrivait pas à rejoindre on a habitué ça va ça ne nous choque pas trop donc

  • Speaker #1

    voilà c'était intéressant hier de voir que la nuance sur les réseaux sociaux n'est pas partout et puis de voir c'est dur pour notre profession en ce moment et donc Merci. C'est pour ça que c'est intéressant. Aujourd'hui, on va parler de l'application Andro. Et moi, c'est une application qui m'aura bien facilité la vie depuis juillet. Et c'est pour ça qu'on a été intéressés pour que Hugo, tu viennes nous présenter tout ça.

  • Speaker #0

    Yes. Robert, est-ce que tu veux te présenter peut-être à ceux qui ne te connaissent pas ?

  • Speaker #2

    Vraiment, je vais commencer par me présenter. Et pour rebondir sur ce qu'a dit Gwenaëlle, effectivement, on partage... pas mal de choses sur ce qu'on essaye d'amener dans notre vision de la kiné pour essayer de trouver des solutions à ce modèle économique d'une part, pour revaloriser la prise en charge en kinésithérapie. Donc c'est vrai qu'on a beaucoup de synergies, ce qui nous a amené à pas mal collaborer ensemble. Pour me présenter assez rapidement, moi je m'appelle Hugo Loison, je travaille sur le projet Androu, qui n'est pas un projet, maintenant c'est concret, sur l'outil Androu depuis maintenant un peu plus de deux ans. Et... On a construit un logiciel et une application pour les patients de suivi, de consultation, afin de les rendre acteurs de leur prise en charge en dehors du cabinet. L'objectif était réellement de pousser à l'autonomisation patient. Et là-dessus, je pense qu'on ne va rien apprendre à personne. Plus le patient est autonome et a peut-être sa prise en charge, plus on va avoir des résultats intéressants dans notre rééducation.

  • Speaker #0

    Ça a été créé par... Vous êtes ostéo, c'est ça du coup ? Until still.

  • Speaker #2

    Alors en fait, moi je suis ostéopathe de formation. Ce qui est assez marrant, c'est que dans l'équipe, relativement, il y a des kinés et des ostéos. On a commencé en fait, si vous voulez, avec Andrew, par essayer de trouver une solution pour sortir un peu du passif unique chez les ostéos. Le but n'était pas de faire un outil de rééducation, mais un outil qui poussait les patients à bouger, tout simplement. Et donc ça, ça vient de la construction de mon associé Daniel, qui avait fait une page. à la base Instagram pour ces patients qui a fini par avoir un peu plus de portée, où l'objectif était, je vais vous donner plein de tips pour bouger tous les jours, pour être acteur. Et en fait, ça a très bien pris avec ces patients. Il s'est dit, mais il faut qu'on arrive à l'implémenter pour lutter contre la sédentarité, qui est un enjeu de santé publique majeur aujourd'hui en France. Donc ça, c'était le début, on va dire, de la construction du projet. Et au final, très vite, ça nous a amené vers la kinésithérapie. Et donc, la rééducation, et là, on a implémenté dans notre équipe des experts qui venaient pour plein de prises en charge pour aller construire l'outil avec eux, qui avaient beaucoup plus de légitimité et de pertinence que nous pour construire cet outil.

  • Speaker #0

    Et c'est ça un peu le challenge. C'est vrai qu'il existe déjà, pas très utilisé, mais des applications pour se motiver à faire des exos ou alors même des chaînes YouTube pour le faire et tout. Et moi, ce qui m'attire en tant que kiné, mais je pense que même aussi en tant que, si j'étais patient, c'est le fait que vous avez autant collaboré avec des kinés ou des professionnels de santé qui sont experts dans leur domaine. Et moi, c'est ça qui m'attire surtout en tant que kiné, c'est d'avoir des exos qui sont faits par des kinés doués.

  • Speaker #1

    Si je donne l'exemple dans mon domaine, c'est Julie Cantournet et Aude Gauster. Je ne sais pas comment on dit. Aude Gauster ? Je ne sais pas. Gauster. Gauster. Qui font... Et puis maintenant, il y a Montsé. Ça va être à partir de quand ? Donc en fait, nous, vraiment, moi, c'est génial. C'est les experts. C'est les personnes en qui j'ai confiance. C'est des nouveaux exercices. C'est les exercices aussi que je donne. C'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui. Pareil, moi, pour la main, j'ai cru voir qu'il y avait Tessa. qui faisait des saldites, qui fait des vidéos. Mon seul regret, c'est qu'il n'y a pas de moyenne. Je ne crois pas.

  • Speaker #1

    Oh non, mais quelle lèche-botte. Non mais, moi, je n'ai rien à dire. Ça viendra, ça viendra.

  • Speaker #0

    Des petites capsules HL ?

  • Speaker #1

    Ça viendra, ça viendra. On y travaille, on est à fond. On est au taquet.

  • Speaker #2

    Carrément. Effectivement, l'enjeu était de construire cette équipe pluri-praticien, pluri-formateur en fait, parce que chaque professionnel avec qui on a travaillé est formateur. On a eu la chance de collaborer avec des sociétés savantes aussi, d'avoir échangé avec différents acteurs. On a pu échanger pour reprendre. En McKenzie, par exemple, on a échangé beaucoup et on collabore avec la Clinique du Coureur, avec l'agence EBP, pour des gros organismes de formation. Mais on a eu la chance d'aller aussi échanger avec des sociétés savantes, pour reprendre l'exemple de la Pelvi Perineo. On a pas mal échangé avec la FREP, avec différentes personnes, pour essayer de construire un outil qui est pertinent.

  • Speaker #0

    Ok. Et d'ailleurs, on va quand même dire à ceux qui nous regardent, et merci à ceux qui sont là, de ne pas hésiter à poser des questions sur Andrew Pro. Bien sûr, on y répondra au fur et à mesure.

  • Speaker #2

    Trop bien.

  • Speaker #0

    Donc, en gros, logiciel pour donner des ailes-saut, sous forme de vidéo, si j'ai bien compris. Comment ça s'articule ? Parce que moi, ma peur, ça serait, est-ce que je ne vais pas perdre du temps ? Enfin, perdre du temps, c'est bien sûr qu'il y a un énorme intérêt avec les patients et de l'autonomie et des exos et des supports. Mais est-ce que ça prend beaucoup de temps pour le mettre en place, pour donner les liens, etc. ? Ça, moi, mes freins.

  • Speaker #2

    Effectivement, l'enjeu, c'est de construire un outil qui est pertinent pour la prise en charge de nos patients, tout en ayant le côté où l'enjeu primordial est aussi de faire gagner du temps à nos praticiens. parce que on a un intérêt double, on va s'adresser et aux praticiens et aux patients. D'une part, nous, ce qu'on a voulu faire dans notre outil, contrairement à d'autres logiciels de prescription d'exercice, ou comme tu disais, suivre des vidéos YouTube ou des chaînes YouTube qui t'aident à bouger, déjà, nous, on a une volonté d'avoir un praticien prescripteur. C'est lui qui va mettre en avant les conseils de prescription d'exercice et autres après une séance. Le but, c'est que ça soit très rapide, encore une fois. Et au-delà de la partie mécanique et de la prescription d'exercice en vidéo, nous, on a voulu aller un petit peu plus loin. et accompagner les patients sur les aspects contextuels. Encore une fois, je n'ai rien à prendre à personne, mais les aspects contextuels, c'est capital dans nos prises en charge aujourd'hui, que ce soit l'éducation santé, mais aussi les facteurs modulateurs des symptomatologies comme le stress, l'anxiété, le sommeil, la sédentarité.

  • Speaker #0

    Donc il y a des vidéos d'éducation thérapeutique en fait, c'est ça ?

  • Speaker #1

    L'éducation à la santé, s'il te plaît, c'est moi qui ai fait changer de terme, éducation à la santé. L'éducation thérapeutique du patient, c'est des programmes pluridisciplinaires payés par l'ARS. Des conseils d'hygiène de vie.

  • Speaker #0

    C'est ça. On s'est compris.

  • Speaker #2

    On s'est compris. Attention avec Benahel, elle est un peu pénible sur les termes.

  • Speaker #0

    Elle est chiant.

  • Speaker #1

    J'assume d'être pénible. Bon, par contre, excuse-moi, mais Ego, tu sais, je t'avais prévenu, tu n'as pas répondu à la question de Julien. Donc, ça ne prend pas de temps. Je vais faire un retour d'expérience. Ça ne prend pas de temps parce qu'en plus, ils ont rajouté dernièrement des nouveaux outils. En fait, Tu fais glisser les exercices. Déjà, c'est hyper facile du côté kiné. Tu es sur ton ordi. Tu fais glisser les exercices. Tu changes le nombre de répétitions. Il y a plein de filtres. Tu peux choisir par formateur, par style d'exercice. Et maintenant, depuis deux semaines, ils ont mis, par exemple, l'ombalgie aiguë, phase 1. Et là, tu as six exercices qui se mettent. Et là, tu changes. Et en fait, ils n'arrêtent pas de modifier. Andrew, j'ai l'impression qu'il modifie chaque semaine en nous faisant gagner de plus en plus de temps. Et donc, ça ne prend vraiment pas de temps. Et moi... Je vais juste dire...

  • Speaker #0

    En gros, là, je finis ma séance. J'ai donné des exos à mon patient. Je veux... Ça serait pour des exos en plus ou les mêmes, du coup ?

  • Speaker #1

    Moi, les mêmes. Moi, en tout cas, je... Oui, les mêmes. En fait, au lieu de donner une fiche papier qu'ils vont perdre, en remboursable, tu peux leur donner des exercices ou tu peux aller plus loin et faire une programmation avec vraiment plein d'exercices différents. Et en fait, ce que disait Hugo, qui est intéressant... c'est que tu peux rajouter des conseils d'éducation à la santé, avec soit des vidéos, soit des audios aussi, Hugo ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    Dans l'éducation à la santé, c'est des vidéos, et ensuite sur les facteurs modulateurs de la symptomatologie, c'est vidéos et audios. En fait, pourquoi je ne répondais pas à la question, et tu fais bien de me couper, Gonnay, je ne répondais pas à la question parce que cette question est hyper intéressante quand on construit ce genre d'outils. Les pros veulent toujours plus de fonctionnalités, toujours plus de contenu, complexifier toujours plus l'outil. Mais il ne faut pas oublier que l'aspect primordial, c'est le gain de temps. Donc nous, on a tout fait pour personnaliser l'expérience d'utilisation. Il y a une infinité de contenus et de possibilités d'utilisation d'Androo. Et tu peux t'en servir comme tu le souhaites et surtout t'en servir adapté au patient pour avoir une réelle prise en charge patient-centrée. Donc tout va très vite. La prescription peut durer moins de 30 secondes. Ça, c'est vraiment notre enjeu.

  • Speaker #0

    Il faut quand même faire le dossier. Moi, je suis au bilan,

  • Speaker #1

    tu vois. Je suis au bilan. Et au départ, tu vois, je me disais que ça ne va être que pour mes patientes jeunes. Et en fait, pas du tout. Ce que je fais, c'est que je demande aux patientes. Et là, moi, j'ai inscrit deux patientes ces derniers jours de plus de 70 ans. Et ce matin, je l'en ai fait avec une patiente de 70 ans. Et elle a son smartphone. Et je l'aide à le faire. Mais elles sont vachement douées quand même. Je trouve ça impressionnant. Elles ont déjà leur mail et tout. Et je leur demande, en fait, je dis... Est-ce que vous avez un smartphone ? Est-ce que vous êtes assez doué avec votre téléphone ? Et tu vois, elles aiment bien dire oui, oui, oui. Et en fait, moi, j'ai un très bon taux de suivi, d'observance. Et je fais au bilan, mais ça prend cinq minutes.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    d'accord. Tu vois, après le dossier, tu sais, on l'avait fait ensemble, Julien. C'est même toi qui m'avais montré. Mais tu n'as pas besoin de mettre la date de l'hôtel. Et ça prend vraiment cinq minutes.

  • Speaker #0

    D'accord, très bien.

  • Speaker #2

    L'idée, c'est qu'on rentre l'adresse e-mail, nom, prénom, date de naissance. Et c'est terminé. Le patient est ajouté et reçoit ses accès, donc ça va très vite.

  • Speaker #0

    Et donc, ils peuvent suivre ça sur le téléphone aussi, surtout sur le téléphone aussi, d'accord ? Et ils ont un lien de connexion qu'on leur envoie, en gros, c'est ça ? Lorsqu'on ajoute le mail,

  • Speaker #2

    c'est ça. Il y a deux possibilités. On a des petits QR codes, des affiches dans le cas du nez, où le patient peut tout simplement scanner le QR code pour télécharger l'application. Mais il reçoit aussi un mail avec ses identifiants et le lien de téléchargement de l'application.

  • Speaker #0

    Ok. Et donc, on lui a prescrit. Donc là, j'ai fini. Je lui ai prescrit les exos. Il va les recevoir en mail ? Enfin, un rappel de... Je ne sais pas. Alors, en fait,

  • Speaker #2

    il y a différentes choses. Donc, on reçoit le mail qui permet d'accéder à son espace. Une fois qu'on a téléchargé l'application, ça devient notre petit compagnon d'accompagnement santé. C'est ce qui est hyper intéressant. Et c'est notre fil d'Ariane avec le praticien. Ça permet de maintenir le lien patient-thérapeute en dehors du cabinet. Le patient, lui, va avoir son espace de suivi avec toute sa prescription d'exercice, le conseil d'éducation santé et autres. Et nous, on peut paramétrer des notifications, effectivement. On sait à quel point l'observance, c'est un enjeu assez compliqué dans un système de santé où les patients ont plutôt l'habitude d'être passifs sur leur manière d'aborder le soin. Nous, on a mis en place des notifications de rappel que le patient peut se paramétrer, que nous, on peut faire avec le patient. Il reçoit une petite alerte comme un petit message, une notification sur son téléphone. qui va l'inviter à aller mettre en place les conseils.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Je vais redonner mes astuces.

  • Speaker #2

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Du coup, moi, je leur dis, parce que je ne sais pas si vous savez, mais dans notre sphère, nous, avant, il y avait des applications, mais c'était aux patients de payer un abonnement. Donc, du coup, là, je dis directement aux personnes, est-ce que vous êtes OK, je vous inscris sur une application, mais c'est moi qui vous l'offre, c'est moi qui paye. Et du coup, tu vois, déjà, c'est bon, ils ne vont rien avoir à payer, parce qu'application, des fois, ça peut dire un peu payant. Et après, je leur montre, attention. Bon, déjà, je mets la notification. En gros, tous mes patients doivent faire leurs exercices à 10 heures. Et je leur montre, ne me faites pas chuter mon taux d'observance. Là, je dois être à 93 %. Et je montre, vous voyez, les autres patients, ils ont fait, vous voyez, et je montre mon taux.

  • Speaker #0

    Et voilà.

  • Speaker #1

    Et ça les motive trop. Ça les motive trop. C'est ludique. C'est hyper ludique. C'est sympa.

  • Speaker #2

    C'est un peu ce qu'on appelle gainifier l'expérience du patient. Mettre des challenges. Il y a des choses qui peuvent marcher. en disant, regarde, tous ces patients-là qui sont actifs, il faut trouver ce qui va fonctionner avec le patient, parce que c'est toujours le discours du praticien qui est primordial pour réussir à l'endroit acteur. Ça, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Et toi, Gwen, tu fais par exemple faire telle série d'exercices tous les jours ?

  • Speaker #1

    Oui, alors moi, il y a plusieurs choses. Si c'est une patiente plutôt âgée, je lui donne juste 3-4 exercices que je rechange toutes les semaines. Si c'est une patiente plutôt en rééducation périnéale, jeune, j'ai créé plusieurs programmes d'abdos, qui s'appellent, tu vois, abdos 1, abdos avancés, abdos été, tout ça. Et je leur redonne. Et là, il y a des exercices tous les jours. Elles font comme elles veulent. Mais moi, ça a vachement bien marché parce que ça ne prend que 10 minutes. Et il y a tout type, en fait. Il y a soit moi qui ai mis 5 exercices avec le nombre de répétitions. Soit, ce qui est génial, il y a des séances de renfots. haut du corps, bas du corps, pilates, yoga et tout. Et pareil, sur le pilates, c'est par exemple Marie de Pilates et moi qui a fait. Donc, c'est des personnes référentes pour nous, tu vois. C'est super fait. Donc, voilà, soit elles ont leur programme tous les jours et je leur dis que vous faites au plus possible comme vous pouvez. Et après, sur des patientes douloureuses, là, c'est encore autre chose. C'est des exercices qui évoluent au fur et à mesure.

  • Speaker #0

    Et donc, du coup, je suppose qu'après, tu réactualises le traitement. À la prochaine séance, en gros, tu refais le point et tu réactualises le plan.

  • Speaker #1

    À chaque début de séance, je demande, est-ce que vous avez réussi à faire vos exercices ? S'ils n'ont pas réussi, comme avec une fiche, on va dire, est-ce que c'était assez dur ? Ce n'était pas assez dur ? Ou est-ce que vous vous êtes trompé ? Et à la messagerie, l'autre jour, on m'a dit, mais Gunnel, vous venez de me remettre le même programme. Bien sûr, j'ai remodifié direct.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #2

    Après l'idée c'est aussi ce qui va amener je fais une petite transition, peut-être que vous ne voulez pas aller là-dessus tout de suite, mais c'est ce qui va amener nous ce qu'on pousse un peu dans le suivi hybride avec le télésoin et un peu cette phrase toute faite mais que je trouve hyper intéressante, pourquoi faire faire au patient au cabinet ce qu'il pourrait faire à la maison effectivement, rendre acteur le patient sur la partie exercice il peut y avoir des fois aussi, on n'a pas besoin de le faire revenir au cabinet je pense qu'on l'a tous vécu quand j'échange avec les... 1500 praticiens qui se disent « Andrew, tout le monde l'a vécu, de faire revenir des fois un peu trop tôt un patient, en ayant passé les séances, il y aurait pu avoir plus de progrès là-dessus. » Là, le télésoin est hyper intéressant. Le but n'est pas de remplacer le présentiel, mais une fois sur quatre, une fois sur cinq, de se dire « la semaine prochaine, on se voit en visio. » Vous avez votre challenge d'être hyper actif sur l'application. Plus vous allez mettre en place ces exercices, plus on va progresser. Et on se fait un point en visio pour faire évoluer cette programmation pour la semaine encore d'après, où on se verra en présentiel. Et là, on aura un impact dans la séance présentielle, où on va vraiment... pouvoir prendre le temps et pousser encore plus les choses.

  • Speaker #1

    Et c'est vraiment ça, c'est de leur dire qu'il faut qu'il y ait eu un bon progrès. Parce que tu vois, s'ils me redisent qu'ils ne vont pas du tout faire leurs exercices, on essaie de voir pourquoi. Et j'explique qu'avec Andrew, hop, il y aura vraiment un progrès et c'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui, puis au final, le téléphone, si c'est pour faire le point sur l'évolution, des fois, ça dure moins longtemps qu'une séance classique. Mais effectivement, au final, c'est peut-être un gain de temps. Ok, chouette. Avec ce suivi hybride, le fait d'espacer les séances de suivi, d'autonomiser à fond les patients,

  • Speaker #2

    on gagne du temps quand on les voit, on gagne du temps en les voyant peut-être moins au cabinet, on s'y perd du temps pour augmenter l'accessibilité aux soins. Prendre des nouveaux patients qui sont des fois en attente de prise en charge, il y a toutes ces notions qui sont intéressantes.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, c'est ce qui s'est passé cet été. En août, je n'ai pas travaillé parce que je n'ai pas trouvé de remplaçant, etc. Et du coup, en septembre, normalement, ce qui aurait dû se passer, c'est tout le monde a lâché ses exercices Et je dois reprendre un peu, tu vois, à zéro. Et là, le fait d'avoir Andrew en sept ans, ça a donné plein de fins de traitement. Et c'est... Alors oui, on va dire que je suis partenaire. Il y a une collaboration commerciale qui vient à un lien d'affiliation avec Andrew. Mais là, je pense que vous me connaissez. Je suis assez franche. Et si je vous dis quelque chose, c'est que je le pense. Et clairement, ça m'a donné plein de fins de traitement. Ils m'ont dit non, là, c'est bon. Je vais continuer Andrew. Je me sens solide. Je vais continuer avec l'appli. Et nickel, quoi. Et donc, moi, j'ai vu... mais le traitement se raccourcisse vraiment bien.

  • Speaker #0

    Et donc,

  • Speaker #1

    je le compte du nouveau bilan.

  • Speaker #0

    Ok, ben oui, c'est ça. Et qui dit nouveau bilan, dit plus 25.

  • Speaker #1

    Ben voilà, c'est ça. Exactement.

  • Speaker #0

    Ça, c'est une notion d'optimisation du temps avec le taux qui deviendra plus intéressant.

  • Speaker #2

    On a des vrais enjeux en kinésithérapie de rémunération. Là, ça peut être une des réponses.

  • Speaker #1

    Oui, et de rémunération et d'accès aux soins. Parce qu'hier, on m'a dit... Mais Gwenaëlle, en développant le hors nomenclature, tu donnes moins d'accès aux soins remboursables. Et c'est hyper intéressant parce que pour moi, augmenter l'accès aux soins remboursables, ce n'est pas parce que j'ai été faire trois heures de HN dans la semaine que j'ai diminué mon accès aux soins. Et comment augmenter mon accès aux soins ? C'est pour moi l'autonomisation des patients, la bonne observance, la réorientation vers d'autres professionnels, par exemple de la santé mentale si nécessaire. C'est fou parce que moi, si les gens voulaient me lancer sur comment augmenter l'accès aux soins, j'ai été présidente de CPTS, on peut y aller. Je suis au taquet là-dessus. Et ce n'est pas ça. Il faut autonomiser vos patients chroniques. Il y a un moment, il faut voir, il faut refaire un nouveau bilan intermédiaire, peut-être un bilan final, une fenêtre thérapeutique, autonomiser vos patients, les réorienter vers d'autres pros. Il y a des choses à faire, mais vous n'êtes pas censé voir 1000 ans vos patients.

  • Speaker #0

    Et après, moi, un de mes freins, c'est vrai que les personnes âgées, parce qu'on en a beaucoup au final, de plus dans les 80 et tout, c'est pas non plus 100% d'impatientelles, mais tu as eu des retours en mode, j'arrive pas, c'est trop compliqué, ou en mode, j'aime pas trop faire ça toute seule, ou quoi ?

  • Speaker #2

    Non, elles sont trop fières. Elles sont hyper fières.

  • Speaker #1

    Mais parce qu'il y a un contexte, c'est que moi, j'emmène... Déjà, je suis contente. Dès qu'on part aux autres, je vous préviens, les autres patientes font bien. Et moi, ma patientelle est vraiment âgée. Tu regardes mon snir parce que j'ai beaucoup en rééducation périnéale pour des fuites urinaires chez la personne âgée. On voit hyper périnatalité, sport et tout ça. J'habite au fin fond de la Bretagne et vraiment ça, je peux le dire, j'étais hyper étonnée. Mais que ce soit sur Doctolib ou sur Andrew, à quel point les personnes âgées ont leur smartphone maintenant et elles sont vraiment douées.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas eu des retours en mode, vous me dites de le faire chez moi, vous me lâchez, en mode, vous ne vous occupez pas de moi, des trucs comme ça ?

  • Speaker #1

    Non, parce que je continue à les voir une fois par semaine, moi, quand même. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, je ne les ai pas lâchés. C'est complémentaire. Ah oui, oui, oui. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, ça dépend si elles ont été réactives sur leur prise de rendez-vous. Et du coup, ça a juste augmenté le temps de qualité de soins avec… mes patientes en direct parce que les exercices, ils sont acquis beaucoup plus vite parce que je les montre une première fois lors du bilan, les premiers exercices. Et après, elles ont des vidéos explicatives. Et pour moi, c'est quand même la différence de Andrew par rapport au premier outil que j'avais utilisé. C'est que la vidéo réexplique l'exercice à chaque fois. Si elles veulent, elles peuvent aller repliquer. Après, il y a la vidéo de démonstration. Donc du coup, en fait, les exercices, elles les ont en tête beaucoup plus vite.

  • Speaker #0

    Oui. Moi, c'est bon,

  • Speaker #1

    je peux rentrer dans l'équipe d'Andrew C'est bon là, j'ai mon contrat à la fin,

  • Speaker #2

    non ? Tu commences à bien maîtriser le sujet, mais justement, il faudrait que tu sois... Des fois, on peut presque se dire, tu fais bien de faire des discrétifs, que tu vends presque trop bien. Ouais,

  • Speaker #1

    Hugo, il dit que j'en fais trop, mais de toute façon, c'est pas grave, les gens connaissent ma personnalité. Oui, c'est clair.

  • Speaker #0

    Du coup, t'as un caractère intéressant.

  • Speaker #2

    Ouais, je sais pas si tu voulais... Enfin, Julien, si tu voulais... que je donne aussi mon avis sur le côté personnes âgées, c'est une question hyper intéressante, très pertinente, parce qu'on l'a énormément en fait, c'est assez constant. Et c'est assez rigolo parce qu'il y a cette notion aussi où on a tendance à voir les freins très vite, lorsqu'il y a une innovation, lorsqu'on apporte quelque chose de nouveau. Et moi, je trouve ça toujours très marrant de mettre un peu en perspective, et après je donnerai ma réponse et ma vision sur les personnes âgées, ce côté où j'ai beaucoup de personnes qui me posent cette question, et quand je creuse un petit peu, ils disent... Ah ouais, effectivement, j'ai peut-être 10% de ma patientèle qui a plus de 75-80 ans. Enfin, je ne sais pas non plus les normes. Après, il y a des praticiens qui sont spécialisés en gériatrie. Un praticien qui ne fait que de l'EPAD toute la semaine. Effectivement, je vais lui dire, ça, ce n'est pas adapté pour toi si tu vois uniquement des personnes qui ont plus de 80 ans. Mais c'est là où tu te rends compte qu'il y a quand même une vision et un prisme tout de suite d'aller chercher le négatif de... Ah ouais, mais les personnes âgées... Non, non, non, moi,

  • Speaker #0

    je m'anticipe. Non, je viens à toi, pas toi.

  • Speaker #2

    pas du tout non pas du tout non on parle pas de toi on parle pas de toi non mais je sais mais et même si c'est un prix quoi les gens vont pas se lancer dans une application c'est aussi légitime d'avoir des des appris au gris des choses comme ça ouais ouais ouais mais c'est tout à fait légitime mais c'est hyper intéressant mais donc très souvent on se rend compte déjà que bah effectivement le pourcentage de la patientèle est pas forcément très élevé sur les plus de 80 nous on a des chiffres qui sont hyper intéressants parce que donner mon avis au doigt mouillé sur ma vision, je me suis dit que je ne pouvais pas me faire enlever je pense que ça n'intéresse pas forcément les personnes qui nous écoutent. Par contre, donner les retours d'utilisation des 250 000 patients qu'on a aujourd'hui sur Andrew, on a même dépassé les 250 000 patients. Et quand on voit effectivement que les plus gros utilisateurs, ça va être les 55-65, qu'on a les taux d'utilisation qui sont dans les charnières les plus hautes jusqu'à 70 ans. Et ensuite, des taux d'utilisation hyper intéressants jusqu'à 75 et même 80. En fait, c'est aussi de la réponse statistique parce qu'on commence à avoir on va dire un panier de patients qui est représentatif. Quand on parle effectivement de plus de 250 000 patients, on peut dire que ça commence à être représentatif. Et là, pour le coup, on voit qu'il y a des taux d'utilisation qui sont hyper élevés.

  • Speaker #0

    Les taux d'utilisation sont à plus de 60-65 dans les 250 000 patients.

  • Speaker #2

    Alors là, je pourrais te les ressortir, et ça serait intéressant peut-être sur des rediffusions de le mettre en avant, parce que je n'ai pas envie de te dire un chiffre complètement débile. Je sais que ça représentait, quand on avait sorti ces chiffres-là, parce que ça nous intéressait il y a maintenant un peu plus de six mois, je crois que c'était entre 15 et 20 000 personnes dans la tranche 55-65 pour donner un ordre d'idée juste de cette tranche-là. Et du coup, c'était une des tranches les plus utilisatrices. Et je pense qu'encore aujourd'hui, c'est les plus gros utilisateurs. Parce que c'est des personnes aussi qui ont pris conscience que 30 soins en 2, être acteur de leur santé, ça allait être destiné dans leur bien-être. Donc ça, c'est aussi une verticale qui est intéressante chez ce public-là.

  • Speaker #0

    Ok. Moi, ce qui m'avait trop plu au salon Rééducat sur vos fonctionnalités, alors après, je ne sais pas si c'était pour moi ou pour les patients, mais c'était les vidéos Pilates, Yoga.

  • Speaker #1

    J'en ai.

  • Speaker #2

    et il y avait de la méditation aussi et de la sauf d'hypnothérapie il y a des contenus qui s'appellent micro-voyages aussi c'est des petites évations un petit peu de détente mais en fait c'est exactement ça c'est les contenus sur les facteurs modulateurs de la douleur je pense que tous les praticiens aujourd'hui ou la plupart intègrent un petit peu ça dans leur discours auprès de leurs patients en disant qu'effectivement nos recherches de la douleur nous ont appris qu'il n'y avait pas uniquement la partie mécanique qui rentrait en jeu dans les symptomatologies Merci. pas de la douleur, mais des symptomatologies de manière générale, parce que ça vient fluctuer aussi, des fois des symptomatologies plus physiologiques. Pour le coup, on n'a pas toujours eu les outils pour accompagner le patient, pour pouvoir bosser là-dessus. Donc c'est pour ça que nous, on a fait toute cette partie-là qu'on a appelée Explorer, et qui est en fait des contenus sur le contexte. Comment on accompagne notre patient sur le contexte ? Est-ce qu'on a le temps au cabinet de l'accompagner là-dessus ? Pas toujours, on va s'occuper beaucoup du mécanique. par contre on ouvre sur tous ces facteurs-là de contexte. Et je pense que ça peut être hyper intéressant de donner un outil pour que les patients, de leur côté, jouent sur leur sédentarité, jouent sur leur stress, sur leur anxiété, sur leur sommeil. Parce que toutes les capsules sur le sommeil aussi sont assez intéressantes.

  • Speaker #1

    Je ne suis plus parlée du tout maintenant. Mais du coup, pour vous dire, le truc est d'explorer. Elles adorent mes patientes. Mais en plus, l'application est vraiment très esthétique. C'est très joli. Et du coup, je trouve ça super important. Et une fois que la rééducation s'arrête, moi, je laisse quand même l'accès. Et elles adorent d'avoir tout. Moi, je dis explorer. Je ne crois pas dire explorer. Elles vont dans la partie explorer. Et il y a vraiment beaucoup de choses. Et c'est incroyable. Et moi, je n'ai pas encore utilisé tout. Comme tu disais, il y a beaucoup de fonctionnalités. Et Hugo, il y a un truc dont tu n'as pas parlé. Moi, je n'ai pas encore regardé. Mais est-ce que, par exemple, Tessa... Elle a fait des vidéos pour nous, nous expliquer des choses en tant que kiné, non ? Oui,

  • Speaker #2

    tout à fait. En fait, sur cette partie-là, pour clôturer ces contenus, tous les outils cohérence cardiaque et autres sont présents sur l'outil et ça permet d'avoir une bibliothèque santé pour le patient et ça devient vraiment son compagnon. Et là, c'est très joli, très esthétique, ça rejoint le côté ludique, expérience un peu gamifiée, ça te donne envie de passer du temps sur l'outil. Pour ce qui est des capsules éducatives à destination des patients, on en a déjà parlé, mais tous les formateurs avec qui on a bossé ont également fait des capsules qu'on a appelées micro-learning, parce que ce n'est pas des e-learning qui vont durer 20, 30, 40 minutes, mais micro-learning qui durent entre 3, 4, 5, 6 minutes et qui vont venir tout simplement détailler une symptomatologie, une pathologie. aussi des notions sur du post-opératoire, des notions sur les croyances limitantes, des notions en thérapie comportementale et cognitive, comment déconstruire des croyances limitantes chez nos patients. C'est hyper compliqué. Effectivement, la plupart du temps, il faut se former pour réussir réellement à être bon dans l'échange avec le patient. Mais nous, on a implémenté toutes ces capsules-là et aujourd'hui, on a... une soixantaine de capsules qui ont été réalisées par tous ces formateurs, Flavio Bonnet, Estadio Assaoui. On a travaillé en Pellevipérineo aussi, donc c'est hyper intéressant.

  • Speaker #0

    Trop bien, c'est chouette. Est-ce qu'on peut parler du prix ?

  • Speaker #2

    Oui, tout à fait. En termes de tarification, nous, on va avoir plusieurs formules parce qu'on a réellement deux formules et ensuite, on a à chaque fois deux périodicités de facturation. parce qu'on peut choisir d'être en mensuel pour notre abonnement ou en annuel. La grosse différence entre les deux, ça va être le prix final parce que lorsqu'on a une facturation annuelle, ça revient à moins cher. Mais pour parler des deux formules principales, on a une formule qu'on appelle classique où on va avoir toutes les fonctionnalités de prescription d'exercice en vidéo, l'accès aux capsules d'éducation santé et au contenu justement exploré sur les contextes. Et ensuite, sur cette formule-là, pour l'instant, on a laissé en bêta la version Andrew Coach, qui est notre outil de programmation et qui permet justement de faire des suivis en nomenclature avec Andrew.

  • Speaker #0

    Mais ça, ça va bientôt disparaître et ça sera uniquement sur la formule premium, qui est la formule avec toutes les fonctionnalités d'Andrew, la téléconsultation, la partie Andrew Coach, donc programmation, et bien sûr la prescription d'exercice et autres.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas compris là, Andrew Coach, ça m'a perdu.

  • Speaker #0

    Pardon, c'est vrai que ce n'est pas hyper clair. On a sorti une nouvelle fonctionnalité qui permet au lieu de juste faire de la prescription d'exercice, donc la prescription d'exercice simple, j'envoie trois exercices à mon patient. de faire de la planification évolutive jour après jour, semaine après semaine.

  • Speaker #1

    Je pensais qu'on pouvait le faire de base, d'accord.

  • Speaker #0

    Ça non, c'est récent, on l'a sorti en juillet. Donc en fait, on l'a implémenté 6-7 mois après le lancement d'Androkiné. Et donc ça, ça appartiendra uniquement à la formule un peu plus premium. Donc la formule classique est à 39 euros par mois et la formule un peu plus poussée avec le télésoin... Et Andrew Coach, donc la planification hebdomadaire, est à 59 euros par mois. Ce qui est intéressant dans cette formule avec le télésoin, c'est qu'on a une aide de l'État de 350 euros. Donc en fait, on a un outil agréé et la CPM nous verse 350 euros pour l'utilisation d'Andrew et c'est du déclaratif. Il y a juste à présenter une facture de l'outil Andrew dans le famille. Beaucoup de personnes la confondent avec l'aide à la télétransmission et c'est une nouvelle aide qui est complètement indépendante. et qui vient d'arriver depuis 2024, qui s'appelle l'aide pour un outil de télessoin.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et donc, il y a 350 euros de versement sous présentation, juste de justificatif d'un outil agréé comme Androco.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #0

    Et c'est ce qui fait que sur la formule mensuelle, ça fait 29 euros par mois de reste à charge pour le kiné. Ou si on prend en annuel, ça fait 19 euros de reste à charge mensuel. Donc, ça permet de l'amortir assez vite.

  • Speaker #1

    Et là, tu as donné le prix avec le famille, du coup.

  • Speaker #0

    Dans un deuxième temps, oui. Le prix sans famille, c'est 59 euros. Une fois qu'on a reçu l'aide famille, c'est 29 euros en mensuel ou 19,90 euros. Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    C'est bon, j'ai compris. D'accord. Ok, chouette.

  • Speaker #0

    C'est la plus importante.

  • Speaker #1

    Il y a quelqu'un qui veut participer ? Il y a une autre Gwen qui veut participer.

  • Speaker #2

    Non, c'est Gwen. C'est une collègue d'ici, mais ce n'est pas exprès. Gwen ne veut pas participer, je pense.

  • Speaker #1

    Elle veut peut-être prendre la parole.

  • Speaker #2

    Non, c'est des questions qu'elle va me poser, mais non, je ne pense pas. Mais écoute,

  • Speaker #1

    ça a l'air de partenariat, non ? Oui,

  • Speaker #2

    il faut mettre le code Gwenaëlle. Et on a combien de réductions avec Gwenaëlle ?

  • Speaker #0

    Avec le code Gwenaëlle, effectivement, on a 10% sur la première année. C'est hyper intéressant sur la formule annuelle parce qu'effectivement, vous allez pouvoir prendre l'outil en une fois. Ça va vous coûter 538 euros aujourd'hui en décembre. Et vous allez avoir 350 euros de versement de l'aide en 2026, en avril 2026. Donc un reste à charge de 188 euros l'année. Mais encore une fois, sur l'optimisation du temps thérapeutique, en moyenne, nous, les praticiens, ils arrivent à amortir cet investissement en 2-3 mois.

  • Speaker #2

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Et on peut faire ses propres vidéos ou pas ?

  • Speaker #0

    Tout à fait. On peut ajouter ses propres contenus parce que c'est compliqué d'avoir une bibliothèque totalement.

  • Speaker #1

    Ça bugue.

  • Speaker #2

    C'est moi qui fais quelque chose ? Non, j'ai piqué un truc et ça fait perdre

  • Speaker #1

    Hugo. Je ne touche pas à rien.

  • Speaker #2

    Je ne touche pas à rien. Non, mais ce n'est pas moi, je pense. Hugo, ça, c'est déconnecter tes écouteurs ou quelque chose ?

  • Speaker #0

    Oui. Non, c'est tout bon. Vous savez ce qui m'est arrivé ? C'est que j'ai ma limite de temps Instagram. Ah oui, moi aussi. Je suis imposé de 4 ou 5 minutes et tu as déconnecté Instagram. Donc là, je vais dépasser ma limite à cause de vous. Oui, c'est moi. C'est quand même terrible. Donc, effectivement, on peut ajouter cette forte voix vidéo parce que c'est essentiel de pouvoir adapter certains exercices aussi à des spécificités patientes et inévidentes.

  • Speaker #1

    Ok, trop bien.

  • Speaker #2

    Et on peut aussi, sous les exercices, mettre des petites phrases pour commenter. Moi, j'aime bien commenter des choses, tu sais, donc je mets des petites phrases.

  • Speaker #0

    On peut faire de la recondition écrite, pour l'exercice.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y avait des questions ? Non, pas vraiment. Non,

  • Speaker #2

    les gens sont calmes. C'est impressionnant.

  • Speaker #0

    Je croyais qu'il y avait un commentaire, mais en fait c'est Gwen qui validait qu'elle ne voulait pas réellement rejoindre le live, j'ai l'impression.

  • Speaker #2

    Voilà, c'est ça. Coup de chaud. On m'a posé des questions avant. Est-ce que c'est possible de faire des séances de pilates en visio de groupe avec Andrew ?

  • Speaker #0

    Ça arrive très vite. On a un outil de télésoin. Et effectivement, cet outil de télésoi, on peut l'utiliser pour faire des visios en nomenclature, sur les suivis en nomenclature qu'on peut avoir. Pour l'instant, c'est du one-to-one, donc c'est une seule personne à la fois. Et donc, premier trimestre 2026, pour prendre la marche, parce que les développements, des fois, peuvent prendre plus de temps avec des problématiques techniques, on aura la possibilité de faire des visios groupées.

  • Speaker #2

    Ok, trop bien. C'était ça les principales questions que je t'avais envoyées.

  • Speaker #1

    Je ne vous ai pas les questions sous les yeux.

  • Speaker #2

    Est-ce qu'il y a quelque chose dont tu veux nous parler de particulier, une nouvelle fonctionnalité ou quelque chose qui arrive bientôt qui serait sympa ?

  • Speaker #0

    Oui, ça c'est hyper intéressant et je pense que c'est sympa, ça peut plaire à tout le monde ce sur quoi on travaille en ce moment. C'est un chantier énorme et on trouve que ça peut être une évolution, une innovation assez exceptionnelle en kiné. Je vais en donner deux. Une qui va aller très vite, c'est qu'on va sortir d'ici deux ou trois semaines l'utilisation de téléphone pour le praticien. Aujourd'hui, en tant que pro, on pouvait l'utiliser uniquement sur ordinateur ou sur tablette. Là, dans deux ou trois semaines, on pourra l'utiliser sur téléphone avec un gain de temps qui sera assez dingue parce qu'effectivement, on a bien amélioré l'ergonomie, donc ça va être assez dingue. Et ça, c'est plus le côté technique, ce qui va pouvoir être hyper intéressant sur ce qu'on travaille aujourd'hui. On le travaille avec... notre ami data analyst qui nous a rejoint récemment dans Andrew. Donc lui, son rôle, c'est d'analyser un peu les datas pour faire évoluer l'outil. Il se trouve que c'est assez marrant dans notre équipe, lui, il est ostéo de formation, donc on n'a que des kinés où tout le monde vient du monde de la santé, même si c'est des professions qui à la base n'ont rien à voir. Donc ça, c'est rigolo. On est en train de travailler sur une fonctionnalité de recommandation d'exercice avec de l'intelligence artificielle. Donc on va créer notre propre modèle d'intelligence artificielle. où on va pouvoir, lorsqu'on écrit le bilan, détailler ce pour quoi vient le patient et on va avoir une recommandation d'exercice à partir de ce pour quoi vient le patient. Et on va surtout travailler avec toutes les sociétés savantes avec qui on est en contact, tous les organismes de formation qui vont nous donner toute leur bibliographie. Et on va mettre en lien toutes les recommandations de la HAS en API. Donc, on va le pluguer dans Andrew. Et à chaque fois qu'il va y avoir un prompt, comme on appelle ça en IA, sur le problème d'un type de patient, et et bien notre outil va aller fouiller dans toutes les recommandations HHS et toutes les études qui sont sorties sur le sujet, donc que ce soit sur une prise en charge de l'épaule ou autre. Et après ce tri-là, sur toutes ces recommandations, on va vous présenter une prescription d'exercice qui serait idéale. Et là, c'est encore une fois aux praticiens qu'il y a le dernier mot, parce que la prise en charge EBP, ce n'est pas uniquement ce qu'il y a dans la littérature, mais ça va être aussi s'adapter aux patients pour sélectionner les bonnes capsules. Et donc là, on veut avoir une évolution où on pousse encore plus loin, justement, ce côté EBP. la prise en charge avec Andrew, donc ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    Et pour ceux qui ont déjà l'abonnement, ça sera compris ?

  • Speaker #0

    Ouais, tout à fait.

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    tout à fait.

  • Speaker #1

    Le premium, ça suppose, pas le classique.

  • Speaker #0

    On verra en fonction du coût de développement, c'est toujours pareil, on se pense pas, ça sera peut-être que, effectivement, dans l'outil qui va être le plus onéreux, et au final qui revient à moins cher, avec l'aide de l'État, d'ailleurs. Mais effectivement, ça, c'est une grosse amélioration, avec l'utilisation téléphone, ça va nous faire gagner du temps. Il y a beaucoup de prédicatifs qui nous demandent l'accepté vocale. Le but, c'est de dire, mon patient vient pour telle ou telle problématique, tu as fait ton prompt, on sort toute la recommandation avec la capsule éducative qui va être pertinente. Et tout ça, ça sera sourcé avec une explication détaillée pour chaque exercice. Pourquoi cet exercice est mis en avant ? Parce qu'il est dans les recommandations de l'HAS, parce qu'il est sorti dans telle méta-analyse ou autre.

  • Speaker #2

    D'accord. C'est trop bien. Ça va être un gain de temps de ouf.

  • Speaker #0

    Ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    On a une question de Delphine Gourmaud. et ça tombe bien c'est Ça correspondait à ma question, je voulais qu'on fasse un petit état des lieux des spécialités, des types de vidéos qui existent.

  • Speaker #0

    Super question. Relativement, tout le musculo-squelettique a été bien tourné sur Andrew. On est allé chercher à chaque fois des formateurs sur des articulations, sur des zones. On a des contenus sur coups de poignée main hyper détaillés, avec beaucoup aussi de tableaux cliniques. qui ont été construits par Tessadiasa qui sont top. Pareil sur les pôles avec Germain et Aziz. Tout le musculo-squelettique est hyper poussé. La prise en charge du sportif est aussi hyper poussée pour les spécialistes qui naissent du sport parce qu'on a tourné à peu près 300 vidéos sur la prise en charge du sportif, que ce soit en salle de sport, sur terrain, avec des plans drone sur les phases de réathlétisation et autres. Donc ça c'est hyper poussé.

  • Speaker #1

    Tu peux dire à chaque fois avec qui, comme ça je ferai une petite vidéo.

  • Speaker #0

    Sur la prise en charge des sportifs, on a travaillé avec Flavio Bonnet de l'agence EBP, on a travaillé avec Emmanuel Attia, Pierre Poulin également, sur toute la partie réathlétisation et vidéos en extérieur. Sur la partie pelvique et lénéologie, on a travaillé avec Julie Cantournet, Aude Gastauer, Montier Rejano avec qui on a tourné, les contenus arrivent fin décembre. Donc on va encore étoffer bien évidemment ces intervenants. Le but, c'est d'avoir une vraie pluralité d'intervenants là-dessus. Ensuite, donc, Pelvi Perineo, Kiné du Sport, Céphalée, Cervical G, on a énormément de contenus. Maxilo Facial, on a quelques contenus. C'est Faller, c'est cervical disease. On a retourné les contenus nous et on va faire intervenir bientôt un nouvel intervenant là-dessus. Mais ça, c'est ce qu'on a fait en interne. En maxillofacial, ça va être tourné en début 2026. Je ne peux pas encore dire avec qui parce qu'il n'y a pas tout qui est validé sur les intervenants qu'on va avoir en maxillofacial. Voilà, il y a la pédiatrie qui va arriver aussi avec Jessica Macar. Ça, c'est tout nouveau et on va tourner en février. donc tous les contenus pédiatriques voilà un petit peu où est-ce qu'on en est sur tout ce qui est en genoux membranf et tout alors sur tout ce qui est en genoux membranf sur le genou on a travaillé avec Florent Forelli qui est un gros formateur sur le sujet on a travaillé sur la partie membranf avec Massamba Mbaye sur toute la partie cheville on a travaillé sur la partie adducteur plutôt musculaire on va dire avec Pierre Parton Poulain également. Sur le RACHI, on a travaillé avec Joshua Lavallée, l'informateur sur RACHI. Il s'appellera Chifil pour ceux qui le suivent.

  • Speaker #1

    Je vois.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'on a, les autres intervenants qu'on a pu avoir ? Ce serait dommage d'en oublier quand même.

  • Speaker #1

    En respire peut-être ?

  • Speaker #0

    En respire, on n'a pas encore trop développé cette partie-là, oui. Et ça va être aussi un des objectifs en 2026. Relativement, ça va être de tourner tous les contenus musculosquelétiques. avant d'aller s'attaquer à toutes les parties un peu plus spécifiques. En euro, on a bossé avec Laurent Fabre sur tout ce qui est nourrissage de la douleur, les neuropathies, l'éducation santé. Donc là, on a énormément de contenu avec Laurent Fabre qui sont top. Et il faut qu'on, encore une fois, il faut bien sûr qu'on enrichisse ces parties-là parce qu'il y a toujours mieux à faire. Donc là-dessus, on va continuer d'évoluer.

  • Speaker #1

    OK, on a une prochaine question. Iride Lue, quelle différence entre voir son patient une fois par semaine au cabinet et lui prescrire des exos et la programmation hebdomadaire avec formule premium ?

  • Speaker #0

    Alors en fait, effectivement, c'est pour ça que ça n'a pas été très clair, je pense, la manière dont je me suis exprimé. L'intérêt d'Andrew dans le conventionnement, parce qu'on va découper une partie conventionnée et une partie en nomenclature, dans le conventionnement, ça va être de rendre acteur le patient en dehors des séances. On le sait. Un patient qui progresse et qu'on gagne du temps dans la rééducation, une fois par semaine, la réalisation de ses exercices, ça va être un peu faible. Donc là, l'idée, c'est d'avoir un outil qui permet de l'activer et le rendre beaucoup plus observant en ayant les retours de cette observance parce qu'on peut voir tout ce qu'a fait le patient. Ça, c'est la partie prescription liée à une prise en charge conventionnée. Donc, c'est une prescription simple en listing. On n'a pas besoin de faire une évolution journalière. On a quand même des praticiens qui souhaitent, parce qu'ils voient leur patient toutes les deux semaines, par exemple, faire un programme évolutif jour après jour dans le conventionnement. tu peux le faire en se disant il peut le faire ouais tu peux tout à fait le faire si tu veux le faire dans ton fonctionnement tu peux le faire et tu peux te dire la semaine prochaine on va pas se voir par contre je vais vous mettre 4 séances sur 4 jours avec des exercices différents parce qu'on va travailler de la mobilité on va travailler de la force je dis n'importe quoi mais plutôt qu'en premium ça ça reste le truc de programmation c'est juste que c'est une fonctionnalité qui est sur notre effectivement sur notre partie sur notre formule premium effectivement Merci. L'idée de cette formule premium, c'est aussi de se dire que c'est des praticiens qui vont faire du en amonclature avec la programmation, justement. Et donc, le retour sur investissement, il va aller encore plus vite. Comme je le disais sur la formule premium avec les moins de 10% de Gwenaëlle, vous avez 188 euros de reste à charge à l'année. Donc, lorsqu'on fait des programmations en amonclature, on accompagne des patients sur des programmes mensuels à 80, 90, 100, 120 euros. En fait, l'outil est amorti en deux programmations. Donc, c'est pour ça que… C'est une formule qui permet d'aller plus loin, qui permet de valoriser justement ce suivi en enclature digitale. Donc la différence est la suivante, c'est de se dire, si je veux accompagner un patient sur une prévention de récidive de blessure, qui n'importe quoi, d'une entorse de cheville, potentiellement je vais pouvoir lui faire un programme d'un mois. Il va y avoir plein de choses, des exercices de renforcement, il va y avoir des contenus sur santé aussi, il va y avoir potentiellement de la prescription du coup. de course à pied, avec un programme de course à pied s'il a un objectif aussi de course, et bien ça, je vais pouvoir le valoriser en amontation. Mais c'est une bonne question effectivement. Ça appartient à chacun de choisir comment vous voulez utiliser l'outil et ça, c'est vous qui allez pouvoir le valoriser comme vous le souhaitez dans votre pratique pour le coup.

  • Speaker #2

    Et ça fait gagner vachement de temps parce que sur le HN, avant, il fallait tourner nos vidéos et après, trouver une plateforme LMS où tu mettais en ligne. Enfin, tu vois, ce n'était pas du tout simple. Alors que là, c'est vraiment très simple.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Et pour revenir même avant la chaîne, parce qu'il n'y a pas tout le monde qui est... qui va être prêt à faire du rendement de lecture maintenant. Et puis, on peut aussi aimer, avoir la volonté de faire que de la kinésithérapie et de rester dans la nomenclature parce que c'est ce qui nous passionne. L'objectif d'Andrew, c'est aussi de trouver une solution pour être mieux valorisé, mieux gagner sa vie en restant dans le conventionnement. Et effectivement, si j'arrive à faire 2, 3, 4 bilans en plus par semaine, l'augmentation de mon chiffre d'affaires, je vais très clairement le ressentir à la fin du mois. Et c'est ce qui fait que même sans rendement de lecture, sur la formule premium, Pour parler de celle-ci, on arrive à amortir l'outil très très vite.

  • Speaker #1

    Bon, mais chouette. On arrive au bout, je pense. Moi, c'est clair. J'ai vraiment envie de... Je pense que je vais prendre bien. Je testerai en logo quand je commence. J'espère. Il faut.

  • Speaker #0

    Il faut qu'il teste, vraiment. Tu m'enverras un message.

  • Speaker #1

    Il y a une période de test au début ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    On peut utiliser l'outil complètement gratuitement pendant 15 jours. Le but, c'est que chacun puisse mettre les mains dedans et... et aussi faire son propre avis à l'utilisation.

  • Speaker #2

    Donc là, si un client se dit « j'ai envie de me lancer » , qu'est-ce qu'il fait ?

  • Speaker #0

    Il va sur andrewapp.fr, il va avoir un bouton « tester gratuitement » . Il va pouvoir créer son compte praticien, rentrer ses informations. Il va pouvoir faire « créer mon compte » . Et ensuite, on va lui proposer de se connecter pour lancer sa période d'utilisation gratuite. Et au moment du lancement de sa période d'utilisation gratuite, il choisit la formule qu'il veut avoir à la suite. de sa période d'utilisation gratuite, en sachant qu'il peut la modifier pendant la période d'essai, il n'y a aucun problème. Et bien évidemment, quand il se lance, il faut qu'il rentre le code Gwenaëlle.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #0

    Une fois qu'il a rentré son code Gwenaëlle, il a 15 jours d'utilisation gratuite. C'est à lui de gérer son abonnement. On a tout fait pour que le praticien soit autonome. Donc, c'est lui qui lance son compte. C'est lui qui peut annuler sa période d'essai s'il ne souhaite pas continuer sa période d'essai.

  • Speaker #2

    je rigole parce que du coup c'est surtout, quand est-ce qu'il y a un visio avec vous ?

  • Speaker #0

    À chaque fois que quelqu'un se fait un compte, nous, on propose une vision pour répondre aux questions, aider dans la prise en main. On est assez innovants dans notre manière d'amener ce suivi hybride en autonomisant les patients pour revaloriser la clinique. Donc, on essaie vraiment de pousser ces idées-là en disant la solution, l'État peut nous la donner avec des outils comme ça où il donne des aides avec le télésoin. Même s'il y a des choses où on peut être en désaccord ou on a l'impression de ne pas avoir trop de solutions. Je pense que les solutions viennent de nous, de ce qu'on veut mettre en place avec nos patients. Je pense que ça peut être hyper compliqué dans plein de situations. Mais par contre, ça peut être intéressant d'essayer de mettre en place des actions comme celle-ci ou avec d'autres outils pour justement réussir à revaloriser sa pratique.

  • Speaker #1

    Marie demande si on peut résilier facilement à tout moment.

  • Speaker #0

    Sur la période d'utilisation gratuite, bien évidemment. Et en fait, sur la partie modifier mon profil, on peut... annuler sa période d'essai et comme ça on n'a pas le l'abonnement qui démarre à la suite de cette période là une fois que moi justement mais on est on est client actif et qu'on a payé une première fois sur andrew bon on peut résilier aussi en autonomie sur l'espace nous on a changé un petit peu là dessus on prend juste un petit un petit temps au visio un appel de cinq minutes avec les pros pour essayer de reprendre en fait leur retour comprendre ce qui n'a pas marché pour essayer de faire évoluer l'outil parce que c'est Ce qu'on a remarqué sur les licitations pratiques et utilisateurs, on avait plutôt les retours positifs. Et souvent, les personnes qui sont moins satisfaites donnent moins leur avis. Et donc maintenant, on essaie d'aller un peu avoir cette idée. Oui, bien sûr. Bien sûr,

  • Speaker #1

    bien. Écoute, merci beaucoup. Je pense qu'on est pas mal.

  • Speaker #2

    Oui, c'est parfait.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci pour l'invitation. On a eu un bon moment.

  • Speaker #1

    Merci d'être venue.

  • Speaker #2

    Trop chouette.

  • Speaker #1

    Merci Gwen aussi. Après le temps. Au top. Et je mettrai le replay bientôt. Oui,

  • Speaker #2

    trop bien.

  • Speaker #1

    Merci à tous ceux qui ont regardé le live et à bientôt,

  • Speaker #2

    à la prochaine A bientôt Bonne après-midi

Description

Dans cet épisode, Julien et Gwenaëlle reçoivent Ugo d'Andrew Pro, pour découvrir cette application dédiée aux kinésithérapeutes.


Andrew Pro, c'est quoi ?

Une application de prescription d'exercices en vidéo pour autonomiser les patients entre les séances. Créée par une équipe d'ostéos et kinés, Andrew Pro propose des contenus vidéo réalisés par des experts reconnus : Tessadit Aissaoui, Julie Cantournet, Aude Gastauer, Flavio Bonnet, et bien d'autres.


Ce qu'on découvre dans cet épisode :

  • Comment Andrew Pro fait gagner du temps au quotidien (prescription en moins de 30 secondes)

  • Le retour d'expérience de Gwenaëlle Quelven qui utilise l'outil depuis juillet 2024 avec un taux d'observance de 93%

  • Les fonctionnalités : prescription d'exercices, télésoin, programmation évolutive, capsules d'éducation à la santé

  • La partie Explorer avec méditation, yoga, pilates, cohérence cardiaque

  • Le suivi hybride présentiel et télésoin pour raccourcir les traitements

  • Les tarifs : formule classique à 39 euros par mois, formule premium à 59 euros par mois avec aide CPAM de 350 euros

  • Les nouveautés à venir : application mobile pour les praticiens et IA pour recommander des exercices basés sur les recommandations HAS


Pourquoi ça marche, même avec les patients âgés ?

Plus de 250 000 patients utilisent déjà Andrew, avec des taux d'utilisation très élevés chez les 55-75 ans. L'application est intuitive, esthétique, et les patients apprécient d'avoir un support vidéo pour refaire leurs exercices correctement à domicile.


Code promo : 10% de réduction la première année avec le code GWENAELLE

Essai gratuit 15 jours sur andrewapp.fr


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Julien


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Alors, tout le monde est là ? Gwen est là ? Parfait, coucou ! Ça va ? Ça va et toi ?

  • Speaker #1

    Je ne suis pas coiffée, je sors du cab, vous m'accepterez comme je suis ?

  • Speaker #0

    On accepte comme tu es. J'aime être en drôle tant que ça se fasse parce que souvent ça met 100 ans.

  • Speaker #1

    Ouais, nickel, trop bien. Moi je suis contente de te retrouver aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Et bien moi aussi, bienvenue à tous pour ce nouvel épisode de l'actu kiné de la semaine. J'ai l'impression que ça fait trois mois qu'on ne s'est pas vus. Ouais !

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    ça fait seulement un mois. J'espère que tu vas bien.

  • Speaker #1

    Oui, je vais bien. C'était ta vue hier soir, j'ai fait mon webinaire avec le SLMKR.

  • Speaker #0

    Je n'étais pas là, mais j'ai vu passer l'info.

  • Speaker #1

    Oui, donc c'était challengeant, c'était hyper intéressant, énormément de questions et puis je te ferai un petit résumé. Tu veux que je fasse maintenant, en attendant ?

  • Speaker #0

    En attendant que Andrew arrive à se connecter.

  • Speaker #1

    C'est intéressant de voir, tu sais, sur les réseaux sociaux, il y a... Pas forcément beaucoup de nuances. Il y a plein de gens hyper dans la gratitude qui nous remerciaient du webinaire, bien entendu. Mais il y avait des personnes qui étaient anti-HN et qui disaient que c'était une honte. Donc, anti-hormonclature, c'est une honte. Ça diminue l'accès aux soins. C'est une médecine à deux vitesses. Et il y en a d'autres qui étaient... Non, mais Gwenaëlle, tu as une... Enfin, Gwenaëlle et le SNNKR, vous avez une vision hyper précautionneuse. Il y a plein de choses qu'on peut passer en HN. Tu sais, par exemple... les ondes de choc, l'échographie, etc. Oui, donc tu dis que... Ah oui ? Oui,

  • Speaker #0

    ça ne marche pas. Je pense qu'il faut qu'il me... Souvent, il faut que je suive mon compte pour qu'il puisse se connecter.

  • Speaker #1

    Ah d'accord, ok. Donc Hugo, il faut que tu suives le compte de...

  • Speaker #0

    Des fois, ça bug un peu.

  • Speaker #1

    Ah oui ? Je n'avais pas cette notion-là. Ok, je peux parler deux heures, tu sais.

  • Speaker #0

    Mais du coup, je ne sais même pas si on va devoir reprendre le vis. Je crois qu'on arrête.

  • Speaker #1

    C'est fait. C'est fait,

  • Speaker #0

    oui. Parce que là... Je ne sais pas si ça fait ça. Eh bien, nickel. Parfait. Bienvenue au repos du début. Merci. Bienvenue dans ce nouvel épisode de l'actu qui est de la semaine. On est avec Gwen. Bonjour à tous.

  • Speaker #1

    La pro du HN.

  • Speaker #0

    La pro du HN. Et il y a un truc qui nous expliquait, c'est avant qu'on lance ça, tu as fait une soirée d'explications HN avec le SNM, KS. Et du coup, bienvenue Hugo d'Andrew. On s'était croisés à Rééducat.

  • Speaker #2

    Tout à fait. Merci pour l'invitation bonjour à tous des petits problèmes techniques pour rejoindre c'est bizarre pourtant je te suivais bien on n'arrivait pas à rejoindre on a habitué ça va ça ne nous choque pas trop donc

  • Speaker #1

    voilà c'était intéressant hier de voir que la nuance sur les réseaux sociaux n'est pas partout et puis de voir c'est dur pour notre profession en ce moment et donc Merci. C'est pour ça que c'est intéressant. Aujourd'hui, on va parler de l'application Andro. Et moi, c'est une application qui m'aura bien facilité la vie depuis juillet. Et c'est pour ça qu'on a été intéressés pour que Hugo, tu viennes nous présenter tout ça.

  • Speaker #0

    Yes. Robert, est-ce que tu veux te présenter peut-être à ceux qui ne te connaissent pas ?

  • Speaker #2

    Vraiment, je vais commencer par me présenter. Et pour rebondir sur ce qu'a dit Gwenaëlle, effectivement, on partage... pas mal de choses sur ce qu'on essaye d'amener dans notre vision de la kiné pour essayer de trouver des solutions à ce modèle économique d'une part, pour revaloriser la prise en charge en kinésithérapie. Donc c'est vrai qu'on a beaucoup de synergies, ce qui nous a amené à pas mal collaborer ensemble. Pour me présenter assez rapidement, moi je m'appelle Hugo Loison, je travaille sur le projet Androu, qui n'est pas un projet, maintenant c'est concret, sur l'outil Androu depuis maintenant un peu plus de deux ans. Et... On a construit un logiciel et une application pour les patients de suivi, de consultation, afin de les rendre acteurs de leur prise en charge en dehors du cabinet. L'objectif était réellement de pousser à l'autonomisation patient. Et là-dessus, je pense qu'on ne va rien apprendre à personne. Plus le patient est autonome et a peut-être sa prise en charge, plus on va avoir des résultats intéressants dans notre rééducation.

  • Speaker #0

    Ça a été créé par... Vous êtes ostéo, c'est ça du coup ? Until still.

  • Speaker #2

    Alors en fait, moi je suis ostéopathe de formation. Ce qui est assez marrant, c'est que dans l'équipe, relativement, il y a des kinés et des ostéos. On a commencé en fait, si vous voulez, avec Andrew, par essayer de trouver une solution pour sortir un peu du passif unique chez les ostéos. Le but n'était pas de faire un outil de rééducation, mais un outil qui poussait les patients à bouger, tout simplement. Et donc ça, ça vient de la construction de mon associé Daniel, qui avait fait une page. à la base Instagram pour ces patients qui a fini par avoir un peu plus de portée, où l'objectif était, je vais vous donner plein de tips pour bouger tous les jours, pour être acteur. Et en fait, ça a très bien pris avec ces patients. Il s'est dit, mais il faut qu'on arrive à l'implémenter pour lutter contre la sédentarité, qui est un enjeu de santé publique majeur aujourd'hui en France. Donc ça, c'était le début, on va dire, de la construction du projet. Et au final, très vite, ça nous a amené vers la kinésithérapie. Et donc, la rééducation, et là, on a implémenté dans notre équipe des experts qui venaient pour plein de prises en charge pour aller construire l'outil avec eux, qui avaient beaucoup plus de légitimité et de pertinence que nous pour construire cet outil.

  • Speaker #0

    Et c'est ça un peu le challenge. C'est vrai qu'il existe déjà, pas très utilisé, mais des applications pour se motiver à faire des exos ou alors même des chaînes YouTube pour le faire et tout. Et moi, ce qui m'attire en tant que kiné, mais je pense que même aussi en tant que, si j'étais patient, c'est le fait que vous avez autant collaboré avec des kinés ou des professionnels de santé qui sont experts dans leur domaine. Et moi, c'est ça qui m'attire surtout en tant que kiné, c'est d'avoir des exos qui sont faits par des kinés doués.

  • Speaker #1

    Si je donne l'exemple dans mon domaine, c'est Julie Cantournet et Aude Gauster. Je ne sais pas comment on dit. Aude Gauster ? Je ne sais pas. Gauster. Gauster. Qui font... Et puis maintenant, il y a Montsé. Ça va être à partir de quand ? Donc en fait, nous, vraiment, moi, c'est génial. C'est les experts. C'est les personnes en qui j'ai confiance. C'est des nouveaux exercices. C'est les exercices aussi que je donne. C'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui. Pareil, moi, pour la main, j'ai cru voir qu'il y avait Tessa. qui faisait des saldites, qui fait des vidéos. Mon seul regret, c'est qu'il n'y a pas de moyenne. Je ne crois pas.

  • Speaker #1

    Oh non, mais quelle lèche-botte. Non mais, moi, je n'ai rien à dire. Ça viendra, ça viendra.

  • Speaker #0

    Des petites capsules HL ?

  • Speaker #1

    Ça viendra, ça viendra. On y travaille, on est à fond. On est au taquet.

  • Speaker #2

    Carrément. Effectivement, l'enjeu était de construire cette équipe pluri-praticien, pluri-formateur en fait, parce que chaque professionnel avec qui on a travaillé est formateur. On a eu la chance de collaborer avec des sociétés savantes aussi, d'avoir échangé avec différents acteurs. On a pu échanger pour reprendre. En McKenzie, par exemple, on a échangé beaucoup et on collabore avec la Clinique du Coureur, avec l'agence EBP, pour des gros organismes de formation. Mais on a eu la chance d'aller aussi échanger avec des sociétés savantes, pour reprendre l'exemple de la Pelvi Perineo. On a pas mal échangé avec la FREP, avec différentes personnes, pour essayer de construire un outil qui est pertinent.

  • Speaker #0

    Ok. Et d'ailleurs, on va quand même dire à ceux qui nous regardent, et merci à ceux qui sont là, de ne pas hésiter à poser des questions sur Andrew Pro. Bien sûr, on y répondra au fur et à mesure.

  • Speaker #2

    Trop bien.

  • Speaker #0

    Donc, en gros, logiciel pour donner des ailes-saut, sous forme de vidéo, si j'ai bien compris. Comment ça s'articule ? Parce que moi, ma peur, ça serait, est-ce que je ne vais pas perdre du temps ? Enfin, perdre du temps, c'est bien sûr qu'il y a un énorme intérêt avec les patients et de l'autonomie et des exos et des supports. Mais est-ce que ça prend beaucoup de temps pour le mettre en place, pour donner les liens, etc. ? Ça, moi, mes freins.

  • Speaker #2

    Effectivement, l'enjeu, c'est de construire un outil qui est pertinent pour la prise en charge de nos patients, tout en ayant le côté où l'enjeu primordial est aussi de faire gagner du temps à nos praticiens. parce que on a un intérêt double, on va s'adresser et aux praticiens et aux patients. D'une part, nous, ce qu'on a voulu faire dans notre outil, contrairement à d'autres logiciels de prescription d'exercice, ou comme tu disais, suivre des vidéos YouTube ou des chaînes YouTube qui t'aident à bouger, déjà, nous, on a une volonté d'avoir un praticien prescripteur. C'est lui qui va mettre en avant les conseils de prescription d'exercice et autres après une séance. Le but, c'est que ça soit très rapide, encore une fois. Et au-delà de la partie mécanique et de la prescription d'exercice en vidéo, nous, on a voulu aller un petit peu plus loin. et accompagner les patients sur les aspects contextuels. Encore une fois, je n'ai rien à prendre à personne, mais les aspects contextuels, c'est capital dans nos prises en charge aujourd'hui, que ce soit l'éducation santé, mais aussi les facteurs modulateurs des symptomatologies comme le stress, l'anxiété, le sommeil, la sédentarité.

  • Speaker #0

    Donc il y a des vidéos d'éducation thérapeutique en fait, c'est ça ?

  • Speaker #1

    L'éducation à la santé, s'il te plaît, c'est moi qui ai fait changer de terme, éducation à la santé. L'éducation thérapeutique du patient, c'est des programmes pluridisciplinaires payés par l'ARS. Des conseils d'hygiène de vie.

  • Speaker #0

    C'est ça. On s'est compris.

  • Speaker #2

    On s'est compris. Attention avec Benahel, elle est un peu pénible sur les termes.

  • Speaker #0

    Elle est chiant.

  • Speaker #1

    J'assume d'être pénible. Bon, par contre, excuse-moi, mais Ego, tu sais, je t'avais prévenu, tu n'as pas répondu à la question de Julien. Donc, ça ne prend pas de temps. Je vais faire un retour d'expérience. Ça ne prend pas de temps parce qu'en plus, ils ont rajouté dernièrement des nouveaux outils. En fait, Tu fais glisser les exercices. Déjà, c'est hyper facile du côté kiné. Tu es sur ton ordi. Tu fais glisser les exercices. Tu changes le nombre de répétitions. Il y a plein de filtres. Tu peux choisir par formateur, par style d'exercice. Et maintenant, depuis deux semaines, ils ont mis, par exemple, l'ombalgie aiguë, phase 1. Et là, tu as six exercices qui se mettent. Et là, tu changes. Et en fait, ils n'arrêtent pas de modifier. Andrew, j'ai l'impression qu'il modifie chaque semaine en nous faisant gagner de plus en plus de temps. Et donc, ça ne prend vraiment pas de temps. Et moi... Je vais juste dire...

  • Speaker #0

    En gros, là, je finis ma séance. J'ai donné des exos à mon patient. Je veux... Ça serait pour des exos en plus ou les mêmes, du coup ?

  • Speaker #1

    Moi, les mêmes. Moi, en tout cas, je... Oui, les mêmes. En fait, au lieu de donner une fiche papier qu'ils vont perdre, en remboursable, tu peux leur donner des exercices ou tu peux aller plus loin et faire une programmation avec vraiment plein d'exercices différents. Et en fait, ce que disait Hugo, qui est intéressant... c'est que tu peux rajouter des conseils d'éducation à la santé, avec soit des vidéos, soit des audios aussi, Hugo ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    Dans l'éducation à la santé, c'est des vidéos, et ensuite sur les facteurs modulateurs de la symptomatologie, c'est vidéos et audios. En fait, pourquoi je ne répondais pas à la question, et tu fais bien de me couper, Gonnay, je ne répondais pas à la question parce que cette question est hyper intéressante quand on construit ce genre d'outils. Les pros veulent toujours plus de fonctionnalités, toujours plus de contenu, complexifier toujours plus l'outil. Mais il ne faut pas oublier que l'aspect primordial, c'est le gain de temps. Donc nous, on a tout fait pour personnaliser l'expérience d'utilisation. Il y a une infinité de contenus et de possibilités d'utilisation d'Androo. Et tu peux t'en servir comme tu le souhaites et surtout t'en servir adapté au patient pour avoir une réelle prise en charge patient-centrée. Donc tout va très vite. La prescription peut durer moins de 30 secondes. Ça, c'est vraiment notre enjeu.

  • Speaker #0

    Il faut quand même faire le dossier. Moi, je suis au bilan,

  • Speaker #1

    tu vois. Je suis au bilan. Et au départ, tu vois, je me disais que ça ne va être que pour mes patientes jeunes. Et en fait, pas du tout. Ce que je fais, c'est que je demande aux patientes. Et là, moi, j'ai inscrit deux patientes ces derniers jours de plus de 70 ans. Et ce matin, je l'en ai fait avec une patiente de 70 ans. Et elle a son smartphone. Et je l'aide à le faire. Mais elles sont vachement douées quand même. Je trouve ça impressionnant. Elles ont déjà leur mail et tout. Et je leur demande, en fait, je dis... Est-ce que vous avez un smartphone ? Est-ce que vous êtes assez doué avec votre téléphone ? Et tu vois, elles aiment bien dire oui, oui, oui. Et en fait, moi, j'ai un très bon taux de suivi, d'observance. Et je fais au bilan, mais ça prend cinq minutes.

  • Speaker #0

    Ok,

  • Speaker #1

    d'accord. Tu vois, après le dossier, tu sais, on l'avait fait ensemble, Julien. C'est même toi qui m'avais montré. Mais tu n'as pas besoin de mettre la date de l'hôtel. Et ça prend vraiment cinq minutes.

  • Speaker #0

    D'accord, très bien.

  • Speaker #2

    L'idée, c'est qu'on rentre l'adresse e-mail, nom, prénom, date de naissance. Et c'est terminé. Le patient est ajouté et reçoit ses accès, donc ça va très vite.

  • Speaker #0

    Et donc, ils peuvent suivre ça sur le téléphone aussi, surtout sur le téléphone aussi, d'accord ? Et ils ont un lien de connexion qu'on leur envoie, en gros, c'est ça ? Lorsqu'on ajoute le mail,

  • Speaker #2

    c'est ça. Il y a deux possibilités. On a des petits QR codes, des affiches dans le cas du nez, où le patient peut tout simplement scanner le QR code pour télécharger l'application. Mais il reçoit aussi un mail avec ses identifiants et le lien de téléchargement de l'application.

  • Speaker #0

    Ok. Et donc, on lui a prescrit. Donc là, j'ai fini. Je lui ai prescrit les exos. Il va les recevoir en mail ? Enfin, un rappel de... Je ne sais pas. Alors, en fait,

  • Speaker #2

    il y a différentes choses. Donc, on reçoit le mail qui permet d'accéder à son espace. Une fois qu'on a téléchargé l'application, ça devient notre petit compagnon d'accompagnement santé. C'est ce qui est hyper intéressant. Et c'est notre fil d'Ariane avec le praticien. Ça permet de maintenir le lien patient-thérapeute en dehors du cabinet. Le patient, lui, va avoir son espace de suivi avec toute sa prescription d'exercice, le conseil d'éducation santé et autres. Et nous, on peut paramétrer des notifications, effectivement. On sait à quel point l'observance, c'est un enjeu assez compliqué dans un système de santé où les patients ont plutôt l'habitude d'être passifs sur leur manière d'aborder le soin. Nous, on a mis en place des notifications de rappel que le patient peut se paramétrer, que nous, on peut faire avec le patient. Il reçoit une petite alerte comme un petit message, une notification sur son téléphone. qui va l'inviter à aller mettre en place les conseils.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Je vais redonner mes astuces.

  • Speaker #2

    Vas-y.

  • Speaker #1

    Du coup, moi, je leur dis, parce que je ne sais pas si vous savez, mais dans notre sphère, nous, avant, il y avait des applications, mais c'était aux patients de payer un abonnement. Donc, du coup, là, je dis directement aux personnes, est-ce que vous êtes OK, je vous inscris sur une application, mais c'est moi qui vous l'offre, c'est moi qui paye. Et du coup, tu vois, déjà, c'est bon, ils ne vont rien avoir à payer, parce qu'application, des fois, ça peut dire un peu payant. Et après, je leur montre, attention. Bon, déjà, je mets la notification. En gros, tous mes patients doivent faire leurs exercices à 10 heures. Et je leur montre, ne me faites pas chuter mon taux d'observance. Là, je dois être à 93 %. Et je montre, vous voyez, les autres patients, ils ont fait, vous voyez, et je montre mon taux.

  • Speaker #0

    Et voilà.

  • Speaker #1

    Et ça les motive trop. Ça les motive trop. C'est ludique. C'est hyper ludique. C'est sympa.

  • Speaker #2

    C'est un peu ce qu'on appelle gainifier l'expérience du patient. Mettre des challenges. Il y a des choses qui peuvent marcher. en disant, regarde, tous ces patients-là qui sont actifs, il faut trouver ce qui va fonctionner avec le patient, parce que c'est toujours le discours du praticien qui est primordial pour réussir à l'endroit acteur. Ça, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Et toi, Gwen, tu fais par exemple faire telle série d'exercices tous les jours ?

  • Speaker #1

    Oui, alors moi, il y a plusieurs choses. Si c'est une patiente plutôt âgée, je lui donne juste 3-4 exercices que je rechange toutes les semaines. Si c'est une patiente plutôt en rééducation périnéale, jeune, j'ai créé plusieurs programmes d'abdos, qui s'appellent, tu vois, abdos 1, abdos avancés, abdos été, tout ça. Et je leur redonne. Et là, il y a des exercices tous les jours. Elles font comme elles veulent. Mais moi, ça a vachement bien marché parce que ça ne prend que 10 minutes. Et il y a tout type, en fait. Il y a soit moi qui ai mis 5 exercices avec le nombre de répétitions. Soit, ce qui est génial, il y a des séances de renfots. haut du corps, bas du corps, pilates, yoga et tout. Et pareil, sur le pilates, c'est par exemple Marie de Pilates et moi qui a fait. Donc, c'est des personnes référentes pour nous, tu vois. C'est super fait. Donc, voilà, soit elles ont leur programme tous les jours et je leur dis que vous faites au plus possible comme vous pouvez. Et après, sur des patientes douloureuses, là, c'est encore autre chose. C'est des exercices qui évoluent au fur et à mesure.

  • Speaker #0

    Et donc, du coup, je suppose qu'après, tu réactualises le traitement. À la prochaine séance, en gros, tu refais le point et tu réactualises le plan.

  • Speaker #1

    À chaque début de séance, je demande, est-ce que vous avez réussi à faire vos exercices ? S'ils n'ont pas réussi, comme avec une fiche, on va dire, est-ce que c'était assez dur ? Ce n'était pas assez dur ? Ou est-ce que vous vous êtes trompé ? Et à la messagerie, l'autre jour, on m'a dit, mais Gunnel, vous venez de me remettre le même programme. Bien sûr, j'ai remodifié direct.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #2

    Après l'idée c'est aussi ce qui va amener je fais une petite transition, peut-être que vous ne voulez pas aller là-dessus tout de suite, mais c'est ce qui va amener nous ce qu'on pousse un peu dans le suivi hybride avec le télésoin et un peu cette phrase toute faite mais que je trouve hyper intéressante, pourquoi faire faire au patient au cabinet ce qu'il pourrait faire à la maison effectivement, rendre acteur le patient sur la partie exercice il peut y avoir des fois aussi, on n'a pas besoin de le faire revenir au cabinet je pense qu'on l'a tous vécu quand j'échange avec les... 1500 praticiens qui se disent « Andrew, tout le monde l'a vécu, de faire revenir des fois un peu trop tôt un patient, en ayant passé les séances, il y aurait pu avoir plus de progrès là-dessus. » Là, le télésoin est hyper intéressant. Le but n'est pas de remplacer le présentiel, mais une fois sur quatre, une fois sur cinq, de se dire « la semaine prochaine, on se voit en visio. » Vous avez votre challenge d'être hyper actif sur l'application. Plus vous allez mettre en place ces exercices, plus on va progresser. Et on se fait un point en visio pour faire évoluer cette programmation pour la semaine encore d'après, où on se verra en présentiel. Et là, on aura un impact dans la séance présentielle, où on va vraiment... pouvoir prendre le temps et pousser encore plus les choses.

  • Speaker #1

    Et c'est vraiment ça, c'est de leur dire qu'il faut qu'il y ait eu un bon progrès. Parce que tu vois, s'ils me redisent qu'ils ne vont pas du tout faire leurs exercices, on essaie de voir pourquoi. Et j'explique qu'avec Andrew, hop, il y aura vraiment un progrès et c'est trop bien.

  • Speaker #0

    Oui, puis au final, le téléphone, si c'est pour faire le point sur l'évolution, des fois, ça dure moins longtemps qu'une séance classique. Mais effectivement, au final, c'est peut-être un gain de temps. Ok, chouette. Avec ce suivi hybride, le fait d'espacer les séances de suivi, d'autonomiser à fond les patients,

  • Speaker #2

    on gagne du temps quand on les voit, on gagne du temps en les voyant peut-être moins au cabinet, on s'y perd du temps pour augmenter l'accessibilité aux soins. Prendre des nouveaux patients qui sont des fois en attente de prise en charge, il y a toutes ces notions qui sont intéressantes.

  • Speaker #1

    Exactement. Moi, c'est ce qui s'est passé cet été. En août, je n'ai pas travaillé parce que je n'ai pas trouvé de remplaçant, etc. Et du coup, en septembre, normalement, ce qui aurait dû se passer, c'est tout le monde a lâché ses exercices Et je dois reprendre un peu, tu vois, à zéro. Et là, le fait d'avoir Andrew en sept ans, ça a donné plein de fins de traitement. Et c'est... Alors oui, on va dire que je suis partenaire. Il y a une collaboration commerciale qui vient à un lien d'affiliation avec Andrew. Mais là, je pense que vous me connaissez. Je suis assez franche. Et si je vous dis quelque chose, c'est que je le pense. Et clairement, ça m'a donné plein de fins de traitement. Ils m'ont dit non, là, c'est bon. Je vais continuer Andrew. Je me sens solide. Je vais continuer avec l'appli. Et nickel, quoi. Et donc, moi, j'ai vu... mais le traitement se raccourcisse vraiment bien.

  • Speaker #0

    Et donc,

  • Speaker #1

    je le compte du nouveau bilan.

  • Speaker #0

    Ok, ben oui, c'est ça. Et qui dit nouveau bilan, dit plus 25.

  • Speaker #1

    Ben voilà, c'est ça. Exactement.

  • Speaker #0

    Ça, c'est une notion d'optimisation du temps avec le taux qui deviendra plus intéressant.

  • Speaker #2

    On a des vrais enjeux en kinésithérapie de rémunération. Là, ça peut être une des réponses.

  • Speaker #1

    Oui, et de rémunération et d'accès aux soins. Parce qu'hier, on m'a dit... Mais Gwenaëlle, en développant le hors nomenclature, tu donnes moins d'accès aux soins remboursables. Et c'est hyper intéressant parce que pour moi, augmenter l'accès aux soins remboursables, ce n'est pas parce que j'ai été faire trois heures de HN dans la semaine que j'ai diminué mon accès aux soins. Et comment augmenter mon accès aux soins ? C'est pour moi l'autonomisation des patients, la bonne observance, la réorientation vers d'autres professionnels, par exemple de la santé mentale si nécessaire. C'est fou parce que moi, si les gens voulaient me lancer sur comment augmenter l'accès aux soins, j'ai été présidente de CPTS, on peut y aller. Je suis au taquet là-dessus. Et ce n'est pas ça. Il faut autonomiser vos patients chroniques. Il y a un moment, il faut voir, il faut refaire un nouveau bilan intermédiaire, peut-être un bilan final, une fenêtre thérapeutique, autonomiser vos patients, les réorienter vers d'autres pros. Il y a des choses à faire, mais vous n'êtes pas censé voir 1000 ans vos patients.

  • Speaker #0

    Et après, moi, un de mes freins, c'est vrai que les personnes âgées, parce qu'on en a beaucoup au final, de plus dans les 80 et tout, c'est pas non plus 100% d'impatientelles, mais tu as eu des retours en mode, j'arrive pas, c'est trop compliqué, ou en mode, j'aime pas trop faire ça toute seule, ou quoi ?

  • Speaker #2

    Non, elles sont trop fières. Elles sont hyper fières.

  • Speaker #1

    Mais parce qu'il y a un contexte, c'est que moi, j'emmène... Déjà, je suis contente. Dès qu'on part aux autres, je vous préviens, les autres patientes font bien. Et moi, ma patientelle est vraiment âgée. Tu regardes mon snir parce que j'ai beaucoup en rééducation périnéale pour des fuites urinaires chez la personne âgée. On voit hyper périnatalité, sport et tout ça. J'habite au fin fond de la Bretagne et vraiment ça, je peux le dire, j'étais hyper étonnée. Mais que ce soit sur Doctolib ou sur Andrew, à quel point les personnes âgées ont leur smartphone maintenant et elles sont vraiment douées.

  • Speaker #0

    Tu n'as pas eu des retours en mode, vous me dites de le faire chez moi, vous me lâchez, en mode, vous ne vous occupez pas de moi, des trucs comme ça ?

  • Speaker #1

    Non, parce que je continue à les voir une fois par semaine, moi, quand même. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, je ne les ai pas lâchés. C'est complémentaire. Ah oui, oui, oui. Une fois par semaine ou une fois tous les 15 jours, ça dépend si elles ont été réactives sur leur prise de rendez-vous. Et du coup, ça a juste augmenté le temps de qualité de soins avec… mes patientes en direct parce que les exercices, ils sont acquis beaucoup plus vite parce que je les montre une première fois lors du bilan, les premiers exercices. Et après, elles ont des vidéos explicatives. Et pour moi, c'est quand même la différence de Andrew par rapport au premier outil que j'avais utilisé. C'est que la vidéo réexplique l'exercice à chaque fois. Si elles veulent, elles peuvent aller repliquer. Après, il y a la vidéo de démonstration. Donc du coup, en fait, les exercices, elles les ont en tête beaucoup plus vite.

  • Speaker #0

    Oui. Moi, c'est bon,

  • Speaker #1

    je peux rentrer dans l'équipe d'Andrew C'est bon là, j'ai mon contrat à la fin,

  • Speaker #2

    non ? Tu commences à bien maîtriser le sujet, mais justement, il faudrait que tu sois... Des fois, on peut presque se dire, tu fais bien de faire des discrétifs, que tu vends presque trop bien. Ouais,

  • Speaker #1

    Hugo, il dit que j'en fais trop, mais de toute façon, c'est pas grave, les gens connaissent ma personnalité. Oui, c'est clair.

  • Speaker #0

    Du coup, t'as un caractère intéressant.

  • Speaker #2

    Ouais, je sais pas si tu voulais... Enfin, Julien, si tu voulais... que je donne aussi mon avis sur le côté personnes âgées, c'est une question hyper intéressante, très pertinente, parce qu'on l'a énormément en fait, c'est assez constant. Et c'est assez rigolo parce qu'il y a cette notion aussi où on a tendance à voir les freins très vite, lorsqu'il y a une innovation, lorsqu'on apporte quelque chose de nouveau. Et moi, je trouve ça toujours très marrant de mettre un peu en perspective, et après je donnerai ma réponse et ma vision sur les personnes âgées, ce côté où j'ai beaucoup de personnes qui me posent cette question, et quand je creuse un petit peu, ils disent... Ah ouais, effectivement, j'ai peut-être 10% de ma patientèle qui a plus de 75-80 ans. Enfin, je ne sais pas non plus les normes. Après, il y a des praticiens qui sont spécialisés en gériatrie. Un praticien qui ne fait que de l'EPAD toute la semaine. Effectivement, je vais lui dire, ça, ce n'est pas adapté pour toi si tu vois uniquement des personnes qui ont plus de 80 ans. Mais c'est là où tu te rends compte qu'il y a quand même une vision et un prisme tout de suite d'aller chercher le négatif de... Ah ouais, mais les personnes âgées... Non, non, non, moi,

  • Speaker #0

    je m'anticipe. Non, je viens à toi, pas toi.

  • Speaker #2

    pas du tout non pas du tout non on parle pas de toi on parle pas de toi non mais je sais mais et même si c'est un prix quoi les gens vont pas se lancer dans une application c'est aussi légitime d'avoir des des appris au gris des choses comme ça ouais ouais ouais mais c'est tout à fait légitime mais c'est hyper intéressant mais donc très souvent on se rend compte déjà que bah effectivement le pourcentage de la patientèle est pas forcément très élevé sur les plus de 80 nous on a des chiffres qui sont hyper intéressants parce que donner mon avis au doigt mouillé sur ma vision, je me suis dit que je ne pouvais pas me faire enlever je pense que ça n'intéresse pas forcément les personnes qui nous écoutent. Par contre, donner les retours d'utilisation des 250 000 patients qu'on a aujourd'hui sur Andrew, on a même dépassé les 250 000 patients. Et quand on voit effectivement que les plus gros utilisateurs, ça va être les 55-65, qu'on a les taux d'utilisation qui sont dans les charnières les plus hautes jusqu'à 70 ans. Et ensuite, des taux d'utilisation hyper intéressants jusqu'à 75 et même 80. En fait, c'est aussi de la réponse statistique parce qu'on commence à avoir on va dire un panier de patients qui est représentatif. Quand on parle effectivement de plus de 250 000 patients, on peut dire que ça commence à être représentatif. Et là, pour le coup, on voit qu'il y a des taux d'utilisation qui sont hyper élevés.

  • Speaker #0

    Les taux d'utilisation sont à plus de 60-65 dans les 250 000 patients.

  • Speaker #2

    Alors là, je pourrais te les ressortir, et ça serait intéressant peut-être sur des rediffusions de le mettre en avant, parce que je n'ai pas envie de te dire un chiffre complètement débile. Je sais que ça représentait, quand on avait sorti ces chiffres-là, parce que ça nous intéressait il y a maintenant un peu plus de six mois, je crois que c'était entre 15 et 20 000 personnes dans la tranche 55-65 pour donner un ordre d'idée juste de cette tranche-là. Et du coup, c'était une des tranches les plus utilisatrices. Et je pense qu'encore aujourd'hui, c'est les plus gros utilisateurs. Parce que c'est des personnes aussi qui ont pris conscience que 30 soins en 2, être acteur de leur santé, ça allait être destiné dans leur bien-être. Donc ça, c'est aussi une verticale qui est intéressante chez ce public-là.

  • Speaker #0

    Ok. Moi, ce qui m'avait trop plu au salon Rééducat sur vos fonctionnalités, alors après, je ne sais pas si c'était pour moi ou pour les patients, mais c'était les vidéos Pilates, Yoga.

  • Speaker #1

    J'en ai.

  • Speaker #2

    et il y avait de la méditation aussi et de la sauf d'hypnothérapie il y a des contenus qui s'appellent micro-voyages aussi c'est des petites évations un petit peu de détente mais en fait c'est exactement ça c'est les contenus sur les facteurs modulateurs de la douleur je pense que tous les praticiens aujourd'hui ou la plupart intègrent un petit peu ça dans leur discours auprès de leurs patients en disant qu'effectivement nos recherches de la douleur nous ont appris qu'il n'y avait pas uniquement la partie mécanique qui rentrait en jeu dans les symptomatologies Merci. pas de la douleur, mais des symptomatologies de manière générale, parce que ça vient fluctuer aussi, des fois des symptomatologies plus physiologiques. Pour le coup, on n'a pas toujours eu les outils pour accompagner le patient, pour pouvoir bosser là-dessus. Donc c'est pour ça que nous, on a fait toute cette partie-là qu'on a appelée Explorer, et qui est en fait des contenus sur le contexte. Comment on accompagne notre patient sur le contexte ? Est-ce qu'on a le temps au cabinet de l'accompagner là-dessus ? Pas toujours, on va s'occuper beaucoup du mécanique. par contre on ouvre sur tous ces facteurs-là de contexte. Et je pense que ça peut être hyper intéressant de donner un outil pour que les patients, de leur côté, jouent sur leur sédentarité, jouent sur leur stress, sur leur anxiété, sur leur sommeil. Parce que toutes les capsules sur le sommeil aussi sont assez intéressantes.

  • Speaker #1

    Je ne suis plus parlée du tout maintenant. Mais du coup, pour vous dire, le truc est d'explorer. Elles adorent mes patientes. Mais en plus, l'application est vraiment très esthétique. C'est très joli. Et du coup, je trouve ça super important. Et une fois que la rééducation s'arrête, moi, je laisse quand même l'accès. Et elles adorent d'avoir tout. Moi, je dis explorer. Je ne crois pas dire explorer. Elles vont dans la partie explorer. Et il y a vraiment beaucoup de choses. Et c'est incroyable. Et moi, je n'ai pas encore utilisé tout. Comme tu disais, il y a beaucoup de fonctionnalités. Et Hugo, il y a un truc dont tu n'as pas parlé. Moi, je n'ai pas encore regardé. Mais est-ce que, par exemple, Tessa... Elle a fait des vidéos pour nous, nous expliquer des choses en tant que kiné, non ? Oui,

  • Speaker #2

    tout à fait. En fait, sur cette partie-là, pour clôturer ces contenus, tous les outils cohérence cardiaque et autres sont présents sur l'outil et ça permet d'avoir une bibliothèque santé pour le patient et ça devient vraiment son compagnon. Et là, c'est très joli, très esthétique, ça rejoint le côté ludique, expérience un peu gamifiée, ça te donne envie de passer du temps sur l'outil. Pour ce qui est des capsules éducatives à destination des patients, on en a déjà parlé, mais tous les formateurs avec qui on a bossé ont également fait des capsules qu'on a appelées micro-learning, parce que ce n'est pas des e-learning qui vont durer 20, 30, 40 minutes, mais micro-learning qui durent entre 3, 4, 5, 6 minutes et qui vont venir tout simplement détailler une symptomatologie, une pathologie. aussi des notions sur du post-opératoire, des notions sur les croyances limitantes, des notions en thérapie comportementale et cognitive, comment déconstruire des croyances limitantes chez nos patients. C'est hyper compliqué. Effectivement, la plupart du temps, il faut se former pour réussir réellement à être bon dans l'échange avec le patient. Mais nous, on a implémenté toutes ces capsules-là et aujourd'hui, on a... une soixantaine de capsules qui ont été réalisées par tous ces formateurs, Flavio Bonnet, Estadio Assaoui. On a travaillé en Pellevipérineo aussi, donc c'est hyper intéressant.

  • Speaker #0

    Trop bien, c'est chouette. Est-ce qu'on peut parler du prix ?

  • Speaker #2

    Oui, tout à fait. En termes de tarification, nous, on va avoir plusieurs formules parce qu'on a réellement deux formules et ensuite, on a à chaque fois deux périodicités de facturation. parce qu'on peut choisir d'être en mensuel pour notre abonnement ou en annuel. La grosse différence entre les deux, ça va être le prix final parce que lorsqu'on a une facturation annuelle, ça revient à moins cher. Mais pour parler des deux formules principales, on a une formule qu'on appelle classique où on va avoir toutes les fonctionnalités de prescription d'exercice en vidéo, l'accès aux capsules d'éducation santé et au contenu justement exploré sur les contextes. Et ensuite, sur cette formule-là, pour l'instant, on a laissé en bêta la version Andrew Coach, qui est notre outil de programmation et qui permet justement de faire des suivis en nomenclature avec Andrew.

  • Speaker #0

    Mais ça, ça va bientôt disparaître et ça sera uniquement sur la formule premium, qui est la formule avec toutes les fonctionnalités d'Andrew, la téléconsultation, la partie Andrew Coach, donc programmation, et bien sûr la prescription d'exercice et autres.

  • Speaker #1

    Je n'ai pas compris là, Andrew Coach, ça m'a perdu.

  • Speaker #0

    Pardon, c'est vrai que ce n'est pas hyper clair. On a sorti une nouvelle fonctionnalité qui permet au lieu de juste faire de la prescription d'exercice, donc la prescription d'exercice simple, j'envoie trois exercices à mon patient. de faire de la planification évolutive jour après jour, semaine après semaine.

  • Speaker #1

    Je pensais qu'on pouvait le faire de base, d'accord.

  • Speaker #0

    Ça non, c'est récent, on l'a sorti en juillet. Donc en fait, on l'a implémenté 6-7 mois après le lancement d'Androkiné. Et donc ça, ça appartiendra uniquement à la formule un peu plus premium. Donc la formule classique est à 39 euros par mois et la formule un peu plus poussée avec le télésoin... Et Andrew Coach, donc la planification hebdomadaire, est à 59 euros par mois. Ce qui est intéressant dans cette formule avec le télésoin, c'est qu'on a une aide de l'État de 350 euros. Donc en fait, on a un outil agréé et la CPM nous verse 350 euros pour l'utilisation d'Andrew et c'est du déclaratif. Il y a juste à présenter une facture de l'outil Andrew dans le famille. Beaucoup de personnes la confondent avec l'aide à la télétransmission et c'est une nouvelle aide qui est complètement indépendante. et qui vient d'arriver depuis 2024, qui s'appelle l'aide pour un outil de télessoin.

  • Speaker #1

    D'accord.

  • Speaker #0

    Et donc, il y a 350 euros de versement sous présentation, juste de justificatif d'un outil agréé comme Androco.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #0

    Et c'est ce qui fait que sur la formule mensuelle, ça fait 29 euros par mois de reste à charge pour le kiné. Ou si on prend en annuel, ça fait 19 euros de reste à charge mensuel. Donc, ça permet de l'amortir assez vite.

  • Speaker #1

    Et là, tu as donné le prix avec le famille, du coup.

  • Speaker #0

    Dans un deuxième temps, oui. Le prix sans famille, c'est 59 euros. Une fois qu'on a reçu l'aide famille, c'est 29 euros en mensuel ou 19,90 euros. Oui, c'est ça.

  • Speaker #1

    C'est bon, j'ai compris. D'accord. Ok, chouette.

  • Speaker #0

    C'est la plus importante.

  • Speaker #1

    Il y a quelqu'un qui veut participer ? Il y a une autre Gwen qui veut participer.

  • Speaker #2

    Non, c'est Gwen. C'est une collègue d'ici, mais ce n'est pas exprès. Gwen ne veut pas participer, je pense.

  • Speaker #1

    Elle veut peut-être prendre la parole.

  • Speaker #2

    Non, c'est des questions qu'elle va me poser, mais non, je ne pense pas. Mais écoute,

  • Speaker #1

    ça a l'air de partenariat, non ? Oui,

  • Speaker #2

    il faut mettre le code Gwenaëlle. Et on a combien de réductions avec Gwenaëlle ?

  • Speaker #0

    Avec le code Gwenaëlle, effectivement, on a 10% sur la première année. C'est hyper intéressant sur la formule annuelle parce qu'effectivement, vous allez pouvoir prendre l'outil en une fois. Ça va vous coûter 538 euros aujourd'hui en décembre. Et vous allez avoir 350 euros de versement de l'aide en 2026, en avril 2026. Donc un reste à charge de 188 euros l'année. Mais encore une fois, sur l'optimisation du temps thérapeutique, en moyenne, nous, les praticiens, ils arrivent à amortir cet investissement en 2-3 mois.

  • Speaker #2

    Oui, oui.

  • Speaker #1

    Et on peut faire ses propres vidéos ou pas ?

  • Speaker #0

    Tout à fait. On peut ajouter ses propres contenus parce que c'est compliqué d'avoir une bibliothèque totalement.

  • Speaker #1

    Ça bugue.

  • Speaker #2

    C'est moi qui fais quelque chose ? Non, j'ai piqué un truc et ça fait perdre

  • Speaker #1

    Hugo. Je ne touche pas à rien.

  • Speaker #2

    Je ne touche pas à rien. Non, mais ce n'est pas moi, je pense. Hugo, ça, c'est déconnecter tes écouteurs ou quelque chose ?

  • Speaker #0

    Oui. Non, c'est tout bon. Vous savez ce qui m'est arrivé ? C'est que j'ai ma limite de temps Instagram. Ah oui, moi aussi. Je suis imposé de 4 ou 5 minutes et tu as déconnecté Instagram. Donc là, je vais dépasser ma limite à cause de vous. Oui, c'est moi. C'est quand même terrible. Donc, effectivement, on peut ajouter cette forte voix vidéo parce que c'est essentiel de pouvoir adapter certains exercices aussi à des spécificités patientes et inévidentes.

  • Speaker #1

    Ok, trop bien.

  • Speaker #2

    Et on peut aussi, sous les exercices, mettre des petites phrases pour commenter. Moi, j'aime bien commenter des choses, tu sais, donc je mets des petites phrases.

  • Speaker #0

    On peut faire de la recondition écrite, pour l'exercice.

  • Speaker #1

    Est-ce qu'il y avait des questions ? Non, pas vraiment. Non,

  • Speaker #2

    les gens sont calmes. C'est impressionnant.

  • Speaker #0

    Je croyais qu'il y avait un commentaire, mais en fait c'est Gwen qui validait qu'elle ne voulait pas réellement rejoindre le live, j'ai l'impression.

  • Speaker #2

    Voilà, c'est ça. Coup de chaud. On m'a posé des questions avant. Est-ce que c'est possible de faire des séances de pilates en visio de groupe avec Andrew ?

  • Speaker #0

    Ça arrive très vite. On a un outil de télésoin. Et effectivement, cet outil de télésoi, on peut l'utiliser pour faire des visios en nomenclature, sur les suivis en nomenclature qu'on peut avoir. Pour l'instant, c'est du one-to-one, donc c'est une seule personne à la fois. Et donc, premier trimestre 2026, pour prendre la marche, parce que les développements, des fois, peuvent prendre plus de temps avec des problématiques techniques, on aura la possibilité de faire des visios groupées.

  • Speaker #2

    Ok, trop bien. C'était ça les principales questions que je t'avais envoyées.

  • Speaker #1

    Je ne vous ai pas les questions sous les yeux.

  • Speaker #2

    Est-ce qu'il y a quelque chose dont tu veux nous parler de particulier, une nouvelle fonctionnalité ou quelque chose qui arrive bientôt qui serait sympa ?

  • Speaker #0

    Oui, ça c'est hyper intéressant et je pense que c'est sympa, ça peut plaire à tout le monde ce sur quoi on travaille en ce moment. C'est un chantier énorme et on trouve que ça peut être une évolution, une innovation assez exceptionnelle en kiné. Je vais en donner deux. Une qui va aller très vite, c'est qu'on va sortir d'ici deux ou trois semaines l'utilisation de téléphone pour le praticien. Aujourd'hui, en tant que pro, on pouvait l'utiliser uniquement sur ordinateur ou sur tablette. Là, dans deux ou trois semaines, on pourra l'utiliser sur téléphone avec un gain de temps qui sera assez dingue parce qu'effectivement, on a bien amélioré l'ergonomie, donc ça va être assez dingue. Et ça, c'est plus le côté technique, ce qui va pouvoir être hyper intéressant sur ce qu'on travaille aujourd'hui. On le travaille avec... notre ami data analyst qui nous a rejoint récemment dans Andrew. Donc lui, son rôle, c'est d'analyser un peu les datas pour faire évoluer l'outil. Il se trouve que c'est assez marrant dans notre équipe, lui, il est ostéo de formation, donc on n'a que des kinés où tout le monde vient du monde de la santé, même si c'est des professions qui à la base n'ont rien à voir. Donc ça, c'est rigolo. On est en train de travailler sur une fonctionnalité de recommandation d'exercice avec de l'intelligence artificielle. Donc on va créer notre propre modèle d'intelligence artificielle. où on va pouvoir, lorsqu'on écrit le bilan, détailler ce pour quoi vient le patient et on va avoir une recommandation d'exercice à partir de ce pour quoi vient le patient. Et on va surtout travailler avec toutes les sociétés savantes avec qui on est en contact, tous les organismes de formation qui vont nous donner toute leur bibliographie. Et on va mettre en lien toutes les recommandations de la HAS en API. Donc, on va le pluguer dans Andrew. Et à chaque fois qu'il va y avoir un prompt, comme on appelle ça en IA, sur le problème d'un type de patient, et et bien notre outil va aller fouiller dans toutes les recommandations HHS et toutes les études qui sont sorties sur le sujet, donc que ce soit sur une prise en charge de l'épaule ou autre. Et après ce tri-là, sur toutes ces recommandations, on va vous présenter une prescription d'exercice qui serait idéale. Et là, c'est encore une fois aux praticiens qu'il y a le dernier mot, parce que la prise en charge EBP, ce n'est pas uniquement ce qu'il y a dans la littérature, mais ça va être aussi s'adapter aux patients pour sélectionner les bonnes capsules. Et donc là, on veut avoir une évolution où on pousse encore plus loin, justement, ce côté EBP. la prise en charge avec Andrew, donc ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    Et pour ceux qui ont déjà l'abonnement, ça sera compris ?

  • Speaker #0

    Ouais, tout à fait.

  • Speaker #1

    Ouais,

  • Speaker #0

    tout à fait.

  • Speaker #1

    Le premium, ça suppose, pas le classique.

  • Speaker #0

    On verra en fonction du coût de développement, c'est toujours pareil, on se pense pas, ça sera peut-être que, effectivement, dans l'outil qui va être le plus onéreux, et au final qui revient à moins cher, avec l'aide de l'État, d'ailleurs. Mais effectivement, ça, c'est une grosse amélioration, avec l'utilisation téléphone, ça va nous faire gagner du temps. Il y a beaucoup de prédicatifs qui nous demandent l'accepté vocale. Le but, c'est de dire, mon patient vient pour telle ou telle problématique, tu as fait ton prompt, on sort toute la recommandation avec la capsule éducative qui va être pertinente. Et tout ça, ça sera sourcé avec une explication détaillée pour chaque exercice. Pourquoi cet exercice est mis en avant ? Parce qu'il est dans les recommandations de l'HAS, parce qu'il est sorti dans telle méta-analyse ou autre.

  • Speaker #2

    D'accord. C'est trop bien. Ça va être un gain de temps de ouf.

  • Speaker #0

    Ça, ça va être assez dingue.

  • Speaker #1

    On a une question de Delphine Gourmaud. et ça tombe bien c'est Ça correspondait à ma question, je voulais qu'on fasse un petit état des lieux des spécialités, des types de vidéos qui existent.

  • Speaker #0

    Super question. Relativement, tout le musculo-squelettique a été bien tourné sur Andrew. On est allé chercher à chaque fois des formateurs sur des articulations, sur des zones. On a des contenus sur coups de poignée main hyper détaillés, avec beaucoup aussi de tableaux cliniques. qui ont été construits par Tessadiasa qui sont top. Pareil sur les pôles avec Germain et Aziz. Tout le musculo-squelettique est hyper poussé. La prise en charge du sportif est aussi hyper poussée pour les spécialistes qui naissent du sport parce qu'on a tourné à peu près 300 vidéos sur la prise en charge du sportif, que ce soit en salle de sport, sur terrain, avec des plans drone sur les phases de réathlétisation et autres. Donc ça c'est hyper poussé.

  • Speaker #1

    Tu peux dire à chaque fois avec qui, comme ça je ferai une petite vidéo.

  • Speaker #0

    Sur la prise en charge des sportifs, on a travaillé avec Flavio Bonnet de l'agence EBP, on a travaillé avec Emmanuel Attia, Pierre Poulin également, sur toute la partie réathlétisation et vidéos en extérieur. Sur la partie pelvique et lénéologie, on a travaillé avec Julie Cantournet, Aude Gastauer, Montier Rejano avec qui on a tourné, les contenus arrivent fin décembre. Donc on va encore étoffer bien évidemment ces intervenants. Le but, c'est d'avoir une vraie pluralité d'intervenants là-dessus. Ensuite, donc, Pelvi Perineo, Kiné du Sport, Céphalée, Cervical G, on a énormément de contenus. Maxilo Facial, on a quelques contenus. C'est Faller, c'est cervical disease. On a retourné les contenus nous et on va faire intervenir bientôt un nouvel intervenant là-dessus. Mais ça, c'est ce qu'on a fait en interne. En maxillofacial, ça va être tourné en début 2026. Je ne peux pas encore dire avec qui parce qu'il n'y a pas tout qui est validé sur les intervenants qu'on va avoir en maxillofacial. Voilà, il y a la pédiatrie qui va arriver aussi avec Jessica Macar. Ça, c'est tout nouveau et on va tourner en février. donc tous les contenus pédiatriques voilà un petit peu où est-ce qu'on en est sur tout ce qui est en genoux membranf et tout alors sur tout ce qui est en genoux membranf sur le genou on a travaillé avec Florent Forelli qui est un gros formateur sur le sujet on a travaillé sur la partie membranf avec Massamba Mbaye sur toute la partie cheville on a travaillé sur la partie adducteur plutôt musculaire on va dire avec Pierre Parton Poulain également. Sur le RACHI, on a travaillé avec Joshua Lavallée, l'informateur sur RACHI. Il s'appellera Chifil pour ceux qui le suivent.

  • Speaker #1

    Je vois.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'on a, les autres intervenants qu'on a pu avoir ? Ce serait dommage d'en oublier quand même.

  • Speaker #1

    En respire peut-être ?

  • Speaker #0

    En respire, on n'a pas encore trop développé cette partie-là, oui. Et ça va être aussi un des objectifs en 2026. Relativement, ça va être de tourner tous les contenus musculosquelétiques. avant d'aller s'attaquer à toutes les parties un peu plus spécifiques. En euro, on a bossé avec Laurent Fabre sur tout ce qui est nourrissage de la douleur, les neuropathies, l'éducation santé. Donc là, on a énormément de contenu avec Laurent Fabre qui sont top. Et il faut qu'on, encore une fois, il faut bien sûr qu'on enrichisse ces parties-là parce qu'il y a toujours mieux à faire. Donc là-dessus, on va continuer d'évoluer.

  • Speaker #1

    OK, on a une prochaine question. Iride Lue, quelle différence entre voir son patient une fois par semaine au cabinet et lui prescrire des exos et la programmation hebdomadaire avec formule premium ?

  • Speaker #0

    Alors en fait, effectivement, c'est pour ça que ça n'a pas été très clair, je pense, la manière dont je me suis exprimé. L'intérêt d'Andrew dans le conventionnement, parce qu'on va découper une partie conventionnée et une partie en nomenclature, dans le conventionnement, ça va être de rendre acteur le patient en dehors des séances. On le sait. Un patient qui progresse et qu'on gagne du temps dans la rééducation, une fois par semaine, la réalisation de ses exercices, ça va être un peu faible. Donc là, l'idée, c'est d'avoir un outil qui permet de l'activer et le rendre beaucoup plus observant en ayant les retours de cette observance parce qu'on peut voir tout ce qu'a fait le patient. Ça, c'est la partie prescription liée à une prise en charge conventionnée. Donc, c'est une prescription simple en listing. On n'a pas besoin de faire une évolution journalière. On a quand même des praticiens qui souhaitent, parce qu'ils voient leur patient toutes les deux semaines, par exemple, faire un programme évolutif jour après jour dans le conventionnement. tu peux le faire en se disant il peut le faire ouais tu peux tout à fait le faire si tu veux le faire dans ton fonctionnement tu peux le faire et tu peux te dire la semaine prochaine on va pas se voir par contre je vais vous mettre 4 séances sur 4 jours avec des exercices différents parce qu'on va travailler de la mobilité on va travailler de la force je dis n'importe quoi mais plutôt qu'en premium ça ça reste le truc de programmation c'est juste que c'est une fonctionnalité qui est sur notre effectivement sur notre partie sur notre formule premium effectivement Merci. L'idée de cette formule premium, c'est aussi de se dire que c'est des praticiens qui vont faire du en amonclature avec la programmation, justement. Et donc, le retour sur investissement, il va aller encore plus vite. Comme je le disais sur la formule premium avec les moins de 10% de Gwenaëlle, vous avez 188 euros de reste à charge à l'année. Donc, lorsqu'on fait des programmations en amonclature, on accompagne des patients sur des programmes mensuels à 80, 90, 100, 120 euros. En fait, l'outil est amorti en deux programmations. Donc, c'est pour ça que… C'est une formule qui permet d'aller plus loin, qui permet de valoriser justement ce suivi en enclature digitale. Donc la différence est la suivante, c'est de se dire, si je veux accompagner un patient sur une prévention de récidive de blessure, qui n'importe quoi, d'une entorse de cheville, potentiellement je vais pouvoir lui faire un programme d'un mois. Il va y avoir plein de choses, des exercices de renforcement, il va y avoir des contenus sur santé aussi, il va y avoir potentiellement de la prescription du coup. de course à pied, avec un programme de course à pied s'il a un objectif aussi de course, et bien ça, je vais pouvoir le valoriser en amontation. Mais c'est une bonne question effectivement. Ça appartient à chacun de choisir comment vous voulez utiliser l'outil et ça, c'est vous qui allez pouvoir le valoriser comme vous le souhaitez dans votre pratique pour le coup.

  • Speaker #2

    Et ça fait gagner vachement de temps parce que sur le HN, avant, il fallait tourner nos vidéos et après, trouver une plateforme LMS où tu mettais en ligne. Enfin, tu vois, ce n'était pas du tout simple. Alors que là, c'est vraiment très simple.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #0

    Et pour revenir même avant la chaîne, parce qu'il n'y a pas tout le monde qui est... qui va être prêt à faire du rendement de lecture maintenant. Et puis, on peut aussi aimer, avoir la volonté de faire que de la kinésithérapie et de rester dans la nomenclature parce que c'est ce qui nous passionne. L'objectif d'Andrew, c'est aussi de trouver une solution pour être mieux valorisé, mieux gagner sa vie en restant dans le conventionnement. Et effectivement, si j'arrive à faire 2, 3, 4 bilans en plus par semaine, l'augmentation de mon chiffre d'affaires, je vais très clairement le ressentir à la fin du mois. Et c'est ce qui fait que même sans rendement de lecture, sur la formule premium, Pour parler de celle-ci, on arrive à amortir l'outil très très vite.

  • Speaker #1

    Bon, mais chouette. On arrive au bout, je pense. Moi, c'est clair. J'ai vraiment envie de... Je pense que je vais prendre bien. Je testerai en logo quand je commence. J'espère. Il faut.

  • Speaker #0

    Il faut qu'il teste, vraiment. Tu m'enverras un message.

  • Speaker #1

    Il y a une période de test au début ou pas du tout ?

  • Speaker #0

    On peut utiliser l'outil complètement gratuitement pendant 15 jours. Le but, c'est que chacun puisse mettre les mains dedans et... et aussi faire son propre avis à l'utilisation.

  • Speaker #2

    Donc là, si un client se dit « j'ai envie de me lancer » , qu'est-ce qu'il fait ?

  • Speaker #0

    Il va sur andrewapp.fr, il va avoir un bouton « tester gratuitement » . Il va pouvoir créer son compte praticien, rentrer ses informations. Il va pouvoir faire « créer mon compte » . Et ensuite, on va lui proposer de se connecter pour lancer sa période d'utilisation gratuite. Et au moment du lancement de sa période d'utilisation gratuite, il choisit la formule qu'il veut avoir à la suite. de sa période d'utilisation gratuite, en sachant qu'il peut la modifier pendant la période d'essai, il n'y a aucun problème. Et bien évidemment, quand il se lance, il faut qu'il rentre le code Gwenaëlle.

  • Speaker #1

    Oui, c'est ça.

  • Speaker #0

    Une fois qu'il a rentré son code Gwenaëlle, il a 15 jours d'utilisation gratuite. C'est à lui de gérer son abonnement. On a tout fait pour que le praticien soit autonome. Donc, c'est lui qui lance son compte. C'est lui qui peut annuler sa période d'essai s'il ne souhaite pas continuer sa période d'essai.

  • Speaker #2

    je rigole parce que du coup c'est surtout, quand est-ce qu'il y a un visio avec vous ?

  • Speaker #0

    À chaque fois que quelqu'un se fait un compte, nous, on propose une vision pour répondre aux questions, aider dans la prise en main. On est assez innovants dans notre manière d'amener ce suivi hybride en autonomisant les patients pour revaloriser la clinique. Donc, on essaie vraiment de pousser ces idées-là en disant la solution, l'État peut nous la donner avec des outils comme ça où il donne des aides avec le télésoin. Même s'il y a des choses où on peut être en désaccord ou on a l'impression de ne pas avoir trop de solutions. Je pense que les solutions viennent de nous, de ce qu'on veut mettre en place avec nos patients. Je pense que ça peut être hyper compliqué dans plein de situations. Mais par contre, ça peut être intéressant d'essayer de mettre en place des actions comme celle-ci ou avec d'autres outils pour justement réussir à revaloriser sa pratique.

  • Speaker #1

    Marie demande si on peut résilier facilement à tout moment.

  • Speaker #0

    Sur la période d'utilisation gratuite, bien évidemment. Et en fait, sur la partie modifier mon profil, on peut... annuler sa période d'essai et comme ça on n'a pas le l'abonnement qui démarre à la suite de cette période là une fois que moi justement mais on est on est client actif et qu'on a payé une première fois sur andrew bon on peut résilier aussi en autonomie sur l'espace nous on a changé un petit peu là dessus on prend juste un petit un petit temps au visio un appel de cinq minutes avec les pros pour essayer de reprendre en fait leur retour comprendre ce qui n'a pas marché pour essayer de faire évoluer l'outil parce que c'est Ce qu'on a remarqué sur les licitations pratiques et utilisateurs, on avait plutôt les retours positifs. Et souvent, les personnes qui sont moins satisfaites donnent moins leur avis. Et donc maintenant, on essaie d'aller un peu avoir cette idée. Oui, bien sûr. Bien sûr,

  • Speaker #1

    bien. Écoute, merci beaucoup. Je pense qu'on est pas mal.

  • Speaker #2

    Oui, c'est parfait.

  • Speaker #0

    Avec plaisir. Merci pour l'invitation. On a eu un bon moment.

  • Speaker #1

    Merci d'être venue.

  • Speaker #2

    Trop chouette.

  • Speaker #1

    Merci Gwen aussi. Après le temps. Au top. Et je mettrai le replay bientôt. Oui,

  • Speaker #2

    trop bien.

  • Speaker #1

    Merci à tous ceux qui ont regardé le live et à bientôt,

  • Speaker #2

    à la prochaine A bientôt Bonne après-midi

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