Deux ans de parcours : bilan 2024 cover
Deux ans de parcours : bilan 2024 cover
on papote?

Deux ans de parcours : bilan 2024

Deux ans de parcours : bilan 2024

41min |17/12/2024
Play
Deux ans de parcours : bilan 2024 cover
Deux ans de parcours : bilan 2024 cover
on papote?

Deux ans de parcours : bilan 2024

Deux ans de parcours : bilan 2024

41min |17/12/2024
Play

Description

Dans cet épisode, on célèbre ensemble les deux ans de création du podcast "on papote ?" en faisant le bilan de l'année 2024.

Pourquoi je me suis lancée ? Comment je m'organise au quotidien (spoil : je suis toujours en retard) ? Quelles ont été les choses marquantes de cette année ? Aujourd'hui, on répond à toutes ces questions.


Un podcast qui a su toucher plus de monde cette année et répondre aux questions des jeunes adultes (ainsi que de leurs parents) sur divers sujets de la vie quotidienne. Relations sociales, vie professionnelle ou encore introspection, venez trouver les réponses à vos questions chez "on papote ?"


On se retrouve en 2025 pour de nouveaux épisodes et de nouveaux concepts toujours aussi fous !


- A

---

Suis "on papote ?" sur les réseaux sociaux :

Instagram : https://www.instagram.com/onpapote.podcast/

TikTok : https://www.tiktok.com/@onpapopote.podcast

Youtube : https://www.youtube.com/@onpapote.podcast



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Est-ce que les années étudiantes sont vraiment les meilleures de mon temps ? J'ai beaucoup d'importance à mon physique. Est-ce que ça fait de moi quelqu'un de superficiel ? La première fois, c'était vraiment si important. C'est grave, c'est grave. J'ai une fille et j'ai pas envie d'avoir... J'ai toujours pas mon bac. Est-ce que c'est normal ? J'ai toujours pas d'avoir ce que... Parce que j'ai jamais été en couple. Est-ce que c'est normal ? Je vais pas avoir d'influence. Est-ce que j'ai toujours pas d'importance ? J'ai bien l'impression que j'ai pas d'importance à mon physique. Est-ce que j'ai super... Est-ce que c'est normal ? Chut ! Eh ben viens, on s'assoit et on papote. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on se retrouve pour un nouvel épisode, un petit hors-série spécial... anniversaire. Au moment où vous écoutez ce podcast, On Papote souffle sa deuxième bougie. Et oui, deux ans du coup de création, deux ans de podcast que vous écoutez maintenant de façon mensuelle. Et oui, du coup, On Papote, un anniversaire qui tombe parfaitement pour refaire du coup un point sur ces deux ans qui se sont écoulés et pouvoir parler avec vous à cœur ouvert. Donc on va recommencer un peu par les débuts, on va faire de façon chronologique. Donc j'ai noté des petits trucs quand même qui étaient assez importants, je pense, à noter et à préciser. Donc là, pour cet épisode, je serai toute seule, donc il n'y aura pas d'invité, pas de guest spécial. Donc vraiment, c'est un peu comme le concept d'Entre vous et moi, c'est vraiment là où je vais vous parler un peu plus du coup de tout ce que j'ai pu traverser par rapport à ça. On l'avait déjà fait une première fois, vous avez parlé du moment où je voulais faire une pause par rapport au podcast. Et du coup, je vais vous parler un peu de tout ça, de tout ce qui tourne autour du podcast et ce qui tourne un peu en dehors de ce que vous pouvez voir vous en tant qu'auditeur. Donc je vais déjà commencer par me représenter ou me présenter pour ceux qui ne me connaissent pas. Du coup, je m'appelle Annaëlle, j'ai 22 ans. Actuellement, je suis en master brand content, donc tout ce qui est en lien avec la communication. Et donc, depuis deux ans maintenant, j'ai mon podcast On Papote, dans lequel j'interroge un peu la nouvelle génération, donc la génération Z, donc entre 18 et 30 ans actuellement, et du coup, sur les problématiques qu'elle peut rencontrer. Donc on est là, on parle souvent de tout ce qui va être problèmes familiaux, tout ce qui va être les relations sociales, donc on a beaucoup parlé de tout ce qui était les amitiés, on a parlé des ruptures amicales, on a parlé du coup du couple aussi, on a parlé dernièrement du coup de tout ce qui était les maladies mentales, on a aussi parlé... de tout ce qu'avaient été les règles, tout ce qu'avaient été être un homme aussi, faites des questions un peu que ma génération se pose, et donc on est là pour y répondre, et surtout pour mettre en avant cette génération qui se pose des questions, et permettre à cette génération qui se pose des questions d'avoir des réponses par la même génération, et pas par une autre personne, par une personne plus âgée, par exemple, qui aura plus de facilité en quelque sorte à nous prendre de haut, parfois, c'est ce que j'ai souvent trouvé, et donc c'est l'une des raisons aussi pour lesquelles j'ai voulu créer ce podcast, c'est parce que... Dès l'instant où j'avais des questions, je ne savais pas vraiment vers qui me tourner pour du coup avoir des réponses. Et on est un peu là aussi pour répondre, pour pouvoir échanger, pour pouvoir raconter aussi des récits de vie. C'est vraiment ça qui est le plus important, je trouve, avec On Papote, c'est que ça permet de rencontrer pas mal de monde et d'avoir des histoires de vie qu'on n'aurait pas pu entendre si, par exemple, on n'avait pas écouté le podcast ou s'il n'y avait pas le podcast pour pouvoir en discuter. Et donc, on va parler un peu concrètement de... Pourquoi est-ce que je me suis lancée dans le podcast ? J'ai un peu expliqué concrètement que j'avais pas mal de questions quand je suis arrivée sur Rennes. Pour ceux qui ne le savent pas, avant de venir sur Rennes pour faire mes études, j'étais en Martinique, chez mes parents. Et donc j'ai dû déménager, exceptionnellement, pour mes études, pour faire ma licence Infocom que j'ai fait à Rennes 2. Et donc du coup, je me suis lancée dans le podcast courant de l'année 2023, si je ne me trompe pas. Donc j'avais un projet universitaire à faire autour du Covid, et oui encore, donc un projet qui tournait surtout sur l'impact du Covid par la jeunesse. Donc en 2020, on a tous connu cette période de pandémie, cette période de confinement, et donc j'ai pu partir à la recherche de l'information, poser des questions à mon entourage, aux gens qui avaient à peu près mon âge, donc qui avaient la vingtaine, et qui en fait ont vécu aussi le Covid. De façon différente, car chacun a eu sa vision de cette pandémie. Il y en a qui l'ont appréciée et qui ne l'ont pas appréciée, par exemple le confinement. Personnellement, j'ai parti du clan qui a apprécié le confinement. Je vous le dis déjà, le confinement, ça a été pour moi très bénéfique parce que la terminale, ça a été très difficile. Et en fait, le fait de rester chez moi, j'ai eu beaucoup plus de facilité à terminer la terminale et avoir de meilleures notes que si j'avais continué en cours. Donc c'est pour ça que j'ai beaucoup plus apprécié le confinement, que ce soit le premier comme le deuxième, où en fait... j'étais beaucoup plus réservée déjà à l'époque et c'était beaucoup plus intéressant de rester chez moi avec mon confort en quelque sorte plutôt que de sortir, tout ça, aller en cours etc. Donc je pense que c'est peut-être pour ça que j'ai beaucoup plus préféré du coup le confinement Donc je reviens un peu à mes moutons on avait ce projet de cours que je devais rendre donc le format était un peu libre et du coup je me suis dit que je vais partir sur un peu un format audio parce qu'à cette époque-là j'écoutais déjà tout ce qui était un bon moment réalisé par Ken Kojandi et aussi Entre Mecs réalisé par Ben Nevers Donc... Pour ceux qui me connaissent, ils ont déjà le début de l'histoire. Par rapport à tout ça, c'est deux personnes qui m'inspirent énormément et dont je continue de suivre le travail et qui sont vraiment pour moi mes deux sources d'inspiration que j'aimerais rencontrer. Si un jour, Ken Kojandi ou Ben Nevers, vous entendez ça, vraiment, j'aimerais un jour vous rencontrer et pouvoir parler avec vous de tout ce que vous avez pu réaliser, que ce soit les projets que j'ai évoqués, Un bon moment et Entre mecs. En fait, tout l'univers qu'ils ont, tous les deux, c'est vraiment des choses qui m'inspirent au quotidien. Et c'est vraiment inspirant et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup regarder et consommer en règle générale. Et donc voilà, je souhaitais répondre un peu à ces problématiques-là que j'avais. Et en faisant ce projet-là, ce qui a été surtout bénéfique, c'est le retour que j'ai eu. Dans le sens où j'ai réalisé, j'ai interrogé pas mal de personnes, on va dire une dizaine de mes amis proches. C'est un projet que j'ai toujours du coup dans mes... dans mes fichiers que j'écoute de temps en temps. Mais en fait, le sujet clé, le point phare de cette histoire, c'est surtout le retour de mon professeur que j'ai eu dessus, qui m'avait donné une super bonne note dessus. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié parce que... Je me suis rendu compte que la réalisation de ce contenu audio, c'était vraiment quelque chose que j'avais apprécié faire, le moment où il fallait réfléchir aux questions, le moment où il fallait partir interroger ces personnes-là, le moment où il fallait faire le montage. Toute cette histoire que j'avais créée, parce que c'était vraiment un podcast, un quelque sorte narratif, dans le sens où il y avait une histoire, où j'avais écrit un peu une introduction, une conclusion, il y avait des transitions entre chaque témoignage. que j'ai pu recevoir. Et c'était vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié réaliser. Et de là, en fait, là où mon professeur a fait son retour, du coup, j'ai eu vraiment quelque chose d'assez inspirant qui m'a dit, mais vraiment, c'est quelque chose de... Pas de fantastique, en quelque sorte, mais c'était vraiment quelque chose de très inspirant qui était incroyable, en quelque sorte. Alors, avec beaucoup de guillemets à lire. Et donc, voilà, c'est pour ça, en fait, que je suis revenue sur ça parce que c'était vraiment un épisode que j'ai adoré faire. Enfin, un épisode. C'est vraiment un projet que j'ai adoré faire. Et c'est de là que ma passion pour être derrière un micro est venue. Et de là, je me suis un peu rapprochée de la radio universitaire C-Lab, qui y a toujours dans l'université Rennes 2. Je me suis rapprochée d'eux. J'ai d'abord participé à une émission de radio qui s'appelait Rap Taglorc, où on parlait du coup de rap. Et je me suis rendue compte que la thématique du rap, même si j'étais derrière un micro, ce n'était pas forcément ce que je voulais aborder. Et finalement, je suis partie plus... Du coup, sur autre chose, mais avant de partir sur le projet de On Papote, je me suis dit que finalement, ce n'est pas la radio qui me plaît, peut-être que c'est autre chose. Donc, je me suis laissé un temps de pause en quelque sorte. Et finalement, ce qui s'est passé, c'est que je suis revenue du coup en 2023 avec cette idée finalement de répondre à des questions sur lesquelles on n'a pas forcément de réponse quand on est jeune, quand on est jeune adulte. Donc, moi, étant donné que je venais d'Outre-mer, il y avait pas mal de questions que je ne comprenais pas, pas mal de choses que je ne comprenais pas en métropole. et auxquelles il a fallu faire face, et même sur la vie tout court, sur le changement qu'on a quand on devient adulte, quand on est enfant ou adolescent et qu'on n'est pas encore livré à nous-mêmes. Les gens ont moins d'attentes par rapport à ça, par rapport à ce qu'on peut réaliser, que quand on est adulte. Et du coup, c'est à ce moment-là où on se rend compte un petit peu qu'il y a des choses sur lesquelles... On ne peut pas avoir la faiblesse de dire ah mais je ne savais pas Et il y a des choses sur lesquelles, quand tu le dis à un adulte, alors je mets adulte dans le sens où c'est encore difficile de se considérer encore comme un adulte, ça c'est un sujet qu'il faudrait qu'on traite un jour, parce que j'en parle souvent avec des amis, et quand je leur demande mais du coup, est-ce que tu te considères comme un adulte ? Est-ce que pour toi, tu es un adulte ? Est-ce que ça veut dire quoi être un adulte ? Et bien en fait, on a un peu ce truc de... En fait, on ne sait pas si on est adulte ou pas, parce qu'on est trop jeune pour certains, pour être vraiment considéré comme des adultes, parce que c'est encore le cas. La semaine dernière, je parlais avec une collègue et j'ai été un peu infantilisée, dans le sens où on m'a un peu confondue avec une enfant de 15 ans. Mais il y a aussi le truc de, on est trop âgé pour ne pas savoir. Parce que du coup, moi j'ai un petit frère et il y a des choses sur lesquelles lui il attend des réponses, auxquelles moi-même je n'ai pas de réponse. mais du coup techniquement je suis la plus âgée donc je suis censée pouvoir répondre à sa question étant donné que je suis plus proche de son âge que de l'âge de mes parents et c'est plus vers moi qu'il va aller se tourner s'il y a une question que se tourner vers les parents surtout si c'est des questions par exemple en lit avec son parcours genre s'il doit trouver du coup quelle formation il doit faire qu'est-ce qu'il doit faire après après le parcours sup etc donc en fait on a ce truc d'être inclus entre deux chaises un peu où on ne sait pas vraiment où se placer et c'est tout Très difficile et très compliqué de pouvoir réussir à savoir vers quoi est-ce qu'on doit aller, vers quoi on doit tendre. Et de là est venu On Papote, donc j'ai pu le créer avec d'abord une personne qui s'appelait Sarah, qui était là au tout début, donc pour ceux qui seraient intéressés de réécouter ou de découvrir les premiers épisodes, donc vous allez voir, on était deux au tout début, il y avait Sarah qui était présente, qui co-animait avec moi le podcast jusqu'à environ huit épisodes. Les huit premiers épisodes, elle était là, elle animait avec moi, et finalement elle est partie. Et du coup j'ai repris la main un peu par rapport à tout ça et donc en fait prendre la main par rapport à ça sur le podcast fait que maintenant je peux proposer des sujets sur lesquels moi-même je me sens concernée et sur lesquels j'ai envie d'avoir plus de réponses. C'est-à-dire que déjà on avait un peu une différence d'âge avec Sarah qui fait qu'aussi on n'avait pas forcément peut-être les mêmes questions, les mêmes interrogations qu'on pouvait se poser et là maintenant je peux plus interroger certaines choses qui se passent actuellement du coup dans ma vie. Et c'est souvent ça que je fais, les questions, les thématiques que vous pouvez retrouver sur le podcast, c'est souvent des questions que je me pose, des thématiques que je vis actuellement. Et je trouve que c'est super intéressant parce que du coup, on peut se rendre compte qu'il y a pas mal de choses qu'on vit quotidiennement. Et c'est vraiment intéressant de pouvoir avoir ces récits de vie-là, ou alors même de pouvoir découvrir des récits de vie. Dans le sens où par exemple, l'épisode sur les parents séparés, mes parents ne sont pas séparés, mais j'étais quand même intriguée de savoir comment ça se passait du coup. qu'on a deux parents qui sont séparés et qu'on doit faire un peu l'aller-retour entre les deux. Et j'ai été beaucoup surprise par rapport aux témoignages que j'ai pu avoir, déjà par rapport aux personnes qui ont candidaté, et même par rapport aux personnes qui sont venues parler de leur histoire. Et je trouve ça toujours intéressant parce que chacun vient partager son histoire, son effet de vie. Et en fait, je me rends compte qu'ils n'ont pas forcément... Le moment où ils n'ont pas forcément l'endroit pour pouvoir en discuter et ouvrir leur cœur, pour pouvoir parler de ces problèmes-là, de ces thématiques-là, qui font partie d'eux, mais en fait, ils en parlent avec leurs amis ou avec leurs proches, mais il n'y a pas plus d'informations. L'en parler avec des inconnus ou même en faire de la sensibilisation pour certains sujets, ils n'en ont pas forcément l'occasion, en quelque sorte, parce que c'est vraiment des sujets très personnels. Et on ne peut pas arriver de but en blanc et dire, ah ben moi, mon père, il ne vit plus avec ma mère et c'est ultra compliqué parce que du coup, je me retrouve à devoir gérer mes frères et sœurs et tout. Ou, je ne sais pas, moi, mes parents, du coup, je ne les vois pas parce que du coup, j'ai été placée en foyer. C'est méga compliqué parce qu'il y a des trucs que je ne comprends pas. Mes parents, je ne les vois pas souvent. Ou, ah ben, dans ma relation, il se passe ça, mais je ne comprends pas. Ça ne devrait pas être comme ça et tout. Et en fait, toutes ces thématiques-là, c'est des choses sur lesquelles... On n'a pas forcément le courage ou on n'a pas forcément l'endroit pour en parler. Et c'était un peu ça que j'ai voulu mettre en place avec On Papote, c'était avoir un espace où on peut avoir un espace d'échange, un espace de moment de vie. En fait, c'est ça que j'essaie de mettre en place, surtout, des moments de vie de partage avec, du coup, le podcast et avec les rencontres, surtout, que je fais. Parce que ces gens-là, en fait, ces gens que je rencontre, ces gens que j'interroge, donc les gens que vous écoutez mensuellement, en fait, c'est des gens qui ont des histoires à raconter et c'est des gens... à qui j'ai envie de donner la parole et à qui j'ai envie que leur histoire soit partagée également. Et donc en fait, là on va parler un peu plus des défis que j'ai pu rencontrer. Donc on a eu le départ de Sarah qui a fait quand même un peu une grande claque, je vous l'avouais, même si c'était bien dans un sens parce que j'ai pu, comme je l'ai dit, mettre plus en avant certaines des thématiques que je voulais aborder. Mais c'était un peu compliqué parce qu'on ne se rend pas forcément compte, mais j'ai déjà dit à plusieurs reprises dans le podcast et même sur les réseaux, Un podcast, ce n'est pas si simple. On a pas mal de choses à préparer. Étant donné que je n'ai pas de studio à moi, je suis obligée d'en réserver un à l'université. Il faut que je cale un moment où je suis disponible, mes invités sont disponibles, et le studio est disponible pour pouvoir venir et enregistrer. Il y a aussi toute la partie communication, il y a aussi toute la partie réalisation, écriture du script, recherche des invités. Après, il y a la post-prod. En fait, il y a pas mal de choses sur lesquelles il y a un derrière, en fait. Il y a pas mal de choses à faire en amont comme après, comme en aval. Et ces choses-là, en fait, souvent ne sont pas vues par le grand public parce qu'on se dit Oh, c'est bon, elle a enregistré. Du coup, l'épisode est sorti. Oh, c'est fini. Mais en fait, non, vraiment, moi, mon podcast, il y avait une période où, en fait, il fallait le gérer limite quotidiennement. Et en fait, c'est ce que je dis souvent, c'est que si vous voulez faire un podcast, C'est important quand même de se dire qu'en fait, le temps libre que vous avez, il faudra à grande échelle le mettre en place pour le podcast. Moi, c'est par exemple mes samedis ou alors mes soirées sont réservées par exemple au podcast. Je n'ai pas vraiment d'organisation à proprement parler. C'est-à-dire qu'en fait, je travaille dès l'instant où j'ai du temps, dès l'instant où je peux, dès l'instant où j'ai l'envie aussi. Il faut que ça reste une envie, une passion. Et c'est vrai que ça, c'est aussi une des... Un des défis que j'ai pu rencontrer, le fait que parfois le travail prend le dessus et du coup on perd un peu l'envie de se retrouver au studio, on perd l'envie de créer quelque chose, de créer du contenu, étant donné qu'en fait le moment où on est au studio, ça représente vraiment 1% du travail qu'on réalise. Et donc en fait on réalise beaucoup de choses avant comme après et juste pour le moment où on va arriver au studio et on va pouvoir passer un vrai moment. intéressant, que ce soit avec des invités ou tout seul. Et donc là, en fait, par rapport au départ de Sarah, on a eu aussi un juste milieu à pouvoir réussir à placer ma vie étudiante, l'alternance et du coup le podcast, parce que, comme je l'ai dit, maintenant je suis en master, donc maintenant je fais de l'alternance. Et donc, concrètement, comme je l'ai dit, c'est du temps aussi à prendre en compte et on l'oublie souvent et en fait, quand on voit que... Mes journées, elles sont un peu millimétrées parce qu'il faut que je fasse le podcast par-ci, le podcast par-là. Pendant des cours, je me retrouve à écrire des scripts, je me retrouve à devoir contacter des invités pour savoir s'ils sont disponibles à telle date. Il faut que je contacte aussi le studio pour dire est-ce que du coup à telle date, le studio est disponible pour que je puisse venir enregistrer. Il y a pas mal de choses à voir et c'est beaucoup de travail. J'avais noté les statistiques et la peur de la page blanche. Ça m'était arrivé du coup quand j'en avais parlé dans mon premier épisode entre vous et moi. Et je l'avais beaucoup dit, j'avais un peu ce truc où je perdais un peu l'envie, mais en fait il y avait aussi les statistiques, le fait qu'on voit que parfois le podcast peut stagner, on peut se comparer par exemple aux autres, parce que moi par exemple, mes sources d'inspiration comme je l'ai dit c'est Ken Kojandi et Ben Nevers, mais du coup c'est des personnes qui ont déjà réussi dans le milieu de la création, donc pas forcément dans le milieu du podcast en général, mais dans le milieu de la création de contenu, ou même de l'humour pour Ken Kojandi. Et donc là, avec l'entourage que j'ai, pareil, dans le milieu du podcast, je peux me comparer aussi souvent à eux. Ce que je disais encore dernièrement à un ami, c'est que c'est cool, du coup, je discute avec tout le monde et tout, machin. Mais en fait, on ne se rend pas compte, mais quotidiennement, je regarde les chiffres que j'ai pu avoir. Je regarde si, du coup, cet épisode-là, il a bien fonctionné ou pas. Quand il y a eu, du coup, le récap Spotify, du coup, qu'on va aborder un peu plus tard dans cette émission. j'ai pu voir aussi quel épisode était le plus écouté, j'ai pu découvrir aussi quelle est la nouvelle part d'audience. En fait, on est entouré quotidiennement de chiffres, que ce soit pour les écoutes, mais aussi pour les réseaux sociaux, parce que toute la création de contenu que je fais en dehors, à côté, pour Instagram, TikTok, YouTube, etc., on est entouré de chiffres et on se dit, OK, le temps que j'ai pris pour réaliser ce truc-là, il faut que j'ai en quelque sorte un nombre de... vue ou d'écoute proportionnelle autant que j'ai pris. En fait, je dirais pas que c'est pour tout le monde. Alors je prends vraiment l'exemple que pour moi. Enfin, je me retrouve des fois à me dire ah, c'est peut-être pas suffisant, donc ça veut dire qu'il a pas plu cet épisode-là, donc ça veut dire qu'il faudrait le tourner d'une autre façon. Là, ben j'ai pas pris beaucoup de plaisir à le faire, mais je vois que ça fonctionne bien. Donc en fait, c'est pas mal de choses aussi qui sont assez difficiles à mettre en place et qui sont aussi difficiles du coup à prendre en compte et à faire une part des choses même s'il faudrait le faire. Et c'est ce que tout le monde dit, toutes les personnes qui sont dans la création de contenu le disent, il faut réussir à faire une part des choses entre les statistiques et le plaisir. Mais en fait, quand on débute, c'est les statistiques qui permettent de savoir si du coup ce que tu fais, c'est bien ou pas. Et c'est toujours agréable de savoir qu'il y a tant de personnes qui t'écoutent et tant de personnes qui sont satisfaites du travail que tu peux produire. Parce que même si moi je suis satisfaite du travail que je produis, moi je produis un travail qui est censé être écouté. Et si mon travail n'est pas écouté, ben du coup ça veut dire que je ne sais pas. pas fait mon travail, genre j'ai pas réussi à faire ce que je voulais faire. C'est comme si vous demandiez une table à un charpentier et genre le mec il vous fait une table bancale. Bah c'est son seul travail, genre s'il est pas capable de faire une bonne table c'est qu'il y a un problème, donc vous avez pas à manger sur cette table. Donc voilà, c'était les trois un peu thématiques que j'avais trouvées pour les défis que j'ai affronté. Vraiment c'est des choses qui m'ont le plus parlé et sur lesquelles je me suis battue. Alors je me bats plus en ce moment sur eux. La partie juste milieu entre toute l'organisation de ma vie. Parce que c'est un peu plus compliqué, je trouve, vu que je n'ai pas d'organisation, encore une fois. Donc vraiment, si vous voulez lancer dans le podcast, ne soyez pas comme moi, organisez-vous. Parce que vraiment, ça va dans tous les sens. Mais j'arrive quand même à trouver... En fait, j'ai du temps pour tout, mais pas du temps pour tout. C'est vraiment compliqué. Un jour, il faudrait que je l'explique. Mais c'est vraiment un chaos total. Du coup, là, dans la deuxième partie, je vais plus vous parler d'aujourd'hui et plus précisément de 2024, parce qu'évidemment, on est là pour parler un peu de ce que ça a donné aujourd'hui, de faire un bilan sur ces deux années de podcast, ces deux années de création de contenu, donc ces deux années derrière un micro. Donc, on a commencé 2024 avec un début d'année, avec un crossover, avec Maud, du coup, que vous avez pu déjà rencontrer pour un épisode avec les grands-parents. Donc, j'ai interrogé Samia et Rose, enfin, on a interrogé Samia et Rose, du coup, sur les grands-parents. où on a pu discuter de leur relation avec leurs grands-parents. Et ça, c'est une année qui commence avec un travail en commun qui était assez fou parce que dans le milieu du podcast, je crois que j'ai travaillé qu'avec deux personnes. Oui, deux personnes sur lesquelles... Non, une personne. Du coup, c'était Maud, je crois, la seule personne avec qui j'ai fait un crossover. Et sinon, les autres personnes, c'est des gens du podcast que j'ai interrogés, que je n'ai pas eus, avec qui je n'ai pas co-écrit quelque chose. Et donc, c'était assez marrant. C'était la première fois que je faisais un épisode en crossover. Vraiment, on débute l'année avec beaucoup de nouveautés. On continue du coup avec le lancement de nouveaux concepts. Donc il y a eu le Entre vous et moi qu'on a abordé, où j'ai voulu tester l'épisode 20. l'arrangement d'épisodes toute seule, où là, du coup, c'était plus à cœur ouvert, donc comme maintenant, où je vous parle un peu des problèmes que j'ai dans ma vie actuellement, ou de plein de choses qui me passent par la tête. C'était un type d'émission sur laquelle j'avais un doute, au tout début, parce que je me suis dit, ah putain, je vais être toute seule, ça se trouve, les gens, ils vont me pas aimer, ils préfèrent quand il y a du monde, ils peuvent répondre, et tout. Et en vrai, j'ai eu que de bons retours dessus, il y en avait beaucoup qui étaient intéressés, qui ont eu vraiment ce côté de... proximité. Et j'étais contente parce que c'était un peu ce que je recherchais, du coup, dans ce type de format-là, où je me livrais, en fait, à vous. Et vous, vous ne vous livrez pas forcément à moi parce que, du coup, vous ne pouvez pas répondre par rapport au podcast, même si vous pouvez répondre, du coup, via les réseaux sociaux, etc. Mais c'était assez intéressant de jouer le jeu de l'inviter, c'est moi-même, et surtout, comme on le dit souvent, c'est apprendre à apprécier sa propre compagnie. Et donc là, j'ai... appris un peu à apprécier ma propre compagnie au studio où j'ai personne en fait qui va répondre à mes questions ou la personne qui pose les questions et aussi la personne qui doit y répondre et c'était très marrant de jouer à ce jeu là et je pense que c'est un concept que je vais pouvoir retravailler et retrouver prochainement du coup j'ai déjà des idées de thématiques que j'aimerais aborder mais ça c'est pour un prochain épisode et ensuite on a eu le banc des créateurs du coup pour la troisième saison qui était un épisode du coup avec Maud non ? Donc Maud a fait le début de l'année de janvier et le début de la saison 3. Donc elle a eu beaucoup de chance sur ces deux périodes-là. Donc le banc des créateurs qui est un type d'épisode, un type de format où j'interroge en fait ma génération du coup qui se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Donc j'avais interrogé Maud du coup qui a son entreprise Lisette qui fait des audiobiographies. Et donc je l'avais interrogé un peu sur tout ça, sur le lancement de son entreprise. le parallèle entre sa vie étudiante et du coup sa vie d'auto-entrepreneuse, aussi le parallèle qu'elle avait avec ses parents, c'est-à-dire qu'en fait, dire qu'à 20 ans, tu veux lancer ta boîte et qu'en plus de ça, tu vas arrêter les études, ou tu ne vas pas arrêter les études, mais tu ne sais pas trop, et du coup, tu veux te lancer quand même, mais tu ne sais pas si ça va fonctionner ou pas. Donc pour des parents, c'est un peu compliqué. Et du coup, on avait beaucoup abordé ce sujet-là et elle avait beaucoup aimé discuter de ces thématiques-là. Et donc voilà, c'était vraiment un sujet aussi, un format que j'avais beaucoup apprécié, que je voulais lancer. Et j'étais contente de voir que ça avait bien fonctionné. Encore là, j'ai deux demandes, deux, trois demandes qui sont encore dans les brouillons, qu'il faut que je travaille. Mais il y aura un autre épisode qui va sortir prochainement, du coup, sur ça, où j'interrogerai une autre personne, pareil, sur cette vie d'auto-entreprise. Donc voilà, par rapport à ça. Après, on a eu aussi l'amélioration de la communication. Alors, amélioration, vraiment, la meuf, elle se la pète. Non, non, en gros, c'est vrai que je me suis lancée sur YouTube aussi, avec la première vidéo aussi, du coup, d'un format qui était autre que le podcast. Dans ce sens où maintenant, les épisodes sont aussi disponibles sur YouTube. Donc il y en a beaucoup qui vont l'écouter sur YouTube parce qu'ils vont le découvrir, ils vont tomber dessus par rapport, par exemple, aux mots-clés, etc. Et on a aussi fait maison, du coup, le nouveau concept. Il y a eu beaucoup de nouveaux concepts, en vrai, je ne m'y attendais pas, mais il y a eu beaucoup de nouveaux concepts qui sont arrivés quand même. Et donc, fait maison. un épisode que j'ai fait avec Marvin du coup un de mes meilleurs amis en vrai Marvin tu découvres que tu es l'un de mes meilleurs amis voire même mon meilleur ami Fais maison qui est du coup un épisode que j'ai adoré faire enfin pas un épisode, une vidéo que j'ai adoré faire, donc là on était chez moi, on a fait une recette où du coup j'ai discuté avec lui sur pas mal de sujets qu'on se posait donc on a parlé aussi du permis donc du fait que... Malgré mes nombreuses persévérances, je n'arrive pas à passer mon permis. J'ai échoué deux fois à mon permis et là, je vais passer à un troisième passage bientôt. Et donc, on a parlé de ça. On a parlé aussi beaucoup des relations qu'on pouvait avoir avec nos partenaires, etc. Donc, Marvin nous a parlé du... Alors, je n'ai pas vu la formulation, mais c'était, je crois, ce besoin de sauver l'autre dans une relation, en gros, où il avait besoin de sauver son ex, en fait, dans le temps. tout ce qu'il avait dans la relation, etc. Et donc voilà, c'était des thématiques qu'on avait beaucoup abordées par rapport à ça et je trouve que c'est des thématiques qu'on peut aborder de façon plus légère, en quelque sorte, quand on cuisine, parce qu'on a plus de facilité à se livrer, parce que du coup on est occupé, on discute, on regarde aussi en même temps ce qu'on va cuisiner, etc. Et donc là, c'était super intéressant d'avoir ce côté légèreté, ce côté aussi vidéoludique, où en fait c'était ultra intéressant, ultra léger, comme je le dis à chaque fois. J'ai vraiment répété le DG genre 3-4 fois. Mais non, vraiment, j'ai kiffé. Et même vos retours ont été super. C'est-à-dire qu'en fait, beaucoup de personnes m'ont dit J'ai adoré du coup la vidéo et tout, c'était top, machin. J'ai eu beaucoup ce truc de En fait, j'avais l'impression d'être avec vous. Beaucoup de trucs comme ça où la personne me disait mais j'avais juste l'impression que si je ne regardais même pas une vidéo, j'étais avec vous, j'étais dans la cuisine avec vous, vous parliez et moi j'étais là, j'écoutais votre conversation, je pouvais débattre avec vous et tout. Et ça c'est fou parce que j'ai réussi à réaliser ce truc-là, ce truc de connexion et de proximité. Et même en vidéo, ça veut dire que la façon dont ça a été formé, la façon dont j'ai réussi à l'organiser, j'ai réussi à faire... l'impossible alors vraiment l'impossible vraiment je me la pète là dans mon épisode mais genre concrètement je suis très fière de cet épisode là et pareil comme je l'ai dit sur les autres épisodes comme pour le bon des créateurs il y a encore d'autres épisodes que j'aimerais réaliser après là le côté vidéo il est beaucoup plus technique que du podcast c'est à dire que là il faut vraiment trouver le lieu il faut pouvoir poser du coup les caméras et tout plus de temps aussi au niveau du tournage plus de temps au niveau du montage aussi parce que le montage vidéo est beaucoup plus compliqué, je trouve, que le montage audio. Après, bon, c'est vraiment les goûts et les couleurs de chacun. Mais voilà, en tout cas, pour la partie YouTube, on a eu ça. Après, on a eu aussi la création du coup de contenu via TikTok. Donc là, j'ai créé du contenu. Vraiment, beaucoup de guillemets à ça. Enfin, j'ai noté dans mon doc création de contenu, mais en fait, c'était souvent des extraits que je créais. Et après, j'ai aussi Ouais, en fait, là, vraiment, je suis en train de me dénigrer, mais en fait, je me rends compte que, oui, il y avait les extraits, du coup, qui est déjà disponible sur TikTok et en Reels aussi. Mais il y a aussi des vidéos que j'ai créées, du coup, dernièrement. Il y a un petit moment quand même que vous avez pu voir. Donc, comment est-ce que j'ai créé le podcast ? Du coup, les cinq conseils un peu qu'on pouvait avoir pour du podcast et tout. Donc, en fait, j'ai fait quelques vidéos et j'ai voulu me lancer un peu sur TikTok sur... Du coup, tout le milieu du podcast, etc. Donc ça, c'est quelque chose qui faisait que je travaille un peu plus, je trouve. Mais en vrai, j'étais contente parce que, en dehors des extraits, il y avait quand même des choses qui intéressaient les gens. Et donc là, on touche une audience qui est dans ma cible, en quelque sorte. Et donc, création de contenu sur TikTok aussi, c'était un sacré challenge, en vrai. Et aussi, le lancement de la communication sur LinkedIn, une fois par semaine. Oh la vache ! Ah oui, amélioration de la communication, vraiment, c'était le bon mot, en fait, en vrai. Parce que LinkedIn, je me suis lancée cette année aussi sur la saison 3, où je faisais une communication par semaine. Donc là, ça fait peut-être deux semaines que je n'ai pas posté sur LinkedIn, mais c'est un autre détail. Donc oui, LinkedIn que j'utilise pour promouvoir le podcast, donc promouvoir mon podcast, donc on papote, mais également aussi promouvoir le milieu du podcast. Donc avec les événements que j'ai pu faire, j'ai pu aller au Pod Paris. où là, du coup, j'ai pu faire une communication sur le fait que j'étais allée, qui est-ce que j'ai pu rencontrer, les événements auxquels j'ai pu assister, etc. LinkedIn pour un côté beaucoup plus professionnel, donc pour rencontrer des entreprises, des trucs comme ça. Et aussi, du coup, pourquoi pas des parents pouvant en discuter après. J'avais noté une nouvelle façon d'amener les sujets. Donc, on avait une nouvelle façon d'amener les sujets, j'ai trouvé dans cette nouvelle saison, donc la saison 3, où il y avait beaucoup plus, encore le mot légèreté, de légèreté sur les épisodes parce que par exemple l'épisode avec du coup c'était Mathéo et Emilia où on a parlé du coup de nos premiers amours, c'était un épisode vraiment super il était pas léger celui-là il était plutôt convivial c'est le mot convivial qu'il faudrait sortir il était très convivial dans le sens où en fait on avait même plus l'impression qu'on parlait du coup en interview mais en fait on parlait entre potes Et c'était très marrant d'avoir ce truc-là parce que Mathéo et Emilien, je ne les connais pas vraiment. Enfin, pas vraiment en fait. Et du coup, il y a vraiment eu ce truc où on rigolait et tout. Et c'est très marrant parce qu'en fait, même si l'épisode est sorti en octobre, je crois. Non, même pas. Il est sorti en mai. Mais ouais, en fait, c'est devenu l'épisode, c'est votre épisode préféré, dans le sens où Spotify m'a dit concrètement, c'est l'épisode qui a été le plus écouté par ton audience. Et du coup, bravo à eux. Bravo les gars, parce que du coup, vous avez été l'épisode le plus écouté de mon podcast. Et c'est très marrant parce que ça signifie qu'en fait, ce genre de sujet-là, cette façon de ramener les thématiques, cette façon de ramener un peu le sujet autour de la table, c'est une façon beaucoup plus... intéressantes que de la façon beaucoup plus carrée, interview où je pose des questions on me répond etc et j'ai voulu créer ça aussi avec Alexandre du coup j'ai l'épisode du mois de novembre où là on avait parlé du coup des années 2000, de grandir avec internet et tout ça et donc là Alexandre je le connaissais déjà un peu plus face à Mathéo et Emilien et donc pareil on a eu ce truc de légèreté où on a pu rigoler etc et c'était très marrant, c'était super intéressant donc voilà donc c'est vraiment euh... une nouvelle façon d'amener les sujets et je pense que c'est ce que je vais essayer de ramener en 2025 du coup, la prochaine fois pour d'autres thématiques, d'autres tournages pour pouvoir un peu plus ramener ce côté discussion et pas ce côté bon bah on est en interview en relation presse, je vous pose des questions vous me répondez et puis c'est fini et voilà vous rentrez chez vous, non c'est vraiment un moment convivial qu'on essaie de passer et je pense que là en fait ça a été un peu le déclic avec Mathéo et Emilia sur le fait que j'ai passé un vrai bon moment et pas juste... à un bon moment. Et c'est ça la nuance que j'ai eue et je pense que c'est pour ça que en plus d'être votre épisode préféré, c'est aussi le mien. Et vraiment encore bravo à ces deux-là d'avoir réussi à vous faire aimer du coup cette thématique du premier amour. On a aussi de nouvelles rencontres et des participations à des festivals. J'ai pu intégrer un groupe de podcasteurs du coup sur Rennes, où on se rencontre assez quotidiennement du coup pour parler un peu podcast, parler un peu... un peu de tout ce qu'on fait autour de nos podcasts et même se poser des questions, etc. Donc ça, c'est super bien. On a aussi les participations au festival. Donc comme j'ai dit, le Pod Paris, où j'ai pu venir pendant un week-end, venir à Paris, à la Belle-Villoise, pour rencontrer d'autres personnes du milieu du podcast, aussi me renseigner sur des formations. J'ai pu écouter des podcasts que j'écoutais. Donc par exemple, j'ai perdu le nom, mais c'était un podcast sur le cul, je crois. et j'ai perdu le nom je suis vraiment désolée je le mettrai en description je pense si j'arrive à le retrouver mais voilà donc j'ai pu écouter des podcasts comme ça j'ai pu en découvrir aussi avec la chose étrange qui était vraiment un podcast auquel je ne m'y attendais pas et j'ai beaucoup adoré donc voilà en vrai c'est super parce que j'ai pu rencontrer d'autres gens j'ai pu revoir aussi des créateurs que je connaissais du coup sur Paris donc par exemple Bérénice qui a le podcast le canap de billes où elle parle de cinéma et du coup je vois que je viens sur Paris et qu'on vient à des conférences comme ça sur le podcast et je me dis Chaque fois, on se recroise et c'est toujours marrant de se recroiser sur les mêmes endroits. Et c'est toujours un plaisir de la revoir et de discuter avec elle sur le podcast. Et aussi, il y a un souhait de professionnalisation, donc avec l'achat d'une caméra pour ma part. Mon petit cadeau de Noël, mon petit plaisir de fin d'année où je me suis permise de m'acheter une petite caméra pour réaliser. Donc là, ça va plus être pour des vlogs, pour de la création de contenu, du coup plus pour YouTube, je pense. Parce que même si là, je suis un peu en train de délaisser mes réseaux, parce que comme je l'ai dit, c'est beaucoup de temps. Et je trouve qu'en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps ou alors je ne me laisse pas le temps. Je ne sais pas, c'est un peu compliqué. C'est un peu le fouillis. Et donc là, ça va plus être sur de la création pour YouTube. Donc ça va plus servir pour, par exemple, les épisodes de fait maison. Je vais avoir une meilleure qualité aussi vidéo. Du coup, une meilleure qualité vidéo. Ça va être plus intéressant et plus confortable pour vous. Il y a aussi Yahoo que j'ai intégré, du coup, où je vais avoir un parrain ou une marraine qui va pouvoir me suivre dans mon projet de professionnalisation sur le milieu du podcast, le milieu de l'entrepreneuriat et tout. Et donc ça, c'est vraiment cool. C'est une envie quand même, une ambition de pouvoir continuer. Et je trouve ça cool parce que 2023, on finissait l'année avec du coup, en quelque sorte, des doutes par rapport au podcast, par rapport à... à ce que je voulais faire après. Et en vrai, là, 2024 se termine avec quand même une envie de professionnalisation, de rester dans un milieu où je peux rester derrière un micro, je peux interroger des gens et parler avec d'autres personnes. Et ça, c'est vraiment cool. C'est vraiment des choses, une année qui a été quand même riche en rencontres, riche en émotions et riche en rebondissements. En vrai, vraiment 2024, BG. Si on devait résumer 2024 en chiffres, concrètement, du coup, grâce à mon petit Spotify... Ou WAPET, je crois que c'est ça le nom. Vous vous rappelez ? Bon, bref, je ne sais plus. Donc, grâce au truc Spotify, bref, qu'on a tous eu et qu'on a tous mis en story, genre pour dire qu'on a écouté tel ou tel artiste. Donc, 2024 en chiffres avec On Papote, ça donne 80% de nouveaux auditeurs Spotify, ce qui est super parce que du coup, ça augmente un peu l'audience. Ça veut dire qu'il y a beaucoup plus de personnes qui sont intéressées un peu à ce que je peux raconter quand même. ou à ce que je peux proposer comme sujet. Et ça, c'est cool parce que ma tranche d'âge qui a été le plus augmentée a été la partie 45-50, je crois, si je ne me trompe pas. Et du coup, cette partie-là a augmenté grâce, je pense, à LinkedIn, grâce aussi à ma recherche d'alternance. Et en vrai, ça a été super cool parce que du coup, ça permet à des parents de pouvoir découvrir les problématiques que leurs enfants peuvent rencontrer ou vont pouvoir rencontrer dans leur vie d'adulte. Et ça, c'est vraiment un truc qui est vraiment génial de voir que même ma tutrice continue de m'écouter alors qu'elle m'a déjà embauchée. Ça fait déjà un an que je travaille à ses côtés, mais qu'elle continue d'écouter le podcast. Et ça, c'est vraiment fou de se dire qu'il n'y a pas que des jeunes qui se posent des questions. Il n'y a pas que des jeunes qui veulent des réponses. Il y a aussi les parents qui veulent des réponses pour comprendre un peu mieux leurs enfants. Et ça, c'est vraiment quelque chose que j'aimerais pouvoir réaliser par la suite. Continuer à proposer ce genre de sujet. tu vas réussir à lire ce genre de sujet et donc voilà, on est sur ça une note de 5 sur 5 super cool, donc continuez à noter l'émission évidemment, je ne le dis jamais assez et j'oublie souvent de le dire de noter l'émission quand vous l'écoutez sur votre plateforme d'écoute préférée, c'est toujours très important ça soutient le projet et donc voilà la preuve, une note de 5 sur 5 du coup sur Spotify on est sur un podcast qui a été écouté dans 5 pays différents je crois dans mes souvenirs ça a été la France... On avait eu la Belgique, on avait eu le Canada, on a eu... Alors, je ne sais plus. Je crois qu'il y a eu un moment les Etats-Unis. Ouais, je crois que c'est tout. Là, je n'ai plus vraiment en tête, je ne sais plus. Mais en tête, il y avait surtout la France, parce que généralement, les gens qui m'écoutent étaient en Bretagne. Il y avait Île-de-France, il y avait dans le sud aussi, je crois. Mais voilà, à peu près la carte. Donc, si vous reconnaissez, ben voilà. Je suis contente de voir que vous m'écoutez un peu aux quatre coins de la planète. Et c'est cool de se dire qu'en fait, une fille qui est dans un studio, qui parle derrière un micro avec personne en face d'elle, et qui a juste un ordi ouvert devant elle avec ses notes, peut être écoutée un peu aux quatre coins du monde. Et ça, c'est fou quand on y pense. Vraiment, Internet est très puissant. Ça, j'aurais dû le dire dans l'épisode avec Alexandra. Donc voilà, un podcast qui a été écouté dans cinq pays différents. On a aussi une présence. Alors ça, ça a vraiment été la surprise. C'est cool. Une présence dans le top 5 de 64 personnes et émission numéro 1 de 18 personnes. Donc là, en fait, concrètement, ça veut dire qu'en fait, il y a des gens, il y a 18 personnes sur cette planète pour qui On Papote a été le podcast numéro 1. Et je tiens à dire, je ne suis pas numéro 1 dans mon propre résumé Spotify. Ça veut dire qu'en fait, c'est vraiment 18 autres personnes que moi. Et vraiment, s'il y a moyen de savoir qui c'est, vraiment, je vous en supplie, envoyez-moi un DM Insta. Parce que c'est vraiment fou. J'aimerais savoir qui vous êtes pour pouvoir vous remercier. Parce qu'on ne se rend pas assez compte du plaisir que ça peut donner d'être le numéro 1 par rapport à d'autres créateurs. Surtout qu'on sait qu'il y a plein de créateurs, il y a plein de podcasts qui existent. Mais moi, petite créatrice qui fait mon truc de mon côté, être dans le top 1 de 18 personnes, c'est vraiment fou. Et vraiment, je tenais à vous remercier. Même pour les 64 personnes. Les 64 personnes. englobe les 18 personnes aussi donc je suis dans le top 1 donc en vrai très contente de ces résultats là et de voir que le podcast continue à vous plaire donc voilà on est un peu sur une fin d'épisode par rapport à cela je tenais surtout à vous remercier d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que je fais, à écouter le podcast, à surtout m'envoyer vos messages, je sais que c'est pas beaucoup de personnes qui le font Mais le peu de personnes qui le fait, qui me remercie, ou le peu de personnes qui juste dit, cet épisode-là, il a été super, que ce soit en physique ou que ce soit par... Par message privé, il n'y a aucun problème. Genre vraiment, ça fait très plaisir. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est gratifiant de savoir que ce qu'on réalise, ce qu'on produit de notre côté est écouté par d'autres personnes et sont contents du contenu qu'on peut proposer, même si des fois, comme on peut le dire, il y a des doutes. Il y a des moments où on ne sait pas si du coup ce qu'on fait, c'est bien, si du coup ce qu'on a réalisé, c'est à la hauteur un peu des exigences de notre audience. Mais de savoir ça que... que cet épisode-là vous a plu, que cet épisode-là, il faudrait mieux le retravailler, etc. Ça fait toujours plaisir d'avoir des retours et de savoir qu'en fait, c'est écouté et que ça plaît à d'autres. Et voilà, donc je tenais à vous remercier par rapport à tout ça. Et j'espère qu'en fait, 2025 va être encore plus intéressant, encore plus merveilleux que 2024. Et on clôture une année vraiment qui a été folle, du coup, en rencontre, comme je l'ai dit, folle en ouverture d'esprit. folle aussi sur de nouveaux concepts. Il y a pas mal de choses qui ont été faites et sur lesquelles je n'aurais même pas pensé me lancer quand j'ai débuté dans le podcast. Je tenais quand même pour remercier parce que ce n'est pas souvent qu'on y pense et ce n'est pas souvent qu'on peut se dire qu'on prend du plaisir à faire ce qu'on fait et de savoir que c'est écouté par d'autres, ça fait plaisir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode spécial anniversaire. Comme j'ai dit, merci encore à vous tous. C'est vraiment un plaisir d'être avec vous au quotidien, d'être mensuellement dans vos oreilles. C'est très bizarre dit comme ça, mais c'est un peu la vérité. Donc voilà, on se retrouve du coup en 2025. Continuez l'aventure et évidemment, découvrez de nouveaux sujets. Et moi, je vous dis bonne année. Passez de très belles fêtes de fin d'année. Et on se retrouve en 2025 pour un nouvel épisode de On Papote. Salut !

Description

Dans cet épisode, on célèbre ensemble les deux ans de création du podcast "on papote ?" en faisant le bilan de l'année 2024.

Pourquoi je me suis lancée ? Comment je m'organise au quotidien (spoil : je suis toujours en retard) ? Quelles ont été les choses marquantes de cette année ? Aujourd'hui, on répond à toutes ces questions.


Un podcast qui a su toucher plus de monde cette année et répondre aux questions des jeunes adultes (ainsi que de leurs parents) sur divers sujets de la vie quotidienne. Relations sociales, vie professionnelle ou encore introspection, venez trouver les réponses à vos questions chez "on papote ?"


On se retrouve en 2025 pour de nouveaux épisodes et de nouveaux concepts toujours aussi fous !


- A

---

Suis "on papote ?" sur les réseaux sociaux :

Instagram : https://www.instagram.com/onpapote.podcast/

TikTok : https://www.tiktok.com/@onpapopote.podcast

Youtube : https://www.youtube.com/@onpapote.podcast



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Est-ce que les années étudiantes sont vraiment les meilleures de mon temps ? J'ai beaucoup d'importance à mon physique. Est-ce que ça fait de moi quelqu'un de superficiel ? La première fois, c'était vraiment si important. C'est grave, c'est grave. J'ai une fille et j'ai pas envie d'avoir... J'ai toujours pas mon bac. Est-ce que c'est normal ? J'ai toujours pas d'avoir ce que... Parce que j'ai jamais été en couple. Est-ce que c'est normal ? Je vais pas avoir d'influence. Est-ce que j'ai toujours pas d'importance ? J'ai bien l'impression que j'ai pas d'importance à mon physique. Est-ce que j'ai super... Est-ce que c'est normal ? Chut ! Eh ben viens, on s'assoit et on papote. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on se retrouve pour un nouvel épisode, un petit hors-série spécial... anniversaire. Au moment où vous écoutez ce podcast, On Papote souffle sa deuxième bougie. Et oui, deux ans du coup de création, deux ans de podcast que vous écoutez maintenant de façon mensuelle. Et oui, du coup, On Papote, un anniversaire qui tombe parfaitement pour refaire du coup un point sur ces deux ans qui se sont écoulés et pouvoir parler avec vous à cœur ouvert. Donc on va recommencer un peu par les débuts, on va faire de façon chronologique. Donc j'ai noté des petits trucs quand même qui étaient assez importants, je pense, à noter et à préciser. Donc là, pour cet épisode, je serai toute seule, donc il n'y aura pas d'invité, pas de guest spécial. Donc vraiment, c'est un peu comme le concept d'Entre vous et moi, c'est vraiment là où je vais vous parler un peu plus du coup de tout ce que j'ai pu traverser par rapport à ça. On l'avait déjà fait une première fois, vous avez parlé du moment où je voulais faire une pause par rapport au podcast. Et du coup, je vais vous parler un peu de tout ça, de tout ce qui tourne autour du podcast et ce qui tourne un peu en dehors de ce que vous pouvez voir vous en tant qu'auditeur. Donc je vais déjà commencer par me représenter ou me présenter pour ceux qui ne me connaissent pas. Du coup, je m'appelle Annaëlle, j'ai 22 ans. Actuellement, je suis en master brand content, donc tout ce qui est en lien avec la communication. Et donc, depuis deux ans maintenant, j'ai mon podcast On Papote, dans lequel j'interroge un peu la nouvelle génération, donc la génération Z, donc entre 18 et 30 ans actuellement, et du coup, sur les problématiques qu'elle peut rencontrer. Donc on est là, on parle souvent de tout ce qui va être problèmes familiaux, tout ce qui va être les relations sociales, donc on a beaucoup parlé de tout ce qui était les amitiés, on a parlé des ruptures amicales, on a parlé du coup du couple aussi, on a parlé dernièrement du coup de tout ce qui était les maladies mentales, on a aussi parlé... de tout ce qu'avaient été les règles, tout ce qu'avaient été être un homme aussi, faites des questions un peu que ma génération se pose, et donc on est là pour y répondre, et surtout pour mettre en avant cette génération qui se pose des questions, et permettre à cette génération qui se pose des questions d'avoir des réponses par la même génération, et pas par une autre personne, par une personne plus âgée, par exemple, qui aura plus de facilité en quelque sorte à nous prendre de haut, parfois, c'est ce que j'ai souvent trouvé, et donc c'est l'une des raisons aussi pour lesquelles j'ai voulu créer ce podcast, c'est parce que... Dès l'instant où j'avais des questions, je ne savais pas vraiment vers qui me tourner pour du coup avoir des réponses. Et on est un peu là aussi pour répondre, pour pouvoir échanger, pour pouvoir raconter aussi des récits de vie. C'est vraiment ça qui est le plus important, je trouve, avec On Papote, c'est que ça permet de rencontrer pas mal de monde et d'avoir des histoires de vie qu'on n'aurait pas pu entendre si, par exemple, on n'avait pas écouté le podcast ou s'il n'y avait pas le podcast pour pouvoir en discuter. Et donc, on va parler un peu concrètement de... Pourquoi est-ce que je me suis lancée dans le podcast ? J'ai un peu expliqué concrètement que j'avais pas mal de questions quand je suis arrivée sur Rennes. Pour ceux qui ne le savent pas, avant de venir sur Rennes pour faire mes études, j'étais en Martinique, chez mes parents. Et donc j'ai dû déménager, exceptionnellement, pour mes études, pour faire ma licence Infocom que j'ai fait à Rennes 2. Et donc du coup, je me suis lancée dans le podcast courant de l'année 2023, si je ne me trompe pas. Donc j'avais un projet universitaire à faire autour du Covid, et oui encore, donc un projet qui tournait surtout sur l'impact du Covid par la jeunesse. Donc en 2020, on a tous connu cette période de pandémie, cette période de confinement, et donc j'ai pu partir à la recherche de l'information, poser des questions à mon entourage, aux gens qui avaient à peu près mon âge, donc qui avaient la vingtaine, et qui en fait ont vécu aussi le Covid. De façon différente, car chacun a eu sa vision de cette pandémie. Il y en a qui l'ont appréciée et qui ne l'ont pas appréciée, par exemple le confinement. Personnellement, j'ai parti du clan qui a apprécié le confinement. Je vous le dis déjà, le confinement, ça a été pour moi très bénéfique parce que la terminale, ça a été très difficile. Et en fait, le fait de rester chez moi, j'ai eu beaucoup plus de facilité à terminer la terminale et avoir de meilleures notes que si j'avais continué en cours. Donc c'est pour ça que j'ai beaucoup plus apprécié le confinement, que ce soit le premier comme le deuxième, où en fait... j'étais beaucoup plus réservée déjà à l'époque et c'était beaucoup plus intéressant de rester chez moi avec mon confort en quelque sorte plutôt que de sortir, tout ça, aller en cours etc. Donc je pense que c'est peut-être pour ça que j'ai beaucoup plus préféré du coup le confinement Donc je reviens un peu à mes moutons on avait ce projet de cours que je devais rendre donc le format était un peu libre et du coup je me suis dit que je vais partir sur un peu un format audio parce qu'à cette époque-là j'écoutais déjà tout ce qui était un bon moment réalisé par Ken Kojandi et aussi Entre Mecs réalisé par Ben Nevers Donc... Pour ceux qui me connaissent, ils ont déjà le début de l'histoire. Par rapport à tout ça, c'est deux personnes qui m'inspirent énormément et dont je continue de suivre le travail et qui sont vraiment pour moi mes deux sources d'inspiration que j'aimerais rencontrer. Si un jour, Ken Kojandi ou Ben Nevers, vous entendez ça, vraiment, j'aimerais un jour vous rencontrer et pouvoir parler avec vous de tout ce que vous avez pu réaliser, que ce soit les projets que j'ai évoqués, Un bon moment et Entre mecs. En fait, tout l'univers qu'ils ont, tous les deux, c'est vraiment des choses qui m'inspirent au quotidien. Et c'est vraiment inspirant et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup regarder et consommer en règle générale. Et donc voilà, je souhaitais répondre un peu à ces problématiques-là que j'avais. Et en faisant ce projet-là, ce qui a été surtout bénéfique, c'est le retour que j'ai eu. Dans le sens où j'ai réalisé, j'ai interrogé pas mal de personnes, on va dire une dizaine de mes amis proches. C'est un projet que j'ai toujours du coup dans mes... dans mes fichiers que j'écoute de temps en temps. Mais en fait, le sujet clé, le point phare de cette histoire, c'est surtout le retour de mon professeur que j'ai eu dessus, qui m'avait donné une super bonne note dessus. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié parce que... Je me suis rendu compte que la réalisation de ce contenu audio, c'était vraiment quelque chose que j'avais apprécié faire, le moment où il fallait réfléchir aux questions, le moment où il fallait partir interroger ces personnes-là, le moment où il fallait faire le montage. Toute cette histoire que j'avais créée, parce que c'était vraiment un podcast, un quelque sorte narratif, dans le sens où il y avait une histoire, où j'avais écrit un peu une introduction, une conclusion, il y avait des transitions entre chaque témoignage. que j'ai pu recevoir. Et c'était vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié réaliser. Et de là, en fait, là où mon professeur a fait son retour, du coup, j'ai eu vraiment quelque chose d'assez inspirant qui m'a dit, mais vraiment, c'est quelque chose de... Pas de fantastique, en quelque sorte, mais c'était vraiment quelque chose de très inspirant qui était incroyable, en quelque sorte. Alors, avec beaucoup de guillemets à lire. Et donc, voilà, c'est pour ça, en fait, que je suis revenue sur ça parce que c'était vraiment un épisode que j'ai adoré faire. Enfin, un épisode. C'est vraiment un projet que j'ai adoré faire. Et c'est de là que ma passion pour être derrière un micro est venue. Et de là, je me suis un peu rapprochée de la radio universitaire C-Lab, qui y a toujours dans l'université Rennes 2. Je me suis rapprochée d'eux. J'ai d'abord participé à une émission de radio qui s'appelait Rap Taglorc, où on parlait du coup de rap. Et je me suis rendue compte que la thématique du rap, même si j'étais derrière un micro, ce n'était pas forcément ce que je voulais aborder. Et finalement, je suis partie plus... Du coup, sur autre chose, mais avant de partir sur le projet de On Papote, je me suis dit que finalement, ce n'est pas la radio qui me plaît, peut-être que c'est autre chose. Donc, je me suis laissé un temps de pause en quelque sorte. Et finalement, ce qui s'est passé, c'est que je suis revenue du coup en 2023 avec cette idée finalement de répondre à des questions sur lesquelles on n'a pas forcément de réponse quand on est jeune, quand on est jeune adulte. Donc, moi, étant donné que je venais d'Outre-mer, il y avait pas mal de questions que je ne comprenais pas, pas mal de choses que je ne comprenais pas en métropole. et auxquelles il a fallu faire face, et même sur la vie tout court, sur le changement qu'on a quand on devient adulte, quand on est enfant ou adolescent et qu'on n'est pas encore livré à nous-mêmes. Les gens ont moins d'attentes par rapport à ça, par rapport à ce qu'on peut réaliser, que quand on est adulte. Et du coup, c'est à ce moment-là où on se rend compte un petit peu qu'il y a des choses sur lesquelles... On ne peut pas avoir la faiblesse de dire ah mais je ne savais pas Et il y a des choses sur lesquelles, quand tu le dis à un adulte, alors je mets adulte dans le sens où c'est encore difficile de se considérer encore comme un adulte, ça c'est un sujet qu'il faudrait qu'on traite un jour, parce que j'en parle souvent avec des amis, et quand je leur demande mais du coup, est-ce que tu te considères comme un adulte ? Est-ce que pour toi, tu es un adulte ? Est-ce que ça veut dire quoi être un adulte ? Et bien en fait, on a un peu ce truc de... En fait, on ne sait pas si on est adulte ou pas, parce qu'on est trop jeune pour certains, pour être vraiment considéré comme des adultes, parce que c'est encore le cas. La semaine dernière, je parlais avec une collègue et j'ai été un peu infantilisée, dans le sens où on m'a un peu confondue avec une enfant de 15 ans. Mais il y a aussi le truc de, on est trop âgé pour ne pas savoir. Parce que du coup, moi j'ai un petit frère et il y a des choses sur lesquelles lui il attend des réponses, auxquelles moi-même je n'ai pas de réponse. mais du coup techniquement je suis la plus âgée donc je suis censée pouvoir répondre à sa question étant donné que je suis plus proche de son âge que de l'âge de mes parents et c'est plus vers moi qu'il va aller se tourner s'il y a une question que se tourner vers les parents surtout si c'est des questions par exemple en lit avec son parcours genre s'il doit trouver du coup quelle formation il doit faire qu'est-ce qu'il doit faire après après le parcours sup etc donc en fait on a ce truc d'être inclus entre deux chaises un peu où on ne sait pas vraiment où se placer et c'est tout Très difficile et très compliqué de pouvoir réussir à savoir vers quoi est-ce qu'on doit aller, vers quoi on doit tendre. Et de là est venu On Papote, donc j'ai pu le créer avec d'abord une personne qui s'appelait Sarah, qui était là au tout début, donc pour ceux qui seraient intéressés de réécouter ou de découvrir les premiers épisodes, donc vous allez voir, on était deux au tout début, il y avait Sarah qui était présente, qui co-animait avec moi le podcast jusqu'à environ huit épisodes. Les huit premiers épisodes, elle était là, elle animait avec moi, et finalement elle est partie. Et du coup j'ai repris la main un peu par rapport à tout ça et donc en fait prendre la main par rapport à ça sur le podcast fait que maintenant je peux proposer des sujets sur lesquels moi-même je me sens concernée et sur lesquels j'ai envie d'avoir plus de réponses. C'est-à-dire que déjà on avait un peu une différence d'âge avec Sarah qui fait qu'aussi on n'avait pas forcément peut-être les mêmes questions, les mêmes interrogations qu'on pouvait se poser et là maintenant je peux plus interroger certaines choses qui se passent actuellement du coup dans ma vie. Et c'est souvent ça que je fais, les questions, les thématiques que vous pouvez retrouver sur le podcast, c'est souvent des questions que je me pose, des thématiques que je vis actuellement. Et je trouve que c'est super intéressant parce que du coup, on peut se rendre compte qu'il y a pas mal de choses qu'on vit quotidiennement. Et c'est vraiment intéressant de pouvoir avoir ces récits de vie-là, ou alors même de pouvoir découvrir des récits de vie. Dans le sens où par exemple, l'épisode sur les parents séparés, mes parents ne sont pas séparés, mais j'étais quand même intriguée de savoir comment ça se passait du coup. qu'on a deux parents qui sont séparés et qu'on doit faire un peu l'aller-retour entre les deux. Et j'ai été beaucoup surprise par rapport aux témoignages que j'ai pu avoir, déjà par rapport aux personnes qui ont candidaté, et même par rapport aux personnes qui sont venues parler de leur histoire. Et je trouve ça toujours intéressant parce que chacun vient partager son histoire, son effet de vie. Et en fait, je me rends compte qu'ils n'ont pas forcément... Le moment où ils n'ont pas forcément l'endroit pour pouvoir en discuter et ouvrir leur cœur, pour pouvoir parler de ces problèmes-là, de ces thématiques-là, qui font partie d'eux, mais en fait, ils en parlent avec leurs amis ou avec leurs proches, mais il n'y a pas plus d'informations. L'en parler avec des inconnus ou même en faire de la sensibilisation pour certains sujets, ils n'en ont pas forcément l'occasion, en quelque sorte, parce que c'est vraiment des sujets très personnels. Et on ne peut pas arriver de but en blanc et dire, ah ben moi, mon père, il ne vit plus avec ma mère et c'est ultra compliqué parce que du coup, je me retrouve à devoir gérer mes frères et sœurs et tout. Ou, je ne sais pas, moi, mes parents, du coup, je ne les vois pas parce que du coup, j'ai été placée en foyer. C'est méga compliqué parce qu'il y a des trucs que je ne comprends pas. Mes parents, je ne les vois pas souvent. Ou, ah ben, dans ma relation, il se passe ça, mais je ne comprends pas. Ça ne devrait pas être comme ça et tout. Et en fait, toutes ces thématiques-là, c'est des choses sur lesquelles... On n'a pas forcément le courage ou on n'a pas forcément l'endroit pour en parler. Et c'était un peu ça que j'ai voulu mettre en place avec On Papote, c'était avoir un espace où on peut avoir un espace d'échange, un espace de moment de vie. En fait, c'est ça que j'essaie de mettre en place, surtout, des moments de vie de partage avec, du coup, le podcast et avec les rencontres, surtout, que je fais. Parce que ces gens-là, en fait, ces gens que je rencontre, ces gens que j'interroge, donc les gens que vous écoutez mensuellement, en fait, c'est des gens qui ont des histoires à raconter et c'est des gens... à qui j'ai envie de donner la parole et à qui j'ai envie que leur histoire soit partagée également. Et donc en fait, là on va parler un peu plus des défis que j'ai pu rencontrer. Donc on a eu le départ de Sarah qui a fait quand même un peu une grande claque, je vous l'avouais, même si c'était bien dans un sens parce que j'ai pu, comme je l'ai dit, mettre plus en avant certaines des thématiques que je voulais aborder. Mais c'était un peu compliqué parce qu'on ne se rend pas forcément compte, mais j'ai déjà dit à plusieurs reprises dans le podcast et même sur les réseaux, Un podcast, ce n'est pas si simple. On a pas mal de choses à préparer. Étant donné que je n'ai pas de studio à moi, je suis obligée d'en réserver un à l'université. Il faut que je cale un moment où je suis disponible, mes invités sont disponibles, et le studio est disponible pour pouvoir venir et enregistrer. Il y a aussi toute la partie communication, il y a aussi toute la partie réalisation, écriture du script, recherche des invités. Après, il y a la post-prod. En fait, il y a pas mal de choses sur lesquelles il y a un derrière, en fait. Il y a pas mal de choses à faire en amont comme après, comme en aval. Et ces choses-là, en fait, souvent ne sont pas vues par le grand public parce qu'on se dit Oh, c'est bon, elle a enregistré. Du coup, l'épisode est sorti. Oh, c'est fini. Mais en fait, non, vraiment, moi, mon podcast, il y avait une période où, en fait, il fallait le gérer limite quotidiennement. Et en fait, c'est ce que je dis souvent, c'est que si vous voulez faire un podcast, C'est important quand même de se dire qu'en fait, le temps libre que vous avez, il faudra à grande échelle le mettre en place pour le podcast. Moi, c'est par exemple mes samedis ou alors mes soirées sont réservées par exemple au podcast. Je n'ai pas vraiment d'organisation à proprement parler. C'est-à-dire qu'en fait, je travaille dès l'instant où j'ai du temps, dès l'instant où je peux, dès l'instant où j'ai l'envie aussi. Il faut que ça reste une envie, une passion. Et c'est vrai que ça, c'est aussi une des... Un des défis que j'ai pu rencontrer, le fait que parfois le travail prend le dessus et du coup on perd un peu l'envie de se retrouver au studio, on perd l'envie de créer quelque chose, de créer du contenu, étant donné qu'en fait le moment où on est au studio, ça représente vraiment 1% du travail qu'on réalise. Et donc en fait on réalise beaucoup de choses avant comme après et juste pour le moment où on va arriver au studio et on va pouvoir passer un vrai moment. intéressant, que ce soit avec des invités ou tout seul. Et donc là, en fait, par rapport au départ de Sarah, on a eu aussi un juste milieu à pouvoir réussir à placer ma vie étudiante, l'alternance et du coup le podcast, parce que, comme je l'ai dit, maintenant je suis en master, donc maintenant je fais de l'alternance. Et donc, concrètement, comme je l'ai dit, c'est du temps aussi à prendre en compte et on l'oublie souvent et en fait, quand on voit que... Mes journées, elles sont un peu millimétrées parce qu'il faut que je fasse le podcast par-ci, le podcast par-là. Pendant des cours, je me retrouve à écrire des scripts, je me retrouve à devoir contacter des invités pour savoir s'ils sont disponibles à telle date. Il faut que je contacte aussi le studio pour dire est-ce que du coup à telle date, le studio est disponible pour que je puisse venir enregistrer. Il y a pas mal de choses à voir et c'est beaucoup de travail. J'avais noté les statistiques et la peur de la page blanche. Ça m'était arrivé du coup quand j'en avais parlé dans mon premier épisode entre vous et moi. Et je l'avais beaucoup dit, j'avais un peu ce truc où je perdais un peu l'envie, mais en fait il y avait aussi les statistiques, le fait qu'on voit que parfois le podcast peut stagner, on peut se comparer par exemple aux autres, parce que moi par exemple, mes sources d'inspiration comme je l'ai dit c'est Ken Kojandi et Ben Nevers, mais du coup c'est des personnes qui ont déjà réussi dans le milieu de la création, donc pas forcément dans le milieu du podcast en général, mais dans le milieu de la création de contenu, ou même de l'humour pour Ken Kojandi. Et donc là, avec l'entourage que j'ai, pareil, dans le milieu du podcast, je peux me comparer aussi souvent à eux. Ce que je disais encore dernièrement à un ami, c'est que c'est cool, du coup, je discute avec tout le monde et tout, machin. Mais en fait, on ne se rend pas compte, mais quotidiennement, je regarde les chiffres que j'ai pu avoir. Je regarde si, du coup, cet épisode-là, il a bien fonctionné ou pas. Quand il y a eu, du coup, le récap Spotify, du coup, qu'on va aborder un peu plus tard dans cette émission. j'ai pu voir aussi quel épisode était le plus écouté, j'ai pu découvrir aussi quelle est la nouvelle part d'audience. En fait, on est entouré quotidiennement de chiffres, que ce soit pour les écoutes, mais aussi pour les réseaux sociaux, parce que toute la création de contenu que je fais en dehors, à côté, pour Instagram, TikTok, YouTube, etc., on est entouré de chiffres et on se dit, OK, le temps que j'ai pris pour réaliser ce truc-là, il faut que j'ai en quelque sorte un nombre de... vue ou d'écoute proportionnelle autant que j'ai pris. En fait, je dirais pas que c'est pour tout le monde. Alors je prends vraiment l'exemple que pour moi. Enfin, je me retrouve des fois à me dire ah, c'est peut-être pas suffisant, donc ça veut dire qu'il a pas plu cet épisode-là, donc ça veut dire qu'il faudrait le tourner d'une autre façon. Là, ben j'ai pas pris beaucoup de plaisir à le faire, mais je vois que ça fonctionne bien. Donc en fait, c'est pas mal de choses aussi qui sont assez difficiles à mettre en place et qui sont aussi difficiles du coup à prendre en compte et à faire une part des choses même s'il faudrait le faire. Et c'est ce que tout le monde dit, toutes les personnes qui sont dans la création de contenu le disent, il faut réussir à faire une part des choses entre les statistiques et le plaisir. Mais en fait, quand on débute, c'est les statistiques qui permettent de savoir si du coup ce que tu fais, c'est bien ou pas. Et c'est toujours agréable de savoir qu'il y a tant de personnes qui t'écoutent et tant de personnes qui sont satisfaites du travail que tu peux produire. Parce que même si moi je suis satisfaite du travail que je produis, moi je produis un travail qui est censé être écouté. Et si mon travail n'est pas écouté, ben du coup ça veut dire que je ne sais pas. pas fait mon travail, genre j'ai pas réussi à faire ce que je voulais faire. C'est comme si vous demandiez une table à un charpentier et genre le mec il vous fait une table bancale. Bah c'est son seul travail, genre s'il est pas capable de faire une bonne table c'est qu'il y a un problème, donc vous avez pas à manger sur cette table. Donc voilà, c'était les trois un peu thématiques que j'avais trouvées pour les défis que j'ai affronté. Vraiment c'est des choses qui m'ont le plus parlé et sur lesquelles je me suis battue. Alors je me bats plus en ce moment sur eux. La partie juste milieu entre toute l'organisation de ma vie. Parce que c'est un peu plus compliqué, je trouve, vu que je n'ai pas d'organisation, encore une fois. Donc vraiment, si vous voulez lancer dans le podcast, ne soyez pas comme moi, organisez-vous. Parce que vraiment, ça va dans tous les sens. Mais j'arrive quand même à trouver... En fait, j'ai du temps pour tout, mais pas du temps pour tout. C'est vraiment compliqué. Un jour, il faudrait que je l'explique. Mais c'est vraiment un chaos total. Du coup, là, dans la deuxième partie, je vais plus vous parler d'aujourd'hui et plus précisément de 2024, parce qu'évidemment, on est là pour parler un peu de ce que ça a donné aujourd'hui, de faire un bilan sur ces deux années de podcast, ces deux années de création de contenu, donc ces deux années derrière un micro. Donc, on a commencé 2024 avec un début d'année, avec un crossover, avec Maud, du coup, que vous avez pu déjà rencontrer pour un épisode avec les grands-parents. Donc, j'ai interrogé Samia et Rose, enfin, on a interrogé Samia et Rose, du coup, sur les grands-parents. où on a pu discuter de leur relation avec leurs grands-parents. Et ça, c'est une année qui commence avec un travail en commun qui était assez fou parce que dans le milieu du podcast, je crois que j'ai travaillé qu'avec deux personnes. Oui, deux personnes sur lesquelles... Non, une personne. Du coup, c'était Maud, je crois, la seule personne avec qui j'ai fait un crossover. Et sinon, les autres personnes, c'est des gens du podcast que j'ai interrogés, que je n'ai pas eus, avec qui je n'ai pas co-écrit quelque chose. Et donc, c'était assez marrant. C'était la première fois que je faisais un épisode en crossover. Vraiment, on débute l'année avec beaucoup de nouveautés. On continue du coup avec le lancement de nouveaux concepts. Donc il y a eu le Entre vous et moi qu'on a abordé, où j'ai voulu tester l'épisode 20. l'arrangement d'épisodes toute seule, où là, du coup, c'était plus à cœur ouvert, donc comme maintenant, où je vous parle un peu des problèmes que j'ai dans ma vie actuellement, ou de plein de choses qui me passent par la tête. C'était un type d'émission sur laquelle j'avais un doute, au tout début, parce que je me suis dit, ah putain, je vais être toute seule, ça se trouve, les gens, ils vont me pas aimer, ils préfèrent quand il y a du monde, ils peuvent répondre, et tout. Et en vrai, j'ai eu que de bons retours dessus, il y en avait beaucoup qui étaient intéressés, qui ont eu vraiment ce côté de... proximité. Et j'étais contente parce que c'était un peu ce que je recherchais, du coup, dans ce type de format-là, où je me livrais, en fait, à vous. Et vous, vous ne vous livrez pas forcément à moi parce que, du coup, vous ne pouvez pas répondre par rapport au podcast, même si vous pouvez répondre, du coup, via les réseaux sociaux, etc. Mais c'était assez intéressant de jouer le jeu de l'inviter, c'est moi-même, et surtout, comme on le dit souvent, c'est apprendre à apprécier sa propre compagnie. Et donc là, j'ai... appris un peu à apprécier ma propre compagnie au studio où j'ai personne en fait qui va répondre à mes questions ou la personne qui pose les questions et aussi la personne qui doit y répondre et c'était très marrant de jouer à ce jeu là et je pense que c'est un concept que je vais pouvoir retravailler et retrouver prochainement du coup j'ai déjà des idées de thématiques que j'aimerais aborder mais ça c'est pour un prochain épisode et ensuite on a eu le banc des créateurs du coup pour la troisième saison qui était un épisode du coup avec Maud non ? Donc Maud a fait le début de l'année de janvier et le début de la saison 3. Donc elle a eu beaucoup de chance sur ces deux périodes-là. Donc le banc des créateurs qui est un type d'épisode, un type de format où j'interroge en fait ma génération du coup qui se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Donc j'avais interrogé Maud du coup qui a son entreprise Lisette qui fait des audiobiographies. Et donc je l'avais interrogé un peu sur tout ça, sur le lancement de son entreprise. le parallèle entre sa vie étudiante et du coup sa vie d'auto-entrepreneuse, aussi le parallèle qu'elle avait avec ses parents, c'est-à-dire qu'en fait, dire qu'à 20 ans, tu veux lancer ta boîte et qu'en plus de ça, tu vas arrêter les études, ou tu ne vas pas arrêter les études, mais tu ne sais pas trop, et du coup, tu veux te lancer quand même, mais tu ne sais pas si ça va fonctionner ou pas. Donc pour des parents, c'est un peu compliqué. Et du coup, on avait beaucoup abordé ce sujet-là et elle avait beaucoup aimé discuter de ces thématiques-là. Et donc voilà, c'était vraiment un sujet aussi, un format que j'avais beaucoup apprécié, que je voulais lancer. Et j'étais contente de voir que ça avait bien fonctionné. Encore là, j'ai deux demandes, deux, trois demandes qui sont encore dans les brouillons, qu'il faut que je travaille. Mais il y aura un autre épisode qui va sortir prochainement, du coup, sur ça, où j'interrogerai une autre personne, pareil, sur cette vie d'auto-entreprise. Donc voilà, par rapport à ça. Après, on a eu aussi l'amélioration de la communication. Alors, amélioration, vraiment, la meuf, elle se la pète. Non, non, en gros, c'est vrai que je me suis lancée sur YouTube aussi, avec la première vidéo aussi, du coup, d'un format qui était autre que le podcast. Dans ce sens où maintenant, les épisodes sont aussi disponibles sur YouTube. Donc il y en a beaucoup qui vont l'écouter sur YouTube parce qu'ils vont le découvrir, ils vont tomber dessus par rapport, par exemple, aux mots-clés, etc. Et on a aussi fait maison, du coup, le nouveau concept. Il y a eu beaucoup de nouveaux concepts, en vrai, je ne m'y attendais pas, mais il y a eu beaucoup de nouveaux concepts qui sont arrivés quand même. Et donc, fait maison. un épisode que j'ai fait avec Marvin du coup un de mes meilleurs amis en vrai Marvin tu découvres que tu es l'un de mes meilleurs amis voire même mon meilleur ami Fais maison qui est du coup un épisode que j'ai adoré faire enfin pas un épisode, une vidéo que j'ai adoré faire, donc là on était chez moi, on a fait une recette où du coup j'ai discuté avec lui sur pas mal de sujets qu'on se posait donc on a parlé aussi du permis donc du fait que... Malgré mes nombreuses persévérances, je n'arrive pas à passer mon permis. J'ai échoué deux fois à mon permis et là, je vais passer à un troisième passage bientôt. Et donc, on a parlé de ça. On a parlé aussi beaucoup des relations qu'on pouvait avoir avec nos partenaires, etc. Donc, Marvin nous a parlé du... Alors, je n'ai pas vu la formulation, mais c'était, je crois, ce besoin de sauver l'autre dans une relation, en gros, où il avait besoin de sauver son ex, en fait, dans le temps. tout ce qu'il avait dans la relation, etc. Et donc voilà, c'était des thématiques qu'on avait beaucoup abordées par rapport à ça et je trouve que c'est des thématiques qu'on peut aborder de façon plus légère, en quelque sorte, quand on cuisine, parce qu'on a plus de facilité à se livrer, parce que du coup on est occupé, on discute, on regarde aussi en même temps ce qu'on va cuisiner, etc. Et donc là, c'était super intéressant d'avoir ce côté légèreté, ce côté aussi vidéoludique, où en fait c'était ultra intéressant, ultra léger, comme je le dis à chaque fois. J'ai vraiment répété le DG genre 3-4 fois. Mais non, vraiment, j'ai kiffé. Et même vos retours ont été super. C'est-à-dire qu'en fait, beaucoup de personnes m'ont dit J'ai adoré du coup la vidéo et tout, c'était top, machin. J'ai eu beaucoup ce truc de En fait, j'avais l'impression d'être avec vous. Beaucoup de trucs comme ça où la personne me disait mais j'avais juste l'impression que si je ne regardais même pas une vidéo, j'étais avec vous, j'étais dans la cuisine avec vous, vous parliez et moi j'étais là, j'écoutais votre conversation, je pouvais débattre avec vous et tout. Et ça c'est fou parce que j'ai réussi à réaliser ce truc-là, ce truc de connexion et de proximité. Et même en vidéo, ça veut dire que la façon dont ça a été formé, la façon dont j'ai réussi à l'organiser, j'ai réussi à faire... l'impossible alors vraiment l'impossible vraiment je me la pète là dans mon épisode mais genre concrètement je suis très fière de cet épisode là et pareil comme je l'ai dit sur les autres épisodes comme pour le bon des créateurs il y a encore d'autres épisodes que j'aimerais réaliser après là le côté vidéo il est beaucoup plus technique que du podcast c'est à dire que là il faut vraiment trouver le lieu il faut pouvoir poser du coup les caméras et tout plus de temps aussi au niveau du tournage plus de temps au niveau du montage aussi parce que le montage vidéo est beaucoup plus compliqué, je trouve, que le montage audio. Après, bon, c'est vraiment les goûts et les couleurs de chacun. Mais voilà, en tout cas, pour la partie YouTube, on a eu ça. Après, on a eu aussi la création du coup de contenu via TikTok. Donc là, j'ai créé du contenu. Vraiment, beaucoup de guillemets à ça. Enfin, j'ai noté dans mon doc création de contenu, mais en fait, c'était souvent des extraits que je créais. Et après, j'ai aussi Ouais, en fait, là, vraiment, je suis en train de me dénigrer, mais en fait, je me rends compte que, oui, il y avait les extraits, du coup, qui est déjà disponible sur TikTok et en Reels aussi. Mais il y a aussi des vidéos que j'ai créées, du coup, dernièrement. Il y a un petit moment quand même que vous avez pu voir. Donc, comment est-ce que j'ai créé le podcast ? Du coup, les cinq conseils un peu qu'on pouvait avoir pour du podcast et tout. Donc, en fait, j'ai fait quelques vidéos et j'ai voulu me lancer un peu sur TikTok sur... Du coup, tout le milieu du podcast, etc. Donc ça, c'est quelque chose qui faisait que je travaille un peu plus, je trouve. Mais en vrai, j'étais contente parce que, en dehors des extraits, il y avait quand même des choses qui intéressaient les gens. Et donc là, on touche une audience qui est dans ma cible, en quelque sorte. Et donc, création de contenu sur TikTok aussi, c'était un sacré challenge, en vrai. Et aussi, le lancement de la communication sur LinkedIn, une fois par semaine. Oh la vache ! Ah oui, amélioration de la communication, vraiment, c'était le bon mot, en fait, en vrai. Parce que LinkedIn, je me suis lancée cette année aussi sur la saison 3, où je faisais une communication par semaine. Donc là, ça fait peut-être deux semaines que je n'ai pas posté sur LinkedIn, mais c'est un autre détail. Donc oui, LinkedIn que j'utilise pour promouvoir le podcast, donc promouvoir mon podcast, donc on papote, mais également aussi promouvoir le milieu du podcast. Donc avec les événements que j'ai pu faire, j'ai pu aller au Pod Paris. où là, du coup, j'ai pu faire une communication sur le fait que j'étais allée, qui est-ce que j'ai pu rencontrer, les événements auxquels j'ai pu assister, etc. LinkedIn pour un côté beaucoup plus professionnel, donc pour rencontrer des entreprises, des trucs comme ça. Et aussi, du coup, pourquoi pas des parents pouvant en discuter après. J'avais noté une nouvelle façon d'amener les sujets. Donc, on avait une nouvelle façon d'amener les sujets, j'ai trouvé dans cette nouvelle saison, donc la saison 3, où il y avait beaucoup plus, encore le mot légèreté, de légèreté sur les épisodes parce que par exemple l'épisode avec du coup c'était Mathéo et Emilia où on a parlé du coup de nos premiers amours, c'était un épisode vraiment super il était pas léger celui-là il était plutôt convivial c'est le mot convivial qu'il faudrait sortir il était très convivial dans le sens où en fait on avait même plus l'impression qu'on parlait du coup en interview mais en fait on parlait entre potes Et c'était très marrant d'avoir ce truc-là parce que Mathéo et Emilien, je ne les connais pas vraiment. Enfin, pas vraiment en fait. Et du coup, il y a vraiment eu ce truc où on rigolait et tout. Et c'est très marrant parce qu'en fait, même si l'épisode est sorti en octobre, je crois. Non, même pas. Il est sorti en mai. Mais ouais, en fait, c'est devenu l'épisode, c'est votre épisode préféré, dans le sens où Spotify m'a dit concrètement, c'est l'épisode qui a été le plus écouté par ton audience. Et du coup, bravo à eux. Bravo les gars, parce que du coup, vous avez été l'épisode le plus écouté de mon podcast. Et c'est très marrant parce que ça signifie qu'en fait, ce genre de sujet-là, cette façon de ramener les thématiques, cette façon de ramener un peu le sujet autour de la table, c'est une façon beaucoup plus... intéressantes que de la façon beaucoup plus carrée, interview où je pose des questions on me répond etc et j'ai voulu créer ça aussi avec Alexandre du coup j'ai l'épisode du mois de novembre où là on avait parlé du coup des années 2000, de grandir avec internet et tout ça et donc là Alexandre je le connaissais déjà un peu plus face à Mathéo et Emilien et donc pareil on a eu ce truc de légèreté où on a pu rigoler etc et c'était très marrant, c'était super intéressant donc voilà donc c'est vraiment euh... une nouvelle façon d'amener les sujets et je pense que c'est ce que je vais essayer de ramener en 2025 du coup, la prochaine fois pour d'autres thématiques, d'autres tournages pour pouvoir un peu plus ramener ce côté discussion et pas ce côté bon bah on est en interview en relation presse, je vous pose des questions vous me répondez et puis c'est fini et voilà vous rentrez chez vous, non c'est vraiment un moment convivial qu'on essaie de passer et je pense que là en fait ça a été un peu le déclic avec Mathéo et Emilia sur le fait que j'ai passé un vrai bon moment et pas juste... à un bon moment. Et c'est ça la nuance que j'ai eue et je pense que c'est pour ça que en plus d'être votre épisode préféré, c'est aussi le mien. Et vraiment encore bravo à ces deux-là d'avoir réussi à vous faire aimer du coup cette thématique du premier amour. On a aussi de nouvelles rencontres et des participations à des festivals. J'ai pu intégrer un groupe de podcasteurs du coup sur Rennes, où on se rencontre assez quotidiennement du coup pour parler un peu podcast, parler un peu... un peu de tout ce qu'on fait autour de nos podcasts et même se poser des questions, etc. Donc ça, c'est super bien. On a aussi les participations au festival. Donc comme j'ai dit, le Pod Paris, où j'ai pu venir pendant un week-end, venir à Paris, à la Belle-Villoise, pour rencontrer d'autres personnes du milieu du podcast, aussi me renseigner sur des formations. J'ai pu écouter des podcasts que j'écoutais. Donc par exemple, j'ai perdu le nom, mais c'était un podcast sur le cul, je crois. et j'ai perdu le nom je suis vraiment désolée je le mettrai en description je pense si j'arrive à le retrouver mais voilà donc j'ai pu écouter des podcasts comme ça j'ai pu en découvrir aussi avec la chose étrange qui était vraiment un podcast auquel je ne m'y attendais pas et j'ai beaucoup adoré donc voilà en vrai c'est super parce que j'ai pu rencontrer d'autres gens j'ai pu revoir aussi des créateurs que je connaissais du coup sur Paris donc par exemple Bérénice qui a le podcast le canap de billes où elle parle de cinéma et du coup je vois que je viens sur Paris et qu'on vient à des conférences comme ça sur le podcast et je me dis Chaque fois, on se recroise et c'est toujours marrant de se recroiser sur les mêmes endroits. Et c'est toujours un plaisir de la revoir et de discuter avec elle sur le podcast. Et aussi, il y a un souhait de professionnalisation, donc avec l'achat d'une caméra pour ma part. Mon petit cadeau de Noël, mon petit plaisir de fin d'année où je me suis permise de m'acheter une petite caméra pour réaliser. Donc là, ça va plus être pour des vlogs, pour de la création de contenu, du coup plus pour YouTube, je pense. Parce que même si là, je suis un peu en train de délaisser mes réseaux, parce que comme je l'ai dit, c'est beaucoup de temps. Et je trouve qu'en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps ou alors je ne me laisse pas le temps. Je ne sais pas, c'est un peu compliqué. C'est un peu le fouillis. Et donc là, ça va plus être sur de la création pour YouTube. Donc ça va plus servir pour, par exemple, les épisodes de fait maison. Je vais avoir une meilleure qualité aussi vidéo. Du coup, une meilleure qualité vidéo. Ça va être plus intéressant et plus confortable pour vous. Il y a aussi Yahoo que j'ai intégré, du coup, où je vais avoir un parrain ou une marraine qui va pouvoir me suivre dans mon projet de professionnalisation sur le milieu du podcast, le milieu de l'entrepreneuriat et tout. Et donc ça, c'est vraiment cool. C'est une envie quand même, une ambition de pouvoir continuer. Et je trouve ça cool parce que 2023, on finissait l'année avec du coup, en quelque sorte, des doutes par rapport au podcast, par rapport à... à ce que je voulais faire après. Et en vrai, là, 2024 se termine avec quand même une envie de professionnalisation, de rester dans un milieu où je peux rester derrière un micro, je peux interroger des gens et parler avec d'autres personnes. Et ça, c'est vraiment cool. C'est vraiment des choses, une année qui a été quand même riche en rencontres, riche en émotions et riche en rebondissements. En vrai, vraiment 2024, BG. Si on devait résumer 2024 en chiffres, concrètement, du coup, grâce à mon petit Spotify... Ou WAPET, je crois que c'est ça le nom. Vous vous rappelez ? Bon, bref, je ne sais plus. Donc, grâce au truc Spotify, bref, qu'on a tous eu et qu'on a tous mis en story, genre pour dire qu'on a écouté tel ou tel artiste. Donc, 2024 en chiffres avec On Papote, ça donne 80% de nouveaux auditeurs Spotify, ce qui est super parce que du coup, ça augmente un peu l'audience. Ça veut dire qu'il y a beaucoup plus de personnes qui sont intéressées un peu à ce que je peux raconter quand même. ou à ce que je peux proposer comme sujet. Et ça, c'est cool parce que ma tranche d'âge qui a été le plus augmentée a été la partie 45-50, je crois, si je ne me trompe pas. Et du coup, cette partie-là a augmenté grâce, je pense, à LinkedIn, grâce aussi à ma recherche d'alternance. Et en vrai, ça a été super cool parce que du coup, ça permet à des parents de pouvoir découvrir les problématiques que leurs enfants peuvent rencontrer ou vont pouvoir rencontrer dans leur vie d'adulte. Et ça, c'est vraiment un truc qui est vraiment génial de voir que même ma tutrice continue de m'écouter alors qu'elle m'a déjà embauchée. Ça fait déjà un an que je travaille à ses côtés, mais qu'elle continue d'écouter le podcast. Et ça, c'est vraiment fou de se dire qu'il n'y a pas que des jeunes qui se posent des questions. Il n'y a pas que des jeunes qui veulent des réponses. Il y a aussi les parents qui veulent des réponses pour comprendre un peu mieux leurs enfants. Et ça, c'est vraiment quelque chose que j'aimerais pouvoir réaliser par la suite. Continuer à proposer ce genre de sujet. tu vas réussir à lire ce genre de sujet et donc voilà, on est sur ça une note de 5 sur 5 super cool, donc continuez à noter l'émission évidemment, je ne le dis jamais assez et j'oublie souvent de le dire de noter l'émission quand vous l'écoutez sur votre plateforme d'écoute préférée, c'est toujours très important ça soutient le projet et donc voilà la preuve, une note de 5 sur 5 du coup sur Spotify on est sur un podcast qui a été écouté dans 5 pays différents je crois dans mes souvenirs ça a été la France... On avait eu la Belgique, on avait eu le Canada, on a eu... Alors, je ne sais plus. Je crois qu'il y a eu un moment les Etats-Unis. Ouais, je crois que c'est tout. Là, je n'ai plus vraiment en tête, je ne sais plus. Mais en tête, il y avait surtout la France, parce que généralement, les gens qui m'écoutent étaient en Bretagne. Il y avait Île-de-France, il y avait dans le sud aussi, je crois. Mais voilà, à peu près la carte. Donc, si vous reconnaissez, ben voilà. Je suis contente de voir que vous m'écoutez un peu aux quatre coins de la planète. Et c'est cool de se dire qu'en fait, une fille qui est dans un studio, qui parle derrière un micro avec personne en face d'elle, et qui a juste un ordi ouvert devant elle avec ses notes, peut être écoutée un peu aux quatre coins du monde. Et ça, c'est fou quand on y pense. Vraiment, Internet est très puissant. Ça, j'aurais dû le dire dans l'épisode avec Alexandra. Donc voilà, un podcast qui a été écouté dans cinq pays différents. On a aussi une présence. Alors ça, ça a vraiment été la surprise. C'est cool. Une présence dans le top 5 de 64 personnes et émission numéro 1 de 18 personnes. Donc là, en fait, concrètement, ça veut dire qu'en fait, il y a des gens, il y a 18 personnes sur cette planète pour qui On Papote a été le podcast numéro 1. Et je tiens à dire, je ne suis pas numéro 1 dans mon propre résumé Spotify. Ça veut dire qu'en fait, c'est vraiment 18 autres personnes que moi. Et vraiment, s'il y a moyen de savoir qui c'est, vraiment, je vous en supplie, envoyez-moi un DM Insta. Parce que c'est vraiment fou. J'aimerais savoir qui vous êtes pour pouvoir vous remercier. Parce qu'on ne se rend pas assez compte du plaisir que ça peut donner d'être le numéro 1 par rapport à d'autres créateurs. Surtout qu'on sait qu'il y a plein de créateurs, il y a plein de podcasts qui existent. Mais moi, petite créatrice qui fait mon truc de mon côté, être dans le top 1 de 18 personnes, c'est vraiment fou. Et vraiment, je tenais à vous remercier. Même pour les 64 personnes. Les 64 personnes. englobe les 18 personnes aussi donc je suis dans le top 1 donc en vrai très contente de ces résultats là et de voir que le podcast continue à vous plaire donc voilà on est un peu sur une fin d'épisode par rapport à cela je tenais surtout à vous remercier d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que je fais, à écouter le podcast, à surtout m'envoyer vos messages, je sais que c'est pas beaucoup de personnes qui le font Mais le peu de personnes qui le fait, qui me remercie, ou le peu de personnes qui juste dit, cet épisode-là, il a été super, que ce soit en physique ou que ce soit par... Par message privé, il n'y a aucun problème. Genre vraiment, ça fait très plaisir. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est gratifiant de savoir que ce qu'on réalise, ce qu'on produit de notre côté est écouté par d'autres personnes et sont contents du contenu qu'on peut proposer, même si des fois, comme on peut le dire, il y a des doutes. Il y a des moments où on ne sait pas si du coup ce qu'on fait, c'est bien, si du coup ce qu'on a réalisé, c'est à la hauteur un peu des exigences de notre audience. Mais de savoir ça que... que cet épisode-là vous a plu, que cet épisode-là, il faudrait mieux le retravailler, etc. Ça fait toujours plaisir d'avoir des retours et de savoir qu'en fait, c'est écouté et que ça plaît à d'autres. Et voilà, donc je tenais à vous remercier par rapport à tout ça. Et j'espère qu'en fait, 2025 va être encore plus intéressant, encore plus merveilleux que 2024. Et on clôture une année vraiment qui a été folle, du coup, en rencontre, comme je l'ai dit, folle en ouverture d'esprit. folle aussi sur de nouveaux concepts. Il y a pas mal de choses qui ont été faites et sur lesquelles je n'aurais même pas pensé me lancer quand j'ai débuté dans le podcast. Je tenais quand même pour remercier parce que ce n'est pas souvent qu'on y pense et ce n'est pas souvent qu'on peut se dire qu'on prend du plaisir à faire ce qu'on fait et de savoir que c'est écouté par d'autres, ça fait plaisir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode spécial anniversaire. Comme j'ai dit, merci encore à vous tous. C'est vraiment un plaisir d'être avec vous au quotidien, d'être mensuellement dans vos oreilles. C'est très bizarre dit comme ça, mais c'est un peu la vérité. Donc voilà, on se retrouve du coup en 2025. Continuez l'aventure et évidemment, découvrez de nouveaux sujets. Et moi, je vous dis bonne année. Passez de très belles fêtes de fin d'année. Et on se retrouve en 2025 pour un nouvel épisode de On Papote. Salut !

Share

Embed

You may also like

Description

Dans cet épisode, on célèbre ensemble les deux ans de création du podcast "on papote ?" en faisant le bilan de l'année 2024.

Pourquoi je me suis lancée ? Comment je m'organise au quotidien (spoil : je suis toujours en retard) ? Quelles ont été les choses marquantes de cette année ? Aujourd'hui, on répond à toutes ces questions.


Un podcast qui a su toucher plus de monde cette année et répondre aux questions des jeunes adultes (ainsi que de leurs parents) sur divers sujets de la vie quotidienne. Relations sociales, vie professionnelle ou encore introspection, venez trouver les réponses à vos questions chez "on papote ?"


On se retrouve en 2025 pour de nouveaux épisodes et de nouveaux concepts toujours aussi fous !


- A

---

Suis "on papote ?" sur les réseaux sociaux :

Instagram : https://www.instagram.com/onpapote.podcast/

TikTok : https://www.tiktok.com/@onpapopote.podcast

Youtube : https://www.youtube.com/@onpapote.podcast



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Est-ce que les années étudiantes sont vraiment les meilleures de mon temps ? J'ai beaucoup d'importance à mon physique. Est-ce que ça fait de moi quelqu'un de superficiel ? La première fois, c'était vraiment si important. C'est grave, c'est grave. J'ai une fille et j'ai pas envie d'avoir... J'ai toujours pas mon bac. Est-ce que c'est normal ? J'ai toujours pas d'avoir ce que... Parce que j'ai jamais été en couple. Est-ce que c'est normal ? Je vais pas avoir d'influence. Est-ce que j'ai toujours pas d'importance ? J'ai bien l'impression que j'ai pas d'importance à mon physique. Est-ce que j'ai super... Est-ce que c'est normal ? Chut ! Eh ben viens, on s'assoit et on papote. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on se retrouve pour un nouvel épisode, un petit hors-série spécial... anniversaire. Au moment où vous écoutez ce podcast, On Papote souffle sa deuxième bougie. Et oui, deux ans du coup de création, deux ans de podcast que vous écoutez maintenant de façon mensuelle. Et oui, du coup, On Papote, un anniversaire qui tombe parfaitement pour refaire du coup un point sur ces deux ans qui se sont écoulés et pouvoir parler avec vous à cœur ouvert. Donc on va recommencer un peu par les débuts, on va faire de façon chronologique. Donc j'ai noté des petits trucs quand même qui étaient assez importants, je pense, à noter et à préciser. Donc là, pour cet épisode, je serai toute seule, donc il n'y aura pas d'invité, pas de guest spécial. Donc vraiment, c'est un peu comme le concept d'Entre vous et moi, c'est vraiment là où je vais vous parler un peu plus du coup de tout ce que j'ai pu traverser par rapport à ça. On l'avait déjà fait une première fois, vous avez parlé du moment où je voulais faire une pause par rapport au podcast. Et du coup, je vais vous parler un peu de tout ça, de tout ce qui tourne autour du podcast et ce qui tourne un peu en dehors de ce que vous pouvez voir vous en tant qu'auditeur. Donc je vais déjà commencer par me représenter ou me présenter pour ceux qui ne me connaissent pas. Du coup, je m'appelle Annaëlle, j'ai 22 ans. Actuellement, je suis en master brand content, donc tout ce qui est en lien avec la communication. Et donc, depuis deux ans maintenant, j'ai mon podcast On Papote, dans lequel j'interroge un peu la nouvelle génération, donc la génération Z, donc entre 18 et 30 ans actuellement, et du coup, sur les problématiques qu'elle peut rencontrer. Donc on est là, on parle souvent de tout ce qui va être problèmes familiaux, tout ce qui va être les relations sociales, donc on a beaucoup parlé de tout ce qui était les amitiés, on a parlé des ruptures amicales, on a parlé du coup du couple aussi, on a parlé dernièrement du coup de tout ce qui était les maladies mentales, on a aussi parlé... de tout ce qu'avaient été les règles, tout ce qu'avaient été être un homme aussi, faites des questions un peu que ma génération se pose, et donc on est là pour y répondre, et surtout pour mettre en avant cette génération qui se pose des questions, et permettre à cette génération qui se pose des questions d'avoir des réponses par la même génération, et pas par une autre personne, par une personne plus âgée, par exemple, qui aura plus de facilité en quelque sorte à nous prendre de haut, parfois, c'est ce que j'ai souvent trouvé, et donc c'est l'une des raisons aussi pour lesquelles j'ai voulu créer ce podcast, c'est parce que... Dès l'instant où j'avais des questions, je ne savais pas vraiment vers qui me tourner pour du coup avoir des réponses. Et on est un peu là aussi pour répondre, pour pouvoir échanger, pour pouvoir raconter aussi des récits de vie. C'est vraiment ça qui est le plus important, je trouve, avec On Papote, c'est que ça permet de rencontrer pas mal de monde et d'avoir des histoires de vie qu'on n'aurait pas pu entendre si, par exemple, on n'avait pas écouté le podcast ou s'il n'y avait pas le podcast pour pouvoir en discuter. Et donc, on va parler un peu concrètement de... Pourquoi est-ce que je me suis lancée dans le podcast ? J'ai un peu expliqué concrètement que j'avais pas mal de questions quand je suis arrivée sur Rennes. Pour ceux qui ne le savent pas, avant de venir sur Rennes pour faire mes études, j'étais en Martinique, chez mes parents. Et donc j'ai dû déménager, exceptionnellement, pour mes études, pour faire ma licence Infocom que j'ai fait à Rennes 2. Et donc du coup, je me suis lancée dans le podcast courant de l'année 2023, si je ne me trompe pas. Donc j'avais un projet universitaire à faire autour du Covid, et oui encore, donc un projet qui tournait surtout sur l'impact du Covid par la jeunesse. Donc en 2020, on a tous connu cette période de pandémie, cette période de confinement, et donc j'ai pu partir à la recherche de l'information, poser des questions à mon entourage, aux gens qui avaient à peu près mon âge, donc qui avaient la vingtaine, et qui en fait ont vécu aussi le Covid. De façon différente, car chacun a eu sa vision de cette pandémie. Il y en a qui l'ont appréciée et qui ne l'ont pas appréciée, par exemple le confinement. Personnellement, j'ai parti du clan qui a apprécié le confinement. Je vous le dis déjà, le confinement, ça a été pour moi très bénéfique parce que la terminale, ça a été très difficile. Et en fait, le fait de rester chez moi, j'ai eu beaucoup plus de facilité à terminer la terminale et avoir de meilleures notes que si j'avais continué en cours. Donc c'est pour ça que j'ai beaucoup plus apprécié le confinement, que ce soit le premier comme le deuxième, où en fait... j'étais beaucoup plus réservée déjà à l'époque et c'était beaucoup plus intéressant de rester chez moi avec mon confort en quelque sorte plutôt que de sortir, tout ça, aller en cours etc. Donc je pense que c'est peut-être pour ça que j'ai beaucoup plus préféré du coup le confinement Donc je reviens un peu à mes moutons on avait ce projet de cours que je devais rendre donc le format était un peu libre et du coup je me suis dit que je vais partir sur un peu un format audio parce qu'à cette époque-là j'écoutais déjà tout ce qui était un bon moment réalisé par Ken Kojandi et aussi Entre Mecs réalisé par Ben Nevers Donc... Pour ceux qui me connaissent, ils ont déjà le début de l'histoire. Par rapport à tout ça, c'est deux personnes qui m'inspirent énormément et dont je continue de suivre le travail et qui sont vraiment pour moi mes deux sources d'inspiration que j'aimerais rencontrer. Si un jour, Ken Kojandi ou Ben Nevers, vous entendez ça, vraiment, j'aimerais un jour vous rencontrer et pouvoir parler avec vous de tout ce que vous avez pu réaliser, que ce soit les projets que j'ai évoqués, Un bon moment et Entre mecs. En fait, tout l'univers qu'ils ont, tous les deux, c'est vraiment des choses qui m'inspirent au quotidien. Et c'est vraiment inspirant et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup regarder et consommer en règle générale. Et donc voilà, je souhaitais répondre un peu à ces problématiques-là que j'avais. Et en faisant ce projet-là, ce qui a été surtout bénéfique, c'est le retour que j'ai eu. Dans le sens où j'ai réalisé, j'ai interrogé pas mal de personnes, on va dire une dizaine de mes amis proches. C'est un projet que j'ai toujours du coup dans mes... dans mes fichiers que j'écoute de temps en temps. Mais en fait, le sujet clé, le point phare de cette histoire, c'est surtout le retour de mon professeur que j'ai eu dessus, qui m'avait donné une super bonne note dessus. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié parce que... Je me suis rendu compte que la réalisation de ce contenu audio, c'était vraiment quelque chose que j'avais apprécié faire, le moment où il fallait réfléchir aux questions, le moment où il fallait partir interroger ces personnes-là, le moment où il fallait faire le montage. Toute cette histoire que j'avais créée, parce que c'était vraiment un podcast, un quelque sorte narratif, dans le sens où il y avait une histoire, où j'avais écrit un peu une introduction, une conclusion, il y avait des transitions entre chaque témoignage. que j'ai pu recevoir. Et c'était vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié réaliser. Et de là, en fait, là où mon professeur a fait son retour, du coup, j'ai eu vraiment quelque chose d'assez inspirant qui m'a dit, mais vraiment, c'est quelque chose de... Pas de fantastique, en quelque sorte, mais c'était vraiment quelque chose de très inspirant qui était incroyable, en quelque sorte. Alors, avec beaucoup de guillemets à lire. Et donc, voilà, c'est pour ça, en fait, que je suis revenue sur ça parce que c'était vraiment un épisode que j'ai adoré faire. Enfin, un épisode. C'est vraiment un projet que j'ai adoré faire. Et c'est de là que ma passion pour être derrière un micro est venue. Et de là, je me suis un peu rapprochée de la radio universitaire C-Lab, qui y a toujours dans l'université Rennes 2. Je me suis rapprochée d'eux. J'ai d'abord participé à une émission de radio qui s'appelait Rap Taglorc, où on parlait du coup de rap. Et je me suis rendue compte que la thématique du rap, même si j'étais derrière un micro, ce n'était pas forcément ce que je voulais aborder. Et finalement, je suis partie plus... Du coup, sur autre chose, mais avant de partir sur le projet de On Papote, je me suis dit que finalement, ce n'est pas la radio qui me plaît, peut-être que c'est autre chose. Donc, je me suis laissé un temps de pause en quelque sorte. Et finalement, ce qui s'est passé, c'est que je suis revenue du coup en 2023 avec cette idée finalement de répondre à des questions sur lesquelles on n'a pas forcément de réponse quand on est jeune, quand on est jeune adulte. Donc, moi, étant donné que je venais d'Outre-mer, il y avait pas mal de questions que je ne comprenais pas, pas mal de choses que je ne comprenais pas en métropole. et auxquelles il a fallu faire face, et même sur la vie tout court, sur le changement qu'on a quand on devient adulte, quand on est enfant ou adolescent et qu'on n'est pas encore livré à nous-mêmes. Les gens ont moins d'attentes par rapport à ça, par rapport à ce qu'on peut réaliser, que quand on est adulte. Et du coup, c'est à ce moment-là où on se rend compte un petit peu qu'il y a des choses sur lesquelles... On ne peut pas avoir la faiblesse de dire ah mais je ne savais pas Et il y a des choses sur lesquelles, quand tu le dis à un adulte, alors je mets adulte dans le sens où c'est encore difficile de se considérer encore comme un adulte, ça c'est un sujet qu'il faudrait qu'on traite un jour, parce que j'en parle souvent avec des amis, et quand je leur demande mais du coup, est-ce que tu te considères comme un adulte ? Est-ce que pour toi, tu es un adulte ? Est-ce que ça veut dire quoi être un adulte ? Et bien en fait, on a un peu ce truc de... En fait, on ne sait pas si on est adulte ou pas, parce qu'on est trop jeune pour certains, pour être vraiment considéré comme des adultes, parce que c'est encore le cas. La semaine dernière, je parlais avec une collègue et j'ai été un peu infantilisée, dans le sens où on m'a un peu confondue avec une enfant de 15 ans. Mais il y a aussi le truc de, on est trop âgé pour ne pas savoir. Parce que du coup, moi j'ai un petit frère et il y a des choses sur lesquelles lui il attend des réponses, auxquelles moi-même je n'ai pas de réponse. mais du coup techniquement je suis la plus âgée donc je suis censée pouvoir répondre à sa question étant donné que je suis plus proche de son âge que de l'âge de mes parents et c'est plus vers moi qu'il va aller se tourner s'il y a une question que se tourner vers les parents surtout si c'est des questions par exemple en lit avec son parcours genre s'il doit trouver du coup quelle formation il doit faire qu'est-ce qu'il doit faire après après le parcours sup etc donc en fait on a ce truc d'être inclus entre deux chaises un peu où on ne sait pas vraiment où se placer et c'est tout Très difficile et très compliqué de pouvoir réussir à savoir vers quoi est-ce qu'on doit aller, vers quoi on doit tendre. Et de là est venu On Papote, donc j'ai pu le créer avec d'abord une personne qui s'appelait Sarah, qui était là au tout début, donc pour ceux qui seraient intéressés de réécouter ou de découvrir les premiers épisodes, donc vous allez voir, on était deux au tout début, il y avait Sarah qui était présente, qui co-animait avec moi le podcast jusqu'à environ huit épisodes. Les huit premiers épisodes, elle était là, elle animait avec moi, et finalement elle est partie. Et du coup j'ai repris la main un peu par rapport à tout ça et donc en fait prendre la main par rapport à ça sur le podcast fait que maintenant je peux proposer des sujets sur lesquels moi-même je me sens concernée et sur lesquels j'ai envie d'avoir plus de réponses. C'est-à-dire que déjà on avait un peu une différence d'âge avec Sarah qui fait qu'aussi on n'avait pas forcément peut-être les mêmes questions, les mêmes interrogations qu'on pouvait se poser et là maintenant je peux plus interroger certaines choses qui se passent actuellement du coup dans ma vie. Et c'est souvent ça que je fais, les questions, les thématiques que vous pouvez retrouver sur le podcast, c'est souvent des questions que je me pose, des thématiques que je vis actuellement. Et je trouve que c'est super intéressant parce que du coup, on peut se rendre compte qu'il y a pas mal de choses qu'on vit quotidiennement. Et c'est vraiment intéressant de pouvoir avoir ces récits de vie-là, ou alors même de pouvoir découvrir des récits de vie. Dans le sens où par exemple, l'épisode sur les parents séparés, mes parents ne sont pas séparés, mais j'étais quand même intriguée de savoir comment ça se passait du coup. qu'on a deux parents qui sont séparés et qu'on doit faire un peu l'aller-retour entre les deux. Et j'ai été beaucoup surprise par rapport aux témoignages que j'ai pu avoir, déjà par rapport aux personnes qui ont candidaté, et même par rapport aux personnes qui sont venues parler de leur histoire. Et je trouve ça toujours intéressant parce que chacun vient partager son histoire, son effet de vie. Et en fait, je me rends compte qu'ils n'ont pas forcément... Le moment où ils n'ont pas forcément l'endroit pour pouvoir en discuter et ouvrir leur cœur, pour pouvoir parler de ces problèmes-là, de ces thématiques-là, qui font partie d'eux, mais en fait, ils en parlent avec leurs amis ou avec leurs proches, mais il n'y a pas plus d'informations. L'en parler avec des inconnus ou même en faire de la sensibilisation pour certains sujets, ils n'en ont pas forcément l'occasion, en quelque sorte, parce que c'est vraiment des sujets très personnels. Et on ne peut pas arriver de but en blanc et dire, ah ben moi, mon père, il ne vit plus avec ma mère et c'est ultra compliqué parce que du coup, je me retrouve à devoir gérer mes frères et sœurs et tout. Ou, je ne sais pas, moi, mes parents, du coup, je ne les vois pas parce que du coup, j'ai été placée en foyer. C'est méga compliqué parce qu'il y a des trucs que je ne comprends pas. Mes parents, je ne les vois pas souvent. Ou, ah ben, dans ma relation, il se passe ça, mais je ne comprends pas. Ça ne devrait pas être comme ça et tout. Et en fait, toutes ces thématiques-là, c'est des choses sur lesquelles... On n'a pas forcément le courage ou on n'a pas forcément l'endroit pour en parler. Et c'était un peu ça que j'ai voulu mettre en place avec On Papote, c'était avoir un espace où on peut avoir un espace d'échange, un espace de moment de vie. En fait, c'est ça que j'essaie de mettre en place, surtout, des moments de vie de partage avec, du coup, le podcast et avec les rencontres, surtout, que je fais. Parce que ces gens-là, en fait, ces gens que je rencontre, ces gens que j'interroge, donc les gens que vous écoutez mensuellement, en fait, c'est des gens qui ont des histoires à raconter et c'est des gens... à qui j'ai envie de donner la parole et à qui j'ai envie que leur histoire soit partagée également. Et donc en fait, là on va parler un peu plus des défis que j'ai pu rencontrer. Donc on a eu le départ de Sarah qui a fait quand même un peu une grande claque, je vous l'avouais, même si c'était bien dans un sens parce que j'ai pu, comme je l'ai dit, mettre plus en avant certaines des thématiques que je voulais aborder. Mais c'était un peu compliqué parce qu'on ne se rend pas forcément compte, mais j'ai déjà dit à plusieurs reprises dans le podcast et même sur les réseaux, Un podcast, ce n'est pas si simple. On a pas mal de choses à préparer. Étant donné que je n'ai pas de studio à moi, je suis obligée d'en réserver un à l'université. Il faut que je cale un moment où je suis disponible, mes invités sont disponibles, et le studio est disponible pour pouvoir venir et enregistrer. Il y a aussi toute la partie communication, il y a aussi toute la partie réalisation, écriture du script, recherche des invités. Après, il y a la post-prod. En fait, il y a pas mal de choses sur lesquelles il y a un derrière, en fait. Il y a pas mal de choses à faire en amont comme après, comme en aval. Et ces choses-là, en fait, souvent ne sont pas vues par le grand public parce qu'on se dit Oh, c'est bon, elle a enregistré. Du coup, l'épisode est sorti. Oh, c'est fini. Mais en fait, non, vraiment, moi, mon podcast, il y avait une période où, en fait, il fallait le gérer limite quotidiennement. Et en fait, c'est ce que je dis souvent, c'est que si vous voulez faire un podcast, C'est important quand même de se dire qu'en fait, le temps libre que vous avez, il faudra à grande échelle le mettre en place pour le podcast. Moi, c'est par exemple mes samedis ou alors mes soirées sont réservées par exemple au podcast. Je n'ai pas vraiment d'organisation à proprement parler. C'est-à-dire qu'en fait, je travaille dès l'instant où j'ai du temps, dès l'instant où je peux, dès l'instant où j'ai l'envie aussi. Il faut que ça reste une envie, une passion. Et c'est vrai que ça, c'est aussi une des... Un des défis que j'ai pu rencontrer, le fait que parfois le travail prend le dessus et du coup on perd un peu l'envie de se retrouver au studio, on perd l'envie de créer quelque chose, de créer du contenu, étant donné qu'en fait le moment où on est au studio, ça représente vraiment 1% du travail qu'on réalise. Et donc en fait on réalise beaucoup de choses avant comme après et juste pour le moment où on va arriver au studio et on va pouvoir passer un vrai moment. intéressant, que ce soit avec des invités ou tout seul. Et donc là, en fait, par rapport au départ de Sarah, on a eu aussi un juste milieu à pouvoir réussir à placer ma vie étudiante, l'alternance et du coup le podcast, parce que, comme je l'ai dit, maintenant je suis en master, donc maintenant je fais de l'alternance. Et donc, concrètement, comme je l'ai dit, c'est du temps aussi à prendre en compte et on l'oublie souvent et en fait, quand on voit que... Mes journées, elles sont un peu millimétrées parce qu'il faut que je fasse le podcast par-ci, le podcast par-là. Pendant des cours, je me retrouve à écrire des scripts, je me retrouve à devoir contacter des invités pour savoir s'ils sont disponibles à telle date. Il faut que je contacte aussi le studio pour dire est-ce que du coup à telle date, le studio est disponible pour que je puisse venir enregistrer. Il y a pas mal de choses à voir et c'est beaucoup de travail. J'avais noté les statistiques et la peur de la page blanche. Ça m'était arrivé du coup quand j'en avais parlé dans mon premier épisode entre vous et moi. Et je l'avais beaucoup dit, j'avais un peu ce truc où je perdais un peu l'envie, mais en fait il y avait aussi les statistiques, le fait qu'on voit que parfois le podcast peut stagner, on peut se comparer par exemple aux autres, parce que moi par exemple, mes sources d'inspiration comme je l'ai dit c'est Ken Kojandi et Ben Nevers, mais du coup c'est des personnes qui ont déjà réussi dans le milieu de la création, donc pas forcément dans le milieu du podcast en général, mais dans le milieu de la création de contenu, ou même de l'humour pour Ken Kojandi. Et donc là, avec l'entourage que j'ai, pareil, dans le milieu du podcast, je peux me comparer aussi souvent à eux. Ce que je disais encore dernièrement à un ami, c'est que c'est cool, du coup, je discute avec tout le monde et tout, machin. Mais en fait, on ne se rend pas compte, mais quotidiennement, je regarde les chiffres que j'ai pu avoir. Je regarde si, du coup, cet épisode-là, il a bien fonctionné ou pas. Quand il y a eu, du coup, le récap Spotify, du coup, qu'on va aborder un peu plus tard dans cette émission. j'ai pu voir aussi quel épisode était le plus écouté, j'ai pu découvrir aussi quelle est la nouvelle part d'audience. En fait, on est entouré quotidiennement de chiffres, que ce soit pour les écoutes, mais aussi pour les réseaux sociaux, parce que toute la création de contenu que je fais en dehors, à côté, pour Instagram, TikTok, YouTube, etc., on est entouré de chiffres et on se dit, OK, le temps que j'ai pris pour réaliser ce truc-là, il faut que j'ai en quelque sorte un nombre de... vue ou d'écoute proportionnelle autant que j'ai pris. En fait, je dirais pas que c'est pour tout le monde. Alors je prends vraiment l'exemple que pour moi. Enfin, je me retrouve des fois à me dire ah, c'est peut-être pas suffisant, donc ça veut dire qu'il a pas plu cet épisode-là, donc ça veut dire qu'il faudrait le tourner d'une autre façon. Là, ben j'ai pas pris beaucoup de plaisir à le faire, mais je vois que ça fonctionne bien. Donc en fait, c'est pas mal de choses aussi qui sont assez difficiles à mettre en place et qui sont aussi difficiles du coup à prendre en compte et à faire une part des choses même s'il faudrait le faire. Et c'est ce que tout le monde dit, toutes les personnes qui sont dans la création de contenu le disent, il faut réussir à faire une part des choses entre les statistiques et le plaisir. Mais en fait, quand on débute, c'est les statistiques qui permettent de savoir si du coup ce que tu fais, c'est bien ou pas. Et c'est toujours agréable de savoir qu'il y a tant de personnes qui t'écoutent et tant de personnes qui sont satisfaites du travail que tu peux produire. Parce que même si moi je suis satisfaite du travail que je produis, moi je produis un travail qui est censé être écouté. Et si mon travail n'est pas écouté, ben du coup ça veut dire que je ne sais pas. pas fait mon travail, genre j'ai pas réussi à faire ce que je voulais faire. C'est comme si vous demandiez une table à un charpentier et genre le mec il vous fait une table bancale. Bah c'est son seul travail, genre s'il est pas capable de faire une bonne table c'est qu'il y a un problème, donc vous avez pas à manger sur cette table. Donc voilà, c'était les trois un peu thématiques que j'avais trouvées pour les défis que j'ai affronté. Vraiment c'est des choses qui m'ont le plus parlé et sur lesquelles je me suis battue. Alors je me bats plus en ce moment sur eux. La partie juste milieu entre toute l'organisation de ma vie. Parce que c'est un peu plus compliqué, je trouve, vu que je n'ai pas d'organisation, encore une fois. Donc vraiment, si vous voulez lancer dans le podcast, ne soyez pas comme moi, organisez-vous. Parce que vraiment, ça va dans tous les sens. Mais j'arrive quand même à trouver... En fait, j'ai du temps pour tout, mais pas du temps pour tout. C'est vraiment compliqué. Un jour, il faudrait que je l'explique. Mais c'est vraiment un chaos total. Du coup, là, dans la deuxième partie, je vais plus vous parler d'aujourd'hui et plus précisément de 2024, parce qu'évidemment, on est là pour parler un peu de ce que ça a donné aujourd'hui, de faire un bilan sur ces deux années de podcast, ces deux années de création de contenu, donc ces deux années derrière un micro. Donc, on a commencé 2024 avec un début d'année, avec un crossover, avec Maud, du coup, que vous avez pu déjà rencontrer pour un épisode avec les grands-parents. Donc, j'ai interrogé Samia et Rose, enfin, on a interrogé Samia et Rose, du coup, sur les grands-parents. où on a pu discuter de leur relation avec leurs grands-parents. Et ça, c'est une année qui commence avec un travail en commun qui était assez fou parce que dans le milieu du podcast, je crois que j'ai travaillé qu'avec deux personnes. Oui, deux personnes sur lesquelles... Non, une personne. Du coup, c'était Maud, je crois, la seule personne avec qui j'ai fait un crossover. Et sinon, les autres personnes, c'est des gens du podcast que j'ai interrogés, que je n'ai pas eus, avec qui je n'ai pas co-écrit quelque chose. Et donc, c'était assez marrant. C'était la première fois que je faisais un épisode en crossover. Vraiment, on débute l'année avec beaucoup de nouveautés. On continue du coup avec le lancement de nouveaux concepts. Donc il y a eu le Entre vous et moi qu'on a abordé, où j'ai voulu tester l'épisode 20. l'arrangement d'épisodes toute seule, où là, du coup, c'était plus à cœur ouvert, donc comme maintenant, où je vous parle un peu des problèmes que j'ai dans ma vie actuellement, ou de plein de choses qui me passent par la tête. C'était un type d'émission sur laquelle j'avais un doute, au tout début, parce que je me suis dit, ah putain, je vais être toute seule, ça se trouve, les gens, ils vont me pas aimer, ils préfèrent quand il y a du monde, ils peuvent répondre, et tout. Et en vrai, j'ai eu que de bons retours dessus, il y en avait beaucoup qui étaient intéressés, qui ont eu vraiment ce côté de... proximité. Et j'étais contente parce que c'était un peu ce que je recherchais, du coup, dans ce type de format-là, où je me livrais, en fait, à vous. Et vous, vous ne vous livrez pas forcément à moi parce que, du coup, vous ne pouvez pas répondre par rapport au podcast, même si vous pouvez répondre, du coup, via les réseaux sociaux, etc. Mais c'était assez intéressant de jouer le jeu de l'inviter, c'est moi-même, et surtout, comme on le dit souvent, c'est apprendre à apprécier sa propre compagnie. Et donc là, j'ai... appris un peu à apprécier ma propre compagnie au studio où j'ai personne en fait qui va répondre à mes questions ou la personne qui pose les questions et aussi la personne qui doit y répondre et c'était très marrant de jouer à ce jeu là et je pense que c'est un concept que je vais pouvoir retravailler et retrouver prochainement du coup j'ai déjà des idées de thématiques que j'aimerais aborder mais ça c'est pour un prochain épisode et ensuite on a eu le banc des créateurs du coup pour la troisième saison qui était un épisode du coup avec Maud non ? Donc Maud a fait le début de l'année de janvier et le début de la saison 3. Donc elle a eu beaucoup de chance sur ces deux périodes-là. Donc le banc des créateurs qui est un type d'épisode, un type de format où j'interroge en fait ma génération du coup qui se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Donc j'avais interrogé Maud du coup qui a son entreprise Lisette qui fait des audiobiographies. Et donc je l'avais interrogé un peu sur tout ça, sur le lancement de son entreprise. le parallèle entre sa vie étudiante et du coup sa vie d'auto-entrepreneuse, aussi le parallèle qu'elle avait avec ses parents, c'est-à-dire qu'en fait, dire qu'à 20 ans, tu veux lancer ta boîte et qu'en plus de ça, tu vas arrêter les études, ou tu ne vas pas arrêter les études, mais tu ne sais pas trop, et du coup, tu veux te lancer quand même, mais tu ne sais pas si ça va fonctionner ou pas. Donc pour des parents, c'est un peu compliqué. Et du coup, on avait beaucoup abordé ce sujet-là et elle avait beaucoup aimé discuter de ces thématiques-là. Et donc voilà, c'était vraiment un sujet aussi, un format que j'avais beaucoup apprécié, que je voulais lancer. Et j'étais contente de voir que ça avait bien fonctionné. Encore là, j'ai deux demandes, deux, trois demandes qui sont encore dans les brouillons, qu'il faut que je travaille. Mais il y aura un autre épisode qui va sortir prochainement, du coup, sur ça, où j'interrogerai une autre personne, pareil, sur cette vie d'auto-entreprise. Donc voilà, par rapport à ça. Après, on a eu aussi l'amélioration de la communication. Alors, amélioration, vraiment, la meuf, elle se la pète. Non, non, en gros, c'est vrai que je me suis lancée sur YouTube aussi, avec la première vidéo aussi, du coup, d'un format qui était autre que le podcast. Dans ce sens où maintenant, les épisodes sont aussi disponibles sur YouTube. Donc il y en a beaucoup qui vont l'écouter sur YouTube parce qu'ils vont le découvrir, ils vont tomber dessus par rapport, par exemple, aux mots-clés, etc. Et on a aussi fait maison, du coup, le nouveau concept. Il y a eu beaucoup de nouveaux concepts, en vrai, je ne m'y attendais pas, mais il y a eu beaucoup de nouveaux concepts qui sont arrivés quand même. Et donc, fait maison. un épisode que j'ai fait avec Marvin du coup un de mes meilleurs amis en vrai Marvin tu découvres que tu es l'un de mes meilleurs amis voire même mon meilleur ami Fais maison qui est du coup un épisode que j'ai adoré faire enfin pas un épisode, une vidéo que j'ai adoré faire, donc là on était chez moi, on a fait une recette où du coup j'ai discuté avec lui sur pas mal de sujets qu'on se posait donc on a parlé aussi du permis donc du fait que... Malgré mes nombreuses persévérances, je n'arrive pas à passer mon permis. J'ai échoué deux fois à mon permis et là, je vais passer à un troisième passage bientôt. Et donc, on a parlé de ça. On a parlé aussi beaucoup des relations qu'on pouvait avoir avec nos partenaires, etc. Donc, Marvin nous a parlé du... Alors, je n'ai pas vu la formulation, mais c'était, je crois, ce besoin de sauver l'autre dans une relation, en gros, où il avait besoin de sauver son ex, en fait, dans le temps. tout ce qu'il avait dans la relation, etc. Et donc voilà, c'était des thématiques qu'on avait beaucoup abordées par rapport à ça et je trouve que c'est des thématiques qu'on peut aborder de façon plus légère, en quelque sorte, quand on cuisine, parce qu'on a plus de facilité à se livrer, parce que du coup on est occupé, on discute, on regarde aussi en même temps ce qu'on va cuisiner, etc. Et donc là, c'était super intéressant d'avoir ce côté légèreté, ce côté aussi vidéoludique, où en fait c'était ultra intéressant, ultra léger, comme je le dis à chaque fois. J'ai vraiment répété le DG genre 3-4 fois. Mais non, vraiment, j'ai kiffé. Et même vos retours ont été super. C'est-à-dire qu'en fait, beaucoup de personnes m'ont dit J'ai adoré du coup la vidéo et tout, c'était top, machin. J'ai eu beaucoup ce truc de En fait, j'avais l'impression d'être avec vous. Beaucoup de trucs comme ça où la personne me disait mais j'avais juste l'impression que si je ne regardais même pas une vidéo, j'étais avec vous, j'étais dans la cuisine avec vous, vous parliez et moi j'étais là, j'écoutais votre conversation, je pouvais débattre avec vous et tout. Et ça c'est fou parce que j'ai réussi à réaliser ce truc-là, ce truc de connexion et de proximité. Et même en vidéo, ça veut dire que la façon dont ça a été formé, la façon dont j'ai réussi à l'organiser, j'ai réussi à faire... l'impossible alors vraiment l'impossible vraiment je me la pète là dans mon épisode mais genre concrètement je suis très fière de cet épisode là et pareil comme je l'ai dit sur les autres épisodes comme pour le bon des créateurs il y a encore d'autres épisodes que j'aimerais réaliser après là le côté vidéo il est beaucoup plus technique que du podcast c'est à dire que là il faut vraiment trouver le lieu il faut pouvoir poser du coup les caméras et tout plus de temps aussi au niveau du tournage plus de temps au niveau du montage aussi parce que le montage vidéo est beaucoup plus compliqué, je trouve, que le montage audio. Après, bon, c'est vraiment les goûts et les couleurs de chacun. Mais voilà, en tout cas, pour la partie YouTube, on a eu ça. Après, on a eu aussi la création du coup de contenu via TikTok. Donc là, j'ai créé du contenu. Vraiment, beaucoup de guillemets à ça. Enfin, j'ai noté dans mon doc création de contenu, mais en fait, c'était souvent des extraits que je créais. Et après, j'ai aussi Ouais, en fait, là, vraiment, je suis en train de me dénigrer, mais en fait, je me rends compte que, oui, il y avait les extraits, du coup, qui est déjà disponible sur TikTok et en Reels aussi. Mais il y a aussi des vidéos que j'ai créées, du coup, dernièrement. Il y a un petit moment quand même que vous avez pu voir. Donc, comment est-ce que j'ai créé le podcast ? Du coup, les cinq conseils un peu qu'on pouvait avoir pour du podcast et tout. Donc, en fait, j'ai fait quelques vidéos et j'ai voulu me lancer un peu sur TikTok sur... Du coup, tout le milieu du podcast, etc. Donc ça, c'est quelque chose qui faisait que je travaille un peu plus, je trouve. Mais en vrai, j'étais contente parce que, en dehors des extraits, il y avait quand même des choses qui intéressaient les gens. Et donc là, on touche une audience qui est dans ma cible, en quelque sorte. Et donc, création de contenu sur TikTok aussi, c'était un sacré challenge, en vrai. Et aussi, le lancement de la communication sur LinkedIn, une fois par semaine. Oh la vache ! Ah oui, amélioration de la communication, vraiment, c'était le bon mot, en fait, en vrai. Parce que LinkedIn, je me suis lancée cette année aussi sur la saison 3, où je faisais une communication par semaine. Donc là, ça fait peut-être deux semaines que je n'ai pas posté sur LinkedIn, mais c'est un autre détail. Donc oui, LinkedIn que j'utilise pour promouvoir le podcast, donc promouvoir mon podcast, donc on papote, mais également aussi promouvoir le milieu du podcast. Donc avec les événements que j'ai pu faire, j'ai pu aller au Pod Paris. où là, du coup, j'ai pu faire une communication sur le fait que j'étais allée, qui est-ce que j'ai pu rencontrer, les événements auxquels j'ai pu assister, etc. LinkedIn pour un côté beaucoup plus professionnel, donc pour rencontrer des entreprises, des trucs comme ça. Et aussi, du coup, pourquoi pas des parents pouvant en discuter après. J'avais noté une nouvelle façon d'amener les sujets. Donc, on avait une nouvelle façon d'amener les sujets, j'ai trouvé dans cette nouvelle saison, donc la saison 3, où il y avait beaucoup plus, encore le mot légèreté, de légèreté sur les épisodes parce que par exemple l'épisode avec du coup c'était Mathéo et Emilia où on a parlé du coup de nos premiers amours, c'était un épisode vraiment super il était pas léger celui-là il était plutôt convivial c'est le mot convivial qu'il faudrait sortir il était très convivial dans le sens où en fait on avait même plus l'impression qu'on parlait du coup en interview mais en fait on parlait entre potes Et c'était très marrant d'avoir ce truc-là parce que Mathéo et Emilien, je ne les connais pas vraiment. Enfin, pas vraiment en fait. Et du coup, il y a vraiment eu ce truc où on rigolait et tout. Et c'est très marrant parce qu'en fait, même si l'épisode est sorti en octobre, je crois. Non, même pas. Il est sorti en mai. Mais ouais, en fait, c'est devenu l'épisode, c'est votre épisode préféré, dans le sens où Spotify m'a dit concrètement, c'est l'épisode qui a été le plus écouté par ton audience. Et du coup, bravo à eux. Bravo les gars, parce que du coup, vous avez été l'épisode le plus écouté de mon podcast. Et c'est très marrant parce que ça signifie qu'en fait, ce genre de sujet-là, cette façon de ramener les thématiques, cette façon de ramener un peu le sujet autour de la table, c'est une façon beaucoup plus... intéressantes que de la façon beaucoup plus carrée, interview où je pose des questions on me répond etc et j'ai voulu créer ça aussi avec Alexandre du coup j'ai l'épisode du mois de novembre où là on avait parlé du coup des années 2000, de grandir avec internet et tout ça et donc là Alexandre je le connaissais déjà un peu plus face à Mathéo et Emilien et donc pareil on a eu ce truc de légèreté où on a pu rigoler etc et c'était très marrant, c'était super intéressant donc voilà donc c'est vraiment euh... une nouvelle façon d'amener les sujets et je pense que c'est ce que je vais essayer de ramener en 2025 du coup, la prochaine fois pour d'autres thématiques, d'autres tournages pour pouvoir un peu plus ramener ce côté discussion et pas ce côté bon bah on est en interview en relation presse, je vous pose des questions vous me répondez et puis c'est fini et voilà vous rentrez chez vous, non c'est vraiment un moment convivial qu'on essaie de passer et je pense que là en fait ça a été un peu le déclic avec Mathéo et Emilia sur le fait que j'ai passé un vrai bon moment et pas juste... à un bon moment. Et c'est ça la nuance que j'ai eue et je pense que c'est pour ça que en plus d'être votre épisode préféré, c'est aussi le mien. Et vraiment encore bravo à ces deux-là d'avoir réussi à vous faire aimer du coup cette thématique du premier amour. On a aussi de nouvelles rencontres et des participations à des festivals. J'ai pu intégrer un groupe de podcasteurs du coup sur Rennes, où on se rencontre assez quotidiennement du coup pour parler un peu podcast, parler un peu... un peu de tout ce qu'on fait autour de nos podcasts et même se poser des questions, etc. Donc ça, c'est super bien. On a aussi les participations au festival. Donc comme j'ai dit, le Pod Paris, où j'ai pu venir pendant un week-end, venir à Paris, à la Belle-Villoise, pour rencontrer d'autres personnes du milieu du podcast, aussi me renseigner sur des formations. J'ai pu écouter des podcasts que j'écoutais. Donc par exemple, j'ai perdu le nom, mais c'était un podcast sur le cul, je crois. et j'ai perdu le nom je suis vraiment désolée je le mettrai en description je pense si j'arrive à le retrouver mais voilà donc j'ai pu écouter des podcasts comme ça j'ai pu en découvrir aussi avec la chose étrange qui était vraiment un podcast auquel je ne m'y attendais pas et j'ai beaucoup adoré donc voilà en vrai c'est super parce que j'ai pu rencontrer d'autres gens j'ai pu revoir aussi des créateurs que je connaissais du coup sur Paris donc par exemple Bérénice qui a le podcast le canap de billes où elle parle de cinéma et du coup je vois que je viens sur Paris et qu'on vient à des conférences comme ça sur le podcast et je me dis Chaque fois, on se recroise et c'est toujours marrant de se recroiser sur les mêmes endroits. Et c'est toujours un plaisir de la revoir et de discuter avec elle sur le podcast. Et aussi, il y a un souhait de professionnalisation, donc avec l'achat d'une caméra pour ma part. Mon petit cadeau de Noël, mon petit plaisir de fin d'année où je me suis permise de m'acheter une petite caméra pour réaliser. Donc là, ça va plus être pour des vlogs, pour de la création de contenu, du coup plus pour YouTube, je pense. Parce que même si là, je suis un peu en train de délaisser mes réseaux, parce que comme je l'ai dit, c'est beaucoup de temps. Et je trouve qu'en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps ou alors je ne me laisse pas le temps. Je ne sais pas, c'est un peu compliqué. C'est un peu le fouillis. Et donc là, ça va plus être sur de la création pour YouTube. Donc ça va plus servir pour, par exemple, les épisodes de fait maison. Je vais avoir une meilleure qualité aussi vidéo. Du coup, une meilleure qualité vidéo. Ça va être plus intéressant et plus confortable pour vous. Il y a aussi Yahoo que j'ai intégré, du coup, où je vais avoir un parrain ou une marraine qui va pouvoir me suivre dans mon projet de professionnalisation sur le milieu du podcast, le milieu de l'entrepreneuriat et tout. Et donc ça, c'est vraiment cool. C'est une envie quand même, une ambition de pouvoir continuer. Et je trouve ça cool parce que 2023, on finissait l'année avec du coup, en quelque sorte, des doutes par rapport au podcast, par rapport à... à ce que je voulais faire après. Et en vrai, là, 2024 se termine avec quand même une envie de professionnalisation, de rester dans un milieu où je peux rester derrière un micro, je peux interroger des gens et parler avec d'autres personnes. Et ça, c'est vraiment cool. C'est vraiment des choses, une année qui a été quand même riche en rencontres, riche en émotions et riche en rebondissements. En vrai, vraiment 2024, BG. Si on devait résumer 2024 en chiffres, concrètement, du coup, grâce à mon petit Spotify... Ou WAPET, je crois que c'est ça le nom. Vous vous rappelez ? Bon, bref, je ne sais plus. Donc, grâce au truc Spotify, bref, qu'on a tous eu et qu'on a tous mis en story, genre pour dire qu'on a écouté tel ou tel artiste. Donc, 2024 en chiffres avec On Papote, ça donne 80% de nouveaux auditeurs Spotify, ce qui est super parce que du coup, ça augmente un peu l'audience. Ça veut dire qu'il y a beaucoup plus de personnes qui sont intéressées un peu à ce que je peux raconter quand même. ou à ce que je peux proposer comme sujet. Et ça, c'est cool parce que ma tranche d'âge qui a été le plus augmentée a été la partie 45-50, je crois, si je ne me trompe pas. Et du coup, cette partie-là a augmenté grâce, je pense, à LinkedIn, grâce aussi à ma recherche d'alternance. Et en vrai, ça a été super cool parce que du coup, ça permet à des parents de pouvoir découvrir les problématiques que leurs enfants peuvent rencontrer ou vont pouvoir rencontrer dans leur vie d'adulte. Et ça, c'est vraiment un truc qui est vraiment génial de voir que même ma tutrice continue de m'écouter alors qu'elle m'a déjà embauchée. Ça fait déjà un an que je travaille à ses côtés, mais qu'elle continue d'écouter le podcast. Et ça, c'est vraiment fou de se dire qu'il n'y a pas que des jeunes qui se posent des questions. Il n'y a pas que des jeunes qui veulent des réponses. Il y a aussi les parents qui veulent des réponses pour comprendre un peu mieux leurs enfants. Et ça, c'est vraiment quelque chose que j'aimerais pouvoir réaliser par la suite. Continuer à proposer ce genre de sujet. tu vas réussir à lire ce genre de sujet et donc voilà, on est sur ça une note de 5 sur 5 super cool, donc continuez à noter l'émission évidemment, je ne le dis jamais assez et j'oublie souvent de le dire de noter l'émission quand vous l'écoutez sur votre plateforme d'écoute préférée, c'est toujours très important ça soutient le projet et donc voilà la preuve, une note de 5 sur 5 du coup sur Spotify on est sur un podcast qui a été écouté dans 5 pays différents je crois dans mes souvenirs ça a été la France... On avait eu la Belgique, on avait eu le Canada, on a eu... Alors, je ne sais plus. Je crois qu'il y a eu un moment les Etats-Unis. Ouais, je crois que c'est tout. Là, je n'ai plus vraiment en tête, je ne sais plus. Mais en tête, il y avait surtout la France, parce que généralement, les gens qui m'écoutent étaient en Bretagne. Il y avait Île-de-France, il y avait dans le sud aussi, je crois. Mais voilà, à peu près la carte. Donc, si vous reconnaissez, ben voilà. Je suis contente de voir que vous m'écoutez un peu aux quatre coins de la planète. Et c'est cool de se dire qu'en fait, une fille qui est dans un studio, qui parle derrière un micro avec personne en face d'elle, et qui a juste un ordi ouvert devant elle avec ses notes, peut être écoutée un peu aux quatre coins du monde. Et ça, c'est fou quand on y pense. Vraiment, Internet est très puissant. Ça, j'aurais dû le dire dans l'épisode avec Alexandra. Donc voilà, un podcast qui a été écouté dans cinq pays différents. On a aussi une présence. Alors ça, ça a vraiment été la surprise. C'est cool. Une présence dans le top 5 de 64 personnes et émission numéro 1 de 18 personnes. Donc là, en fait, concrètement, ça veut dire qu'en fait, il y a des gens, il y a 18 personnes sur cette planète pour qui On Papote a été le podcast numéro 1. Et je tiens à dire, je ne suis pas numéro 1 dans mon propre résumé Spotify. Ça veut dire qu'en fait, c'est vraiment 18 autres personnes que moi. Et vraiment, s'il y a moyen de savoir qui c'est, vraiment, je vous en supplie, envoyez-moi un DM Insta. Parce que c'est vraiment fou. J'aimerais savoir qui vous êtes pour pouvoir vous remercier. Parce qu'on ne se rend pas assez compte du plaisir que ça peut donner d'être le numéro 1 par rapport à d'autres créateurs. Surtout qu'on sait qu'il y a plein de créateurs, il y a plein de podcasts qui existent. Mais moi, petite créatrice qui fait mon truc de mon côté, être dans le top 1 de 18 personnes, c'est vraiment fou. Et vraiment, je tenais à vous remercier. Même pour les 64 personnes. Les 64 personnes. englobe les 18 personnes aussi donc je suis dans le top 1 donc en vrai très contente de ces résultats là et de voir que le podcast continue à vous plaire donc voilà on est un peu sur une fin d'épisode par rapport à cela je tenais surtout à vous remercier d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que je fais, à écouter le podcast, à surtout m'envoyer vos messages, je sais que c'est pas beaucoup de personnes qui le font Mais le peu de personnes qui le fait, qui me remercie, ou le peu de personnes qui juste dit, cet épisode-là, il a été super, que ce soit en physique ou que ce soit par... Par message privé, il n'y a aucun problème. Genre vraiment, ça fait très plaisir. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est gratifiant de savoir que ce qu'on réalise, ce qu'on produit de notre côté est écouté par d'autres personnes et sont contents du contenu qu'on peut proposer, même si des fois, comme on peut le dire, il y a des doutes. Il y a des moments où on ne sait pas si du coup ce qu'on fait, c'est bien, si du coup ce qu'on a réalisé, c'est à la hauteur un peu des exigences de notre audience. Mais de savoir ça que... que cet épisode-là vous a plu, que cet épisode-là, il faudrait mieux le retravailler, etc. Ça fait toujours plaisir d'avoir des retours et de savoir qu'en fait, c'est écouté et que ça plaît à d'autres. Et voilà, donc je tenais à vous remercier par rapport à tout ça. Et j'espère qu'en fait, 2025 va être encore plus intéressant, encore plus merveilleux que 2024. Et on clôture une année vraiment qui a été folle, du coup, en rencontre, comme je l'ai dit, folle en ouverture d'esprit. folle aussi sur de nouveaux concepts. Il y a pas mal de choses qui ont été faites et sur lesquelles je n'aurais même pas pensé me lancer quand j'ai débuté dans le podcast. Je tenais quand même pour remercier parce que ce n'est pas souvent qu'on y pense et ce n'est pas souvent qu'on peut se dire qu'on prend du plaisir à faire ce qu'on fait et de savoir que c'est écouté par d'autres, ça fait plaisir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode spécial anniversaire. Comme j'ai dit, merci encore à vous tous. C'est vraiment un plaisir d'être avec vous au quotidien, d'être mensuellement dans vos oreilles. C'est très bizarre dit comme ça, mais c'est un peu la vérité. Donc voilà, on se retrouve du coup en 2025. Continuez l'aventure et évidemment, découvrez de nouveaux sujets. Et moi, je vous dis bonne année. Passez de très belles fêtes de fin d'année. Et on se retrouve en 2025 pour un nouvel épisode de On Papote. Salut !

Description

Dans cet épisode, on célèbre ensemble les deux ans de création du podcast "on papote ?" en faisant le bilan de l'année 2024.

Pourquoi je me suis lancée ? Comment je m'organise au quotidien (spoil : je suis toujours en retard) ? Quelles ont été les choses marquantes de cette année ? Aujourd'hui, on répond à toutes ces questions.


Un podcast qui a su toucher plus de monde cette année et répondre aux questions des jeunes adultes (ainsi que de leurs parents) sur divers sujets de la vie quotidienne. Relations sociales, vie professionnelle ou encore introspection, venez trouver les réponses à vos questions chez "on papote ?"


On se retrouve en 2025 pour de nouveaux épisodes et de nouveaux concepts toujours aussi fous !


- A

---

Suis "on papote ?" sur les réseaux sociaux :

Instagram : https://www.instagram.com/onpapote.podcast/

TikTok : https://www.tiktok.com/@onpapopote.podcast

Youtube : https://www.youtube.com/@onpapote.podcast



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Est-ce que les années étudiantes sont vraiment les meilleures de mon temps ? J'ai beaucoup d'importance à mon physique. Est-ce que ça fait de moi quelqu'un de superficiel ? La première fois, c'était vraiment si important. C'est grave, c'est grave. J'ai une fille et j'ai pas envie d'avoir... J'ai toujours pas mon bac. Est-ce que c'est normal ? J'ai toujours pas d'avoir ce que... Parce que j'ai jamais été en couple. Est-ce que c'est normal ? Je vais pas avoir d'influence. Est-ce que j'ai toujours pas d'importance ? J'ai bien l'impression que j'ai pas d'importance à mon physique. Est-ce que j'ai super... Est-ce que c'est normal ? Chut ! Eh ben viens, on s'assoit et on papote. Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on se retrouve pour un nouvel épisode, un petit hors-série spécial... anniversaire. Au moment où vous écoutez ce podcast, On Papote souffle sa deuxième bougie. Et oui, deux ans du coup de création, deux ans de podcast que vous écoutez maintenant de façon mensuelle. Et oui, du coup, On Papote, un anniversaire qui tombe parfaitement pour refaire du coup un point sur ces deux ans qui se sont écoulés et pouvoir parler avec vous à cœur ouvert. Donc on va recommencer un peu par les débuts, on va faire de façon chronologique. Donc j'ai noté des petits trucs quand même qui étaient assez importants, je pense, à noter et à préciser. Donc là, pour cet épisode, je serai toute seule, donc il n'y aura pas d'invité, pas de guest spécial. Donc vraiment, c'est un peu comme le concept d'Entre vous et moi, c'est vraiment là où je vais vous parler un peu plus du coup de tout ce que j'ai pu traverser par rapport à ça. On l'avait déjà fait une première fois, vous avez parlé du moment où je voulais faire une pause par rapport au podcast. Et du coup, je vais vous parler un peu de tout ça, de tout ce qui tourne autour du podcast et ce qui tourne un peu en dehors de ce que vous pouvez voir vous en tant qu'auditeur. Donc je vais déjà commencer par me représenter ou me présenter pour ceux qui ne me connaissent pas. Du coup, je m'appelle Annaëlle, j'ai 22 ans. Actuellement, je suis en master brand content, donc tout ce qui est en lien avec la communication. Et donc, depuis deux ans maintenant, j'ai mon podcast On Papote, dans lequel j'interroge un peu la nouvelle génération, donc la génération Z, donc entre 18 et 30 ans actuellement, et du coup, sur les problématiques qu'elle peut rencontrer. Donc on est là, on parle souvent de tout ce qui va être problèmes familiaux, tout ce qui va être les relations sociales, donc on a beaucoup parlé de tout ce qui était les amitiés, on a parlé des ruptures amicales, on a parlé du coup du couple aussi, on a parlé dernièrement du coup de tout ce qui était les maladies mentales, on a aussi parlé... de tout ce qu'avaient été les règles, tout ce qu'avaient été être un homme aussi, faites des questions un peu que ma génération se pose, et donc on est là pour y répondre, et surtout pour mettre en avant cette génération qui se pose des questions, et permettre à cette génération qui se pose des questions d'avoir des réponses par la même génération, et pas par une autre personne, par une personne plus âgée, par exemple, qui aura plus de facilité en quelque sorte à nous prendre de haut, parfois, c'est ce que j'ai souvent trouvé, et donc c'est l'une des raisons aussi pour lesquelles j'ai voulu créer ce podcast, c'est parce que... Dès l'instant où j'avais des questions, je ne savais pas vraiment vers qui me tourner pour du coup avoir des réponses. Et on est un peu là aussi pour répondre, pour pouvoir échanger, pour pouvoir raconter aussi des récits de vie. C'est vraiment ça qui est le plus important, je trouve, avec On Papote, c'est que ça permet de rencontrer pas mal de monde et d'avoir des histoires de vie qu'on n'aurait pas pu entendre si, par exemple, on n'avait pas écouté le podcast ou s'il n'y avait pas le podcast pour pouvoir en discuter. Et donc, on va parler un peu concrètement de... Pourquoi est-ce que je me suis lancée dans le podcast ? J'ai un peu expliqué concrètement que j'avais pas mal de questions quand je suis arrivée sur Rennes. Pour ceux qui ne le savent pas, avant de venir sur Rennes pour faire mes études, j'étais en Martinique, chez mes parents. Et donc j'ai dû déménager, exceptionnellement, pour mes études, pour faire ma licence Infocom que j'ai fait à Rennes 2. Et donc du coup, je me suis lancée dans le podcast courant de l'année 2023, si je ne me trompe pas. Donc j'avais un projet universitaire à faire autour du Covid, et oui encore, donc un projet qui tournait surtout sur l'impact du Covid par la jeunesse. Donc en 2020, on a tous connu cette période de pandémie, cette période de confinement, et donc j'ai pu partir à la recherche de l'information, poser des questions à mon entourage, aux gens qui avaient à peu près mon âge, donc qui avaient la vingtaine, et qui en fait ont vécu aussi le Covid. De façon différente, car chacun a eu sa vision de cette pandémie. Il y en a qui l'ont appréciée et qui ne l'ont pas appréciée, par exemple le confinement. Personnellement, j'ai parti du clan qui a apprécié le confinement. Je vous le dis déjà, le confinement, ça a été pour moi très bénéfique parce que la terminale, ça a été très difficile. Et en fait, le fait de rester chez moi, j'ai eu beaucoup plus de facilité à terminer la terminale et avoir de meilleures notes que si j'avais continué en cours. Donc c'est pour ça que j'ai beaucoup plus apprécié le confinement, que ce soit le premier comme le deuxième, où en fait... j'étais beaucoup plus réservée déjà à l'époque et c'était beaucoup plus intéressant de rester chez moi avec mon confort en quelque sorte plutôt que de sortir, tout ça, aller en cours etc. Donc je pense que c'est peut-être pour ça que j'ai beaucoup plus préféré du coup le confinement Donc je reviens un peu à mes moutons on avait ce projet de cours que je devais rendre donc le format était un peu libre et du coup je me suis dit que je vais partir sur un peu un format audio parce qu'à cette époque-là j'écoutais déjà tout ce qui était un bon moment réalisé par Ken Kojandi et aussi Entre Mecs réalisé par Ben Nevers Donc... Pour ceux qui me connaissent, ils ont déjà le début de l'histoire. Par rapport à tout ça, c'est deux personnes qui m'inspirent énormément et dont je continue de suivre le travail et qui sont vraiment pour moi mes deux sources d'inspiration que j'aimerais rencontrer. Si un jour, Ken Kojandi ou Ben Nevers, vous entendez ça, vraiment, j'aimerais un jour vous rencontrer et pouvoir parler avec vous de tout ce que vous avez pu réaliser, que ce soit les projets que j'ai évoqués, Un bon moment et Entre mecs. En fait, tout l'univers qu'ils ont, tous les deux, c'est vraiment des choses qui m'inspirent au quotidien. Et c'est vraiment inspirant et c'est quelque chose que j'apprécie beaucoup regarder et consommer en règle générale. Et donc voilà, je souhaitais répondre un peu à ces problématiques-là que j'avais. Et en faisant ce projet-là, ce qui a été surtout bénéfique, c'est le retour que j'ai eu. Dans le sens où j'ai réalisé, j'ai interrogé pas mal de personnes, on va dire une dizaine de mes amis proches. C'est un projet que j'ai toujours du coup dans mes... dans mes fichiers que j'écoute de temps en temps. Mais en fait, le sujet clé, le point phare de cette histoire, c'est surtout le retour de mon professeur que j'ai eu dessus, qui m'avait donné une super bonne note dessus. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié parce que... Je me suis rendu compte que la réalisation de ce contenu audio, c'était vraiment quelque chose que j'avais apprécié faire, le moment où il fallait réfléchir aux questions, le moment où il fallait partir interroger ces personnes-là, le moment où il fallait faire le montage. Toute cette histoire que j'avais créée, parce que c'était vraiment un podcast, un quelque sorte narratif, dans le sens où il y avait une histoire, où j'avais écrit un peu une introduction, une conclusion, il y avait des transitions entre chaque témoignage. que j'ai pu recevoir. Et c'était vraiment quelque chose que j'ai beaucoup apprécié réaliser. Et de là, en fait, là où mon professeur a fait son retour, du coup, j'ai eu vraiment quelque chose d'assez inspirant qui m'a dit, mais vraiment, c'est quelque chose de... Pas de fantastique, en quelque sorte, mais c'était vraiment quelque chose de très inspirant qui était incroyable, en quelque sorte. Alors, avec beaucoup de guillemets à lire. Et donc, voilà, c'est pour ça, en fait, que je suis revenue sur ça parce que c'était vraiment un épisode que j'ai adoré faire. Enfin, un épisode. C'est vraiment un projet que j'ai adoré faire. Et c'est de là que ma passion pour être derrière un micro est venue. Et de là, je me suis un peu rapprochée de la radio universitaire C-Lab, qui y a toujours dans l'université Rennes 2. Je me suis rapprochée d'eux. J'ai d'abord participé à une émission de radio qui s'appelait Rap Taglorc, où on parlait du coup de rap. Et je me suis rendue compte que la thématique du rap, même si j'étais derrière un micro, ce n'était pas forcément ce que je voulais aborder. Et finalement, je suis partie plus... Du coup, sur autre chose, mais avant de partir sur le projet de On Papote, je me suis dit que finalement, ce n'est pas la radio qui me plaît, peut-être que c'est autre chose. Donc, je me suis laissé un temps de pause en quelque sorte. Et finalement, ce qui s'est passé, c'est que je suis revenue du coup en 2023 avec cette idée finalement de répondre à des questions sur lesquelles on n'a pas forcément de réponse quand on est jeune, quand on est jeune adulte. Donc, moi, étant donné que je venais d'Outre-mer, il y avait pas mal de questions que je ne comprenais pas, pas mal de choses que je ne comprenais pas en métropole. et auxquelles il a fallu faire face, et même sur la vie tout court, sur le changement qu'on a quand on devient adulte, quand on est enfant ou adolescent et qu'on n'est pas encore livré à nous-mêmes. Les gens ont moins d'attentes par rapport à ça, par rapport à ce qu'on peut réaliser, que quand on est adulte. Et du coup, c'est à ce moment-là où on se rend compte un petit peu qu'il y a des choses sur lesquelles... On ne peut pas avoir la faiblesse de dire ah mais je ne savais pas Et il y a des choses sur lesquelles, quand tu le dis à un adulte, alors je mets adulte dans le sens où c'est encore difficile de se considérer encore comme un adulte, ça c'est un sujet qu'il faudrait qu'on traite un jour, parce que j'en parle souvent avec des amis, et quand je leur demande mais du coup, est-ce que tu te considères comme un adulte ? Est-ce que pour toi, tu es un adulte ? Est-ce que ça veut dire quoi être un adulte ? Et bien en fait, on a un peu ce truc de... En fait, on ne sait pas si on est adulte ou pas, parce qu'on est trop jeune pour certains, pour être vraiment considéré comme des adultes, parce que c'est encore le cas. La semaine dernière, je parlais avec une collègue et j'ai été un peu infantilisée, dans le sens où on m'a un peu confondue avec une enfant de 15 ans. Mais il y a aussi le truc de, on est trop âgé pour ne pas savoir. Parce que du coup, moi j'ai un petit frère et il y a des choses sur lesquelles lui il attend des réponses, auxquelles moi-même je n'ai pas de réponse. mais du coup techniquement je suis la plus âgée donc je suis censée pouvoir répondre à sa question étant donné que je suis plus proche de son âge que de l'âge de mes parents et c'est plus vers moi qu'il va aller se tourner s'il y a une question que se tourner vers les parents surtout si c'est des questions par exemple en lit avec son parcours genre s'il doit trouver du coup quelle formation il doit faire qu'est-ce qu'il doit faire après après le parcours sup etc donc en fait on a ce truc d'être inclus entre deux chaises un peu où on ne sait pas vraiment où se placer et c'est tout Très difficile et très compliqué de pouvoir réussir à savoir vers quoi est-ce qu'on doit aller, vers quoi on doit tendre. Et de là est venu On Papote, donc j'ai pu le créer avec d'abord une personne qui s'appelait Sarah, qui était là au tout début, donc pour ceux qui seraient intéressés de réécouter ou de découvrir les premiers épisodes, donc vous allez voir, on était deux au tout début, il y avait Sarah qui était présente, qui co-animait avec moi le podcast jusqu'à environ huit épisodes. Les huit premiers épisodes, elle était là, elle animait avec moi, et finalement elle est partie. Et du coup j'ai repris la main un peu par rapport à tout ça et donc en fait prendre la main par rapport à ça sur le podcast fait que maintenant je peux proposer des sujets sur lesquels moi-même je me sens concernée et sur lesquels j'ai envie d'avoir plus de réponses. C'est-à-dire que déjà on avait un peu une différence d'âge avec Sarah qui fait qu'aussi on n'avait pas forcément peut-être les mêmes questions, les mêmes interrogations qu'on pouvait se poser et là maintenant je peux plus interroger certaines choses qui se passent actuellement du coup dans ma vie. Et c'est souvent ça que je fais, les questions, les thématiques que vous pouvez retrouver sur le podcast, c'est souvent des questions que je me pose, des thématiques que je vis actuellement. Et je trouve que c'est super intéressant parce que du coup, on peut se rendre compte qu'il y a pas mal de choses qu'on vit quotidiennement. Et c'est vraiment intéressant de pouvoir avoir ces récits de vie-là, ou alors même de pouvoir découvrir des récits de vie. Dans le sens où par exemple, l'épisode sur les parents séparés, mes parents ne sont pas séparés, mais j'étais quand même intriguée de savoir comment ça se passait du coup. qu'on a deux parents qui sont séparés et qu'on doit faire un peu l'aller-retour entre les deux. Et j'ai été beaucoup surprise par rapport aux témoignages que j'ai pu avoir, déjà par rapport aux personnes qui ont candidaté, et même par rapport aux personnes qui sont venues parler de leur histoire. Et je trouve ça toujours intéressant parce que chacun vient partager son histoire, son effet de vie. Et en fait, je me rends compte qu'ils n'ont pas forcément... Le moment où ils n'ont pas forcément l'endroit pour pouvoir en discuter et ouvrir leur cœur, pour pouvoir parler de ces problèmes-là, de ces thématiques-là, qui font partie d'eux, mais en fait, ils en parlent avec leurs amis ou avec leurs proches, mais il n'y a pas plus d'informations. L'en parler avec des inconnus ou même en faire de la sensibilisation pour certains sujets, ils n'en ont pas forcément l'occasion, en quelque sorte, parce que c'est vraiment des sujets très personnels. Et on ne peut pas arriver de but en blanc et dire, ah ben moi, mon père, il ne vit plus avec ma mère et c'est ultra compliqué parce que du coup, je me retrouve à devoir gérer mes frères et sœurs et tout. Ou, je ne sais pas, moi, mes parents, du coup, je ne les vois pas parce que du coup, j'ai été placée en foyer. C'est méga compliqué parce qu'il y a des trucs que je ne comprends pas. Mes parents, je ne les vois pas souvent. Ou, ah ben, dans ma relation, il se passe ça, mais je ne comprends pas. Ça ne devrait pas être comme ça et tout. Et en fait, toutes ces thématiques-là, c'est des choses sur lesquelles... On n'a pas forcément le courage ou on n'a pas forcément l'endroit pour en parler. Et c'était un peu ça que j'ai voulu mettre en place avec On Papote, c'était avoir un espace où on peut avoir un espace d'échange, un espace de moment de vie. En fait, c'est ça que j'essaie de mettre en place, surtout, des moments de vie de partage avec, du coup, le podcast et avec les rencontres, surtout, que je fais. Parce que ces gens-là, en fait, ces gens que je rencontre, ces gens que j'interroge, donc les gens que vous écoutez mensuellement, en fait, c'est des gens qui ont des histoires à raconter et c'est des gens... à qui j'ai envie de donner la parole et à qui j'ai envie que leur histoire soit partagée également. Et donc en fait, là on va parler un peu plus des défis que j'ai pu rencontrer. Donc on a eu le départ de Sarah qui a fait quand même un peu une grande claque, je vous l'avouais, même si c'était bien dans un sens parce que j'ai pu, comme je l'ai dit, mettre plus en avant certaines des thématiques que je voulais aborder. Mais c'était un peu compliqué parce qu'on ne se rend pas forcément compte, mais j'ai déjà dit à plusieurs reprises dans le podcast et même sur les réseaux, Un podcast, ce n'est pas si simple. On a pas mal de choses à préparer. Étant donné que je n'ai pas de studio à moi, je suis obligée d'en réserver un à l'université. Il faut que je cale un moment où je suis disponible, mes invités sont disponibles, et le studio est disponible pour pouvoir venir et enregistrer. Il y a aussi toute la partie communication, il y a aussi toute la partie réalisation, écriture du script, recherche des invités. Après, il y a la post-prod. En fait, il y a pas mal de choses sur lesquelles il y a un derrière, en fait. Il y a pas mal de choses à faire en amont comme après, comme en aval. Et ces choses-là, en fait, souvent ne sont pas vues par le grand public parce qu'on se dit Oh, c'est bon, elle a enregistré. Du coup, l'épisode est sorti. Oh, c'est fini. Mais en fait, non, vraiment, moi, mon podcast, il y avait une période où, en fait, il fallait le gérer limite quotidiennement. Et en fait, c'est ce que je dis souvent, c'est que si vous voulez faire un podcast, C'est important quand même de se dire qu'en fait, le temps libre que vous avez, il faudra à grande échelle le mettre en place pour le podcast. Moi, c'est par exemple mes samedis ou alors mes soirées sont réservées par exemple au podcast. Je n'ai pas vraiment d'organisation à proprement parler. C'est-à-dire qu'en fait, je travaille dès l'instant où j'ai du temps, dès l'instant où je peux, dès l'instant où j'ai l'envie aussi. Il faut que ça reste une envie, une passion. Et c'est vrai que ça, c'est aussi une des... Un des défis que j'ai pu rencontrer, le fait que parfois le travail prend le dessus et du coup on perd un peu l'envie de se retrouver au studio, on perd l'envie de créer quelque chose, de créer du contenu, étant donné qu'en fait le moment où on est au studio, ça représente vraiment 1% du travail qu'on réalise. Et donc en fait on réalise beaucoup de choses avant comme après et juste pour le moment où on va arriver au studio et on va pouvoir passer un vrai moment. intéressant, que ce soit avec des invités ou tout seul. Et donc là, en fait, par rapport au départ de Sarah, on a eu aussi un juste milieu à pouvoir réussir à placer ma vie étudiante, l'alternance et du coup le podcast, parce que, comme je l'ai dit, maintenant je suis en master, donc maintenant je fais de l'alternance. Et donc, concrètement, comme je l'ai dit, c'est du temps aussi à prendre en compte et on l'oublie souvent et en fait, quand on voit que... Mes journées, elles sont un peu millimétrées parce qu'il faut que je fasse le podcast par-ci, le podcast par-là. Pendant des cours, je me retrouve à écrire des scripts, je me retrouve à devoir contacter des invités pour savoir s'ils sont disponibles à telle date. Il faut que je contacte aussi le studio pour dire est-ce que du coup à telle date, le studio est disponible pour que je puisse venir enregistrer. Il y a pas mal de choses à voir et c'est beaucoup de travail. J'avais noté les statistiques et la peur de la page blanche. Ça m'était arrivé du coup quand j'en avais parlé dans mon premier épisode entre vous et moi. Et je l'avais beaucoup dit, j'avais un peu ce truc où je perdais un peu l'envie, mais en fait il y avait aussi les statistiques, le fait qu'on voit que parfois le podcast peut stagner, on peut se comparer par exemple aux autres, parce que moi par exemple, mes sources d'inspiration comme je l'ai dit c'est Ken Kojandi et Ben Nevers, mais du coup c'est des personnes qui ont déjà réussi dans le milieu de la création, donc pas forcément dans le milieu du podcast en général, mais dans le milieu de la création de contenu, ou même de l'humour pour Ken Kojandi. Et donc là, avec l'entourage que j'ai, pareil, dans le milieu du podcast, je peux me comparer aussi souvent à eux. Ce que je disais encore dernièrement à un ami, c'est que c'est cool, du coup, je discute avec tout le monde et tout, machin. Mais en fait, on ne se rend pas compte, mais quotidiennement, je regarde les chiffres que j'ai pu avoir. Je regarde si, du coup, cet épisode-là, il a bien fonctionné ou pas. Quand il y a eu, du coup, le récap Spotify, du coup, qu'on va aborder un peu plus tard dans cette émission. j'ai pu voir aussi quel épisode était le plus écouté, j'ai pu découvrir aussi quelle est la nouvelle part d'audience. En fait, on est entouré quotidiennement de chiffres, que ce soit pour les écoutes, mais aussi pour les réseaux sociaux, parce que toute la création de contenu que je fais en dehors, à côté, pour Instagram, TikTok, YouTube, etc., on est entouré de chiffres et on se dit, OK, le temps que j'ai pris pour réaliser ce truc-là, il faut que j'ai en quelque sorte un nombre de... vue ou d'écoute proportionnelle autant que j'ai pris. En fait, je dirais pas que c'est pour tout le monde. Alors je prends vraiment l'exemple que pour moi. Enfin, je me retrouve des fois à me dire ah, c'est peut-être pas suffisant, donc ça veut dire qu'il a pas plu cet épisode-là, donc ça veut dire qu'il faudrait le tourner d'une autre façon. Là, ben j'ai pas pris beaucoup de plaisir à le faire, mais je vois que ça fonctionne bien. Donc en fait, c'est pas mal de choses aussi qui sont assez difficiles à mettre en place et qui sont aussi difficiles du coup à prendre en compte et à faire une part des choses même s'il faudrait le faire. Et c'est ce que tout le monde dit, toutes les personnes qui sont dans la création de contenu le disent, il faut réussir à faire une part des choses entre les statistiques et le plaisir. Mais en fait, quand on débute, c'est les statistiques qui permettent de savoir si du coup ce que tu fais, c'est bien ou pas. Et c'est toujours agréable de savoir qu'il y a tant de personnes qui t'écoutent et tant de personnes qui sont satisfaites du travail que tu peux produire. Parce que même si moi je suis satisfaite du travail que je produis, moi je produis un travail qui est censé être écouté. Et si mon travail n'est pas écouté, ben du coup ça veut dire que je ne sais pas. pas fait mon travail, genre j'ai pas réussi à faire ce que je voulais faire. C'est comme si vous demandiez une table à un charpentier et genre le mec il vous fait une table bancale. Bah c'est son seul travail, genre s'il est pas capable de faire une bonne table c'est qu'il y a un problème, donc vous avez pas à manger sur cette table. Donc voilà, c'était les trois un peu thématiques que j'avais trouvées pour les défis que j'ai affronté. Vraiment c'est des choses qui m'ont le plus parlé et sur lesquelles je me suis battue. Alors je me bats plus en ce moment sur eux. La partie juste milieu entre toute l'organisation de ma vie. Parce que c'est un peu plus compliqué, je trouve, vu que je n'ai pas d'organisation, encore une fois. Donc vraiment, si vous voulez lancer dans le podcast, ne soyez pas comme moi, organisez-vous. Parce que vraiment, ça va dans tous les sens. Mais j'arrive quand même à trouver... En fait, j'ai du temps pour tout, mais pas du temps pour tout. C'est vraiment compliqué. Un jour, il faudrait que je l'explique. Mais c'est vraiment un chaos total. Du coup, là, dans la deuxième partie, je vais plus vous parler d'aujourd'hui et plus précisément de 2024, parce qu'évidemment, on est là pour parler un peu de ce que ça a donné aujourd'hui, de faire un bilan sur ces deux années de podcast, ces deux années de création de contenu, donc ces deux années derrière un micro. Donc, on a commencé 2024 avec un début d'année, avec un crossover, avec Maud, du coup, que vous avez pu déjà rencontrer pour un épisode avec les grands-parents. Donc, j'ai interrogé Samia et Rose, enfin, on a interrogé Samia et Rose, du coup, sur les grands-parents. où on a pu discuter de leur relation avec leurs grands-parents. Et ça, c'est une année qui commence avec un travail en commun qui était assez fou parce que dans le milieu du podcast, je crois que j'ai travaillé qu'avec deux personnes. Oui, deux personnes sur lesquelles... Non, une personne. Du coup, c'était Maud, je crois, la seule personne avec qui j'ai fait un crossover. Et sinon, les autres personnes, c'est des gens du podcast que j'ai interrogés, que je n'ai pas eus, avec qui je n'ai pas co-écrit quelque chose. Et donc, c'était assez marrant. C'était la première fois que je faisais un épisode en crossover. Vraiment, on débute l'année avec beaucoup de nouveautés. On continue du coup avec le lancement de nouveaux concepts. Donc il y a eu le Entre vous et moi qu'on a abordé, où j'ai voulu tester l'épisode 20. l'arrangement d'épisodes toute seule, où là, du coup, c'était plus à cœur ouvert, donc comme maintenant, où je vous parle un peu des problèmes que j'ai dans ma vie actuellement, ou de plein de choses qui me passent par la tête. C'était un type d'émission sur laquelle j'avais un doute, au tout début, parce que je me suis dit, ah putain, je vais être toute seule, ça se trouve, les gens, ils vont me pas aimer, ils préfèrent quand il y a du monde, ils peuvent répondre, et tout. Et en vrai, j'ai eu que de bons retours dessus, il y en avait beaucoup qui étaient intéressés, qui ont eu vraiment ce côté de... proximité. Et j'étais contente parce que c'était un peu ce que je recherchais, du coup, dans ce type de format-là, où je me livrais, en fait, à vous. Et vous, vous ne vous livrez pas forcément à moi parce que, du coup, vous ne pouvez pas répondre par rapport au podcast, même si vous pouvez répondre, du coup, via les réseaux sociaux, etc. Mais c'était assez intéressant de jouer le jeu de l'inviter, c'est moi-même, et surtout, comme on le dit souvent, c'est apprendre à apprécier sa propre compagnie. Et donc là, j'ai... appris un peu à apprécier ma propre compagnie au studio où j'ai personne en fait qui va répondre à mes questions ou la personne qui pose les questions et aussi la personne qui doit y répondre et c'était très marrant de jouer à ce jeu là et je pense que c'est un concept que je vais pouvoir retravailler et retrouver prochainement du coup j'ai déjà des idées de thématiques que j'aimerais aborder mais ça c'est pour un prochain épisode et ensuite on a eu le banc des créateurs du coup pour la troisième saison qui était un épisode du coup avec Maud non ? Donc Maud a fait le début de l'année de janvier et le début de la saison 3. Donc elle a eu beaucoup de chance sur ces deux périodes-là. Donc le banc des créateurs qui est un type d'épisode, un type de format où j'interroge en fait ma génération du coup qui se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Donc j'avais interrogé Maud du coup qui a son entreprise Lisette qui fait des audiobiographies. Et donc je l'avais interrogé un peu sur tout ça, sur le lancement de son entreprise. le parallèle entre sa vie étudiante et du coup sa vie d'auto-entrepreneuse, aussi le parallèle qu'elle avait avec ses parents, c'est-à-dire qu'en fait, dire qu'à 20 ans, tu veux lancer ta boîte et qu'en plus de ça, tu vas arrêter les études, ou tu ne vas pas arrêter les études, mais tu ne sais pas trop, et du coup, tu veux te lancer quand même, mais tu ne sais pas si ça va fonctionner ou pas. Donc pour des parents, c'est un peu compliqué. Et du coup, on avait beaucoup abordé ce sujet-là et elle avait beaucoup aimé discuter de ces thématiques-là. Et donc voilà, c'était vraiment un sujet aussi, un format que j'avais beaucoup apprécié, que je voulais lancer. Et j'étais contente de voir que ça avait bien fonctionné. Encore là, j'ai deux demandes, deux, trois demandes qui sont encore dans les brouillons, qu'il faut que je travaille. Mais il y aura un autre épisode qui va sortir prochainement, du coup, sur ça, où j'interrogerai une autre personne, pareil, sur cette vie d'auto-entreprise. Donc voilà, par rapport à ça. Après, on a eu aussi l'amélioration de la communication. Alors, amélioration, vraiment, la meuf, elle se la pète. Non, non, en gros, c'est vrai que je me suis lancée sur YouTube aussi, avec la première vidéo aussi, du coup, d'un format qui était autre que le podcast. Dans ce sens où maintenant, les épisodes sont aussi disponibles sur YouTube. Donc il y en a beaucoup qui vont l'écouter sur YouTube parce qu'ils vont le découvrir, ils vont tomber dessus par rapport, par exemple, aux mots-clés, etc. Et on a aussi fait maison, du coup, le nouveau concept. Il y a eu beaucoup de nouveaux concepts, en vrai, je ne m'y attendais pas, mais il y a eu beaucoup de nouveaux concepts qui sont arrivés quand même. Et donc, fait maison. un épisode que j'ai fait avec Marvin du coup un de mes meilleurs amis en vrai Marvin tu découvres que tu es l'un de mes meilleurs amis voire même mon meilleur ami Fais maison qui est du coup un épisode que j'ai adoré faire enfin pas un épisode, une vidéo que j'ai adoré faire, donc là on était chez moi, on a fait une recette où du coup j'ai discuté avec lui sur pas mal de sujets qu'on se posait donc on a parlé aussi du permis donc du fait que... Malgré mes nombreuses persévérances, je n'arrive pas à passer mon permis. J'ai échoué deux fois à mon permis et là, je vais passer à un troisième passage bientôt. Et donc, on a parlé de ça. On a parlé aussi beaucoup des relations qu'on pouvait avoir avec nos partenaires, etc. Donc, Marvin nous a parlé du... Alors, je n'ai pas vu la formulation, mais c'était, je crois, ce besoin de sauver l'autre dans une relation, en gros, où il avait besoin de sauver son ex, en fait, dans le temps. tout ce qu'il avait dans la relation, etc. Et donc voilà, c'était des thématiques qu'on avait beaucoup abordées par rapport à ça et je trouve que c'est des thématiques qu'on peut aborder de façon plus légère, en quelque sorte, quand on cuisine, parce qu'on a plus de facilité à se livrer, parce que du coup on est occupé, on discute, on regarde aussi en même temps ce qu'on va cuisiner, etc. Et donc là, c'était super intéressant d'avoir ce côté légèreté, ce côté aussi vidéoludique, où en fait c'était ultra intéressant, ultra léger, comme je le dis à chaque fois. J'ai vraiment répété le DG genre 3-4 fois. Mais non, vraiment, j'ai kiffé. Et même vos retours ont été super. C'est-à-dire qu'en fait, beaucoup de personnes m'ont dit J'ai adoré du coup la vidéo et tout, c'était top, machin. J'ai eu beaucoup ce truc de En fait, j'avais l'impression d'être avec vous. Beaucoup de trucs comme ça où la personne me disait mais j'avais juste l'impression que si je ne regardais même pas une vidéo, j'étais avec vous, j'étais dans la cuisine avec vous, vous parliez et moi j'étais là, j'écoutais votre conversation, je pouvais débattre avec vous et tout. Et ça c'est fou parce que j'ai réussi à réaliser ce truc-là, ce truc de connexion et de proximité. Et même en vidéo, ça veut dire que la façon dont ça a été formé, la façon dont j'ai réussi à l'organiser, j'ai réussi à faire... l'impossible alors vraiment l'impossible vraiment je me la pète là dans mon épisode mais genre concrètement je suis très fière de cet épisode là et pareil comme je l'ai dit sur les autres épisodes comme pour le bon des créateurs il y a encore d'autres épisodes que j'aimerais réaliser après là le côté vidéo il est beaucoup plus technique que du podcast c'est à dire que là il faut vraiment trouver le lieu il faut pouvoir poser du coup les caméras et tout plus de temps aussi au niveau du tournage plus de temps au niveau du montage aussi parce que le montage vidéo est beaucoup plus compliqué, je trouve, que le montage audio. Après, bon, c'est vraiment les goûts et les couleurs de chacun. Mais voilà, en tout cas, pour la partie YouTube, on a eu ça. Après, on a eu aussi la création du coup de contenu via TikTok. Donc là, j'ai créé du contenu. Vraiment, beaucoup de guillemets à ça. Enfin, j'ai noté dans mon doc création de contenu, mais en fait, c'était souvent des extraits que je créais. Et après, j'ai aussi Ouais, en fait, là, vraiment, je suis en train de me dénigrer, mais en fait, je me rends compte que, oui, il y avait les extraits, du coup, qui est déjà disponible sur TikTok et en Reels aussi. Mais il y a aussi des vidéos que j'ai créées, du coup, dernièrement. Il y a un petit moment quand même que vous avez pu voir. Donc, comment est-ce que j'ai créé le podcast ? Du coup, les cinq conseils un peu qu'on pouvait avoir pour du podcast et tout. Donc, en fait, j'ai fait quelques vidéos et j'ai voulu me lancer un peu sur TikTok sur... Du coup, tout le milieu du podcast, etc. Donc ça, c'est quelque chose qui faisait que je travaille un peu plus, je trouve. Mais en vrai, j'étais contente parce que, en dehors des extraits, il y avait quand même des choses qui intéressaient les gens. Et donc là, on touche une audience qui est dans ma cible, en quelque sorte. Et donc, création de contenu sur TikTok aussi, c'était un sacré challenge, en vrai. Et aussi, le lancement de la communication sur LinkedIn, une fois par semaine. Oh la vache ! Ah oui, amélioration de la communication, vraiment, c'était le bon mot, en fait, en vrai. Parce que LinkedIn, je me suis lancée cette année aussi sur la saison 3, où je faisais une communication par semaine. Donc là, ça fait peut-être deux semaines que je n'ai pas posté sur LinkedIn, mais c'est un autre détail. Donc oui, LinkedIn que j'utilise pour promouvoir le podcast, donc promouvoir mon podcast, donc on papote, mais également aussi promouvoir le milieu du podcast. Donc avec les événements que j'ai pu faire, j'ai pu aller au Pod Paris. où là, du coup, j'ai pu faire une communication sur le fait que j'étais allée, qui est-ce que j'ai pu rencontrer, les événements auxquels j'ai pu assister, etc. LinkedIn pour un côté beaucoup plus professionnel, donc pour rencontrer des entreprises, des trucs comme ça. Et aussi, du coup, pourquoi pas des parents pouvant en discuter après. J'avais noté une nouvelle façon d'amener les sujets. Donc, on avait une nouvelle façon d'amener les sujets, j'ai trouvé dans cette nouvelle saison, donc la saison 3, où il y avait beaucoup plus, encore le mot légèreté, de légèreté sur les épisodes parce que par exemple l'épisode avec du coup c'était Mathéo et Emilia où on a parlé du coup de nos premiers amours, c'était un épisode vraiment super il était pas léger celui-là il était plutôt convivial c'est le mot convivial qu'il faudrait sortir il était très convivial dans le sens où en fait on avait même plus l'impression qu'on parlait du coup en interview mais en fait on parlait entre potes Et c'était très marrant d'avoir ce truc-là parce que Mathéo et Emilien, je ne les connais pas vraiment. Enfin, pas vraiment en fait. Et du coup, il y a vraiment eu ce truc où on rigolait et tout. Et c'est très marrant parce qu'en fait, même si l'épisode est sorti en octobre, je crois. Non, même pas. Il est sorti en mai. Mais ouais, en fait, c'est devenu l'épisode, c'est votre épisode préféré, dans le sens où Spotify m'a dit concrètement, c'est l'épisode qui a été le plus écouté par ton audience. Et du coup, bravo à eux. Bravo les gars, parce que du coup, vous avez été l'épisode le plus écouté de mon podcast. Et c'est très marrant parce que ça signifie qu'en fait, ce genre de sujet-là, cette façon de ramener les thématiques, cette façon de ramener un peu le sujet autour de la table, c'est une façon beaucoup plus... intéressantes que de la façon beaucoup plus carrée, interview où je pose des questions on me répond etc et j'ai voulu créer ça aussi avec Alexandre du coup j'ai l'épisode du mois de novembre où là on avait parlé du coup des années 2000, de grandir avec internet et tout ça et donc là Alexandre je le connaissais déjà un peu plus face à Mathéo et Emilien et donc pareil on a eu ce truc de légèreté où on a pu rigoler etc et c'était très marrant, c'était super intéressant donc voilà donc c'est vraiment euh... une nouvelle façon d'amener les sujets et je pense que c'est ce que je vais essayer de ramener en 2025 du coup, la prochaine fois pour d'autres thématiques, d'autres tournages pour pouvoir un peu plus ramener ce côté discussion et pas ce côté bon bah on est en interview en relation presse, je vous pose des questions vous me répondez et puis c'est fini et voilà vous rentrez chez vous, non c'est vraiment un moment convivial qu'on essaie de passer et je pense que là en fait ça a été un peu le déclic avec Mathéo et Emilia sur le fait que j'ai passé un vrai bon moment et pas juste... à un bon moment. Et c'est ça la nuance que j'ai eue et je pense que c'est pour ça que en plus d'être votre épisode préféré, c'est aussi le mien. Et vraiment encore bravo à ces deux-là d'avoir réussi à vous faire aimer du coup cette thématique du premier amour. On a aussi de nouvelles rencontres et des participations à des festivals. J'ai pu intégrer un groupe de podcasteurs du coup sur Rennes, où on se rencontre assez quotidiennement du coup pour parler un peu podcast, parler un peu... un peu de tout ce qu'on fait autour de nos podcasts et même se poser des questions, etc. Donc ça, c'est super bien. On a aussi les participations au festival. Donc comme j'ai dit, le Pod Paris, où j'ai pu venir pendant un week-end, venir à Paris, à la Belle-Villoise, pour rencontrer d'autres personnes du milieu du podcast, aussi me renseigner sur des formations. J'ai pu écouter des podcasts que j'écoutais. Donc par exemple, j'ai perdu le nom, mais c'était un podcast sur le cul, je crois. et j'ai perdu le nom je suis vraiment désolée je le mettrai en description je pense si j'arrive à le retrouver mais voilà donc j'ai pu écouter des podcasts comme ça j'ai pu en découvrir aussi avec la chose étrange qui était vraiment un podcast auquel je ne m'y attendais pas et j'ai beaucoup adoré donc voilà en vrai c'est super parce que j'ai pu rencontrer d'autres gens j'ai pu revoir aussi des créateurs que je connaissais du coup sur Paris donc par exemple Bérénice qui a le podcast le canap de billes où elle parle de cinéma et du coup je vois que je viens sur Paris et qu'on vient à des conférences comme ça sur le podcast et je me dis Chaque fois, on se recroise et c'est toujours marrant de se recroiser sur les mêmes endroits. Et c'est toujours un plaisir de la revoir et de discuter avec elle sur le podcast. Et aussi, il y a un souhait de professionnalisation, donc avec l'achat d'une caméra pour ma part. Mon petit cadeau de Noël, mon petit plaisir de fin d'année où je me suis permise de m'acheter une petite caméra pour réaliser. Donc là, ça va plus être pour des vlogs, pour de la création de contenu, du coup plus pour YouTube, je pense. Parce que même si là, je suis un peu en train de délaisser mes réseaux, parce que comme je l'ai dit, c'est beaucoup de temps. Et je trouve qu'en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps ou alors je ne me laisse pas le temps. Je ne sais pas, c'est un peu compliqué. C'est un peu le fouillis. Et donc là, ça va plus être sur de la création pour YouTube. Donc ça va plus servir pour, par exemple, les épisodes de fait maison. Je vais avoir une meilleure qualité aussi vidéo. Du coup, une meilleure qualité vidéo. Ça va être plus intéressant et plus confortable pour vous. Il y a aussi Yahoo que j'ai intégré, du coup, où je vais avoir un parrain ou une marraine qui va pouvoir me suivre dans mon projet de professionnalisation sur le milieu du podcast, le milieu de l'entrepreneuriat et tout. Et donc ça, c'est vraiment cool. C'est une envie quand même, une ambition de pouvoir continuer. Et je trouve ça cool parce que 2023, on finissait l'année avec du coup, en quelque sorte, des doutes par rapport au podcast, par rapport à... à ce que je voulais faire après. Et en vrai, là, 2024 se termine avec quand même une envie de professionnalisation, de rester dans un milieu où je peux rester derrière un micro, je peux interroger des gens et parler avec d'autres personnes. Et ça, c'est vraiment cool. C'est vraiment des choses, une année qui a été quand même riche en rencontres, riche en émotions et riche en rebondissements. En vrai, vraiment 2024, BG. Si on devait résumer 2024 en chiffres, concrètement, du coup, grâce à mon petit Spotify... Ou WAPET, je crois que c'est ça le nom. Vous vous rappelez ? Bon, bref, je ne sais plus. Donc, grâce au truc Spotify, bref, qu'on a tous eu et qu'on a tous mis en story, genre pour dire qu'on a écouté tel ou tel artiste. Donc, 2024 en chiffres avec On Papote, ça donne 80% de nouveaux auditeurs Spotify, ce qui est super parce que du coup, ça augmente un peu l'audience. Ça veut dire qu'il y a beaucoup plus de personnes qui sont intéressées un peu à ce que je peux raconter quand même. ou à ce que je peux proposer comme sujet. Et ça, c'est cool parce que ma tranche d'âge qui a été le plus augmentée a été la partie 45-50, je crois, si je ne me trompe pas. Et du coup, cette partie-là a augmenté grâce, je pense, à LinkedIn, grâce aussi à ma recherche d'alternance. Et en vrai, ça a été super cool parce que du coup, ça permet à des parents de pouvoir découvrir les problématiques que leurs enfants peuvent rencontrer ou vont pouvoir rencontrer dans leur vie d'adulte. Et ça, c'est vraiment un truc qui est vraiment génial de voir que même ma tutrice continue de m'écouter alors qu'elle m'a déjà embauchée. Ça fait déjà un an que je travaille à ses côtés, mais qu'elle continue d'écouter le podcast. Et ça, c'est vraiment fou de se dire qu'il n'y a pas que des jeunes qui se posent des questions. Il n'y a pas que des jeunes qui veulent des réponses. Il y a aussi les parents qui veulent des réponses pour comprendre un peu mieux leurs enfants. Et ça, c'est vraiment quelque chose que j'aimerais pouvoir réaliser par la suite. Continuer à proposer ce genre de sujet. tu vas réussir à lire ce genre de sujet et donc voilà, on est sur ça une note de 5 sur 5 super cool, donc continuez à noter l'émission évidemment, je ne le dis jamais assez et j'oublie souvent de le dire de noter l'émission quand vous l'écoutez sur votre plateforme d'écoute préférée, c'est toujours très important ça soutient le projet et donc voilà la preuve, une note de 5 sur 5 du coup sur Spotify on est sur un podcast qui a été écouté dans 5 pays différents je crois dans mes souvenirs ça a été la France... On avait eu la Belgique, on avait eu le Canada, on a eu... Alors, je ne sais plus. Je crois qu'il y a eu un moment les Etats-Unis. Ouais, je crois que c'est tout. Là, je n'ai plus vraiment en tête, je ne sais plus. Mais en tête, il y avait surtout la France, parce que généralement, les gens qui m'écoutent étaient en Bretagne. Il y avait Île-de-France, il y avait dans le sud aussi, je crois. Mais voilà, à peu près la carte. Donc, si vous reconnaissez, ben voilà. Je suis contente de voir que vous m'écoutez un peu aux quatre coins de la planète. Et c'est cool de se dire qu'en fait, une fille qui est dans un studio, qui parle derrière un micro avec personne en face d'elle, et qui a juste un ordi ouvert devant elle avec ses notes, peut être écoutée un peu aux quatre coins du monde. Et ça, c'est fou quand on y pense. Vraiment, Internet est très puissant. Ça, j'aurais dû le dire dans l'épisode avec Alexandra. Donc voilà, un podcast qui a été écouté dans cinq pays différents. On a aussi une présence. Alors ça, ça a vraiment été la surprise. C'est cool. Une présence dans le top 5 de 64 personnes et émission numéro 1 de 18 personnes. Donc là, en fait, concrètement, ça veut dire qu'en fait, il y a des gens, il y a 18 personnes sur cette planète pour qui On Papote a été le podcast numéro 1. Et je tiens à dire, je ne suis pas numéro 1 dans mon propre résumé Spotify. Ça veut dire qu'en fait, c'est vraiment 18 autres personnes que moi. Et vraiment, s'il y a moyen de savoir qui c'est, vraiment, je vous en supplie, envoyez-moi un DM Insta. Parce que c'est vraiment fou. J'aimerais savoir qui vous êtes pour pouvoir vous remercier. Parce qu'on ne se rend pas assez compte du plaisir que ça peut donner d'être le numéro 1 par rapport à d'autres créateurs. Surtout qu'on sait qu'il y a plein de créateurs, il y a plein de podcasts qui existent. Mais moi, petite créatrice qui fait mon truc de mon côté, être dans le top 1 de 18 personnes, c'est vraiment fou. Et vraiment, je tenais à vous remercier. Même pour les 64 personnes. Les 64 personnes. englobe les 18 personnes aussi donc je suis dans le top 1 donc en vrai très contente de ces résultats là et de voir que le podcast continue à vous plaire donc voilà on est un peu sur une fin d'épisode par rapport à cela je tenais surtout à vous remercier d'être de plus en plus nombreux à suivre ce que je fais, à écouter le podcast, à surtout m'envoyer vos messages, je sais que c'est pas beaucoup de personnes qui le font Mais le peu de personnes qui le fait, qui me remercie, ou le peu de personnes qui juste dit, cet épisode-là, il a été super, que ce soit en physique ou que ce soit par... Par message privé, il n'y a aucun problème. Genre vraiment, ça fait très plaisir. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'est gratifiant de savoir que ce qu'on réalise, ce qu'on produit de notre côté est écouté par d'autres personnes et sont contents du contenu qu'on peut proposer, même si des fois, comme on peut le dire, il y a des doutes. Il y a des moments où on ne sait pas si du coup ce qu'on fait, c'est bien, si du coup ce qu'on a réalisé, c'est à la hauteur un peu des exigences de notre audience. Mais de savoir ça que... que cet épisode-là vous a plu, que cet épisode-là, il faudrait mieux le retravailler, etc. Ça fait toujours plaisir d'avoir des retours et de savoir qu'en fait, c'est écouté et que ça plaît à d'autres. Et voilà, donc je tenais à vous remercier par rapport à tout ça. Et j'espère qu'en fait, 2025 va être encore plus intéressant, encore plus merveilleux que 2024. Et on clôture une année vraiment qui a été folle, du coup, en rencontre, comme je l'ai dit, folle en ouverture d'esprit. folle aussi sur de nouveaux concepts. Il y a pas mal de choses qui ont été faites et sur lesquelles je n'aurais même pas pensé me lancer quand j'ai débuté dans le podcast. Je tenais quand même pour remercier parce que ce n'est pas souvent qu'on y pense et ce n'est pas souvent qu'on peut se dire qu'on prend du plaisir à faire ce qu'on fait et de savoir que c'est écouté par d'autres, ça fait plaisir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode spécial anniversaire. Comme j'ai dit, merci encore à vous tous. C'est vraiment un plaisir d'être avec vous au quotidien, d'être mensuellement dans vos oreilles. C'est très bizarre dit comme ça, mais c'est un peu la vérité. Donc voilà, on se retrouve du coup en 2025. Continuez l'aventure et évidemment, découvrez de nouveaux sujets. Et moi, je vous dis bonne année. Passez de très belles fêtes de fin d'année. Et on se retrouve en 2025 pour un nouvel épisode de On Papote. Salut !

Share

Embed

You may also like