Speaker #0Quoi que tu entreprennes dans la vie, tu vas forcément rencontrer des vents contraires, des opinions opposées. Et si tu t'accroches à tout ça, tu prends le risque de diminuer ta détermination et de ralentir ton passage à l'action. Pour rester centré, aligné à ta décision, à tes projections futures, lâcher prise sur ce qui te ralentit ou te contrarie est toujours une bonne idée. Mais je sais aussi que notre vision du lâcher prise peut jouer contre nous. Parce qu'on n'a pas envie du tout de perdre le contrôle et encore moins de renier nos convictions. Alors dans l'épisode d'aujourd'hui, je t'emmène dans ma vision du lâcher prise, celle qui te permet un complet retour à toi, à ton cœur, à tes valeurs. En fait, celle qui te permet de rester solidement sur tes rails. Salut ! Je te souhaite la bienvenue dans Oser briller, le podcast des femmes qui entreprennent. Je suis Karine Pobot, fondatrice de l'Oasis de Gat. Et je coache des femmes et des entrepreneuses qui sont déterminées à manifester la vie dans tel rêve sans s'excuser. Ce podcast a pour but de t'aider à dépasser ce qui te limite et te donnera des clés précieuses pour construire ta vie selon toi. Hello, j'espère que tu vas bien, que tu es en pleine forme et que surtout ta semaine te permet de passer à l'action sur ce qui te fait vibrer et sur ce qui te permet de prendre soin de toi. Je fais cet épisode du lâcher prise cette semaine parce que j'ai reçu l'appel d'une entrepreneuse qui me dit que son médecin lui a conseillé de faire du yoga pour l'aider à lâcher prise. Alors j'avoue que ça m'a un peu interloqué cette vieille vision du lâcher prise et du yoga. Il aurait pu à mon avis aussi bien lui dire d'aller se balader en forêt. Je pense qu'en tête il avait la même idée que c'était pareil pour lui. En y repensant, je me suis dit que j'avais commencé le yoga exactement. sur la même phrase, tu devrais faire du yoga, ça t'aiderait à te détendre et à lâcher prise. Alors je ne vais pas parler du yoga et de la détente, mais j'ai envie de parler du lâcher prise. Parce que faire quelque chose et occuper le mental, ce n'est pas du lâcher prise. Ça permet de se sortir les idées, ça permet de prendre du recul, mais pour moi, le vrai lâcher prise, en tout cas, il demande de traverser totalement la situation à laquelle on s'accroche. Avec cette certitude et cette envie en tout cas de ressortir plus forte, plus entière et plus libre. Et moi, personnellement, j'ai longtemps eu la conviction que lâcher prise, c'était vraiment carrément pas possible. Parce que ça me demandait justement d'aller contre mes convictions, ça me demandait de plus penser à la situation et donc involontairement de donner raison à la personne. Et ça me demandait en fait de renier une partie de qui j'étais. Et ça, pour moi, ce n'était vraiment pas possible. Et souvent, le discours du lâcher-prise me gêne pour ça. Je trouve qu'on le met à toutes les sauces. C'est un peu comme « concentre-toi, mais on n'explique pas comment faire et on n'explique pas ce que ça peut rapporter. » Et je croise tellement de personnes qui ne veulent justement pas lâcher-prise parce qu'elles ont peur de perdre quelque chose. Elles ont peur de perdre une partie de l'énergie qu'elles mettent. dans cette situation et elles ne veulent pas avoir tort. Et je les comprends complètement et c'est tout à fait logique de ne pas vouloir avoir tort en fait. Mais lâcher prise, c'est juste prendre une autre perspective. Et ce n'est pas évident parce que là, j'enfonce une porte ouverte. On n'a jamais besoin de lâcher prise sur des trucs cools, des trucs qui nous font plaisir. On a toujours besoin de lâcher prise sur un événement, une interaction avec quelqu'un d'autre. qui nous a causé un certain niveau de douleur émotionnelle, qui est venu nous chercher, en tout cas intérieurement, qui nous a frustrés, qui nous a mis en colère. Et ce n'est pas facile de lâcher sa colère ou sa frustration et de trouver des moyens de dépasser ça et de ressortir avec la conviction qu'on est encore plus nous-mêmes. Je crois que la première étape, avant de te parler de mes trois concepts, c'est si tu portes un peu ton attention sur... Ce sur quoi tu n'arrives pas à lâcher prise, les situations qui te tendent, qui t'énervent, tu vas voir que peut-être que les situations ont l'air différentes, mais que ta motivation intérieure, le truc qui déclenche en tout cas, c'est grosso modo toujours la même. Tu n'es pas d'accord avec les situations pour les mêmes raisons. Ça vient chercher la même blessure, ça vient chercher la même patterne. Et même si ça a l'air différent, ce n'est pas si différent que ça. Et ça, c'est important que tu viennes voir à quoi tu t'accroches. Pas à la situation. Qu'est-ce qu'il y a derrière, en dessous de la situation ? À quoi tu t'accroches vraiment ? Qu'est-ce qui est si important et fondamental pour toi ? que c'est hors de question que tu laisses passer le truc. Et que pour toi, ce n'est pas envisageable de lâcher prise, parce que si tu lâches, alors tu lâches ta conviction et tu donnes raison à l'autre. Pourquoi c'est important pour moi de travailler sur le lâcher prise ? Parce que ça va bien au-delà d'un besoin de se foutre la paix. Pour moi, c'est un vrai acte de santé émotionnelle et mentale, parce que pendant qu'on s'accroche à la situation, tout notre corps revit la situation. avec toutes ses émotions, toutes ses tensions, et il rejoue systématiquement le bain chimique qui va avec. Je ne sais pas si ça t'est déjà arrivé d'avoir une altercation avec par exemple un collègue en réunion, ou un client, ou je ne sais quoi. Un truc qui t'a vraiment foutu en boule. Et là je pourrais te dire, lâche prise, n'y pense plus. Mais non, il y a un truc qui t'a vraiment énervé, c'est vraiment venu te chercher. Et le lendemain matin... Tu es dans ta salle de bain en train de te laver les dents et tu répètes. En fait, tu rejoues la scène parce que pour toi, à ce moment-là, ce n'est pas possible d'abandonner. Eh bien, tu sens bien que ça t'énerve. Tu t'énerves toute seule dans ta salle de bain. Tu t'énerves toute seule dans ta voiture. Et quand tu arrives au boulot, eh bien, tu es déjà énervé. Tu es en colère alors qu'il ne se passe plus rien du tout. Et ça, à long terme, sur les personnes qui... qui s'accrochent et qui vraiment ont du mal à lâcher prise, mais sur plusieurs années, ça peut vraiment nous rendre malades parce que le bain chimique est toxique. Et moi, je l'ai vu, notamment dans mon dernier boulot de salarié avant d'être entrepreneuse, notamment les cinq dernières années que j'ai passées dans mon ancien boulot, je m'accrochais à peu près à tout ce qui allait contre mes valeurs. C'était devenu mon cheval de bataille. Tout ce qui me semblait hors limite pour moi. avec forcément des relations dégradées avec certaines personnes. Et j'ai ressenti une frustration grandissante et une colère là. Et je n'arrivais pas à dépasser ça, en fait. Et donc, j'essayais de ne pas tout contrôler mon environnement pour que ça ne dérape pas trop. Et puis, j'arrivais juste à l'effet inverse. Forcément, ça me prenait la tête. J'en suis arrivée à souvent avoir mal au ventre et des sensations, la tête qui tourne de temps à autre, le contrôle qui s'en va ou la tête qui tourne. Et face à ma frustration, ma collègue me répétait tout le temps « mais lâche prise, mais laisse tomber, ça ne changera rien » . Et pendant ce temps-là, en fait, c'est toi qui ne vas pas bien. Mais pour moi, c'était tellement impossible de valider que plus j'essayais de me convaincre que c'était comme ça, que ce n'était pas grave, plus quelque chose en moi se défendait contre le lâcher prise, contre le fait de dire « ok, je joue sans moi et c'est ok » . Et en fait, j'ai vraiment réussi à lâcher prise. quand j'ai compris l'enjeu du lâcher prise, quand j'ai compris que ça me rapporterait à moi ma liberté, ma paix intérieure et que vraiment je méritais de vivre dans ces deux sensations. J'ai compris que le lâcher prise, ça ne voulait pas du tout dire être d'accord, que ça ne voulait pas du tout dire valider et que ce n'était pas non plus se renier pour avoir la paix. Parce qu'à ce moment-là, ça voudrait dire que la paix venait de l'extérieur, mais que l'intérieur, ça restait la pagaille. Et là où le yoga m'a aidée à lâcher prise, c'est en me permettant de découvrir un super principe, et c'est mon premier concept. Ce premier concept, c'est Ishvara Pranidhana. En gros, ça veut dire de laisser tout notre être s'abandonner et se défaire, de se libérer de tous les... poids-là qu'on porte à l'intérieur et de les confier à une force de vie plus grande que nous et qui nous aime de manière inconditionnelle. C'est un peu comme une montgolfière. Quand on veut monter, il y a des petits sacs de sable à l'intérieur et on va jeter des sacs de sable pour que la montgolfière puisse s'élever. C'est pareil. Pour moi, c'est vraiment cette sensation-là. Ça se pratique en relaxation. Et la relaxation est un acte de lâcher prise, parce que quand on ne lâche pas prise, on ne se relaxe pas du tout. Le système est tellement sous l'effet de l'une des hormones du stress, qui est le cortisol, que c'est impossible de se relâcher en fait. C'est impossible de se relaxer, la relaxation étant un effet de relâchement. Et donc c'est un peu comme ça que j'aime le travail, dire le petit poids là, pouf, allez, par-dessus bord. Et par-dessus bord et dans la vie, et débrouille-toi la vie avec mon truc, je te le confie et tu le traites, et moi ça ne me regarde plus. J'ai juste envie de me défaire de mes poids. Et c'est vraiment ça. Quand il y a un moment, la pression intérieure est trop forte, c'est de se laisser aller, de se relaxer en toute confiance et de se dire « Waouh, là, moi, je prends la décision de ne plus du tout suivre ce qui me limite, ce qui me fait mal. Mais par contre, je vais partir à la rencontre de ce qui me ramène à moi. Je vais repartir à la rencontre de mon espace intérieur, de mon pouvoir intérieur. » Toute la question est de savoir de quoi, là, toi, en ce moment, tu as besoin de te débarrasser. Quel poids, quel truc là, sur lequel tu t'accroches, vient poser des barrières entre toi et toute la vie dont tu rêves ? Entre toi et tes capacités à prendre des décisions intuitives et créatives ? Entre toi et ton épanouissement ? Et de se dire, est-ce que tu pourrais, juste pour retrouver de la liberté, de la légèreté, juste jeter le poids ? Ça n'a rien à voir avec la situation, c'est juste venir identifier dans le corps où est-ce qu'il y a des poids et juste se dire « Ok, en toute confiance avec la vie, je jette mes poids, je respire, je crée de l'espace. » Note que pour l'instant, on n'a absolument pas parlé de tes convictions ni de tes valeurs. C'est juste commencer par venir trouver les poids à l'intérieur et s'en libérer. Pour justement... que tu reviennes à toi, que tu reviennes à toi avec un peu plus de calme, peut-être un peu plus de clarté mentale. Et ce calme et cette clarté mentale vont te permettre de passer au deuxième concept, qui serait presque comme une deuxième marche. Et celui-là, je le tiens de Tony Robbins, qui dit que c'est dans les moments de décision que notre destin prend forme. Alors tu vas me dire, pourquoi c'est lié au lâcher-prise ? Parce que pour moi, le lâcher-prise, c'est une décision de confiance radicale. On décide qu'à ce moment-là, on refait un pas vers nous. C'est un peu remettre dans la balance la décision à laquelle on s'accroche et notre bonheur. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de s'accrocher à cette situation ? Parce qu'on peut vraiment changer quelque chose en fait. ou est-ce que... C'est impossible d'avoir le pouvoir d'agir sur cette situation et auquel cas s'y accrocher pour nos valeurs et pour nos convictions nous sépare de notre bonheur. Et une fois qu'on a pris cette décision, c'est couper la relation avec la situation. Se dire que oui, elle vient contre nos valeurs, elle joue contre nos convictions. Non. on n'accepte pas, mais on pose une limite. Et que ce qui s'est passé là, on ne l'acceptera plus dans nos standards. Que c'est une limite qui vient de se dessiner. Et que peut-être, justement, elle est venue nous montrer qu'on avait trop baissé nos standards, et qu'on avait besoin de reposer nos limites, et que les limites soient fermes parce qu'elles respectent notre être tout en entier. Mais que par contre, rester râlé, Sur la situation, être frustré par la situation ou rester déçu ou en colère, ça n'apporte rien de bien à nous. Ça nous sépare en fait complètement de l'épanouissement, le bonheur, la gratitude. Parce que quand on est en colère, on ne peut pas être dans le bonheur. Par contre, quand on est dans le bonheur, on ne peut pas être en colère. Et donc cette phrase, elle a vraiment raisonné parce qu'elle parle d'une décision. Et que le lâcher prise, pour moi, de mon point de vue, C'est une décision. Alors la question que j'ai envie de te poser pour peut-être t'aider à y voir un peu plus clair, c'est sur quelle situation où tu n'arrives pas à lâcher prise, tu peux prendre cette décision ? Quelles sont les situations dans ta vie aujourd'hui auxquelles tu t'accroches, peut-être parce que tu t'es pris la tête avec quelqu'un et que tu n'as pas envie de donner raison à cette personne, et je comprends complètement, mais quelles sont les situations sur lesquelles tu ne peux... rien faire réellement en fait, tu ne vas pas changer la situation, elle est tout à fait hors de ton contrôle et de ta portée, mais dans laquelle tu peux prendre la décision de fixer une limite et de revenir à toi, parce que c'est ça qui va former ton destin en fait. Est-ce que tu prends la décision de rester accroché et donc de laisser les autres complètement transformer tes émotions et ta vie, ou est-ce que tu prends la décision de revenir à toi ? et que ton destin ne va être déterminé que par toi, et plutôt vers le bonheur et l'épanouissement. Et une fois que tu as pris cette décision-là, tu as lâché prise. Tu es passé à autre chose. Mais tu es passé à autre chose dans le positif. Tu as traversé la situation. Tu l'as regardée sous un autre angle et tu as posé une action. Mais en attendant, si tu as choisi ton bonheur et ton épanouissement, la situation qui te faisait bugger avant ne te fait plus bugger parce que tu as posé ta limite. Et donc, c'est en ça que pour moi, c'est vraiment... une marche dans le lâcher-prise et dans la libération qu'on peut obtenir dans le lâcher-prise. Mon troisième concept, ou ma troisième marche, vient vraiment en dernier. Tu peux commencer par celle-là, mais moi j'aime bien commencer par « Ich wara pranidana » . Alors pour toutes les personnes qui me connaissent, l'un de mes mentors c'est Joe Dispenza, et une des phrases qui a renforcé ce shift-là du lâcher-prise, et qui m'a vraiment marqué, c'est dans la vie, tu as deux solutions. Dans la vie présente, là. Soit ton présent est le résultat de ton passé, soit le présent est le résultat de ton futur. Ça veut dire soit qui tu es est totalement prédéterminé par toute ta vie d'avant, soit, si jamais ça ne te plaît pas, et que tu as envie de voir plus haut, plus grand, tu vas définir qui tu veux être dans le futur et que ton présent va déjà être, tu vas déjà incarner dans le présent la personne que tu veux devenir dans le futur. Donc tu vas ramener l'état d'être nécessaire et idéal pour être la version de toi que tu veux devenir. Comment ça t'aide à lâcher prise ? Alors, un truc vraiment idiot. Il y a quelques années, quand je conduisais, je pouvais m'énerver sur tout le monde et parfois faire des erreurs de conduite, glisser un stop ou je ne sais quoi. Et parfois, je pouvais me faire klaxonner ou on est tous un peu énervés en voiture. Donc, parfois, je pouvais mettre quelqu'un en colère ou essuyer la colère de quelqu'un. En tout cas, je n'en sais rien et ça m'a supportée. Et j'avais vraiment ça en moi où je pouvais me répéter pendant des heures une altercation, comme ça, ne serait-ce qu'en voiture, l'autre là. Et aujourd'hui, je m'en fous. Complet. Ça me passe, mais des milliards d'années-lumière au-dessus de la tête. Pourquoi ? Parce que je ne suis plus du tout cette personne-là. Et je ne suis pas du tout cette personne-là parce que je l'ai appris de mon passé. Parce qu'on n'évolue pas avec le passé. On apprend des choses, mais quand on évolue, c'est qu'on décide de changer. Non, je l'ai appris parce que je me suis dit que je ne voulais plus du tout être cette personne-là et que quitte à changer toute ma vie, j'allais me changer moi parce que je ne peux pas changer ma vie si je ne me change pas moi. Et je ne peux pas vivre dans le bonheur si je suis frustrée à la moindre occasion, si le moindre truc qui vient en travers de mon chemin m'énerve. Et donc, j'ai décidé que je n'exprimerais plus du tout cette personne-là. Mais je l'ai changée à l'intérieur. Ce n'est pas juste une décision mentale, c'est vraiment une décision dans le cœur et dans le corps. Les gens ont le droit d'être énervés et moi j'ai le droit d'être calme et j'essaye de faire attention mais je ne suis pas à l'abri d'une erreur de conduite ou de quoi que ce soit. Et quand je fais des erreurs, j'essaye du mieux que je peux en tout cas soit de percevoir l'erreur, soit de m'excuser de l'erreur. Et que même à la limite si je ne me sens pas très très fautive, je vais quand même m'excuser parce que j'ai envie de laisser une bonne marque, j'ai envie de laisser une bonne sensation. Et ça m'a appris aussi à poser mes limites, poser mes non, poser mes oui. Et ça m'a permis de traverser complètement les situations qui m'ont le plus contrarié. Vraiment les grosses situations sur lesquelles je n'arrivais pas du tout à lâcher prise. Et c'est en me redéfinissant, en redéfinissant l'expression de moi-même. et une autre version de moi-même, que là, ça m'a permis de lâcher prise. Je me suis dit, non, mais en fait, ce n'est pas du tout qui je suis, ce n'est pas du tout ce que j'ai envie d'expérimenter. Je rends la liberté de la personne et je reprends ma liberté. Mais sans avoir travaillé à être aujourd'hui le résultat de mon futur, je n'aurais jamais pu traverser complètement les grosses situations sur lesquelles... J'avais encore du mal il y a un an ou un an et demi. à lâcher prise. Pour moi, ce sont vraiment les trois étapes qui vont te permettre de monter les marges du petit lâcher prise, le petit abandon du poids à « ok, je prends la décision de me favoriser moi plutôt que de favoriser l'autre et je ne mets pas des barrières là, si je ne peux rien faire en tout cas, je ne me mets pas des barrières dans mon destin » jusqu'à la marche qui est pour moi la plus fondamentale, la plus importante, c'est vraiment de redéfinir qui on est. Si jamais on a envie vraiment de renouveau dans notre vie et que toutes les situations qui nous prennent la tête le font au sens littéral du terme et peuvent arriver à nous rendre malades, à nous rendre vraiment la vie impossible, à ce moment-là, cette troisième marche, elle permet de traverser et de se dire « Ok, ok, j'ai été comme ça, mais c'est ok. Aujourd'hui, je vois les choses différemment parce que ce n'est pas du tout la personne que j'ai envie d'être. » Et à ce moment-là, ça va t'aider. Alors, là aussi, tu peux te poser cette question-là pour essayer de marcher vers cette voie-là. C'est dans les événements qui t'ont le plus contrarié, frustré, mis en colère, comment tu as envie de répondre à ces événements ? Et aujourd'hui, qui tu as envie d'être ? Est-ce que tu as envie d'être le résultat de ton passé, ce qui s'entend complètement ? Ou est-ce que tu as envie d'être... moteur dans ta vie et vraiment de construire une vie et d'entreprendre avec le plus de liberté possible, le plus d'enthousiasme possible pour donner vie à une grande vision et pas une vision qui va être complètement limitée par ton passé mais une vision dont il n'y a plus de limite en fait ou quasiment pas à part celle que tu vas te donner mais et que tu vas devenir cette personne et que tu vas revisiter ces grands événements sur lesquels tu as du mal à lâcher prise, depuis ta grande vision et depuis cette version de toi du futur. La question c'est, est-ce que tu vas t'autoriser à ça ? Et sur quoi tu vas t'autoriser à ça ? Et est-ce que tu as envie de retrouver ta liberté d'être absolue ? Est-ce que tu as envie de te remettre sur tes rails avec enthousiasme, sans te laisser polluer par quoi que ce soit, sur lequel tu ne peux pas agir ? et de te concentrer sur des actions qui sont totalement alignées à qui tu as envie de venir, qui tu as envie d'exprimer en fait dans le monde, et à l'impact que tu as envie d'avoir dans le monde. Si tu as envie d'aller plus loin dans cette expérience, je te propose un atelier de relaxation sonore, c'est lundi 19 mai, pour explorer le lâcher prise dans ton corps, à travers et grâce à Ishvara Pranidhana. Vraiment la première marche en fait où je vais te guider pour que tu arrives à jeter tes petits sacs de sable par-dessus bord et te sentir vraiment récupéré de l'espace intérieur et de la liberté. Il y a un autre atelier dans le cadre d'Osez briller qui est fin mai. Je te donnerai la date dans un autre épisode. Mais pour venir justement chercher ça, ta voix intérieure, pour libérer ta voix vraie. T'aider à ce que ton mouvement d'énergie vienne de l'intérieur vers l'extérieur, que tu sentes que tu ne te laisses plus manipuler par l'extérieur, par tout ce dont tu as eu du mal peut-être à lâcher prise et que tu puisses vraiment exprimer cette plus belle version de toi, confiante, alignée, pour que tu rayonnes encore plus dans tes projets. C'est vraiment pour t'aider à aller plus loin. à sentir que tu oses briller à travers tes projets, que tes projets ne sont là que pour te permettre en fait de rayonner qui tu es, toi, profondément. Tu retrouveras les détails en description, notamment pour le 19, et les détails sur mes réseaux sociaux pour l'atelier de fin mai et sur l'épisode de la semaine prochaine. Voilà, j'espère que cet épisode t'aura... aider à y voir plus clair sur le lâcher prise, peut-être à déculpabiliser de ne pas y arriver et surtout à passer à l'action pour te libérer. Je te souhaite une très belle journée, une super semaine et moi je te donne rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel épisode. D'ici là, prends grand soin de toi. Bye bye !