Speaker #0Hello, je m'appelle Elsa et je suis Master Coach Certifié. Avec ce podcast, Un Chemin Versoie, ma mission est de t'aider à mieux te comprendre et à t'accepter comme tu es, pour que tu puisses rayonner en toute authenticité. Je suis profondément convaincue qu'on a tous en nous une lumière qui ne demande qu'à briller. Et mon désir est que tu puisses prendre conscience de ta valeur. Découvrir ce chemin qui est le tien et impacter le monde à ta façon. Ensemble, partons à la découverte de notre vérité. Apprenons à nous révéler et osons marcher vers notre destinée. Hello hello et bienvenue sur le podcast Un chemin vers soi épisode 31. Je suis assez fière de dire qu'on est déjà au 31e épisode. Avant de rentrer dans le vif du sujet, j'avais envie de te parler de mon programme d'autocoaching. J'en parle assez peu mais je suis en train de le revoir actuellement, de réactualiser certaines vidéos, de rajouter du contenu pour qu'il soit encore plus pertinent et du coup j'avais envie de t'en parler. Ce programme d'autocoaching c'est un programme que tu peux faire en toute autonomie. et qui te permet de travailler sur ta connaissance de toi et ton estime de toi. Il y a trois modules et à travers ces trois modules, tu vas pouvoir découvrir davantage qui tu es, travailler sur tes valeurs, tes besoins, te réaligner avec toi. Tu vas pouvoir développer ton estime de toi, travailler sur les trois composantes de l'estime, à savoir la confiance en soi, l'image de soi et l'amour de soi, et ça va t'aider à passer à l'action, à poser un plan d'action concret pour atteindre tes objectifs et tout mettre en œuvre pour y arriver. C'est un programme qui est plein de valeurs et que j'ai voulu super accessible. Avec d'ailleurs, petite nouveauté depuis quelques jours, la possibilité de le payer en deux fois. Si tu as envie de mieux te connaître, de développer ton estime de toi, ta confiance en toi, de passer à l'action, d'arrêter de procrastiner, de mieux te comprendre aussi et de mieux communiquer avec les autres, de t'affirmer davantage, je t'invite à lire le lien dans la bio et à t'inscrire à ce programme d'autocoaching que j'ai appelé oser être soi. Maintenant que l'instant promo est passé, une fois n'est pas coutume, revenons à nos moutons. Est-ce qu'il t'est déjà arrivé de te dire des phrases du type il faut absolument que je fasse ça je dois obligatoirement faire ceci ou encore je n'ai pas le choix Ça t'est arrivé, non ? Je pense que ça nous arrive à tous, d'avoir ce sentiment d'obligation, de devoir, d'être contraint et forcé de faire une chose. Et aujourd'hui, dans cet épisode, j'avais envie qu'on s'interroge ensemble sur ces petits mots, qui n'ont l'air de rien en fait, mais qui veulent dire tellement. Il y a d'une part les obligations externes, et tu vas te dire, oh il faut que je fasse mes impôts. Il faut que je paye mes factures. Ou encore, je dois aller à cette réunion. Ces obligations extérieures, on a souvent l'impression qu'on n'a pas le choix, qu'on ne peut pas les contrôler. Qu'on ne peut pas dire non, qu'on ne peut pas s'en extraire et qu'on n'a plus qu'à exécuter, plus qu'à appliquer. Ce n'est pas toujours vrai en fait. Alors oui, effectivement, il y a certaines obligations où c'est compliqué de s'en détacher. Typiquement, payer tes impôts, t'as pas trop la main dessus. Mais il y a d'autres obligations qui n'en sont pas réellement en fait. Parfois, tu te fais toute une montagne de quelque chose. Tu ressors le devoir d'aller à un événement, de répondre à une invitation, ou même de poser une action. peu importe laquelle, tu ressens cette obligation à l'intérieur de toi. Tu te dis que tu ne peux pas faire autrement. que tu n'as pas le choix, que tu n'as qu'une solution finalement, et tu subis la situation. Tu prends ça comme un fardeau, comme quelque chose qui est indépendant de ta volonté, dont tu voudrais bien t'extraire, mais tu ne le peux pas parce que tu n'as pas le choix, tout simplement. Enfin, rétablissons la vérité. Quand je dis tu n'as pas le choix, c'est que tu penses que tu n'as pas le choix. Tu as cette croyance. Tu es convaincu que... Tu n'as pas d'autre option. Mais en fait, on a toujours le choix. Même pour les impôts, en vrai, tu as le choix de ne pas payer. Oui, tu peux le faire, tu peux décider de le faire. Après, seras-tu à l'aise avec les conséquences ? Je ne sais pas, je ne crois pas. Mais tu as toujours le choix. Même si parfois, ce choix te paraît limité, même s'il te paraît difficile, même si... Si ce n'est pas la solution ou l'option que tu aurais aimé, ça reste un choix. Et même l'inaction en vrai, même le fait de ne rien faire, c'est déjà un choix. Conscient ou pas, mais tu choisis d'être dans l'inaction. Tu choisis de ne pas avancer. Tu choisis de procrastiner. Bon, si je te dis tout ça, ce n'est pas pour que tu t'enveuilles, que tu t'autoflagelles, que tu te critiques. et que tu te sentes plus bactère. Non, pas du tout. Au contraire, j'ai envie qu'ensemble, on reprenne conscience des choses. J'ai envie que tu puisses te responsabiliser et reprendre le pouvoir, reprendre le contrôle. Parce qu'en fait, quand tu te dis que tu n'as pas le choix, que c'est comme ça, tu subis et tu te mets en situation de victime, de personne qui subit complètement sa vie. Tu n'es plus maître ou maîtresse de tout ça. Tu n'as plus les rênes finalement, tu n'es plus aux commandes. Et c'est tellement dommage. Tu devrais être aux commandes de ta vie. En tout cas, je te le souhaite. Se dire qu'on a le choix, ce n'est pas juste une question de vocabulaire. C'est vraiment prendre conscience qu'on peut être maître de sa vie. Que les décisions qu'on va prendre vont avoir de l'impact, vont avoir de l'importance. et que chaque décision qu'on prend est finalement un petit pas de plus vers nos objectifs, vers nos rêves, ou au contraire, nous en éloigner un peu plus. Si tu ne choisis pas, en fait tu n'es responsable de rien, tu te laisses guider, baloter par la vie, et comment veux-tu arriver à ce que tu veux ? C'est un discours que peut-être tu n'es pas prête à entendre tout de suite. Et je le conçois, en fonction de ton état d'esprit du moment, de... Ton contexte et des difficultés que tu rencontres, ça peut peut-être être violent. Si c'est le cas, c'est pas grave. Mais pose et écoute un autre épisode. Tu reviendras sur celui-ci une autre fois. Quand tu sentiras que c'est le bon moment. Mais si ça te titille, si ça t'intrigue, reste jusqu'au bout. Quand tu utilises des termes du type il faut je dois en fait, en un sens, c'est comme si tu t'ôtais ton pouvoir. Comme si tu avais quelqu'un avec un pistolet pointé sur ta tête, et du coup tu n'agissais plus parce que tu le voulais, parce que tu l'avais choisi, parce que c'était important pour toi, mais tu agissais finalement par contrainte, par obéissance à quelque chose, quelqu'un qui aurait la main mise sur toi. Oui, je sais bien, parfois c'est plus facile de se dire qu'on n'y est pour rien, qu'on subit la situation, qu'on n'a pas le choix. On se met en situation de victime et c'est rassurant en quelque sorte. Et puis on peut se plaindre. Et se plaindre c'est génial, non ? Quand on se plaint, généralement, il y a des personnes qui vont nous aider, nous soutenir, nous dire qu'ils comprennent, que c'est pas grave, qu'ils ont vécu la même chose aussi. Et parfois on en a vraiment besoin. Parfois c'est même vital. Mais à d'autres moments, on a juste besoin de se confronter à la réalité. Au fait que c'est nous le capitaine de notre bateau. C'est nous qui décidons où on veut aller, ce qu'on veut faire, ce qu'on veut devenir, qui on veut être. Et si on ne le décide pas, la vie le décidera pour nous. Et c'est bien dommage. Parce que comment veux-tu être aligné avec toi ? Comment veux-tu être pleinement épanoui, pleinement heureuse ? Si finalement tu vis la vie de quelqu'un d'autre ? Si tu fais des choses... par devoir, par obligation, parce que la société te l'a dit, parce que tes parents te l'ont dit, parce que ton boss te l'a dit. Mais au fond, toi, tu veux quoi ? Et tu prêtes finalement à taper du poing sur la table et à affirmer ce que tu penses, à affirmer tes convictions, à mettre en place des actions qui vont dans le sens que tu veux. Oui, ça fait peur. Oui, ça demande de sortir de sa zone de confort, ça demande du courage. Mais en fait, je suis persuadée que le bonheur, il est au-delà de ta zone de confort. Et c'est à toi d'aller chercher. Il n'y a personne qui va t'obliger à aller chercher ta vie de rêve. Bon, peut-être certains de tes proches, ok. Et encore, pas sûr. C'est à toi de choisir. C'est à toi de faire ce choix d'aller mieux. D'aller te faire accompagner si tu es dans une situation délicate ? C'est à toi de faire ce choix de peut-être quitter ton entreprise ? pour créer ta propre entreprise. Ou encore, c'est à toi de faire ce choix de te mettre en couple avec cette personne qui est là pour toi depuis des années et que tu ne regardes pas. Ou au contraire, de quitter ce couple, quitter ce foyer qui ne t'épanouit pas. Tu as le choix. Oui, il y a des conséquences. Il y a toujours des conséquences. Certaines qu'on aimerait éviter. On est d'accord. certaines plus agréables que d'autres. Mais si tu te complais dans une situation, c'est qu'en fait, quelque part, ça t'arrange. Oui, je sais, là tu vas crier, tu vas dire que j'exagère, tu vas dire que ton cas est différent, et peut-être, effectivement, peut-être que ton cas est différent, peut-être que tu es dans une situation particulière où tu as juste besoin d'aide. Peut-être que tu vis des violences dans ton foyer, peut-être, et j'en suis désolée. Mais j'ai envie de dire, même dans ce cas-là, et ne le prends pas mal s'il te plaît, mais même dans ce cas-là, quelque part, dans ton contexte, dans ton univers, tu as la possibilité de reprendre la main. Tu as la possibilité de choisir, de décider. De faire quelque chose, une petite action, pour te sortir de là en fait. On a toujours le choix. Le choix d'accepter, de se résigner, de rester, pour les enfants ou que sais-je. Ou parce qu'on a trop peur. Peur pour sa vie aussi parfois. Et c'est dur, je le conçois. Mais tu as le choix de prendre le risque aussi. Ce risque de tout plaquer, de partir. pour mieux vivre ailleurs. Je pèse mes mots, je sais que je suis sur un terrain glissant et que certaines de mes paroles pourraient être mal interprétées, mal comprises. Mais tu vois, il y a quelque chose en moi qui me dit que je dois te dire ça. Eh oui, moi aussi parfois j'ai cette obligation que je ressens. Mais en fait, ce n'est pas que je dois, c'est que je choisis de. Je choisis de te faire passer ce message, qui peut-être ne te plaira pas. Peut-être te fera un électrochoc et en un sens c'est ce que je souhaite. Parce que j'ai envie que tu ailles chercher ta vie de rêve. Si tu es dans une situation compliquée aujourd'hui, si tu n'es pas épanoui, que ce soit professionnellement, dans ton foyer ou qu'importe, si tu sens que tu peux faire plus, j'ai envie que tu te bouges et que tu te dises Bah je peux changer ma vie en fait T'as le droit au bonheur, t'as le droit de changer des choses. Tu as le droit de changer d'avis aussi. Ce n'est pas parce que ça fait des années que tu fais la même chose, que tu as telle ou telle attitude, que tu ne peux pas changer, que tu ne peux pas évoluer. Ou tu ne peux pas devenir celle que tu es au fond, que tu es teint, que tu caches derrière des masques. Tu as le pouvoir de reprendre le contrôle de ta vie. Tu as le pouvoir de tes décisions. Je t'invite à te demander finalement, dans la situation dans laquelle tu es aujourd'hui, Est-ce qu'elle te convient ? Es-tu pleinement épanouie ? Fais-tu les choses par automatisme ? Fais-tu les choses par habitude ? Ou parce que quelqu'un t'a dit que ça devait se passer comme ça ? Le boulot que tu fais aujourd'hui, tu l'as choisi ? Tu l'as vraiment choisi ? Ou on t'a dit que ce serait bien que tu fasses ça ? Ou tu t'es dit que... Peut-être d'un point de vue financier, ce serait la bonne chose à faire. Mais une autre partie de toi n'est pas d'accord avec ça. Ou peut-être que tu es aligné en phase et que tu as pesé le pour et le contre et que finalement tu as choisi délibérément, en conscience, peut-être de ne pas faire le métier qui te fait vibrer, ton métier de cœur, mais de faire un autre métier pour privilégier. l'aspect financier pour pouvoir peut-être élever des enfants comme tu le souhaites, te faire plaisir comme tu le souhaites et c'est ok, aucun jugement de ma part. Mais juste, est-ce que tu y as réfléchi ? Est-ce que tu as choisi ? Ou tu t'es dit, il faut ? Que je sois avocat, médecin. Bon ok, je prends ces métiers-là parce que c'est souvent ce qu'on cite dans les métiers à succès, dirons-nous. Mais est-ce que tu t'es posé la question ? Il n'y a pas d'obligation. La seule obligation, en fait, c'est celle que tu t'imposes. Qu'est-ce que tu veux faire ? Qu'est-ce que tu veux être ? La semaine dernière, j'étais en coaching avec une de mes coachées. Et elle n'arrêtait pas de répéter ce terme. Il faut. Il faut que je fasse ceci. Il faut que je fasse cela. Bien sûr, ça m'a interpellée, je lui ai dit d'ailleurs. Et ce qui était drôle, c'est qu'elle parlait de son activité, puisque elle est entrepreneur. Et en fait, elle était en train de répéter un schéma. Un schéma qu'on peut voir en entreprise, où on se sent accablé par... Tout un tas de responsabilités par des obligations qui nous sont imposées par notre service, par nos responsables, par nos boss. Et elles se mettaient cette même pression. Il faut que je fasse mon enquête client, il faut que je fasse ma plateforme, il faut que je fasse ceci, il faut que je fasse cela. Mais il est où le plaisir dans tout ça ? Parfois on veut quelque chose, on a un rêve. Et on se met une pression énorme, une pression telle qu'en fait ce rêve qui est censé être quelque chose qui nous fait du bien, qui nous fait envie, qui nous fait plaisir, qui nous procure de la joie, il risque de devenir notre pire bourreau. C'est important d'avoir conscience de ça et d'essayer de s'en détacher et de revenir à finalement la raison principale qui nous a fait nous lancer dans ce projet. Pour les entrepreneurs par exemple, notamment ceux qui sont solopreneurs. Au départ, on se lance, on a plein de choses à faire, on a plein de casquettes, et au-delà de, finalement, notre métier de cœur, on se retrouve à faire plein de métiers différents. De la compta, de la vente, du community management, du web design, et plein plein d'autres choses. Et on se dit, il faut que je fasse mon site internet, il faut que je fasse des postes, il faut que je fasse ceci, il faut que je fasse cela. Ça peut être très contraignant, très déstabilisant. Et pas fun en fait. Alors qu'en fait, si tu as décidé de te mettre à ton compte, c'est justement pour faire des choses qui te plaisent. Alors oui, bien sûr, on ne fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie, on est d'accord. Mais rien que dans le vocabulaire choisi, ça en dit long sur ton état du moment, sur comment tu vois les choses, et sur l'énergie que tu vas mettre aussi. Si tu te sens accablé par une tâche que tu dois, entre guillemets absolument faire, forcément tu vas avoir plus de mal à la faire. Tu vas avoir du mal à voir les choses de manière positive, ça va être plus de la souffrance. Et tu ne vas pas forcément bien la faire, parce que tu auras cette énergie négative autour de il faut, il faut absolument, je dois, c'est une obligation, je n'ai pas le choix Mais si tu te détaches de ça, si tu reprends conscience de pourquoi tu fais tout ça, Si tu prends de la hauteur et que tu te demandes comment finalement tu peux rendre les choses plus agréables, mettre ta patte dans tout ça, et tu te dis que tu ne le fais pas parce que tu le dois, tu le fais parce que tu le choisis, et parce que tu sais que c'est dans ta stratégie, et que ça va te permettre d'arriver au bout de ton objectif final, d'un objectif plus grand, de quelque chose qui te dépasse. L'énergie, elle est toute autre. Tu ne crois pas, non ? La prochaine fois que tu t'entendras dire il faut que je fasse telle ou telle chose prends un instant, respire, et remplace ce mot par je choisis de Même si la tâche ne te botte pas plus que ça, tu choisis, parce que tu as toujours le choix. Si tu entends ces mots, c'est que tu es arrivé au bout de ce podcast, de cet épisode et... que je n'ai pas trop heurté ta sensibilité. Merci pour ton écoute. J'espère que mon message est passé et que tu le prends en toute bienveillance, avec plein d'amour. Tu sais, ma mission, c'est que tu laisses tomber les masques, que tu te révèles au monde tel que tu es, que tu oses t'affirmer, que tu oses faire ce qui est important pour toi, ce qui t'appelle, et que tu puisses, à ta façon, impacter ce monde. Et pour ça, tu as besoin de prendre des décisions. Tu as besoin de te reconnecter à qui tu es. Tu as besoin d'authenticité, de vérité et de responsabilité. Alors reprends le contrôle de ta vie, si ce n'est pas le cas. Reprends les rênes et impacte le monde à ta façon. Sous-titrage ST'50