52. Capsule. S'autoriser à lâcher un poste socialement prestigieux cover
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Cheminement - Le podcast Oser Rêver Sa Carrière

52. Capsule. S'autoriser à lâcher un poste socialement prestigieux

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06min |02/07/2024
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Description

Quitter un poste socialement prestigieux… pas simple.

Entre la crainte du jugement des autres-la famille, les collègues, le « milieu » (voire la « corporation » dans certains cas)-et le deuil d’un certain statut social, d’une rémunération confortable, de responsabilités importantes… il n’est pas rare de se laisser démotiver.

Résultats :

  • On laisse les aspects confortables prendre le dessus sur l’inconfort, et le regard des autres sur nos propres désirs ;

  • Le poids social prend alors le pas sur la volonté individuelle ;

  • On prend peur et on s’enlise dans une situation professionnelle que l’on vit pourtant mal ou qui ne nous correspond plus ;

  • On s’oublie, en prenant le risque de vivre à contre-courant de nous-mêmes. En sur effort et sur adaptation permanents.

C’est particulièrement compliqué lorsque le métier en question a nécessité de longues études et/ou qu’il revêt — dans l’esprit collectif — une certaine noblesse. C’est le cas de certains de nos accompagnés avocats, cadres, médecins, architectes, etc qui se retrouvent parfois paralysés par la peur de perdre une « belle étiquette »

S’affranchir du socialement bien perçu ou se départir d’une lignée familiale au sein de laquelle le métier se transmet sans même que l’on s’en rende compte, réclame beaucoup de courage, une grande détermination et beaucoup d’auto-protection pendant le processus d’introspection et de transition.

Cela passe notamment par la rétention de certaines informations durant cette phase, pour s’éviter les petites phrases parfois maladroites ou moqueuses du type :

« Tu n’as pas fait toutes ces études pour rien » ;

« Tu gagneras une misère » ;

« Exit les beaux quartiers et les week-ends », etc.

Savoir se protéger des « autres », ne serait-ce que provisoirement, pour se recentrer et s’assurer de faire le bon choix est important lorsque l’on envisage un changement de v(o)ie.

C’est s’assurer de suivre ses envies et non celles d’autrui…

À méditer... 🧘‍♀️

Bonne écoute !

Marina

Oser Rêver Sa Carrière

contact@orsc.email

Suivez-nous sur Instagram


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Quitter un poste socialement prestigieux… pas simple.

Entre la crainte du jugement des autres-la famille, les collègues, le « milieu » (voire la « corporation » dans certains cas)-et le deuil d’un certain statut social, d’une rémunération confortable, de responsabilités importantes… il n’est pas rare de se laisser démotiver.

Résultats :

  • On laisse les aspects confortables prendre le dessus sur l’inconfort, et le regard des autres sur nos propres désirs ;

  • Le poids social prend alors le pas sur la volonté individuelle ;

  • On prend peur et on s’enlise dans une situation professionnelle que l’on vit pourtant mal ou qui ne nous correspond plus ;

  • On s’oublie, en prenant le risque de vivre à contre-courant de nous-mêmes. En sur effort et sur adaptation permanents.

C’est particulièrement compliqué lorsque le métier en question a nécessité de longues études et/ou qu’il revêt — dans l’esprit collectif — une certaine noblesse. C’est le cas de certains de nos accompagnés avocats, cadres, médecins, architectes, etc qui se retrouvent parfois paralysés par la peur de perdre une « belle étiquette »

S’affranchir du socialement bien perçu ou se départir d’une lignée familiale au sein de laquelle le métier se transmet sans même que l’on s’en rende compte, réclame beaucoup de courage, une grande détermination et beaucoup d’auto-protection pendant le processus d’introspection et de transition.

Cela passe notamment par la rétention de certaines informations durant cette phase, pour s’éviter les petites phrases parfois maladroites ou moqueuses du type :

« Tu n’as pas fait toutes ces études pour rien » ;

« Tu gagneras une misère » ;

« Exit les beaux quartiers et les week-ends », etc.

Savoir se protéger des « autres », ne serait-ce que provisoirement, pour se recentrer et s’assurer de faire le bon choix est important lorsque l’on envisage un changement de v(o)ie.

C’est s’assurer de suivre ses envies et non celles d’autrui…

À méditer... 🧘‍♀️

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Marina

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Entre la crainte du jugement des autres-la famille, les collègues, le « milieu » (voire la « corporation » dans certains cas)-et le deuil d’un certain statut social, d’une rémunération confortable, de responsabilités importantes… il n’est pas rare de se laisser démotiver.

Résultats :

  • On laisse les aspects confortables prendre le dessus sur l’inconfort, et le regard des autres sur nos propres désirs ;

  • Le poids social prend alors le pas sur la volonté individuelle ;

  • On prend peur et on s’enlise dans une situation professionnelle que l’on vit pourtant mal ou qui ne nous correspond plus ;

  • On s’oublie, en prenant le risque de vivre à contre-courant de nous-mêmes. En sur effort et sur adaptation permanents.

C’est particulièrement compliqué lorsque le métier en question a nécessité de longues études et/ou qu’il revêt — dans l’esprit collectif — une certaine noblesse. C’est le cas de certains de nos accompagnés avocats, cadres, médecins, architectes, etc qui se retrouvent parfois paralysés par la peur de perdre une « belle étiquette »

S’affranchir du socialement bien perçu ou se départir d’une lignée familiale au sein de laquelle le métier se transmet sans même que l’on s’en rende compte, réclame beaucoup de courage, une grande détermination et beaucoup d’auto-protection pendant le processus d’introspection et de transition.

Cela passe notamment par la rétention de certaines informations durant cette phase, pour s’éviter les petites phrases parfois maladroites ou moqueuses du type :

« Tu n’as pas fait toutes ces études pour rien » ;

« Tu gagneras une misère » ;

« Exit les beaux quartiers et les week-ends », etc.

Savoir se protéger des « autres », ne serait-ce que provisoirement, pour se recentrer et s’assurer de faire le bon choix est important lorsque l’on envisage un changement de v(o)ie.

C’est s’assurer de suivre ses envies et non celles d’autrui…

À méditer... 🧘‍♀️

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Quitter un poste socialement prestigieux… pas simple.

Entre la crainte du jugement des autres-la famille, les collègues, le « milieu » (voire la « corporation » dans certains cas)-et le deuil d’un certain statut social, d’une rémunération confortable, de responsabilités importantes… il n’est pas rare de se laisser démotiver.

Résultats :

  • On laisse les aspects confortables prendre le dessus sur l’inconfort, et le regard des autres sur nos propres désirs ;

  • Le poids social prend alors le pas sur la volonté individuelle ;

  • On prend peur et on s’enlise dans une situation professionnelle que l’on vit pourtant mal ou qui ne nous correspond plus ;

  • On s’oublie, en prenant le risque de vivre à contre-courant de nous-mêmes. En sur effort et sur adaptation permanents.

C’est particulièrement compliqué lorsque le métier en question a nécessité de longues études et/ou qu’il revêt — dans l’esprit collectif — une certaine noblesse. C’est le cas de certains de nos accompagnés avocats, cadres, médecins, architectes, etc qui se retrouvent parfois paralysés par la peur de perdre une « belle étiquette »

S’affranchir du socialement bien perçu ou se départir d’une lignée familiale au sein de laquelle le métier se transmet sans même que l’on s’en rende compte, réclame beaucoup de courage, une grande détermination et beaucoup d’auto-protection pendant le processus d’introspection et de transition.

Cela passe notamment par la rétention de certaines informations durant cette phase, pour s’éviter les petites phrases parfois maladroites ou moqueuses du type :

« Tu n’as pas fait toutes ces études pour rien » ;

« Tu gagneras une misère » ;

« Exit les beaux quartiers et les week-ends », etc.

Savoir se protéger des « autres », ne serait-ce que provisoirement, pour se recentrer et s’assurer de faire le bon choix est important lorsque l’on envisage un changement de v(o)ie.

C’est s’assurer de suivre ses envies et non celles d’autrui…

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