Speaker #1d'un jour pour tenter une création. Ça y est, on est à la fin du défi Jean-François, on est le 31 janvier, j'ai réussi à tenir sur la longueur, j'ai fait les 31 épisodes comme promis. C'est-à-dire que le premier jour, le 1er janvier, j'avais dit que c'était ma troisième participation, que j'avais jamais réussi à tenir les 31 épisodes, que je m'étais toujours arrêtée avant. Et là, c'est la preuve que j'y suis arrivée. J'ai de la peine à y croire. J'ai de la peine à y croire que j'ai réussi ça et que finalement, comme je l'avais promis dans le premier épisode, enfin promis, comme je l'avais dit dans le premier, eh bien, j'ai renversé cette croyance limitante que j'entretenais depuis quelques années à me dire que je n'étais pas capable d'y arriver. Sachez, les amis, que ça fait un... Putain de bien de renverser une croyance limitante aussi forte que ça. Je dis forte parce qu'en fait, elle a été, comment dire, renforcée en voyant d'autres podcasteurs réaliser les 31 épisodes et moi j'y arrivais pas. Ben maintenant c'est bon, j'ai réussi à renverser la tendance et je suis hyper contente, hyper satisfaite. Et comme promis... Je vais vous partager ce qui a fait que j'ai tenu les 31 jours, ce qui a fait que je n'ai pas à abandonner. Avant de vous partager les choses, il faut que je vous mette... Comment dire ? Que je vous mette au parfum. Pourquoi des fois j'ai des mots bizarres qui sortent comme ça ? Il faut que je vous parle d'une chose, d'un truc... On va dire en fait c'est vraiment un handicap. un vrai handicap que j'ai pour le coup qui est différent de la maladie des autres verts mais c'est vraiment quelque chose qui m'empêche de réaliser pas mal de choses qui m'empêche d'arriver à la fin de certains projets qui baisse ma motivation etc c'est un problème que j'ai jamais exposé dans plaisir et handicap pour lesquels certains de mes amis sont au courant mais pas tout le monde et surtout que c'est un problème qui est au niveau de la société C'est un problème qu'on rencontre beaucoup chez les jeunes, même chez les adultes en fait, même chez les personnes de 40, 50, 60 ans, sont aussi touchées par cette problématique là. Et en fait c'est une problématique qui est tellement banalisée qu'on se rend même pas compte que c'est quelque chose de grave. Alors ça va peut-être vous paraître un peu bizarre, peut-être que ça vous concerne et que vous allez dire non mais c'est pas si grave que ça parce que peut-être que vous êtes dans le déni comme je l'étais il y a quelques années. Je dis pas, mais déjà sans rendre compte, c'est un premier pas. Le problème que j'ai, c'est que je suis accro à mon téléphone portable. C'est-à-dire que je suis accro au scrolling. Je l'ai réalisé il y a quelques années. J'en ai parlé, j'ai cherché de l'aide il y a quelques années auprès de spécialistes, donc des psychothérapeutes. Je suis même allée voir un psychiatre qui m'a dit que non, c'était pas vraiment un problème d'addiction parce qu'une vraie addiction, elle est... Vraiment considéré comme une addiction si la personne est vraiment en danger de mort. Alors non, je ne vais pas mourir si je n'ai pas mon téléphone entre les mains, mais je ne suis pas bien. J'ai besoin de l'avoir avec moi. J'ai été capable, il y a quelques années, de retourner à la maison alors que j'étais au travail pour aller rechercher mon téléphone parce que je l'avais oublié à la maison. Alors non, je n'avais pas l'impression de mourir, mais vraiment j'ai ce sentiment de mal-être, de malaise quand je ne l'ai pas avec moi ou proche de moi. Voilà, c'est ce problème d'addiction que j'ai. J'ai eu une amie qui m'a entendue, qui a compris vraiment mon problème, disons qu'il l'a considéré. Et je vous assure que quand on a un problème et qu'il est enfin considéré, je pense qu'il y a déjà 50% du travail qui est fait. Enfin ça a un côté vraiment thérapeutique, vraiment. Et donc quand j'ai parlé de mon problème d'addiction au scrolling à mon amie, c'est elle qui m'a dit bah en fait c'est comme si tout le monde prenait de la coke dans la rue. Que tout le monde tirait des traits de cocaïne parce que c'est tellement banalisé qu'on s'en rend même plus compte. C'est-à-dire que c'était prouvé par des études, une utilisation abusive du téléphone portable, ça a des conséquences justement sur notre motivation. Donc ça crée des baisses de motivation, même des états dépressifs. Ça, en fait, ça en impacte. hallucinant sur notre cerveau et sachez, chers auditeurs, chères auditrices, que notre cerveau C'est notre plus bel organe. C'est même le premier organe du plaisir en fait. Les sexologues le disent, c'est pas les organes sexuels, les organes génitaux. Le premier organe en lien avec le plaisir c'est le cerveau. Et les spécialistes de ceux qui développent les téléphones portables l'ont bien compris, ils vont créer des shoots de dopamine à travers justement les pastilles de notification etc. plein d'études qui ont été faites là-dessus, pour capter notre attention et pour vraiment nous donner ce sentiment rapide de satisfaction qui est produit par justement nos téléphones portables, par l'utilisation de diverses applications qui sont développées dans le but de capter notre attention. Et quand notre attention elle est captée par le téléphone portable, ben en fait on perd notre pouvoir de liberté. Ça semble un peu gros comme ça mais laissez-moi vous expliquer. Quand justement Toute notre attention est focalisée sur notre téléphone portable, c'est comme si on était hypnotisé par lui. C'est un peu comme la télévision, avant c'était la télévision qui attirait notre attention, sur laquelle justement on passait des soirées en famille, à regarder des films. C'est pas une mauvaise chose, c'est sûr que je ne suis pas en train de vous dire qu'il ne faut plus regarder de films, mais simplement que notre conscience elle est concentrée sur cet écran. Et c'est-à-dire que tout le reste, on le laisse tomber, on ne va pas mettre... Notre énergie dans les choses qui nous font du bien, dans les projets qu'on a envie de voir se réaliser. Et c'est vraiment une perte de temps. C'est triste en fait de constater ça. Mais je pense qu'une fois justement qu'on en prend conscience, c'est le premier pas pour la guérison, la réalisation de ce qui nous tient vraiment à cœur. Justement, pour avoir tenu sur ces 31 jours, ce que j'ai mis en place en... Tout premier lieu, c'est une méditation de Joe Dispenza que je mettais vraiment tous les matins avant de commencer ma journée. Ça me permettait d'avoir l'esprit clair sur ce que je voulais réaliser le jour même. Donc ça c'est vraiment une des routines les plus importantes qui m'a permise de garder le cap sur mon objectif de terminer le défi que j'envoie. Le deuxième point, c'est la force de la communauté. Donc vous savez je fais partie de... la communauté de l'académie du podcast et dans cette communauté de l'académie du podcast, il y a un certain nombre de podcasteurs qui ont décidé aussi de réaliser le défi J'envoie, de participer à J'envoie. Il n'y a pas tout le monde et le fait d'avoir ce petit groupe de gens qui participent au même défi, ça aide aussi à se donner des idées, à brainstormer, à se motiver, etc. Et aussi à s'interviewer mutuellement. Donc ça, c'est le deuxième point, c'est vraiment la force de la communauté d'avoir des gens qui ont les mêmes idées. qui ont la même vision, qui ont les mêmes objectifs, c'est sûr que c'est une énergie qui mène et qui soutient. Le troisième point qui m'a beaucoup aidée, c'est un peu en lien avec la méditation que je faisais les matins, c'est le journaling. Le journaling, je vous ai proposé durant janvier deux journaux que j'utilise régulièrement, le MEPS et le journal de gratitude. Donc ça, c'est des outils que j'utilise très régulièrement dans mes routines. Ça aussi, ça m'aide beaucoup à garder le cap, à faire un examen de conscience sur comment je me sens et qu'est-ce que j'ai peut-être à modifier pour aller bien. Et puis aussi, chaque jour, noter une dizaine de choses pour lesquelles je suis reconnaissante. Vraiment, si ce n'est pas déjà le cas, de le greffer dans vos routines parce que ça a une force, ça ouvre à l'abondance sous toutes les formes dans votre vie. Alors quand on parle d'abondance, on pense aux finances, mais c'est pas... Que les finances, alors oui, vous allez avoir peut-être des factures beaucoup moins élevées que ce que vous attendiez, ou peut-être des rabais, mais ça peut aussi être justement des amis qui vous prennent des nouvelles, ça peut être, c'est pas une des opportunités en fait qui s'ouvre à vous, c'est ça l'abondance en fait. Une fois que vous mettez en oeuvre cette routine-là, c'est ça qui va se produire dans votre vie. La dernière chose que j'ai mis en place... pour tenir le défi j'envoie, alors ça faisait un petit moment déjà, ça fait même une année déjà que j'ai ce rituel-là, c'est d'avoir une binôme d'affaires, une binôme d'aventures. Donc je vous en ai parlé je crois les premiers épisodes, c'est Stéphanie Pinot, on se voit tous les vendredis matin, non tous les vendredis après-midi, on a changé nos horaires, et on se fait vraiment un débrief de la semaine et on sort trois objectifs à faire pour la semaine suivante. C'est-à-dire que vraiment ça nous garde dans cette énergie de... continuer d'avancer. Donc ça c'est vraiment les quatre choses. Alors je vous les résume. C'est la force de la communauté, c'est la méditation. En troisième point c'est d'avoir une binôme et puis en dernier point c'est aussi d'avoir une routine de journaline qui est en place et qui est ancrée. Une habitude en fait dans laquelle on se sent bien et dans laquelle aussi on prend plaisir à faire. Et tout ça, ça permet d'être focus sur l'objectif en question et automatiquement, ça se fait tellement naturellement, le téléphone il est mis de côté. Parce qu'une fois que c'est tellement ancré, que c'est tellement fort, qu'on a vraiment cette volonté de réaliser ça, Ben c'est plus fort que nous et c'est à dire que les fois durant le mois de janvier où j'ai pris mon téléphone et puis que je commençais un peu à m'égarer dans le scrolling, automatiquement inconsciemment j'avais ce réflexe de me dire, hé t'es en train de faire quoi là ? Et puis je posais mon téléphone et je réalisais ce que j'avais à faire. Donc c'était vraiment important pour moi de vous partager ces 4 points pour faire vraiment le dernier bilan du mois de janvier. C'était la contrainte crête, c'était de vous partager mon expérience du défi janvier et ce que ça m'a apporté. Donc ce que ça m'a apporté, je l'ai dit, c'est que j'ai pu renverser cette croyance limitante et ça fait en bien de ouf malade, franchement. Je vous invite, chers auditeurs, chères auditrices, à analyser une croyance limitante que vous avez et de voir en fait qu'est-ce que vous pouvez mettre en place pour la renverser comme j'ai pu faire pour Jean-Foy. N'hésitez pas à m'écrire sur les réseaux sociaux pour partager ça, vous pouvez aussi me contacter directement. sur mon site internet vanessadro.com, ça me fera hyper plaisir de vous lire. Et puis, abonnez-vous au podcast pour ne pas louper les prochains. Et je vous dis à tout bientôt sur Plaisir Unicap. Et merci encore de m'avoir suivi pendant ces 31 jours.
