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Pos. Report #37 avec Jonathan Lobert et Didier Ravon

Pos. Report #37 avec Jonathan Lobert et Didier Ravon

1h01 |13/07/2021
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Description

Ce 37e épisode de Pos. Report met le cap sur Tokyo, et plus précisément sur Enoshima, le plan d’eau des Jeux Olympiques qui, pour les épreuves de voile, auront lieu du 25 juillet au 4 août. Notre premier invité, Jonathan Lobert, compte deux participations aux JO dont il a été médaillé de bronze en 2012, notre second, Didier Ravon, journaliste pour Voiles & Voiliers, a couvert plusieurs fois la compétition.

Jonathan Lobert commence par revenir sur sa non-qualification pour ces Jeux de Tokyo en Finn, avec une campagne qui avait bien débuté mais s’est finalement enrayée sur un démâtage lors des Mondiaux d’Aarhus en 2018, le Rochelais ayant finalement échoué en mai à Porto à décrocher le fameux sésame olympique. Didier Ravon insiste sur l’enchaînement de coups du sort dont a été victime Jonathan Lobert et rappelle que c’est tout de même une performance pour la France d’être présente à Enoshima dans 9 séries sur 10.

Nous évoquons ensuite le plan d’eau olympique, qui, selon le médaillé de bronze des Jeux de Londres, peut être changeant, avec cependant des conditions majoritaires de brise d’une quinzaine de nœuds et quelques pièges, comme – ce que Didier Ravon tient de Quentin Delapierre - un... élevage de poissons ! Certes hors parcours, mais qu’il faudra éviter en se rendant sur les ronds de compétition...

Nos deux invités évaluent ensuite les chances de médailles françaises, Didier Ravon verrait « assez bien quatre médailles », Jonathan Lobert ajoutant même : « Si tout se passe bien, on peut faire cinq médailles. » Série par série, nous passons en revue ces potentiels médaillables, de Charline Picon, championne olympique en titre, que Jonathan Lobert trouve très sereine, au duo Quentin Delapierre/Manon Audinet en Nacra 17 – « les parfaits outsiders » pour Didier Ravon – en passant par Jean-Baptiste Bernaz et les deux équipages de 470.


Pour finir, Jonathan Lobert parle de sa reconversion post-olympique, entre compétitions en SB20, Fastnet en août, et éventuellement coaching en vue de Paris 2024. Il regrette au passage la disparition du Finn du programme olympique, non compensée, ce qui fait que les « gros gabarits n’ont plus leur place aux Jeux ». Un regret partagé par Didier Ravon, qui estime par ailleurs que le refus par le CIO d’avaliser la course au large double mixte en vue des Jeux de Paris 2024 est « un gâchis. » 


Diffusé le 13 juillet 2021
Générique : Fast and wild/EdRecords
Post-production : Clovis Tisserand


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ce 37e épisode de Pos. Report met le cap sur Tokyo, et plus précisément sur Enoshima, le plan d’eau des Jeux Olympiques qui, pour les épreuves de voile, auront lieu du 25 juillet au 4 août. Notre premier invité, Jonathan Lobert, compte deux participations aux JO dont il a été médaillé de bronze en 2012, notre second, Didier Ravon, journaliste pour Voiles & Voiliers, a couvert plusieurs fois la compétition.

Jonathan Lobert commence par revenir sur sa non-qualification pour ces Jeux de Tokyo en Finn, avec une campagne qui avait bien débuté mais s’est finalement enrayée sur un démâtage lors des Mondiaux d’Aarhus en 2018, le Rochelais ayant finalement échoué en mai à Porto à décrocher le fameux sésame olympique. Didier Ravon insiste sur l’enchaînement de coups du sort dont a été victime Jonathan Lobert et rappelle que c’est tout de même une performance pour la France d’être présente à Enoshima dans 9 séries sur 10.

Nous évoquons ensuite le plan d’eau olympique, qui, selon le médaillé de bronze des Jeux de Londres, peut être changeant, avec cependant des conditions majoritaires de brise d’une quinzaine de nœuds et quelques pièges, comme – ce que Didier Ravon tient de Quentin Delapierre - un... élevage de poissons ! Certes hors parcours, mais qu’il faudra éviter en se rendant sur les ronds de compétition...

Nos deux invités évaluent ensuite les chances de médailles françaises, Didier Ravon verrait « assez bien quatre médailles », Jonathan Lobert ajoutant même : « Si tout se passe bien, on peut faire cinq médailles. » Série par série, nous passons en revue ces potentiels médaillables, de Charline Picon, championne olympique en titre, que Jonathan Lobert trouve très sereine, au duo Quentin Delapierre/Manon Audinet en Nacra 17 – « les parfaits outsiders » pour Didier Ravon – en passant par Jean-Baptiste Bernaz et les deux équipages de 470.


Pour finir, Jonathan Lobert parle de sa reconversion post-olympique, entre compétitions en SB20, Fastnet en août, et éventuellement coaching en vue de Paris 2024. Il regrette au passage la disparition du Finn du programme olympique, non compensée, ce qui fait que les « gros gabarits n’ont plus leur place aux Jeux ». Un regret partagé par Didier Ravon, qui estime par ailleurs que le refus par le CIO d’avaliser la course au large double mixte en vue des Jeux de Paris 2024 est « un gâchis. » 


Diffusé le 13 juillet 2021
Générique : Fast and wild/EdRecords
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Ce 37e épisode de Pos. Report met le cap sur Tokyo, et plus précisément sur Enoshima, le plan d’eau des Jeux Olympiques qui, pour les épreuves de voile, auront lieu du 25 juillet au 4 août. Notre premier invité, Jonathan Lobert, compte deux participations aux JO dont il a été médaillé de bronze en 2012, notre second, Didier Ravon, journaliste pour Voiles & Voiliers, a couvert plusieurs fois la compétition.

Jonathan Lobert commence par revenir sur sa non-qualification pour ces Jeux de Tokyo en Finn, avec une campagne qui avait bien débuté mais s’est finalement enrayée sur un démâtage lors des Mondiaux d’Aarhus en 2018, le Rochelais ayant finalement échoué en mai à Porto à décrocher le fameux sésame olympique. Didier Ravon insiste sur l’enchaînement de coups du sort dont a été victime Jonathan Lobert et rappelle que c’est tout de même une performance pour la France d’être présente à Enoshima dans 9 séries sur 10.

Nous évoquons ensuite le plan d’eau olympique, qui, selon le médaillé de bronze des Jeux de Londres, peut être changeant, avec cependant des conditions majoritaires de brise d’une quinzaine de nœuds et quelques pièges, comme – ce que Didier Ravon tient de Quentin Delapierre - un... élevage de poissons ! Certes hors parcours, mais qu’il faudra éviter en se rendant sur les ronds de compétition...

Nos deux invités évaluent ensuite les chances de médailles françaises, Didier Ravon verrait « assez bien quatre médailles », Jonathan Lobert ajoutant même : « Si tout se passe bien, on peut faire cinq médailles. » Série par série, nous passons en revue ces potentiels médaillables, de Charline Picon, championne olympique en titre, que Jonathan Lobert trouve très sereine, au duo Quentin Delapierre/Manon Audinet en Nacra 17 – « les parfaits outsiders » pour Didier Ravon – en passant par Jean-Baptiste Bernaz et les deux équipages de 470.


Pour finir, Jonathan Lobert parle de sa reconversion post-olympique, entre compétitions en SB20, Fastnet en août, et éventuellement coaching en vue de Paris 2024. Il regrette au passage la disparition du Finn du programme olympique, non compensée, ce qui fait que les « gros gabarits n’ont plus leur place aux Jeux ». Un regret partagé par Didier Ravon, qui estime par ailleurs que le refus par le CIO d’avaliser la course au large double mixte en vue des Jeux de Paris 2024 est « un gâchis. » 


Diffusé le 13 juillet 2021
Générique : Fast and wild/EdRecords
Post-production : Clovis Tisserand


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Ce 37e épisode de Pos. Report met le cap sur Tokyo, et plus précisément sur Enoshima, le plan d’eau des Jeux Olympiques qui, pour les épreuves de voile, auront lieu du 25 juillet au 4 août. Notre premier invité, Jonathan Lobert, compte deux participations aux JO dont il a été médaillé de bronze en 2012, notre second, Didier Ravon, journaliste pour Voiles & Voiliers, a couvert plusieurs fois la compétition.

Jonathan Lobert commence par revenir sur sa non-qualification pour ces Jeux de Tokyo en Finn, avec une campagne qui avait bien débuté mais s’est finalement enrayée sur un démâtage lors des Mondiaux d’Aarhus en 2018, le Rochelais ayant finalement échoué en mai à Porto à décrocher le fameux sésame olympique. Didier Ravon insiste sur l’enchaînement de coups du sort dont a été victime Jonathan Lobert et rappelle que c’est tout de même une performance pour la France d’être présente à Enoshima dans 9 séries sur 10.

Nous évoquons ensuite le plan d’eau olympique, qui, selon le médaillé de bronze des Jeux de Londres, peut être changeant, avec cependant des conditions majoritaires de brise d’une quinzaine de nœuds et quelques pièges, comme – ce que Didier Ravon tient de Quentin Delapierre - un... élevage de poissons ! Certes hors parcours, mais qu’il faudra éviter en se rendant sur les ronds de compétition...

Nos deux invités évaluent ensuite les chances de médailles françaises, Didier Ravon verrait « assez bien quatre médailles », Jonathan Lobert ajoutant même : « Si tout se passe bien, on peut faire cinq médailles. » Série par série, nous passons en revue ces potentiels médaillables, de Charline Picon, championne olympique en titre, que Jonathan Lobert trouve très sereine, au duo Quentin Delapierre/Manon Audinet en Nacra 17 – « les parfaits outsiders » pour Didier Ravon – en passant par Jean-Baptiste Bernaz et les deux équipages de 470.


Pour finir, Jonathan Lobert parle de sa reconversion post-olympique, entre compétitions en SB20, Fastnet en août, et éventuellement coaching en vue de Paris 2024. Il regrette au passage la disparition du Finn du programme olympique, non compensée, ce qui fait que les « gros gabarits n’ont plus leur place aux Jeux ». Un regret partagé par Didier Ravon, qui estime par ailleurs que le refus par le CIO d’avaliser la course au large double mixte en vue des Jeux de Paris 2024 est « un gâchis. » 


Diffusé le 13 juillet 2021
Générique : Fast and wild/EdRecords
Post-production : Clovis Tisserand


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