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Pos. Report

Pos. Report #39 avec Thierry Douillard et Thibault Laudren

Pos. Report #39 avec Thierry Douillard et Thibault Laudren

56min |07/09/2021
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Description

Le 39e épisode de Pos. Report est consacré au circuit SailGP dont le cinquième rendez-vous de la saison, le Grand Prix de France, se dispute les 11 et 12 septembre à Saint-Tropez.

Nos deux invités font partie de l’équipe française : Thierry Douillard en est l’entraîneur, tandis que Thibault Laudren occupe le poste de directeur des opérations. Ce dernier commence d’ailleurs par évoquer son parcours, avec notamment des expériences sur le circuit des Extreme Sailing Series, sur la Solitaire du Figaro ou chez Spindrift, mais également dans d’autres univers professionnels.


Thierry Douillard, qui a pris la succession en 2020 de Franck Citeau en tant que coach, raconte les difficultés de sa tâche, sachant que les équipes ont très peu de jours de navigation d’entraînement - un seul à Saint-Tropez. Et que, faute pour l’instant de budget suffisant, les Français, s’ils naviguent sur d’autres supports pendant l’année, n’ont pas (ou très peu) l’occasion de le faire ensemble sur des circuits volants.


"Notre manque de régularité est avant tout lié à ce manque de navigations en commun", commente-t-il pour expliquer les résultats en dents de scie des hommes de Billy Besson depuis le début de la saison. Sur le podium aux Bermudes (3e) et à Plymouth (2e), ils se classent avant-derniers et derniers à Tarente puis Aarhus.


Thierry Douillard confirme par ailleurs que le patron du circuit SailGP, Russell Coutts, exerce une grosse pression sur toutes les équipes, allant même jusqu’à détecter des traces de sel sur un appendice mal rincé ! Une pression qui est le signe d’une "implication totale" et teintée de "bienveillance."


Celle-ci s’exerce aussi sur le fonctionnement interne de l’équipe de 15 personnes (dont 5 à temps plein) et sur son financement (le budget est de 2,5 millions d’euros par équipe, financé par SailGP ou par un partenaire pour celles qui en ont trouvé). "On doit en permanence justifier et faire approuver nos dépenses",  explique Thibault Laudren.  Ce dernier évoque également la politique ambitieuse de "sustainability", qui donne lieu à un classement mis en place depuis le dernier Grand Prix, l’Impact League, établi au regard de dix critères environnementaux et sociétaux.

Nos deux invités concluent cet épisode en évoquant le Grand Prix de Saint-Tropez, important à double titre pour l’équipe française : sportivement car les objectifs de podium sont intacts, mais également pour séduire des partenaires potentiels, élément clé pour sa pérennité.

 

Diffusé le 7 septembre 2021

Générique : Fast and wild/EdRecords

Post-production : Clovis Tisserand 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Le 39e épisode de Pos. Report est consacré au circuit SailGP dont le cinquième rendez-vous de la saison, le Grand Prix de France, se dispute les 11 et 12 septembre à Saint-Tropez.

Nos deux invités font partie de l’équipe française : Thierry Douillard en est l’entraîneur, tandis que Thibault Laudren occupe le poste de directeur des opérations. Ce dernier commence d’ailleurs par évoquer son parcours, avec notamment des expériences sur le circuit des Extreme Sailing Series, sur la Solitaire du Figaro ou chez Spindrift, mais également dans d’autres univers professionnels.


Thierry Douillard, qui a pris la succession en 2020 de Franck Citeau en tant que coach, raconte les difficultés de sa tâche, sachant que les équipes ont très peu de jours de navigation d’entraînement - un seul à Saint-Tropez. Et que, faute pour l’instant de budget suffisant, les Français, s’ils naviguent sur d’autres supports pendant l’année, n’ont pas (ou très peu) l’occasion de le faire ensemble sur des circuits volants.


"Notre manque de régularité est avant tout lié à ce manque de navigations en commun", commente-t-il pour expliquer les résultats en dents de scie des hommes de Billy Besson depuis le début de la saison. Sur le podium aux Bermudes (3e) et à Plymouth (2e), ils se classent avant-derniers et derniers à Tarente puis Aarhus.


Thierry Douillard confirme par ailleurs que le patron du circuit SailGP, Russell Coutts, exerce une grosse pression sur toutes les équipes, allant même jusqu’à détecter des traces de sel sur un appendice mal rincé ! Une pression qui est le signe d’une "implication totale" et teintée de "bienveillance."


Celle-ci s’exerce aussi sur le fonctionnement interne de l’équipe de 15 personnes (dont 5 à temps plein) et sur son financement (le budget est de 2,5 millions d’euros par équipe, financé par SailGP ou par un partenaire pour celles qui en ont trouvé). "On doit en permanence justifier et faire approuver nos dépenses",  explique Thibault Laudren.  Ce dernier évoque également la politique ambitieuse de "sustainability", qui donne lieu à un classement mis en place depuis le dernier Grand Prix, l’Impact League, établi au regard de dix critères environnementaux et sociétaux.

Nos deux invités concluent cet épisode en évoquant le Grand Prix de Saint-Tropez, important à double titre pour l’équipe française : sportivement car les objectifs de podium sont intacts, mais également pour séduire des partenaires potentiels, élément clé pour sa pérennité.

 

Diffusé le 7 septembre 2021

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Nos deux invités font partie de l’équipe française : Thierry Douillard en est l’entraîneur, tandis que Thibault Laudren occupe le poste de directeur des opérations. Ce dernier commence d’ailleurs par évoquer son parcours, avec notamment des expériences sur le circuit des Extreme Sailing Series, sur la Solitaire du Figaro ou chez Spindrift, mais également dans d’autres univers professionnels.


Thierry Douillard, qui a pris la succession en 2020 de Franck Citeau en tant que coach, raconte les difficultés de sa tâche, sachant que les équipes ont très peu de jours de navigation d’entraînement - un seul à Saint-Tropez. Et que, faute pour l’instant de budget suffisant, les Français, s’ils naviguent sur d’autres supports pendant l’année, n’ont pas (ou très peu) l’occasion de le faire ensemble sur des circuits volants.


"Notre manque de régularité est avant tout lié à ce manque de navigations en commun", commente-t-il pour expliquer les résultats en dents de scie des hommes de Billy Besson depuis le début de la saison. Sur le podium aux Bermudes (3e) et à Plymouth (2e), ils se classent avant-derniers et derniers à Tarente puis Aarhus.


Thierry Douillard confirme par ailleurs que le patron du circuit SailGP, Russell Coutts, exerce une grosse pression sur toutes les équipes, allant même jusqu’à détecter des traces de sel sur un appendice mal rincé ! Une pression qui est le signe d’une "implication totale" et teintée de "bienveillance."


Celle-ci s’exerce aussi sur le fonctionnement interne de l’équipe de 15 personnes (dont 5 à temps plein) et sur son financement (le budget est de 2,5 millions d’euros par équipe, financé par SailGP ou par un partenaire pour celles qui en ont trouvé). "On doit en permanence justifier et faire approuver nos dépenses",  explique Thibault Laudren.  Ce dernier évoque également la politique ambitieuse de "sustainability", qui donne lieu à un classement mis en place depuis le dernier Grand Prix, l’Impact League, établi au regard de dix critères environnementaux et sociétaux.

Nos deux invités concluent cet épisode en évoquant le Grand Prix de Saint-Tropez, important à double titre pour l’équipe française : sportivement car les objectifs de podium sont intacts, mais également pour séduire des partenaires potentiels, élément clé pour sa pérennité.

 

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Nos deux invités font partie de l’équipe française : Thierry Douillard en est l’entraîneur, tandis que Thibault Laudren occupe le poste de directeur des opérations. Ce dernier commence d’ailleurs par évoquer son parcours, avec notamment des expériences sur le circuit des Extreme Sailing Series, sur la Solitaire du Figaro ou chez Spindrift, mais également dans d’autres univers professionnels.


Thierry Douillard, qui a pris la succession en 2020 de Franck Citeau en tant que coach, raconte les difficultés de sa tâche, sachant que les équipes ont très peu de jours de navigation d’entraînement - un seul à Saint-Tropez. Et que, faute pour l’instant de budget suffisant, les Français, s’ils naviguent sur d’autres supports pendant l’année, n’ont pas (ou très peu) l’occasion de le faire ensemble sur des circuits volants.


"Notre manque de régularité est avant tout lié à ce manque de navigations en commun", commente-t-il pour expliquer les résultats en dents de scie des hommes de Billy Besson depuis le début de la saison. Sur le podium aux Bermudes (3e) et à Plymouth (2e), ils se classent avant-derniers et derniers à Tarente puis Aarhus.


Thierry Douillard confirme par ailleurs que le patron du circuit SailGP, Russell Coutts, exerce une grosse pression sur toutes les équipes, allant même jusqu’à détecter des traces de sel sur un appendice mal rincé ! Une pression qui est le signe d’une "implication totale" et teintée de "bienveillance."


Celle-ci s’exerce aussi sur le fonctionnement interne de l’équipe de 15 personnes (dont 5 à temps plein) et sur son financement (le budget est de 2,5 millions d’euros par équipe, financé par SailGP ou par un partenaire pour celles qui en ont trouvé). "On doit en permanence justifier et faire approuver nos dépenses",  explique Thibault Laudren.  Ce dernier évoque également la politique ambitieuse de "sustainability", qui donne lieu à un classement mis en place depuis le dernier Grand Prix, l’Impact League, établi au regard de dix critères environnementaux et sociétaux.

Nos deux invités concluent cet épisode en évoquant le Grand Prix de Saint-Tropez, important à double titre pour l’équipe française : sportivement car les objectifs de podium sont intacts, mais également pour séduire des partenaires potentiels, élément clé pour sa pérennité.

 

Diffusé le 7 septembre 2021

Générique : Fast and wild/EdRecords

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