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Pos. Report

Pos. Report #71 avec Charlie Dalin, Alan Roura et Nicolas Lunven

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1h01 |03/05/2022
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Description

Ce 71e épisode est consacré à la Guyader Bermudes 1000 Race, première course de la saison Imoca qui s’élance le dimanche 8 mai de Brest, à laquelle 24 solitaires prendront part. Dont nos trois invités, Charlie Dalin, skipper d’Apivia, Alan Roura, qui va étrenner son nouveau 60 pieds, Hublot, l’ex Hugo Boss d’Alex Thomson, et Nicolas Lunven, qui remplace au pied levé Clarisse Crémer, en attente d’un heureux événement, à bord de Banque Populaire, l’ancien Groupe Apicil de Damien Seguin, aujourd’hui propriété de Tanguy Le Turquais.

Nicolas Lunven commence par raconter les circonstances de ce remplacement, le choix de Banque Populaire s’étant assez naturellement porté sur lui, dans la mesure où il avait intégré l’équipe pour épauler Armel Le Cléac’h sur son Ultim Banque Populaire XI pour les courses en équipage de la saison et sur la préparation météo de la Route du Rhum. Il a eu trois semaines pour prendre en main un bateau forcément plus facile d’accès qu’un foiler de dernière génération. Charlie Dalin et Alan Roura expliquent quant à eux comment ils ont préparé la Guyader Bermudes 1000 Race. Le Suisse revient par ailleurs sur son choix de racheter Hugo Boss à Alex Thomson plutôt que de faire construire un bateau neuf et sur ses premières semaines de navigation à bord d’un Imoca qu’il juge certes “assez extrême, très typé Vendée Globe, large et portant”, mais aussi “facile à faire aller vite et fiable.”

Pour Charlie Dalin, le dernier hiver aura été “studieux” entre modifications pour continuer à optimiser Apivia 1, notamment sur le plan de voilure, et la conception puis le lancement de la construction d’Apivia 2, plan Verdier construit chez CDK sous la maîtrise d’œuvre de MerConcept. Ce dernier sera-t-il très différent du premier ? Le Havrais reste assez discret sur la question, même s’il explique : “La conception est différente car on a beaucoup plus de connaissances sur le sujet et je sais ce qu’est le Vendée Globe.”

Nos trois invités détaillent ensuite leurs objectifs sur la Guyader Bermudes 1000 Race, Nicolas Lunven espère se mêler “à la belle bagarre” entre les bateaux à dérives, Charlie Dalin ne cache pas ses objectifs de victoire sur une épreuve qu’il apparente à “une étape de Solitaire du Figaro”. Doté d’un bateau performant et d’un budget plus conséquent qu’auparavant, “autour de 2 millions d’euros” annuels, Alan Roura reconnaît qu’il a “franchi un cap” et espère sur cette course de rentrée “être au contact des bateaux de même génération”, même si le parcours et les conditions, plus propices à la polyvalence, ne devraient pas forcément être favorables à Hublot.


Le skipper Suisse et Charlie Dalin évoquent ensuite les nouveaux bateaux attendus cette année, qu’ils ont hâte de voir naviguer. “Je pense qu’il y aura des différences assez importantes, notamment au niveau des formes de carènes, plus que des foils”, indique le deuxième du dernier Vendée Globe qui, pour Apivia 2 (mis à l’eau au printemps 2023), évoque des gains de performance pouvant aller jusqu'à six jours dans certaines conditions par rapport à son actuel Imoca à l’échelle d’un Vendée Globe. Un Vendée Globe auquel Nicolas Lunven espère encore participer en 2024, le double vainqueur de la Solitaire cherchant actuellement des partenaires pour l’accompagner. 


Diffusé le 3 mai 2022

Générique : Fast and wild/EdRecords

Post-production : Julien Badoil/Studio Juno

Description

Ce 71e épisode est consacré à la Guyader Bermudes 1000 Race, première course de la saison Imoca qui s’élance le dimanche 8 mai de Brest, à laquelle 24 solitaires prendront part. Dont nos trois invités, Charlie Dalin, skipper d’Apivia, Alan Roura, qui va étrenner son nouveau 60 pieds, Hublot, l’ex Hugo Boss d’Alex Thomson, et Nicolas Lunven, qui remplace au pied levé Clarisse Crémer, en attente d’un heureux événement, à bord de Banque Populaire, l’ancien Groupe Apicil de Damien Seguin, aujourd’hui propriété de Tanguy Le Turquais.

Nicolas Lunven commence par raconter les circonstances de ce remplacement, le choix de Banque Populaire s’étant assez naturellement porté sur lui, dans la mesure où il avait intégré l’équipe pour épauler Armel Le Cléac’h sur son Ultim Banque Populaire XI pour les courses en équipage de la saison et sur la préparation météo de la Route du Rhum. Il a eu trois semaines pour prendre en main un bateau forcément plus facile d’accès qu’un foiler de dernière génération. Charlie Dalin et Alan Roura expliquent quant à eux comment ils ont préparé la Guyader Bermudes 1000 Race. Le Suisse revient par ailleurs sur son choix de racheter Hugo Boss à Alex Thomson plutôt que de faire construire un bateau neuf et sur ses premières semaines de navigation à bord d’un Imoca qu’il juge certes “assez extrême, très typé Vendée Globe, large et portant”, mais aussi “facile à faire aller vite et fiable.”

Pour Charlie Dalin, le dernier hiver aura été “studieux” entre modifications pour continuer à optimiser Apivia 1, notamment sur le plan de voilure, et la conception puis le lancement de la construction d’Apivia 2, plan Verdier construit chez CDK sous la maîtrise d’œuvre de MerConcept. Ce dernier sera-t-il très différent du premier ? Le Havrais reste assez discret sur la question, même s’il explique : “La conception est différente car on a beaucoup plus de connaissances sur le sujet et je sais ce qu’est le Vendée Globe.”

Nos trois invités détaillent ensuite leurs objectifs sur la Guyader Bermudes 1000 Race, Nicolas Lunven espère se mêler “à la belle bagarre” entre les bateaux à dérives, Charlie Dalin ne cache pas ses objectifs de victoire sur une épreuve qu’il apparente à “une étape de Solitaire du Figaro”. Doté d’un bateau performant et d’un budget plus conséquent qu’auparavant, “autour de 2 millions d’euros” annuels, Alan Roura reconnaît qu’il a “franchi un cap” et espère sur cette course de rentrée “être au contact des bateaux de même génération”, même si le parcours et les conditions, plus propices à la polyvalence, ne devraient pas forcément être favorables à Hublot.


Le skipper Suisse et Charlie Dalin évoquent ensuite les nouveaux bateaux attendus cette année, qu’ils ont hâte de voir naviguer. “Je pense qu’il y aura des différences assez importantes, notamment au niveau des formes de carènes, plus que des foils”, indique le deuxième du dernier Vendée Globe qui, pour Apivia 2 (mis à l’eau au printemps 2023), évoque des gains de performance pouvant aller jusqu'à six jours dans certaines conditions par rapport à son actuel Imoca à l’échelle d’un Vendée Globe. Un Vendée Globe auquel Nicolas Lunven espère encore participer en 2024, le double vainqueur de la Solitaire cherchant actuellement des partenaires pour l’accompagner. 


Diffusé le 3 mai 2022

Générique : Fast and wild/EdRecords

Post-production : Julien Badoil/Studio Juno

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Ce 71e épisode est consacré à la Guyader Bermudes 1000 Race, première course de la saison Imoca qui s’élance le dimanche 8 mai de Brest, à laquelle 24 solitaires prendront part. Dont nos trois invités, Charlie Dalin, skipper d’Apivia, Alan Roura, qui va étrenner son nouveau 60 pieds, Hublot, l’ex Hugo Boss d’Alex Thomson, et Nicolas Lunven, qui remplace au pied levé Clarisse Crémer, en attente d’un heureux événement, à bord de Banque Populaire, l’ancien Groupe Apicil de Damien Seguin, aujourd’hui propriété de Tanguy Le Turquais.

Nicolas Lunven commence par raconter les circonstances de ce remplacement, le choix de Banque Populaire s’étant assez naturellement porté sur lui, dans la mesure où il avait intégré l’équipe pour épauler Armel Le Cléac’h sur son Ultim Banque Populaire XI pour les courses en équipage de la saison et sur la préparation météo de la Route du Rhum. Il a eu trois semaines pour prendre en main un bateau forcément plus facile d’accès qu’un foiler de dernière génération. Charlie Dalin et Alan Roura expliquent quant à eux comment ils ont préparé la Guyader Bermudes 1000 Race. Le Suisse revient par ailleurs sur son choix de racheter Hugo Boss à Alex Thomson plutôt que de faire construire un bateau neuf et sur ses premières semaines de navigation à bord d’un Imoca qu’il juge certes “assez extrême, très typé Vendée Globe, large et portant”, mais aussi “facile à faire aller vite et fiable.”

Pour Charlie Dalin, le dernier hiver aura été “studieux” entre modifications pour continuer à optimiser Apivia 1, notamment sur le plan de voilure, et la conception puis le lancement de la construction d’Apivia 2, plan Verdier construit chez CDK sous la maîtrise d’œuvre de MerConcept. Ce dernier sera-t-il très différent du premier ? Le Havrais reste assez discret sur la question, même s’il explique : “La conception est différente car on a beaucoup plus de connaissances sur le sujet et je sais ce qu’est le Vendée Globe.”

Nos trois invités détaillent ensuite leurs objectifs sur la Guyader Bermudes 1000 Race, Nicolas Lunven espère se mêler “à la belle bagarre” entre les bateaux à dérives, Charlie Dalin ne cache pas ses objectifs de victoire sur une épreuve qu’il apparente à “une étape de Solitaire du Figaro”. Doté d’un bateau performant et d’un budget plus conséquent qu’auparavant, “autour de 2 millions d’euros” annuels, Alan Roura reconnaît qu’il a “franchi un cap” et espère sur cette course de rentrée “être au contact des bateaux de même génération”, même si le parcours et les conditions, plus propices à la polyvalence, ne devraient pas forcément être favorables à Hublot.


Le skipper Suisse et Charlie Dalin évoquent ensuite les nouveaux bateaux attendus cette année, qu’ils ont hâte de voir naviguer. “Je pense qu’il y aura des différences assez importantes, notamment au niveau des formes de carènes, plus que des foils”, indique le deuxième du dernier Vendée Globe qui, pour Apivia 2 (mis à l’eau au printemps 2023), évoque des gains de performance pouvant aller jusqu'à six jours dans certaines conditions par rapport à son actuel Imoca à l’échelle d’un Vendée Globe. Un Vendée Globe auquel Nicolas Lunven espère encore participer en 2024, le double vainqueur de la Solitaire cherchant actuellement des partenaires pour l’accompagner. 


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Ce 71e épisode est consacré à la Guyader Bermudes 1000 Race, première course de la saison Imoca qui s’élance le dimanche 8 mai de Brest, à laquelle 24 solitaires prendront part. Dont nos trois invités, Charlie Dalin, skipper d’Apivia, Alan Roura, qui va étrenner son nouveau 60 pieds, Hublot, l’ex Hugo Boss d’Alex Thomson, et Nicolas Lunven, qui remplace au pied levé Clarisse Crémer, en attente d’un heureux événement, à bord de Banque Populaire, l’ancien Groupe Apicil de Damien Seguin, aujourd’hui propriété de Tanguy Le Turquais.

Nicolas Lunven commence par raconter les circonstances de ce remplacement, le choix de Banque Populaire s’étant assez naturellement porté sur lui, dans la mesure où il avait intégré l’équipe pour épauler Armel Le Cléac’h sur son Ultim Banque Populaire XI pour les courses en équipage de la saison et sur la préparation météo de la Route du Rhum. Il a eu trois semaines pour prendre en main un bateau forcément plus facile d’accès qu’un foiler de dernière génération. Charlie Dalin et Alan Roura expliquent quant à eux comment ils ont préparé la Guyader Bermudes 1000 Race. Le Suisse revient par ailleurs sur son choix de racheter Hugo Boss à Alex Thomson plutôt que de faire construire un bateau neuf et sur ses premières semaines de navigation à bord d’un Imoca qu’il juge certes “assez extrême, très typé Vendée Globe, large et portant”, mais aussi “facile à faire aller vite et fiable.”

Pour Charlie Dalin, le dernier hiver aura été “studieux” entre modifications pour continuer à optimiser Apivia 1, notamment sur le plan de voilure, et la conception puis le lancement de la construction d’Apivia 2, plan Verdier construit chez CDK sous la maîtrise d’œuvre de MerConcept. Ce dernier sera-t-il très différent du premier ? Le Havrais reste assez discret sur la question, même s’il explique : “La conception est différente car on a beaucoup plus de connaissances sur le sujet et je sais ce qu’est le Vendée Globe.”

Nos trois invités détaillent ensuite leurs objectifs sur la Guyader Bermudes 1000 Race, Nicolas Lunven espère se mêler “à la belle bagarre” entre les bateaux à dérives, Charlie Dalin ne cache pas ses objectifs de victoire sur une épreuve qu’il apparente à “une étape de Solitaire du Figaro”. Doté d’un bateau performant et d’un budget plus conséquent qu’auparavant, “autour de 2 millions d’euros” annuels, Alan Roura reconnaît qu’il a “franchi un cap” et espère sur cette course de rentrée “être au contact des bateaux de même génération”, même si le parcours et les conditions, plus propices à la polyvalence, ne devraient pas forcément être favorables à Hublot.


Le skipper Suisse et Charlie Dalin évoquent ensuite les nouveaux bateaux attendus cette année, qu’ils ont hâte de voir naviguer. “Je pense qu’il y aura des différences assez importantes, notamment au niveau des formes de carènes, plus que des foils”, indique le deuxième du dernier Vendée Globe qui, pour Apivia 2 (mis à l’eau au printemps 2023), évoque des gains de performance pouvant aller jusqu'à six jours dans certaines conditions par rapport à son actuel Imoca à l’échelle d’un Vendée Globe. Un Vendée Globe auquel Nicolas Lunven espère encore participer en 2024, le double vainqueur de la Solitaire cherchant actuellement des partenaires pour l’accompagner. 


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