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Virtualiser son magasin pour accélérer sa performance : comment Retail VR transforme le merchandising (Live tech for retail) cover
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Pour toutes ces bonnes raisons : Accompagner votre Business par le Merchandising

Virtualiser son magasin pour accélérer sa performance : comment Retail VR transforme le merchandising (Live tech for retail)

Virtualiser son magasin pour accélérer sa performance : comment Retail VR transforme le merchandising (Live tech for retail)

29min |17/12/2025
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29min |17/12/2025
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Description

Découvrez un extrait du prochain épisode de Pour toutes ces bonnes raisons. Cette fois, je reçois Adrien Zanelli, cofondateur de Retail VR, la solution qui déploie la réalité virtuelle et la 3D pour accélérer la transformation des enseignes.


Un épisode enregistré en live au salon Tech for Retail, le rendez-vous européen incontournable dédié aux innovations du retail.


Avec Adrien, on plonge au cœur d’un sujet clé : comment la virtualisation des espaces permet aux enseignes de concevoir plus vite, tester plus tôt, réduire les coûts et améliorer l’efficacité commerciale.


Il partage sa vision d’un retail où la 3D, la VR et la simulation deviennent des outils stratégiques pour mieux décider, mieux déployer et mieux opérer les magasins.

On explore ensemble :

  • Comment la virtualisation des points de vente accélère la conception des concepts, des parcours et des implantations.

  • En quoi la 3D et la VR permettent de tester, mesurer et ajuster avant même la construction ou le déploiement magasin.

  • Pourquoi les enseignes de la grande distribution adoptent massivement ces technologies pour fluidifier leurs opérations et améliorer la lisibilité de l’offre.

  • Comment la visualisation immersive devient un moteur de performance commerciale, de cohérence réseau et de réduction des coûts.


Un échange concret, enregistré au cœur de l’écosystème retail, qui met en lumière les transformations opérationnelles à l’œuvre et la manière dont Retail VR permet aux enseignes de gagner en agilité, en impact et en efficacité.


"Pour toutes ces bonnes raisons" adopte une approche orientée client et terrain. Dans chaque épisode, je partage des bonnes pratiques, des tendances et des insights pour t’aider à créer des espaces de vente attractifs et une expérience client réussie.

Ce podcast est conçu pour toi, que tu sois professionnel ou non du merchandising, et que tu cherches à relever les défis d’un métier essentiel mais parfois sous-estimé.


Ici, je t'offre un espace d'échange et d'apprentissage, où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir ta pratique quotidienne.

Chaque épisode explore les meilleures stratégies, outils et conseils pour booster l’impact visuel de tes linéaires et vitrines.

En partageant ces sujets, mon objectif est de te donner les clés pour capter l’attention des clients et maximiser tes ventes grâce au visual merchandising.


AB merchandising
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#Merchandising #retail #entrepreneuriat #commerce de détail #stratégie marketing #e-commerce #vente au détail #gestion de magasin #innovation retail #expérience client #visuel merchandising #startups retail #technologie retail #optimisation des ventes #tendances retail #développement commercial #omnicanal #retail tech #distribution #transformation digitale #Podcast #magasin #client #business #franchise #handicap #inclusion #parcoursclient #retail design




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans, pour toutes ces bonnes raisons, le podcast qui explore le merchandising avec expertise. Si vous vous êtes déjà demandé comment le merchandising peut devenir un véritable levier de performance pour votre marque, vos produits, votre point de vente, ici, je vous propose de répondre à toutes ces questions à travers un espace de partage et d'apprentissage où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir votre pratique quotidienne. Je suis Adrien Bernard, ancien directeur merchandising et fondateur d'AB Merchandising. Ensemble ! où nous allons décrypter les tendances, stratégies et les outils qui permettent de créer des linéaires performants et des expériences ayant réussi. Et n'oubliez pas, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode et surtout, retrouvons-nous sur LinkedIn et Instagram pour continuer ces discussions.

  • Speaker #1

    C'est quoi l'épisode ? Donc, un épisode un peu particulier parce que, tu le vois, on est en live sur un salon Tech for Retail avec Moussé Polic.

  • Speaker #2

    qui passent et qui nous regardent.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc voilà, un épisode spécial pour toutes ces entreprises que je voudrais vous présenter. Je suis Adrien Bernard, expert au merchandising, fondateur de la société AB Merchandising. J'accompagne depuis plusieurs années des enseignes, des marques dans leur structuration et la mise en œuvre de leur démarche merchandising. Et aujourd'hui, j'ai le cœur de donner la parole à Anaïs Exbert, qui est l'administrateur de la Tech2Hear. Et surtout on va parler d'un sujet qui est extrêmement intéressant, le logiciel Merge, mais aussi juste les modélisations 3D, et donc c'est le cas de Rital VR. Je vais te laisser te présenter et parler de la solution.

  • Speaker #2

    D'abord merci de nous accueillir sur ce podcast, de nous donner la parole. Donc la société Rital VR. C'est une société qui a 7 ans maintenant, on est basé à Nantes, on est une équipe d'une dizaine de personnes. On adresse à la fois des propriétaires de marques et des retailers, donc des Nestlé d'un côté et des Intermarché de l'autre. Et en ce qui me concerne, je suis le fondateur de la société. Moi j'ai un parcours retail, mais je ne peux pas me targuer d'une expertise très pointue en banque. en termes de mer, parce que j'ai bossé pour des enseignes, pour des... Oui, des... Par exemple, dans les vins spirituels. Donc, j'étais plutôt sur la partie commerciale. Mais j'ai un peu de fainé mes baskets dans des supermarchés. Et j'ai été... J'ai fait un peu de carnet. Et donc, moi, mon rôle au sein de l'entreprise, c'est de faire toute la partie mise en œuvre, suivi client, l'onboarding, on appelle ça, avec notre partie customer. success manager, puisqu'on utilise beaucoup d'anglicismes dans notre métier.

  • Speaker #1

    Ok, très clair. Donc là dans l'épisode, on a déterminé trois grandes parties. La première, finalement, revenir sur quel est l'intérêt et pourquoi il faut vraiment arriver à modéliser son concept et le mettre en 3D. Revenir aussi sur, du coup, peut-être des use cases, le fonctionnement, la méthode, comment on l'utilise au quotidien. et puis après aussi de la pire et puis Voilà, on va venir en tout cas sur plus de merchandising et les re-immersions. Oui, oui, oui. Déjà pour commencer, finalement, c'est quoi ton stade départ et pourquoi vous avez aujourd'hui de la demande pour basculer en mode 3D ?

  • Speaker #2

    Sur la 3D, alors le logiciel merchandising, en fait, c'est un outil qui est un peu rébarbatif sur les outils actuels. On ne va pas déduire. C'est à dire qu'en fait, soit tu as vraiment des photos, mais tout ça, ce n'est pas de phase immersive, ce n'est pas de phase engageante. Et en fait, on s'est dit qu'il y avait quelque chose à croquer à ce niveau là. Et la 3D, en fait, c'est tout l'inverse. C'est à dire que derrière, on a des formats assez engagés. C'est-à-dire que la 3D, en fait, elle magnifie. Les résultats qu'on va avoir en mettant en place un outil Merch avec beaucoup plus d'engagement. Alors tu as l'engagement de tes planos, c'est-à-dire le fait d'avoir un planos en 3D, c'est plus attractif que d'avoir un planos en 2D. Mais au-delà de ça, si tu veux, tu as le côté dimension de partir client. C'est-à-dire que quand tu fais, tu es sur ton micro-merch, ta belle PLV, ton bombo, ta belle Google, etc. Après, quand tu viens ça et que tu transposes ça dans le point de vente, Dans la partie macro, ça prend tout son sens parce que derrière, tu recrins l'environnement d'achat, tu recrins un portrait de client. En fait, tu es complètement immergé dans le merge que tu es en train de travailler. de manière théorique.

  • Speaker #1

    Je vois exactement ce que tu dis, c'était le cas. Tu vois, travailler avec Prim'Hersh, très à plat, et souvent la question c'est, OK, finalement le Plano c'est cool, comment il s'intègre dans le parc continent, mais surtout dans l'alcool et dans l'univers. Avant, ça se passait comment ? Parce que finalement, tu sais partir en tout cas de concept, de conception de magasin, est-ce qu'il y avait des étapes clés ? Est-ce qu'il y a des choses en tout cas que vous avez réussi à craquer avec les déluets ?

  • Speaker #2

    Alors, après, si tu veux, la conception d'un planot, tu vois, du fait qu'elle est très, très simple, notre outil est très, très simple. Il est tellement simple qu'en fait, il est utilisé actuellement par des élèves des filières MCO. On a un millier d'élèves qui bossent sur notre outil parce que c'est très, très simple et que ça te permet de construire des planots très, très vite. Donc ça, tu as un côté simplicité d'usage et vraiment plébiscité par tous les clients. après Laisse-moi craquer quelque chose, je pense que c'est passé, si tu veux, de la version planour, micro, du micro-merch ou macro-merch. En fait, tu n'as pas 36 solutions. Soit tu recrées sur un sketch-up, un environnement complet, qui demande énormément de temps de travail, etc. Là où nous, en fait, on va faire la coque de magasin, on va élever les murs, on va changer les lumières, positionner les lumières, les lignes de caisse, etc. Et après on fait des simulations et là c'est simplissime, c'est drag and drop. C'est à dire que tu as compris les panneaux, tu les mets, tu veux changer ton allée centrale, ça se fait en deux clics. Donc je pense que là on a craqué quelque chose, c'est sur le confort d'usage et la rapidité. C'est à dire que un client, on l'embarque sur notre outil, on le verra peut-être après, et puis on aborde l'aspect comment est-ce qu'on le met en place. mais concrètement un client, le gars qui a les éléments, les backshots, qui sait où il va, en trois semaines c'est réglé.

  • Speaker #1

    Si on revient, quelques clients que vous avez pu accompagner, est-ce que vous avez aussi pu corriger des erreurs de zoning, améliorer du temps, ça tu l'as dit, mais aussi améliorer le dialogue un peu terrain-siège ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    La particularité, c'est que c'est un outil collaboratif. Ce n'est pas systématique au sein de nos clients, mais il y en a quand même un paquet qui ont des responsables régionaux, qui vont bosser vraiment le planot au point de vente. Vous n'êtes pas les seuls à faire ça. Mais en revanche, le faire en 3D et être capable ensuite de pouvoir présenter un bon planot en réalité augmentée, parce que l'avantage de la 3D, c'est que tout objet qui est modélisé Merci. intégré au sein de la plateforme, tu peux récupérer une 3D qui plus est en réalité augmentée, c'est-à-dire que tu peux l'avoir sur ton ordinateur et présenter, mais tu peux aussi l'avoir sur ton mobile avec la réalité augmentée. Là, tu vas mettre d'un coup dans ton espace ton plan d'eau en 3D, et là, ça prend toute la dimension, volume, etc. Donc ça, sur les guidelines, c'est hyper important, parce que les commerciaux peuvent avoir l'assimilation du particulier dans tout le cheminement au sein du point de vente qui est modélisé. et puis après se reporter sur des points précis d'un plateau qu'ils appellent avec un QR code. Là, je te le mets en évidence. C'est un point d'intérêt. Oui, ça c'est en termes de... Et après, on a des outils, c'est-à-dire qu'il y a l'outil Merge, et ensuite on a fait des extras, des outils qui nous permettent de remonter les infos point de vente. C'est-à-dire que je mets une TLV, un planot en situation dans le point de vente. je prends une photo, je remets des commentaires, je peux prendre une photo de l'existant,

  • Speaker #1

    et faire des comparaisons. Du coup, c'est hyper intéressant. Moi, j'ai souvent vu des choses, je le vois aussi, très slotées dans les organisations, et quand on est sur des sujets, je trouve extrêmement important comme une mise à jour, une refonte de concepts. On a des équipes concepts, des équipes sièges, qui intègrent peut-être parfois mal les équipements. donc finalement c'est l'occasion de

  • Speaker #2

    Tout à fait, à la fin, c'est quand même, nous c'est ce qu'on préconise, c'est que le terrain, je l'ai déjà dit, sur les structurations de nos clients, c'est un peu tout le temps le même schéma, tu as le siège qui va décider des guidelines, mais en local, notamment quand tu es sur du multi-pays, on a des clients à l'international, le siège, tous les guidelines, et ensuite les pays vont adapter, il faut se nécessiter, on a des clients dans la Cosmeto, oui, ce ne sont pas les mêmes produits, va faire sort de... Donc les mains qui vont s'emparer d'un planneau avec les guidelines et en fait... c'est hyper simplement parce que tout est déjà prêt à me faire remplacer quelques références et hop tu regrettes une panneau comme ça et derrière bien entendu tu as la phase et là il se terrain ou là comme je disais tout à l'heure peut aider la réalité pour aller vraiment pousser aux

  • Speaker #1

    petits oignons dans le nom du coup contre et concrètement ça se passe comment je prends rendez vous avec toi il ya des réunions et alors

  • Speaker #2

    Comme vous le disiez, un client qui est...

  • Speaker #1

    Du coup,

  • Speaker #2

    il y a des prérequis. Les prérequis, c'est d'avoir des photos de ses produits. Ça paraît évident, mais ce n'est pas tout le temps le cas. Alors après, nous, on a cette capacité, on a un outil, et jeune, c'est-à-dire que derrière, on sait monter des API. Par exemple, s'il faut aller aspirer du contenu sur un team ou un dam, ce n'est pas du tout un problème, on a les API qui vont bien, donc ça, on sait faire. Globalement, en général, le client, il a ses photos d'un côté, il les met à disposition. En fait, nous, on a besoin d'une analyse des produits, le code AN, les dimensions du produit, éventuellement délibérées. Ensuite, on pourra rajouter toutes les datas que l'on veut sur cette fiche produit. Quand je dis des datas, ça peut être la marque, les marges, les brillants, la décession,

  • Speaker #1

    les données, etc.

  • Speaker #2

    Bien souvent, la base, c'est code EN, dimensions et ensuite une photo. Avec ça, la machine va automatiquement, quand on a développé et breveté une solution, permet en fait que depuis une photo, l'IA va analyser le format, la forme de l'objet et va dire, ok, ça c'est une bouteille, ça c'est une poche, ça c'est une boîte, ça c'est un produit, c'est un blister, etc. Et donc, automatiquement, ça va recréer un produit. Donc ça, ta database, si tu veux, elle est générée ultra facilement. C'est-à-dire qu'on a craqué ce modèle de la 3D, parce qu'aujourd'hui, quand on pense 3D, on pense graphisme, on pense complexité de mise en œuvre, etc. Là, avec notre outil, ce n'est pas du tout le cas. Tu importes tes bases de données, ça, ça se fait en quelques jours. Si tant est que le client a les bases de données, là, on en revient à ces problématiques d'image et les autres. Mais quand c'est bien fait, ça se fait très rapidement. Et ensuite... on sait s'adapter à des formats existants, les formats PSA, PLN. Donc si le client a déjà ses planos sous ces formats-là, ça recrée automatiquement. Et sinon, c'est drag and drop, je ne cherche plus mes planos. En l'occurrence, c'est vraiment hyper simple de les fabriquer. Ça va très très vite, on ne trouve plus vite que les logiciels un peu techniques du marché. Donc une fois que tu as fait ça, derrière, tu vas créer ton espace de vente et ensuite tu importes tes planos. Donc c'est pour ça qu'on a un mois à peu près de temps à utiliser. Pour le client, il est en place. Ok,

  • Speaker #1

    très clair. Moi, j'ai deux questions qui me viennent finalement. Je voudrais que tu les interlocutes. Est-ce que c'est plutôt des équipes concept, plutôt des équipes marketing, ou des équipes commerces ? Alors,

  • Speaker #2

    le concept, en fait, si tu veux,

  • Speaker #1

    ça te reste.

  • Speaker #2

    Il va nous manquer. Souvent, le concept, en fait, il intervient au moment du renouvellement de la concept. En revanche, on va travailler avec les équipes concept qui font vivre le concept. Aujourd'hui, on ne bosse pas. On avait une banque avec l'intermarché. Ça fait cinq ans qu'ils utilisent notre outil pour faire vivre leur concept. Donc, ils ont modélisé la totalité du set PopMug. Et à l'intérieur, en fait, ils viennent changer les meubles, rajouter, je ne sais pas, du vrac. Enfin, tu vois, tout ce que je vois. Donc, voilà, ils font évoluer le concept. Après, on va donc travailler aussi avec des retail designers. Donc, sur la partie conception, réflexion, agencement, etc. Ça, c'est vraiment la partie, entre guillemets, jus de cerveau du retail design. En revanche, ça peut intéresser le client de venir prendre cette partie-là, c'est-à-dire ce concept, une fois qu'il est terminé, pour ensuite venir faire vivre ce concept comme le fait de l'intervention. Après, ça va plutôt être les équipes merch qui vont être très intéressées à utiliser notre produit. Pourquoi ? Parce que c'est simple, parce qu'on a des KPI derrière des... système justement de visualisation, de data analytics, qui sont très simples à utiliser. Et le marketing, dans une certaine mesure, on fait beaucoup d'études,

  • Speaker #1

    on nous invite à connaître sur les études.

  • Speaker #2

    Donc, études de bac, études d'impact, d'un changement éthégoriel, de ce genre de choses, ça on l'associe.

  • Speaker #1

    C'est vrai qu'à l'époque, je vous avais approché, je trouvais ça extrêmement intéressant, c'est-à-dire que je suis maintenant en partie signalétique, je vais dire, finalement, on travaille de la pédagogie en linéaire, de la signalétique, plutôt que de lancer de la prod, faire des tests in situ et faire vivre les tests, il faut dire, tiens, finalement, le modéliser directement en 3D, parce qu'on n'est pas en train de faire un peu des économies de fond et de temps.

  • Speaker #2

    Alors, je pense qu'il y a des économies, ça c'est évident. C'est compliqué de calculer ROI sur le Merch, mais s'il y en a un qui est validé, c'est le temps gagné. Et en particulier sur ce que tu décris là, c'est-à-dire si tu dois faire un test signalétique, il faut faire produire, ça prend du temps avec l'agence, ça prend du temps de faire du maquettage, ça coûte cher, ensuite il faut le mettre dans le point de vente, après il faut passer le temps, interroger, interviewer, etc. Je pense que nous on vient en complément, c'est-à-dire que je crois que cette partie physique, dans certains cas on peut complètement la supprimer, mais j'ai l'impression quand même que c'est important aussi d'avoir... En revanche, ça va conforter le client dans une prise de direction XYZ, avec des temps d'implémentation qui sont beaucoup plus courts. Et ça, oui.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait clair. Aujourd'hui, est-ce que... Merci. Si on ouvre un peu les prochaines étapes et perspectives, déjà, votre technologie, votre accompagnement, c'est avec vos grosses boîtes. Finalement, il y a des réseaux de recherche, c'est un peu plus restreint, ou pareil, un magasin indépendant peut également aller sur ce type de logiciel.

  • Speaker #2

    Alors, magasin indépendant, je ne te cache pas qu'on n'a pas encore des points de vente qui sont indépendants, qui utilisent un logiciel. Souvent, ils se débrouillent papier et crayon. tableur Excel, voire il faut pas, c'est du merch intuitif. En revanche, on a des très belles sociétés avec lesquelles on travaille, c'est vrai que ça va du plan. J'ai cité Nestlé, mais on a Total, des grands groupes de distribution, des gros industriels, et ensuite on a en majorité des clients avec des tailles, des petits industriels, et puis des petits retailers. Je prends par exemple, on a un client Alain Maurice. C'est 9 points de banque. C'est un concept entre le roi Merlin, point P. C'est un peu de décoration, un peu de goutillage, un peu de matériaux. Et ils utilisent notre outil, mais de manière très intense. C'est-à-dire que tous les planos sont faits sur notre solution. Ils utilisent toute data analytique sur notre solution. Là, on est en train de déployer la modélisation sur les points de vente pour pouvoir aller passer au-delà du micro-marché, vraiment rentrer sur le macro. Et avec, je crois qu'ils ont pas loin de 25 000 références modélisées. Et ça, c'est 9 points de vente. Donc, ça veut dire qu'ils poussent. Mais bon, ils poussent vraiment le structurateur. Et ils font l'exercice jusqu'au bout. Et après, des petits industriels, oui, on en a, je pense, Un client avec lequel on a démarré récemment, Marius Bernard, c'est dans les épices, c'est une PME, mais ils ont trouvé un outil qui est simple à utiliser, qui est visuel, qui leur permet de se démarquer. En fait, on a un profil un peu atypique de client, mais je pense qu'on a un peu les leaders de leur catégorie, le client qui a souvent un temps d'avance sur ses concurrents. dans son domaine. Je pense à des clients, on travaille avec Seedask, qui est vraiment hyper pointu sur tout ce qui est la technique autour du pied, du coureur, du skieur, c'est vraiment un endroit qui est ultra reconnu dans son domaine d'activité, et ils bossent avec notre plateforme, ce qu'on a cité précédemment.

  • Speaker #1

    On en avait déjà discuté aussi, mais il y a tout un volet formation, et finalement, le TNVR est aussi. dans le milieu de la formation pour les écoles de commerce ?

  • Speaker #2

    Oui, oui, alors tout à fait. Alors, sur la formation, c'est arrivé, je ne devrais pas dire ça, mais c'est arrivé un peu par accident, parce que notre logiciel, à la base, c'est un logiciel pour les professionnels. Et en fait, plusieurs reprises, à l'occasion notamment de salons comme on a aujourd'hui, on a des gens de CCI ou d'écoles de commerce qui sont venus à notre rencontre en disant mais... Votre outil est super bien, mais ça a l'air très simple à utiliser. Est-ce que vous le mettrez à disposition des étudiants ? Ce qu'on a fait, c'est qu'il y a un marché. On a fait une petite adaptation pour sortir le logiciel Education Edition, qui va permettre à un enseignant... d'avoir une base de produits, c'est à dire qu'ils ont 4000 produits à leur disposition. Alors ça va du vêtement, les chaussures de sport, il faut avoir des produits qui interpellent un peu les jeunes, tu vois, donc on a mis des skateboards, des choses dont on n'aurait pas besoin par ailleurs. Mais après, bien entendu, il y a toute la partie non alimentaire, des meubles, des trucs, la cosméco, tout ça. on a rajouté cette belle bibliothèque de produits. et on leur met à disposition l'outil de manière à ce qu'ils travaillent la partie micro, je construis mon planogramme, on leur propose des exercices, c'est-à-dire que le prof est libre de choisir, d'adapter, de produire un exercice, sinon il a un panel d'exercices qu'il va pouvoir distribuer auprès de ses élèves. Il a l'exercice, les solutions, et ensuite c'est libre à lui d'aller distribuer ça. Donc ça on le fait pour le micro, pour le macro. Donc il y a beaucoup d'instituts qui vont bosser avec un énorme CFM lié à Nantes, et eux ils travaillent avec des thématiques. Donc là, les dernières, c'était tout ce qui est thématique autour du sportswear. Alors ils ont la chance, ils ont une salle immersive, où ça va jusqu'à ce que l'élève puisse projeter son projet final, projet de groupe, dans une salle immersive, avec un magasin bien près. Donc ça va assez loin. Et donc, on embarque. plus d'étudiants en train de cette solution là.

  • Speaker #1

    Bref, on a déjà discuté. Je suis allé aussi dans les écoles et ça va être fini. On va aller faire un exercice. Bon, bien, bon, je n'ai pas de bonol, je ne peux pas taper du linéaire. Bon, on va aller peut être dehors. Il faut les autorisations, on ne peut pas sortir comme ça. Puis il faut aussi les capter. Finalement, Excel, c'est bien, mais ça ne fait pas vibrer la nouvelle génération. Alors ça,

  • Speaker #2

    ça, c'est un excellent point. Il y a deux points sur l'éducation. Le premier, je pense que c'est que la 3D, en fait, l'air de rien, tu es obligé un peu de calme. Sauf que les profs nous remontent, c'est capter l'attention des élèves. Et là, pour le coup, c'est sur une solution qui fait un peu immersivité, jeux vidéo, gaming. Donc, je pense que ça les capte. Et après, l'autre sujet qui est remonté, qui est assez... auquel je ne m'attendais pas, c'est qu'en fait, c'est un moyen de contourner l'IA et les tchats GPT. Parce que derrière, tu es obligé de produire. Quand tu dois construire ton panneau, tu es obligé de le faire. Donc, de fait, le prof va contrôler ce qui se fait. Et le dernier point, c'est que tu as raison, c'est que tous les cotois, ils n'ont pas tous des salles avec une guindole. Il faut acheter les produits, se déplacer en point de vente, c'est souvent défaillant. Donc ça c'est sûr que pour ça c'est pas très bien.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te poser aussi la question, pas des prochaines étapes, mais quand tu vois les choses, est-ce que tu penses que cette notion de 3D, de modélisation, ça va devenir une norme pour les services Perch ? Est-ce que tu sens aussi que l'IA maintenant ça va devenir incontournable pour le métier du merchandiser ? C'est...

  • Speaker #2

    Alors moi je pense que la norme sur la 3D elle va arriver... En fait, elle va arriver à la même vitesse que la manière dont elle est en train d'arriver dans nos vies. Ce que c'est qu'aujourd'hui, tu peux aller sur un site, tu vas retrouver un objet en 3D, en réalité augmentée. Ikea, c'est le meilleur exemple. Ils ont des catalogues virtuels complets. Voilà, depuis le projet, je pense que ça, c'est en train de rentrer dans la gamme. Forcément, ça va devenir une norme. À un moment donné, ça va être une norme d'avoir un plateau en 3D. Après, au niveau de l'IA, il y a énormément de choses à faire encore. Alors nous, on bosse sur plusieurs axes. Le premier, c'est tout ce qui est reconnaissance d'objets, c'est-à-dire savoir passer... du réallogramme, du planogramme, faire des comparaisons. Alors les comparaisons de planos, ça on sait les faire. Ça c'est déjà intégré à notre routine. C'est-à-dire tu as ton planos de l'année dernière, tu veux voir ça, tu te parles, tu matches, j'ai mon planos pour l'Afrique du Sud, mon planos pour l'Angleterre, je veux voir ce qui... Voilà,

  • Speaker #1

    ça c'est déjà en place.

  • Speaker #2

    L'idée de demain, c'est d'aller faire mon relevé, j'ai mon réallogramme, J'ai mon plan théorique, est-ce que ça correspond à mes accords ? Est-ce que ma part de linéaire est là ou pas ? Toutes les choses contractuelles qui sont importantes ici pour l'industriel, pour le retailer aussi. Et après, ça c'est cette partie. remonter le data du point de vente et ensuite il y a une autre partie qui est optimisation. Alors là c'est encore un autre bollet, c'est à dire en fait ce que ce qu'aimerait avoir la baguette magique dont aurait besoin le merchandiser c'est j'ai mes ventes, j'ai mes produits, s'il te plaît fais moi mon plan, j'ai mes lits, fais moi mon plan. Voilà donc ça c'est je pense que c'est le rêve de ça. Aujourd'hui, ce n'est pas possible. En revanche, on est en train d'essayer de travailler. Et notamment, si tu veux, de pouvoir placer, je ne sais pas moi, d'un 13 éléments à un 6 éléments,

  • Speaker #1

    un 2 éléments.

  • Speaker #2

    J'ai versé ma data dedans et il sait me sortir en fonction du point de vente, en fonction des tailles, le planou idéal. Voilà, donc ça c'est les deux axes de recherche sur lesquels on bosse.

  • Speaker #1

    Deux, c'est déjà le premier sujet de mesurer le taux de mise en place du planot et les écarts, c'est déjà un mot chantier.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Écoute Adrien, merci beaucoup, on arrive à la fin de l'épisode. Est-ce que tu veux partager un dernier élément ?

  • Speaker #2

    revenir sur quelque chose qui est un artiste alors c'est tant mieux c'est des bonnes maladies on a été pris on a été pris à peine les portes sont ouvertes on a été assaillis mais j'aurais le temps d'aller faire un tour dont je peux que je n'ai pas je pense que oui le son sur la vision que l'on a actuellement, je pense que c'est ça en fait. Le maire, aujourd'hui, pense que c'est considéré souvent comme un peu l'enfant pauvre, un peu de toute la chaîne de malheur. C'est dommage parce qu'on sait très bien que dans certains cas, c'est ce qui va permettre de générer de la croissance. Et donc, nous, on essaie de remettre ça au cœur de la machine avec un outil justement qui va permettre de répondre à la partie concept, à la partie terrain. à la partie marketing. Et donc on essaie de se remettre, enfin de remettre ça au milieu et le côté collaboratif qui fait qu'aujourd'hui en fait, oui, tu es au marketing, tu veux tester ton lancement de Bac, ton point de bande virtuelle il est là, je fais mes simulations, j'ai mon panel, on bosse avec les instituts qui vont pouvoir poser les bonnes questions, je suis sur le terrain, j'ai besoin d'aller présenter à mes clients, à mon indépendant surtout. le box que je vais lui mettre comment ça fonctionne, je lui montre le code, j'ai les chiffres à tousser. Donc c'est essayer de remettre le merch un peu au cœur du réacteur. Donc c'est ce qu'on essaye de faire, avec plus ou moins de succès, mais on s'y emploie.

  • Speaker #1

    Merci Adrien pour cette échange riche, claire et surtout orientée à la merchandising. En résumé, j'ai envie de dire que la 3D ce n'est pas que des gadgets, derrière il y a un vrai levier, un vrai outil de décision et surtout aussi d'alignement et de collaboration, de co-construction comme on s'est un peu refusé. Et puis ça permet vraiment de tester, d'investir, d'impliquer les équipes qui finalement apportaient de la clarté au processus merchandising. C'était un plaisir de changer de classe.

  • Speaker #2

    Merci. Merci de faire cette tribune autour du Merch. J'espère que ça a rempli tes questions, tes questions, tes questions.

  • Speaker #1

    Ça marche. Merci beaucoup. Merci également à Textoritet pour l'espace et la possibilité de faire ça. Merci, avec plaisir Auré.

  • Speaker #0

    Je vous dis encore merci pour votre écoute et surtout à très bientôt pour un nouveau rendez-vous dans Pour toutes ces bonnes raisons. D'ici là, prenez soin de vous, prenez soin de vos linéaires et continuez à nourrir votre passion. Et je vous fais un petit rappel, chaque épisode sort un jeudi sur deux, alors n'oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes.

Description

Découvrez un extrait du prochain épisode de Pour toutes ces bonnes raisons. Cette fois, je reçois Adrien Zanelli, cofondateur de Retail VR, la solution qui déploie la réalité virtuelle et la 3D pour accélérer la transformation des enseignes.


Un épisode enregistré en live au salon Tech for Retail, le rendez-vous européen incontournable dédié aux innovations du retail.


Avec Adrien, on plonge au cœur d’un sujet clé : comment la virtualisation des espaces permet aux enseignes de concevoir plus vite, tester plus tôt, réduire les coûts et améliorer l’efficacité commerciale.


Il partage sa vision d’un retail où la 3D, la VR et la simulation deviennent des outils stratégiques pour mieux décider, mieux déployer et mieux opérer les magasins.

On explore ensemble :

  • Comment la virtualisation des points de vente accélère la conception des concepts, des parcours et des implantations.

  • En quoi la 3D et la VR permettent de tester, mesurer et ajuster avant même la construction ou le déploiement magasin.

  • Pourquoi les enseignes de la grande distribution adoptent massivement ces technologies pour fluidifier leurs opérations et améliorer la lisibilité de l’offre.

  • Comment la visualisation immersive devient un moteur de performance commerciale, de cohérence réseau et de réduction des coûts.


Un échange concret, enregistré au cœur de l’écosystème retail, qui met en lumière les transformations opérationnelles à l’œuvre et la manière dont Retail VR permet aux enseignes de gagner en agilité, en impact et en efficacité.


"Pour toutes ces bonnes raisons" adopte une approche orientée client et terrain. Dans chaque épisode, je partage des bonnes pratiques, des tendances et des insights pour t’aider à créer des espaces de vente attractifs et une expérience client réussie.

Ce podcast est conçu pour toi, que tu sois professionnel ou non du merchandising, et que tu cherches à relever les défis d’un métier essentiel mais parfois sous-estimé.


Ici, je t'offre un espace d'échange et d'apprentissage, où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir ta pratique quotidienne.

Chaque épisode explore les meilleures stratégies, outils et conseils pour booster l’impact visuel de tes linéaires et vitrines.

En partageant ces sujets, mon objectif est de te donner les clés pour capter l’attention des clients et maximiser tes ventes grâce au visual merchandising.


AB merchandising
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#Merchandising #retail #entrepreneuriat #commerce de détail #stratégie marketing #e-commerce #vente au détail #gestion de magasin #innovation retail #expérience client #visuel merchandising #startups retail #technologie retail #optimisation des ventes #tendances retail #développement commercial #omnicanal #retail tech #distribution #transformation digitale #Podcast #magasin #client #business #franchise #handicap #inclusion #parcoursclient #retail design




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans, pour toutes ces bonnes raisons, le podcast qui explore le merchandising avec expertise. Si vous vous êtes déjà demandé comment le merchandising peut devenir un véritable levier de performance pour votre marque, vos produits, votre point de vente, ici, je vous propose de répondre à toutes ces questions à travers un espace de partage et d'apprentissage où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir votre pratique quotidienne. Je suis Adrien Bernard, ancien directeur merchandising et fondateur d'AB Merchandising. Ensemble ! où nous allons décrypter les tendances, stratégies et les outils qui permettent de créer des linéaires performants et des expériences ayant réussi. Et n'oubliez pas, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode et surtout, retrouvons-nous sur LinkedIn et Instagram pour continuer ces discussions.

  • Speaker #1

    C'est quoi l'épisode ? Donc, un épisode un peu particulier parce que, tu le vois, on est en live sur un salon Tech for Retail avec Moussé Polic.

  • Speaker #2

    qui passent et qui nous regardent.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc voilà, un épisode spécial pour toutes ces entreprises que je voudrais vous présenter. Je suis Adrien Bernard, expert au merchandising, fondateur de la société AB Merchandising. J'accompagne depuis plusieurs années des enseignes, des marques dans leur structuration et la mise en œuvre de leur démarche merchandising. Et aujourd'hui, j'ai le cœur de donner la parole à Anaïs Exbert, qui est l'administrateur de la Tech2Hear. Et surtout on va parler d'un sujet qui est extrêmement intéressant, le logiciel Merge, mais aussi juste les modélisations 3D, et donc c'est le cas de Rital VR. Je vais te laisser te présenter et parler de la solution.

  • Speaker #2

    D'abord merci de nous accueillir sur ce podcast, de nous donner la parole. Donc la société Rital VR. C'est une société qui a 7 ans maintenant, on est basé à Nantes, on est une équipe d'une dizaine de personnes. On adresse à la fois des propriétaires de marques et des retailers, donc des Nestlé d'un côté et des Intermarché de l'autre. Et en ce qui me concerne, je suis le fondateur de la société. Moi j'ai un parcours retail, mais je ne peux pas me targuer d'une expertise très pointue en banque. en termes de mer, parce que j'ai bossé pour des enseignes, pour des... Oui, des... Par exemple, dans les vins spirituels. Donc, j'étais plutôt sur la partie commerciale. Mais j'ai un peu de fainé mes baskets dans des supermarchés. Et j'ai été... J'ai fait un peu de carnet. Et donc, moi, mon rôle au sein de l'entreprise, c'est de faire toute la partie mise en œuvre, suivi client, l'onboarding, on appelle ça, avec notre partie customer. success manager, puisqu'on utilise beaucoup d'anglicismes dans notre métier.

  • Speaker #1

    Ok, très clair. Donc là dans l'épisode, on a déterminé trois grandes parties. La première, finalement, revenir sur quel est l'intérêt et pourquoi il faut vraiment arriver à modéliser son concept et le mettre en 3D. Revenir aussi sur, du coup, peut-être des use cases, le fonctionnement, la méthode, comment on l'utilise au quotidien. et puis après aussi de la pire et puis Voilà, on va venir en tout cas sur plus de merchandising et les re-immersions. Oui, oui, oui. Déjà pour commencer, finalement, c'est quoi ton stade départ et pourquoi vous avez aujourd'hui de la demande pour basculer en mode 3D ?

  • Speaker #2

    Sur la 3D, alors le logiciel merchandising, en fait, c'est un outil qui est un peu rébarbatif sur les outils actuels. On ne va pas déduire. C'est à dire qu'en fait, soit tu as vraiment des photos, mais tout ça, ce n'est pas de phase immersive, ce n'est pas de phase engageante. Et en fait, on s'est dit qu'il y avait quelque chose à croquer à ce niveau là. Et la 3D, en fait, c'est tout l'inverse. C'est à dire que derrière, on a des formats assez engagés. C'est-à-dire que la 3D, en fait, elle magnifie. Les résultats qu'on va avoir en mettant en place un outil Merch avec beaucoup plus d'engagement. Alors tu as l'engagement de tes planos, c'est-à-dire le fait d'avoir un planos en 3D, c'est plus attractif que d'avoir un planos en 2D. Mais au-delà de ça, si tu veux, tu as le côté dimension de partir client. C'est-à-dire que quand tu fais, tu es sur ton micro-merch, ta belle PLV, ton bombo, ta belle Google, etc. Après, quand tu viens ça et que tu transposes ça dans le point de vente, Dans la partie macro, ça prend tout son sens parce que derrière, tu recrins l'environnement d'achat, tu recrins un portrait de client. En fait, tu es complètement immergé dans le merge que tu es en train de travailler. de manière théorique.

  • Speaker #1

    Je vois exactement ce que tu dis, c'était le cas. Tu vois, travailler avec Prim'Hersh, très à plat, et souvent la question c'est, OK, finalement le Plano c'est cool, comment il s'intègre dans le parc continent, mais surtout dans l'alcool et dans l'univers. Avant, ça se passait comment ? Parce que finalement, tu sais partir en tout cas de concept, de conception de magasin, est-ce qu'il y avait des étapes clés ? Est-ce qu'il y a des choses en tout cas que vous avez réussi à craquer avec les déluets ?

  • Speaker #2

    Alors, après, si tu veux, la conception d'un planot, tu vois, du fait qu'elle est très, très simple, notre outil est très, très simple. Il est tellement simple qu'en fait, il est utilisé actuellement par des élèves des filières MCO. On a un millier d'élèves qui bossent sur notre outil parce que c'est très, très simple et que ça te permet de construire des planots très, très vite. Donc ça, tu as un côté simplicité d'usage et vraiment plébiscité par tous les clients. après Laisse-moi craquer quelque chose, je pense que c'est passé, si tu veux, de la version planour, micro, du micro-merch ou macro-merch. En fait, tu n'as pas 36 solutions. Soit tu recrées sur un sketch-up, un environnement complet, qui demande énormément de temps de travail, etc. Là où nous, en fait, on va faire la coque de magasin, on va élever les murs, on va changer les lumières, positionner les lumières, les lignes de caisse, etc. Et après on fait des simulations et là c'est simplissime, c'est drag and drop. C'est à dire que tu as compris les panneaux, tu les mets, tu veux changer ton allée centrale, ça se fait en deux clics. Donc je pense que là on a craqué quelque chose, c'est sur le confort d'usage et la rapidité. C'est à dire que un client, on l'embarque sur notre outil, on le verra peut-être après, et puis on aborde l'aspect comment est-ce qu'on le met en place. mais concrètement un client, le gars qui a les éléments, les backshots, qui sait où il va, en trois semaines c'est réglé.

  • Speaker #1

    Si on revient, quelques clients que vous avez pu accompagner, est-ce que vous avez aussi pu corriger des erreurs de zoning, améliorer du temps, ça tu l'as dit, mais aussi améliorer le dialogue un peu terrain-siège ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    La particularité, c'est que c'est un outil collaboratif. Ce n'est pas systématique au sein de nos clients, mais il y en a quand même un paquet qui ont des responsables régionaux, qui vont bosser vraiment le planot au point de vente. Vous n'êtes pas les seuls à faire ça. Mais en revanche, le faire en 3D et être capable ensuite de pouvoir présenter un bon planot en réalité augmentée, parce que l'avantage de la 3D, c'est que tout objet qui est modélisé Merci. intégré au sein de la plateforme, tu peux récupérer une 3D qui plus est en réalité augmentée, c'est-à-dire que tu peux l'avoir sur ton ordinateur et présenter, mais tu peux aussi l'avoir sur ton mobile avec la réalité augmentée. Là, tu vas mettre d'un coup dans ton espace ton plan d'eau en 3D, et là, ça prend toute la dimension, volume, etc. Donc ça, sur les guidelines, c'est hyper important, parce que les commerciaux peuvent avoir l'assimilation du particulier dans tout le cheminement au sein du point de vente qui est modélisé. et puis après se reporter sur des points précis d'un plateau qu'ils appellent avec un QR code. Là, je te le mets en évidence. C'est un point d'intérêt. Oui, ça c'est en termes de... Et après, on a des outils, c'est-à-dire qu'il y a l'outil Merge, et ensuite on a fait des extras, des outils qui nous permettent de remonter les infos point de vente. C'est-à-dire que je mets une TLV, un planot en situation dans le point de vente. je prends une photo, je remets des commentaires, je peux prendre une photo de l'existant,

  • Speaker #1

    et faire des comparaisons. Du coup, c'est hyper intéressant. Moi, j'ai souvent vu des choses, je le vois aussi, très slotées dans les organisations, et quand on est sur des sujets, je trouve extrêmement important comme une mise à jour, une refonte de concepts. On a des équipes concepts, des équipes sièges, qui intègrent peut-être parfois mal les équipements. donc finalement c'est l'occasion de

  • Speaker #2

    Tout à fait, à la fin, c'est quand même, nous c'est ce qu'on préconise, c'est que le terrain, je l'ai déjà dit, sur les structurations de nos clients, c'est un peu tout le temps le même schéma, tu as le siège qui va décider des guidelines, mais en local, notamment quand tu es sur du multi-pays, on a des clients à l'international, le siège, tous les guidelines, et ensuite les pays vont adapter, il faut se nécessiter, on a des clients dans la Cosmeto, oui, ce ne sont pas les mêmes produits, va faire sort de... Donc les mains qui vont s'emparer d'un planneau avec les guidelines et en fait... c'est hyper simplement parce que tout est déjà prêt à me faire remplacer quelques références et hop tu regrettes une panneau comme ça et derrière bien entendu tu as la phase et là il se terrain ou là comme je disais tout à l'heure peut aider la réalité pour aller vraiment pousser aux

  • Speaker #1

    petits oignons dans le nom du coup contre et concrètement ça se passe comment je prends rendez vous avec toi il ya des réunions et alors

  • Speaker #2

    Comme vous le disiez, un client qui est...

  • Speaker #1

    Du coup,

  • Speaker #2

    il y a des prérequis. Les prérequis, c'est d'avoir des photos de ses produits. Ça paraît évident, mais ce n'est pas tout le temps le cas. Alors après, nous, on a cette capacité, on a un outil, et jeune, c'est-à-dire que derrière, on sait monter des API. Par exemple, s'il faut aller aspirer du contenu sur un team ou un dam, ce n'est pas du tout un problème, on a les API qui vont bien, donc ça, on sait faire. Globalement, en général, le client, il a ses photos d'un côté, il les met à disposition. En fait, nous, on a besoin d'une analyse des produits, le code AN, les dimensions du produit, éventuellement délibérées. Ensuite, on pourra rajouter toutes les datas que l'on veut sur cette fiche produit. Quand je dis des datas, ça peut être la marque, les marges, les brillants, la décession,

  • Speaker #1

    les données, etc.

  • Speaker #2

    Bien souvent, la base, c'est code EN, dimensions et ensuite une photo. Avec ça, la machine va automatiquement, quand on a développé et breveté une solution, permet en fait que depuis une photo, l'IA va analyser le format, la forme de l'objet et va dire, ok, ça c'est une bouteille, ça c'est une poche, ça c'est une boîte, ça c'est un produit, c'est un blister, etc. Et donc, automatiquement, ça va recréer un produit. Donc ça, ta database, si tu veux, elle est générée ultra facilement. C'est-à-dire qu'on a craqué ce modèle de la 3D, parce qu'aujourd'hui, quand on pense 3D, on pense graphisme, on pense complexité de mise en œuvre, etc. Là, avec notre outil, ce n'est pas du tout le cas. Tu importes tes bases de données, ça, ça se fait en quelques jours. Si tant est que le client a les bases de données, là, on en revient à ces problématiques d'image et les autres. Mais quand c'est bien fait, ça se fait très rapidement. Et ensuite... on sait s'adapter à des formats existants, les formats PSA, PLN. Donc si le client a déjà ses planos sous ces formats-là, ça recrée automatiquement. Et sinon, c'est drag and drop, je ne cherche plus mes planos. En l'occurrence, c'est vraiment hyper simple de les fabriquer. Ça va très très vite, on ne trouve plus vite que les logiciels un peu techniques du marché. Donc une fois que tu as fait ça, derrière, tu vas créer ton espace de vente et ensuite tu importes tes planos. Donc c'est pour ça qu'on a un mois à peu près de temps à utiliser. Pour le client, il est en place. Ok,

  • Speaker #1

    très clair. Moi, j'ai deux questions qui me viennent finalement. Je voudrais que tu les interlocutes. Est-ce que c'est plutôt des équipes concept, plutôt des équipes marketing, ou des équipes commerces ? Alors,

  • Speaker #2

    le concept, en fait, si tu veux,

  • Speaker #1

    ça te reste.

  • Speaker #2

    Il va nous manquer. Souvent, le concept, en fait, il intervient au moment du renouvellement de la concept. En revanche, on va travailler avec les équipes concept qui font vivre le concept. Aujourd'hui, on ne bosse pas. On avait une banque avec l'intermarché. Ça fait cinq ans qu'ils utilisent notre outil pour faire vivre leur concept. Donc, ils ont modélisé la totalité du set PopMug. Et à l'intérieur, en fait, ils viennent changer les meubles, rajouter, je ne sais pas, du vrac. Enfin, tu vois, tout ce que je vois. Donc, voilà, ils font évoluer le concept. Après, on va donc travailler aussi avec des retail designers. Donc, sur la partie conception, réflexion, agencement, etc. Ça, c'est vraiment la partie, entre guillemets, jus de cerveau du retail design. En revanche, ça peut intéresser le client de venir prendre cette partie-là, c'est-à-dire ce concept, une fois qu'il est terminé, pour ensuite venir faire vivre ce concept comme le fait de l'intervention. Après, ça va plutôt être les équipes merch qui vont être très intéressées à utiliser notre produit. Pourquoi ? Parce que c'est simple, parce qu'on a des KPI derrière des... système justement de visualisation, de data analytics, qui sont très simples à utiliser. Et le marketing, dans une certaine mesure, on fait beaucoup d'études,

  • Speaker #1

    on nous invite à connaître sur les études.

  • Speaker #2

    Donc, études de bac, études d'impact, d'un changement éthégoriel, de ce genre de choses, ça on l'associe.

  • Speaker #1

    C'est vrai qu'à l'époque, je vous avais approché, je trouvais ça extrêmement intéressant, c'est-à-dire que je suis maintenant en partie signalétique, je vais dire, finalement, on travaille de la pédagogie en linéaire, de la signalétique, plutôt que de lancer de la prod, faire des tests in situ et faire vivre les tests, il faut dire, tiens, finalement, le modéliser directement en 3D, parce qu'on n'est pas en train de faire un peu des économies de fond et de temps.

  • Speaker #2

    Alors, je pense qu'il y a des économies, ça c'est évident. C'est compliqué de calculer ROI sur le Merch, mais s'il y en a un qui est validé, c'est le temps gagné. Et en particulier sur ce que tu décris là, c'est-à-dire si tu dois faire un test signalétique, il faut faire produire, ça prend du temps avec l'agence, ça prend du temps de faire du maquettage, ça coûte cher, ensuite il faut le mettre dans le point de vente, après il faut passer le temps, interroger, interviewer, etc. Je pense que nous on vient en complément, c'est-à-dire que je crois que cette partie physique, dans certains cas on peut complètement la supprimer, mais j'ai l'impression quand même que c'est important aussi d'avoir... En revanche, ça va conforter le client dans une prise de direction XYZ, avec des temps d'implémentation qui sont beaucoup plus courts. Et ça, oui.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait clair. Aujourd'hui, est-ce que... Merci. Si on ouvre un peu les prochaines étapes et perspectives, déjà, votre technologie, votre accompagnement, c'est avec vos grosses boîtes. Finalement, il y a des réseaux de recherche, c'est un peu plus restreint, ou pareil, un magasin indépendant peut également aller sur ce type de logiciel.

  • Speaker #2

    Alors, magasin indépendant, je ne te cache pas qu'on n'a pas encore des points de vente qui sont indépendants, qui utilisent un logiciel. Souvent, ils se débrouillent papier et crayon. tableur Excel, voire il faut pas, c'est du merch intuitif. En revanche, on a des très belles sociétés avec lesquelles on travaille, c'est vrai que ça va du plan. J'ai cité Nestlé, mais on a Total, des grands groupes de distribution, des gros industriels, et ensuite on a en majorité des clients avec des tailles, des petits industriels, et puis des petits retailers. Je prends par exemple, on a un client Alain Maurice. C'est 9 points de banque. C'est un concept entre le roi Merlin, point P. C'est un peu de décoration, un peu de goutillage, un peu de matériaux. Et ils utilisent notre outil, mais de manière très intense. C'est-à-dire que tous les planos sont faits sur notre solution. Ils utilisent toute data analytique sur notre solution. Là, on est en train de déployer la modélisation sur les points de vente pour pouvoir aller passer au-delà du micro-marché, vraiment rentrer sur le macro. Et avec, je crois qu'ils ont pas loin de 25 000 références modélisées. Et ça, c'est 9 points de vente. Donc, ça veut dire qu'ils poussent. Mais bon, ils poussent vraiment le structurateur. Et ils font l'exercice jusqu'au bout. Et après, des petits industriels, oui, on en a, je pense, Un client avec lequel on a démarré récemment, Marius Bernard, c'est dans les épices, c'est une PME, mais ils ont trouvé un outil qui est simple à utiliser, qui est visuel, qui leur permet de se démarquer. En fait, on a un profil un peu atypique de client, mais je pense qu'on a un peu les leaders de leur catégorie, le client qui a souvent un temps d'avance sur ses concurrents. dans son domaine. Je pense à des clients, on travaille avec Seedask, qui est vraiment hyper pointu sur tout ce qui est la technique autour du pied, du coureur, du skieur, c'est vraiment un endroit qui est ultra reconnu dans son domaine d'activité, et ils bossent avec notre plateforme, ce qu'on a cité précédemment.

  • Speaker #1

    On en avait déjà discuté aussi, mais il y a tout un volet formation, et finalement, le TNVR est aussi. dans le milieu de la formation pour les écoles de commerce ?

  • Speaker #2

    Oui, oui, alors tout à fait. Alors, sur la formation, c'est arrivé, je ne devrais pas dire ça, mais c'est arrivé un peu par accident, parce que notre logiciel, à la base, c'est un logiciel pour les professionnels. Et en fait, plusieurs reprises, à l'occasion notamment de salons comme on a aujourd'hui, on a des gens de CCI ou d'écoles de commerce qui sont venus à notre rencontre en disant mais... Votre outil est super bien, mais ça a l'air très simple à utiliser. Est-ce que vous le mettrez à disposition des étudiants ? Ce qu'on a fait, c'est qu'il y a un marché. On a fait une petite adaptation pour sortir le logiciel Education Edition, qui va permettre à un enseignant... d'avoir une base de produits, c'est à dire qu'ils ont 4000 produits à leur disposition. Alors ça va du vêtement, les chaussures de sport, il faut avoir des produits qui interpellent un peu les jeunes, tu vois, donc on a mis des skateboards, des choses dont on n'aurait pas besoin par ailleurs. Mais après, bien entendu, il y a toute la partie non alimentaire, des meubles, des trucs, la cosméco, tout ça. on a rajouté cette belle bibliothèque de produits. et on leur met à disposition l'outil de manière à ce qu'ils travaillent la partie micro, je construis mon planogramme, on leur propose des exercices, c'est-à-dire que le prof est libre de choisir, d'adapter, de produire un exercice, sinon il a un panel d'exercices qu'il va pouvoir distribuer auprès de ses élèves. Il a l'exercice, les solutions, et ensuite c'est libre à lui d'aller distribuer ça. Donc ça on le fait pour le micro, pour le macro. Donc il y a beaucoup d'instituts qui vont bosser avec un énorme CFM lié à Nantes, et eux ils travaillent avec des thématiques. Donc là, les dernières, c'était tout ce qui est thématique autour du sportswear. Alors ils ont la chance, ils ont une salle immersive, où ça va jusqu'à ce que l'élève puisse projeter son projet final, projet de groupe, dans une salle immersive, avec un magasin bien près. Donc ça va assez loin. Et donc, on embarque. plus d'étudiants en train de cette solution là.

  • Speaker #1

    Bref, on a déjà discuté. Je suis allé aussi dans les écoles et ça va être fini. On va aller faire un exercice. Bon, bien, bon, je n'ai pas de bonol, je ne peux pas taper du linéaire. Bon, on va aller peut être dehors. Il faut les autorisations, on ne peut pas sortir comme ça. Puis il faut aussi les capter. Finalement, Excel, c'est bien, mais ça ne fait pas vibrer la nouvelle génération. Alors ça,

  • Speaker #2

    ça, c'est un excellent point. Il y a deux points sur l'éducation. Le premier, je pense que c'est que la 3D, en fait, l'air de rien, tu es obligé un peu de calme. Sauf que les profs nous remontent, c'est capter l'attention des élèves. Et là, pour le coup, c'est sur une solution qui fait un peu immersivité, jeux vidéo, gaming. Donc, je pense que ça les capte. Et après, l'autre sujet qui est remonté, qui est assez... auquel je ne m'attendais pas, c'est qu'en fait, c'est un moyen de contourner l'IA et les tchats GPT. Parce que derrière, tu es obligé de produire. Quand tu dois construire ton panneau, tu es obligé de le faire. Donc, de fait, le prof va contrôler ce qui se fait. Et le dernier point, c'est que tu as raison, c'est que tous les cotois, ils n'ont pas tous des salles avec une guindole. Il faut acheter les produits, se déplacer en point de vente, c'est souvent défaillant. Donc ça c'est sûr que pour ça c'est pas très bien.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te poser aussi la question, pas des prochaines étapes, mais quand tu vois les choses, est-ce que tu penses que cette notion de 3D, de modélisation, ça va devenir une norme pour les services Perch ? Est-ce que tu sens aussi que l'IA maintenant ça va devenir incontournable pour le métier du merchandiser ? C'est...

  • Speaker #2

    Alors moi je pense que la norme sur la 3D elle va arriver... En fait, elle va arriver à la même vitesse que la manière dont elle est en train d'arriver dans nos vies. Ce que c'est qu'aujourd'hui, tu peux aller sur un site, tu vas retrouver un objet en 3D, en réalité augmentée. Ikea, c'est le meilleur exemple. Ils ont des catalogues virtuels complets. Voilà, depuis le projet, je pense que ça, c'est en train de rentrer dans la gamme. Forcément, ça va devenir une norme. À un moment donné, ça va être une norme d'avoir un plateau en 3D. Après, au niveau de l'IA, il y a énormément de choses à faire encore. Alors nous, on bosse sur plusieurs axes. Le premier, c'est tout ce qui est reconnaissance d'objets, c'est-à-dire savoir passer... du réallogramme, du planogramme, faire des comparaisons. Alors les comparaisons de planos, ça on sait les faire. Ça c'est déjà intégré à notre routine. C'est-à-dire tu as ton planos de l'année dernière, tu veux voir ça, tu te parles, tu matches, j'ai mon planos pour l'Afrique du Sud, mon planos pour l'Angleterre, je veux voir ce qui... Voilà,

  • Speaker #1

    ça c'est déjà en place.

  • Speaker #2

    L'idée de demain, c'est d'aller faire mon relevé, j'ai mon réallogramme, J'ai mon plan théorique, est-ce que ça correspond à mes accords ? Est-ce que ma part de linéaire est là ou pas ? Toutes les choses contractuelles qui sont importantes ici pour l'industriel, pour le retailer aussi. Et après, ça c'est cette partie. remonter le data du point de vente et ensuite il y a une autre partie qui est optimisation. Alors là c'est encore un autre bollet, c'est à dire en fait ce que ce qu'aimerait avoir la baguette magique dont aurait besoin le merchandiser c'est j'ai mes ventes, j'ai mes produits, s'il te plaît fais moi mon plan, j'ai mes lits, fais moi mon plan. Voilà donc ça c'est je pense que c'est le rêve de ça. Aujourd'hui, ce n'est pas possible. En revanche, on est en train d'essayer de travailler. Et notamment, si tu veux, de pouvoir placer, je ne sais pas moi, d'un 13 éléments à un 6 éléments,

  • Speaker #1

    un 2 éléments.

  • Speaker #2

    J'ai versé ma data dedans et il sait me sortir en fonction du point de vente, en fonction des tailles, le planou idéal. Voilà, donc ça c'est les deux axes de recherche sur lesquels on bosse.

  • Speaker #1

    Deux, c'est déjà le premier sujet de mesurer le taux de mise en place du planot et les écarts, c'est déjà un mot chantier.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Écoute Adrien, merci beaucoup, on arrive à la fin de l'épisode. Est-ce que tu veux partager un dernier élément ?

  • Speaker #2

    revenir sur quelque chose qui est un artiste alors c'est tant mieux c'est des bonnes maladies on a été pris on a été pris à peine les portes sont ouvertes on a été assaillis mais j'aurais le temps d'aller faire un tour dont je peux que je n'ai pas je pense que oui le son sur la vision que l'on a actuellement, je pense que c'est ça en fait. Le maire, aujourd'hui, pense que c'est considéré souvent comme un peu l'enfant pauvre, un peu de toute la chaîne de malheur. C'est dommage parce qu'on sait très bien que dans certains cas, c'est ce qui va permettre de générer de la croissance. Et donc, nous, on essaie de remettre ça au cœur de la machine avec un outil justement qui va permettre de répondre à la partie concept, à la partie terrain. à la partie marketing. Et donc on essaie de se remettre, enfin de remettre ça au milieu et le côté collaboratif qui fait qu'aujourd'hui en fait, oui, tu es au marketing, tu veux tester ton lancement de Bac, ton point de bande virtuelle il est là, je fais mes simulations, j'ai mon panel, on bosse avec les instituts qui vont pouvoir poser les bonnes questions, je suis sur le terrain, j'ai besoin d'aller présenter à mes clients, à mon indépendant surtout. le box que je vais lui mettre comment ça fonctionne, je lui montre le code, j'ai les chiffres à tousser. Donc c'est essayer de remettre le merch un peu au cœur du réacteur. Donc c'est ce qu'on essaye de faire, avec plus ou moins de succès, mais on s'y emploie.

  • Speaker #1

    Merci Adrien pour cette échange riche, claire et surtout orientée à la merchandising. En résumé, j'ai envie de dire que la 3D ce n'est pas que des gadgets, derrière il y a un vrai levier, un vrai outil de décision et surtout aussi d'alignement et de collaboration, de co-construction comme on s'est un peu refusé. Et puis ça permet vraiment de tester, d'investir, d'impliquer les équipes qui finalement apportaient de la clarté au processus merchandising. C'était un plaisir de changer de classe.

  • Speaker #2

    Merci. Merci de faire cette tribune autour du Merch. J'espère que ça a rempli tes questions, tes questions, tes questions.

  • Speaker #1

    Ça marche. Merci beaucoup. Merci également à Textoritet pour l'espace et la possibilité de faire ça. Merci, avec plaisir Auré.

  • Speaker #0

    Je vous dis encore merci pour votre écoute et surtout à très bientôt pour un nouveau rendez-vous dans Pour toutes ces bonnes raisons. D'ici là, prenez soin de vous, prenez soin de vos linéaires et continuez à nourrir votre passion. Et je vous fais un petit rappel, chaque épisode sort un jeudi sur deux, alors n'oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes.

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Découvrez un extrait du prochain épisode de Pour toutes ces bonnes raisons. Cette fois, je reçois Adrien Zanelli, cofondateur de Retail VR, la solution qui déploie la réalité virtuelle et la 3D pour accélérer la transformation des enseignes.


Un épisode enregistré en live au salon Tech for Retail, le rendez-vous européen incontournable dédié aux innovations du retail.


Avec Adrien, on plonge au cœur d’un sujet clé : comment la virtualisation des espaces permet aux enseignes de concevoir plus vite, tester plus tôt, réduire les coûts et améliorer l’efficacité commerciale.


Il partage sa vision d’un retail où la 3D, la VR et la simulation deviennent des outils stratégiques pour mieux décider, mieux déployer et mieux opérer les magasins.

On explore ensemble :

  • Comment la virtualisation des points de vente accélère la conception des concepts, des parcours et des implantations.

  • En quoi la 3D et la VR permettent de tester, mesurer et ajuster avant même la construction ou le déploiement magasin.

  • Pourquoi les enseignes de la grande distribution adoptent massivement ces technologies pour fluidifier leurs opérations et améliorer la lisibilité de l’offre.

  • Comment la visualisation immersive devient un moteur de performance commerciale, de cohérence réseau et de réduction des coûts.


Un échange concret, enregistré au cœur de l’écosystème retail, qui met en lumière les transformations opérationnelles à l’œuvre et la manière dont Retail VR permet aux enseignes de gagner en agilité, en impact et en efficacité.


"Pour toutes ces bonnes raisons" adopte une approche orientée client et terrain. Dans chaque épisode, je partage des bonnes pratiques, des tendances et des insights pour t’aider à créer des espaces de vente attractifs et une expérience client réussie.

Ce podcast est conçu pour toi, que tu sois professionnel ou non du merchandising, et que tu cherches à relever les défis d’un métier essentiel mais parfois sous-estimé.


Ici, je t'offre un espace d'échange et d'apprentissage, où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir ta pratique quotidienne.

Chaque épisode explore les meilleures stratégies, outils et conseils pour booster l’impact visuel de tes linéaires et vitrines.

En partageant ces sujets, mon objectif est de te donner les clés pour capter l’attention des clients et maximiser tes ventes grâce au visual merchandising.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans, pour toutes ces bonnes raisons, le podcast qui explore le merchandising avec expertise. Si vous vous êtes déjà demandé comment le merchandising peut devenir un véritable levier de performance pour votre marque, vos produits, votre point de vente, ici, je vous propose de répondre à toutes ces questions à travers un espace de partage et d'apprentissage où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir votre pratique quotidienne. Je suis Adrien Bernard, ancien directeur merchandising et fondateur d'AB Merchandising. Ensemble ! où nous allons décrypter les tendances, stratégies et les outils qui permettent de créer des linéaires performants et des expériences ayant réussi. Et n'oubliez pas, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode et surtout, retrouvons-nous sur LinkedIn et Instagram pour continuer ces discussions.

  • Speaker #1

    C'est quoi l'épisode ? Donc, un épisode un peu particulier parce que, tu le vois, on est en live sur un salon Tech for Retail avec Moussé Polic.

  • Speaker #2

    qui passent et qui nous regardent.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc voilà, un épisode spécial pour toutes ces entreprises que je voudrais vous présenter. Je suis Adrien Bernard, expert au merchandising, fondateur de la société AB Merchandising. J'accompagne depuis plusieurs années des enseignes, des marques dans leur structuration et la mise en œuvre de leur démarche merchandising. Et aujourd'hui, j'ai le cœur de donner la parole à Anaïs Exbert, qui est l'administrateur de la Tech2Hear. Et surtout on va parler d'un sujet qui est extrêmement intéressant, le logiciel Merge, mais aussi juste les modélisations 3D, et donc c'est le cas de Rital VR. Je vais te laisser te présenter et parler de la solution.

  • Speaker #2

    D'abord merci de nous accueillir sur ce podcast, de nous donner la parole. Donc la société Rital VR. C'est une société qui a 7 ans maintenant, on est basé à Nantes, on est une équipe d'une dizaine de personnes. On adresse à la fois des propriétaires de marques et des retailers, donc des Nestlé d'un côté et des Intermarché de l'autre. Et en ce qui me concerne, je suis le fondateur de la société. Moi j'ai un parcours retail, mais je ne peux pas me targuer d'une expertise très pointue en banque. en termes de mer, parce que j'ai bossé pour des enseignes, pour des... Oui, des... Par exemple, dans les vins spirituels. Donc, j'étais plutôt sur la partie commerciale. Mais j'ai un peu de fainé mes baskets dans des supermarchés. Et j'ai été... J'ai fait un peu de carnet. Et donc, moi, mon rôle au sein de l'entreprise, c'est de faire toute la partie mise en œuvre, suivi client, l'onboarding, on appelle ça, avec notre partie customer. success manager, puisqu'on utilise beaucoup d'anglicismes dans notre métier.

  • Speaker #1

    Ok, très clair. Donc là dans l'épisode, on a déterminé trois grandes parties. La première, finalement, revenir sur quel est l'intérêt et pourquoi il faut vraiment arriver à modéliser son concept et le mettre en 3D. Revenir aussi sur, du coup, peut-être des use cases, le fonctionnement, la méthode, comment on l'utilise au quotidien. et puis après aussi de la pire et puis Voilà, on va venir en tout cas sur plus de merchandising et les re-immersions. Oui, oui, oui. Déjà pour commencer, finalement, c'est quoi ton stade départ et pourquoi vous avez aujourd'hui de la demande pour basculer en mode 3D ?

  • Speaker #2

    Sur la 3D, alors le logiciel merchandising, en fait, c'est un outil qui est un peu rébarbatif sur les outils actuels. On ne va pas déduire. C'est à dire qu'en fait, soit tu as vraiment des photos, mais tout ça, ce n'est pas de phase immersive, ce n'est pas de phase engageante. Et en fait, on s'est dit qu'il y avait quelque chose à croquer à ce niveau là. Et la 3D, en fait, c'est tout l'inverse. C'est à dire que derrière, on a des formats assez engagés. C'est-à-dire que la 3D, en fait, elle magnifie. Les résultats qu'on va avoir en mettant en place un outil Merch avec beaucoup plus d'engagement. Alors tu as l'engagement de tes planos, c'est-à-dire le fait d'avoir un planos en 3D, c'est plus attractif que d'avoir un planos en 2D. Mais au-delà de ça, si tu veux, tu as le côté dimension de partir client. C'est-à-dire que quand tu fais, tu es sur ton micro-merch, ta belle PLV, ton bombo, ta belle Google, etc. Après, quand tu viens ça et que tu transposes ça dans le point de vente, Dans la partie macro, ça prend tout son sens parce que derrière, tu recrins l'environnement d'achat, tu recrins un portrait de client. En fait, tu es complètement immergé dans le merge que tu es en train de travailler. de manière théorique.

  • Speaker #1

    Je vois exactement ce que tu dis, c'était le cas. Tu vois, travailler avec Prim'Hersh, très à plat, et souvent la question c'est, OK, finalement le Plano c'est cool, comment il s'intègre dans le parc continent, mais surtout dans l'alcool et dans l'univers. Avant, ça se passait comment ? Parce que finalement, tu sais partir en tout cas de concept, de conception de magasin, est-ce qu'il y avait des étapes clés ? Est-ce qu'il y a des choses en tout cas que vous avez réussi à craquer avec les déluets ?

  • Speaker #2

    Alors, après, si tu veux, la conception d'un planot, tu vois, du fait qu'elle est très, très simple, notre outil est très, très simple. Il est tellement simple qu'en fait, il est utilisé actuellement par des élèves des filières MCO. On a un millier d'élèves qui bossent sur notre outil parce que c'est très, très simple et que ça te permet de construire des planots très, très vite. Donc ça, tu as un côté simplicité d'usage et vraiment plébiscité par tous les clients. après Laisse-moi craquer quelque chose, je pense que c'est passé, si tu veux, de la version planour, micro, du micro-merch ou macro-merch. En fait, tu n'as pas 36 solutions. Soit tu recrées sur un sketch-up, un environnement complet, qui demande énormément de temps de travail, etc. Là où nous, en fait, on va faire la coque de magasin, on va élever les murs, on va changer les lumières, positionner les lumières, les lignes de caisse, etc. Et après on fait des simulations et là c'est simplissime, c'est drag and drop. C'est à dire que tu as compris les panneaux, tu les mets, tu veux changer ton allée centrale, ça se fait en deux clics. Donc je pense que là on a craqué quelque chose, c'est sur le confort d'usage et la rapidité. C'est à dire que un client, on l'embarque sur notre outil, on le verra peut-être après, et puis on aborde l'aspect comment est-ce qu'on le met en place. mais concrètement un client, le gars qui a les éléments, les backshots, qui sait où il va, en trois semaines c'est réglé.

  • Speaker #1

    Si on revient, quelques clients que vous avez pu accompagner, est-ce que vous avez aussi pu corriger des erreurs de zoning, améliorer du temps, ça tu l'as dit, mais aussi améliorer le dialogue un peu terrain-siège ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    La particularité, c'est que c'est un outil collaboratif. Ce n'est pas systématique au sein de nos clients, mais il y en a quand même un paquet qui ont des responsables régionaux, qui vont bosser vraiment le planot au point de vente. Vous n'êtes pas les seuls à faire ça. Mais en revanche, le faire en 3D et être capable ensuite de pouvoir présenter un bon planot en réalité augmentée, parce que l'avantage de la 3D, c'est que tout objet qui est modélisé Merci. intégré au sein de la plateforme, tu peux récupérer une 3D qui plus est en réalité augmentée, c'est-à-dire que tu peux l'avoir sur ton ordinateur et présenter, mais tu peux aussi l'avoir sur ton mobile avec la réalité augmentée. Là, tu vas mettre d'un coup dans ton espace ton plan d'eau en 3D, et là, ça prend toute la dimension, volume, etc. Donc ça, sur les guidelines, c'est hyper important, parce que les commerciaux peuvent avoir l'assimilation du particulier dans tout le cheminement au sein du point de vente qui est modélisé. et puis après se reporter sur des points précis d'un plateau qu'ils appellent avec un QR code. Là, je te le mets en évidence. C'est un point d'intérêt. Oui, ça c'est en termes de... Et après, on a des outils, c'est-à-dire qu'il y a l'outil Merge, et ensuite on a fait des extras, des outils qui nous permettent de remonter les infos point de vente. C'est-à-dire que je mets une TLV, un planot en situation dans le point de vente. je prends une photo, je remets des commentaires, je peux prendre une photo de l'existant,

  • Speaker #1

    et faire des comparaisons. Du coup, c'est hyper intéressant. Moi, j'ai souvent vu des choses, je le vois aussi, très slotées dans les organisations, et quand on est sur des sujets, je trouve extrêmement important comme une mise à jour, une refonte de concepts. On a des équipes concepts, des équipes sièges, qui intègrent peut-être parfois mal les équipements. donc finalement c'est l'occasion de

  • Speaker #2

    Tout à fait, à la fin, c'est quand même, nous c'est ce qu'on préconise, c'est que le terrain, je l'ai déjà dit, sur les structurations de nos clients, c'est un peu tout le temps le même schéma, tu as le siège qui va décider des guidelines, mais en local, notamment quand tu es sur du multi-pays, on a des clients à l'international, le siège, tous les guidelines, et ensuite les pays vont adapter, il faut se nécessiter, on a des clients dans la Cosmeto, oui, ce ne sont pas les mêmes produits, va faire sort de... Donc les mains qui vont s'emparer d'un planneau avec les guidelines et en fait... c'est hyper simplement parce que tout est déjà prêt à me faire remplacer quelques références et hop tu regrettes une panneau comme ça et derrière bien entendu tu as la phase et là il se terrain ou là comme je disais tout à l'heure peut aider la réalité pour aller vraiment pousser aux

  • Speaker #1

    petits oignons dans le nom du coup contre et concrètement ça se passe comment je prends rendez vous avec toi il ya des réunions et alors

  • Speaker #2

    Comme vous le disiez, un client qui est...

  • Speaker #1

    Du coup,

  • Speaker #2

    il y a des prérequis. Les prérequis, c'est d'avoir des photos de ses produits. Ça paraît évident, mais ce n'est pas tout le temps le cas. Alors après, nous, on a cette capacité, on a un outil, et jeune, c'est-à-dire que derrière, on sait monter des API. Par exemple, s'il faut aller aspirer du contenu sur un team ou un dam, ce n'est pas du tout un problème, on a les API qui vont bien, donc ça, on sait faire. Globalement, en général, le client, il a ses photos d'un côté, il les met à disposition. En fait, nous, on a besoin d'une analyse des produits, le code AN, les dimensions du produit, éventuellement délibérées. Ensuite, on pourra rajouter toutes les datas que l'on veut sur cette fiche produit. Quand je dis des datas, ça peut être la marque, les marges, les brillants, la décession,

  • Speaker #1

    les données, etc.

  • Speaker #2

    Bien souvent, la base, c'est code EN, dimensions et ensuite une photo. Avec ça, la machine va automatiquement, quand on a développé et breveté une solution, permet en fait que depuis une photo, l'IA va analyser le format, la forme de l'objet et va dire, ok, ça c'est une bouteille, ça c'est une poche, ça c'est une boîte, ça c'est un produit, c'est un blister, etc. Et donc, automatiquement, ça va recréer un produit. Donc ça, ta database, si tu veux, elle est générée ultra facilement. C'est-à-dire qu'on a craqué ce modèle de la 3D, parce qu'aujourd'hui, quand on pense 3D, on pense graphisme, on pense complexité de mise en œuvre, etc. Là, avec notre outil, ce n'est pas du tout le cas. Tu importes tes bases de données, ça, ça se fait en quelques jours. Si tant est que le client a les bases de données, là, on en revient à ces problématiques d'image et les autres. Mais quand c'est bien fait, ça se fait très rapidement. Et ensuite... on sait s'adapter à des formats existants, les formats PSA, PLN. Donc si le client a déjà ses planos sous ces formats-là, ça recrée automatiquement. Et sinon, c'est drag and drop, je ne cherche plus mes planos. En l'occurrence, c'est vraiment hyper simple de les fabriquer. Ça va très très vite, on ne trouve plus vite que les logiciels un peu techniques du marché. Donc une fois que tu as fait ça, derrière, tu vas créer ton espace de vente et ensuite tu importes tes planos. Donc c'est pour ça qu'on a un mois à peu près de temps à utiliser. Pour le client, il est en place. Ok,

  • Speaker #1

    très clair. Moi, j'ai deux questions qui me viennent finalement. Je voudrais que tu les interlocutes. Est-ce que c'est plutôt des équipes concept, plutôt des équipes marketing, ou des équipes commerces ? Alors,

  • Speaker #2

    le concept, en fait, si tu veux,

  • Speaker #1

    ça te reste.

  • Speaker #2

    Il va nous manquer. Souvent, le concept, en fait, il intervient au moment du renouvellement de la concept. En revanche, on va travailler avec les équipes concept qui font vivre le concept. Aujourd'hui, on ne bosse pas. On avait une banque avec l'intermarché. Ça fait cinq ans qu'ils utilisent notre outil pour faire vivre leur concept. Donc, ils ont modélisé la totalité du set PopMug. Et à l'intérieur, en fait, ils viennent changer les meubles, rajouter, je ne sais pas, du vrac. Enfin, tu vois, tout ce que je vois. Donc, voilà, ils font évoluer le concept. Après, on va donc travailler aussi avec des retail designers. Donc, sur la partie conception, réflexion, agencement, etc. Ça, c'est vraiment la partie, entre guillemets, jus de cerveau du retail design. En revanche, ça peut intéresser le client de venir prendre cette partie-là, c'est-à-dire ce concept, une fois qu'il est terminé, pour ensuite venir faire vivre ce concept comme le fait de l'intervention. Après, ça va plutôt être les équipes merch qui vont être très intéressées à utiliser notre produit. Pourquoi ? Parce que c'est simple, parce qu'on a des KPI derrière des... système justement de visualisation, de data analytics, qui sont très simples à utiliser. Et le marketing, dans une certaine mesure, on fait beaucoup d'études,

  • Speaker #1

    on nous invite à connaître sur les études.

  • Speaker #2

    Donc, études de bac, études d'impact, d'un changement éthégoriel, de ce genre de choses, ça on l'associe.

  • Speaker #1

    C'est vrai qu'à l'époque, je vous avais approché, je trouvais ça extrêmement intéressant, c'est-à-dire que je suis maintenant en partie signalétique, je vais dire, finalement, on travaille de la pédagogie en linéaire, de la signalétique, plutôt que de lancer de la prod, faire des tests in situ et faire vivre les tests, il faut dire, tiens, finalement, le modéliser directement en 3D, parce qu'on n'est pas en train de faire un peu des économies de fond et de temps.

  • Speaker #2

    Alors, je pense qu'il y a des économies, ça c'est évident. C'est compliqué de calculer ROI sur le Merch, mais s'il y en a un qui est validé, c'est le temps gagné. Et en particulier sur ce que tu décris là, c'est-à-dire si tu dois faire un test signalétique, il faut faire produire, ça prend du temps avec l'agence, ça prend du temps de faire du maquettage, ça coûte cher, ensuite il faut le mettre dans le point de vente, après il faut passer le temps, interroger, interviewer, etc. Je pense que nous on vient en complément, c'est-à-dire que je crois que cette partie physique, dans certains cas on peut complètement la supprimer, mais j'ai l'impression quand même que c'est important aussi d'avoir... En revanche, ça va conforter le client dans une prise de direction XYZ, avec des temps d'implémentation qui sont beaucoup plus courts. Et ça, oui.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait clair. Aujourd'hui, est-ce que... Merci. Si on ouvre un peu les prochaines étapes et perspectives, déjà, votre technologie, votre accompagnement, c'est avec vos grosses boîtes. Finalement, il y a des réseaux de recherche, c'est un peu plus restreint, ou pareil, un magasin indépendant peut également aller sur ce type de logiciel.

  • Speaker #2

    Alors, magasin indépendant, je ne te cache pas qu'on n'a pas encore des points de vente qui sont indépendants, qui utilisent un logiciel. Souvent, ils se débrouillent papier et crayon. tableur Excel, voire il faut pas, c'est du merch intuitif. En revanche, on a des très belles sociétés avec lesquelles on travaille, c'est vrai que ça va du plan. J'ai cité Nestlé, mais on a Total, des grands groupes de distribution, des gros industriels, et ensuite on a en majorité des clients avec des tailles, des petits industriels, et puis des petits retailers. Je prends par exemple, on a un client Alain Maurice. C'est 9 points de banque. C'est un concept entre le roi Merlin, point P. C'est un peu de décoration, un peu de goutillage, un peu de matériaux. Et ils utilisent notre outil, mais de manière très intense. C'est-à-dire que tous les planos sont faits sur notre solution. Ils utilisent toute data analytique sur notre solution. Là, on est en train de déployer la modélisation sur les points de vente pour pouvoir aller passer au-delà du micro-marché, vraiment rentrer sur le macro. Et avec, je crois qu'ils ont pas loin de 25 000 références modélisées. Et ça, c'est 9 points de vente. Donc, ça veut dire qu'ils poussent. Mais bon, ils poussent vraiment le structurateur. Et ils font l'exercice jusqu'au bout. Et après, des petits industriels, oui, on en a, je pense, Un client avec lequel on a démarré récemment, Marius Bernard, c'est dans les épices, c'est une PME, mais ils ont trouvé un outil qui est simple à utiliser, qui est visuel, qui leur permet de se démarquer. En fait, on a un profil un peu atypique de client, mais je pense qu'on a un peu les leaders de leur catégorie, le client qui a souvent un temps d'avance sur ses concurrents. dans son domaine. Je pense à des clients, on travaille avec Seedask, qui est vraiment hyper pointu sur tout ce qui est la technique autour du pied, du coureur, du skieur, c'est vraiment un endroit qui est ultra reconnu dans son domaine d'activité, et ils bossent avec notre plateforme, ce qu'on a cité précédemment.

  • Speaker #1

    On en avait déjà discuté aussi, mais il y a tout un volet formation, et finalement, le TNVR est aussi. dans le milieu de la formation pour les écoles de commerce ?

  • Speaker #2

    Oui, oui, alors tout à fait. Alors, sur la formation, c'est arrivé, je ne devrais pas dire ça, mais c'est arrivé un peu par accident, parce que notre logiciel, à la base, c'est un logiciel pour les professionnels. Et en fait, plusieurs reprises, à l'occasion notamment de salons comme on a aujourd'hui, on a des gens de CCI ou d'écoles de commerce qui sont venus à notre rencontre en disant mais... Votre outil est super bien, mais ça a l'air très simple à utiliser. Est-ce que vous le mettrez à disposition des étudiants ? Ce qu'on a fait, c'est qu'il y a un marché. On a fait une petite adaptation pour sortir le logiciel Education Edition, qui va permettre à un enseignant... d'avoir une base de produits, c'est à dire qu'ils ont 4000 produits à leur disposition. Alors ça va du vêtement, les chaussures de sport, il faut avoir des produits qui interpellent un peu les jeunes, tu vois, donc on a mis des skateboards, des choses dont on n'aurait pas besoin par ailleurs. Mais après, bien entendu, il y a toute la partie non alimentaire, des meubles, des trucs, la cosméco, tout ça. on a rajouté cette belle bibliothèque de produits. et on leur met à disposition l'outil de manière à ce qu'ils travaillent la partie micro, je construis mon planogramme, on leur propose des exercices, c'est-à-dire que le prof est libre de choisir, d'adapter, de produire un exercice, sinon il a un panel d'exercices qu'il va pouvoir distribuer auprès de ses élèves. Il a l'exercice, les solutions, et ensuite c'est libre à lui d'aller distribuer ça. Donc ça on le fait pour le micro, pour le macro. Donc il y a beaucoup d'instituts qui vont bosser avec un énorme CFM lié à Nantes, et eux ils travaillent avec des thématiques. Donc là, les dernières, c'était tout ce qui est thématique autour du sportswear. Alors ils ont la chance, ils ont une salle immersive, où ça va jusqu'à ce que l'élève puisse projeter son projet final, projet de groupe, dans une salle immersive, avec un magasin bien près. Donc ça va assez loin. Et donc, on embarque. plus d'étudiants en train de cette solution là.

  • Speaker #1

    Bref, on a déjà discuté. Je suis allé aussi dans les écoles et ça va être fini. On va aller faire un exercice. Bon, bien, bon, je n'ai pas de bonol, je ne peux pas taper du linéaire. Bon, on va aller peut être dehors. Il faut les autorisations, on ne peut pas sortir comme ça. Puis il faut aussi les capter. Finalement, Excel, c'est bien, mais ça ne fait pas vibrer la nouvelle génération. Alors ça,

  • Speaker #2

    ça, c'est un excellent point. Il y a deux points sur l'éducation. Le premier, je pense que c'est que la 3D, en fait, l'air de rien, tu es obligé un peu de calme. Sauf que les profs nous remontent, c'est capter l'attention des élèves. Et là, pour le coup, c'est sur une solution qui fait un peu immersivité, jeux vidéo, gaming. Donc, je pense que ça les capte. Et après, l'autre sujet qui est remonté, qui est assez... auquel je ne m'attendais pas, c'est qu'en fait, c'est un moyen de contourner l'IA et les tchats GPT. Parce que derrière, tu es obligé de produire. Quand tu dois construire ton panneau, tu es obligé de le faire. Donc, de fait, le prof va contrôler ce qui se fait. Et le dernier point, c'est que tu as raison, c'est que tous les cotois, ils n'ont pas tous des salles avec une guindole. Il faut acheter les produits, se déplacer en point de vente, c'est souvent défaillant. Donc ça c'est sûr que pour ça c'est pas très bien.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te poser aussi la question, pas des prochaines étapes, mais quand tu vois les choses, est-ce que tu penses que cette notion de 3D, de modélisation, ça va devenir une norme pour les services Perch ? Est-ce que tu sens aussi que l'IA maintenant ça va devenir incontournable pour le métier du merchandiser ? C'est...

  • Speaker #2

    Alors moi je pense que la norme sur la 3D elle va arriver... En fait, elle va arriver à la même vitesse que la manière dont elle est en train d'arriver dans nos vies. Ce que c'est qu'aujourd'hui, tu peux aller sur un site, tu vas retrouver un objet en 3D, en réalité augmentée. Ikea, c'est le meilleur exemple. Ils ont des catalogues virtuels complets. Voilà, depuis le projet, je pense que ça, c'est en train de rentrer dans la gamme. Forcément, ça va devenir une norme. À un moment donné, ça va être une norme d'avoir un plateau en 3D. Après, au niveau de l'IA, il y a énormément de choses à faire encore. Alors nous, on bosse sur plusieurs axes. Le premier, c'est tout ce qui est reconnaissance d'objets, c'est-à-dire savoir passer... du réallogramme, du planogramme, faire des comparaisons. Alors les comparaisons de planos, ça on sait les faire. Ça c'est déjà intégré à notre routine. C'est-à-dire tu as ton planos de l'année dernière, tu veux voir ça, tu te parles, tu matches, j'ai mon planos pour l'Afrique du Sud, mon planos pour l'Angleterre, je veux voir ce qui... Voilà,

  • Speaker #1

    ça c'est déjà en place.

  • Speaker #2

    L'idée de demain, c'est d'aller faire mon relevé, j'ai mon réallogramme, J'ai mon plan théorique, est-ce que ça correspond à mes accords ? Est-ce que ma part de linéaire est là ou pas ? Toutes les choses contractuelles qui sont importantes ici pour l'industriel, pour le retailer aussi. Et après, ça c'est cette partie. remonter le data du point de vente et ensuite il y a une autre partie qui est optimisation. Alors là c'est encore un autre bollet, c'est à dire en fait ce que ce qu'aimerait avoir la baguette magique dont aurait besoin le merchandiser c'est j'ai mes ventes, j'ai mes produits, s'il te plaît fais moi mon plan, j'ai mes lits, fais moi mon plan. Voilà donc ça c'est je pense que c'est le rêve de ça. Aujourd'hui, ce n'est pas possible. En revanche, on est en train d'essayer de travailler. Et notamment, si tu veux, de pouvoir placer, je ne sais pas moi, d'un 13 éléments à un 6 éléments,

  • Speaker #1

    un 2 éléments.

  • Speaker #2

    J'ai versé ma data dedans et il sait me sortir en fonction du point de vente, en fonction des tailles, le planou idéal. Voilà, donc ça c'est les deux axes de recherche sur lesquels on bosse.

  • Speaker #1

    Deux, c'est déjà le premier sujet de mesurer le taux de mise en place du planot et les écarts, c'est déjà un mot chantier.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Écoute Adrien, merci beaucoup, on arrive à la fin de l'épisode. Est-ce que tu veux partager un dernier élément ?

  • Speaker #2

    revenir sur quelque chose qui est un artiste alors c'est tant mieux c'est des bonnes maladies on a été pris on a été pris à peine les portes sont ouvertes on a été assaillis mais j'aurais le temps d'aller faire un tour dont je peux que je n'ai pas je pense que oui le son sur la vision que l'on a actuellement, je pense que c'est ça en fait. Le maire, aujourd'hui, pense que c'est considéré souvent comme un peu l'enfant pauvre, un peu de toute la chaîne de malheur. C'est dommage parce qu'on sait très bien que dans certains cas, c'est ce qui va permettre de générer de la croissance. Et donc, nous, on essaie de remettre ça au cœur de la machine avec un outil justement qui va permettre de répondre à la partie concept, à la partie terrain. à la partie marketing. Et donc on essaie de se remettre, enfin de remettre ça au milieu et le côté collaboratif qui fait qu'aujourd'hui en fait, oui, tu es au marketing, tu veux tester ton lancement de Bac, ton point de bande virtuelle il est là, je fais mes simulations, j'ai mon panel, on bosse avec les instituts qui vont pouvoir poser les bonnes questions, je suis sur le terrain, j'ai besoin d'aller présenter à mes clients, à mon indépendant surtout. le box que je vais lui mettre comment ça fonctionne, je lui montre le code, j'ai les chiffres à tousser. Donc c'est essayer de remettre le merch un peu au cœur du réacteur. Donc c'est ce qu'on essaye de faire, avec plus ou moins de succès, mais on s'y emploie.

  • Speaker #1

    Merci Adrien pour cette échange riche, claire et surtout orientée à la merchandising. En résumé, j'ai envie de dire que la 3D ce n'est pas que des gadgets, derrière il y a un vrai levier, un vrai outil de décision et surtout aussi d'alignement et de collaboration, de co-construction comme on s'est un peu refusé. Et puis ça permet vraiment de tester, d'investir, d'impliquer les équipes qui finalement apportaient de la clarté au processus merchandising. C'était un plaisir de changer de classe.

  • Speaker #2

    Merci. Merci de faire cette tribune autour du Merch. J'espère que ça a rempli tes questions, tes questions, tes questions.

  • Speaker #1

    Ça marche. Merci beaucoup. Merci également à Textoritet pour l'espace et la possibilité de faire ça. Merci, avec plaisir Auré.

  • Speaker #0

    Je vous dis encore merci pour votre écoute et surtout à très bientôt pour un nouveau rendez-vous dans Pour toutes ces bonnes raisons. D'ici là, prenez soin de vous, prenez soin de vos linéaires et continuez à nourrir votre passion. Et je vous fais un petit rappel, chaque épisode sort un jeudi sur deux, alors n'oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes.

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Découvrez un extrait du prochain épisode de Pour toutes ces bonnes raisons. Cette fois, je reçois Adrien Zanelli, cofondateur de Retail VR, la solution qui déploie la réalité virtuelle et la 3D pour accélérer la transformation des enseignes.


Un épisode enregistré en live au salon Tech for Retail, le rendez-vous européen incontournable dédié aux innovations du retail.


Avec Adrien, on plonge au cœur d’un sujet clé : comment la virtualisation des espaces permet aux enseignes de concevoir plus vite, tester plus tôt, réduire les coûts et améliorer l’efficacité commerciale.


Il partage sa vision d’un retail où la 3D, la VR et la simulation deviennent des outils stratégiques pour mieux décider, mieux déployer et mieux opérer les magasins.

On explore ensemble :

  • Comment la virtualisation des points de vente accélère la conception des concepts, des parcours et des implantations.

  • En quoi la 3D et la VR permettent de tester, mesurer et ajuster avant même la construction ou le déploiement magasin.

  • Pourquoi les enseignes de la grande distribution adoptent massivement ces technologies pour fluidifier leurs opérations et améliorer la lisibilité de l’offre.

  • Comment la visualisation immersive devient un moteur de performance commerciale, de cohérence réseau et de réduction des coûts.


Un échange concret, enregistré au cœur de l’écosystème retail, qui met en lumière les transformations opérationnelles à l’œuvre et la manière dont Retail VR permet aux enseignes de gagner en agilité, en impact et en efficacité.


"Pour toutes ces bonnes raisons" adopte une approche orientée client et terrain. Dans chaque épisode, je partage des bonnes pratiques, des tendances et des insights pour t’aider à créer des espaces de vente attractifs et une expérience client réussie.

Ce podcast est conçu pour toi, que tu sois professionnel ou non du merchandising, et que tu cherches à relever les défis d’un métier essentiel mais parfois sous-estimé.


Ici, je t'offre un espace d'échange et d'apprentissage, où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir ta pratique quotidienne.

Chaque épisode explore les meilleures stratégies, outils et conseils pour booster l’impact visuel de tes linéaires et vitrines.

En partageant ces sujets, mon objectif est de te donner les clés pour capter l’attention des clients et maximiser tes ventes grâce au visual merchandising.


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans, pour toutes ces bonnes raisons, le podcast qui explore le merchandising avec expertise. Si vous vous êtes déjà demandé comment le merchandising peut devenir un véritable levier de performance pour votre marque, vos produits, votre point de vente, ici, je vous propose de répondre à toutes ces questions à travers un espace de partage et d'apprentissage où mon expertise et celle de mes invités viennent enrichir votre pratique quotidienne. Je suis Adrien Bernard, ancien directeur merchandising et fondateur d'AB Merchandising. Ensemble ! où nous allons décrypter les tendances, stratégies et les outils qui permettent de créer des linéaires performants et des expériences ayant réussi. Et n'oubliez pas, abonnez-vous pour ne manquer aucun épisode et surtout, retrouvons-nous sur LinkedIn et Instagram pour continuer ces discussions.

  • Speaker #1

    C'est quoi l'épisode ? Donc, un épisode un peu particulier parce que, tu le vois, on est en live sur un salon Tech for Retail avec Moussé Polic.

  • Speaker #2

    qui passent et qui nous regardent.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc voilà, un épisode spécial pour toutes ces entreprises que je voudrais vous présenter. Je suis Adrien Bernard, expert au merchandising, fondateur de la société AB Merchandising. J'accompagne depuis plusieurs années des enseignes, des marques dans leur structuration et la mise en œuvre de leur démarche merchandising. Et aujourd'hui, j'ai le cœur de donner la parole à Anaïs Exbert, qui est l'administrateur de la Tech2Hear. Et surtout on va parler d'un sujet qui est extrêmement intéressant, le logiciel Merge, mais aussi juste les modélisations 3D, et donc c'est le cas de Rital VR. Je vais te laisser te présenter et parler de la solution.

  • Speaker #2

    D'abord merci de nous accueillir sur ce podcast, de nous donner la parole. Donc la société Rital VR. C'est une société qui a 7 ans maintenant, on est basé à Nantes, on est une équipe d'une dizaine de personnes. On adresse à la fois des propriétaires de marques et des retailers, donc des Nestlé d'un côté et des Intermarché de l'autre. Et en ce qui me concerne, je suis le fondateur de la société. Moi j'ai un parcours retail, mais je ne peux pas me targuer d'une expertise très pointue en banque. en termes de mer, parce que j'ai bossé pour des enseignes, pour des... Oui, des... Par exemple, dans les vins spirituels. Donc, j'étais plutôt sur la partie commerciale. Mais j'ai un peu de fainé mes baskets dans des supermarchés. Et j'ai été... J'ai fait un peu de carnet. Et donc, moi, mon rôle au sein de l'entreprise, c'est de faire toute la partie mise en œuvre, suivi client, l'onboarding, on appelle ça, avec notre partie customer. success manager, puisqu'on utilise beaucoup d'anglicismes dans notre métier.

  • Speaker #1

    Ok, très clair. Donc là dans l'épisode, on a déterminé trois grandes parties. La première, finalement, revenir sur quel est l'intérêt et pourquoi il faut vraiment arriver à modéliser son concept et le mettre en 3D. Revenir aussi sur, du coup, peut-être des use cases, le fonctionnement, la méthode, comment on l'utilise au quotidien. et puis après aussi de la pire et puis Voilà, on va venir en tout cas sur plus de merchandising et les re-immersions. Oui, oui, oui. Déjà pour commencer, finalement, c'est quoi ton stade départ et pourquoi vous avez aujourd'hui de la demande pour basculer en mode 3D ?

  • Speaker #2

    Sur la 3D, alors le logiciel merchandising, en fait, c'est un outil qui est un peu rébarbatif sur les outils actuels. On ne va pas déduire. C'est à dire qu'en fait, soit tu as vraiment des photos, mais tout ça, ce n'est pas de phase immersive, ce n'est pas de phase engageante. Et en fait, on s'est dit qu'il y avait quelque chose à croquer à ce niveau là. Et la 3D, en fait, c'est tout l'inverse. C'est à dire que derrière, on a des formats assez engagés. C'est-à-dire que la 3D, en fait, elle magnifie. Les résultats qu'on va avoir en mettant en place un outil Merch avec beaucoup plus d'engagement. Alors tu as l'engagement de tes planos, c'est-à-dire le fait d'avoir un planos en 3D, c'est plus attractif que d'avoir un planos en 2D. Mais au-delà de ça, si tu veux, tu as le côté dimension de partir client. C'est-à-dire que quand tu fais, tu es sur ton micro-merch, ta belle PLV, ton bombo, ta belle Google, etc. Après, quand tu viens ça et que tu transposes ça dans le point de vente, Dans la partie macro, ça prend tout son sens parce que derrière, tu recrins l'environnement d'achat, tu recrins un portrait de client. En fait, tu es complètement immergé dans le merge que tu es en train de travailler. de manière théorique.

  • Speaker #1

    Je vois exactement ce que tu dis, c'était le cas. Tu vois, travailler avec Prim'Hersh, très à plat, et souvent la question c'est, OK, finalement le Plano c'est cool, comment il s'intègre dans le parc continent, mais surtout dans l'alcool et dans l'univers. Avant, ça se passait comment ? Parce que finalement, tu sais partir en tout cas de concept, de conception de magasin, est-ce qu'il y avait des étapes clés ? Est-ce qu'il y a des choses en tout cas que vous avez réussi à craquer avec les déluets ?

  • Speaker #2

    Alors, après, si tu veux, la conception d'un planot, tu vois, du fait qu'elle est très, très simple, notre outil est très, très simple. Il est tellement simple qu'en fait, il est utilisé actuellement par des élèves des filières MCO. On a un millier d'élèves qui bossent sur notre outil parce que c'est très, très simple et que ça te permet de construire des planots très, très vite. Donc ça, tu as un côté simplicité d'usage et vraiment plébiscité par tous les clients. après Laisse-moi craquer quelque chose, je pense que c'est passé, si tu veux, de la version planour, micro, du micro-merch ou macro-merch. En fait, tu n'as pas 36 solutions. Soit tu recrées sur un sketch-up, un environnement complet, qui demande énormément de temps de travail, etc. Là où nous, en fait, on va faire la coque de magasin, on va élever les murs, on va changer les lumières, positionner les lumières, les lignes de caisse, etc. Et après on fait des simulations et là c'est simplissime, c'est drag and drop. C'est à dire que tu as compris les panneaux, tu les mets, tu veux changer ton allée centrale, ça se fait en deux clics. Donc je pense que là on a craqué quelque chose, c'est sur le confort d'usage et la rapidité. C'est à dire que un client, on l'embarque sur notre outil, on le verra peut-être après, et puis on aborde l'aspect comment est-ce qu'on le met en place. mais concrètement un client, le gars qui a les éléments, les backshots, qui sait où il va, en trois semaines c'est réglé.

  • Speaker #1

    Si on revient, quelques clients que vous avez pu accompagner, est-ce que vous avez aussi pu corriger des erreurs de zoning, améliorer du temps, ça tu l'as dit, mais aussi améliorer le dialogue un peu terrain-siège ? Oui, tout à fait.

  • Speaker #2

    La particularité, c'est que c'est un outil collaboratif. Ce n'est pas systématique au sein de nos clients, mais il y en a quand même un paquet qui ont des responsables régionaux, qui vont bosser vraiment le planot au point de vente. Vous n'êtes pas les seuls à faire ça. Mais en revanche, le faire en 3D et être capable ensuite de pouvoir présenter un bon planot en réalité augmentée, parce que l'avantage de la 3D, c'est que tout objet qui est modélisé Merci. intégré au sein de la plateforme, tu peux récupérer une 3D qui plus est en réalité augmentée, c'est-à-dire que tu peux l'avoir sur ton ordinateur et présenter, mais tu peux aussi l'avoir sur ton mobile avec la réalité augmentée. Là, tu vas mettre d'un coup dans ton espace ton plan d'eau en 3D, et là, ça prend toute la dimension, volume, etc. Donc ça, sur les guidelines, c'est hyper important, parce que les commerciaux peuvent avoir l'assimilation du particulier dans tout le cheminement au sein du point de vente qui est modélisé. et puis après se reporter sur des points précis d'un plateau qu'ils appellent avec un QR code. Là, je te le mets en évidence. C'est un point d'intérêt. Oui, ça c'est en termes de... Et après, on a des outils, c'est-à-dire qu'il y a l'outil Merge, et ensuite on a fait des extras, des outils qui nous permettent de remonter les infos point de vente. C'est-à-dire que je mets une TLV, un planot en situation dans le point de vente. je prends une photo, je remets des commentaires, je peux prendre une photo de l'existant,

  • Speaker #1

    et faire des comparaisons. Du coup, c'est hyper intéressant. Moi, j'ai souvent vu des choses, je le vois aussi, très slotées dans les organisations, et quand on est sur des sujets, je trouve extrêmement important comme une mise à jour, une refonte de concepts. On a des équipes concepts, des équipes sièges, qui intègrent peut-être parfois mal les équipements. donc finalement c'est l'occasion de

  • Speaker #2

    Tout à fait, à la fin, c'est quand même, nous c'est ce qu'on préconise, c'est que le terrain, je l'ai déjà dit, sur les structurations de nos clients, c'est un peu tout le temps le même schéma, tu as le siège qui va décider des guidelines, mais en local, notamment quand tu es sur du multi-pays, on a des clients à l'international, le siège, tous les guidelines, et ensuite les pays vont adapter, il faut se nécessiter, on a des clients dans la Cosmeto, oui, ce ne sont pas les mêmes produits, va faire sort de... Donc les mains qui vont s'emparer d'un planneau avec les guidelines et en fait... c'est hyper simplement parce que tout est déjà prêt à me faire remplacer quelques références et hop tu regrettes une panneau comme ça et derrière bien entendu tu as la phase et là il se terrain ou là comme je disais tout à l'heure peut aider la réalité pour aller vraiment pousser aux

  • Speaker #1

    petits oignons dans le nom du coup contre et concrètement ça se passe comment je prends rendez vous avec toi il ya des réunions et alors

  • Speaker #2

    Comme vous le disiez, un client qui est...

  • Speaker #1

    Du coup,

  • Speaker #2

    il y a des prérequis. Les prérequis, c'est d'avoir des photos de ses produits. Ça paraît évident, mais ce n'est pas tout le temps le cas. Alors après, nous, on a cette capacité, on a un outil, et jeune, c'est-à-dire que derrière, on sait monter des API. Par exemple, s'il faut aller aspirer du contenu sur un team ou un dam, ce n'est pas du tout un problème, on a les API qui vont bien, donc ça, on sait faire. Globalement, en général, le client, il a ses photos d'un côté, il les met à disposition. En fait, nous, on a besoin d'une analyse des produits, le code AN, les dimensions du produit, éventuellement délibérées. Ensuite, on pourra rajouter toutes les datas que l'on veut sur cette fiche produit. Quand je dis des datas, ça peut être la marque, les marges, les brillants, la décession,

  • Speaker #1

    les données, etc.

  • Speaker #2

    Bien souvent, la base, c'est code EN, dimensions et ensuite une photo. Avec ça, la machine va automatiquement, quand on a développé et breveté une solution, permet en fait que depuis une photo, l'IA va analyser le format, la forme de l'objet et va dire, ok, ça c'est une bouteille, ça c'est une poche, ça c'est une boîte, ça c'est un produit, c'est un blister, etc. Et donc, automatiquement, ça va recréer un produit. Donc ça, ta database, si tu veux, elle est générée ultra facilement. C'est-à-dire qu'on a craqué ce modèle de la 3D, parce qu'aujourd'hui, quand on pense 3D, on pense graphisme, on pense complexité de mise en œuvre, etc. Là, avec notre outil, ce n'est pas du tout le cas. Tu importes tes bases de données, ça, ça se fait en quelques jours. Si tant est que le client a les bases de données, là, on en revient à ces problématiques d'image et les autres. Mais quand c'est bien fait, ça se fait très rapidement. Et ensuite... on sait s'adapter à des formats existants, les formats PSA, PLN. Donc si le client a déjà ses planos sous ces formats-là, ça recrée automatiquement. Et sinon, c'est drag and drop, je ne cherche plus mes planos. En l'occurrence, c'est vraiment hyper simple de les fabriquer. Ça va très très vite, on ne trouve plus vite que les logiciels un peu techniques du marché. Donc une fois que tu as fait ça, derrière, tu vas créer ton espace de vente et ensuite tu importes tes planos. Donc c'est pour ça qu'on a un mois à peu près de temps à utiliser. Pour le client, il est en place. Ok,

  • Speaker #1

    très clair. Moi, j'ai deux questions qui me viennent finalement. Je voudrais que tu les interlocutes. Est-ce que c'est plutôt des équipes concept, plutôt des équipes marketing, ou des équipes commerces ? Alors,

  • Speaker #2

    le concept, en fait, si tu veux,

  • Speaker #1

    ça te reste.

  • Speaker #2

    Il va nous manquer. Souvent, le concept, en fait, il intervient au moment du renouvellement de la concept. En revanche, on va travailler avec les équipes concept qui font vivre le concept. Aujourd'hui, on ne bosse pas. On avait une banque avec l'intermarché. Ça fait cinq ans qu'ils utilisent notre outil pour faire vivre leur concept. Donc, ils ont modélisé la totalité du set PopMug. Et à l'intérieur, en fait, ils viennent changer les meubles, rajouter, je ne sais pas, du vrac. Enfin, tu vois, tout ce que je vois. Donc, voilà, ils font évoluer le concept. Après, on va donc travailler aussi avec des retail designers. Donc, sur la partie conception, réflexion, agencement, etc. Ça, c'est vraiment la partie, entre guillemets, jus de cerveau du retail design. En revanche, ça peut intéresser le client de venir prendre cette partie-là, c'est-à-dire ce concept, une fois qu'il est terminé, pour ensuite venir faire vivre ce concept comme le fait de l'intervention. Après, ça va plutôt être les équipes merch qui vont être très intéressées à utiliser notre produit. Pourquoi ? Parce que c'est simple, parce qu'on a des KPI derrière des... système justement de visualisation, de data analytics, qui sont très simples à utiliser. Et le marketing, dans une certaine mesure, on fait beaucoup d'études,

  • Speaker #1

    on nous invite à connaître sur les études.

  • Speaker #2

    Donc, études de bac, études d'impact, d'un changement éthégoriel, de ce genre de choses, ça on l'associe.

  • Speaker #1

    C'est vrai qu'à l'époque, je vous avais approché, je trouvais ça extrêmement intéressant, c'est-à-dire que je suis maintenant en partie signalétique, je vais dire, finalement, on travaille de la pédagogie en linéaire, de la signalétique, plutôt que de lancer de la prod, faire des tests in situ et faire vivre les tests, il faut dire, tiens, finalement, le modéliser directement en 3D, parce qu'on n'est pas en train de faire un peu des économies de fond et de temps.

  • Speaker #2

    Alors, je pense qu'il y a des économies, ça c'est évident. C'est compliqué de calculer ROI sur le Merch, mais s'il y en a un qui est validé, c'est le temps gagné. Et en particulier sur ce que tu décris là, c'est-à-dire si tu dois faire un test signalétique, il faut faire produire, ça prend du temps avec l'agence, ça prend du temps de faire du maquettage, ça coûte cher, ensuite il faut le mettre dans le point de vente, après il faut passer le temps, interroger, interviewer, etc. Je pense que nous on vient en complément, c'est-à-dire que je crois que cette partie physique, dans certains cas on peut complètement la supprimer, mais j'ai l'impression quand même que c'est important aussi d'avoir... En revanche, ça va conforter le client dans une prise de direction XYZ, avec des temps d'implémentation qui sont beaucoup plus courts. Et ça, oui.

  • Speaker #1

    C'est tout à fait clair. Aujourd'hui, est-ce que... Merci. Si on ouvre un peu les prochaines étapes et perspectives, déjà, votre technologie, votre accompagnement, c'est avec vos grosses boîtes. Finalement, il y a des réseaux de recherche, c'est un peu plus restreint, ou pareil, un magasin indépendant peut également aller sur ce type de logiciel.

  • Speaker #2

    Alors, magasin indépendant, je ne te cache pas qu'on n'a pas encore des points de vente qui sont indépendants, qui utilisent un logiciel. Souvent, ils se débrouillent papier et crayon. tableur Excel, voire il faut pas, c'est du merch intuitif. En revanche, on a des très belles sociétés avec lesquelles on travaille, c'est vrai que ça va du plan. J'ai cité Nestlé, mais on a Total, des grands groupes de distribution, des gros industriels, et ensuite on a en majorité des clients avec des tailles, des petits industriels, et puis des petits retailers. Je prends par exemple, on a un client Alain Maurice. C'est 9 points de banque. C'est un concept entre le roi Merlin, point P. C'est un peu de décoration, un peu de goutillage, un peu de matériaux. Et ils utilisent notre outil, mais de manière très intense. C'est-à-dire que tous les planos sont faits sur notre solution. Ils utilisent toute data analytique sur notre solution. Là, on est en train de déployer la modélisation sur les points de vente pour pouvoir aller passer au-delà du micro-marché, vraiment rentrer sur le macro. Et avec, je crois qu'ils ont pas loin de 25 000 références modélisées. Et ça, c'est 9 points de vente. Donc, ça veut dire qu'ils poussent. Mais bon, ils poussent vraiment le structurateur. Et ils font l'exercice jusqu'au bout. Et après, des petits industriels, oui, on en a, je pense, Un client avec lequel on a démarré récemment, Marius Bernard, c'est dans les épices, c'est une PME, mais ils ont trouvé un outil qui est simple à utiliser, qui est visuel, qui leur permet de se démarquer. En fait, on a un profil un peu atypique de client, mais je pense qu'on a un peu les leaders de leur catégorie, le client qui a souvent un temps d'avance sur ses concurrents. dans son domaine. Je pense à des clients, on travaille avec Seedask, qui est vraiment hyper pointu sur tout ce qui est la technique autour du pied, du coureur, du skieur, c'est vraiment un endroit qui est ultra reconnu dans son domaine d'activité, et ils bossent avec notre plateforme, ce qu'on a cité précédemment.

  • Speaker #1

    On en avait déjà discuté aussi, mais il y a tout un volet formation, et finalement, le TNVR est aussi. dans le milieu de la formation pour les écoles de commerce ?

  • Speaker #2

    Oui, oui, alors tout à fait. Alors, sur la formation, c'est arrivé, je ne devrais pas dire ça, mais c'est arrivé un peu par accident, parce que notre logiciel, à la base, c'est un logiciel pour les professionnels. Et en fait, plusieurs reprises, à l'occasion notamment de salons comme on a aujourd'hui, on a des gens de CCI ou d'écoles de commerce qui sont venus à notre rencontre en disant mais... Votre outil est super bien, mais ça a l'air très simple à utiliser. Est-ce que vous le mettrez à disposition des étudiants ? Ce qu'on a fait, c'est qu'il y a un marché. On a fait une petite adaptation pour sortir le logiciel Education Edition, qui va permettre à un enseignant... d'avoir une base de produits, c'est à dire qu'ils ont 4000 produits à leur disposition. Alors ça va du vêtement, les chaussures de sport, il faut avoir des produits qui interpellent un peu les jeunes, tu vois, donc on a mis des skateboards, des choses dont on n'aurait pas besoin par ailleurs. Mais après, bien entendu, il y a toute la partie non alimentaire, des meubles, des trucs, la cosméco, tout ça. on a rajouté cette belle bibliothèque de produits. et on leur met à disposition l'outil de manière à ce qu'ils travaillent la partie micro, je construis mon planogramme, on leur propose des exercices, c'est-à-dire que le prof est libre de choisir, d'adapter, de produire un exercice, sinon il a un panel d'exercices qu'il va pouvoir distribuer auprès de ses élèves. Il a l'exercice, les solutions, et ensuite c'est libre à lui d'aller distribuer ça. Donc ça on le fait pour le micro, pour le macro. Donc il y a beaucoup d'instituts qui vont bosser avec un énorme CFM lié à Nantes, et eux ils travaillent avec des thématiques. Donc là, les dernières, c'était tout ce qui est thématique autour du sportswear. Alors ils ont la chance, ils ont une salle immersive, où ça va jusqu'à ce que l'élève puisse projeter son projet final, projet de groupe, dans une salle immersive, avec un magasin bien près. Donc ça va assez loin. Et donc, on embarque. plus d'étudiants en train de cette solution là.

  • Speaker #1

    Bref, on a déjà discuté. Je suis allé aussi dans les écoles et ça va être fini. On va aller faire un exercice. Bon, bien, bon, je n'ai pas de bonol, je ne peux pas taper du linéaire. Bon, on va aller peut être dehors. Il faut les autorisations, on ne peut pas sortir comme ça. Puis il faut aussi les capter. Finalement, Excel, c'est bien, mais ça ne fait pas vibrer la nouvelle génération. Alors ça,

  • Speaker #2

    ça, c'est un excellent point. Il y a deux points sur l'éducation. Le premier, je pense que c'est que la 3D, en fait, l'air de rien, tu es obligé un peu de calme. Sauf que les profs nous remontent, c'est capter l'attention des élèves. Et là, pour le coup, c'est sur une solution qui fait un peu immersivité, jeux vidéo, gaming. Donc, je pense que ça les capte. Et après, l'autre sujet qui est remonté, qui est assez... auquel je ne m'attendais pas, c'est qu'en fait, c'est un moyen de contourner l'IA et les tchats GPT. Parce que derrière, tu es obligé de produire. Quand tu dois construire ton panneau, tu es obligé de le faire. Donc, de fait, le prof va contrôler ce qui se fait. Et le dernier point, c'est que tu as raison, c'est que tous les cotois, ils n'ont pas tous des salles avec une guindole. Il faut acheter les produits, se déplacer en point de vente, c'est souvent défaillant. Donc ça c'est sûr que pour ça c'est pas très bien.

  • Speaker #1

    J'ai envie de te poser aussi la question, pas des prochaines étapes, mais quand tu vois les choses, est-ce que tu penses que cette notion de 3D, de modélisation, ça va devenir une norme pour les services Perch ? Est-ce que tu sens aussi que l'IA maintenant ça va devenir incontournable pour le métier du merchandiser ? C'est...

  • Speaker #2

    Alors moi je pense que la norme sur la 3D elle va arriver... En fait, elle va arriver à la même vitesse que la manière dont elle est en train d'arriver dans nos vies. Ce que c'est qu'aujourd'hui, tu peux aller sur un site, tu vas retrouver un objet en 3D, en réalité augmentée. Ikea, c'est le meilleur exemple. Ils ont des catalogues virtuels complets. Voilà, depuis le projet, je pense que ça, c'est en train de rentrer dans la gamme. Forcément, ça va devenir une norme. À un moment donné, ça va être une norme d'avoir un plateau en 3D. Après, au niveau de l'IA, il y a énormément de choses à faire encore. Alors nous, on bosse sur plusieurs axes. Le premier, c'est tout ce qui est reconnaissance d'objets, c'est-à-dire savoir passer... du réallogramme, du planogramme, faire des comparaisons. Alors les comparaisons de planos, ça on sait les faire. Ça c'est déjà intégré à notre routine. C'est-à-dire tu as ton planos de l'année dernière, tu veux voir ça, tu te parles, tu matches, j'ai mon planos pour l'Afrique du Sud, mon planos pour l'Angleterre, je veux voir ce qui... Voilà,

  • Speaker #1

    ça c'est déjà en place.

  • Speaker #2

    L'idée de demain, c'est d'aller faire mon relevé, j'ai mon réallogramme, J'ai mon plan théorique, est-ce que ça correspond à mes accords ? Est-ce que ma part de linéaire est là ou pas ? Toutes les choses contractuelles qui sont importantes ici pour l'industriel, pour le retailer aussi. Et après, ça c'est cette partie. remonter le data du point de vente et ensuite il y a une autre partie qui est optimisation. Alors là c'est encore un autre bollet, c'est à dire en fait ce que ce qu'aimerait avoir la baguette magique dont aurait besoin le merchandiser c'est j'ai mes ventes, j'ai mes produits, s'il te plaît fais moi mon plan, j'ai mes lits, fais moi mon plan. Voilà donc ça c'est je pense que c'est le rêve de ça. Aujourd'hui, ce n'est pas possible. En revanche, on est en train d'essayer de travailler. Et notamment, si tu veux, de pouvoir placer, je ne sais pas moi, d'un 13 éléments à un 6 éléments,

  • Speaker #1

    un 2 éléments.

  • Speaker #2

    J'ai versé ma data dedans et il sait me sortir en fonction du point de vente, en fonction des tailles, le planou idéal. Voilà, donc ça c'est les deux axes de recherche sur lesquels on bosse.

  • Speaker #1

    Deux, c'est déjà le premier sujet de mesurer le taux de mise en place du planot et les écarts, c'est déjà un mot chantier.

  • Speaker #2

    Oui,

  • Speaker #1

    c'est ça. Écoute Adrien, merci beaucoup, on arrive à la fin de l'épisode. Est-ce que tu veux partager un dernier élément ?

  • Speaker #2

    revenir sur quelque chose qui est un artiste alors c'est tant mieux c'est des bonnes maladies on a été pris on a été pris à peine les portes sont ouvertes on a été assaillis mais j'aurais le temps d'aller faire un tour dont je peux que je n'ai pas je pense que oui le son sur la vision que l'on a actuellement, je pense que c'est ça en fait. Le maire, aujourd'hui, pense que c'est considéré souvent comme un peu l'enfant pauvre, un peu de toute la chaîne de malheur. C'est dommage parce qu'on sait très bien que dans certains cas, c'est ce qui va permettre de générer de la croissance. Et donc, nous, on essaie de remettre ça au cœur de la machine avec un outil justement qui va permettre de répondre à la partie concept, à la partie terrain. à la partie marketing. Et donc on essaie de se remettre, enfin de remettre ça au milieu et le côté collaboratif qui fait qu'aujourd'hui en fait, oui, tu es au marketing, tu veux tester ton lancement de Bac, ton point de bande virtuelle il est là, je fais mes simulations, j'ai mon panel, on bosse avec les instituts qui vont pouvoir poser les bonnes questions, je suis sur le terrain, j'ai besoin d'aller présenter à mes clients, à mon indépendant surtout. le box que je vais lui mettre comment ça fonctionne, je lui montre le code, j'ai les chiffres à tousser. Donc c'est essayer de remettre le merch un peu au cœur du réacteur. Donc c'est ce qu'on essaye de faire, avec plus ou moins de succès, mais on s'y emploie.

  • Speaker #1

    Merci Adrien pour cette échange riche, claire et surtout orientée à la merchandising. En résumé, j'ai envie de dire que la 3D ce n'est pas que des gadgets, derrière il y a un vrai levier, un vrai outil de décision et surtout aussi d'alignement et de collaboration, de co-construction comme on s'est un peu refusé. Et puis ça permet vraiment de tester, d'investir, d'impliquer les équipes qui finalement apportaient de la clarté au processus merchandising. C'était un plaisir de changer de classe.

  • Speaker #2

    Merci. Merci de faire cette tribune autour du Merch. J'espère que ça a rempli tes questions, tes questions, tes questions.

  • Speaker #1

    Ça marche. Merci beaucoup. Merci également à Textoritet pour l'espace et la possibilité de faire ça. Merci, avec plaisir Auré.

  • Speaker #0

    Je vous dis encore merci pour votre écoute et surtout à très bientôt pour un nouveau rendez-vous dans Pour toutes ces bonnes raisons. D'ici là, prenez soin de vous, prenez soin de vos linéaires et continuez à nourrir votre passion. Et je vous fais un petit rappel, chaque épisode sort un jeudi sur deux, alors n'oubliez pas de vous abonner pour ne rien manquer des prochains épisodes.

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