Description
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Une action de grâces - mais violente, sensuelle et testamentaire - à l'amour, et à toutes les femmes aimées, réelles ou mythiques, vivantes ou mortes.
"Comme la plupart des nouvelles de Gobineau, celle-ci finit mal, j’entends que la vertu n’est point récompensée ni le vice puni. Cela contristera les âmes sensibles et enlèvera à Mademoiselle Irnois la popularité qui s’attache aux romans feuilletons, pour ne lui laisser que sa parure de vérité." -TANCRÈDE DE VISAN.
Arthur de Gobineau, dit le comte de Gobineau, né le 14 juillet 1816 à Ville-d'Avray et mort le 13 octobre 1882 à Turin, est un diplomate, écrivain et homme politique français.
Le cas de Gobineau est sans doute unique dans l'histoire de la pensée française : son œuvre, absolument méconnue dans son propre pays, a d'abord rayonné en Allemagne grâce à un biographe passionné, L. Schemann, et sous l'impulsion première de Richard Wagner, admirateur de son poème d'Amadis (1876). Personnage remarquable par la multiplicité de ses dons : poète et journaliste, orientaliste, diplomate, romancier, il n'est guère de domaine de l'art et de la pensée où il n'ait déployé avec superbe une activité un peu brouillonne d'autodidacte.
Bien plus que philosophe ou historien, Arthur de Gobineau apparaît aujourd'hui comme un lyrique, un rival de Mérimée dans la nouvelle, un psychologue que son art de romancier place dans le sillage de Stendhal.
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