Description
Bonjour à tous,
Ce premier épisode est destiné à vous présenter le podcast.
A qui s'adresse-t-il? Quels sujets vont être traités? De quelle manière? Et qui sommes-nous, quelle est notre légitimité à intervenir dans le domaine de la psychologie et particulièrement dans le domaine de la psycho pour les femmes?
Bonne écoute!
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour à toutes et à tous, bienvenue sur le podcast Psy Neuropsy. Podcast zéro. Je m'appelle Graziella et aujourd'hui nous allons nous présenter, vous expliquer où nous voulons aller avec vous et ce que nous voulons vous proposer. Vous l'avez compris, je ne suis pas toute seule. Je me tourne donc vers toi Sandrine pour expliquer ce qui se cache derrière ce nom Psy Neuropsy.
Bonjour Graziella. Tout d'abord, je voulais te dire que je suis ravie de me retrouver ici avec toi et de pouvoir enfin mettre en pratique ce fameux podcast dont on parle depuis si longtemps. Donc, psy-neuropsy, parce que je suis psychologue spécialisée en neuropsychologie. Et c'est vrai que, durant quelque temps, la sphère de la psychologie a beaucoup discuté à savoir si la neuropsychologie faisait ou non partie vraiment intégrante, si nous étions vraiment des psychologues. Et finalement, oui, nous avons été reconnus comme des psychologues à part entière. Et donc, souvent, on signe psychologue-neuropsychologue. Donc, j'ai choisi de décourter un petit peu tout ça et d'appeler... notre activité psy-neuropsy. À savoir que la neuropsychologie, c'est quelque chose qui... C'est une branche de la psychologie qui va plutôt concerner tout ce qui est cognitif. Donc tout ce qui va être troubles neurodéveloppementaux, dégénérescence du type Alzheimer, AVC, trauma crânien. Et tout ce qui va être plutôt psycho va plutôt toucher à la thérapie, à tout ce qui est gestion des émotions, gestion des relations. Et j'ai essayé de progresser dans cette activité-là en me spécialisant en thérapie systémique. Donc la systémique, c'est l'étude des groupes humains, que ce soit dans une famille, que ce soit dans l'entreprise. Également, en ayant des connaissances en thérapie cognitivo-comportementale, avec en particulier la pleine conscience, qui est très utile pour tout ce qui est gestion du stress, gestion de l'angoisse. Et enfin, pour la gestion de tout ce qui est psychotrauma, le MDR qui est une technique, un mode de thérapie qui sert énormément. Dans les cas, justement, de traumatisme. On reparlera certainement de tout ça au fil du podcast. Je suis donc psychologue en cabinet libéral depuis une vingtaine d'années. Donc, j'ai rencontré beaucoup de patients qui m'ont énormément enrichie et à qui j'ai aussi envie de redonner à travers ce podcast. J'ai par ailleurs aussi eu l'occasion d'intervenir dans les entreprises en analyse de la pratique.
Parfait. Et moi, je suis là pour vous, chers auditeurs, pour poser les questions que vous vous posez. Parce que je ne suis pas psychologue, je n'ai d'ailleurs aucune formation dans ce domaine, même si la psychologie est un sujet que je trouve passionnant et qu'il me paraît impensable de faire sans. Ça ne fait pas de moi une experte grâce à ça. Mon rôle est donc de me mettre à votre place et de poser toutes les questions utiles pour comprendre tout ce que Sandrine, tu vas nous expliquer. À ce sujet, est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur le but de ce podcast et des ateliers dont on parlera plus tard ? Mais désolé, je tease un peu, ça fait aussi partie du projet.
Alors, le podcast est destiné à offrir de la psychoéducation. La psychoéducation, ce sont des informations sur toutes les connaissances psychologiques, de manière à aider les gens dans la vie quotidienne. Ça leur permet d'être assez indépendants, de pouvoir gérer leurs propres problématiques, en sachant que... C'est une aide, ce n'est pas une thérapie. Encore une fois, on en reparlera. Mais le podcast est aussi destiné à donner envie aux gens d'aller découvrir cette sphère psychologique qui fait parfois un petit peu peur et la rendre accessible au plus grand nombre. Et puis enfin, c'est effectivement une ouverture sur les ateliers qu'on prépare ensemble.
Oui, d'ailleurs, j'interviens aussi dans ces ateliers que nous travaillons et que nous construisons ensemble. Avec toi, Sandrine, toi, tu as plutôt la charge du contenu. contenue psy, logiquement. De mon côté, je travaille avec toi sur la mise en forme de ces ateliers et j'interviendrai aussi pour vous proposer des ateliers d'écriture destinés à explorer la partie plus pratique de ce que nous voulons vous proposer, parce que mon domaine de compétence à moi, c'est l'écriture. J'écris pour les autres, parfois avec les autres et souvent pour moi. Et si je reviens sur ce que tu nous disais concernant les ateliers, les podcasts et les consultations, on pourrait quand même légitimement se demander pourquoi proposer des contenus via des podcasts et ateliers alors que tu reçois en consultation.
Pour moi, ce sont deux univers totalement différents. En thérapie, on offre un cadre et une écoute. Le cadre est sécurisé, les personnes peuvent s'exprimer, dire tout ce qu'elles ont envie de dire, et elles sont écoutées. C'est une écoute professionnelle qui va les aider à cheminer sur leur propre voie. Mais c'est très personnalisé, ça permet d'avoir une vision un petit peu multifactorielle de la problématique. Donc ça répond généralement à quelque chose qui est très, très personnel. Dans le podcast et dans les ateliers, il va y avoir trois axes. Le premier axe va être théorique, où on va présenter certainement les dernières avancées en termes de recherche. Et on va adjoindre à ça un point de vue clinique, puisque ça fait un certain nombre d'années, comme je le disais, que je vois des patients. Donc je vais présenter aussi mon point de vue clinique sur les principales problématiques que nous aborderons. Le deuxième axe sera plus pratique. Donc on va proposer des pistes de travail, et là tu vas aussi intervenir avec les ateliers d'écriture, pour que chacun puisse travailler sur les différents points que l'on aura proposés. Mais ce ne sera pas totalement personnalisé, ce sera plus général. Et enfin, ce sera factuel, puisqu'on prévoit des partages d'expériences, des partages de témoignages. L'atelier va offrir... une flexibilité. Les personnes vont aller sur le site psyneuropsy.fr, ils vont pouvoir se connecter quand ils le souhaitent, aller à leur rythme, alors que les consultations c'est une thérapie, donc c'est quelque chose qui est très régulier, qui demande un investissement à raison, en général, d'une fois toutes les deux semaines. Et puis les ateliers peuvent aussi intéresser des gens qui n'ont pas directement une problématique, mais qui ont quelqu'un dans leur entourage qui est touché par cette problématique et qui ne comprennent pas forcément pourquoi. les choses se passent de telle ou telle manière, eh bien, participer aux ateliers, ça leur permettra peut-être de mieux comprendre et de mieux interagir avec ces personnes-là. Oui,
c'est très, très important, effectivement, ce point-là. Concernant les témoignages aussi, je serai là pour faire le lien entre vous, auditeurs, et toi, Sandrine. Enfin, depuis le début, je dis vous, je dis vous, en parlant de vous qui nous écoutez, mais ces podcasts et ateliers peuvent être utiles à tout le monde. Et... On ne ferme d'un entendu la porte à personne, mais on a quand même eu envie de s'adresser à un public particulier, Sandrine.
Eh bien oui, nous sommes deux femmes, comme vous l'avez certainement entendu. Deux femmes de générations différentes, mais deux femmes qui ont envie de parler aux autres femmes. Pourquoi ça ? Parce que peut-être dans la santé mentale comme dans le reste de la santé, les femmes ont été longtemps laissées de côté et on a appliqué aux femmes les mêmes choses que ce qu'on appliquait aux hommes. Et aujourd'hui, on découvre que... Pour un grand nombre de pathologies, il y a des choses communes, mais il y a des choses aussi qui sont particulières aux femmes. Et on a beaucoup de retard là-dessus, donc c'est important d'essayer de le rattraper et de présenter tout ce qui est propre aux femmes pour les aider, pour que plus rapidement elles soient diagnostiquées, elles soient suivies, elles soient accompagnées, elles soient comprises. Donc c'est pour ça qu'on a choisi de parler aux femmes, dans le monde professionnel en particulier. Mais bien sûr, les ateliers, comme tu l'as dit, restent accessibles à tout le monde, à toutes les personnes qui... s'intéressent aux femmes ou qui vivent avec des femmes dans le monde professionnel. Et puis, on va essayer, comme on l'a dit aussi, de rendre les ateliers accessibles. Donc ça, ça va être grâce à toi, grâce aux questions que tu vas poser pour que chaque femme puisse y avoir accès et comprendre le propos qui sera le nôtre.
Sacré programme ! Et voilà, c'est déjà la fin de ce podcast de présentation et j'espère que cela vous donne envie d'écouter le prochain qui sortira en roulement de tambour, s'il vous plaît, le jeudi 8 août. Alors... mettez-vous une alerte, suivez PsyNeuroPsy sur Insta pour découvrir en avant-première le premier thème abordé et n'hésitez pas à partager ce podcast de présentation à vos connaissances. Si ça peut aider au moins une femme, c'est déjà pari gagné. A très vite !
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Bonjour à tous,
Ce premier épisode est destiné à vous présenter le podcast.
A qui s'adresse-t-il? Quels sujets vont être traités? De quelle manière? Et qui sommes-nous, quelle est notre légitimité à intervenir dans le domaine de la psychologie et particulièrement dans le domaine de la psycho pour les femmes?
Bonne écoute!
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bonjour à toutes et à tous, bienvenue sur le podcast Psy Neuropsy. Podcast zéro. Je m'appelle Graziella et aujourd'hui nous allons nous présenter, vous expliquer où nous voulons aller avec vous et ce que nous voulons vous proposer. Vous l'avez compris, je ne suis pas toute seule. Je me tourne donc vers toi Sandrine pour expliquer ce qui se cache derrière ce nom Psy Neuropsy.
Bonjour Graziella. Tout d'abord, je voulais te dire que je suis ravie de me retrouver ici avec toi et de pouvoir enfin mettre en pratique ce fameux podcast dont on parle depuis si longtemps. Donc, psy-neuropsy, parce que je suis psychologue spécialisée en neuropsychologie. Et c'est vrai que, durant quelque temps, la sphère de la psychologie a beaucoup discuté à savoir si la neuropsychologie faisait ou non partie vraiment intégrante, si nous étions vraiment des psychologues. Et finalement, oui, nous avons été reconnus comme des psychologues à part entière. Et donc, souvent, on signe psychologue-neuropsychologue. Donc, j'ai choisi de décourter un petit peu tout ça et d'appeler... notre activité psy-neuropsy. À savoir que la neuropsychologie, c'est quelque chose qui... C'est une branche de la psychologie qui va plutôt concerner tout ce qui est cognitif. Donc tout ce qui va être troubles neurodéveloppementaux, dégénérescence du type Alzheimer, AVC, trauma crânien. Et tout ce qui va être plutôt psycho va plutôt toucher à la thérapie, à tout ce qui est gestion des émotions, gestion des relations. Et j'ai essayé de progresser dans cette activité-là en me spécialisant en thérapie systémique. Donc la systémique, c'est l'étude des groupes humains, que ce soit dans une famille, que ce soit dans l'entreprise. Également, en ayant des connaissances en thérapie cognitivo-comportementale, avec en particulier la pleine conscience, qui est très utile pour tout ce qui est gestion du stress, gestion de l'angoisse. Et enfin, pour la gestion de tout ce qui est psychotrauma, le MDR qui est une technique, un mode de thérapie qui sert énormément. Dans les cas, justement, de traumatisme. On reparlera certainement de tout ça au fil du podcast. Je suis donc psychologue en cabinet libéral depuis une vingtaine d'années. Donc, j'ai rencontré beaucoup de patients qui m'ont énormément enrichie et à qui j'ai aussi envie de redonner à travers ce podcast. J'ai par ailleurs aussi eu l'occasion d'intervenir dans les entreprises en analyse de la pratique.
Parfait. Et moi, je suis là pour vous, chers auditeurs, pour poser les questions que vous vous posez. Parce que je ne suis pas psychologue, je n'ai d'ailleurs aucune formation dans ce domaine, même si la psychologie est un sujet que je trouve passionnant et qu'il me paraît impensable de faire sans. Ça ne fait pas de moi une experte grâce à ça. Mon rôle est donc de me mettre à votre place et de poser toutes les questions utiles pour comprendre tout ce que Sandrine, tu vas nous expliquer. À ce sujet, est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur le but de ce podcast et des ateliers dont on parlera plus tard ? Mais désolé, je tease un peu, ça fait aussi partie du projet.
Alors, le podcast est destiné à offrir de la psychoéducation. La psychoéducation, ce sont des informations sur toutes les connaissances psychologiques, de manière à aider les gens dans la vie quotidienne. Ça leur permet d'être assez indépendants, de pouvoir gérer leurs propres problématiques, en sachant que... C'est une aide, ce n'est pas une thérapie. Encore une fois, on en reparlera. Mais le podcast est aussi destiné à donner envie aux gens d'aller découvrir cette sphère psychologique qui fait parfois un petit peu peur et la rendre accessible au plus grand nombre. Et puis enfin, c'est effectivement une ouverture sur les ateliers qu'on prépare ensemble.
Oui, d'ailleurs, j'interviens aussi dans ces ateliers que nous travaillons et que nous construisons ensemble. Avec toi, Sandrine, toi, tu as plutôt la charge du contenu. contenue psy, logiquement. De mon côté, je travaille avec toi sur la mise en forme de ces ateliers et j'interviendrai aussi pour vous proposer des ateliers d'écriture destinés à explorer la partie plus pratique de ce que nous voulons vous proposer, parce que mon domaine de compétence à moi, c'est l'écriture. J'écris pour les autres, parfois avec les autres et souvent pour moi. Et si je reviens sur ce que tu nous disais concernant les ateliers, les podcasts et les consultations, on pourrait quand même légitimement se demander pourquoi proposer des contenus via des podcasts et ateliers alors que tu reçois en consultation.
Pour moi, ce sont deux univers totalement différents. En thérapie, on offre un cadre et une écoute. Le cadre est sécurisé, les personnes peuvent s'exprimer, dire tout ce qu'elles ont envie de dire, et elles sont écoutées. C'est une écoute professionnelle qui va les aider à cheminer sur leur propre voie. Mais c'est très personnalisé, ça permet d'avoir une vision un petit peu multifactorielle de la problématique. Donc ça répond généralement à quelque chose qui est très, très personnel. Dans le podcast et dans les ateliers, il va y avoir trois axes. Le premier axe va être théorique, où on va présenter certainement les dernières avancées en termes de recherche. Et on va adjoindre à ça un point de vue clinique, puisque ça fait un certain nombre d'années, comme je le disais, que je vois des patients. Donc je vais présenter aussi mon point de vue clinique sur les principales problématiques que nous aborderons. Le deuxième axe sera plus pratique. Donc on va proposer des pistes de travail, et là tu vas aussi intervenir avec les ateliers d'écriture, pour que chacun puisse travailler sur les différents points que l'on aura proposés. Mais ce ne sera pas totalement personnalisé, ce sera plus général. Et enfin, ce sera factuel, puisqu'on prévoit des partages d'expériences, des partages de témoignages. L'atelier va offrir... une flexibilité. Les personnes vont aller sur le site psyneuropsy.fr, ils vont pouvoir se connecter quand ils le souhaitent, aller à leur rythme, alors que les consultations c'est une thérapie, donc c'est quelque chose qui est très régulier, qui demande un investissement à raison, en général, d'une fois toutes les deux semaines. Et puis les ateliers peuvent aussi intéresser des gens qui n'ont pas directement une problématique, mais qui ont quelqu'un dans leur entourage qui est touché par cette problématique et qui ne comprennent pas forcément pourquoi. les choses se passent de telle ou telle manière, eh bien, participer aux ateliers, ça leur permettra peut-être de mieux comprendre et de mieux interagir avec ces personnes-là. Oui,
c'est très, très important, effectivement, ce point-là. Concernant les témoignages aussi, je serai là pour faire le lien entre vous, auditeurs, et toi, Sandrine. Enfin, depuis le début, je dis vous, je dis vous, en parlant de vous qui nous écoutez, mais ces podcasts et ateliers peuvent être utiles à tout le monde. Et... On ne ferme d'un entendu la porte à personne, mais on a quand même eu envie de s'adresser à un public particulier, Sandrine.
Eh bien oui, nous sommes deux femmes, comme vous l'avez certainement entendu. Deux femmes de générations différentes, mais deux femmes qui ont envie de parler aux autres femmes. Pourquoi ça ? Parce que peut-être dans la santé mentale comme dans le reste de la santé, les femmes ont été longtemps laissées de côté et on a appliqué aux femmes les mêmes choses que ce qu'on appliquait aux hommes. Et aujourd'hui, on découvre que... Pour un grand nombre de pathologies, il y a des choses communes, mais il y a des choses aussi qui sont particulières aux femmes. Et on a beaucoup de retard là-dessus, donc c'est important d'essayer de le rattraper et de présenter tout ce qui est propre aux femmes pour les aider, pour que plus rapidement elles soient diagnostiquées, elles soient suivies, elles soient accompagnées, elles soient comprises. Donc c'est pour ça qu'on a choisi de parler aux femmes, dans le monde professionnel en particulier. Mais bien sûr, les ateliers, comme tu l'as dit, restent accessibles à tout le monde, à toutes les personnes qui... s'intéressent aux femmes ou qui vivent avec des femmes dans le monde professionnel. Et puis, on va essayer, comme on l'a dit aussi, de rendre les ateliers accessibles. Donc ça, ça va être grâce à toi, grâce aux questions que tu vas poser pour que chaque femme puisse y avoir accès et comprendre le propos qui sera le nôtre.
Sacré programme ! Et voilà, c'est déjà la fin de ce podcast de présentation et j'espère que cela vous donne envie d'écouter le prochain qui sortira en roulement de tambour, s'il vous plaît, le jeudi 8 août. Alors... mettez-vous une alerte, suivez PsyNeuroPsy sur Insta pour découvrir en avant-première le premier thème abordé et n'hésitez pas à partager ce podcast de présentation à vos connaissances. Si ça peut aider au moins une femme, c'est déjà pari gagné. A très vite !
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Bonjour à tous,
Ce premier épisode est destiné à vous présenter le podcast.
A qui s'adresse-t-il? Quels sujets vont être traités? De quelle manière? Et qui sommes-nous, quelle est notre légitimité à intervenir dans le domaine de la psychologie et particulièrement dans le domaine de la psycho pour les femmes?
Bonne écoute!
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bonjour à toutes et à tous, bienvenue sur le podcast Psy Neuropsy. Podcast zéro. Je m'appelle Graziella et aujourd'hui nous allons nous présenter, vous expliquer où nous voulons aller avec vous et ce que nous voulons vous proposer. Vous l'avez compris, je ne suis pas toute seule. Je me tourne donc vers toi Sandrine pour expliquer ce qui se cache derrière ce nom Psy Neuropsy.
Bonjour Graziella. Tout d'abord, je voulais te dire que je suis ravie de me retrouver ici avec toi et de pouvoir enfin mettre en pratique ce fameux podcast dont on parle depuis si longtemps. Donc, psy-neuropsy, parce que je suis psychologue spécialisée en neuropsychologie. Et c'est vrai que, durant quelque temps, la sphère de la psychologie a beaucoup discuté à savoir si la neuropsychologie faisait ou non partie vraiment intégrante, si nous étions vraiment des psychologues. Et finalement, oui, nous avons été reconnus comme des psychologues à part entière. Et donc, souvent, on signe psychologue-neuropsychologue. Donc, j'ai choisi de décourter un petit peu tout ça et d'appeler... notre activité psy-neuropsy. À savoir que la neuropsychologie, c'est quelque chose qui... C'est une branche de la psychologie qui va plutôt concerner tout ce qui est cognitif. Donc tout ce qui va être troubles neurodéveloppementaux, dégénérescence du type Alzheimer, AVC, trauma crânien. Et tout ce qui va être plutôt psycho va plutôt toucher à la thérapie, à tout ce qui est gestion des émotions, gestion des relations. Et j'ai essayé de progresser dans cette activité-là en me spécialisant en thérapie systémique. Donc la systémique, c'est l'étude des groupes humains, que ce soit dans une famille, que ce soit dans l'entreprise. Également, en ayant des connaissances en thérapie cognitivo-comportementale, avec en particulier la pleine conscience, qui est très utile pour tout ce qui est gestion du stress, gestion de l'angoisse. Et enfin, pour la gestion de tout ce qui est psychotrauma, le MDR qui est une technique, un mode de thérapie qui sert énormément. Dans les cas, justement, de traumatisme. On reparlera certainement de tout ça au fil du podcast. Je suis donc psychologue en cabinet libéral depuis une vingtaine d'années. Donc, j'ai rencontré beaucoup de patients qui m'ont énormément enrichie et à qui j'ai aussi envie de redonner à travers ce podcast. J'ai par ailleurs aussi eu l'occasion d'intervenir dans les entreprises en analyse de la pratique.
Parfait. Et moi, je suis là pour vous, chers auditeurs, pour poser les questions que vous vous posez. Parce que je ne suis pas psychologue, je n'ai d'ailleurs aucune formation dans ce domaine, même si la psychologie est un sujet que je trouve passionnant et qu'il me paraît impensable de faire sans. Ça ne fait pas de moi une experte grâce à ça. Mon rôle est donc de me mettre à votre place et de poser toutes les questions utiles pour comprendre tout ce que Sandrine, tu vas nous expliquer. À ce sujet, est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur le but de ce podcast et des ateliers dont on parlera plus tard ? Mais désolé, je tease un peu, ça fait aussi partie du projet.
Alors, le podcast est destiné à offrir de la psychoéducation. La psychoéducation, ce sont des informations sur toutes les connaissances psychologiques, de manière à aider les gens dans la vie quotidienne. Ça leur permet d'être assez indépendants, de pouvoir gérer leurs propres problématiques, en sachant que... C'est une aide, ce n'est pas une thérapie. Encore une fois, on en reparlera. Mais le podcast est aussi destiné à donner envie aux gens d'aller découvrir cette sphère psychologique qui fait parfois un petit peu peur et la rendre accessible au plus grand nombre. Et puis enfin, c'est effectivement une ouverture sur les ateliers qu'on prépare ensemble.
Oui, d'ailleurs, j'interviens aussi dans ces ateliers que nous travaillons et que nous construisons ensemble. Avec toi, Sandrine, toi, tu as plutôt la charge du contenu. contenue psy, logiquement. De mon côté, je travaille avec toi sur la mise en forme de ces ateliers et j'interviendrai aussi pour vous proposer des ateliers d'écriture destinés à explorer la partie plus pratique de ce que nous voulons vous proposer, parce que mon domaine de compétence à moi, c'est l'écriture. J'écris pour les autres, parfois avec les autres et souvent pour moi. Et si je reviens sur ce que tu nous disais concernant les ateliers, les podcasts et les consultations, on pourrait quand même légitimement se demander pourquoi proposer des contenus via des podcasts et ateliers alors que tu reçois en consultation.
Pour moi, ce sont deux univers totalement différents. En thérapie, on offre un cadre et une écoute. Le cadre est sécurisé, les personnes peuvent s'exprimer, dire tout ce qu'elles ont envie de dire, et elles sont écoutées. C'est une écoute professionnelle qui va les aider à cheminer sur leur propre voie. Mais c'est très personnalisé, ça permet d'avoir une vision un petit peu multifactorielle de la problématique. Donc ça répond généralement à quelque chose qui est très, très personnel. Dans le podcast et dans les ateliers, il va y avoir trois axes. Le premier axe va être théorique, où on va présenter certainement les dernières avancées en termes de recherche. Et on va adjoindre à ça un point de vue clinique, puisque ça fait un certain nombre d'années, comme je le disais, que je vois des patients. Donc je vais présenter aussi mon point de vue clinique sur les principales problématiques que nous aborderons. Le deuxième axe sera plus pratique. Donc on va proposer des pistes de travail, et là tu vas aussi intervenir avec les ateliers d'écriture, pour que chacun puisse travailler sur les différents points que l'on aura proposés. Mais ce ne sera pas totalement personnalisé, ce sera plus général. Et enfin, ce sera factuel, puisqu'on prévoit des partages d'expériences, des partages de témoignages. L'atelier va offrir... une flexibilité. Les personnes vont aller sur le site psyneuropsy.fr, ils vont pouvoir se connecter quand ils le souhaitent, aller à leur rythme, alors que les consultations c'est une thérapie, donc c'est quelque chose qui est très régulier, qui demande un investissement à raison, en général, d'une fois toutes les deux semaines. Et puis les ateliers peuvent aussi intéresser des gens qui n'ont pas directement une problématique, mais qui ont quelqu'un dans leur entourage qui est touché par cette problématique et qui ne comprennent pas forcément pourquoi. les choses se passent de telle ou telle manière, eh bien, participer aux ateliers, ça leur permettra peut-être de mieux comprendre et de mieux interagir avec ces personnes-là. Oui,
c'est très, très important, effectivement, ce point-là. Concernant les témoignages aussi, je serai là pour faire le lien entre vous, auditeurs, et toi, Sandrine. Enfin, depuis le début, je dis vous, je dis vous, en parlant de vous qui nous écoutez, mais ces podcasts et ateliers peuvent être utiles à tout le monde. Et... On ne ferme d'un entendu la porte à personne, mais on a quand même eu envie de s'adresser à un public particulier, Sandrine.
Eh bien oui, nous sommes deux femmes, comme vous l'avez certainement entendu. Deux femmes de générations différentes, mais deux femmes qui ont envie de parler aux autres femmes. Pourquoi ça ? Parce que peut-être dans la santé mentale comme dans le reste de la santé, les femmes ont été longtemps laissées de côté et on a appliqué aux femmes les mêmes choses que ce qu'on appliquait aux hommes. Et aujourd'hui, on découvre que... Pour un grand nombre de pathologies, il y a des choses communes, mais il y a des choses aussi qui sont particulières aux femmes. Et on a beaucoup de retard là-dessus, donc c'est important d'essayer de le rattraper et de présenter tout ce qui est propre aux femmes pour les aider, pour que plus rapidement elles soient diagnostiquées, elles soient suivies, elles soient accompagnées, elles soient comprises. Donc c'est pour ça qu'on a choisi de parler aux femmes, dans le monde professionnel en particulier. Mais bien sûr, les ateliers, comme tu l'as dit, restent accessibles à tout le monde, à toutes les personnes qui... s'intéressent aux femmes ou qui vivent avec des femmes dans le monde professionnel. Et puis, on va essayer, comme on l'a dit aussi, de rendre les ateliers accessibles. Donc ça, ça va être grâce à toi, grâce aux questions que tu vas poser pour que chaque femme puisse y avoir accès et comprendre le propos qui sera le nôtre.
Sacré programme ! Et voilà, c'est déjà la fin de ce podcast de présentation et j'espère que cela vous donne envie d'écouter le prochain qui sortira en roulement de tambour, s'il vous plaît, le jeudi 8 août. Alors... mettez-vous une alerte, suivez PsyNeuroPsy sur Insta pour découvrir en avant-première le premier thème abordé et n'hésitez pas à partager ce podcast de présentation à vos connaissances. Si ça peut aider au moins une femme, c'est déjà pari gagné. A très vite !
Description
Bonjour à tous,
Ce premier épisode est destiné à vous présenter le podcast.
A qui s'adresse-t-il? Quels sujets vont être traités? De quelle manière? Et qui sommes-nous, quelle est notre légitimité à intervenir dans le domaine de la psychologie et particulièrement dans le domaine de la psycho pour les femmes?
Bonne écoute!
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour à toutes et à tous, bienvenue sur le podcast Psy Neuropsy. Podcast zéro. Je m'appelle Graziella et aujourd'hui nous allons nous présenter, vous expliquer où nous voulons aller avec vous et ce que nous voulons vous proposer. Vous l'avez compris, je ne suis pas toute seule. Je me tourne donc vers toi Sandrine pour expliquer ce qui se cache derrière ce nom Psy Neuropsy.
Bonjour Graziella. Tout d'abord, je voulais te dire que je suis ravie de me retrouver ici avec toi et de pouvoir enfin mettre en pratique ce fameux podcast dont on parle depuis si longtemps. Donc, psy-neuropsy, parce que je suis psychologue spécialisée en neuropsychologie. Et c'est vrai que, durant quelque temps, la sphère de la psychologie a beaucoup discuté à savoir si la neuropsychologie faisait ou non partie vraiment intégrante, si nous étions vraiment des psychologues. Et finalement, oui, nous avons été reconnus comme des psychologues à part entière. Et donc, souvent, on signe psychologue-neuropsychologue. Donc, j'ai choisi de décourter un petit peu tout ça et d'appeler... notre activité psy-neuropsy. À savoir que la neuropsychologie, c'est quelque chose qui... C'est une branche de la psychologie qui va plutôt concerner tout ce qui est cognitif. Donc tout ce qui va être troubles neurodéveloppementaux, dégénérescence du type Alzheimer, AVC, trauma crânien. Et tout ce qui va être plutôt psycho va plutôt toucher à la thérapie, à tout ce qui est gestion des émotions, gestion des relations. Et j'ai essayé de progresser dans cette activité-là en me spécialisant en thérapie systémique. Donc la systémique, c'est l'étude des groupes humains, que ce soit dans une famille, que ce soit dans l'entreprise. Également, en ayant des connaissances en thérapie cognitivo-comportementale, avec en particulier la pleine conscience, qui est très utile pour tout ce qui est gestion du stress, gestion de l'angoisse. Et enfin, pour la gestion de tout ce qui est psychotrauma, le MDR qui est une technique, un mode de thérapie qui sert énormément. Dans les cas, justement, de traumatisme. On reparlera certainement de tout ça au fil du podcast. Je suis donc psychologue en cabinet libéral depuis une vingtaine d'années. Donc, j'ai rencontré beaucoup de patients qui m'ont énormément enrichie et à qui j'ai aussi envie de redonner à travers ce podcast. J'ai par ailleurs aussi eu l'occasion d'intervenir dans les entreprises en analyse de la pratique.
Parfait. Et moi, je suis là pour vous, chers auditeurs, pour poser les questions que vous vous posez. Parce que je ne suis pas psychologue, je n'ai d'ailleurs aucune formation dans ce domaine, même si la psychologie est un sujet que je trouve passionnant et qu'il me paraît impensable de faire sans. Ça ne fait pas de moi une experte grâce à ça. Mon rôle est donc de me mettre à votre place et de poser toutes les questions utiles pour comprendre tout ce que Sandrine, tu vas nous expliquer. À ce sujet, est-ce que tu pourrais nous en dire un peu plus sur le but de ce podcast et des ateliers dont on parlera plus tard ? Mais désolé, je tease un peu, ça fait aussi partie du projet.
Alors, le podcast est destiné à offrir de la psychoéducation. La psychoéducation, ce sont des informations sur toutes les connaissances psychologiques, de manière à aider les gens dans la vie quotidienne. Ça leur permet d'être assez indépendants, de pouvoir gérer leurs propres problématiques, en sachant que... C'est une aide, ce n'est pas une thérapie. Encore une fois, on en reparlera. Mais le podcast est aussi destiné à donner envie aux gens d'aller découvrir cette sphère psychologique qui fait parfois un petit peu peur et la rendre accessible au plus grand nombre. Et puis enfin, c'est effectivement une ouverture sur les ateliers qu'on prépare ensemble.
Oui, d'ailleurs, j'interviens aussi dans ces ateliers que nous travaillons et que nous construisons ensemble. Avec toi, Sandrine, toi, tu as plutôt la charge du contenu. contenue psy, logiquement. De mon côté, je travaille avec toi sur la mise en forme de ces ateliers et j'interviendrai aussi pour vous proposer des ateliers d'écriture destinés à explorer la partie plus pratique de ce que nous voulons vous proposer, parce que mon domaine de compétence à moi, c'est l'écriture. J'écris pour les autres, parfois avec les autres et souvent pour moi. Et si je reviens sur ce que tu nous disais concernant les ateliers, les podcasts et les consultations, on pourrait quand même légitimement se demander pourquoi proposer des contenus via des podcasts et ateliers alors que tu reçois en consultation.
Pour moi, ce sont deux univers totalement différents. En thérapie, on offre un cadre et une écoute. Le cadre est sécurisé, les personnes peuvent s'exprimer, dire tout ce qu'elles ont envie de dire, et elles sont écoutées. C'est une écoute professionnelle qui va les aider à cheminer sur leur propre voie. Mais c'est très personnalisé, ça permet d'avoir une vision un petit peu multifactorielle de la problématique. Donc ça répond généralement à quelque chose qui est très, très personnel. Dans le podcast et dans les ateliers, il va y avoir trois axes. Le premier axe va être théorique, où on va présenter certainement les dernières avancées en termes de recherche. Et on va adjoindre à ça un point de vue clinique, puisque ça fait un certain nombre d'années, comme je le disais, que je vois des patients. Donc je vais présenter aussi mon point de vue clinique sur les principales problématiques que nous aborderons. Le deuxième axe sera plus pratique. Donc on va proposer des pistes de travail, et là tu vas aussi intervenir avec les ateliers d'écriture, pour que chacun puisse travailler sur les différents points que l'on aura proposés. Mais ce ne sera pas totalement personnalisé, ce sera plus général. Et enfin, ce sera factuel, puisqu'on prévoit des partages d'expériences, des partages de témoignages. L'atelier va offrir... une flexibilité. Les personnes vont aller sur le site psyneuropsy.fr, ils vont pouvoir se connecter quand ils le souhaitent, aller à leur rythme, alors que les consultations c'est une thérapie, donc c'est quelque chose qui est très régulier, qui demande un investissement à raison, en général, d'une fois toutes les deux semaines. Et puis les ateliers peuvent aussi intéresser des gens qui n'ont pas directement une problématique, mais qui ont quelqu'un dans leur entourage qui est touché par cette problématique et qui ne comprennent pas forcément pourquoi. les choses se passent de telle ou telle manière, eh bien, participer aux ateliers, ça leur permettra peut-être de mieux comprendre et de mieux interagir avec ces personnes-là. Oui,
c'est très, très important, effectivement, ce point-là. Concernant les témoignages aussi, je serai là pour faire le lien entre vous, auditeurs, et toi, Sandrine. Enfin, depuis le début, je dis vous, je dis vous, en parlant de vous qui nous écoutez, mais ces podcasts et ateliers peuvent être utiles à tout le monde. Et... On ne ferme d'un entendu la porte à personne, mais on a quand même eu envie de s'adresser à un public particulier, Sandrine.
Eh bien oui, nous sommes deux femmes, comme vous l'avez certainement entendu. Deux femmes de générations différentes, mais deux femmes qui ont envie de parler aux autres femmes. Pourquoi ça ? Parce que peut-être dans la santé mentale comme dans le reste de la santé, les femmes ont été longtemps laissées de côté et on a appliqué aux femmes les mêmes choses que ce qu'on appliquait aux hommes. Et aujourd'hui, on découvre que... Pour un grand nombre de pathologies, il y a des choses communes, mais il y a des choses aussi qui sont particulières aux femmes. Et on a beaucoup de retard là-dessus, donc c'est important d'essayer de le rattraper et de présenter tout ce qui est propre aux femmes pour les aider, pour que plus rapidement elles soient diagnostiquées, elles soient suivies, elles soient accompagnées, elles soient comprises. Donc c'est pour ça qu'on a choisi de parler aux femmes, dans le monde professionnel en particulier. Mais bien sûr, les ateliers, comme tu l'as dit, restent accessibles à tout le monde, à toutes les personnes qui... s'intéressent aux femmes ou qui vivent avec des femmes dans le monde professionnel. Et puis, on va essayer, comme on l'a dit aussi, de rendre les ateliers accessibles. Donc ça, ça va être grâce à toi, grâce aux questions que tu vas poser pour que chaque femme puisse y avoir accès et comprendre le propos qui sera le nôtre.
Sacré programme ! Et voilà, c'est déjà la fin de ce podcast de présentation et j'espère que cela vous donne envie d'écouter le prochain qui sortira en roulement de tambour, s'il vous plaît, le jeudi 8 août. Alors... mettez-vous une alerte, suivez PsyNeuroPsy sur Insta pour découvrir en avant-première le premier thème abordé et n'hésitez pas à partager ce podcast de présentation à vos connaissances. Si ça peut aider au moins une femme, c'est déjà pari gagné. A très vite !
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