Speaker #0bienvenue dans question de coach le podcast qui booste les leaders et leur leadership je suis Audrey Jeanbond consultante business coach et hypnothérapeute certifié ce podcast s'adresse à vous leader manager entrepreneur vous qui voulez retrouver du sens du souffle et du pouvoir intérieur dans votre manière de diriger. Ici, pas de recettes magiques, mais des vraies questions, des réponses puissantes et des outils pour reprendre les règles de votre leadership. Donc si vous êtes prêt à passer de la pression à la puissance, c'est ici que ça se passe. C'est parti pour l'épisode d'aujourd'hui. Bonjour et bienvenue dans Questions de Coach. Cette semaine, nous allons mettre des mots sur les questions que les leaders n'ont pas toujours formulées tout haut. Vous savez que j'accompagne des leaders ambitieux, souvent exigeants avec eux-mêmes. Je les aide à retrouver de la clarté, de la puissance intérieure, une forme d'équilibre. Et aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui est rarement, très rarement exprimé à voir haute, justement par les leaders, les managers, les chefs d'entreprise que j'accompagne. Mais je le retrouve dans la plupart de mes accompagnements. Allez, je vais dire 90-95% du temps, j'entends parler, directement ou indirectement, de la solitude du leader, de la solitude du manager, de la solitude du chef d'entreprise. Vous êtes nombreux à la vivre, vous êtes peu à en parler. Alors aujourd'hui, j'ose ouvrir cet espace pour vous. Alors la solitude du manager, du leader, à quoi ça ressemble ? Vous savez que quand on est dirigeant, on est très souvent entouré, on n'est pas seul. On a des collaborateurs, des partenaires, des clients, des membres du board. Si on regarde votre calendrier, il est très certainement plein, plein de meetings, de rendez-vous, de management meetings, de teams meetings, que sais-je encore. Mais malgré cette apparente densité, relationnel, il règne quand même une sensation étrange et pénétrante à la fois, c'est celle d'être seul au sommet. On attend de vous des décisions, des certitudes, de la stabilité, mais à l'intérieur, il y a souvent des doutes, des peurs, des nuits sans sommeil, ou alors on se réveille à 3h du matin et puis on se retrouve en train de faire ses emails, ou des tensions qui s'accumulent, des choix impossibles à arbitrer seul. Et puis... personnes véritablement à qui on parlait, pas véritablement. Je vais vous faire référence à un des tout premiers coachings que j'ai fait il y a une dizaine d'années. Et en fait, c'était un dirigeant dans l'entreprise dans laquelle je travaillais. En fait, je travaillais dans une entreprise où j'avais exercé d'abord d'autres fonctions, et puis je suis devenue coach vraiment avec beaucoup de chance, et donc j'étais coach interne. Et une des toutes premières personnes qui est venue me voir était un des associés. Et au bout de dix minutes, un quart d'heure, je finis par comprendre en fait toute cette solitude de décision, la difficulté du doute, de la peur, les tensions, les nuits sans sommeil, mais surtout l'incapacité ou la difficulté de trouver une personne de confiance à qui en parler. Et cet associé me disait « je ne peux pas en parler à ma femme parce qu'elle va avoir peur, je ne peux pas en parler à mes amis parce que finalement moi je gagne. » très très bien ma vie, ils vont finir par me rironner. Je ne peux pas en parler à mes associés. De quoi est-ce que je vais avoir l'air ? Je ne peux pas en parler à mes équipes. Mais finalement, à qui je peux en parler ? Et parce que c'est ce rôle de leader qui impose le masque, celui du capitaine qui tient bon la barre, bien dans la tempête, celui qui ne doute pas et en tout cas, il ne faut pas montrer ce doute. D'où vient cette solitude finalement ? Parce qu'on peut être entouré et puis finalement la solitude elle est quand même là. En réfléchissant et en regardant dans mon passé de cause, je vois plusieurs choses. Je vois d'abord le poids des attentes. Vous êtes celui ou celle qui doit avoir une vision, une réponse, cette injonction d'avoir... ou d'être le seul, avoir cette vision, la réponse, la solution, et ça, ça devient une véritable prison mentale. Et plus en fait on monte en plus en hiérarchie, plus les personnes viennent vous voir, pas quand ça va bien, mais plutôt quand ça va mal, et quand ils ont besoin de trouver des solutions, des réponses à leurs problématiques. Et donc vous finissez finalement par voir que des gens qui ont des attentes envers vous, et finalement ça finit par avoir du poids. Toutes ces attentes les unes après les autres. Ça c'est la première chose, c'est le poids des attentes. La deuxième chose, c'est la peur du jugement. Montrer de la vulnérabilité, je vous en parlais de cet associé que j'avais vu il y a une dizaine d'années qui me parlait de cette vulnérabilité, mais je ne peux pas en parler à mes co-associés. Qu'est-ce qu'ils vont penser de moi ? Je ne peux pas en parler à mes équipes. De quoi est-ce que je vais avoir l'air ? C'est ce risque de paraître faible, voire instable, vulnérable, inepte, finalement à remplir les fonctions de leader qu'on leur a données. Donc cette peur du jugement, c'est le deuxième point. Le troisième point, c'est l'isolement émotionnel. Il n'y a pas vraiment d'espace neutre pour déposer vos émotions, vos failles, vos interrogations existentielles. C'est exactement ce qu'on disait aussi, c'est que nulle part cet associé ne pouvait vraiment donner ses émotions, donner ses interrogations, donner cette vulnérabilité à une personne qui soit émotionnellement neutre et capable aussi de recevoir sans jugement ce type d'émotion, ce type d'interrogation, ce type de vulnérabilité. Ça c'est la troisième chose. Et la quatrième chose, c'est peut-être la plus puissante et celle sur laquelle on peut le plus agir finalement, ce sont les croyances inconscientes. Ce sont ces barrières desquelles on n'est pas toujours conscient, mais les barrières qu'on se met soi-même en travers de notre propre chemin. Quand on est un leader du type « je dois tout gérer moi-même » ou « personne ne peut comprendre ce que je vis » , « je ne peux pas me permettre de craquer » ou « je ne suis pas arrivé là par hasard, donc de par mon passé, je dois aussi continuer à démontrer » , « j'ai toujours été un excellent leader » , « je ne peux pas m'arrêter en chemin » , etc. Et croyez-moi, j'en ai entendu depuis une dizaine d'années que j'exerce des fonctions de coach en interne et maintenant en externe. Je peux vous dire que des croyances inconscientes, des biais cognitifs comme cela, j'en ai entendu de tout genre. Mais c'est souvent, je dois tout gérer moi-même. C'est moi le chef d'équipe, c'est moi le manager, c'est moi le leader. C'est à moi de trouver la vision, la réponse, la solution. Cette solitude, en plus, ce n'est pas un ressenti passager. Vous savez, quand on est en prise de poste, quelquefois, on peut se sentir déstabilisé pendant 20, 30 jours, 60 jours. Bon, ça peut passer. La solitude de leader, en fait, elle se renforce en plus de jour en jour. Et ça devient un frein à la lucidité, au discernement, à l'agilité et aussi à l'épanouissement. Et sur le long terme, finalement, C'est un poison que vous venez de distiller dans chacune de vos journées que vous passez. Alors je vais vous partager ici un cas réel, on va parler de Marc qui ne s'appelle pas Marc, c'est comme d'habitude, que j'ai rencontré l'hiver dernier. Marc, il a entre 45 et 50 ans, c'est le CEO d'une entreprise vraiment en pleine croissance. Donc de l'extérieur, vous voyez la success story. Vraiment, vous voyez... La personne qui a tout réussi, il a la belle maison, la belle famille, dans son boulot, il s'éclate, il est bien fait de sa personne. Enfin, vraiment, de l'extérieur, tout va bien. Et en séance, finalement, très rapidement, elle va me dire, moi, je me sens comme une machine. Plus rien ne me touche. J'ai l'impression d'être seule, même quand je suis entourée et je suis beaucoup entourée. Je suis tout le temps occupée. Il y a toujours beaucoup de gens autour de moi, mais je me sens... comme un hypocrite et je me sens aussi très seule et j'ai peur de m'effondrer. Et l'image qu'il a utilisée, que je trouve assez judicieuse, il me dit « Je me sens en fait comme un funambule sur un fil sans fin. » C'est-à-dire que j'ai toujours l'impression d'être sur ce fil où je ne peux tomber à droite, je vais tomber à gauche, mais je ne peux jamais atteindre l'autre côté de ce fil. À chaque fois que j'ai l'impression d'aller de l'autre côté, finalement le fil se rallonge. Et l'autre côté, c'est le prochain board meeting. Et puis l'autre côté, ça va être la prochaine saison fiscale. L'autre côté, ça va être la prochaine présentation devant les associés, etc. Parce que finalement, il va y avoir toujours une autre présentation, un autre board meeting, et ainsi de suite. Et donc ce fil va s'étendre à l'infini. Et Marc me disait donc... Moi, pour moi, j'ai l'impression de toute façon d'être toujours seule sur ce fil. On ne peut rien, on ne peut en rien m'aider parce que si on me touche, je vais finir par tomber. Et je n'ai pas le choix que de continuer à avancer pour finalement atteindre l'autre rive. On a commencé ensemble très rapidement à faire un travail d'écoute sur lui-même pour que lui déjà commence à s'écouter lui-même en essayant de ne pas se juger ou en tout cas en suspendant son propre jugement. On a exploité ensemble ses croyances, ses attentes envers lui-même, ses émotions refoulées qu'il avait en permanence. Et Dieu sait s'il y en avait beaucoup, parce que pour lui, ce n'était pas quelque chose qu'il avait l'habitude de faire, ce travail. Et puis il a fini par oser dire ce qu'il ne disait jamais à personne, qu'il se sentait dépassé, fatigué, sans espace pour respirer ou sans la possibilité de poser le pied sur quelque chose de ferme et de soutenant. Et grâce à notre travail en profondeur, donc du deep coaching, qui est un lien entre le coaching et l'hypnothérapie que je pratique le plus souvent avec ce type de profil, il a fini par reconnecter à ses envies, il a appris à poser ses limites, il a appris à déléguer autrement. Il a appris, il a compris surtout que l'autorité ne se perd pas quand on exprime ses doutes et en fait elle finit par se renforcer. Et elle se renforce en particulier quand on l'exprime avec finalement un partenaire, quelqu'un qui va vous tenir la main sur ce fameux fil et qui va vous permettre d'atteindre l'autre rive. Et donc ce qui va être intéressant, si vous vous trouvez aussi dans le même cas que Marc, si vous avez l'impression d'être sur ce fil sans fin et de ne jamais atteindre l'autre rive, ça va être de trouver un partenaire, quelqu'un à ce moment-là qui va... vous tenir la main mais ça peut pas être n'importe qui alors il va falloir alors je vous dis ça ne peut pas être n'importe qui mais du coup cette personne quel type de profil elle peut avoir moi j'ai joué ce rôle là avec marc mais c'est pas forcément un coach ça peut être quelqu'un qu'on appellerait un inspiring partner quelqu'un en fait qui peut faire écho à votre discussion qui peut vous accompagner, un accompagnateur si vous voulez. Il va falloir quand même que cette personne, elle ait un certain nombre de qualités ou qu'elle soit dans un certain nombre de dispositions pour véritablement pouvoir être un bon partenaire, un bon sparring partner ou peut-être un bon coach dans ce moment-là. La première qualité de cette personne, c'est qu'il vous faut quelqu'un qui n'a rien à gagner et rien à perdre dans vos décisions. Donc en fait, c'est peut-être le plus difficile à trouver, c'est qu'il vous faut quelqu'un qui peut agir en miroir, mais quelqu'un qui soit sans enjeux politiques, quel que soit le type de décision que vous allez prendre à l'issue de vos discussions. Parce que sinon vous avez une forme de conflit d'intérêt et la personne, finalement vous pouvez la mettre dans une disposition qui ne lui sera pas favorable et elle va pouvoir essayer de vous tirer, même de manière inconsciente, dans un sens ou dans un autre. pire des cas, elle va pouvoir essayer de vous manipuler. Donc c'est important d'avoir une personne sans enjeu politique, quelqu'un qui n'a rien à gagner, ni à perdre dans vos décisions. Ça va être difficile de trouver quelqu'un si vous êtes dans une position de leadership, quelqu'un qui soit dans votre équipe ou dans votre organisation dans ce moment-là, ça peut être compliqué à trouver. La deuxième qualité de cette personne, c'est il vous faut quelqu'un qui soit dans un espace sécurisé. pour vous permettre de déposer vos émotions et votre charge mentale finalement. La fatigue, la colère, l'envie de tout plaquer, le doute, et des fois des émotions aussi comme la tristesse, peuvent être aussi particulièrement difficiles, non seulement à exprimer, mais aussi à recevoir. Donc vous devez vous assurer aussi que la personne avec laquelle vous échangez, ce soit quand même quelqu'un qui soit suffisamment robuste, qui soit suffisamment équipé. émotionnellement pour pouvoir vous écouter mais pour pouvoir aussi de manière sécurisée pour vous et pour elle et pour lui qu'ils soient capables de recevoir ce que vous avez à formuler donc la première chose c'est quelqu'un sans enjeu politique et quelqu'un qui soit dans un espace sécurisé émotionnel la troisième chose et non des moindres c'est quelqu'un quand même qui doit avoir du répondant face à vous C'est pas seulement quelqu'un qui est capable d'accueillir et de dire oui à tout ce que vous allez formuler ou qui va vous tenir la main avec beaucoup de bienveillance mais sans jamais rien exiger de retour. Vous devez avoir quelqu'un qui... Soit capable de présenter une écoute radicale, candide mais radicale, et un questionnement stratégique. Quelqu'un qui soit capable de vous bousculer dans vos fondamentaux, parce que ce sera cette personne qui vous permettra d'acquérir de nouvelles perspectives, et peut-être de vous affranchir de vos biais cognitifs habituels. Pas forcément quelqu'un qui va vous donner des réponses, ça ce sont des consultants, c'est encore autre chose. donc ce sont Donc pas forcément des gens qui vous donnent des réponses, même c'est plutôt rare, mais plutôt quelqu'un qui par son questionnement va provoquer un shift, une transformation dans votre perspective et ce qui vous aidera donc à trouver de nouvelles réponses, de nouvelles stratégies de par leur écoute et leur questionnement. Donc pas forcément quelqu'un qui va toujours aller dans votre sens, quelqu'un de temps en temps aussi peut-être qui va vous casser les pieds, mais quelqu'un qui va vous aider. En fait, à vous remettre en question, c'est peut-être un grand mot, mais en tout cas à bousculer vos certitudes. Donc vous voyez quelqu'un sans enjeu politique, quelqu'un qui a un espace sécurisé émotionnellement et quelqu'un qui est capable d'être dans le questionnement stratégique. Et enfin, c'est quelqu'un qui doit être capable d'être disponible pour vous, mais pas sur une semaine ou 15 jours, mais c'est quand même un travail. sur le moyen ou sur le long terme quelqu'un qui va vous aider de manière récurrente régulière à rester centré lucide puissant même quand ça vous arrange pas même dans les moments et je dirais même surtout dans les moments de turbulences ce quelqu'un qui va vous laisser tranquille dès que ça commence à s'agiter un petit peu forcément ça va pas vous aider sur le long terme ou même sur le moyen terme parce qu'on sait très bien que ce sont dans ces moments de turbulences que vous aurez le plus besoin d'un accompagnateur vous voyez que vous avez besoin là d'une personne qui soit capable d'être sans enjeu politique dans un espace sécurisé émotionnellement quelqu'un qui soit capable de vous questionner stratégiquement et enfin quelqu'un qui soit capable de vous accompagner sur le long terme même quand vous n'en avez pas envie, même quand vous avez quelque chose apparemment de mieux à faire et surtout dans les moments de turbulence. Alors la solitude du manager, l'antidote, vous l'avez compris, c'est de pouvoir trouver une personne qui vous accompagne, un inspiring partner, un coach, un mentor, quelqu'un qui va pouvoir de manière bienveillante mais soutenue vous accompagner. Si vous avez identifié cette personne quand je viens de vous en parler, surtout prenez contact avec cette personne-là et demandez-lui tout simplement de vous accompagner. C'est là où vous allez pouvoir vraiment contrer cette croyance qui est peut-être en vous, qui vous dit « non, tu dois faire face tout seul, toute seule, tu serres les dents, c'est normal, travailler c'est dur » . Tu peux faire confiance à la personne. Si vous identifiez une personne qui est capable sur le long terme de vous aider sans avoir ni rien à gagner, ni rien à perdre, qui est capable de vous écouter émotionnellement et qui est capable de vous questionner stratégiquement, allez voir cette personne et demandez-lui. Et puis, vous allez me dire peut-être que vous n'avez pas cette personne-là. Alors, tout simplement, faites appel à un coach. Ça peut être moi, mais il y a plein de coachs très compétents. sur le marché bien sûr fait appel à un coach même si c'est pas quelqu'un qui est dans votre ville voyez moi je conseille énormément de personnes qui sont pas directement au luxembourg ça marche très bien parti vous n'avez pas besoin de vous voir des fois en réel pour pouvoir faire ce genre de choses ça marche et des fois ça marche même mieux quand vous avez le filtre de l'écran pour pouvoir déposer tout ça ça c'est ma deuxième invitation et puis j'ai envie de vous laisser aujourd'hui avec une question plutôt simple mais que j'espère que vous allez trouver puissante en tout cas, elle l'est souvent pour les personnes que j'accompagne tout au début. Ma question pour vous c'est, si vous aviez un espace totalement neutre, un espace bienveillant, un espace sans enjeu, si vous aviez un sparring partner, un coach, un mentor près de vous, qu'est-ce que vous oseriez lui dire aujourd'hui que vous n'avez jamais dit à personne ? Qu'est-ce que vous oseriez dire ? À ce coach, à ce mentor, qu'est-ce que vous pourriez lui dire que vous n'avez jamais dit à quelconque autour de vous, dans votre société, votre équipe, votre organisation ? Et si vous n'avez pas cette personne près de vous, au moins, prenez une feuille et écrivez, pour vous, sans filtre. déjà observez ce que ça change et je vous enjoins d'écrire plutôt au stylo enfin crayon à papier mais en tout cas à la main plutôt que sur votre ordinateur parce que quand vous écrivez à la main il se passe quand même pas mal de choses puisqu'on est obligé de ralentir souvent en écrit moins vite qu'on est capable de taper sur un ordinateur et cet acte de pouvoir écrire de déposer sur une fait tout ce qui finalement vous charge mentalement, ce que vous oseriez dire à un coach, à un mentor, à un accompagnateur, à un sparring partner. Ça, oui, cette chose-là que vous n'avez jamais dit à personne. Prenez maintenant une feuille, écrivez, déjà pour vous sans filtre, et observez le changement que ça va faire en vous. Souvent, tout commence là. Et si vous observez un changement, ce dont je ne doute pas, imaginez la puissance que ça peut avoir lorsque vous allez vous confier à une réelle personne, une personne qui est capable dans ce moment-là de vous écouter. Alors faites l'expérience, prenez une feuille, écrivez, allez-y, déversez l'émotion que vous avez là. désengagez-vous de cette émotion-là, déchargez-la sur cette feuille pour vous permettre déjà de respirer, d'y voir plus clair sur ce fil de funambule que vous êtes en train de traverser. Et quand vous aurez déposé l'émotion, vous allez déjà observer un changement en vous. Et si vous êtes capable de le faire simplement sur une feuille de papier, imaginez la puissance que ça peut avoir quand vous serez capable de le formuler avec votre sparring partner, avec votre coach, avec votre mentor. Essayez ! Alors voilà, c'est tout pour aujourd'hui et merci de m'avoir écouté encore aujourd'hui jusqu'au bout. Vous êtes de plus en plus nombreux. Vous savez, je vois les statistiques chaque semaine et vous êtes plusieurs centaines à m'écouter chaque semaine. Merci, les chiffres augmentent en plus. Merci beaucoup. N'hésitez pas aussi à me recommander. Ça me fait plaisir de voir que vous accrochez de plus en plus. Envoyez-moi aussi vos questions si vous en avez. N'hésitez pas sur le compte Instagram ou sur LinkedIn. Si vous êtes dirigeant, si vous êtes entrepreneur ou manager et cet épisode a résonné avec vous, n'oubliez pas, vous n'avez pas à tout. Porter tout seul. Être un bon leader, c'est aussi et surtout peut-être savoir s'entourer intelligemment. Donc n'hésitez pas à partager cet épisode avec un collègue, un ami, pourquoi pas un client autour de vous sur lesquels vous avez vu. Ils ont aussi cette solitude en eux. Et si vous avez envie d'en parler, n'hésitez pas, je suis là. Donc à très vite pour un prochain épisode. Merci d'avoir écouté Question de Coach. Si cet épisode a résonné pour vous, partagez-le avec quelqu'un qui en a besoin. Et si ce podcast vous plaît, donnez-moi des étoiles et des pouces en l'air, ça m'aidera à garder le cap. Retrouvez-moi sur LinkedIn ou Instagram pour aller plus loin et rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel épisode de Question de Coach. D'ici là, prenez soin de vous. À bientôt !