- Speaker #0
Bonjour à tous, ravi de vous retrouver pour ce petit pack, attention, épisode 20 sur Radiosport et bientôt, et même tout le temps quand vous le souhaitez après, bien sûr, sur Sports en France. Merci d'accueillir quatre messieurs, oulala, attention la prêté, cette semaine on va se faire taper sur les doigts pour le CSA par tout le monde. Ah non, on va pas nous fermer l'antenne, Maître Capello, bonjour !
- Speaker #1
Bonjour à tous !
- Speaker #0
Ah non, à ce moment-là il s'est passé des choses au mois de février. A nos côtés Bertrand Latour !
- Speaker #2
Bonjour Christophe !
- Speaker #0
Du groupe Canal, le Canal+, Canal Champions Club, Canal Football Club, tu es partout !
- Speaker #2
En tout cas, surtout sur les antennes de Canal+, je suis ravi de passer un moment avec toi.
- Speaker #0
Les grandes soirées de l'Ile des Champions, on s'est régalé, pas longtemps encore.
- Speaker #2
Oui, je les découvre avec Canal et pour le moment, la nouvelle formule de l'Ile des Champions est assez concluante. Elle me plaît beaucoup, je trouve qu'il y a eu davantage de surprises, des gros matchs déjà délébarages, donc on espère que ça va continuer jusqu'au bout.
- Speaker #0
À côté de toi, l'histoire. Albert Ville, né en 92, Bertrand Latour !
- Speaker #2
Ah Albert Ville ! Albert Ville en plus !
- Speaker #3
Ah oui, moi je ne suis pas né en 92.
- Speaker #0
Je suis venu à la France soirée, bonjour,
- Speaker #3
en même jour. Ah oui, c'est ça.
- Speaker #0
Oui, c'est vrai. Toi, tu as l'histoire du ski, du tennis, du cross-sport.
- Speaker #3
Je suis presque né en 1924, moi. Chamonix, les premiers Jeux Olympiques.
- Speaker #4
Tu ne les fais pas, tu les fais vers.
- Speaker #0
Il y avait l'escalade, il y avait tout ça.
- Speaker #3
Ah non, non. Il y avait quand même une médaille, une récompense. Oui, c'est une bonne info en alpinisme. En 1924, oui, oui.
- Speaker #0
Magnifique. Non, non,
- Speaker #3
l'histoire du vien. Du Kanda. Voilà, on va parler de ça.
- Speaker #0
Bien sûr, ces fameux Jeux 2030 avec, heureusement qu'on n'a pas enregistré l'émission avant. Ça,
- Speaker #3
c'est le futur.
- Speaker #0
Et le président, alors, finalement.
- Speaker #3
Edgar Gompiron. Edgar Gompiron, ça va nous...
- Speaker #0
Boss 92 Alperville Boss des boss Il y avait de la neige ce jour-là Bertrand Latour t'auras adoré
- Speaker #2
Mais oui j'ai vu les images C'est pas Fourcade non ? Non c'est pas
- Speaker #0
La jeunesse ça aurait pu nos partenaires sport en France Bonjour Nathan Linguin Bonjour Bonjour à tous Ravi de te retrouver Toi c'est un peu tous les sports mais c'est basket aussi
- Speaker #5
C'est surtout basket Surtout basket Mais en plus des sports on est sport en France c'est la chaîne de tous les sports Sport olympique
- Speaker #0
Oui On n'a pas été mauvais en basket On n'a pas été mauvais
- Speaker #5
Non on a pas été mauvais Chez les femmes,
- Speaker #0
chez les hommes On a pas été mauvais Après à part que de temps en temps Les Américains Votre endroit aussi Oui
- Speaker #2
T'as raison On était même très bons Très bons Bah non Oui oui oui Bon les Ricains on avait pas les tapés Les Ricains n'étaient pas là Ils étaient pas là
- Speaker #4
Nous serions tous en
- Speaker #0
Chez Jean-Philippe Lustig C'est bien Jean-Gilles pour que non Oui Jean
- Speaker #4
Germanie, non c'était pas l'hémorragie ?
- Speaker #0
C'est en Germanie. En chanson,
- Speaker #4
soyons tous ! En géorgie,
- Speaker #3
non,
- Speaker #0
c'est plus ça.
- Speaker #4
En chanson de Sardou, en Germanie.
- Speaker #0
Michel Sardou, bien sûr.
- Speaker #4
Traduction en Allemagne. Deutschland. Bonjour Jean-Philippe Justique. Bonjour Christophe.
- Speaker #0
Attends, je me penche un tout petit peu, peut-être dans l'autre sens même. Le grandiste de la boxe est derrière moi.
- Speaker #4
Ah oui, il faut qu'on le voit, voilà.
- Speaker #0
Il y a du Henri Lecon, il y a des grands écrivains ici. C'est vrai. Oui. Non. T'inquiète, tout va bien. On va parler basket, on va parler boxe, on va parler ski, bien sûr tennis si tu veux, parce qu'il se passe plein de choses aussi. Et football, il mercredi en la tour, ils sont là, ils s'en font les corps. Fais-le comme ce que vous voulez. Comme vous ! Vous allez pouvoir jouer avec nous, première manche du petit pack, on le rappelle, quatre invités, quatre factus, quatre manches du célèbre jeu. Allez, c'est parti ! 4 manches du petit pas, 40 points possibles. Eh ! Il y a des doublons de temps en temps, il faut les enlever. On va découvrir ensemble les cases, si vous le voulez bien. On va les mettre en face de vous, pour ceux qui sont sur le plateau et chez vous, vous allez pouvoir les découvrir. Sans plus tarder, maître Capello, on commence par la case de sport, comme Radio Sport, comme Sport en France, donc tous les sports. Ensuite, les prénoms. C'est marqué 3, c'est la troisième métier.
- Speaker #4
Métier.
- Speaker #0
Les capitales. Pas simple, les capitales.
- Speaker #4
Et un plat.
- Speaker #0
Ah ouais, les plats, c'est bien. En 5. Le ski, ça c'est pour vous. Le foot ? Alors attention, si vous ne maîtrisez pas le foot, le ski, la boxe ou le basket, vous avez droit par exemple pour, je ne sais pas s'il y a la lettre R en boxe, tu peux mettre ring. Il vous restera la case mystère, ça c'est Maître Capello qui décide à chaque manche. Oui, mais tiens. Maître Capello, est-ce qu'on peut avoir la première case ou on attaque tout de suite ? Qu'est-ce que vous en pensez Maître Capello ?
- Speaker #1
On va attaquer tout de suite,
- Speaker #0
non ? Alors allez-y, première case. Allez, touche.
- Speaker #1
Alors la première lettre, allez, vous laissez quelques instants de réflexion sur la première lettre. Ce sera la lettre P. Et la case mystère prend Animo Animox. Et c'est parti donc pour deux minutes.
- Speaker #0
C'est parti, deux minutes.
- Speaker #2
On est parti là.
- Speaker #0
C'est parti pour chez vous, celui qui a toutes les cases bien écrites. Pose le crayon avant les deux minutes. Je vais jouer avec vous, tiens, pour la première.
- Speaker #1
Appel les catégories,
- Speaker #0
sport,
- Speaker #1
prénom, métier, capital. C'est un peu plus compliqué que ville,
- Speaker #0
capital. Ouais, ouais, si tu me paries, c'est un peu facile, non ?
- Speaker #6
Oui.
- Speaker #1
Il y en a peut-être un qui va le faire quand même. Là. Alors les plats, on est excellent, ça peut être des plats régionaux comme des plats internationaux.
- Speaker #0
Fondu avec un P quoi.
- Speaker #1
Ah oui, tu pourrais faire quoi avec un fondu avec un P ? Ski.
- Speaker #0
Bon facile, alors ski c'est facile. Boxe. C'est facile.
- Speaker #1
Basket et en catégorie mystère pour cette première manche, animaux.
- Speaker #0
En boxe avec un P, il est à toi. Oui, oui. En boxe avec un P, il ne me manque qu'à moi. Il ne me manque là que la boxe lui. Ah si j'ai, allez c'est bon. Mais j'ai pas le droit de jouer moi.
- Speaker #1
J'ose pas dire, après quoi il faut passer la boxe ?
- Speaker #0
T'as terminé ? Non.
- Speaker #2
Il me manque un mais je l'aurai pas.
- Speaker #0
Si, en quoi ?
- Speaker #2
En boxe.
- Speaker #0
Alors encore une fois, quand vous êtes chez vous, vous le savez vous, je te le dis pour Bertrand Latour, c'est sa première ici, tu peux chercher autre chose que le boxe connu ou la boxeuse. Tu vois, il y a autre chose, il y a un environnement. Je vais pas trop t'aider parce qu'après ils vont... C'est fini ?
- Speaker #3
Ça y est fini.
- Speaker #0
Il faut poser le stylo, messieurs. Non, non, non, Jean-Philippe, vous commencez pas à tricher.
- Speaker #4
T'as posé des cas infinis.
- Speaker #0
Je suis largué, oh là là.
- Speaker #4
Bah ouais, d'accord, là, je suis pas dans le rythme. Pourtant, il restait 30 secondes. Ah mais oui, si un va très vite, bien sûr, je vais pas tenir compte de ce critère.
- Speaker #0
C'est celui qui pose.
- Speaker #4
Exact. Donc là, je pense que pour la deuxième lettre, je serai au top. Parce que là, c'est pas terrible. Moi, je faisais un autre rôle à l'école.
- Speaker #2
Je partais le premier, mais les autres, ils posaient pas leur feuille. Ils faisaient de meilleures notes, quoi. C'est vrai. C'est ça ? Ça m'est arrivé parfois de finir avant, je t'envoie et puis après, t'as 8.
- Speaker #3
Et les mecs qui se partent du bac, après une heure, qui s'en vont.
- Speaker #2
Sur 4 heures, je partais au bout de 2h30. C'est vous,
- Speaker #0
c'est terminé. Reste 4 secondes d'attention avant de poser votre stylo et de jouer comme nous et de comparer vos...
- Speaker #4
C'est sympa comme truc, mais il faut être dans le match.
- Speaker #0
Il faut être dans le match. Eh oui,
- Speaker #2
mais sérieux.
- Speaker #3
Il a raté le premier round. Il a raté le premier round.
- Speaker #5
Il était pas froid.
- Speaker #4
Je suis rempli à 2 à l'heure.
- Speaker #0
Celui qui a terminé en premier, qui a visiblement les 10 cases. Possiblement donc 10 points, qui sait, sauf s'il y a des doublons, bien sûr,
- Speaker #4
et si on conteste un choix.
- Speaker #3
J'ai bien compris.
- Speaker #0
Maître Capello, tu veilles. Oui. Le sport ? Ah, je ne l'ai pas. Mais non !
- Speaker #3
Il avait manqué la première case, désolé.
- Speaker #0
Ah bah non !
- Speaker #4
Ah ouais, mais alors là non, ça change tous les amis ! C'est pas vrai ! On refait la seconde ! Moi je pense qu'on va refaire !
- Speaker #0
Non, non, non, on refait pas, on reste. Bon, bon, bon. De toute façon,
- Speaker #2
c'est vrai.
- Speaker #0
Ça prête moi de toi.
- Speaker #3
Ça y est, je l'ai, la pelote basse.
- Speaker #4
Ah non, non,
- Speaker #0
non, non ! Vas-y ! Ah non,
- Speaker #4
non, non ! Surveillez-vous,
- Speaker #0
on se revoit bien sûr ! Ah ouais, ouais,
- Speaker #5
zéro ! Non, ça va pas.
- Speaker #0
Vas-y, tu avais quoi ?
- Speaker #2
Moi j'avais peint un teint moderne.
- Speaker #5
Ah ouais ?
- Speaker #0
Bon bah... Allez, patate l'eau moderne.
- Speaker #2
J'espère avoir un jeu sur le truc là.
- Speaker #4
Exactement, et nous zéro !
- Speaker #0
Mais ils ont le même esprit, parce que moi je ne joue pas mais...
- Speaker #2
On est sur du déclaratif là, t'es d'accord ?
- Speaker #0
Ah ouais c'est du déclaratif.
- Speaker #2
Ok, ok.
- Speaker #0
Comme les infos.
- Speaker #2
Comme les infos.
- Speaker #0
Prénom ?
- Speaker #4
Paulette.
- Speaker #2
Ah j'ai... Paul, moi j'ai Paul.
- Speaker #3
Tiens, tu vois ?
- Speaker #5
Philippe.
- Speaker #4
Philippine !
- Speaker #0
Ah ouais ! Hé hé ! J'étais là !
- Speaker #4
Mais non mais c'est pour ça ! Ça me fait peur. Attends bah ouais, un peu.
- Speaker #0
Alors Paulette, c'est un prénom que personne ne connaît aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Paulette ! Paulette,
- Speaker #5
je ne te sens pas.
- Speaker #3
Tu veux dire, j'avais pas... Il y a bien quelqu'un qui va mettre...
- Speaker #0
Métier ?
- Speaker #3
Peintre.
- Speaker #2
Présentateur télé.
- Speaker #0
Ah ouais.
- Speaker #5
Je l'ai trié.
- Speaker #0
T'as dit pardon ?
- Speaker #5
T'as trié.
- Speaker #3
Et présentateur télé, c'est pas un métier, ça se saurait,
- Speaker #2
non ? C'est quoi, c'est un hobby ?
- Speaker #0
C'est un passe-temps. Les gens sont payés pour ça. Comme Jean-Philippe Mustique, ça fait 40 ans, monsieur.
- Speaker #4
Plombier.
- Speaker #0
Voilà.
- Speaker #3
Bah bien, voilà un métier.
- Speaker #2
Ah, alors la capitale.
- Speaker #4
Aïe aïe aïe aïe. C'est terrible.
- Speaker #2
Quel est le abruti qui a mis Paris ? Bien sûr.
- Speaker #3
Moi j'ai mis La Paz. En me disant pas.
- Speaker #4
Ah non, c'est La Paz ! Ah non !
- Speaker #3
Maître Capello ! Maître Capello !
- Speaker #0
PrédeRiz, parce que...
- Speaker #1
J'ai la Paz.
- Speaker #4
J'ai rien mis.
- Speaker #5
Ok. Moi j'en ai rien mis mais j'en ai une. Parce que je peux le dire, je la comprends pas.
- Speaker #4
Ah bah d'abord...
- Speaker #5
C'est Phnom Penh, le Cambodge. Ah oui,
- Speaker #2
bien sûr. Mais je l'ai pas mis. Parce qu'il y a Pékin.
- Speaker #5
Ah oui, voilà.
- Speaker #0
Mais t'as pas mis... Mais toi, Paris, c'est bon ! Et pas La Paz, non. Maître Capello, La Paz ? Ah non. Non, bien sûr.
- Speaker #3
La pâte à la trappe. Vas-y,
- Speaker #4
après,
- Speaker #0
posez ton style en premier. Je voulais avoir la pâte. Oui.
- Speaker #2
Belle idée.
- Speaker #3
Le plat, les pâtes à la norma.
- Speaker #0
Pâtes à la norma. Pâtes à la norma, si, ben, ben, de là.
- Speaker #4
Tu peux dire pâtes à la trappe.
- Speaker #5
Ben oui,
- Speaker #2
oui, moi j'ai mis paella.
- Speaker #0
Très bien,
- Speaker #5
bravo. Poulet curry.
- Speaker #3
Poulet curry. Tranquille.
- Speaker #0
Un petit poulet curry. Un petit pied de porc, quelque chose comme ça, non ? Chut. Non ? Jean-Philippe, il est resté coincé à la cuisine. Ah mais complètement. C'est pas ton truc la cuisine.
- Speaker #4
Attends, Capital est bloqué.
- Speaker #0
C'est un bloqué. Paris, non ? T'as entendu ?
- Speaker #3
Paris, la France. France.
- Speaker #0
Je me suis dit. Le ski,
- Speaker #3
monsieur. J'ai mis la piste verte.
- Speaker #0
Ah ouais, joli. C'est une piste, quoi.
- Speaker #2
Moi, j'ai mis un nom de ski reconnu dans le droit. Paris. Dominique Paris.
- Speaker #4
Paris.
- Speaker #0
Descendeur. Ah ouais,
- Speaker #5
descendeur italien. Moi,
- Speaker #4
j'ai mis un poteau.
- Speaker #0
Moi,
- Speaker #5
j'ai mis photo.
- Speaker #0
Les pistes vertes, du coup, ça me...
- Speaker #5
Ça me fait mal, ça me fait mal.
- Speaker #0
Oui, c'est expliqué. Oui,
- Speaker #4
c'est un poteau de ski. L'ex-poteau de ski, Piquet. Oh, Thomas ! Non, mais c'est bon, les amis.
- Speaker #5
C'est un pire.
- Speaker #0
Maître Capello. Maître Capello.
- Speaker #3
Maître Capello.
- Speaker #4
Qu'est-ce que vous pensez ?
- Speaker #0
Maître Capello.
- Speaker #1
Un poteau de ski.
- Speaker #4
Un poteau de ski, ouais. Un poteau carré. Ouais, c'est moyen. J'attends, j'attends.
- Speaker #1
C'est moyen. Le poteau va être validé, le poteau.
- Speaker #4
Oh non. Oh, merci ! Non, non, il y a Maître Capello. Attendez, ça, Capello,
- Speaker #0
on sent que le son de Maître Capello, ça. C'est Capello.
- Speaker #1
Non, non, on a accepté de plus, plus, plus.
- Speaker #0
Ouais,
- Speaker #3
on a accepté.
- Speaker #0
Mais c'est la dernière fois, Maître Capello.
- Speaker #1
Non, ça ne sera pas la dernière.
- Speaker #0
Le football !
- Speaker #3
Bah évidemment, Bertrand a dû mettre Paris, moi j'ai mis PSG.
- Speaker #2
Moi j'ai mis Pogba.
- Speaker #0
Ah bah oui, il revient en fait. Pogba,
- Speaker #2
il revient.
- Speaker #0
Jean-Philippe,
- Speaker #3
il avait pas parti.
- Speaker #0
J'ai mis Pelé. Pelé, simple.
- Speaker #5
J'ai mis Panenka.
- Speaker #0
Ah, Panenka, pas mal !
- Speaker #3
Tant que tu n'étais pas né !
- Speaker #5
Pas né, mais je pense aussi aux gestes.
- Speaker #0
Eh bon joueur, il voulait te donner deux points. Panenka, c'est bien.
- Speaker #2
Mais au final, non.
- Speaker #0
La boxe,
- Speaker #3
là j'ai mis le point.
- Speaker #2
Oui, c'est vrai, moi je ne l'ai pas...
- Speaker #0
Je t'étais en train de t'expliquer avant.
- Speaker #2
Là on est vraiment...
- Speaker #0
J'ai marqué photographe, tu vois. Au ton,
- Speaker #3
j'ai mis le point.
- Speaker #0
Ah,
- Speaker #5
pesée.
- Speaker #0
Ah, la pesée. Très malin.
- Speaker #1
Très malin. Il y avait aussi poids plume.
- Speaker #4
Oui, poids plume.
- Speaker #3
Et poids mouche également.
- Speaker #0
Poids belge.
- Speaker #1
Poids de terre.
- Speaker #0
En basket.
- Speaker #3
Parquet.
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #4
Panier.
- Speaker #5
Les pistons.
- Speaker #2
Par cœur.
- Speaker #4
Oh la vache,
- Speaker #0
qu'elle est qui ?
- Speaker #3
Je ne connais pas. Bravo les bêtes.
- Speaker #2
C'est un des bons. C'est Tony, c'est qui vous voulez, faites le choix.
- Speaker #0
Attends, il y a les animaux.
- Speaker #2
Oui.
- Speaker #0
Ah, animaux ? Oui.
- Speaker #4
Ah mais tu vois, et je n'ai même pas vu celui-là.
- Speaker #0
Vous êtes pareil, c'est la même génération.
- Speaker #2
Non mais il y a la case mystère.
- Speaker #0
Non mais t'as raison. Tu vois, maître Capelo, on fera...
- Speaker #4
Non mais je n'ai pas pété, tu vois. Et en plus,
- Speaker #0
j'ai marqué animaux.
- Speaker #4
Non mais tu vois le truc. Ah voilà. Non mais laisse tomber, t'as marqué.
- Speaker #5
Il y a un phoque.
- Speaker #0
Oui, très bien.
- Speaker #2
Et moi j'ai mis poule.
- Speaker #0
Ah oui.
- Speaker #4
Pour l'instant,
- Speaker #0
c'est pas dans le match. Mais oui, mais il y a des poules,
- Speaker #2
Steph. Mais oui ! Il y a des poules ou pas,
- Speaker #0
vous ? Ah, j'adore ça. Oui, c'est vrai. Moi aussi. C'est un petit zephret, tout le monde. Tiens,
- Speaker #2
c'est... Total. Allez ! Donc, total. Là,
- Speaker #3
il faut compter. 1,
- Speaker #2
2, 3, 4,
- Speaker #0
5,
- Speaker #2
6, 7, 8... 3, 4,
- Speaker #0
5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18,
- Speaker #5
19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29,
- Speaker #0
30, 31,
- Speaker #3
32, 33, 34,
- Speaker #0
35, 36,
- Speaker #4
37, 38,
- Speaker #5
39, 40, 41, 42,
- Speaker #4
43,
- Speaker #0
44, 45,
- Speaker #2
46,
- Speaker #0
47, 48, 49, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48, 49, 42, 43, 44, 45, sorti le grand livre de la boxe cet hiver, la pesée, c'est le moment presque le plus important. C'est quand même presque le plus drôle. Il y en a certains qui s'échappent. C'est du cinéma. Oui et non. Quand ils viennent sur la balance.
- Speaker #4
C'est-à-dire que, si tu veux, tu as une mise en scène. Elle n'existait pas auparavant. Mais ça, c'est parce qu'on a marketé aujourd'hui et qu'on veut à tout prix que l'événement boxe et la pesée, en l'occurrence, soit quelque chose de décalé. Mais la pesée est un élément clé pour connaître l'état de forme. Celle où le boxeur va dégager une certaine confiance ou pas, s'il y a un doute, au-delà du physique, s'il est affûté, s'il est au poids. Donc c'est quelque chose qui est très important, qui se déroulait pendant très longtemps, jusqu'à encore une vingtaine d'années, le matin du combat. Mais pour des raisons médicales, c'est maintenant la veille. Pourquoi ? Parce qu'il y a beaucoup de boxeurs qui faisaient des efforts pour perdre du poids. Et si tu perds du poids le matin... à quelques heures du combat, ça peut avoir une incidence. Donc pour leur permettre...
- Speaker #0
Il y en a certains qui partaient faire un petit footing, tu vois, comme dans la catégorie poids lourd pour ne pas dépasser les sens.
- Speaker #4
Exactement.
- Speaker #0
J'allais courir...
- Speaker #4
Ben voilà, et si tu veux, ça peut être un danger, donc les pertes de poids comme ça. Donc c'est pour ça. Mais ce moment-là est un moment clé. Et moi, j'adore assister au pesé parce que... beaucoup de choses se jouent. Maintenant, c'est devenu un peu un show, on se regarde, on s'agresse du regard, on s'approche tête contre tête et tout. C'est un peu limite. C'est un peu limite, mais il y a une vraie volonté de montrer sa supériorité. C'est-à-dire qu'à ce moment-là, on montre qu'on est tellement sûr de soi, qu'on dégage une telle puissance qu'on va te casser la tête le lendemain. Voilà, donc c'est un moment clé de la boxe.
- Speaker #0
Question éternelle, pourquoi dit-on toujours le noble art, finalement ?
- Speaker #4
Nous sommes les Anglais, noble art. Parce que les anglais qui ont inventé le sport, ont inventé le foot, le rugby, le track and field, l'athlétisme, le tennis, vous connaissez toute l'histoire du sport, l'aviron, et ils ont inventé la boxe. Et donc on l'appelle le noble art. Pourquoi ? Parce que les nobles n'ont pas qui pratiquaient cette discipline, mais c'est eux.
- Speaker #0
C'est la savate chez nous.
- Speaker #4
Ça c'est la fin du
- Speaker #0
19ème. Oui c'est vrai,
- Speaker #4
la fin du 19ème, on l'a appelé le coup de pied de pointe. qu'on appelait la boxe française, qui était très populaire et pratiquée par un certain niveau de la bourgeoisie française. Mais au niveau anglais, si tu veux, tu avais le majordome, le boucher ou le jardinier de tel marquis ou duc anglais qui était défié par l'autre comté et l'autre marquis. Et les paris ont commencé à la fin du XVIIe. C'est comme ça que la boxe a commencé. Donc, c'était les nobles qui ont développé ce sport pour en faire après un sport dit populaire et le sport roi pendant... tout le début du XXe. Il faut le savoir qu'entre le début du XXe siècle jusqu'aux années 60-70, le sport numéro un au monde, c'est pas le foot. C'est pas le cyclisme, c'est la boxe. Et que le champion du monde des poids lourds était aussi connu que le pape. On a du mal à se rendre compte aujourd'hui ce sport qui est sous-médiatisé entre 1900 et 1960. Jusqu'à l'arrivée de la télémédiatisation. Les plus grandes stars du sport sont les boxeurs. Les plus gros enjeux, c'est la boxe. C'est le poids mondial.
- Speaker #0
C'est le poids Ausha.
- Speaker #4
à se rendre compte. Le foot n'est pas développé aux Etats-Unis. Ça n'existe pas. Donc ça reste développé en France. Les matchs sont importants. Le vieux Racing, l'ancienne histoire de Marseille dans les années 30-40. Mais ça n'a rien à voir sur les enjeux économiques. Il n'y a pas cette dimension épique, politique. Ça n'a rien à voir. On a du mal.
- Speaker #0
Tu vois quoi, par exemple, un Ali Frazier qui est joué...
- Speaker #4
Mais à tous les niveaux. Sur la ségrégation. Dans le 74, mais au-delà de ça, un Schmeling-Louis. Celui porté par l'hitlérisme, symbole du nazisme, Max Schmeling qui n'était pas nazi lui-même, contre Joe et Louis, qui lui est black, et qui représente la ségrégation. Imaginons le contexte, on est en 38-39 aux Etats-Unis, les Noirs n'ont pas leur place dans la société américaine. Donc il y a des enjeux, il y a une médiatisation, et c'est pour ça que ce sport-là, il y a une différence énorme entre ce qui s'est passé hier et la place qu'il occupe aujourd'hui dans la mémoire collective.
- Speaker #0
Et aujourd'hui c'est quoi ? Ça reste... Le noblard ça reste quand même un vrai sport, je mets des petits guillemets, est-ce que c'est pas devenu un sport un peu différent, un peu commercial, où on fait maintenant venir des boxeurs du MMA, ou même des influenceurs ? Oui,
- Speaker #4
c'est-à-dire qu'aujourd'hui pour faire exister ce sport, il y a des dérivés, il y a des boxeurs qui sont influenceurs, qui viennent du MMA et qui cherchent à défier. Donc on sort un peu du cadre. il y a des champions qui sont très forts aujourd'hui il y a des Uzis qui sont extraordinaires l'Ukrainien des Tyson Fury même si c'est un peu la fin de la route des Dubois il y a des champions Alvarez le Mexicain mais on est en manque depuis une vingtaine d'années des meilleurs qui s'affrontent entre eux et Tyson n'aurait pas existé si ce n'était pas Ubov ou Holyfield que Ali n'aurait pas existé sans Frazier Ernst Leonard Agler On a besoin, c'est le duel. Marvelous,
- Speaker #0
Marvelous, Sengler contre Sugar et Leonard.
- Speaker #4
Exactement. Et donc, si tu veux, on est en manque de cela aujourd'hui. Mais le sport reste en Angleterre, un sport roi. Au mois de septembre, j'y étais, invité par Warren, le promoteur, Wembley Arena, Wembley Park. 98 000 spectateurs pour voir Ausha Dubois. En France, on est à des années-numères de ça. On se dit, mais ce n'est pas possible. 98 000 spectateurs payants.
- Speaker #0
Votre meilleur souvenir de boxe, vous en avez un tous, autant qu'on est autour de la table ? Un grand match, non ? Sinon, moi,
- Speaker #2
ce serait le meilleur. le titre olympique de Yoka et qu'il y avait eu autour de l'équipe française un engouement puisque à ce moment-là, il y avait Sissoko de Memoire qui avait été médaillé, il y avait une moisson. Il y avait une moisson aussi,
- Speaker #0
c'est vrai.
- Speaker #2
Mais bien sûr. Estelle Mosny, Sarah O'Ramoun. En argent, elle, non ? Oui,
- Speaker #4
six médailles sur neuf participants.
- Speaker #2
Moi, ça, c'est un souvenir marquant parce que pour le reste, les souvenirs que vous avez,
- Speaker #0
j'étais...
- Speaker #2
mais c'est vrai que je pense que le virage de la boxe en France récemment il est raté avec Yoka parce que je pense que si Yoka émerge comme tout le monde l'a espéré à un moment donné un gros partenaire que vous connaissez qui est à la télévision qui s'appelle Canal Plus il faut le mettre dans les bonnes conditions il faut quand même gagner des combats à un moment donné non mais on est d'accord mais l'échec je pense que si lui avait percé si Yoka cassait la gueule à tout le monde il est français il a une belle gueule il était identifié il y avait un gros soutien médiatique autour de lui je pense qu'il aurait rempli des salles énormes ah mais Bertrand t'as entièrement raison l'échec de Yoka
- Speaker #0
c'est l'échec de la boxe en France plein de souvenirs, plein de grands combats le grand livre de la boxe on le trouve partout c'est très lourd,
- Speaker #4
2 kilos,
- Speaker #0
super livre c'est pas trop cher,
- Speaker #4
non 42 euros en toute modestie c'est un super livre en plus la nouvelle version, ça tient la table bas mais tu sais qu'en plus ce que j'aime bien puisqu'on fait un peu de promo c'est que le livre est connecté ça veut dire quoi ? qu'avec ton iPhone ou un autre, tout de suite tu te scans non mais tu scans et directement connecté à mon podcast qui a diffusé sur l'équipe.fr génial et donc à chaque fois comme je raconte une histoire c'est bon ça et c'est passionnant donc c'est l'oreille justement arrachée c'est la défaite de Tyson devant Douglas c'est mort mec aux Etats-Unis qui s'engage avec le King c'est bon hein je cherche une voiture en ce moment t'as plan non ? ouais bien sûr tu me dis moi je te fais à la carte
- Speaker #0
La deuxième manche, Maître Capelo, case mystère sur les 10 cases, après les animaux, qu'avez-vous prévus ?
- Speaker #1
Allez, au revoir les animaux et bienvenue à l'épice. Une épice.
- Speaker #0
Ah non, mais tu ne peux pas trouver !
- Speaker #1
Mais tu vas voir que si, bien sûr que oui.
- Speaker #3
Épice ?
- Speaker #1
Eh oui,
- Speaker #0
épice. Ah oui, si tu mets curry en basket, curry en épice...
- Speaker #1
C'est un poivre,
- Speaker #3
le style de curry, oui.
- Speaker #1
Exactement, et la lettre, c'est un T.
- Speaker #5
Un T ? Oui,
- Speaker #1
c'est un T et c'est parti pour deux minutes.
- Speaker #0
Deux minutes. Tu as le droit de nous rappeler les grands moments à venir sur Radio Sport, bien sûr. Je ne sais pas.
- Speaker #1
Je ne sais pas si on va parler de ça. Tu sais que le mois de mars, c'est du vélo.
- Speaker #0
Ah oui, c'est Paris-Nice. Ça a déjà repris déjà. Oui,
- Speaker #1
mais c'est Paris-Nice.
- Speaker #0
Ah oui, Paris-Nice.
- Speaker #1
C'est là où je parle de vélo.
- Speaker #0
C'est la Primavera, tu as raison.
- Speaker #1
On part, il ne fait pas beau.
- Speaker #2
C'est insupportable.
- Speaker #1
Il ne fait pas beau, on arrive, il fait beau. Mais c'est aussi la reprise de la Formule 1. D'ailleurs, tu as un champion en tête pour cette année ?
- Speaker #0
Hamilton.
- Speaker #1
Encore ?
- Speaker #5
En rouge.
- Speaker #0
Non, mais en rouge, c'est Ferrari. Tu vois, ce serait beau. Non, c'est Verstappen.
- Speaker #1
Oui, à voir. Et d'ailleurs, c'est une question que je vous poserai peut-être tout à l'heure, ou tu poseras toi. C'est aussi la Ligue des Nations, tu sais, c'est le retour. Ah,
- Speaker #0
le foot ! On va parler de foot après avec Bertrand,
- Speaker #1
oui. Le fameux match, alors, match allé le 20 mars, match retour le 23. Croatie-France, Pays-Bas-Espagne, Danemark-Portugal, Italie-Allemagne. Là aussi, ça a déterminé surtout les groupes, tu sais, ce qui manque comme information pour le Mondial
- Speaker #5
2026. Et on est bon.
- Speaker #0
T'as déjà terminé ?
- Speaker #3
Ouais, bravo.
- Speaker #0
J'y crois pas. T'es sûr, t'as pas loupé une case ?
- Speaker #5
Non, ça va.
- Speaker #0
Et le ski t'as pas coincé ?
- Speaker #5
Non.
- Speaker #0
C'est pas Jean-Claude Thilly. Non,
- Speaker #5
non. On verra si ça va.
- Speaker #4
Tu te cattas, mais je vais à deux à l'heure. Si t'en déconnes, je suis le Carbo. On y va, bravo.
- Speaker #0
Non mais t'étais concentré tout à l'heure. Bravo Nathan. Bravo Nathan.
- Speaker #5
Je sais pas si tout sera bon mais…
- Speaker #0
Il reste 30 secondes pour jouer chez vous.
- Speaker #3
La vivacité de la jeunesse.
- Speaker #0
Et l'épice, tu l'as ? Avec le thé ?
- Speaker #5
J'ai tenté quelque chose.
- Speaker #0
J'étais pas arrivé à l'épice moi. Je me suis arrêté comme je discutais tranquillement avec Maître Capello. La boxe des grands champions de boxe, le kente ? Ah oui. Comment tu as la table ? Table de marque. Ça marche ? Ça peut marcher. On verra !
- Speaker #3
Tu as toujours le crayon à la main. Ça s'appelle tricher, ça, Christophe.
- Speaker #2
Ah non, moi je ne joue pas.
- Speaker #0
J'essaie de garder le rythme pour voir combien de temps tu mets. Je vois que Nathan est très bon. Pour l'instant, je rappelle que ceux qui ont été les plus forts, c'était nos amis de Winamax, qui étaient venus à 4 avec le champion du monde. C'est allé très, très vite. On a avoisiné les 35 points.
- Speaker #3
Ben Winamax, ils sont déjà tout levés.
- Speaker #0
Avec les 2 points, c'était pas mal. C'est terminé, Maître Capello ?
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
On attaque par celui qui a rempli ses dix cases. Nathan.
- Speaker #5
Le twirling bâton.
- Speaker #0
Ah oui ! Il est fort. Il est fort.
- Speaker #4
C'est mad ici.
- Speaker #5
On en a parlé tout à l'heure.
- Speaker #0
Tu as commenté ça ? Bien sûr,
- Speaker #3
sur Sports en France.
- Speaker #0
Et donc, tu connais tous les champions ?
- Speaker #3
Tous, tous.
- Speaker #0
Je connais tous les champions. Et surtout le nom.
- Speaker #3
Tu vois, je me souviens de celui des tenues. Mec,
- Speaker #4
bravo.
- Speaker #0
T'as jamais fait ça ? Non, là, j'ai rien à dire. Non,
- Speaker #5
non,
- Speaker #4
non. Non, là, j'ai rien à dire.
- Speaker #3
Bravo. Le canal n'efflue pas beaucoup de twirling bâton.
- Speaker #2
Tu peux se plaindre. Oui,
- Speaker #0
mais sur Mike Haddad, sur Sports en France, Bertrand ? Ouais.
- Speaker #3
Tire à l'arrêt.
- Speaker #4
Tire à la carabine. Les deux.
- Speaker #0
Bravo. Les vieux.
- Speaker #3
Les vieux renards.
- Speaker #0
Les vieux renards. Prénom ? Thierry. Ça va bien, facile.
- Speaker #2
Tiffany.
- Speaker #0
Tom.
- Speaker #4
Théo.
- Speaker #0
Parfait. En quid. Métier ?
- Speaker #5
Pas eu le temps. Planeur.
- Speaker #4
Tapissier.
- Speaker #3
Tapissier aussi.
- Speaker #5
Oh merde ! Non,
- Speaker #4
alors,
- Speaker #0
on n'est pas sur l'équipe, pas de gros mots. Pardon.
- Speaker #2
Moi j'ai fait une blanche.
- Speaker #0
Pas de pot de casque, j'en fais les plus.
- Speaker #2
Zéro, zéro, zéro. Je n'ai pas mis.
- Speaker #0
T'as pas eu le temps. Non.
- Speaker #5
Bill ici.
- Speaker #0
Ah joli,
- Speaker #4
j'ai l'énergie.
- Speaker #2
Vous avez quoi ?
- Speaker #3
Téhéran.
- Speaker #2
Tirana.
- Speaker #3
Ça c'est le football, ça t'aide.
- Speaker #0
Non, c'est pas en sport, Tirana. C'est Tirana. Il y avait Tunis, tout simplement. Tunis. Parce que je pense au plat, moi. Derrière, j'avais trouvé le plat, tu vois.
- Speaker #5
Le tion.
- Speaker #0
Ah le tion, un tion aux légumes. Ah joli. Je ne sais même pas ce que c'est. Un tion, c'est... Tomate farcie,
- Speaker #4
bravo, moi rien.
- Speaker #0
Tomate farcie. Vas-y, rappelle le tient, c'est un légume,
- Speaker #5
quoi, c'est des légumes. C'est pas un flan, mais... Oui, c'est un flan de légumes.
- Speaker #0
C'est très sudiste. J'aime pas ça.
- Speaker #3
C'est très sudiste.
- Speaker #0
Qu'est-ce que t'avais mis dans ton petit-tout ? Rien. Un petit tagine ? Non, même pas. Même pas, rien. Pas de tagine. J'ai pensé tagine tunis, tu vois. Pas de tagine. Le ski ?
- Speaker #5
Le mitigne.
- Speaker #2
Ah non, non, non. À un moment donné, c'est ville. Ah non, non, ça dégage.
- Speaker #5
J'ai tenté, j'ai tenté.
- Speaker #1
Ça marche, ça passe.
- Speaker #2
Non,
- Speaker #5
mais... Ah, merci, Vat-Pélo.
- Speaker #0
On l'a dit. Non,
- Speaker #4
mais attendez. C'est Thigne 1800, 1600 ? Ah ouais !
- Speaker #0
Mais c'est pas ce qu'il dit ? C'est Thigne les brévières ?
- Speaker #3
Non, Thigne, franchement, c'est bon. Thigne, c'est le ski.
- Speaker #0
C'est l'Olympique.
- Speaker #3
Qu'est-ce que tu veux faire d'autre ?
- Speaker #0
Gros pion, quand même.
- Speaker #2
Tu peux courir autour du lac.
- Speaker #0
Tu connais bien. D'accord. Une grande salle de sport.
- Speaker #2
Je vais aller au Montana.
- Speaker #3
Non, non, je rigole.
- Speaker #0
Montana, Thigne, évidemment. Tu peux repenser à quatre-vingt-dix.
- Speaker #3
Pas de rivalité. J'ai rien. J'ai rien. Moi, j'ai Tomba.
- Speaker #4
Albert de Tomba.
- Speaker #0
Oui,
- Speaker #4
je n'en crois pas. Ah oui, le ski.
- Speaker #0
Et Albertville, c'était sa ville.
- Speaker #2
Et Albertville, bien sûr. Moi, j'avais Théo, comme Adrien.
- Speaker #0
Adrien Théo. Oh, joli.
- Speaker #3
Ah, bien.
- Speaker #0
Ah oui. Ah oui. Là, tu sois le champion d'Albertville. C'est beau. Mais sûr. On est loin du foot. Le foot. Là, j'ai un...
- Speaker #5
Crap, son sport.
- Speaker #2
Moi, j'ai Tsigankov. C'est trop petit.
- Speaker #0
T'as quoi ?
- Speaker #2
Tsigankov. Il est offensif de Gérône. Vous pouvez regarder. Il n'y a pas de kiki. Ben oui. J'étais sûr que personne ne l'aurait. Alors,
- Speaker #4
moi, j'ai un ancien.
- Speaker #0
Vous le connaissez.
- Speaker #2
Il fallait le trouver.
- Speaker #4
C'est un métier.
- Speaker #0
Ah oui,
- Speaker #3
moi j'ai tir au but.
- Speaker #0
Oui, j'en comprends.
- Speaker #3
Tir au but, ça marche.
- Speaker #0
Joli, Bertrand Latour. Oui, oui. Jérôme, il fallait le chercher.
- Speaker #5
Boxe classique Tyson.
- Speaker #3
Ah oui là ! Malheureusement, j'ai pas été très original.
- Speaker #4
Moi aussi j'ai Tyson.
- Speaker #2
Personne ?
- Speaker #3
Ah yes ! Tyson ! Yes ! Si toi tu as Tyson, toi !
- Speaker #4
C'est ridicule. Oh lala. Non mais attends, je suis mauvais.
- Speaker #2
Et toi ? Moi j'avais zéro, mais je suis content comme ça je suis...
- Speaker #3
Oui voilà. On est très zéro.
- Speaker #5
Oh ! Les Trailblazers.
- Speaker #3
Les Trailblazers.
- Speaker #5
Ah le basket ! L'équipe NBA. Ah oui, moi j'ai 3 points.
- Speaker #0
Ah ouais, bien, c'est pas grave.
- Speaker #2
Moi j'avais rien de l'année dernière.
- Speaker #0
Moi j'avais rien non plus, tu vois, sur le coup, j'ai pas laissé vite. Euh, j'avais des animaux, non c'est une épice.
- Speaker #5
J'ai tenté. Le thym ?
- Speaker #2
Moi aussi, j'ai mis ça. C'est une plante. J'ai mis ça.
- Speaker #5
C'est une plante. C'est thé.
- Speaker #0
Oui, c'est pareil.
- Speaker #3
Maître Capello, est-ce que le thym...
- Speaker #1
Le thym serait passé, le thé, non, mais vous aviez pu faire tandoori.
- Speaker #3
Tandoori toi-même. Ah oui,
- Speaker #2
tandoori.
- Speaker #0
Tandoori.
- Speaker #4
Donc si ça passe pas...
- Speaker #5
On du coup annule.
- Speaker #0
1, 2, 3,
- Speaker #4
4. Mais c'est une cata.
- Speaker #2
1,
- Speaker #4
2,
- Speaker #2
3, 4. Tu sors,
- Speaker #4
tu sors à 3 points, j'en ai 4.
- Speaker #0
T'as 4, donc tu arrives à 10. J'enfuis les pommes. T'as combien toi ?
- Speaker #2
P***** ! 4 !
- Speaker #0
8 pour Nathan, ça fait 15. Pas de gros mots ici sur ce plateau. Pardon, pardon. Mais pas Canal non plus.
- Speaker #2
T'as pas encore dit Canal.
- Speaker #0
Canal Champions Club, il a combien ?
- Speaker #2
Moi j'ai 5 là.
- Speaker #0
5 ? Et ça te fait 14 au total. Ok. Il nous reste M. Kruaz ? 6. 6 ? 8 et 6 ?
- Speaker #3
14, également.
- Speaker #0
Également. Pour l'instant,
- Speaker #4
je pense que je suis la lanterne rouge. Mais ! 10 points !
- Speaker #0
14-14 pour l'instant sur le côté, mon côté gauche.
- Speaker #2
14-14. 15 points.
- Speaker #0
15 ? 15.
- Speaker #2
15. Ça non, on n'est pas décroché encore.
- Speaker #0
Ne commence pas à tricher toi.
- Speaker #5
Je ne triche pas. Le truc à pélo peut vérifier.
- Speaker #0
C'est pas mal. Tyson,
- Speaker #4
je le sens n'importe quoi.
- Speaker #0
Tyson en boxe.
- Speaker #3
C'est de nous un boxeur.
- Speaker #4
Henri Tillman par exemple.
- Speaker #0
Avant la troisième manche.
- Speaker #3
Surtout qu'on n'aurait pas pu te contredire. Tu pouvais me sortir n'importe quel nom.
- Speaker #0
Messieurs, avant la troisième manche, Bertrand Latour nous a parlé de Gérard, de sa culture footballistique. C'est ça qui fait la différence pour être aujourd'hui à Canal ?
- Speaker #2
Oh non,
- Speaker #4
je sais pas.
- Speaker #0
Non, mais qu'est-ce qui fait que Canal vienne chercher le jeune Bertrand Latour d'RTL, de l'équipe ?
- Speaker #2
Sa beauté ! Moi, vous me voyez jeune ?
- Speaker #0
Né à Albertville 92, c'est pas difficile.
- Speaker #2
Oui d'accord, mais vous me voyez jeune parce qu'on s'est connu sur une radio à RTL quand j'avais 20 ans, mais maintenant j'en ai 32, donc je suis...
- Speaker #0
Je fais 12 ans quand j'ai regardé hier.
- Speaker #2
Relatif, hein. Oui. Non, je sais pas.
- Speaker #0
Non, mais t'as un bon âge.
- Speaker #2
Je sais pas, il faut leur demander ce qu'ils m'ont trouvé. Non, je sais pas.
- Speaker #0
Je ne sais pas.
- Speaker #1
Cette envie d'être aux côtés des plus grands. Et souvent, même à l'époque où on travaillait ensemble, d'aller chercher un peu, titiller les ginolas ou Gauvoux ou Nasseri.
- Speaker #0
Oui, mais c'est mon caractère. On a la chance d'avoir un micro, donc autant l'utiliser pour dire ce qu'on pense. Donc, je sais qu'il y a assez peu de différences entre ce que je peux être en dehors et ce que je suis à l'antenne. C'est peut-être une des explications, mais voilà.
- Speaker #1
Vous n'avez pas peur de dire les choses. Je vous écoutais l'autre fois sur Monaco, par exemple, par rapport à l'attaque et la défense. Vous avez comparé.
- Speaker #0
Oui, mais la DH !
- Speaker #1
Oui,
- Speaker #0
j'ai vu que ça avait été repris. C'est une formule, enfin on peut rigoler, c'est pas très grave.
- Speaker #1
Évidemment qu'il y a un grand respect pour les défenseurs de Monaco.
- Speaker #0
Et Singo ira dans un très bon club. Caio Henrique, il est moins bien, mais c'est un très bon joueur. Van Darsen aussi, international brésilien. Mais bon voilà, c'est vrai qu'on est un peu exaspéré par ces erreurs qui se sont reproduites de manière systématique. Même en championnat d'ailleurs. Entre la Ligue des Champions et le championnat, c'est toujours les mêmes erreurs qui coûtent les matchs. Bon, c'est un peu usant quoi. C'est une formule, mais... Il n'y avait pas de méchanceté derrière ce propos ?
- Speaker #1
Non, mais vous connaissez bien le football, vous le maîtrisez bien. C'est gentil. Non, mais c'est vrai, parce que j'ai eu la chance de travailler avec vous. C'est vrai que vous êtes... votre façon de faire... Qu'est-ce qui vous définit ? Sniper, j'aime pas, quoi. Il y a du riolo, il y avait du menace à l'époque.
- Speaker #0
Ah oui, là, vous cochez toutes les cases. Là, vous faites monter en pression.
- Speaker #1
Pourquoi on va chercher un Bertrand Latour ?
- Speaker #0
Mais il fallait laisser Thomas Sénécal, le patron des sports, il fallait l'inviter.
- Speaker #1
La prochaine fois, je lui lance l'invitation.
- Speaker #2
C'est lui qui a eu l'idée ?
- Speaker #0
Il était plus dur à avoir l'idée, mais en tout cas c'est lui que j'ai rencontré pour mon premier rendez-vous. Non mais oui, j'ai bien conscience que peut-être que j'ai une liberté de ton que certains ne prennent pas, mais je parle jamais que de foot, j'ai pas l'impression de prendre des risques énormes non plus.
- Speaker #1
Alors question toute simple, et puis après je vous demanderai peut-être de répondre aussi. Comment peut-on aujourd'hui, vu les derniers, on était au fond du trou avant la fin de l'année, depuis le début de l'année on a retrouvé un Kylian Mbappé extraordinaire. Moi j'adore qu'il y ait un débat sur Kylian Mbappé, à 26 ans il n'y a plus de débat. C'est l'un des plus grands joueurs du monde. Point barre, non ? Est-ce qu'on peut encore le critiquer ?
- Speaker #0
On pouvait le critiquer, Christophe. Moi, je l'ai fait d'ailleurs et je ne regrette pas. Même si c'est un peu moins l'air du temps, parce que là, il est de nouveau hyper bon. Je pense que déjà, il a perdu quelques kilos qui lui permettent d'être plus véloce.
- Speaker #1
Même affaire que Benzema avec Mourinho.
- Speaker #0
En tout cas, je le trouve à nouveau à retrouver des foulées qu'il avait quand il a émergé, ce qu'on ne le voyait plus faire. Il ne faisait plus d'appels en profondeur, il en fait à nouveau. Je pense qu'il y a eu un certain nombre aussi de problèmes personnels qui l'ont sans doute un peu perturbé. Il y a aussi l'intégration au Real Madrid, qui n'est pas un club simple à intégrer, quand bien même il a un vécu conséquent maintenant, que ce soit avec le PSG ou en équipe de France. Donc tout ceci mis bout à bout, il a eu quelques mois difficiles, mais qui pour moi étaient même... avant même son arrivée à Madrid. Pour moi, le dernier euro qu'il fait, il n'est pas bon du tout avec l'équipe de France. Et même avec le Paris Saint-Germain, ok, il marquait des buts. Mais le monde PSG, ils sont cinq rangs au-dessus des autres. Ils marquaient des buts. Mais moi, l'impression visuelle qui était la sienne quand il touchait le ballon il y a quelques années, c'était quand on était au stade, on se disait, que va-t-il faire ? Que va-t-il inventer ? La dernière année au Parc des Princes, je ne me disais pas que va-t-il inventer. Il marquait des buts, mais je ne me disais pas ça. Et là, je le retrouve à nouveau. Donc pour moi, on a retrouvé le kiki.
- Speaker #1
D'accord, donc on pourra le critiquer, même si...
- Speaker #0
C'est-à-dire que... Même Messi a raté des matchs. Ce n'est pas parce que vous critiquez la performance d'un match une fois que vous remettez en question ce qu'il a fait, ce qu'il fait et ce qu'il fera. Pour moi, c'est deux choses différentes. Vous, vous êtes de l'école, vu que c'est Mbappé, il ne faut jamais le critiquer.
- Speaker #1
Non, mais ce n'est pas ça. C'est tellement difficile et délicat quand un joueur a tellement prouvé. Moi, j'ai beaucoup de mal. C'est comme Deschamps. Tu peux l'attaquer tant que tu veux. Quand tu vois le palmarès de Deschamps, tu peux dire qu'il joue défensivement. Voilà, on bat la Belgique, on est tranquille, mais par moments. Tu peux le dire. On a connu. On a eu ce débat il y a quelques temps, je m'en souviens. Mais nous, les anciens, je ne m'adresse pas à Nathan, mais on a tellement été malheureux en matière de football dans nos années à nous qu'aujourd'hui, vous êtes tellement gâtés à votre jeunesse. C'est incroyable.
- Speaker #3
Le début n'était pas à Paton. En 2010, ce n'était pas un joueur.
- Speaker #1
Quand tu es né en 1960.
- Speaker #2
c'est vrai qu'aujourd'hui la période est dorée mais je trouve que ce n'est pas un droit d'entrée parce qu'il est champion du monde à 18 ans, 19 ans qui cartonne et qui est exceptionnel pendant 3-4 ans que ça va excuser les performances moindres et qu'on n'aurait pas le droit de le critiquer, c'est-à-dire qu'on attend toujours et ce qui est normal pour confirmer on est dans l'exigeant je pense Christophe et c'est logique je pense précisément l'inverse
- Speaker #0
Précisément parce que c'est un des meilleurs du monde, il faut être exigeant avec lui. D'ailleurs, c'est d'ailleurs ce qu'il a réclamé très tôt, de le juger de manière sévère parce que c'est un grand joueur. Il y a un moment donné, quand il est moins bon, on peut le dire, mais ça ne remet pas en question le talent qu'il a. Son talent est incontestable. Moi, je pense qu'il s'était un peu perdu pour différentes raisons et là qu'il est en train de retrouver le bon chemin. D'accord.
- Speaker #3
Je pense que ça lui a fait du bien d'être critiqué. Quoi,
- Speaker #1
d'aller en Chouette ?
- Speaker #3
Non, ça je ne sais pas. Mais ça lui a fait du bien d'être critiqué parce que ce genre de joueur, c'est un moteur aussi pour eux de voir les critiques. Ils font semblant de ne pas les voir ou quoi, mais en tout cas je pense que ça lui a fait du bien d'être critiqué, d'être un peu mis en lumière pour ses côtés un peu négatifs dans son arrivée au Réal. Je pense que ça lui a fait du bien.
- Speaker #2
C'est sain finalement Oui c'est sain C'est pas linéaire une carrière Heureusement Et celui qui est fort C'est celui qui s'en sort Et c'est justement celui Qui a pris une période compliquée
- Speaker #1
Qui surmonte tout ça Avant une carrière d'un Deschamps Aujourd'hui qui va laisser Les rênes de l'équipe de France Tu as eu des rapports toi avec lui Même qui sont devenus presque amicaux Presque drôles Non pas jusque là Mais en tout cas on a une bonne relation Oui parce que Deschamps C'est un chambreur Ouais tout à fait Moi je l'aime bien Comme le sport Toi t'es encore pire Je sais pas si t'es un chambreur T'es pire que ça Il en joue !
- Speaker #0
Oui, mais du moment qu'il considère que vous êtes juste et que vous regardez les matchs, que vous avez un peu d'abattage derrière, après il le sait mieux que nous quand il nous raconte sa soupe après un mauvais match, il sait mieux que nous que le match n'a pas été bon. Alors après, lui, dans des postures, tous les entraîneurs mentent, donc lui, il ne veut pas de déception. Ils mentent tous, ils disent rarement la vérité les entraîneurs, parce qu'ils savent mieux que nous la dose qu'on a livrée. Louis-Henriquet ne répond pas aux questions, donc au moins il ment pas, lui c'est un avantage, ce qui ne dit rien. Comme ça, c'est le meilleur moyen de ne pas mentir. Mais Deschamps, on peut critiquer Deschamps, la prestation des bleus à l'Euro, il en est comptable. Il ne peut pas être responsable des victoires et pas des défaites. Mais ça ne remet pas en question, encore une fois, la carrière de Deschamps. Bien sûr,
- Speaker #1
bien sûr. On peut tout dire aujourd'hui ?
- Speaker #4
Oui, alors le problème, évidemment, il faut quand même qu'on se remette un peu en cause, nous les médias. C'est-à-dire qu'on a quand même tendance à charger la mule dans un sens, puis charger la mule dans un autre. C'est-à-dire que tout est un peu excessif. Ça, c'est vrai. Ça concerne Mbappé, mais ça concerne tous les sujets d'actualité. Heureusement que le sport est quand même un sujet qui nous donne en général de la banane et du bonheur à tous et que par rapport à tous les autres sujets d'actualité,
- Speaker #1
qu'on retrouve le sport,
- Speaker #4
c'est pas bien grave.
- Speaker #1
On demande beaucoup au sport, tu sais aussi. Comment ? J'ai dit dans la société, on demande beaucoup au sport.
- Speaker #4
Non mais le sport donne, je trouve, beaucoup. En tout cas, c'est pour ça qu'on est là.
- Speaker #1
C'est un exemple, tu vois, c'est très compliqué.
- Speaker #4
Oui, oui, mais c'est quand même un truc bénéfique, je pense, à la société. Là, si on part sur ce sujet-là,
- Speaker #1
je vais... Nathan, liberté de ton chez toi, sport en France,
- Speaker #3
oui ? Ouais, ouais, en tout cas, je suis d'accord, on fait pas de fou.
- Speaker #1
Sur les réseaux sociaux, en plus, toi, j'ai...
- Speaker #3
Ouais un petit peu, c'est plus simple sur les réseaux sociaux forcément.
- Speaker #1
Mais ce qui se passe en télé,
- Speaker #3
on découle sur les réseaux sociaux forcément, on sort juste des fois des extraits un peu sortis de leur contexte. Mais non je suis d'accord avec ça, liberté de ton, c'est important de critiquer des joueurs dont on attend quelque chose, parce qu'on sait qu'ils sont capables de faire des choses extraordinaires, donc je trouve normal qu'on les critique. Et je pense que ça fait du bien justement à des joueurs qui sont parmi les meilleurs joueurs du monde d'être critiqués, ça leur sert.
- Speaker #1
Et les anciens joueurs avec qui vous travaillez sur le plateau de Canal ? Oui,
- Speaker #0
ils sont sympas.
- Speaker #1
Ça va ? Je ne suis pas prudent. Quand il vous en est arrivé, non, non, mais je veux dire… C'est normal ! Non, mais à une époque…
- Speaker #0
Franchement ?
- Speaker #1
Oui, je m'en souviens, il y a 10-15 ans, quand tu critiquais un grand joueur de football français qui avait gagné la Coupe du Monde 98, alors qu'on gagne avec Mbappé et les autres, le type il te disait « je suis champion, tu es gentil, tu restes à ta place » , tu vois ce que je veux dire, de temps en temps. On avait ce sentiment-là.
- Speaker #4
Ça existe.
- Speaker #0
Ça, je l'ai connu parfois un peu à la chaîne d'équipe, parce que j'y arrivais aussi, là c'est moins le cas, en tout cas peut-être de penser…
- Speaker #1
Non mais les nascues…
- Speaker #0
Je le fais par eux, là,
- Speaker #1
leur mémo…
- Speaker #0
Mais en tout cas, depuis que j'ai commencé le 15 septembre, il n'y a jamais quelqu'un parmi les gens que vous m'avez cité qui m'ont fait ressentir que ce que je disais avait moins de sens qu'eux parce que précisément, je n'avais pas joué. Dans ces cas-là, il ne faut pas faire des émissions avec des journalistes. C'est ça. Parce qu'en fait, le problème de la légitimité n'a aucun sens parce qu'en fait, vous avez toujours quelqu'un qui sera... plus diplômé que vous. C'est-à-dire que même quand j'entends que parfois Christophe Dugarry n'est pas légitime pour parler de foot parce qu'il n'était pas bon en 1998, parce que c'était le copain de Zidane, parce que c'était si, si Dugarry ne peut pas parler de foot, plus personne ne peut parler de foot. Et Ronaldo, il n'a pas gagné la Ligue des Champions donc il ne pourrait pas parler de foot non plus. Je parle de Ronaldo le Brésilien, c'est sans fin l'histoire. C'est sans fin. Moi je pense que ce qui tient c'est ce que vous dites, c'est le fond. Après le palmarès, pas le palmarès, assez peu d'intérêt.
- Speaker #1
Canal Champions Club, Canal Football Club, entre la Ligue 1 vous êtes pareil ?
- Speaker #0
Entre la Ligue 1 et la Ligue des champions ? La Ligue 1, il n'y en a pas sur la chaîne. Oui,
- Speaker #1
on va être dans le canal du dimanche.
- Speaker #0
Oui, parce que le mardi et le mercredi, on est avant et après les matchs. On est vraiment à chaud et moi, c'est ce que j'aime le plus. C'est vraiment intéressant de débriefer les matchs que les gens viennent de regarder sur Canal+. Donc ça, c'est hyper passionnant. Et le CFC, c'est un exercice différent où l'émission se construit tout au long de la semaine. On sait les sujets sur lesquels on va être amené à converser puisque l'émission est préparée, évidemment. Ce qui n'est pas le cas le mardi et le mercredi puisqu'on est plus à chaud. Donc c'est deux exercices différents et complémentaires.
- Speaker #1
Très complémentaire. Très bien, Bertrand Lagib.
- Speaker #0
J'y prends beaucoup de plaisir.
- Speaker #1
Troisième manche, case mystère, après les épices, après les animaux, Maître Capelo ?
- Speaker #5
Acteur ou actrice ?
- Speaker #0
Je vous annonce que là, j'aurai rien. Là, je suis noté sur neuf.
- Speaker #4
C'est vrai ?
- Speaker #5
Ça va dépendre de la lettre. La lettre est un GD. GD ?
- Speaker #4
C'est parti, deux minutes.
- Speaker #1
Et c'est parti pour deux minutes. Alors...
- Speaker #5
On les taquine ou on les taquine pas ?
- Speaker #3
Non, non,
- Speaker #1
non. Si, si, mais bien sûr.
- Speaker #5
Je me souviens d'un certain Nelson Monfort qui a taqué un certain... C'est lequel qui voulait me donner un coup de raquette ? C'est Henri Lecomte, Amara Simba, vous les fans de bicyclette. Ils ont tous eu un moment, ce moment où ils craquent. Tu vois ce que je veux dire ? Oui, on est bruyant. Pour ceux qui veulent le retrouver, Radiosport, c'est simple, Radiosport.fr. Il y a un S à Sport, vous voyez, pas bête, Radiosport.fr. Vous avez plein de petites choses, les résultats, ceux qui ont raté. Tu as vu le biathlon, la France, cette année.
- Speaker #1
Pas mal quand même, mais toujours. Il y a trois pays qui concourent, donc c'est facile.
- Speaker #5
Non, tu ne peux pas dire ça.
- Speaker #1
Mais en tout cas,
- Speaker #5
ça claque comme guillère et l'autre. Qu'est-ce qu'il y a en ce moment ? On va pas tarder à arriver à du tennis. C'est quand que ça prend le tennis ?
- Speaker #4
Ça n'arrête jamais, le tennis. C'est vrai ?
- Speaker #5
Oui, mais ça ne joue pas bien. C'est les joueurs Monaco. Ah,
- Speaker #1
ça y est, j'ai.
- Speaker #5
À Nice, c'est comme ça, non ?
- Speaker #1
Bloqué sur les capitales.
- Speaker #5
Il vous reste une petite minute et je vous rappelle les catégories. Sport, prénom, métier, capital, plat. Pensez à des plats simples. Souvent, on complique la vie. Ski, vous avez le droit de donner le nom d'une station de ski.
- Speaker #1
Oui, une station.
- Speaker #5
Boot, box. basket et donc la catégorie mystère pour cette troisième manche acteur ou actrice et attention c'est la lettre ou du surnom c'est pas chanteur, c'est acteur ou actrice il peut l'être,
- Speaker #1
il y en a certains qui ont fait les deux et il vous reste moins de 30 secondes je sais pas, un basket, il cherche un truc par rapport au basket dans un parquet, dans autre chose et la capitale tu as ? J'en ai une mais j'ai peur de faire une bêtise donc je ne dirai pas.
- Speaker #5
Je pense savoir laquelle. Mais tu peux mais il faut préciser.
- Speaker #1
Ah oui.
- Speaker #4
J'en ai une, un basket.
- Speaker #1
Ah oui, oui, oui, oui.
- Speaker #5
Un peu comme ton rocher.
- Speaker #1
Rocher. Aïe, vous avez cassé ma table. Chez vous, vous avez cassé votre table ?
- Speaker #0
Non, non, non.
- Speaker #1
Deux minutes. Personne n'a tout trouvé. Ah non. Difficile, hein, Maître Capelo, difficile.
- Speaker #4
C'est compliqué.
- Speaker #3
J'ai, c'est compliqué.
- Speaker #1
Qu'est-ce qui n'a pas commencé ? Mais Bertrand, tu n'avais pas commencé tout à l'heure. Vas-y, sport. Golf. Golf. Golf. Golf, j'adore. Et toi ? Golf.
- Speaker #4
Bon ben d'accord.
- Speaker #1
Au moins, tu vois, de ce point-là, personne ne l'aura. Prénom ? Grégory. Georgette. Gwendoline. Georgette, j'adore ce con. J'adore parce que Bertrand Latour, il a fond, c'est plus qu'un match de foot, tu vois, il sait pas jouer au foot.
- Speaker #0
Ah non, moi ça me rend taré à l'équipe. Là pour le coup, j'ai trop de grossièreté. Ah non, c'est la loi. Tiens, j'essayais de faire un... D'accord,
- Speaker #1
c'est bien. Calibre dans ta canale.
- Speaker #0
Non, non, mais ça me rend taré moi de perdre, je ne supporte pas ça. Gardien de prison.
- Speaker #1
C'est bien,
- Speaker #2
t'es de Montarelle.
- Speaker #1
La prison d'Eton, près d'Alberville.
- Speaker #0
Eton, vous connaissez ?
- Speaker #1
Ah oui, quand même. Quand t'arrives par le tunnel de Fréjus, tu sais, t'es obligé de passer devant.
- Speaker #0
C'est pas un port de pêche, il est ton. Il vaut mieux y passer, mais très vite.
- Speaker #1
C'est bien entouré.
- Speaker #4
Gautier. Gantier, pardon. Gantier, j'arrive pas à me le relire. Gantier avec un Gant.
- Speaker #2
J'ai rien.
- Speaker #3
Garagiste.
- Speaker #1
Bah oui. Allez, capital.
- Speaker #0
Je l'ai pas. Alors moi,
- Speaker #4
je tente Guatemala City.
- Speaker #3
Je l'ai aussi.
- Speaker #0
Tu l'as aussi. Ouais, ça marche. Tu l'as aussi. Ça marche. Oui.
- Speaker #1
C'est pas Goa,
- Speaker #2
j'ai pas.
- Speaker #0
Mais toi je suis sûr que tu dois jouer au petit bac en vrai,
- Speaker #1
arrête tes randos.
- Speaker #0
Non,
- Speaker #1
Bon, un petit guacamole, ça vous dit ?
- Speaker #2
Et notre maître Capelot,
- Speaker #5
il n'avait pas de petit gratin.
- Speaker #2
Non,
- Speaker #0
pas de gratin. Si, il a dit gratin.
- Speaker #2
Donc, grenade, on ne tient pas.
- Speaker #5
Grenade, c'est un fruit directement.
- Speaker #1
C'est un fruit directement. Ok, mais au revoir.
- Speaker #0
En ski. Franchement, il y avait Gorgol, possiblement. G-E-O-R. Ah oui. Sauf que là, j'ai choisi quelqu'un de ta génération. J'ai choisi Marc Girard de Lille. Avec Guachel.
- Speaker #1
Oula les soeurs quoi ! Eh oui ! Eh bien ça va ?
- Speaker #2
Moi j'ai mis Gap, la station.
- Speaker #1
Gap c'est bien.
- Speaker #4
Quoi ?
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
Pour ce qui est à Gap ?
- Speaker #2
Station à Gap, bien sûr.
- Speaker #3
Bon alors,
- Speaker #0
on est sûr de ça ? Avec Tim on a ouvert la boîte de pote. Mais sur le Steam Gap évidemment !
- Speaker #1
J'étais vraiment de Gap avec mes brillançons ! Oui,
- Speaker #0
bon sang plutôt ! Non, non,
- Speaker #3
c'est un chevalier ! On parle de capri,
- Speaker #1
on s'en a un peu... Non mais tu me parles de parachutisme !
- Speaker #4
Moi je me la donne, je ne l'ai pas pour vous. Et le dernier mec qui a skié à Gap, à mon avis, c'est en 1952.
- Speaker #2
Eh bien c'est parce que quand même, j'y étais pas !
- Speaker #4
Il n'y a quand même pas de la neige présente à Gap.
- Speaker #1
Mais c'est
- Speaker #0
Beloki qui se casse la gueule.
- Speaker #1
Beloki avec Armstrong dans le champ ? Ouais !
- Speaker #2
Gap, c'est une station mythique, l'altitude de Gap, c'est un an où vous voulez passer ! C'est sûr !
- Speaker #1
Non,
- Speaker #3
non, Gap c'est...
- Speaker #2
C'est un grand seigneur !
- Speaker #1
Ok, Jacques Thiers. Vu le nombre de pouces qu'il a.
- Speaker #4
Ah, il s'appelle Garmisch Martin Kirchner.
- Speaker #1
Gappa. Je dis Garmisch. Garmisch.
- Speaker #2
Garmisch Martin Kirchner. C'est toi qui es Garmisch ?
- Speaker #1
On peut avancer,
- Speaker #4
monsieur ? Je suis allé à Garmisch.
- Speaker #0
On y va pas, on y va pas. Toi, t'as mis quoi ?
- Speaker #3
Je n'ai rien.
- Speaker #0
Super, ché.
- Speaker #1
Ché. Alors, football.
- Speaker #0
Gérard, Steve G.
- Speaker #4
Moi, j'ai mis Griezmann. T'as pas mis Gérard,
- Speaker #1
toi.
- Speaker #2
Moi, j'ai mis Georges. Où est un ?
- Speaker #1
Ah, mais non, c'est bien.
- Speaker #0
Non, c'est Mr. Georges. C'est Mr.
- Speaker #1
Georges. Ah, mais...
- Speaker #4
Ah, Mr. George.
- Speaker #2
Ah, pardonnez-moi. Non, non, non.
- Speaker #4
George Ouellas.
- Speaker #2
Ah, putain.
- Speaker #1
Non, mais je vais te donner un point. Si tu prononces exactement le nouveau puteur de l'AS Monaco. Le nouveau puteur. George, ton prénom. Ah oui. Et maintenant, tu me donnes son nom.
- Speaker #0
Il ne le connaît pas.
- Speaker #1
Vas-y.
- Speaker #0
Il vient d'arriver. Tu arrives à se prononcer ? Oh non, non. Moi, je l'ai. Et Jean-Paul Bonny, je ne sais pas. Vas-y. Il est niquinien.
- Speaker #1
Personne n'a compris donc il est niqué.
- Speaker #2
Non mais tu me le donnes.
- Speaker #0
Georges il est niqué. C'est un I.
- Speaker #1
Allez cadeau. Non mais c'est Georges.
- Speaker #2
Non mais je pense que là le Georges Ouéa ça mérite quelque chose.
- Speaker #3
Ouais c'est Maître Capello. Pour la grenade gap et ça, on est pas sûr.
- Speaker #1
Oui Maître Capello.
- Speaker #5
Fait-il ou il y a rien de libre ?
- Speaker #1
Alors ?
- Speaker #0
Il y a bon ou pas ?
- Speaker #5
Mais j'ai pas entendu la question.
- Speaker #1
Non, mais on te demande si tu donnes le point à Mr.
- Speaker #4
George.
- Speaker #1
Pour George, ou à Mr. George, pour G.
- Speaker #5
Non, parce que c'est... C'est embêtant, parce qu'on en revient. Le surnom, c'est Mr. George. Exact.
- Speaker #2
Donc, je pense que je suis proche du néant.
- Speaker #1
C'est pas mal. T'es proche du non, t'es non.
- Speaker #2
La boxe.
- Speaker #3
Gant, oui. Est-ce que vous avez ?
- Speaker #0
Vous avez quoi ? Gant ?
- Speaker #2
Qui est un champion du monde en hockey, en plume.
- Speaker #1
Ah, c'est peut-être n'importe quoi.
- Speaker #4
Oui, je me souviens. Ou est-ce que...
- Speaker #0
Je ne t'applaudirai pas quand même parce que tu n'as qu'un mot sur la boxe.
- Speaker #2
Je pense en toute modestie que je me balade.
- Speaker #1
Il n'y avait pas Bertrand Latour, Nathan Lingua. Alors derrière,
- Speaker #2
basket, appareil. Ah, pire, je n'ai pas le droit de le dire. Pas de gros mots. Pardonnez-moi encore une fois. Je le passe souvent, celui-là.
- Speaker #1
Alors, il va le couper à l'antenne, non ? Basketball ?
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #3
Grizzly. Grizzly. Et là, c'est sur les équipes NFC.
- Speaker #1
Ça va, tout le monde comprend.
- Speaker #0
Oui. Moi, j'ai Garnett, comme Kevin.
- Speaker #3
Garnet.
- Speaker #0
J'ai vu une garnette ?
- Speaker #1
Garnet, j'ai compris Garnet. Garnet.
- Speaker #0
Garnet ? J'ai vu une garnette.
- Speaker #1
D'accord.
- Speaker #0
Monsieur ? Rien. D'accord.
- Speaker #1
Comment il s'appelait ? Garnier, non ? Il n'y avait pas un...
- Speaker #2
Non, il y avait...
- Speaker #1
L'esprit de Garnier. Garnet ? Non,
- Speaker #3
Valérie Garnet.
- Speaker #2
Des Boston ?
- Speaker #1
Des Boston ? Des Boston ?
- Speaker #3
C'est les Boston qui avaient les jambes purelles.
- Speaker #2
Et moi j'avais, c'est pareil parce que je laisse tomber, j'avais le Janis Antetokounmpo, dada dada dada.
- Speaker #1
Ah mais c'est un prénom !
- Speaker #4
C'est un prénom !
- Speaker #1
C'est un prénom !
- Speaker #3
Après, je suis pas mal. On l'appelle Janis, c'est un peu son surnom, on l'appelle Janis, parce que tu n'arrives pas à prononcer son nom,
- Speaker #0
c'est son prénom et les gens c'est comme Gvara, on va l'appeler, ben non on l'appelle, parce que c'est trop compliqué.
- Speaker #1
C'est marrant parce que comme Lebron,
- Speaker #2
on l'appelle Lebron. Preuve d'intransigeance, autant il y a de la souplesse. Je l'ai valorisé tout à l'heure Bertrand, j'étais sincère et là tu es dur, mais je te respecte, c'est pas grave, mais t'es pas, ok, tu veux vraiment gagner. tu marches à la flat il est un peu à la traîne on peut l'aider ça va rien changer les amis mais que les gens chez eux demandent efficacité et rentabilité les gens chez eux demandent 1,
- Speaker #1
2 donc on oublie attends il reste non non carcasse Gary Grant
- Speaker #2
Gary Grant c'est moi Gabin tu connais pas ?
- Speaker #0
ah oui John Gabin tu connais pas ? mais sur 2 minutes Gabin ça me vient pas oui Jean Gabin bien sûr Gary Grant oui Gary Grant oui Gary Grant
- Speaker #2
Ou Clark Gable !
- Speaker #3
Pas du tout non plus. Oui,
- Speaker #0
oui,
- Speaker #1
c'est pas des acteurs. Bon, c'est pas grave, il n'y a que des vieux acteurs, au final. Bon,
- Speaker #2
c'est pas grave.
- Speaker #1
Acteurs morts. Que des acteurs. Mourus, pas mourus. Combien de points ? Cinq.
- Speaker #4
C'est tout au final.
- Speaker #2
J'ai deux. Et les amis ?
- Speaker #0
J'ai trois points. Et Gap,
- Speaker #2
on ne l'a pas compté.
- Speaker #0
J'ai trois points. On avait le même.
- Speaker #1
Nathan ?
- Speaker #3
Salk aussi.
- Speaker #1
Aïe, aïe, aïe. Moi, je pense…
- Speaker #0
Il y a eu des doublons, là, Christophe.
- Speaker #1
Mais c'est vrai. Bruno
- Speaker #0
on est combien sur les taux de frais ?
- Speaker #1
Alors attention La dernière manche il va falloir être sérieux tu acceptes pas n'importe quoi Je suis nul S'il te plaît 20 points en tête Bruno Cluas qui revient
- Speaker #4
Du diable vau vert J'adore cette expression
- Speaker #1
Je vais cartonner avec Nathan
- Speaker #0
Je vais gagner Donc moi j'ai 19 et ils ont 20 C'est un point de retard Ça va,
- Speaker #2
ça va C'est Gérard C'est Gérard Un point Je vous l'ai dit sur la dernière Si je fais 10 sur 10
- Speaker #0
Et que nous on fait 2 sur 10
- Speaker #1
Tu peux peut-être le faire Jean-Philippe Mais pas sûr C'est pas un chiffre Bord de bonheur pour nous Les français Mais les chinois Aiment beaucoup ce chiffre Le 13 Tu as 13 points C'est mieux comme gagné
- Speaker #2
Bien passé comme gagné Jean-Philippe Tu viens à l'émission J'ai dit oui Pendant 15 jours J'ai gravisé
- Speaker #1
Tu as bien révisé. J'aimerais bien que tu parles de ski quand même. On a la chance d'avoir fait notre cuirasse, on parlait de tennis rapidement tout à l'heure. Mais l'objet, je sais qu'en ce moment tu travailles sur le ski, puis c'est l'actualité. On a fait zéro, c'est ça, au championnat du monde de ski ?
- Speaker #4
Au championnat du monde de ski alpin, on a fait zéro, mais au championnat de biathlon, on a cartonné. Oui, mais il y a combien d'équipes ?
- Speaker #1
Franchement, j'adore ce sport, mais bon.
- Speaker #4
Ce qui est étonnant quand même, justement, c'est une bonne remarque, mais j'ai compté, parce que j'ai quand même fait une petite analyse. Et c'est quasiment la même chose. Ski alpin et biathlon, c'est quasiment le même nombre de pays qui se sont médaillés. La grosse différence en ski alpin, c'est que la Suisse a tout raflé cette année. Ils ont une équipe de malades. Et la France n'a rien raflé avec, on le sait quand même, pas mal de skieurs hors course.
- Speaker #1
Il y a des blessés, on pense à Sarrazin, à Saint-Pinturot.
- Speaker #4
C'est vrai qu'il y a beaucoup moins de blessés en biathlon, heureusement d'ailleurs, que dans le ski alpin.
- Speaker #1
Pas le même danger.
- Speaker #4
Pas le même danger. C'est vrai que les armes sont bien... Non, non, mais c'est vrai qu'on a perdu cette année Cyprien Sarrazin et Alexis Pinturot, qui étaient quand même les têtes de gondole du ski français.
- Speaker #1
Et Clément Noël qui rate sa dernière manche. Oui,
- Speaker #4
alors Clément Noël, évidemment, lui c'est un homme qui prend beaucoup de risques, donc ça ne passe pas à tous les coups. C'est passé aux Jeux Olympiques pour notre plus grand plaisir. Et puis la saison,
- Speaker #1
il est bien quand même.
- Speaker #2
C'est quand même le paradoxe, si tu veux, sans être offensif et désobligeant, mais on dispose des plus belles, on le sait, les plus belles montagnes. Il y a des écoles de ski exceptionnelles. Il y a une formation dingue, on est très fort encore en junior, c'est vrai, historiquement.
- Speaker #4
Là, on préfère beaucoup d'analyse, il y en a eu un très très simple quand même. Malheureusement, il y a une culture dans les stations. On préfère quand même faire, comme tu l'as dit, des écoles de ski qui sont pour la masse, c'est-à-dire beaucoup d'enfants qui viennent des villes. Et on préfère beaucoup faire du business plutôt que de la compétition.
- Speaker #1
Mais c'est une compétition, il n'y a pas de cellule.
- Speaker #4
Non, franchement, les stations... Là, je... Un petit point sur la table, les stations ont quand même beaucoup plus intérêt à faire marcher le business qu'à faire marcher la compétition, qui pour eux est un calcul, je pense, assez faux, qui est que le sport de compétition ne rapporte pas d'argent. Donc le sport de compétition, il faut savoir que le ski alpin...
- Speaker #1
Même si tu mets le bandeau à chaque fois sur...
- Speaker #4
Non, mais on va mobiliser des pistes, on va mobiliser du personnel, et il n'y a pas cette passion en France qu'il y a en Autriche et en Suisse, malheureusement. Le biathlon, c'est beaucoup plus simple parce que c'est quand même un cadre beaucoup plus limité. Et on a une très très bonne équipe de France de biathlon. Mais c'est vrai qu'en ski alpin, on manque de cette culture. On n'a pas de réservoir. Quand nos têtes d'affiche ne sont pas là,
- Speaker #2
il n'y a plus de... Ça tient toujours aux têtes d'affiche. C'est-à-dire que voilà, pour le sport du ski, c'est les têtes d'affiche.
- Speaker #4
Oui, mais la Suisse, si vous donnez l'exemple de la Suisse...
- Speaker #2
Oui, mais il y a un renouvellement continuel.
- Speaker #4
Et il y a des joueurs blessés. Mais oui,
- Speaker #0
on n'a pas de vivier, nous, en fait. En fait, ça tient sur deux, trois mecs. Alors, qui sait, on peut rigoler.
- Speaker #2
Et s'ils se blessent et sinon ?
- Speaker #0
Zéro.
- Speaker #2
Et c'est pour ça que quand on regarde l'histoire des Jeux olympiques et l'histoire des championnats du monde en ski alpin... On regarde le nombre de médailles à chaque fois, c'est intéressant, c'est-à-dire que c'est très peu. Oui,
- Speaker #4
très peu de médailles.
- Speaker #2
Mais il y a historiquement très peu de médailles et de temps en temps, on attend le coup d'éclat et à chaque fois, on voyait venir. Donc c'est quand même un peu ennuyeux.
- Speaker #4
Après, il y a des histoires incroyables. Là, je suis en train de travailler, comme tu disais, sur l'histoire du ski pour une exposition pour le comité olympique, notamment pour les Jeux de 2030. Et la France a fait zéro médaille, notamment à Cortina d'Ampezzo en 1956. Zéro médaille. Et là, j'ai creusé un peu parce que je suis plongé en l'air. C'est des bagarres de vallées. C'est-à-dire qu'au sein de l'équipe de France en 1956, ça se tire la bourre entre Chamonix et Meugeb. Vous connaissez un peu les lieux.
- Speaker #0
Savoyard,
- Speaker #1
c'est normal.
- Speaker #4
Et au sein de l'équipe de France, il n'y a absolument aucune cohésion. Et notamment James Coutet, qui était donc un chamonillard. contre Vuarnet notamment, mais pas seulement. Et ces guerres ont fait un résultat zéro médaille. Et Vuarnet s'est fait virer de l'équipe de France, que j'ignorais totalement. Et que lui, quand il va se retrouver à la tête de l'équipe de France, va virer aussi tous les skieurs. Tu t'en souviens ?
- Speaker #2
Ah ben c'est la fin de la séquence. On s'en est 13 là, alors qu'ils avaient les meilleurs skieurs du monde, les Duvillard et autres. Et en 56, pour être complet, vous avez celui qui a initié les fameuses trois médailles d'or à certains Autrichiens, Tony Saylor.
- Speaker #4
Qui était tout jeune, 20 ans il avait.
- Speaker #2
Et qui est trois fois champion olympique, vous imaginez ? En 56, qui sera donc égalé par... Le célèbre Jean-Claude Guignol, c'est-à-dire qu'il était une star, une monumentale.
- Speaker #1
Est-ce qu'il veut dire qu'en 2030, on sera prêt ou pas pour être des champions, ailleurs qu'en Top Slag à la Plagne ?
- Speaker #4
Pour le ski alpin, il faut quand même vraiment bosser, bosser, bosser. Notamment, si on prend l'équipe de France actuelle, c'est vrai qu'il faut vraiment travailler sur les filles, parce que là, les filles, il y a vraiment une sorte de gouffre abyssale. Il n'y a pas vraiment de filles qui arrivent, donc j'espère que toutes les filles qui nous écoutent, elles vont bosser pour être prêtes en 2030. Pour les mecs, je pense qu'il y aura une bonne équipe. Et puis, il y a beaucoup de sport, on espère beaucoup. Mais 2030, ça reste quand même un petit peu loin pour les champions. C'est difficile de se projeter à... Oui, quand même, dans 5 ans.
- Speaker #1
Oui, 5 ans quand même.
- Speaker #0
C'est loin, mais c'est court pour...
- Speaker #4
Pour former un champion.
- Speaker #0
Pour former des champions et créer des vocations.
- Speaker #4
C'est 10 ans de formation. Et c'est vrai que dans ce calepin, il n'y aura pas de miracle. C'est pas de miracle.
- Speaker #1
C'est la quatrième manche, attention, 20 points pour Nathan, 20 points pour Bruno, Bertrand 19 et Jean-Philippe 13 points. Dernière case mystère après les épices, après les acteurs, les animaux. Avant de connaître la lettre, Maître Capello,
- Speaker #5
un mot espagnol.
- Speaker #0
Un mot espagnol ? Ouais, d'accord. Avec N, tu peux... Nada, par exemple, c'est bon. Bah, par exemple, oui. Ouais, d'accord. Bah, vous en connaissez tous. Nada ? Nada, c'est Paella. Et vous allez voir que ça sera pas si compliqué. Attention ! Allez, vas-y ! Ça sera la lettre I. C'est parti pour deux minutes. Eh oui. Ah oui, c'est bon. Je l'ai, l'Espagne. Je l'ai, l'Espagnol. Il faut un peu de tension, là. Prenez le temps. N'allez pas trop vite. Je vois que ça accélère. Ouais, ça accélère tout de suite, t'as vu ? Ouais, ouais. acteur et qui sait maintenant le 15 mystère c'est mot en espagnol je ne savais pas n'allez pas loin il y en a un qui craque ça la lettre peut vous aider vous devriez tous trouver quelque chose en espagnol en i vas-y ça y est Bertrand a craqué Dans cette émission, vous allez retenir le craquage en direct de Berkand Latour. Ah si, franchement, Berkand. En foot, je te l'ai donné tout à l'heure. Si on pense à Monaco, tu l'as. Ouais. Bah oui. Si on pense à un chanteur, on peut faire de l'Espagne. En sport, t'en as un en sport ? No comment. T'as du sport, oui. Je n'ai rien. Capital ? C'est pas une capitale. Non, non, Bertrand ! C'est la première fois que quelqu'un craque en direct. Bertrand, on attend, c'est pas beau ce que vous faites. Ah là, pour critiquer les joueurs et les du monde. Soit promis, soit rien. Ah, j'adore cette mentalité. Ensuite, en ski, en ski où ? Ah oui, mais j'ai qu'un prénom en ski. Oui, oui, ça marche pas. Je suis léger le même. Guemard, tu l'avais ? Ah non, c'est pas une Guemard. Moi, j'avais Ivica. Ah, ouais. Ça marche pas. Un box, c'est très difficile. Tu as été très dur pour ce final. Ce n'est pas moi, je te rappelle. C'est le tirage au sort, c'est l'intelligence artificielle. Je vais se retrouver comme ça, monsieur. C'est le maquinar. Monsieur IA. Basket, tu vois ? Ah oui. Je pense que c'est NBA, c'est ça ? Non, non, même pas. C'est innové. C'est innové. C'est macabre. Attention, très dur, quand même très, très difficile. Un abandon aujourd'hui sur cette petite belle Varde dessinée par Bernard Dussi. C'est dur le hit. Le hit c'est dur. T'avais rien du tout ? Non mais si, mais de toute façon je n'allais pas gagner. Est-ce que tu jouais à des sports genre le golf ? Non, jamais. Moi je fais du vélo, il ne faut pas que je sois en équipe déjà. Moi ça m'est arrivé en jouant au nou avec ma copine, je vais dans ses cartes et je m'en vais et tout. Et sur un plateau de télé c'est arrivé ? Ou de radio ? À l'équipe oui, ça m'est déjà arrivé de partir. Ah oui ? Ah oui, c'était le jeu terminé l'émission, mais ah oui, l'an dernier, à l'équipe de chat, je suis parti plusieurs fois. Ah, parce qu'il y avait un jeu ? Oui, il y avait un jeu, oui. Oui, c'est tout le monde. Ben, dis-donc, discute, sinon je suis civilisé, quand même. Non, mais ça m'énerve. Non, mais vous rigolez, mais... Résultat ! Non, non, mais ça m'énerve. Je te jure, je... Bruno ! Attention parce qu'il y a un gros match sur les deux. J'ai pas été très très bon. Mais c'est pas grave. Pas de sport, par exemple. Pas de sport, personne. Moi non plus. J'ai pas de sport. Il y en a, mais j'avais un sport. Pas d'Ironman, pas d'Indoor Rowing, pas de Highline Hockey, pas d'Ice Cross, pas de Ice Hockey. Ice Hockey. Ice Hockey, ouais, mais là, c'est pas... Oui, mais... Gatelon. Gatelon, c'était pas... C'est des blingues. Bon, d'accord, ok. C'est pas moi qui donne la liste, non, les gars. Que non. J'ai Ilan. Moi, j'ai Indira. J'ai Isabella. Toujours pas. en métier moi je les appelle pas les gens ingénieurs moi j'ai un îlotier ah oui j'ai pas papas et ça va être chaud pour les deux tu peux remitrer monsieur Hubert quand on va jeter ta feuille je vous le laisse capital j'ai pas j'ai pas j'ai pas de capital Islamabad Islamabad oui d'accord bah oui alors qu'on part tous en vacances à Islamabad j'ai une maison là-bas à l'appart Islamabad Islamabad Bravo ! Pas de géopolitique dans cette émission. Les plats ! Ensuite, un plat. Un plat au... À ager. À quoi ? Ispaon. Un gâteau de je ne sais pas qui. Un très très bon gâteau. Ispaon ? Ah oui. I-S-P-A-H-A-N. Oui, merci. Non, mais je dis ça pour mettre Capello. Si tu veux vérifier. C'est quoi ces trucs-là ? Attends, on va mettre Capello. On va mettre Capello. C'est une patin dans les... C'est sultan. Non, mais après, c'est toujours pareil. Il y a des recettes, mais c'est compliqué sur le i. Donc, on n'autorise pas. D'accord. Mais tu aurais pu faire une île flottante si tu préfères. Ah, ben oui. En ski. Moi, j'ai rien. Rien. Isola 2000 ? Non. Non, ouais, ça marchait, là, pour le coup. Ah oui, là, non, non. Et là, c'est juste en 1930, ça. Igloo. Donc, c'était... Igloo. Ah, Igloo, c'est très bon. C'est très bien. Ben oui. Voilà. Franchement, ça joue, non ? Ouais, ça joue. Allez, Igloo, c'est drôle. On n'a pas besoin de ta parole. Ils n'ont même pas... Même l'arbitre, ils... C'est bon. Igloo, c'est bon. Bon je suis resté fidèle à mes idées, j'ai mis Inbrook. Bravo ! Hillsbrook, bravo ! Bravo, les Jeux Olympiques ! Deux fivers, il y a très peu de stages. Bien joué, deux fois les Jeux Olympiques. Football ? Bah, j'ai Ibrahimovic. Ah ouais ? Oui, Ibrahimovic. Iwobi. Alex Iwobi. Très bien. J'ai pas. Moi, j'ai renoncé, donc j'ai pas réfléchi. D'accord. C'est clair, il a abandonné. Je l'adore, Bertrand Latour. Parce qu'il est nature, il est vrai. Le mec, il est entier. Nature, bravo. Non, mais t'es entier. C'est magnifique. C'est la première fois que ça nous arrive en bout de 20 épisodes. Il abandonne. La boxe ! Jimmy Illis ah oui bien sûr Jimmy ça commence par un H on le trouvera jamais quoi si Illis jamais on est sûr pas du tout c'est ça on peut vérifier attends attends j'ai le grand livre de la boque je vais aller chercher le basket pour terminer le basket Indiana Pitch bah oui Indiana Pitch bah oui j'ai l'interception alors moi regardez j'ai Inglewood ce qui est donc le forum d'Inglewood là où ah oui Pas mal ! In the woods, là où Buddy Johnson est... Deux points, peut-être deux points. Les Lakers, ouais. C'est que je mérite deux points. Ouais, c'est vrai, c'est bel. J'ai failli que je sorte un peu la tête. Conclure ce grand match aujourd'hui. Et attends, il y a le mot espagnol. Oui, c'est juste pour conclure. L'Espagne, j'y arrive. Le mot en espagnol. Il y avait Igual. Égal. Égual. Égual. Égual. Kéroun ! Kéroun ! Moi, j'ai fait Kédal. Je voulais faire Irone, mais Kédal avec un Q. Je voulais faire Irone avec un H. Alors, les stupides, vous trouvez ou pas, Bruno ? Kédal. Kédal. Attention. Ah, c'est un mot, Kédal. Avec un Q. Ton score, pour garder le suspense. Alors, attends. 13 plus. 3 points. Mais tu restes dernier, même avec sa défaillance. J'ai 13 points, les amis. Dans la dernière montée de l'Alpe d'Huez après Albertville, de la part de Bertrand Latour, qui restera à 19. Comment est-ce possible ? Qui gagne ? C'est toi qui as gagné. Je ne suis pas sûr. 3 points, tu as dit ? Je ne pense pas. Ouais, 3 points. Donc ça fait 16. Non, j'avais 13, regarde. 13 ou 16 seulement. 13 et 3, 16. Bravo. Boudou. 5 points. 5 points. 6. Et il s'impose ! Ladies and gentlemen, the winner is... 26. 25 ! Bravo Nathan ! On te retrouve sur Sport en France rapidement avec toi. Tu nous as dit basket surtout, mais il y a NBA, il y a basket carton défile ? Alors NBA, pas sur Sport en France malheureusement. Mais non, on diffuse le basket féminin, on est diffuseur de la ligue féminine de basket. qui s'appelle la boulangère Wonder League cette saison. La boulangère ? Ouais, c'est un naming. Ouais, c'est un naming. Voilà, la boulangère Wonder League. T'as pas su qu'elle était... Je me suis dit merde avec un B, boulangère. B comme boulangère. L'être B. Et on diffuse le basket australien féminin aussi, le championnat australien de basket. Il est différent du nôtre ou de l'NBA ? Non, non, c'est un bon niveau. C'est un peu moins fort que la France. C'est les mêmes règles que l'NBA ou c'est les mêmes règles que... Non, c'est la même chose. En fait, c'est du basket, mais le championnat australien. Mais d'accord, mais comme il y a deux, tu sens que l'NBA... Non, non, c'est globalement les mêmes règles. T'as le timing qui est différent ? On est pareil. C'est bien sympa. Merci Bertrand Latour d'être resté jusqu'au bout pour la discussion. Oui, exactement. Merci à vous Christophe de l'invitation. Ça va aller. Vous allez rentrer à Canal ? Non mais là honnêtement, je pense que là je suis énervé pour deux heures. Oui ? C'est vrai, c'est sûr. Vous voulez qu'on refasse une… Ah oui, on peut, jusqu'à ce que je gagne. Après je ne reviens plus. Merci Bruno de faire avec nous. Préparez bien les jeux avec des équipeurs, même en ski, qu'on puisse gagner quelque chose. Parce qu'à Alpin… Je te rappelle qu'il y a les jeux avant, en 2026 et dans pas très longtemps. Pas très longtemps, c'est en Italie. Mon cher Nathan, bravo ! 26 points, on n'a pas dépassé les 30 mais c'était un très très beau match avec Bertrand qui a abandonné sur le bord de la route. Il y en a qui ont obtenu 30. Avec son petit moteur électrique à vélo. Il y en a qui ont obtenu 30 ? Oui. C'est vrai ? Peu. C'est 40. Le maximum Oui le total Oui mais 30 déjà 40 c'est quasiment impossible C'est un doublon Tu vois tu peux avoir Après là on a eu des lettres aussi Avec un G et un I Oui l'année dernière fois On avait eu un Z Avec Mathieu Lartaud On avait eu un Q C'était pas facile Moi j'aime bien Oui mais voilà Il lui fallut des lettres Je suis pas là pour moi Z, Q Je me serais baladé Bah oui Y Y Vous comprenez pas L'intelligence artificielle Qui s'appelle Evidemment Maître Capello Qui est derrière la vitre Il fallait une lettre pour vous départager. 20 points, 20 points et 19 à la dernière manche. Et on finit à 26, 25. Et encore une fois, un abandon. 16, je ne suis même pas à la moyenne. Contre notre volonté. Mais avec pas de lâche. Mais 13, c'est vrai que bon. 16, 16. 13 plus 3, ça fait 16. Oui, toujours. C'est bien. Garde ce chiffre en tête. Flijon. Je garde la boulette ! Merci d'être resté avec nous. Vous le savez, vous pouvez nous retrouver sur Radio Sport quand vous le souhaitez, puis sur n'importe quelle plateforme. Vous avez du Free, du Orange ou autre. Sur MyCanal, par exemple, juste à côté de l'équipe, c'est facile à trouver. Merci de nous suivre, merci à tous les quatre d'être venus. Et plus que jamais, vous êtes bien sur Radio Sport. Merci.