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De retour de festivals

Félix, Gaylord et Michaël : quand la route devient leur maison

Félix, Gaylord et Michaël : quand la route devient leur maison

35min |28/01/2025
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  • Voyager sans destination : une philosophie du temps


Que signifie réellement “prendre le temps” lorsqu’on voyage sans but précis, porté par la route, le vent ou l’eau ? Dans cet épisode, trois voyageurs – Félix, Gaylord et Michaël – explorent une manière de se déplacer qui échappe à la logique du rendement et des itinéraires tracés. Leur voyage n’est pas un moyen d’arriver quelque part, mais une manière d’habiter le monde, lentement et consciemment.


  • Félix et Chépa : habiter le temps


Depuis plus de cinq ans, Félix vit dans une petite maison tractée par un vélo-canoë amphibie. Son compagnon de route, une poule nommée Chépa, rappelle que le rythme du voyage se décide parfois à deux, au gré des besoins les plus simples. Pour Félix, le temps n’est pas un outil à gérer, mais une matière vivante : “ce n’est pas moi qui prends le temps, c’est le temps qui me prend”. Laisser le hasard guider la route, écouter la météo, les saisons, l’élan intérieur : son voyage est une aventure où l’on accepte de ne rien prévoir.


  • Gaylord : pédaler au rythme du cœur


Gaylord avance en vélo couché, tirant une tiny-caravane dans laquelle il peut tenir debout. Son voyage vise à “reprendre le temps de vivre”. Même dans la liberté, reconnaît-il, les obligations finissent par revenir : rendez-vous, événements, ateliers. Pourtant, le mouvement musculaire demeure une méditation : chaque montée, chaque ligne droite ramène au souffle et à l’essentiel. Le corps devient boussole, le rythme cardiaque, horloge.


  • Michaël : l’équilibre entre liberté et responsabilité


Michaël sillonne l’Europe sur un quadricycle solaire de 300 kg qu'il a baptisé "Pierrette". L’été, il voyage ; l’hiver, il travaille pour financer ses projets. Pour lui, “le plan : c’est de ne pas avoir de plan” — une liberté assumée mais réfléchie. Son aventure incarne un équilibre entre lenteur, autonomie et engagement.


  • Une ode à la lenteur


Ces voyageurs montrent qu’avoir du temps, c’est accepter l’imprévu, la rencontre, le vide. Leur nomadisme interroge notre rapport à la vitesse et redonne sens au mot “partir” : non pour aller vite, mais pour être pleinement.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Voyager sans destination : une philosophie du temps


Que signifie réellement “prendre le temps” lorsqu’on voyage sans but précis, porté par la route, le vent ou l’eau ? Dans cet épisode, trois voyageurs – Félix, Gaylord et Michaël – explorent une manière de se déplacer qui échappe à la logique du rendement et des itinéraires tracés. Leur voyage n’est pas un moyen d’arriver quelque part, mais une manière d’habiter le monde, lentement et consciemment.


  • Félix et Chépa : habiter le temps


Depuis plus de cinq ans, Félix vit dans une petite maison tractée par un vélo-canoë amphibie. Son compagnon de route, une poule nommée Chépa, rappelle que le rythme du voyage se décide parfois à deux, au gré des besoins les plus simples. Pour Félix, le temps n’est pas un outil à gérer, mais une matière vivante : “ce n’est pas moi qui prends le temps, c’est le temps qui me prend”. Laisser le hasard guider la route, écouter la météo, les saisons, l’élan intérieur : son voyage est une aventure où l’on accepte de ne rien prévoir.


  • Gaylord : pédaler au rythme du cœur


Gaylord avance en vélo couché, tirant une tiny-caravane dans laquelle il peut tenir debout. Son voyage vise à “reprendre le temps de vivre”. Même dans la liberté, reconnaît-il, les obligations finissent par revenir : rendez-vous, événements, ateliers. Pourtant, le mouvement musculaire demeure une méditation : chaque montée, chaque ligne droite ramène au souffle et à l’essentiel. Le corps devient boussole, le rythme cardiaque, horloge.


  • Michaël : l’équilibre entre liberté et responsabilité


Michaël sillonne l’Europe sur un quadricycle solaire de 300 kg qu'il a baptisé "Pierrette". L’été, il voyage ; l’hiver, il travaille pour financer ses projets. Pour lui, “le plan : c’est de ne pas avoir de plan” — une liberté assumée mais réfléchie. Son aventure incarne un équilibre entre lenteur, autonomie et engagement.


  • Une ode à la lenteur


Ces voyageurs montrent qu’avoir du temps, c’est accepter l’imprévu, la rencontre, le vide. Leur nomadisme interroge notre rapport à la vitesse et redonne sens au mot “partir” : non pour aller vite, mais pour être pleinement.


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Que signifie réellement “prendre le temps” lorsqu’on voyage sans but précis, porté par la route, le vent ou l’eau ? Dans cet épisode, trois voyageurs – Félix, Gaylord et Michaël – explorent une manière de se déplacer qui échappe à la logique du rendement et des itinéraires tracés. Leur voyage n’est pas un moyen d’arriver quelque part, mais une manière d’habiter le monde, lentement et consciemment.


  • Félix et Chépa : habiter le temps


Depuis plus de cinq ans, Félix vit dans une petite maison tractée par un vélo-canoë amphibie. Son compagnon de route, une poule nommée Chépa, rappelle que le rythme du voyage se décide parfois à deux, au gré des besoins les plus simples. Pour Félix, le temps n’est pas un outil à gérer, mais une matière vivante : “ce n’est pas moi qui prends le temps, c’est le temps qui me prend”. Laisser le hasard guider la route, écouter la météo, les saisons, l’élan intérieur : son voyage est une aventure où l’on accepte de ne rien prévoir.


  • Gaylord : pédaler au rythme du cœur


Gaylord avance en vélo couché, tirant une tiny-caravane dans laquelle il peut tenir debout. Son voyage vise à “reprendre le temps de vivre”. Même dans la liberté, reconnaît-il, les obligations finissent par revenir : rendez-vous, événements, ateliers. Pourtant, le mouvement musculaire demeure une méditation : chaque montée, chaque ligne droite ramène au souffle et à l’essentiel. Le corps devient boussole, le rythme cardiaque, horloge.


  • Michaël : l’équilibre entre liberté et responsabilité


Michaël sillonne l’Europe sur un quadricycle solaire de 300 kg qu'il a baptisé "Pierrette". L’été, il voyage ; l’hiver, il travaille pour financer ses projets. Pour lui, “le plan : c’est de ne pas avoir de plan” — une liberté assumée mais réfléchie. Son aventure incarne un équilibre entre lenteur, autonomie et engagement.


  • Une ode à la lenteur


Ces voyageurs montrent qu’avoir du temps, c’est accepter l’imprévu, la rencontre, le vide. Leur nomadisme interroge notre rapport à la vitesse et redonne sens au mot “partir” : non pour aller vite, mais pour être pleinement.


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Que signifie réellement “prendre le temps” lorsqu’on voyage sans but précis, porté par la route, le vent ou l’eau ? Dans cet épisode, trois voyageurs – Félix, Gaylord et Michaël – explorent une manière de se déplacer qui échappe à la logique du rendement et des itinéraires tracés. Leur voyage n’est pas un moyen d’arriver quelque part, mais une manière d’habiter le monde, lentement et consciemment.


  • Félix et Chépa : habiter le temps


Depuis plus de cinq ans, Félix vit dans une petite maison tractée par un vélo-canoë amphibie. Son compagnon de route, une poule nommée Chépa, rappelle que le rythme du voyage se décide parfois à deux, au gré des besoins les plus simples. Pour Félix, le temps n’est pas un outil à gérer, mais une matière vivante : “ce n’est pas moi qui prends le temps, c’est le temps qui me prend”. Laisser le hasard guider la route, écouter la météo, les saisons, l’élan intérieur : son voyage est une aventure où l’on accepte de ne rien prévoir.


  • Gaylord : pédaler au rythme du cœur


Gaylord avance en vélo couché, tirant une tiny-caravane dans laquelle il peut tenir debout. Son voyage vise à “reprendre le temps de vivre”. Même dans la liberté, reconnaît-il, les obligations finissent par revenir : rendez-vous, événements, ateliers. Pourtant, le mouvement musculaire demeure une méditation : chaque montée, chaque ligne droite ramène au souffle et à l’essentiel. Le corps devient boussole, le rythme cardiaque, horloge.


  • Michaël : l’équilibre entre liberté et responsabilité


Michaël sillonne l’Europe sur un quadricycle solaire de 300 kg qu'il a baptisé "Pierrette". L’été, il voyage ; l’hiver, il travaille pour financer ses projets. Pour lui, “le plan : c’est de ne pas avoir de plan” — une liberté assumée mais réfléchie. Son aventure incarne un équilibre entre lenteur, autonomie et engagement.


  • Une ode à la lenteur


Ces voyageurs montrent qu’avoir du temps, c’est accepter l’imprévu, la rencontre, le vide. Leur nomadisme interroge notre rapport à la vitesse et redonne sens au mot “partir” : non pour aller vite, mais pour être pleinement.


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